le premier sans date, le second portant le millésime de 1603, on lit,
page
1111, nº 3 : D. PHEDIMO. VESTITORI. M AVG PHAEDE
aires l’établissent. Dans les Inscriptiones antiquæ de Gruter on lit,
page
352, nº 4 : ANEROS. ASIATICVS. VI. VIR SIBI. ET.
SIBI. ET. VALERIAE. Ɔ. L. TRYPHERAE VXORI, ET. PHILETO. LIBERTO et
page
677, nº 2 : TI. CLAVDI. PHILETI V. A. VI. M. III
LETVS. M. AEMILIVS C. AQVILIVS. M. CAELIVS CLAVDIVS FILINVS62 puis,
pages
345, nº 3, et 346, nº 2 : ET. FILETVS. ACTOR pa
ILINVS62 puis, pages 345, nº 3, et 346, nº 2 : ET. FILETVS. ACTOR
page
728, nº 10 : PHILETVS. CVM. NIPHADE MATRE. FECIT
LETVS. ACTOR page 728, nº 10 : PHILETVS. CVM. NIPHADE MATRE. FECIT
page
1039, nº 1 : PHILETO. ET. MOSCHIDI Q. VOLSIVS. V
page 1039, nº 1 : PHILETO. ET. MOSCHIDI Q. VOLSIVS. VICTORINVS et
page
1093, nº 10 : PHILETVS. ET. FVSCVS. L. F. C. L
ici la description. Elle forme un petit volume in-12 de soixante-dix
pages
. Voici d’abord le titre que porte la première :
Typographus Regius, Anno CIƆ. IƆ. XCVL. Cum privilegio. La deuxième
page
est remplie par les vers suivants adressés à Pith
opus, et libertus iste Principis. Q. Sept. Florens Christianvs. Les
pages
3 et 4 sont occupées par une épître de Pithou à s
Septembres reb. prolatis, ann. CIƆ. IƆ. XCVI. » Vient ensuite, à la
page
5, un extrait de la préface mise par Avianus en t
quas rudi latinitate compositas elegis sum explicare conatus. » À la
page
6 se trouve ce passage de Priscien : « Prisciani
, et Macrob., lib. I, Comment. in Somn. Scip. » C’est seulement à la
page
7 que commence le texte de Phèdre. Il est précédé
berti fabvlar. aesopiarvm liber i. Il s’étend jusqu’au milieu de la
page
67 ; deux genres de caractères y ont été employés
les variantes du manuscrit, qui, quoique incomplètes, remplissent les
pages
68 et 69. Ces deux pages et la dernière ne sont p
t, qui, quoique incomplètes, remplissent les pages 68 et 69. Ces deux
pages
et la dernière ne sont pas numérotées. La page 70
es 68 et 69. Ces deux pages et la dernière ne sont pas numérotées. La
page
70 est consacrée au privilège dont voici la formu
e de M. l’abbé de Saint-Léger dans l’Année littéraire, 1787, t. VIII,
page
228. » Cet exemplaire de la première édition de
obæa sub Ciconiis MDCX. (Ces poèmes, qui remplissent les 67 premières
pages
, sont suivis de l’éloge de Henri IV par le même a
emières pages, sont suivis de l’éloge de Henri IV par le même auteur,
pages
68 à 85.) 2º Petrine Veletidoschii ; sacrorum lib
s. Sedani, apud Jacobum Salessium, 1602. (Cet opuscule, qui occupe 44
pages
, contient des poèmes latins, dont les sujets sont
tato, MDCVI. (C’est un petit poème en vers italiens, contenu dans six
pages
.) Les notes, mises en marge de l’édition de Phèdr
fac-simile. » Ce fac-simile a été pris sur la première moitié de la
page
70. Ce n’est pas sans intention que M. Berger de
rit. Là, en effet, existe une lacune, dont on ignore l’importance. La
page
commence par ce vers de la fable Leo regnans : P
ment chez l’imprimeur Ambroise Firmin-Didot en un volume in-8º de 268
pages
. La même année, au mois de décembre, M. Daunou, d
dans les mots où nous n’en mettons pas, comme ammonere pour admonere,
page
39 du manuscrit, ammirans pour admirans, page 44
ammonere pour admonere, page 39 du manuscrit, ammirans pour admirans,
page
44 du manuscrit, sumtus au lieu de sumptus, etc.
bles de Phèdre n’occupent que les 38 premiers, qui sont numérotés par
pages
, c’est-à-dire sur le recto et le verso. Les autre
de l’ouvrage. Quant à ce prétendu feuillet déchiré, après la dernière
page
, voici la phrase de Pithou : “Post hanc postremam
tait un feuillet blanc, et voici pourquoi. « Il semble, à la dernière
page
, que le calligraphe ait espacé davantage les mots
t espacé davantage les mots, afin de faire arriver jusqu’au bas de la
page
ce qui lui restait à copier. Il a même laissé en
u plutôt l’intention de l’espacer davantage, afin de remplir toute la
page
. » M. Berger de Xivrey fait remarquer que la div
t exactement copié. Ces papiers mêmes forment, dans leur longueur, la
page
écrite. Que ne puis-je, monsieur, vous donner des
cune. Alors que le premier livre des fables commençait à la troisième
page
de l’exemplaire de la veuve Brocas, Dom Vincent n
tes écrites de sa main, il s’aperçut de son omission, et au bas de la
page
3, sur laquelle commençait le livre I, il écrivit
é dans le temps, et je ne sais comment, de vérifier ce prologue et la
page
suivante. » Il y a donc là une lacune qui porte s
es deux manuscrits, il a eu soin de la faire précéder dans ses notes,
page
223, de cette mention : MS. Rem. et Pith. Sans
était. Dans une note manuscrite par lui placée au bas de la troisième
page
de l’exemplaire de la veuve Brocas, où commence l
anuscrit de Pithou, les lacunes du texte ne correspondaient pas à des
pages
arrachées, et qu’enfin, ainsi que l’atteste Dom V
ite, j’étais à la bibliothèque. Le manuscrit m’attendait, ouvert à la
page
où commençaient les fables de Phèdre. § 2. — D
illet 17 et le recto du feuillet 18, c’est-à-dire les trois premières
pages
. Ces trois pages ne contiennent que huit fables d
cto du feuillet 18, c’est-à-dire les trois premières pages. Ces trois
pages
ne contiennent que huit fables du premier livre ;
ts : Phedi Aug. Liber. L. Œsophiarum Incip. feliciter. La première
page
se termine par ce vers de la fable Cervus ad font
ad fontem : Utilia mihi quam fuerint quæ despexeram, et la deuxième
page
par cet autre de la fable Mulier parturiens ad vi
m : Onus naturæ melius quo deponeret. Le reste remplit la troisième
page
. Les vers, dont les manuscrits de Pithou et de R
un grattage qui le rend illisible. Cette prière remplit la quatrième
page
et le commencement de la cinquième. En voici les
la pensée du moine à qui il est dû, il a servi à utiliser la dernière
page
qui autrement serait restée blanche. Enfin, un pe
at in-4º, dont les feuillets sont en papier et qui ne contient que 44
pages
d’écriture. On y trouve onze extraits empruntés a
rande partie, à l’aide des manuscrits qui en provenaient. En effet la
page
10 porte la date de 1560, et, sur les pages 33 à
n provenaient. En effet la page 10 porte la date de 1560, et, sur les
pages
33 à 35 a été transcrit le fragment des fables de
. Au commencement et à la fin, Perotti avait laissé blanches quelques
pages
, destinées à d’autres fables qu’il se proposait d
e catalogue157 de ce fonds imprimé à Oxford en 1806, cette copie à la
page
84 est mentionnée en ces termes : N. Perotti Epit
ire les nouvelles fables. Gargiulli avoit à peine copié les premières
pages
, que j’entre par hasard dans la bibliothèque. Je
s nouvelles que contenait le manuscrit. C’est une édition in-8º de 23
pages
, sans l’épître et sans l’index. On lit au frontis
s trois dissertations furent remplacées par un avertissement en trois
pages
écrit à la Bibliothèque même, et daté des ides de
mprimaient, quand apparaît, lecteur, une brochure de quelques petites
pages
qui contenaient ces mêmes fables publiées par J.-
ie de Phèdre, dissertation savante et consciencieuse, qui sur les 296
pages
du volume en occupait 62. Mais il y avait autre c
sur la vie de Phèdre ne venait elle-même qu’après une préface en huit
pages
, écrite encore à la bibliothèque et datée des cal
t de découvrir une nouvelle brochure de Cassitto ; composée de quatre
pages
, elle apportait de nombreux changements à ses pre
dont j’ai déjà donné l’analyse. Elles formaient un grand in-8º de 323
pages
, en tête duquel on lisait : In Perottinum codice
ographia. Cette édition était précédée d’un avis au lecteur en cinq
pages
, écrit comme les précédents à la Bibliothèque roy
ppris que Cassitto préparait une troisième édition d’une vingtaine de
pages
de petit format, dans la préface de laquelle son
il avait pu s’assurer de l’exactitude de cette nouvelle par quelques
pages
imprimées qui lui en avaient été apportées et qui
semble : 1º Le texte de la première édition de Cassitto publiée en 23
pages
à la fin de l’année 1808 ; 2º Le texte de son éd
1808 ; 2º Le texte de son édition imprimée en 1809 et publiée en 287
pages
aux ides de février 1811 ; 3º Le texte de la deux
r 1811 ; 3º Le texte de la deuxième édition de Cassitto, publiée en 4
pages
aux nones de février 1811. Désirant, sans tomber
vtr. Siciliae. Cette troisième édition forme un volume in-8º de 274
pages
, qui sont chiffrées par trois séries de numéros e
et que, malgré l’affirmation formulée par Cassitto dans sa Mantissa,
page
14, quelques heures étaient absolument insuffisan
de ces altérations et de ces retouches, que, dans ses Scholies, à la
page
86, Cassitto, calomniant son rival, lui imputait
précédé d’une préface et des documents de l’enquête qui occupent huit
pages
, se compose en outre de cent vingt pages consacré
l’enquête qui occupent huit pages, se compose en outre de cent vingt
pages
consacrées à quinze conversations, dans lesquelle
en ma possession un exemplaire de chacune d’elles. La première, en 42
pages
sans la préface, ne porte que le texte latin des
arisiis, | apud Ant. Aug. Renouard. | M.DCCC.XII. La préface en cinq
pages
est signée de Renouard. Les fables sont suivies d
t sous ce titre : Perottini codicis scriptura. La deuxième, en 194
pages
sans la préface et la vie de Phèdre en latin qui
n donnée par les soins de M. Chambry. » La troisième édition, en 228
pages
sans compter la dédicace à M. le baron de Pommere
re, que j’ai entre les mains, de l’édition Petronj, se trouve, sur la
page
blanche en regard du titre, une note manuscrite a
le format in-folio, fut immédiatement publiée. Elle se compose de 80
pages
consacrées, savoir : les pages 1 à 42 au texte la
atement publiée. Elle se compose de 80 pages consacrées, savoir : les
pages
1 à 42 au texte latin, les pages 43 à 78 à des no
de 80 pages consacrées, savoir : les pages 1 à 42 au texte latin, les
pages
43 à 78 à des notes extraites de celles de Jannel
78 à des notes extraites de celles de Jannelli et de Cassitto, et les
pages
79 à 80, à la table des matières. Le tout est pré
pages 79 à 80, à la table des matières. Le tout est précédé de douze
pages
numérotées en chiffres romains, contenant le fron
n-folio, assez mal imprimée d’ailleurs et composée seulement de douze
pages
. Sur la première on lit : Q. D. B. V. | Novi |
Puis, comme en Italie, fut publiée une édition courante, in-8º, de 46
pages
, qui ne contenait que le texte latin et en tête d
loppée en rayonnant ensuite, de manière à laisser au milieu de chaque
page
une empreinte demi-circulaire, sous laquelle l’en
l’examiner longtemps pour se convaincre que c’est un autographe. Les
pages
blanches, qui se trouvent tant à la suite de l’in
la suite de la première. Il est probable aussi que les trente-quatre
pages
, laissées en blanc à la fin, n’existeraient pas d
s, des oiseaux et des animaux plus ou moins sauvages. Sur la première
page
sont dessinés sept cercles fort enluminés. Ils en
a cause en est imputable au chagrin qui fait couler ses larmes sur la
page
et qui paralyse ses facultés de calligraphe. En 1
our M. de Foncemagne. Ce fac-similé, attaché par un fil à la première
page
d’un exemplaire du Phèdre de Rigault imprimé par
ait la mise en action est absente. Le manuscrit de Pithou offrait des
pages
déchirées au milieu et à la fin. En manquât-il se
769, 1775 Venetiis, Remondini, 1815 Venetiis, Bernardi). In-18 de 232
pages
, précédées de 5 feuillets non paginés contenant u
elli. Patavii, apud Joannem Manfrè. Superiorum permissu. In-12 de 241
pages
numérotées, précédées de 10 non numérotées et sui
numérotées, précédées de 10 non numérotées et suivies de 3 dernières
pages
occupées par l’Index. 1732. Phædri Augus
Sententiis aucta. Parisiis, sumptibus Fratrum Barbou. In-12 de vi-162
pages
. 1741. Phædri Augusti Liberti Fabularum
netiis, Apud Simonem Occhi. Superiorum facultate (1780). In-18 de 132
pages
chiffrées, ne contenant que le texte de Phèdre.
ccesserunt notæ ad calcem. Lugduni, apud fratres Perisse. In-12 de 86
pages
précédées de 8 pages non numérotées. 1765.
lcem. Lugduni, apud fratres Perisse. In-12 de 86 pages précédées de 8
pages
non numérotées. 1765. Phædri fabulæ. P.
de-Dôme). Riom et Clermont, Landriot et Rousset, an VII. In-12 de 203
pages
. Phædri Augusti liberti fabularum libri V, ex re
rum. Mediolani, Apud Jacobum Agnelli Successorem Marelli. In-12 de 96
pages
contenant les fables anciennes de Phèdre et les c
onem Occhi. Superiorum facultate. (Florence 1834, 1855). In-24 de 144
pages
, contenant le texte de Phèdre, un Index præcipuor
Editio L exemplarium. Neapoli, Dominicus Sangiacomo. In-8º de 8 et 23
pages
. 1809. Codex Perottinus MS. regiæ biblio
eapoli, typis Dominici Sangiacomo. Præsidum venia. In-8º de 64 et 296
pages
. Julii Phaedri Aug. Lib. Fabvlae ineditae xxxii
CIƆ IƆ CCCXI. Ex officina Monitoris vtr. Siciliæ. In-8º de 75-92-107
pages
, comprenant : 1º Cassittus lectori (p. 3 à 5), In
itanæ, cum notis. Mediolani, typis F. Fusii et socior. In-folio de 80
pages
. Phædri fabellæ novæ duo et triginta ex codice P
urmanni emendationibus. Ex officina Caroli Schlotteri. In-folio de 12
pages
. Noviter detectæ Phædri fabulæ triginta ex manusc
recusæ. Stuttgartiæ et Tubingæ, apud J. G. Cottam (1834). In-18 de 46
pages
. Julii Phædri Fabulæ novæ et veteres : novæ, jux
s Theophilus Anton. Zittaviæ et Lipsiæ, Schöps. In-8º de xxxiv et 148
pages
. Phædri Augusti liberti fabularum libri V, ex re
m. Tavrini, Ex typographia regia. Cum Privilegio (1838). In-18 de 140
pages
. 1829. Phædri Aug. lib. fabulæ. Nova edi
cum notulis variorum. Florentiæ, ex typis Borghi et soc. In-12 de 255
pages
contenant la vie de Phèdre par Schwabe et le text
. Orellio. Turici, typis Orellii, Fuesslini et sociorum. In-8º de 243
pages
. Classicorum auctorum e Vaticanis codicibus edito
mum editis. Turici, typis Orellii, Fuesslini et sociorum. In-8º de 60
pages
. 1833. Phædri Aug. lib. Fabularum libri
cholarum piarum. Florentiæ, typis calasanctianis (1855). In-12 de 144
pages
, contenant les fables anciennes de Phèdre, une pa
Avgvstæ Tavrinorvm, ex typis Josephi Pomba. In-8º grand format de 466
pages
, qui, n’étant que la réimpression partielle de la
. Alber Ghetti e C., Prato, tipografia Aldina (1853). In-8º de li-152
pages
contenant une dissertation en langue italienne su
, 1866, 1867, 1869, 1871, 1874, 1880, 1882, 1885, 1887). In-12 de 164
pages
. 1853. Ausgewählte Fabeln des Phædrus erk
lingua. Seconda edizione. Torino, Dalla stamperia reale. In-8º de 107
pages
, contenant le texte latin de Phèdre divisé en 3 l
formularum. Brixiæ, typis Petri L. Gilberti bibliopolæ. In-12 de 112
pages
numérotées, suivies de 4 pages intitulées : Indic
i L. Gilberti bibliopolæ. In-12 de 112 pages numérotées, suivies de 4
pages
intitulées : Indice. 1855. Phædri fabula
ane per cura di Carlo Gatti. Firenze, Felice Le Monnier. In-8º de 103
pages
ne renfermant que les fables anciennes. Phædri f
rnèbe. Paris, J. Delalain (1864, 1867, 1871, 1874, 1876). In-24 de 96
pages
. 1861. Phædri Aug. lib. fabularum libri
M. Morand. Limoges et Isle, Martial Ardant frères. In-32 de viii-254
pages
. 1862. Phædri fabulæ Æsopiæ, cum notis.
ravia e comp. Editori-librai, Roma-Torino-Milano-Firenze. In-8º de 96
pages
contenant les fables anciennes et vingt-deux des
le da G. Rigutini. In Firenze, G. C. Sansoni editore. In-16 de xii-87
pages
. 1883. Phædri Augusti liberti Fabularum
tion publique. Paris, impr. et libr. Delalain frères. In-18 de xvi-76
pages
. 1884. Fables choisies de Phèdre. Nouvell
nd à Auteuil. Paris, lib. Gaume et Cie (1885), In-18 jésus de ix-144
pages
. 1887. Le poesie di Fedro publicate per c
to. Bologna, Società tipografica Azzoguidi. In-8º grand format de 139
pages
, contenant : 1º Studio sulla favola di Fedro (pag
and format de 139 pages, contenant : 1º Studio sulla favola di Fedro (
pages
7 à 95) ; 2º Le Poesie, comprenant seulement une
; 2º Le Poesie, comprenant seulement une partie des fables anciennes (
pages
97 à 138). Section II. Éditions des traductio
on, chez F. Larchier, proche l’hôpital. Avec Permission. In-12 de 153
pages
, suivies de 6 pages de table non numérotées. Les
, proche l’hôpital. Avec Permission. In-12 de 153 pages, suivies de 6
pages
de table non numérotées. Les Fables de Phèdre aff
oine Molin, vis-à-vis le grand Collège. Avec permission. In-12 de 153
pages
, suivies de 6 pages de table non numérotées. Réim
s le grand Collège. Avec permission. In-12 de 153 pages, suivies de 6
pages
de table non numérotées. Réimpression de la précé
e de novo reficta. Hagæ Comitum, apud Petrum Gosse. In-12 de xxiv-274
pages
, contenant une préface, la vie de Phèdre, les jug
le. Avec des remarques… A Paris, chez Paul Denis Brocas. In-12 de 467
pages
, précédées de 12 feuillets non chiffrés. 1775
Saint-Jean d’Angely). Saint-Jean d’Angely, Sandeau. In-8º de xii-112
pages
. 1860. Traduction en vers français de
ti, par M. J. H. Rossand. Saint-Étienne, Théolier (1858). In-8º de 46
pages
. 1869. Fables de Phèdre. Traduction e
remière partie : livres I et II. Château-Thierry, Renaud. In-16 de 86
pages
. 1875. Fables de Phèdre, latin-frança
ebobe, ancien professeur. Paris, Jules Delalain et fils. In-12 de 148
pages
. 1878. Les auteurs latins expliqués,
s. Phèdre, Fables. Paris, librairie Hachette et Cie . In-12 de iv-236
pages
. 1880. Fables de Phèdre, traduites en
en vers libres par Léopold Hervieux. Paris, E. Dentu. In-18 de l-258
pages
. 1883. Fables classiques de Phèdre, v
d’institution. Paris, librairie Didier et Cie . In-18 jésus de xix-67
pages
. § 2. — Traductions allemandes. 1791.
Napoli, Societa della bibliotheca Latina Italiana). In-8º de xvi-237
pages
, contenant, pages 2 à 145, les fables anciennes d
ella bibliotheca Latina Italiana). In-8º de xvi-237 pages, contenant,
pages
2 à 145, les fables anciennes de Phèdre et les ci
tituées par Gude, avec la traduction en vers italiens en regard : Les
pages
146 à 229 sont occupées par un Index vocabulorum,
: Les pages 146 à 229 sont occupées par un Index vocabulorum, et les
pages
230 à 237, par un Index fabularum. 1780.
n Napoli per Michele Morelli. Con Licenza de’ Superiori. In-8º de 229
pages
numérotées, suivies d’un errata de 3 pages non nu
e’ Superiori. In-8º de 229 pages numérotées, suivies d’un errata de 3
pages
non numérotées. Le volume comprend d’abord une ét
Ambrosii Majoris. Superiorum permissu. In-8º grand format de xxiv-431
pages
. 1798. Le Favole di Fedro in volgar p
lo. Edizione seconda. A Spese di Annania Coen di Reggio. In-16 de 148
pages
contenant, sous le texte latin, la traduction en
e des Fables de Phèdre et de celles restituées par Gude. Au bas de la
page
148 on lit : Parma ; Per i fratelli Gozzi. 18
i fratelli Gozzi. 1812. Traduction de Petronj, mentionnée
page
229 ci-dessus. 1817. Le Favole di Fed
Veneta. Bassano, dalla tipografia Remondini (1823). In-12 de xxiv-285
pages
, contenant le texte de Phèdre et des cinq fables
l professore Abate Cervelli. Milano, presso Gio-Pirotta. In-12 de 434
pages
, précédées de 12 pour le frontispice, l’avis au l
inizianio. Venezia, Coi tipi di Francesco Andreola. In-8º de xxiv-173
pages
contenant une Prefazione et la Vita di Fedro en i
nio Vicenzi. Modena, per gli eredi Soliani tip. reali. In-8º de x-246
pages
, contenant la traduction en vers italiens des fab
nico Vaccolini. Bologna, Tipografia di Giuseppe Tiocchi. In-12 de 146
pages
numérotées, contenant (p. 87 à 116) la traduction
ella, Presso Ignazio Feria librajo editore. Con permiss. In-12 de 130
pages
. 1851. Le Favole di Fedro volgarizzat
U Dubrovniku. S’do-pustjenjem starjescina. Godiscta. In-24 de xii-167
pages
contenant les Fables de Phèdre avec la traduction
est la dédicace de Romulus, qui occupe les six premières lignes de la
page
. La septième ligne commence par ces mots, qui, da
diacre Paul, auteur de l’hymne à saint Jean plus connue encore290. La
page
se termine par quelques maximes des sept Sages, e
cule placé sous ce titre a été publié dans le Jahrb. f. Philol. 1866,
pages
266 et s., par M. L. Müller, qui pour son édition
Ici se place une œuvre philosophique, qui occupe les trois premières
pages
du quaterne, et que le copiste a laissée incomplè
tum Moysen populo Dei precepta dantem , etc. Fol. xxxv b à xxxvi b. —
Pages
blanches. L’écriture de ce quaterne paraît étrang
opinioni eorum et consulendum fore existimavi, etc. Au bas de la même
page
on lit : Explicit prologus. Incipit liber eiusd
uvrage est entier ; il se termine au recto du fol. cvi. Fol. cvi b. —
Page
blanche. Dix-septième quaterne (Fol. cvii à cxiv
de ce fragment dans le Rheinisches Museum für Philologie, année 1867,
page
634. Fol. clviii a. — Liste des noms qui sont ceu
nachi. Au-dessous le même copiste a écrit, tant dans le milieu de la
page
qu’en marge, 60 noms de moines. Fol. cxc b à cxci
noms de moines. Fol. cxc b à cxci a initio. — La première de ces deux
pages
et le commencement de la seconde ne portent aucun
ntéressant également pour l’histoire de l’art. En tête de la première
page
, à gauche de la note de P. Petau, le copiste, qui
ffacées. Les fables se terminent au fol. cciii b vers le milieu de la
page
. Fol. cciii b à ccv b. — À la suite des fables, s
nnulos de sinistro. Fol. ccxii b. — Un dessin occupe cette dernière
page
. Au-dessus une main du xiiie siècle a écrit cett
ng, 1839 et 1843, in-8º. (Voyez le tome VII, p. 137, et le tome VIII,
pages
574 à 577.) 3º A. F. Naekius. — Carmina Valerii C
Ludovici Schopeni. Bonnæ, apud H. B. Kœnig, MDCCCXLVII, in-8º. (Voyez
pages
239 et 240.) 4º Lucien Mueller. — 1º Jahrbücher f
egeben von Alfred Fleckeisen. Zwölfter Jahrgang, 1866…, in-8º. (Voyez
pages
266 à 272.) — 2º Rheinisches Museum für Philologi
chl. Frankfurt a. M., J. D. Saverländer’s Verlag, 1867, in-8. (Voyez,
pages
500 à 509, l’étude intitulée : « Zu den versus Sc
o, einem Gedicht des Damasus und den äsopischen Fabeln Nilants », et,
pages
634 et suiv., l’étude sur le moine Théodore, inti
libellvs. Lipsiæ, in ædibvs B. G. Teubneri, A. MDCCCLXXV. In-8 (Voyez
page
33). 5º. O. Ribbeck. — P. Vergilii Maronis opera
ix Vergiliana. Lipsiæ, In ædibus B. G. Teubneri, MLCCCLXVIII. (Voyez,
pages
185 à 187, le petit poème en 25 vers intitulé Est
petit poème en 25 vers intitulé Est et non et notamment, au bas de la
page
185, une note dans laquelle l’éditeur, donnant la
bel im Mittelalter. Berlin, Weidmann, 1870, in-8º. (Voyez Einleitung,
pages
xviii à xxi.) 7º A. Riese. — Anthologia latina, s
ciculus II… Lipsiæ, in ædibus B. C. Teubner, MDCCCLXX, in-18. (Voyez,
pages
27 à 37, sous le nº 486, le petit poème de Remus
et Mensuris , édité d’après un manuscrit de Vienne, et, au bas de la
page
27, la note dans laquelle l’éditeur indique comme
ent il est intitulé dans le manuscrit Woss. in-8º 15. — Voyez encore,
pages
96 à 98, sous le nº 645, le petit poème Est et no
notamment d’après le manuscrit Woss. lat. in-fol. 111. — Voyez aussi,
pages
145 à 148, sous le nº 687, le petit poème intitul
eris et hiemis et édité d’après un manuscrit de Turin. — Voyez enfin,
pages
221 à 223, sous le nº 761, le poème De Sphera cœl
Frankfurt-am-Main, Verlag von Johann David Sauerländer, 1876 (Voyez,
page
100, les lignes relatives au manuscrit Woss. in-8
siæ, in aedibus B. G. Teubneri MDCCCLXXXIII. 5 vol. in-18. (Voyez les
pages
31 à 70 du tome V, qui contiennent les fables d’A
lication, les manuscrits Vossiani in-4º 86 et in-8º 15. — Voyez, à la
page
352 du même volume, le petit poème en 17 vers com
vers commençant par les mots Bis sena mensum , et, au bas de la même
page
, la note de l’éditeur qui expose que, dans le man
rologue. — Voyez enfin le petit poème de Sphera cœli, commençant à la
page
380 du même volume, au bas de laquelle on lit en
lers. Siebenter Band. Hannover, Hahn’sche Buchhandlung, 1882. (Voyez,
pages
630 à 637, la notice sur Saint-Éparche d’Angoulêm
17. Leo et Mus. 18. À la suite de ces 17 fables il y a plusieurs
pages
blanches qui montrent que le copiste avait l’inte
de la lettre A, et dont les autres sont numérotés de 1 à 123. Chaque
page
a 27 lignes, excepté quand il a été laissé entre
blir les ïambes primitifs, ainsi que Tross l’a démontré pratiquement,
pages
13 et 31. Les autres fables du manuscrit de Wisse
lettre A. Je passe aux feuillets numérotés. Fol. 1 a. — Au haut de la
page
le bibliothécaire Ebert a donné, de sa main, au p
60 b. — Grammatica quædam de octo vitiis. Fol. 60 b. — Le bas de la
page
porte, à l’encre rouge, en lettres capitales ce t
fabularum libri numero quinque. Deo gratias. Amen. Au bas de la même
page
, en lettres semblables écrites avec la même encre
ecinit | Salomon mira dulcedine librum. Fol. 82 b. — Au haut de la
page
, trouvant sans doute trop vague le titre qui préc
a. Fol. 98 b. — Le titre suivant a été écrit par Ebert au haut de la
page
: Anonymi liber de monstris, belluis, serpentibu
rtains animaux qui s’achève au fol. 108 b. Fol. 108 b. — Au bas de la
page
le traité De Monstris est annoncé par cette phras
cipit liber monstrorum de diversis | ge ne ri bus. Fol. 109 a. — La
page
est tout entière occupée par le prologue transcri
c la même encre en grosses capitales occupent la dernière ligne de la
page
. Fol. 116 a. — Table des 55 chapitres du deuxième
lluis. Fol. 120 b. — Fin du deuxième livre, terminé au milieu de la
page
par ces mots à l’encre rouge : Finit de belluis
d’aucune table. Fol. 123 b. — Fin du troisième livre, au milieu de la
page
, par cette souscription en grosses capitales roug
é De monstris, qui, tandis que, dans ce manuscrit, ils occupent trois
pages
, n’en remplissaient que deux dans celui de Pithou
c. Philippo Bergomate ordinis heremitarum , et il avait extrait de la
page
75 de ce livre le passage suivant : « Harum (c’es
dédicace, il n’en avait pas moins eu soin de la publier en note à la
page
65, et d’indiquer qu’elle était tirée du même man
iberinus, et que Nilant l’avait publiée lui-même dans la note B de la
page
65 de son édition322. La place même que Nilant av
nce, comme cela ressort nettement de la table que Roth a établie à la
page
545 de son ouvrage323. » Et plus loin M. Müller
écriture, admirablement nette, est sur vélin, et se divise sur chaque
page
en deux colonnes. Il n’y a que dix feuillets. Les
ur les feuillets qu’elles occupent. Puis, tant en marge qu’au bas des
pages
, elles ont été encadrées dans celles du Romulus o
ques de grosse dimension, de sorte que le nombre des lignes de chaque
page
descend jusqu’à trente et un, est le plus souvent
nsi : Incipit registrū capitulorū tercij libri esopi. Au-dessous la
page
finit par ce titre de la première fable : Fabula
dans les éditions de Sorg. Il y a dans la vie d’Ésope 42 lignes à la
page
. Fol. 21 a (c. vii a). — Registrum fabularum Eso
rcii libri Esopi. La table du livre III n’occupe que la moitié de la
page
. Puis commencent les fables, dont la première, au
es intercalées dans le texte ou mises à la suite de chaque fable. Aux
pages
occupées par les fabulæ extravagantes les titres
s le nº 327 est bien celle que j’analyse ici. Les titres courants des
pages
occupées par les 17 fabule noue présentent, comme
des pages occupées par les 17 fabule noue présentent, comme ceux des
pages
précédentes, quelques erreurs typographiques. Le
fabulæ novæ. Elles sont suivies d’une table qui commence sur la même
page
et qui est intitulée : Registrum fabularum predi
tte souscription finale : Finis diuersarum fabularum. À la dernière
page
(q. viii b), comme dans les éditions plus ancienn
et l’un de l’autre : mais la différence est due à une interversion de
page
qui s’est produite au tirage de l’exemplaire 167.
e au tirage de l’exemplaire 167. F. 12. La composition de la dernière
page
de la vie d’Ésope a été imprimée sur le verso du
sition destinée au verso du fol. c. ii a été imprimée sur la dernière
page
de la vie d’Ésope. Il s’ensuit que l’exemplaire d
s mots : Incipit prologus in speculum stultorum , et qui sur la même
page
est suivi de cette souscription : Explicit prolo
, mais encore dans chaque édition la même commence et finit aux mêmes
pages
. Enfin les deux éditions présentent les mêmes par
ande, et par suite, tandis que la seconde n’a que 41 ou 42 lignes par
page
, on en compte jusqu’à 44 dans la première. Les gr
oursuis mon analyse. Fol. i b. — Portrait d’Ésope qui occupe toute la
page
. Il est entouré, sous forme d’arabesque, d’un enc
ite. On rencontre de nombreuses erreurs dans les titres courants des
pages
qu’occupent les fables de Romulus. Ainsi au verso
80 b. — Registrum fabularum predictarum extrauagantium. Sur la même
page
commencent les dix-sept fables traduites par Ranu
r fabule noue Esopi ex translatione Remicii. Les titres courants des
pages
qu’elles occupent offrent de nombreuses fautes :
datées. 4º Édition de Gérard Leeu de 1486. Si l’on ouvre, à la
page
444, le premier volume de l’ouvrage de Panzer, on
her Zainer forme un volume in-fol. de 167 feuillets de 36 lignes à la
page
, sans lieu, date, ni nom d’imprimeur, et avec les
gismonde341. Voici au surplus l’analyse de leur contenu : Fol. 1 a. —
Page
blanche. Fol. 1 b. — Gravure sur bois représentan
En voici le contenu : Fol. 1 b. — Portrait d’Ésope occupant toute la
page
. Fol. 2 a. — Vita Esopi fabulatoris clarissimi e
ois. En voici l’analyse : Fol. 1 b. — Portrait d’Ésope remplissant la
page
entière. Fol. 2 a à 37 b. — Vie d’Ésope, dont la
orme un volume in-fol. de 115 feuillets, qui a de 43 à 44 lignes à la
page
, qui est imprimé en caractères gothiques et qui e
té de gravures sur bois. Voici le détail de son contenu : Fol. 1 a. —
Page
blanche. Fol. 1 b. — Portrait d’Ésope aussi grand
1 a. — Page blanche. Fol. 1 b. — Portrait d’Ésope aussi grand que la
page
. Fol. 2 a. — Hye hept sich an das buch vnd leben
composé de 151 feuillets, imprimé en caractères gothiques, disposé en
pages
de 34 à 36 lignes et illustré de gravures sur boi
Le verso du feuillet 1 est rempli par une gravure qui occupe toute la
page
et qui représente la Vierge et l’Enfant-Jésus ave
f, imprimée dans le format in-4º en 1545. Le volume, numéroté non par
page
, mais par feuillet, comprend clxxiiii feuillets c
titre est le portrait en pied d’Ésope qui occupe les deux tiers de la
page
. Au verso du feuillet clxxiiii on lit : Zu Fribu
res qui me permettent d’en donner le signalement. Les douze premières
pages
comprennent d’abord le titre, ensuite les deux pr
la vie d’Ésope et les diverses collections de fables. Sur la première
page
du volume se trouve le titre ainsi conçu : Esopu
rs S. Brant… mit schönen figuren , etc. Ce titre, placé au bas de la
page
, est surmonté d’une gravure sur bois, qui représe
N 1, un exemplaire de l’édition de 1586. C’est un volume in-12 de 400
pages
, imprimé en caractères gothiques. Le titre qui se
fabeln und Trempeln Doctors Seba-|stian Brand , etc. Le centre de la
page
est occupé par une gravure sur bois qui représent
t zu Frankfurt am Mayn | M. D. LXXXVI. Voici le contenu du volume :
Pages
1 à 64. — Vie d’Ésope. Pages 65 à 151. — Fables d
. LXXXVI. Voici le contenu du volume : Pages 1 à 64. — Vie d’Ésope.
Pages
65 à 151. — Fables de Romulus. Pages 152 à 194. —
e : Pages 1 à 64. — Vie d’Ésope. Pages 65 à 151. — Fables de Romulus.
Pages
152 à 194. — Dix-sept fables, dites Alte fabeln.
es de Romulus. Pages 152 à 194. — Dix-sept fables, dites Alte fabeln.
Pages
194 à 205. — Dix-sept fables, dites Neuwe fabeln.
Alte fabeln. Pages 194 à 205. — Dix-sept fables, dites Neuwe fabeln.
Pages
206 à 320. — Fables de Sébastien Brant. Pages 321
es, dites Neuwe fabeln. Pages 206 à 320. — Fables de Sébastien Brant.
Pages
321 à 347. — Fables d’Avianus. Pages 348 à 390. —
20. — Fables de Sébastien Brant. Pages 321 à 347. — Fables d’Avianus.
Pages
348 à 390. — Vingt-trois fables, dites Gesamlete
ianus. Pages 348 à 390. — Vingt-trois fables, dites Gesamlete fabeln.
Pages
391 et suivantes. — Table des matières. Au bas du
fut publié, à Bâle, en 1676, une autre formant un volume in-8º de 452
pages
chiffrées, précédées de quatre feuillets et suivi
une gravure qui représente Ésope revenant du marché, et au bas de la
page
le lieu et la date sont indiqués en ces termes :
1 b. — Répétition du même portrait. Fol. 2 a. — Le commencement de la
page
est occupé par un nouveau titre général ainsi for
Du cocq et du regnard et des chiens. Fol. s. x b. — Au milieu de la
page
on lit cette souscription : Cy finissent les sub
res d’une forme grossière, à longues lignes, au nombre de 41 dans les
pages
qui sont entières, avec des figures en bois nombr
77 ff. non chiffrés, imprimé à longues lignes au nombre de 39 sur les
pages
pleines, avec des signatures de Aiij à Kiij. Le t
e trait ; elles sont nombreuses, et paroissent sur presque toutes les
pages
. Les dessins en sont curieux, et pour la plupart
e un petit volume in-12 imprimé en caractères de civilité, existe une
page
blanche sur laquelle a été écrite au crayon la me
lume n’est pas paginé ; il est signé de a à m. En tête de la première
page
se trouve un titre ainsi conçu : Les | fables et
ites de nouueau en fran|coys selon la véritable | . Le milieu de la
page
est occupé par une vignette, et au bas on lit :
, éditée à Londres, dans le format in-12. Elle forme un volume de 214
pages
numérotées, précédées d’un feuillet pour le front
cutée par le même imprimeur que la précédente. Elle se compose de 182
pages
chiffrées, non compris un premier feuillet pour l
tes, une nouvelle réimpression, composée, comme celle de 1647, de 182
pages
chiffrées, non compris le premier feuillet consac
et J. Churchil, and J. Hindmarsh, 1692. Le volume se compose de 480
pages
numérotées, précédées de 7 feuillets, dont le pre
e, comme la première, dans le format in-fol. ; elle se compose de 476
pages
chiffrées, que précèdent six feuillets contenant
’objet d’une quatrième réimpression, qui forme un volume in-8º de 550
pages
numérotées, précédées de six feuillets et suivies
ression de l’édition Lestrange sous la forme d’un volume in-8º de 550
pages
chiffrées, précédées de huit premiers feuillets e
euillets, imprimé en caractères gothiques à longues lignes de 40 à la
page
, non chiffré, mais pourvu de signatures et orné d
Au-dessous gravure sur bois représentant Ésope en pied. Fol. 1 b. —
Page
blanche. Fol. 2 a, col. 1. — Répétition du titre
CC. en̄ xcviij. den xxvij. | dach inden april. Fol. 99 b à 100 b. —
Pages
blanches. J’ai trouvé deux exemplaires de cette r
spagnol des fables à la fin desquelles, vers le milieu de la dernière
page
, on lit cet avis : A qui se acaban las fabulas d
, qui, seulement au nombre de 22, sont arrêtées au bas de la dernière
page
par cette mention : Aqui se acaba el libro del y
esu xp̄o mill CCCC, xcvj. a. xxij. de agosto. Ensuite viennent cinq
pages
consacrées à la table des matières et un dernier
igure la maxime suivante : Res parva crescunt concordia. Au bas de la
page
on lit : Vendense en Enueres por Juan | Steelsio
été imprimée par le fameux Plantin. Elle forme un volume in-12 de 384
pages
. Page 1. Frontispice. La vida | y | fabvlas | d
rimée par le fameux Plantin. Elle forme un volume in-12 de 384 pages.
Page
1. Frontispice. La vida | y | fabvlas | del | E
tros sa-|bios fabuladores. Au-dessous de ce titre et au centre de la
page
est une vignette représentant entre autres choses
Labore et Constantia. Plus bas : En la oficina Plantiniana | 1607.
Page
3. Prologo | Al Lector. Page 8. Lo que en est
: En la oficina Plantiniana | 1607. Page 3. Prologo | Al Lector.
Page
8. Lo que en este Libro se contienē, es los segu
io. Las Fabulas de Auieno. Las Fabulas collectas de muchos Autores.
Page
9. La vida | de | Esopo. Page 86. A qui se ac
bulas collectas de muchos Autores. Page 9. La vida | de | Esopo.
Page
86. A qui se acaba la vida de Esopo. Page 87.
La vida | de | Esopo. Page 86. A qui se acaba la vida de Esopo.
Page
87. Las Fabulas de Esopo. Ces fables, quoiqu’el
sa dédicace ni divisées en quatre livres. Elles sont au nombre de 80.
Page
187. A qui se acaban las Fabulas de Esopo. Pag
t au nombre de 80. Page 187. A qui se acaban las Fabulas de Esopo.
Page
188. Las | Fabulas | extrauagantes comiençan en
Page 188. Las | Fabulas | extrauagantes comiençan en esta orden.
Page
242. A qui acaban las Fabulas extrauagantes. P
en esta orden. Page 242. A qui acaban las Fabulas extrauagantes.
Page
243. Algunas | Fabulas | del Esopo, | de la trad
243. Algunas | Fabulas | del Esopo, | de la traducion de Remicio.
Page
268. Las | Fabulas | de | Auieno. Page 308. L
la traducion de Remicio. Page 268. Las | Fabulas | de | Auieno.
Page
308. Las | Fabulas | collectas | de muchos autor
ombre des fables est absolument identique à celui de l’édition d’Ulm.
Page
384. Fin. Des exemplaires de l’édition de Plantin
a Puerta del Angel. Cette édition consiste dans un vol. in-8, de 373
pages
numérotées, précédées de 5 feuillets et suivies d
-8, de 373 pages numérotées, précédées de 5 feuillets et suivies de 9
pages
de table non numérotées. Il en existe un exemplai
Barceló Estamper. Cette édition consiste dans un volume in-8 de 343
pages
numérotées, précédées de 4 feuillets et suivies d
n-8 de 343 pages numérotées, précédées de 4 feuillets et suivies de 9
pages
de table, non numérotés. Il en existe un exemplai
encias necesarias. Cette édition consiste dans un volume in-8 de 364
pages
numérotées, suivies de 4 pages de table non numér
on consiste dans un volume in-8 de 364 pages numérotées, suivies de 4
pages
de table non numérotées. Il en existe un exemplai
arco Lopez. Cette édition forme un volume in-8º, composé de xxiv-352
pages
et orné de gravures362. Chapitre II. Dérivé
Le Catalogue des manuscrits de cette Bibliothèque mentionne, T. II,
page
420, sous la cote Ff. III. 22 substituée au nº 12
n-folio, à 2 colonnes de 66 lignes chacune sans gardes, signatures ni
pages
numérotées. Il est imprimé en lettres rondes tira
Un volume du grand format in-folio à deux colonnes de 67 lignes par
page
sans gardes, signatures ni pagination. L’ouvrage
ne autre, qui a, comme la précédente, 400 feuillets et 67 lignes à la
page
, mais qui s’en distingue par plusieurs différence
date, ni lieu d’impression, ni nom d’imprimeur. Elle a 69 lignes à la
page
, et ne porte ni signatures, ni réclames, ni pagin
n caractères gothiques à deux colonnes, sans signatures, réclames, ni
pages
numérotées. Les deux premiers feuillets sont occu
folio, imprimé en caractères gothiques, sans signatures, réclames, ni
pages
numérotées. Le premier feuillet, sur le recto, po
é d’une grande et belle gravure sur bois, qui occupe presque toute la
page
. § 3. — Édition de Nicolas Couteau. La trad
Montmouth, parce que, dans quelques manuscrits, on trouve au bas des
pages
de sa Chronique anglaise des distiques dont le st
me auteur, commence, sans intervalle et sans titre, au bas de la même
page
et finit au recto du feuillet suivant. Mais j’ign
ce qu’il est qu’en renvoyant à la notice du catalogue. Les dernières
pages
sont remplies par un fragment d’élégie amoureuse
ulement à m’occuper, commencent au recto du fol. 28 vers le bas de la
page
. Elles sont au nombre de 61, réparties sous 62 nu
inconnu a reçu de M. Robert le nom d’Ysopet I. En tête de la première
page
le miniaturiste qui a illustré le manuscrit, a re
erminent au fol. 90 b par le mot Explicit . Enfin, au bas de la même
page
, se lit cette observation qui ne tire son importa
t in-4º sous les auspices du ministère de l’instruction publique. Aux
pages
242 et suivantes du tome I ils pourront satisfair
lisible et nette, paraît dater du commencement du xiiie siècle ; les
pages
les plus remplies n’ont que 27 lignes et ne sont
langue nationale. Dans le premier volume de ma première édition, à la
page
508, je disais avoir appris par l’un des biblioth
papier et dont l’écriture est du xve siècle. En tête de la première
page
l’origine du manuscrit est révélée par un ex-libr
nomenclature a été, dans les termes suivants, établie sur la première
page
: Liber consolationum sacre theologie. Epistola
eurs les premières, je m’arrête seulement aux secondes. En tête de la
page
où elles commencent on lit ces deux mots qui leur
iption usuelle : Explicit esopus. deo gracias. Amen. Le reste de la
page
est blanc. C. Manuscrit 185 Helmst. Ce manu
é de reconnaître une simple copie de celui de Göttingen, analysé à la
page
559. Au haut du recto du feuillet 133 où elles fi
it cette lettre, elle est loin de valoir la miniature qui sur la même
page
sert d’ornement à la première fable, c’est-à-dire
on doit le plus admirer du dessin ou de la couleur. Le bas de la même
page
est occupé par les armes du duc, autre chef-d’œuv
s élégiaques. J’en ai donné plus haut des extraits qu’on trouvera aux
pages
480 et 482 de ce volume. Les 60 fables se termine
et 141 b. Il a dû appartenir à un noble personnage ; car le bas de la
page
est rempli par un écu colorié portant un Lion rou
dées de cette invocation pentamétrique, placée en tête de la première
page
: Adsit principio virgo beata bono ! Au b
ge : Adsit principio virgo beata bono ! Au bas de la première
page
se lit cette espèce d’hexamètre encore plus barba
º de grand format composé de 190 feuillets en parchemin, chiffrés par
pages
, dont l’écriture est à deux colonnes. Il contient
t notamment les fables de Walther, qui, au bas de la 2e colonne de la
page
200, sont annoncées en ces termes : Incipit libe
De Lupo et Opilione qui commence au haut de la première colonne de la
page
370. Quoiqu’elle ait déjà été publiée, notamment
ne a écrit ce titre : Garicii prologus , dont il a été question à la
page
488 de ce volume. Les fables, accompagnées de que
re se termine au milieu du recto du douzième feuillet. Le reste de la
page
est rempli par une fable en vers élégiaques compo
la bibliothèque Léopoldine, imprimé à Florence en 1792, signale à la
page
413 un manuscrit des fables de Walther, qui, dans
sus Finit feliciter Anno salutis Mcccclxxv. Die uero sexta Iulii. La
page
qui porte cette mention est complétée par une épi
in-4 de 18 feuillets, sous les signatures a-b et à trente lignes par
pages
pleines. Elle a été achevée d’imprimer à Bologne
ommentaire, commencent au verso du feuillet B iiii, c’est-à-dire à la
page
424, par un titre ainsi conçu : Incipit liber fa
eulement et se terminent au recto du feuillet F ii, c’est-à-dire à la
page
483, par cette souscription : Fabularum liber cu
to. Iterum textus de nouo emendatus. Mêmes gravures sur la première
page
que dans l’édition de Jacques de Breda de 1494. À
é de 92 feuillets et imprimé en caractères gothiques à 40 lignes à la
page
, sans indication de lieu, ni de nom d’imprimeur.
ci comment Hain le décrit dans son Repertorium bibliographicum, t. I,
page
241, nº 1919 : Fol. 1 b : Focaudi monieri in cat
tal que trente-six. Au-dessous du titre, est, occupant le reste de la
page
, une gravure sur bois, qui représente un pédagogu
en tête du recto du premier feuillet vient immédiatement, sur la même
page
ornée d’un encadrement à fond noir gravé sur bois
remier feuillet est une gravure sur bois qui remplit presque toute la
page
. Elle représente un professeur en chaire et, au-d
|| de Bellonis anno Domini || m.ccccc.lvii. Fol. 44 b (f iiii b ).
Page
blanche. À Madrid, la Bibliothèque nationale, sou
one || summa cura emendatae. Ce titre figure en tête de la première
page
d’un volume in-4º de moyen format. Au milieu de l
e la première page d’un volume in-4º de moyen format. Au milieu de la
page
est une vignette au centre de laquelle se trouven
.dc.x. Le volume que forme cette première édition se compose de 678
pages
chiffrées précédées de seize non chiffrées. Les f
précédées de seize non chiffrées. Les fables de Walther occupent les
pages
487 à 530, et les notes qui les concernent, les p
er occupent les pages 487 à 530, et les notes qui les concernent, les
pages
668 à 678. 1660. L’édition de 1660 n’étan
bum Turlinum. || Superiorum permissu. Édition in-12, composée de 167
pages
chiffrées. Les pages 23 à 70 sont remplies par le
riorum permissu. Édition in-12, composée de 167 pages chiffrées. Les
pages
23 à 70 sont remplies par les soixante fables aut
es de fables appartenant aux collections en prose. Elles occupent les
pages
71 à 149. Cette édition n’est que la reproduction
os, Superior. Permissu. L’édition forme un petit volume in-12 de 402
pages
, dont 399 sont chiffrées. Les pages 32 à 86 sont
orme un petit volume in-12 de 402 pages, dont 399 sont chiffrées. Les
pages
32 à 86 sont occupées par les soixante fables de
Pauone ; 65. Bap : Mantuani De Malo Auari translata et arescente. Les
pages
87 à 390 sont remplies par 179 fables ésopiques e
| ciɔ iɔ cclxxxiv. L’édition de 1784 forme un volume in-8 de lii-232
pages
, dans lequel les fables de Walther occupent les c
atavi, || Typis Seminarii. || MDCCCXIII. Le volume se compose de 296
pages
. Il existe un exemplaire de cette édition dans la
ymus Neveleti.) || Zum ersten mal. Le volume se compose de xliv-166
pages
, non compris le feuillet consacré au frontispice.
xliv-166 pages, non compris le feuillet consacré au frontispice. Les
pages
i à xliv sont remplies par l’introduction (Einlei
ction (Einleitung). La traduction en vers français occupe ensuite les
pages
1 à 95. Puis vient le texte de Walther qui, comme
les pages 1 à 95. Puis vient le texte de Walther qui, commençant à la
page
96, se termine à la page 137. Il est suivi, pages
ent le texte de Walther qui, commençant à la page 96, se termine à la
page
137. Il est suivi, pages 138 à 157, de longues et
qui, commençant à la page 96, se termine à la page 137. Il est suivi,
pages
138 à 157, de longues et savantes observations in
38 à 157, de longues et savantes observations intitulées Anmerkungen,
pages
158 à 164, d’un glossaire (Glossar), et, pages 16
ntitulées Anmerkungen, pages 158 à 164, d’un glossaire (Glossar), et,
pages
165 à 166, de la table des matières. Cette derniè
et l’autre, également défectueux. Le copiste ayant laissé au bas des
pages
un espace blanc destiné à les recevoir, c’est là
erment la table et les deux autres sont blancs. Au bas de la première
page
de la table se trouve cet ex-libris : Questo lib
iatures qui, comme celles du manuscrit Gadd. 176, occupent le bas des
pages
. F. — Bibliothèque Trivulzienne. Manuscr
n papier dont l’écriture est du xve siècle. Les vingt-cinq premières
pages
sont occupées par les Favole di Esopo volgarizzat
ia Riccardi publié à Florence en 1810, le contenu du volume est, à la
page
60, indiqué par ces simples mots : Esopo favole
. di Giuseppe Vanni || con Lic. de’ Super. Édition in-8º de xliv-204
pages
. Suivant M. Ghivizzani, le texte en dialecte tosc
édition, qui forme un volume in-8º de grand format composé de xx-196
pages
, a été tirée du manuscrit Mocenigo. Elle a été pr
ccolò Bettoni || 1818. Cette édition forme un volume in-8º de iv-128
pages
, qui est la réimpression du manuscrit Mocenigo éd
lo Garinei Librajo. Cette édition, qui forme un volume in-8º de 120
pages
, est la première de la traduction contenue dans l
n Louis Rigoli. Les fables, précédées d’un préambule, commencent à la
page
20. Leur nombre est de cinquante-trois seulement
XXXVII. Cette édition est contenue dans un petit volume in-32 de 156
pages
. La Bibliothèque de Vérone, sous la cote 181. 1,
Livorno. || Presso la libreria Gamba, || 1840. Édition in-18 de 136
pages
, dont un exemplaire existe dans la Bibliothèque d
lezione. || Verona tip. Libanti MDCCCXLVII. Édition in-12 de xxvi-91
pages
, dont il existe des exemplaires à la Bibliothèque
rio Turchetto Tip. Edit. || 1851. Édition en 1 volume in-16 de v-141
pages
, dont la Bibliothèque Marcienne, sous le nº 58848
i ed. Le volume appartient au format in-16. Il se compose de xv-199
pages
chiffrées. La version italienne des fables de Wal
a version italienne des fables de Walther per uno da Siena occupe les
pages
1 à 69. Les pages 71 à 82 sont remplies par une a
e des fables de Walther per uno da Siena occupe les pages 1 à 69. Les
pages
71 à 82 sont remplies par une addition intitulée
e col Senese. || Felice Le Monnier || 1864. Édition in-8º de iii-172
pages
, dans laquelle est pour la première fois publié l
gni. Lucca, Giuseppe Giusti, 1864. Édition in-8º en un volume de 166
pages
. C’est la première qui ait été publiée du texte d
n deux volumes in-8º de petit format, composés, le premier, de ccxvii
pages
, le second, de 288. Le premier contient, de la pa
emier, de ccxvii pages, le second, de 288. Le premier contient, de la
page
vii à la page clii, la dissertation annoncée dans
ii pages, le second, de 288. Le premier contient, de la page vii à la
page
clii, la dissertation annoncée dans le frontispic
i à la page clii, la dissertation annoncée dans le frontispice, de la
page
cliii à la page clviii, une Tavola delle opere co
, la dissertation annoncée dans le frontispice, de la page cliii à la
page
clviii, une Tavola delle opere consultate o citat
i à la page clviii, une Tavola delle opere consultate o citate, de la
page
clxi à la page clxxxix, une Bibliografia dei volg
iii, une Tavola delle opere consultate o citate, de la page clxi à la
page
clxxxix, une Bibliografia dei volgarizzamenti man
i delle Favole di Esopo et delle loro edizioni a stampa, enfin, de la
page
cxcv à la page ccxvii, trois tables. Le second vo
di Esopo et delle loro edizioni a stampa, enfin, de la page cxcv à la
page
ccxvii, trois tables. Le second volume renferme d
cxcv à la page ccxvii, trois tables. Le second volume renferme de la
page
1 à la page 261, le texte de 97 fables en prose i
age ccxvii, trois tables. Le second volume renferme de la page 1 à la
page
261, le texte de 97 fables en prose italienne pui
fables en prose italienne puisé dans divers manuscrits anciens, de la
page
263 à la page 267 quelques additions et correctio
e italienne puisé dans divers manuscrits anciens, de la page 263 à la
page
267 quelques additions et corrections (giunte e c
quelques additions et corrections (giunte e correzioni), enfin de la
page
269 à la page 285, trois tables. Il existe un ex
tions et corrections (giunte e correzioni), enfin de la page 269 à la
page
285, trois tables. Il existe un exemplaire de ce
rconscrite dans un encadrement de forme gothique qui remplit toute la
page
. L’auteur y est représenté à genoux devant Ésope
Plutone. Chaque fable est ornée d’une gravure sur bois qui occupe une
page
entière et le plus souvent est intercalée entre l
rnier qui n’en a que quatre, soit cent au total. Fol. 1 a (a 1 rº). —
Page
blanche. Fol. 1 b (a 1 vº). — Sonnet italien comm
u recto du premier feuillet est une gravure qui occupe le reste de la
page
. Cette édition in-12 se termine au verso du derni
s de ce titre une vignette représente la figure d’Ésope. Au bas de la
page
on lit : In Venetia. Le verso du premier feuill
y a un feuillet blanc. Puis commencent les fables sur le recto d’une
page
ornée d’un large encadrement à fond noir, dont le
i maintenant ce qu’ils contiennent : Fol. 1 a (a. i a). — La première
page
est blanche. Fol. 1 b (a. i b). — Le verso du pre
n’en est séparé que par une belle gravure presque aussi grande que la
page
. Fol. 43 a (f. iii a). — La vie d’Ésope se termin
Vienne. Lorsque j’ai étudié le manuscrit de Wissembourg, j’ai dit,
page
288, qu’au xie siècle il avait été corrigé à l’a
autrefois le nº 392 dans le fonds des Codices Novi et que j’ai déjà,
pages
579 et 580, partiellement analysé, forme un volum
ables dérivée du Romulus anglo-latin, dont il a déjà été question aux
pages
294 et 478 et à laquelle j’ai donné le nom de Dér
gue et poésie françoise. Voyez ce qu’il a écrit au bas de la première
page
de ce manuscrit. Les notes marginales sont aussi
intitulée : Dou vilain à la coille noire. On la trouvera plus loin,
page
749. C. Manuscrit 1822. Le manuscrit 1822,
e de la guerre de Troye par Darès le Phrigien, traduitte en francois.
Page
46. III. Histoire romaine par Eutrope traduite en
ois. Page 46. III. Histoire romaine par Eutrope traduite en francois.
Page
58. IV. Le liure nômé Secret des Secrets ou du Go
Roys composé par Aristote et mis en francois par Jofroy de Watreford.
Page
84. Nota. — Ceux qui cest liure liront prient por
uerre de Troye, et aussi le liure de Eutropius, du règne des Romains.
Page
143 vº. V. Le liure de Clergie ou l’Image du Mond
ns. Page 143 vº. V. Le liure de Clergie ou l’Image du Monde. En uers.
Page
144. Composé l’an 1245. VI. Le Sermon de la Croix
ers. Page 144. Composé l’an 1245. VI. Le Sermon de la Croix, en Vers.
Page
180 vº. VII. La Passion de N.-S. et la mort de la
ge 180 vº. VII. La Passion de N.-S. et la mort de la Vierge. En uers.
Page
185. VIII. Les Fables d’Ésope mises de l’anglois
bles d’Ésope mises de l’anglois en uers francois par Marie de france.
Page
198. IX. Le Petit Liure de Moralité en Prose. Pag
r Marie de france. Page 198. IX. Le Petit Liure de Moralité en Prose.
Page
217 vº. X. Le Lucidaire en prose. Page 226. À la
it Liure de Moralité en Prose. Page 217 vº. X. Le Lucidaire en prose.
Page
226. À la suite de cette nomenclature la même ma
gé et le Lucidaire devroit précéder le Traité d’Aristote qui est à la
page
84. F I N. C’est par erreur que l’auteur de la
r que l’auteur de la nomenclature qui précède donne, comme numéros de
pages
, des chiffres qui sont au contraire des numéros d
n vers français des fables de Walther, j’ai donné du manuscrit 24310,
pages
531 et suivantes, une analyse à laquelle je renvo
regardé de près, en a exagéré l’étendue : « N a . Il manque plusieurs
pages
dans cette collection de fables. » C’est après l
ignaler une bizarrerie : chaque numéro de pagination s’applique à six
pages
consécutives ; ainsi les six premières pages du q
ination s’applique à six pages consécutives ; ainsi les six premières
pages
du quatrième volume sont numérotés de la manière
ystème de pagination employé, elles occupent les cent trois premières
pages
. Elles sont accompagnées de deux séries de varian
ie commençant par ce titre : Ci commence de Ysopes. Sur la première
page
, l’auteur de la seconde série a par la note suiva
tirées de ces manuscrits, et dont j’ai déjà cité quelques lignes à la
page
294. Il fait honneur du texte latin des fables à
a appartenu : Codex Monasterii sancti Mathie apostoli. Sur la même
page
, le contenu du volume est indiqué en ces termes :
feuillet actuel est du xive siècle. Elle s’arrête avant le bas de la
page
, où, pour l’illustration de la première fable, av
: par une inadvertance que le copiste, en tournant à la fois deux des
pages
de son cahier, a involontairement commise, les fe
s y sont pourvues de titres particuliers et se terminent au bas d’une
page
par cette souscription : Explicit liber fabularu
grecus homo ingeniosus studiose collegit. Puis vient, au haut de la
page
suivante, le Dérivé d’Avianus sans titre général,
Oesterley l’occasion de commettre. Il prétend, comme je l’ai déjà dit
page
780, qu’il ne faut pas ajouter foi à la déclarati
nts fournis par M. H. Oesterley lui-même. J’ai précédemment expliqué,
pages
725 et suiv., que le Romulus anglo-latin sur lequ
ns le second volume de la première édition de cet ouvrage, occupe les
pages
436 à 479. Les quatrains y sont formés de trois v
Percy Society. || M. DCCC. XLII. Le volume est un in-12 de xxvi-256
pages
. Cinquième partie. Romulus de Berne. S
oyez, à la préface, la note I de la p. 41.) 87. Voyez la note I à la
page
42 de la préface mise par M. Berger de Xivrey en
314.) 114. Tome II, p. 92, note 2. 115. Journal des savants. 1884.
Page
673, note 1. 116. Phædri Augusti Liberti Fabula
ns, etc., curante Angelo Maï. Romæ, 1831, in-8º. (Voyez la note de la
page
308.) 130. Œuvres complètes d’Horace, de Juvéna
, librairie de Firmin-Didot frères, fils et Cie, 8 vol. in-8º. — À la
page
146 du tome IV, imprimé en 1862, dans le long art
éimprimée à Naples, en 1868, sous la forme d’une brochure in-4º de 79
pages
. 133. Otinel, chanson de geste, publiée pour la
Voyez, dans l’édition sus-indiquée des Nouvelles Fables de Phèdre, la
page
xiv de la préface. 162. Voyez les Fabulistes lat
bles de Phèdre. Paris, Egron, 1812, in-18. (Voyez p. 67.) 172. Voyez
page
106. 173. Traduction en vers français des fable
s français des fables complètes de Phèdre. Paris, 1813, in-8º. (Voyez
page
295.) 174. Fables de Phèdre anciennes et nouvel
e, dans la Bibliotheca Maruccelliana, sous la cote I. N. XI. 33. À la
page
120 du tome Ier de ma première édition, j’avais,
MDCCXXXXVII. (Cette dissertation forme un vol. in-12, composé de 176
pages
, dont 166 pour la dissertation, et 10 pour l’Inde
. Fritschii, A. C. N. CIƆӀƆ CCXXXXVII, in-8º. (Le volume comprend 142
pages
et 1 feuillet consacré au titre.) 221. Jacobi P
ez tome I, p. 229 et suivantes.) 230. Voyez même édition aux tome et
pages
sus-indiqués. 231. Voyez, tome I, p. 195 à 238,
Méril. Paris, librairie Franck, rue Richelieu, 67, 1854, in-8º. 242.
Pages
54 et 55. 243. De Institutione oratoria, livre
tationes tres. Neapoli, 1811, in-8º. (Voyez la deuxième dissertation,
page
cxv.) 245. In Perottinum codicem MS. regiæ bibl
oris Dissertationes tres. Neapoli 1811, in-8º. (Voyez Dissertatio II,
page
xci.) 246. Voyez Dissertatio II, page xcii. 247
in-8º. (Voyez Dissertatio II, page xci.) 246. Voyez Dissertatio II,
page
xcii. 247. Voyez Dissertatio II, page xcvi. 248
.) 246. Voyez Dissertatio II, page xcii. 247. Voyez Dissertatio II,
page
xcvi. 248. Voyez Dissertatio II, pages xcvi à xc
i. 247. Voyez Dissertatio II, page xcvi. 248. Voyez Dissertatio II,
pages
xcvi à xcvii. 249. Voyez Dissertatio II, page xc
Voyez Dissertatio II, pages xcvi à xcvii. 249. Voyez Dissertatio II,
page
xcix. 250. Voyez Dissertatio II, page cxix. 251
i. 249. Voyez Dissertatio II, page xcix. 250. Voyez Dissertatio II,
page
cxix. 251. Voyez Dissertatio II, pages xcix à c.
x. 250. Voyez Dissertatio II, page cxix. 251. Voyez Dissertatio II,
pages
xcix à c. 252. C’est le nom donné par Jannelli à
velet. 253. Voyez Dissertatio II, p. ci. 254. Voyez Dissertatio II,
page
civ. 255. Voyez Dissertatio II, pages cvi à cxi.
ci. 254. Voyez Dissertatio II, page civ. 255. Voyez Dissertatio II,
pages
cvi à cxi. 256. Voyez Dissertatio II, page cxii.
5. Voyez Dissertatio II, pages cvi à cxi. 256. Voyez Dissertatio II,
page
cxii. 257. Voyez Dissertatio II, pages cxii à cx
i. 256. Voyez Dissertatio II, page cxii. 257. Voyez Dissertatio II,
pages
cxii à cxiii. 258. Voyez Dissertatio II, pages c
Voyez Dissertatio II, pages cxii à cxiii. 258. Voyez Dissertatio II,
pages
cxiv à cxv. 259. Examen des nouvelles fables de
sur leur authenticité. Paris, M.DCCC.XII, in-18. 260. Voyez tome I,
page
152. 261. Voyez tome II, page 497. 262. Fables
M.DCCC.XII, in-18. 260. Voyez tome I, page 152. 261. Voyez tome II,
page
497. 262. Fables inédites du moyen âge… Paris,
ux de l’histoire sacrée et profane. Tome I. Paris, M.D.CC.LIX. (Voyez
page
139.) 284. Voyez tome VII, page 301. 285. Voyez
e. Tome I. Paris, M.D.CC.LIX. (Voyez page 139.) 284. Voyez tome VII,
page
301. 285. Voyez, à la page 47, le volume, publié
. (Voyez page 139.) 284. Voyez tome VII, page 301. 285. Voyez, à la
page
47, le volume, publié en 1874 par la Société de l
hi ordinarii. MDCCXII. In-fol. (Voyez p. 386.) 289. Voyez tome VIII,
pages
574 et suivantes. 290. Le diacre Paul, historien
hique. 294. Lipsiæ, in ædibus B. G. Teubneri, MDCCCLXXV, in-8º. À la
page
16 on lit ce qui suit : Itaque sic habeto : fuit
lant. Lugd. Batav., 1709. in-12. (Voyez la préface et la note b de la
page
65.) 304. Phædri Aug. lib. fabularum Æsopiarum
. Première édition. Tome II. Paris, Firmin-Didot et Cie, 1884. (Voyez
page
176.) 315. Voyez les Fabulistes latins depuis le
cle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Première édition, tome II,
page
247. 316. Voyez, dans le nº du Journal des savan
, dans le nº du Journal des savants de décembre 1884, la note 2 de la
page
678. 317. Voyez, dans son édition de Phèdre publ
r à cette édition ; mais je n’oserais l’affirmer. 332. Panzer, t. I,
page
137, nº 229. 333. Hain, Repertorium bibliographi
335. Repertorium bibliographicum, t. II, p. 31, nº 4412. 336. Voyez
page
376 ci-dessus. 337. Catalogus | impressorum lib
p. 661. 397. Journal des Savants, janvier 1885, p. 47. 398. Voyez
page
461 et s. 399. Les nos attribués ici aux fables
, imprimerie de E. Rolland, successeur de L. Devillard, 1862. — Voyez
page
190. 445. « The mention of “Madame Jeanne de Bo
, nº 311. 457. Bibliotheca Grenvilliana. London, 1812. (Voyez t. I,
pages
12 et 13.) 458. Dans la préface par lui mise en
tti Palatini ordinati ed eposti da F. Palermo, T. I, p. 162 ; 2º à la
page
86 du T. I de l’ouvrage publié à Rome en 1889 sou
CXVI. (Voy. p. 388, nº 46.) 498. Journal des savants. Janvier 1885,
page
43. 499. Voyez son article sur Marie de France d
ld Delisle dans le XXXe volume de l’Histoire littéraire de la France,
page
334 et suivantes. Voici comment il s’exprime à la
de la France, page 334 et suivantes. Voici comment il s’exprime à la
page
353 sur le surnom de Glanville : « La plupart des
s Prædicatorum. » 536. Voyez, t. I, le feuillet intercalé entre les
pages
xciv et xcv. 537. Fables inédites des xiie , xi
utre chose qu’Orgueil et que Vanité ? D’où vient la longue suitte des
Pages
et des Gentils-hommes ? d’où l’éclat des livrées,
ualité d’aller en carrosse ; mal suivis, si leur naissance merite des
Pages
; bref, il n’y a rien de si contemptible que le t