jour se moqua du Printemps et le chargea de reproches. Aussitôt qu’il
paraissait
, personne ne restait plus en repos ; l’un allait
Aussi, quand j’ai disparu, ils gardent mon souvenir, et, dès que j’ai
paru
, ils sont pleins d’allégresse. »
épousa. Voilà pourquoi il l’accompagne partout où elle va. Partout où
paraît
la violence, dans une cité ou parmi les nations,
lors : « J’ai vivement souhaité de voir ce jour, afin que les faibles
paraissent
redoutables aux violents. » Quand la justice règn
st ainsi que des gens sans éducation, qui, par leurs dehors fastueux,
paraissent
être quelque chose, se trahissent par leur démang
ue ce moyen. Chacun fut de l’avis de Monsieur le Doyen, Chose ne leur
parut
à tous plus salutaire. La difficulté fut d’attach
mal et se fit chasser à coups de pierres. Ainsi certains orateurs qui
paraissaient
à l’école avoir quelque talent, ne sont pas plus
De couleur fort tannée ; et tels que les Abeilles, Avoient long-temps
paru
. Mais quoy, dans les Frelons
Ces enseignes estoi
chose qui n’était rien ! » Cette fable montre que certains hommes qui
paraissent
redoutables parce qu’ils sont inconnus, révèlent
Des oies et des grues picoraient dans la même prairie. Des chasseurs
parurent
: les grues, légères, s’envolèrent ; mais les oie
ué par la marche, il déposa son fardeau et il appela la Mort. La Mort
parut
et lui demanda pour quel motif il l’appelait. Le
lui dit : « Ah ! mon brave, elle a encore envie de dattes, à ce qu’il
paraît
: c’est pour cela qu’elle se montre tranquille. C
leur course qu’elles sautèrent dans l’eau. Alors un des lièvres, qui
paraissait
être plus fin que les autres, dit : « Arrêtez, ca
ont des dettes : tant qu’ils sont en possession du bien d’autrui, ils
paraissent
être des personnages ; mais quand ils ont rendu c
terre sans y penser. Depuis ce temps-là, dit-on, pendant la saison où
paraissent
les escarbots, les aigles ne nichent plus. Cette
des divers fabulistes latins. Quoique ce procédé m’eût à première vue
paru
à moi-même le plus simple et le plus commode, deu
e, ayant pour objet Avianus et ses imitateurs, est presque en état de
paraître
. L’auteur ne se décidera pourtant à le publier qu
tenu au moment même auquel ce qu’il appelle mon premier ouvrage avait
paru
, c’est-à-dire au commencement de 1884, je n’aurai
je devais, avant de donner une suite à mon premier travail, en faire
paraître
une édition nouvelle à laquelle je pusse ensuite,
des retranchements. À ce point de vue encore, une deuxième édition me
parut
nécessaire. En retardant la poursuite de mon entr
ou du moins de ceux dont les écrits nous sont parvenus, n’a seulement
paru
se douter de son existence. Aussi ses œuvres sont
nt une étymologie évidemment grecque8. Mais l’hypothèse de Gude ne me
paraît
pas trouver ici sa place : Phèdre, étant originai
vi du livre Ier comme écrites et connues sous le règne de Tibère ; il
paraît
admettre aussi que ce ne furent pas les seules et
cun des affranchis, dont il est question dans ces inscriptions, ne me
paraît
être celui dont nous cherchons la trace ; je la v
passer aux deux derniers livres. Il dédia le quatrième à l’homme qui
paraît
avoir été son principal protecteur ; j’ai nommé P
Inscriptiones antiquæ de Gruler les inscriptions suivantes, qui ne me
paraissent
pas se rapporter aussi bien au protecteur du fabu
l’envie et qu’il n’en a souffert que dans son imagination. Ce qui me
paraît
donner un fort point d’appui à cette manière de v
e Tibère ni dans ses biens qui étaient nuls, ni dans sa liberté qu’il
paraît
avoir toujours conservée. J’en conclus que, parei
§ 1er. — Histoire du manuscrit. Lorsqu’au mois de septembre 1596,
parut
la première édition des fables de Phèdre, elles é
ans le Journal des savants en décembre 183074, dit que cet éditeur ne
paraît
pas avoir eu connaissance de l’exemplaire de Sain
765, dans la Bibliothèque Sainte-Geneviève ; c’est là du moins ce qui
paraît
ressortir de la mention suivante écrite sur le ti
s sont pures de toute annotation. Ce qui en fait le prix, c’est qu’il
paraît
provenir de la bibliothèque de Pierre Pithou lui-
sister, tout ce qu’il y a d’erroné dans ce récit. L’édition de Pithou
parut
en 1596. Or, à cette époque, le Père Sirmond étai
ander l’autorisation d’éditer le précieux manuscrit. Le noble pair ne
parut
pas d’abord très disposé à accueillir la requête
au mois de décembre, M. Daunou, dans le Journal des savants, faisait
paraître
sur cette publication une notice justement élogie
« Cette édition préparée, disposée, exécutée avec un grand soin, nous
paraît
mériter l’attention des hommes de lettres. Elle n
tres. Elle n’a été tirée qu’à deux cents exemplaires. Ce nombre devra
paraître
insuffisant et rendre nécessaire une édition nouv
t d’un brun assez clair, mais cependant toujours facile à voir. « Il
paraîtrait
que le calligraphe, après avoir écrit tout son ma
lquefois joint à la virgule, il ne signifie rien, le calligraphe, qui
paraît
n’avoir pas compris ce qu’il écrivait, les ayant
Berger de Xivrey fut plus heureux. Pendant qu’il s’occupait de faire
paraître
le manuscrit de Pithou, profitant de sa position
t à celles que Gude a prises lui-même sur le manuscrit. Rigault ne me
paraît
pas avoir vu le manuscrit de Reims ; il n’en a co
reconnaître qu’il existait entre eux une parenté incontestable. Il me
paraît
évident qu’ils ont été copiés ou l’un sur l’autre
haque vers occupe seul la ligne où il est écrit. Or ce manuscrit, qui
paraît
être du xie siècle, a été copié sur les textes p
accompagna de ses notes, et il faut convenir que c’est un ouvrage qui
paraîtrait
peu digne aujourd’hui d’une grande estime. « 2º L
e. “Ce poète dramatique, disent-ils (t. II, p. 94, not. col. 2), s’il
paraît
s’attribuer un discours barbare, ce n’est pas san
érobe, ou l’enlève à l’aide de quelque engin, anathème sur lui. » Il
paraît
que le premier nom de Saint-Benoît-sur-Loire étai
t, avec la dénomination de Schedæ regiæ, celle de Vossianus codex. Il
paraît
que les divers noms donnés au manuscrit de Daniel
stine, comme étant liées à celles de la religion catholique123. Il ne
paraît
pas que Louis XIV ait voulu se prêter aux fantais
existence de ce petit volume, je consultai les autres ouvrages qui me
parurent
le plus propres à m’éclairer. Je songeai d’abord
mmencement du volume, en occupe les 16 premiers feuillets. L’écriture
paraît
du xiie siècle. Elle est très lisible. La premiè
. Dans son édition de 1599, il en avait signalé les variantes qui lui
paraissaient
les plus importantes. Quant aux autres savants, q
du manuscrit de Pithou, déclare que « ce n’est qu’un fragment qui ne
paraît
pas très ancien, et qui ne présente qu’un peu plu
pression de ce dernier, adolescentem suavissimum. D’autre part, il me
paraît
constant que la dédicace de Perotti à son neveu f
13, dans son Giornale de’ Letterati d’Italia 153, Apostolo Zeno154 ne
paraissait
pas non plus en avoir soupçonné l’existence. Voic
anciennes dans le manuscrit de Perotti. Sa dernière édition put ainsi
paraître
en 1727. Quant à d’Orville, il passa d’Italie en
définitivement perdue dans les troubles de la Révolution ; perte qui
paraissait
d’autant plus déplorable que ni Burmann n’avait d
la peine de les publier à la fin de la préface, et c’est ce qu’il me
paraît
avoir fait. Il est vrai que dans la fable ii du L
é et obtenu, était déjà dans les mains des imprimeurs du roi, lorsque
parut
celle de Cassitto. En se voyant ainsi devancé, il
n’avait publié qu’un extrait du manuscrit ; il entreprit de le faire
paraître
tout entier. Ce n’est pas tout : pendant que sa c
ichesses de sa magnifique érudition. Pour que ses trois dissertations
parussent
en tête du texte de Perotti, Jannelli, quoiqu’il
rtait de nombreux changements à ses premières conjectures. Elle avait
paru
vers les nones de février 1811, c’est-à-dire à pe
ées ou adoptées. On comprend sans peine la colère de Jannelli, voyant
paraître
en même temps que son Codex Perottinus, la brochu
de mars 1811, Jannelli était irrité contre Cassitto. Le mois suivant
parurent
enfin les trois dissertations dont j’ai déjà donn
l’impression et de lui donner même des proportions inattendues. Elle
parut
au cours de l’année 1811. En voici le frontispice
s dont elle fourmillait ne rendaient que trop légitimes. Mais lorsque
parurent
les travaux de Jannelli et qu’on put juger du tex
’ai dit que le recueil de Perotti était l’œuvre de sa jeunesse. Il me
paraît
indubitable que c’est du philologue Laurent Valla
sit littera librum, Scriptorem ignarum me dolor ipse facit. Il
paraît
ressortir des cinq distiques élégiaques qui précè
ltés de calligraphe. En 1831, au moment où le cardinal A. Mai faisait
paraître
à Rome le troisième volume de sa collection des c
able texte et le détermina à ajouter à son ouvrage un supplément, qui
parut
, également à Zurich, en 1832, et qui lui permit d
copier dans son recueil des fables de différents genres, qui ensuite
parurent
sous son nom201. » Et plus loin, parlant de d’Orv
feste du plagiat. C’est surtout la dédicace à Pirrho Perotti, qui lui
paraît
la fournir. La déclaration, par laquelle elle com
laré vouloir mettre à l’épreuve la sagacité de son neveu ? Cela ne me
paraît
pas douteux, et, lorsque je considère en outre qu
ain. » Cette explication, que je pourrais appeler géographique, avait
paru
aux savants et notamment à Lipse208, parfaitement
a forme de ce nom est grecque ; la forme latine serait Phæder. Il lui
paraît
même assez probable que ce Phèdre n’était autre q
és par les Dieux, à peu près telle qu’elle est dans le Phedre qui n’a
paru
qu’en 1596. Mais on a trouvé un des Vers de cette
re, cette découverte d’un Manuscrit qui avoit été perdu si longtemps,
parut
d’abord suspecte à tous les Sçavans. Mais après a
vant Daunou, dans l’article qu’il a consacré à cette édition et qui a
paru
dans le Journal des savants au mois de décembre 1
r qu’il a été exactement reproduit dans l’édition Panckoucke. Lorsque
parut
la publication de M. Berger de Xivrey, le vieux S
ril n’admet pas que Sénèque ait pu se tromper, et d’autre part il lui
paraît
constant qu’il existait alors un fabuliste nommé
question que M. du Méril se pose et qu’il s’empresse de résoudre. Il
paraît
qu’à Rome, dans les écoles publiques, les maîtres
fère à ce qu’il en dit lui-même. La fable xi, Juno, Venus et Gallina,
paraît
à Adry contraire au but que Phèdre s’était propos
ina, « très obscure et fort mal racontée » ; ces deux reproches ne me
paraissent
pas fondés. Le sens s’en comprend bien, et la leç
ugus, et Æsopus, « contient une excellente morale », mais elle ne lui
paraît
pas élégante, et, suivant lui, ce vers : Has pro
e à Paris en 1812 et citée par lui-même, ne lui aurait pas sans doute
paru
aussi entachée de l’obscurité qu’il lui reproche
es fables anciennes, il n’hésite pas à combattre son opinion. « Il me
paraît
, dit-il, en parlant de cette fable, n’avoir hésit
té à attribuer celle-ci à Phèdre que parce que plusieurs vers lui ont
paru
calqués trop exactement sur ceux qui terminent l’
plusieurs autres poèmes263. » L’authenticité des fables nouvelles ne
parut
pas plus douteuse à Orelli ; il remarque bien dan
rétendues incertitudes. C’est ainsi qu’elles ont, isolées des autres,
paru
à Heidelberg et à Spire en 1822, à Trente en 1827
faire connaître, aussi complètement que je le pourrai, celles qui ont
paru
jusqu’à nos jours. Pour procéder avec ordre, je v
m quæ sequuntur fabularum quædam sunt e Phædro verbatim desumptæ. Il
paraît
que le manuscrit avait primitivement appartenu à
t son départ, il avait disposé en faveur de son couvent. Le principal
paraît
être une chronique de l’histoire de France. Comme
ujourd’hui un keepsake. Il s’est complètement fourvoyé, et son erreur
paraît
provenir de ce qu’il n’a pas su qu’à la reliure o
ensum..... Fol. xv b à xix b. — Gloses sur l’Ancien Testament. Elles
paraissent
d’une autre main que les écritures qui précèdent.
uicumque legis diversaque verbula ca[r]pis. Cette seconde copie, qui
paraît
complète et qui semble être de la main d’Adémar,
c. Fol. xxxv b à xxxvi b. — Pages blanches. L’écriture de ce quaterne
paraît
étrangère à Adémar. Neuvième quaterne (Fol. xxxv
dictis Augustini deflorata, in Christi nomine, amen. L’écriture ne
paraît
pas être d’Adémar. L’ouvrage est entier ; il se t
à clxxviii, clxxix à clxxxvi et clxxxvii à cxciv). Ces cinq quaternes
paraissent
avoir été les cinq premiers d’un autre codex. Fol
our, il est bien désirable qu’il ne diffère pas davantage de la faire
paraître
. § 2. — Apographe du manuscrit Vossianus latin
voir été réunis en un volume par les soins d’Isaac Vossius. Ce qui me
paraît
le démontrer, ce sont, parmi les pièces qu’il ren
et celle qui, consistant dans la copie partielle des Fabulæ antiquæ,
paraît
par son écriture être à peu près de la même époqu
tirée devait déjà appartenir à Vossius, et cependant elle ne m’a pas
paru
être de sa main. Pendant que j’étais en Hollande,
il parvint à la déchiffrer et à donner du manuscrit une édition, qui
parut
à Leyde chez Théodore Haak en 1709293 et que j’ai
tout d’abord exprimée ; mais la répétition ne va jamais plus loin. Il
paraît
que le moine glossateur n’avait pas fait cette fa
ts en bois, couverts de cuir et ornés de clous ronds en cuivre ; elle
paraît
remonter presque au xve siècle. Du même âge est
ussi grand besoin d’être révisé. Peut-être ce travail a-t-il fini par
paraître
trop pénible. En beaucoup de cas, le correcteur s
’ai retrouvée depuis la publication de ma première édition et qui m’a
paru
remonter, sinon à la fin du xvie siècle, au moin
ersonne n’a songé à faire du frère de Remus un fabuliste. Mais ce qui
paraîtra
presque aussi excentrique, c’est que des critique
m filium suum, in Latinum venit. Le prologue qui contient ces lignes
paraît
avoir été en grande faveur au moyen âge ; car il
ait pas dû être prise au sérieux. Pourtant il en fut autrement : elle
parut
aux érudits digne d’être discutée. À la fin du xv
nière de voir qui découlait de celle de Gude et même de Nilant, il ne
paraît
pas qu’à l’époque où M. E. du Méril la formula, e
ffirmer qu’il en comprenait 84. Ce qui, pour être discutable, ne m’en
paraît
pas moins vraisemblable, c’est que ces fables éta
roisième livre : Hoc illis narro qui me non intelligunt ; ce qui me
paraît
au moins fort singulier, et il y a dans le Romulu
fable du Loup et de l’Agneau des exemples qui ne pourront manquer de
paraître
concluants. À défaut du texte perdu du Romulus pr
ire, que de celle de Romulus fût issue celle de Wissembourg ? Cela ne
paraît
pas impossible, quand on songe que toutes les fab
mme des fragments ou des excerpta du véritable Romulus321. » Ce qui
paraît
avoir porté M. H. Oesterley à cette erreur, c’est
. 195 recto au fol. 203 verso, en sont séparées par 190 feuillets, ne
paraissent
pas copiées par la même main, et très vraisemblab
nsidérés comme appartenant à une seule et même collection. Ne faisant
paraître
qu’un seul texte, comme c’est le premier groupe q
il porte ce titre : Incipiunt propositiones ad acuendos juvenes , et
paraît
ne contenir que des problèmes d’arithmétique. Qua
au texte des fables, après ce que j’en ai déjà fait connaître, il me
paraît
superflu d’en parler de nouveau. La description q
la suite venaient 32 livres de l’histoire naturelle de Pline. Mais il
paraît
qu’ils avaient peu d’intérêt pour Gude, qui les a
que qui avait établi l’ancienneté de l’œuvre. Schwabe avait déjà fait
paraître
une édition, qui était le résultat de la combinai
rologue commence par ces mots : Memoriam tibi tradam. Ce manuscrit me
paraît
plus voisin de la paraphrase de Wissembourg que d
ts divers, comprend 146 feuillets en parchemin et dont l’écriture m’a
paru
être en partie du xvie siècle et en partie du xv
ers et sa correspondante en prose s’abritent aussi sous le même. Tous
paraissent
empruntés au Romulus ordinaire. On peut trouver p
org (Hain 326). La réimpression que Hain a décrite sous le nº 326,
paraît
avoir été faite après la précédente et, quoiqu’il
ribue à l’imprimerie de Sorg. La bibliothèque de Munich m’a également
paru
avoir, sous la cote A. Gr. B. 15, un exemplaire d
feuillets. Après les deux éditions de Sorg, l’édition gothique qui
paraît
la plus ancienne est celle que Hain a mentionnée
t, la vogue de l’ouvrage ne diminuant pas, il en avait, en 1482, fait
paraître
non seulement une troisième édition, mais encore
de 1674 ne fit qu’accroître ma méfiance. Dans cette situation, il me
parut
que ce n’était qu’à la Bodléienne elle-même que j
s du Romulus ordinaire, avait été pour elles le chant du cygne. Il en
parut
bien encore quelques réimpressions. Ainsi, en 152
§ 3. — Éditions allemandes. Comme de toutes celles qui ont
paru
en Europe dans les dernières années du xve siècl
ainer. De toutes les éditions purement allemandes la plus ancienne
paraît
être celle qui, selon Hain340, fut publiée par Gü
ale, dont les deux textes ne pouvaient convenir au même public, et il
paraît
qu’en ce qui concerne le texte allemand son idée
Sorg et de Jean Schobsser vinrent celles de Hannsen Schönsperger, qui
paraît
avoir rivalisé d’ardeur avec eux, ou, tout au moi
uttgart en 1838. § 4. — Éditions françaises. À peine avait
paru
la traduction allemande des fables du Romulus ord
il est à peu près certain que c’est dans cette ville que l’édition a
paru
. Quant à la date, si cette édition a été la premi
s tout à l’heure en analyser une qui porte ce millésime. Enfin, il me
paraît
très probable qu’elle est due à Nicolas Phillipi
nville library affirmant au contraire que c’est celle sans date qui a
paru
la première, il y a là une question à trancher. M
ote 638. K. 2. 6º Édition de 1499. L’édition in-4º de 1499, qui
paraît
n’être que la réimpression de la précédente, form
iers, et il assigne à l’édition la date approximative de 1520, qui me
paraît
pouvoir être adoptée353. L’édition forme un volum
riginale. À peine la version française de Julien Macho avait-elle
paru
en France qu’elle se répandait en Angleterre et y
2º Réimpressions de l’édition originale. La traduction de Caxton
paraît
avoir été longtemps réimprimée. Je vais faire con
èque Bodléienne qui en possède un exemplaire sous la cote Douce A 40,
parut
de la traduction anglaise de Caxton une réimpress
le frontispice. C. Réimpression de H. Wykes de 1570. Vers 1570
parut
encore à Londres une réimpression en caractères g
A. 647. E. Réimpression de 1647. En 1647, dans le format in-8º,
paraît
une nouvelle réimpression éditée à Londres et exé
mplaire de cette réimpression. C. Réimpression de 1714. En 1714
parut
une cinquième réimpression de l’édition Lestrange
sciences naturelles, telles que la zoologie et la botanique. L’auteur
paraît
l’avoir écrit vers 1250 ; cependant Vossius lui a
r cette allégation ; mais, comme il est dans beaucoup de mains, il me
paraît
utile de la signaler. 2º Bibliothèque du Coll
liste de ceux que j’ai signalés suffisamment longue, et le moment me
paraît
venu de m’occuper des éditions imprimées. § 1er
lxxiiij375. § 3. — Édition de Paris. L’édition d’Augsbourg ne
paraît
pas avoir été la seule édition du Miroir historia
o primo supra millesimum quaterque centesimum. L’édition de 1481 ne
paraît
pas avoir été le seul hommage rendu par Jean de A
g par Antoine Koburger. Speculum naturale. En 1483, Koburger fit
paraître
une première édition in-folio du Speculum natural
ême où il publiait la première de ces deux éditions, Koburger faisait
paraître
, dans le format in-folio, le Speculum historiale.
aus Christo 386. Speculum doctrinale. Après le Speculum morale
parut
le Speculum doctrinale en un volume in-folio, imp
mée en latin qu’à de longs intervalles. Dominique Nicolin en fit bien
paraître
une édition in-folio à Venise en 1591 ; mais elle
e du Miroir historial, imprimée par Buyer, n’est pas la seule qui ait
paru
au xve siècle. Le Miroir historial fut encore pu
aractères gothiques à deux colonnes et ornés de gravures sur bois. Il
paraît
que ces cinq volumes ont été imprimés en huit moi
rs ardent à les faire traduire et à les imprimer lui-même, Caxton fit
paraître
vers 1480 deux éditions anglaises du Miroir histo
à l’heure, il n’en est pas moins vrai que quelques-unes d’entre elles
paraissent
être entièrement originales. Malheureusement quel
; elles ont encore inspiré des collections de fables en vers ; elles
paraissent
notamment avoir donné naissance à celle de l’aute
a fait faire cette traduction. Les fables de l’Anonyme de Névelet ne
parurent
pas seulement avec ce commentaire. Elles furent é
om n’en fut pas moins poursuivie, Barth s’en occupa ; le vrai nom lui
parut
être celui de Bernard. Il appuyait cette hypothès
te : car ce volume qui renferme les écrits de huit auteurs moraux, me
paroît
écrit de la même main, et je ne vois pas pourquoi
yme. En 1838, dans son édition des fables de Phèdre, M. Dressler, qui
paraît
n’avoir connu ni l’ouvrage de M. Robert ni la glo
es, je n’affirme pas qu’elle soit l’œuvre de Walther ; mais ce qui me
paraît
encore mieux démontré que pour les deux précédent
st en papier et la deuxième en parchemin. Les fables, dont l’écriture
paraît
être du xive siècle, commencent au feuillet 63 e
ur. De l’analyse du catalogue il ressort que l’écriture du manuscrit
paraît
être du xve siècle. Il appartient au format in-4
d’un petit volume in-8º. Les feuillets sont en parchemin. L’écriture
paraît
être du xive siècle. Il se compose de 125 feuill
lcmenæ. Is codex decimo quarto sæculo videtur exaratus. Ce manuscrit
paraît
provenir de la bibliothèque du cardinal Mazarin,
hique française, qui, malgré l’indication contraire du catalogue, m’a
paru
être de la fin du xiiie siècle. Les fables ne po
s souvent se prolonge jusqu’à la marge de la suivante. Cette écriture
paraît
presque aussi ancienne que celle du texte. Au lie
Les fables sont suivies de trois ouvrages poétiques, dont le premier
paraît
complet, à en juger par ces mots qui le terminent
Jupiter et d’Alcmène. Sauf M. Robert et M. du Méril, aucun auteur ne
paraît
même avoir soupçonné l’existence du manuscrit de
port à l’histoire ecclésiastique, de sorte qu’à ce dernier égard elle
paraît
préférable à plusieurs autres bibliothèques. » D
m. Le manuscrit forme un volume in-fº, dont l’écriture sur parchemin
paraît
être de la fin du xiiie siècle. Il comprend 177
ossatus. Le volume est un in-8º écourté. L’écriture est italienne et
paraît
appartenir aux xiiie et xive siècles. Elle est
doute à ce que Rigault aura cru devoir corriger les passages qui lui
paraissaient
fautifs. Et puis il ne faut pas oublier qu’il eut
et qui sont en chiffres arabes, il y en a un en chiffres romains, qui
paraît
être d’une main ancienne et qui, s’il était une d
aison qu’il estoit à l’endroit d’une fenestre mal joincte. » Ces mots
paraissent
à M. Robert avoir été écrits pendant la minorité
elles sont précédées et suivies dans le manuscrit 1594. La raison me
paraît
en être toujours la même, à savoir que toutes les
sible de reconstituer le texte disparu. L’écriture, lisible et nette,
paraît
dater du commencement du xiiie siècle ; les page
y a donné suite : en 1882, sous le titre Der Lyoner Ysopet, il a fait
paraître
à Heilbronn, chez le libraire Herminger, une rema
elativement au point de savoir si l’œuvre doit lui être attribuée, me
paraît
avoir une importance capitale. Voici en effet ce
ernières. Le Phisiologus, qui, dans le manuscrit, précède les fables,
paraît
avoir été écrit par le même copiste, qui a, dans
volume in-12, dont les feuillets sont en parchemin et dont l’écriture
paraît
remonter aux xiiie et xive siècles. Il provient
ade et du renard, et dont par exception à la règle ordinaire l’auteur
paraît
avoir puisé ses inspirations à deux sources diffé
gloses tant en marge qu’en interligne et suivies de cette mention qui
paraît
être de la même main que les gloses : Per Hartma
as encore entièrement imprimé, et les premiers volumes qui en avaient
paru
n’avaient pas atteint le nº 5311. Il en est résul
inales, d’une écriture excessivement fine, qui, comme celle du texte,
paraît
être du xiiie siècle. I. Manuscrit Add. 11896
format in-4º, dont les feuillets sont en parchemin et dont l’écriture
paraît
être du xive siècle. Il renferme les 60 fables d
plus petit que celui du manuscrit de Paris. Quant aux dessins, ils me
paraissent
, dans les trois manuscrits, devoir être attribués
se ne donne pas le nom du moine de Faenza qu’elle signale, et qu’elle
paraît
ne le signaler en termes d’ailleurs très vagues q
fférant sensiblement de celles offertes par les autres manuscrits, me
paraissent
, malgré leur longueur, devoir être ici transcrite
de Caton. B. Manuscrit F. VIII. 1. Le manuscrit F. VIII. 1 m’a
paru
avoir moins d’importance que le premier. C’est un
t en général été publiées isolément. À partir de 1488, sans cesser de
paraître
seules, elles sont réunies à d’autres ouvrages po
ento , et Esopus moralisatus cum bono commento , avaient quelquefois
paru
embarrassées d’un commentaire et de gloses qui av
r me Iacobum de Breda, 1502. Cette édition forme un volume in-4º qui
paraît
être une réimpression de la première édition de D
30 feuillets, qui a été imprimée à Rouen pour J. Le Forestier et qui
paraît
n’être que la réimpression d’une précédente due a
anuscrit de Saint-Victor et qu’il s’en était servi. Mais le contraire
paraît
ressortir du frontispice de ses deux éditions qui
ns un petit volume in-8 analysé plus haut. La seconde traduction, qui
paraît
être du commencement du xive siècle, se trouve a
ne traduction anglaise des fables de Walther. En effet il n’en a fait
paraître
que le texte latin avec un commentaire semblable
à Bologne en 1866. C’est de ces manuscrits et des éditions qui en ont
paru
que je vais d’abord m’occuper. I. — Manuscrits.
-29. Ce manuscrit, que M. Ghivizzani ne mentionne pas, et qu’il ne
paraît
pas avoir connu, se compose de 68 feuillets en pa
dal Testo Riccardiano. Comme les quatre précédentes, cette édition
paraît
avoir été calquée sur celle que l’abbé Berti avai
été mentionnée et appréciée par M. Ghivizzani dans celle qu’il a fait
paraître
en 1866. 1864. Favole d’Esopo || volgar
absorbé par d’autres occupations, le libraire Le Monnier dut ne faire
paraître
que le texte de ce manuscrit, avec une courte pré
même que la première traduction des fables du Romulus ordinaire avait
paru
en Allemagne, de même ce fut en Italie que fut pu
eur, à qui plaisent mes récits, apprends que je suis Ésope. J’ai déjà
paru
en latin et en langue vulgaire, mais sous une for
duction de Francisco del Tuppo. À son tour Francisco del Tuppo fit
paraître
une traduction en prose italienne des fables de W
ré le luxe artistique avec lequel elle avait toujours été publiée, il
paraît
que la traduction de Francisco del Tuppo n’eut pa
librement au travail, entrer dans le monastère de sa ville natale. Il
paraît
qu’il avait formulé à cet effet une demande qui c
ntra directement dans l’ordre des chanoines de Saint-Augustin. Ce qui
paraît
dans tous les cas établi, c’est qu’il devint, en
uparius, poème en vers élégiaques. « Ce fragment, dit M. E. du Méril,
paraît
plus vieux au moins d’un siècle, et le dernier fe
re de l’Allemagne 485, le manuscrit de la bibliothèque de Berlin, qui
paraît
avoir été écrit en France en 1449, n’est point pa
our n’être plus que des imitations du texte primitif. C’est ce qui me
paraît
s’être produit pour le Romulus que j’ai maintenan
e bibliothèque. D’abord, quoique du même siècle, le manuscrit 901 m’a
paru
un peu plus ancien. Ensuite, quoique ne comprenan
copiste, et, par suite, il est dénué de valeur philologique. Aussi me
paraît
-il très suffisant de l’avoir déjà édité dans ma p
ième du livre II. Au contraire, dans toutes les collections qui m’ont
paru
directement nées du Romulus primitif, elle appart
ils se composaient, il dressa la liste de ceux dont l’acquisition lui
paraissait
intéressante. Mais, comme il était impossible d’e
antes de son manuscrit, les fables de Romulus telles qu’elles avaient
paru
dans la vieille édition d’Ulm. Schwabe, tirant du
criture dans la cote Y. 9 encore apparente qu’il y avait inscrite. Il
paraît
qu’après la mort du fils de ce savant antiquaire
nt d’une fable inachevée qui, manquant complètement dans l’autre, m’a
paru
être une addition de copiste et ne devoir pas êtr
né à se servir des travaux du complaisant abbé De la Rue. Il m’a donc
paru
prudent de demander aux manuscrits la solution de
qu’ils m’ont semblé lui donner raison. J’en ai compulsé plusieurs qui
paraissaient
contenir 104 fables ; tels sont, par exemple, les
se trouvent pas dans les autres manuscrits, et que M. de Roquefort ne
paraît
pas avoir connus et tout au moins, malgré leur an
plus loin, page 749. C. Manuscrit 1822. Le manuscrit 1822, qui
paraît
avoir appartenu à Colbert et qui avant la classif
que le relieur a ajoutés en tête du volume, on lit cette mention, qui
paraît
y avoir été inscrite par M. Michelant, quand il é
ause de la division en deux parties de la fable du Prêtre et du Loup,
paraît
être de 67, mais en réalité n’est que de 66. Il s
, 48, 54, 60 à 65, 73, 76 à 95 et 97 à 103. Quoique aucun feuillet ne
paraisse
manquer à la fin, elles ne sont pas suivies de l’
ême, à cause de la division en deux de la fable du Prêtre et du Loup,
paraissent
être au nombre de 104, débutent au haut du feuill
, mais un dérivé partiel du Romulus anglo-latin, en revanche il ne me
paraît
pas possible de le considérer avec lui comme un a
n’est pas un simple fragment d’une imitation plus complète. Ce qui me
paraît
fortifier cette supposition, c’est l’ordre même d
es fables serait dans le dérivé le même que dans le modèle. Or, il ne
paraît
pas en être ainsi. Sans doute le Romulus anglo-la
de l’autre, il n’était pas aussi aisément lisible, et M. Robert, qui
paraît
avoir manqué des notions paléographiques les plus
’est à lui que revient l’honneur d’avoir le premier songé à les faire
paraître
. Seulement, au lieu d’en faire une édition complè
dont les feuillets sont en papier et dont l’écriture à longues lignes
paraît
être de la fin du xive siècle. Il renferme plusi
. Quant à celui des deux qui a été copié sur l’autre, le doute ne me
paraît
pas davantage possible ; c’est celui qui porte la
la nomenclature précédemment établie, portent les nos 7 et 60. Il me
paraît
évident que c’est intentionnellement qu’elles ont
au feuillet 145 a, les fables elles-mêmes de ce Dérivé. Ces dernières
paraissent
avoir été copiées sur un manuscrit plus pur, ou,
es ; néanmoins, comme c’est toujours le manuscrit de Bruxelles qui me
paraît
renfermer le texte le plus conforme aux leçons pr
st ni celui du Dérivé complet, ni celui du Romulus primitif, mais qui
paraît
issu de ce dernier, je les publierai dans le seco
lles bien dérivées du Romulus de Nilant ? À cet égard, le doute ne me
paraît
pas possible. On se rappelle que le Romulus de Ni
erminer approximativement l’époque à laquelle il a été composé. Il me
paraît
supposable qu’il a été écrit fort peu de temps ap
orter à s’écarter de son modèle, à savoir l’esprit religieux, dont il
paraît
avoir été profondément pénétré, et qui, dès le dé
rmation, il ne peut exister de doute sur l’origine de l’œuvre : il me
paraît
certain que c’est le texte du Romulus de Nilant q
aux autres. Où les a-t-il trouvées ? Pour deux je l’ignore. Ce qui me
paraît
constant, c’est que dans leur forme prosaïque les
e ne connaisse aucun autre exemplaire complet de la même œuvre, il me
paraît
très certain que le manuscrit du British Museum n
M. Gaston Paris m’a appris que je m’étais trompé. Elles ont en effet
paru
, en 1842, dans le huitième volume de la collectio
eule et même fable ils aient eu recours à plusieurs textes. Ce qui me
paraît
beaucoup plus vraisemblable, c’est que, si l’on r
s s’explique sur son origine : « Que Guido soit né à Arezzo, cela ne
paraît
pas pouvoir être mis en doute ; car cinquante-tro
iothèque Albertine possède un exemplaire des fables de Romulus qui me
paraît
bien se rapporter à cette édition ; mais je n’ose
de citer ici les Codices manuscripti latini bibliothecæ Nanianæ, qui
parurent
en 1776. C’est dans cet ouvrage (p. 152 à 153) qu
158 à 163. 490. L’auteur, p. 75, s’exprime ainsi : « Cette rédaction
paraît
différer de celles que M. Léopold Hervieux a fait
fois que son Destin vient l’exposer à la lumiere du jour. Mais il n’y
parût
jamais si magnifique, ny si pompeux qu’en cette E
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