Epilogue Bornons icy cette carriere. Les longs
Ouvrages
me font peur. Loin d’épuiser une matiere, On n’en
le de Socrate. Socrate un jour faisant bâtir, Chacun censuroit son
ouvrage
. L’un trouvoit les dedans, pour ne luy point ment
ongere, Contient des veritez qui servent de leçons. Tout parle en mon
Ouvrage
, et mesme les Poissons. Ce qu’ils disent s’adress
espoüilles d’autruy, et transportent des feüillets entiers dans leurs
ouvrages
, jusques à s’accommoder des inventions des morts,
t de vie. Ce fût ainsi qu’Homere s’ayda un peu trop familierement des
Ouvrages
d’Orphée et de Linus ; Virgile de ceux d’Ennius,
e la lice. Je ne trouve, ce me semble, rien plus à propos dans tout l’
ouvrage
de nostre Phrygien, que ceste comparaison du Pres
Croyez-vous que vos dents impriment leurs outrages Sur tant de beaux
ouvrages
? Ils sont pour vous d’airain, d’acier, de diaman
ron et Mercure. A.M.L.C.D.B. Vostre goust a servi de regle à mon
Ouvrage
. J’ay tenté les moyens d’acquerir son suffrage. V
s Agneaux aux Loups ravissans, La Moûche à la Fourmy ; faisant de cet
ouvrage
Une ample Comedie à cent actes divers, Et dont la
timents magnifiques, comme des Mausolées, des Colosses, et quantité d’
ouvrages
semblables. Car on a presque tousjours veu finir
r les bornes qu’elle s’est prescripte ? Que si nous voulons venir des
ouvrages
des Roys, à ceux des Particuliers, n’y en a-t’il
e que nous faisons, tant pour la production de l’esprit, que pour les
ouvrages
materiels ? C’est veritablement à une petite Sour
urut ; et fit tant par ses dents, Qu’une maille rongée emporta tout l’
ouvrage
. Patience et longueur de temps Font plus que forc
se cache, on tremble à l’environ : Et cette alarme universelle Est l’
ouvrage
d’un Moûcheron. Un avorton de Moûche en cent lieu
embres et l’Estomach. Je devois par la Royauté
Avoir commencé mon
Ouvrage
.
A la voir d’un certain costé,
1Messer Gaster
e ;
Voilà des moûcherons de pris.
Une servante vient balayer tout l’
ouvrage
.
Autre toile tissuë, autre coup de balay.
Le pa
z davantage.
Enfin l’éloge de ces Dieux
Faisoit les deux tiers de l’
ouvrage
.
L’Athlete avoit promis d’en payer un talent :
déesse une maison, prirent Momos pour arbitre. Momos, jaloux de leurs
ouvrages
, commença par dire que Zeus avait fait une bévue
riginal, ne trouvent point de meilleur moyen que de leur dedier leurs
Ouvrages
. Je n’ay donc pas mauvaise raison de les imiter,
rrections necessaires, je me persuade d’avoir comme renouvellé tout l’
Ouvrage
, par les divers Raisonnemens de Morale et de Poli
e l’Historien Tite-Live, loüe perpetuellement les Romains en tout son
ouvrage
, si ce n’est de hazard quand leurs fautes sont tr
donne à son ancre la teinture de ses passions, et ne transmette à son
ouvrage
les maladies dont il est taché ; tout de mesme qu
erieures, ou s’il a de grands ressentiments de charité ; car c’est un
ouvrage
du cœur, et non des actions. Toutesfois il arrive
avons fait plaisir, et que cela nous oblige à les considerer comme un
ouvrage
de nostre main. De plus, il se proposera mille fo
ivre à jamais, et dans l’Histoire de nostre temps, et dans les autres
ouvrages
des hommes de lettres. En voicy un qui pourroit b
fût à les faire, je ne croirois pas qu’il y eût au monde un meilleur
ouvrage
que celuy-cy. Car il n’est point d’avanture ny de
st clair de soy-mesme, et bien digne de consideration, puis qu’en cét
Ouvrage
l’ingenieux Esope s’est imaginé diverses peinture
litez, que nous avons enchaisnées l’une à l’autre en la suitte de cét
Ouvrage
, comme pour traicter d’une matiere fort plausible
t animal, et plus encore de son esprit, se resolut de le tromper en l’
ouvrage
qu’il luy avoit apporté. Et de faict, il feignit
’estende là dessus, à cause de la briefveté que j’affecte en tout cet
Ouvrage
. Il n’est celuy d’entre nous qui n’en ait veu des
animaux chantent les merveilles de Dieu, et que par eux, qui sont ses
Ouvrages
, on cognoist la Toute-puissance de l’Ouvrier. Je
is le but de la vraye Poësie, bien que toutesfois elle differe de cét
ouvrage
, en ce qu’elle ne met en avant que des hommes et
u indirects de son œuvre. C’est là, quant à présent, que s’arrête mon
ouvrage
. Mais je n’ai atteint qu’une première station. Qu
e à tous ceux dont il avait à exposer ou à discuter les opinions. Son
ouvrage
sera désormais la base de tout ce qu’on écrira su
’il nous donnera bientôt la suite qu’il nous fait attendre. Un second
ouvrage
, ayant pour objet Avianus et ses imitateurs, est
tend, ce n’est pas un succès lucratif, auquel ne saurait prétendre un
ouvrage
qui a dû coûter si cher à préparer et à publier ;
ureux, en exprimant à M. Hervieux toute notre estime pour son premier
ouvrage
, de penser que nous pourrons contribuer en quelqu
titut l’avait tenu au moment même auquel ce qu’il appelle mon premier
ouvrage
avait paru, c’est-à-dire au commencement de 1884,
oses, j’éprouve le très vif regret d’avoir livré au public un premier
ouvrage
défectueux, et, convaincu que le nouveau donne se
les Manuscrits connus et inconnus qui les renferment. Plan de l’
ouvrage
. L’étude que j’entreprends embrasse un vaste c
uvres latines qui en ont été l’imitation, j’ai cru devoir diviser mon
ouvrage
en trois livres consacrés : Le premier, à l’œuvre
ès J.-C.45. Quant au Père Desbillons, il n’ose pas fixer une date à l’
ouvrage
de Phèdre46. Il affirme seulement que les deux fa
-dire Municipii Tarsensis libertus. Je dois en outre signaler, dans l’
ouvrage
de Gruter, cette inscription trouvée dans le couv
pour imiter ces artistes qui, afin d’amorcer le public, signent leurs
ouvrages
du nom de Praxitèle : Æsopi nomen sicubi interpo
s loisirs qu’il recherchait et qui lui permirent d’écrire de nouveaux
ouvrages
et notamment de publier la loi des Wisigoths. Pen
de connaissances littéraires, se composait de passés 5 000 volumes d’
ouvrages
imprimés et d’à peu près 600 volumes manuscrits.
âtelet, neveu de Jacques Leschassier, jurisconsulte célèbre, dont les
Ouvrages
sont réunis en un volume in-4º, imprimé en 1649,
rso. Les autres, qui ne sont point numérotés, renferment une espèce d’
ouvrage
d’histoire naturelle fabuleuse, ou description d’
uillet déchiré à la fin, et il y en avait d’autres dans le corps de l’
ouvrage
. M. Pithou en fait la remarque, et il indique ces
ion, comme le dit M. Adry, qu’il y ait des lacunes dans le corps de l’
ouvrage
. Quant à ce prétendu feuillet déchiré, après la d
offre des inconvénients notables. Il résulte de son application que l’
ouvrage
de M. Berger de Xivrey montre bien en quoi le man
éans, qui l’accompagna de ses notes, et il faut convenir que c’est un
ouvrage
qui paraîtrait peu digne aujourd’hui d’une grande
ner, ignorant l’existence de ce petit volume, je consultai les autres
ouvrages
qui me parurent le plus propres à m’éclairer. Je
n du savant cardinal130, et moi-même, dans la première édition de cet
ouvrage
, j’avais exprimé le même avis. J’ignorais que, da
t Asino, et au-dessus du titre se trouve la désignation générale de l’
ouvrage
dans les termes suivants : Phedi Aug. Liber. L.
e : « Burmanni Syllog. Epp., t. IV, p. 42. » Quant à Burmann, dans l’
ouvrage
cité par Schwabe, il avait publié une lettre écri
d’une publication séparée et qu’elles figurent noyées dans un immense
ouvrage
, elles ont le plus souvent échappé à l’attention
ire ici quelques mots. Lorsque j’ai publié la première édition de cet
ouvrage
, je ne l’avais pas encore rencontré. Si je l’avai
c une exactitude mathématique, et si, dans la première édition de cet
ouvrage
, je n’avais pas déjà, par la publication des vari
examinés. J’ai donc à m’occuper du sien ; mais, avant de parler de l’
ouvrage
, je crois devoir dire d’abord quelques mots de l’
été un des premiers philologues de son temps. Il a laissé de nombreux
ouvrages
, dont la nomenclature nous a été donnée d’abord p
pas ingrat envers son oncle. Il s’occupa après sa mort de publier ses
ouvrages
, et ce fut lui qui, en 1489, fit imprimer à Venis
é l’existence. Voici tout entière la nomenclature qu’il y donnait des
ouvrages
de Perotti : 1. Polybii libri V priores, e græco
scrit de l’Epitome de Perotti 161. » Dans la première édition de mon
ouvrage
sur les Fabulistes latins, je n’avais pas complèt
dans ses Dissertazioni Vossiane, donné une nouvelle nomenclature des
ouvrages
de Perotti, dont il avait élevé le nombre de ving
public, il semblait que Cassitto n’avait pu rien emprunter à ces deux
ouvrages
. Mais, soit qu’il connût quelque employé de l’imp
sunt annotati. » Dans les autres on lit la nomenclature suivante des
ouvrages
contenus dans le manuscrit : 1º Christophori Land
écouverte, n’avait encore publié que les deux premiers volumes de son
ouvrage
intitulé Classicorum auctorum è Vaticanis codicib
aticane lui révéla le véritable texte et le détermina à ajouter à son
ouvrage
un supplément, qui parut, également à Zurich, en
dites Fables nouvelles. Section I. Fables anciennes. De tous les
ouvrages
que l’antiquité nous a légués, il n’en est pas un
t à cette pression si cavalièrement exercée sur leur conscience : les
ouvrages
qu’ils publièrent en font foi. À défaut des manus
bles n’étaient pas encore imprimées et qu’il en rapporte une comme un
ouvrage
de sa façon198. » Burmann lui-même ne sut pas, d
irmation fausse, que probablement, s’il avait pu publier lui-même son
ouvrage
, il aurait aperçue et rectifiée. Malheureusement
our à tour d’expliquer la phrase de Sénèque : G.-J. Vossius, dans son
ouvrage
intitulé De poetis latinis et publié en 1654 aprè
ence. Mais un des plus sçavans hommes de l’Europe, M. Christ, dans un
ouvrage
qui est un jeu pour lui, et qui seroit pour tout
êque : il se peut très-bien qu’il ait mis alors cette Fable parmi ses
Ouvrages
, et que l’y ayant retrouvée dans un âge avancé il
autre la donne à Pérotti. Pour décider il faut la lire dans les deux
Ouvrages
et reconnoître son auteur en comparant les stiles
rs Auteurs du Siécle d’Auguste. De-là il conclut que le Phedre est un
Ouvrage
supposé. Mais comme il y a dans chaque Auteur bie
bère, comme si elles s’étaient passées sous ses yeux. Ce n’est pas un
ouvrage
, comme il y en a beaucoup, qu’on peut, faute de r
rsonne compétente ne conteste l’authenticité, et dont cependant aucun
ouvrage
ancien ne fait mention. Il est vrai que Sénèque n
crivains plus récents, ne rencontrant pas ces particularités dans les
ouvrages
connus des anciens, n’ont pas pu les reproduire,
s la prosodie latine, l’homme le plus expert de son époque. Parmi les
ouvrages
didactiques dont il fut l’auteur, il en est deux
traités de versification. De pareils écrits, qui sont avant tout des
ouvrages
de patience, ne peuvent guère sortir d’une plume
e notions acquises dans la jeunesse. Non, car il avoue encore que son
ouvrage
lui a coûté une peine infinie : Qua in re incred
a Fontaine, par M. Beuzelin père, ancien chef d’Institution à Paris ;
ouvrage
revu et continué par l’abbé Beuzelin, officier de
é à l’étude tous les loisirs de sa vie monastique, et écrit plusieurs
ouvrages
, dont, avant son départ, il avait disposé en fave
ée et publiée dans la Nouvelle Bibliothèque des manuscrits. C’est des
ouvrages
d’Adémar à peu près le seul qui ait vu le jour ;
vers acrostiches, conservés dans les Analecta de Mabillon, ses autres
ouvrages
n’ont pas été imprimés286. Le manuscrit, que je v
plis par des dessins à la plume destinés à servir d’illustrations à l’
ouvrage
de Prudence connu sous le nom de Psychomachia seu
petit traité d’astronomie qui occupe les fol. xxx b à xxxii b ; 2º l’
ouvrage
d’Hyginus, qui s’étend du fol. clv a au fol. clxx
: Prologus. Ce prologue se compose de dix vers ; à la suite vient l’
ouvrage
lui-même, dont la nature est, avec le nom de l’au
in Christi nomine, amen. L’écriture ne paraît pas être d’Adémar. L’
ouvrage
est entier ; il se termine au recto du fol. cvi.
nuscrit a été tout entier écrit par la même main, et cela, malgré les
ouvrages
très dissemblables qu’on y trouve et dont il donn
trouve et dont il donne la nomenclature suivante : Fol. 1 a à 59 b. —
Ouvrage
intitulé : Juliani Toletani prognosticorum futur
a credenda , etc. Tross ajoute qu’entre ce prologue et la partie de l’
ouvrage
que M. Berger de Xivrey a prise à tort pour le co
gardé le silence sur le manuscrit, cela tient à ce que, à cause de l’
ouvrage
de Julien Toletan et de quelques autres opuscules
ider, je voulus voir si je ne pourrais pas trouver dans quelque autre
ouvrage
des renseignements plus complets. Je me rappelai
, je m’étais empressé de me faire expédier plusieurs exemplaires de l’
ouvrage
qui m’était signalé. J’y recourus, et je trouvai,
, qui, portant en gros caractères rouges et noirs le titre du premier
ouvrage
du manuscrit, n’aurait pas dû être omis. Il a été
ut de la page le bibliothécaire Ebert a donné, de sa main, au premier
ouvrage
le titre suivant : Juliani episcopi toletani pro
opi toletani prognostica futuri seculi. Fol. 59 b. — Fin du premier
ouvrage
terminé par cette souscription en capitales à l’e
même encre, on lit l’hexamètre suivant qui sert de titre à un nouvel
ouvrage
: Hunc cecinit | Salomon mira dulcedine librum.
disparu, et c’est en m’aidant surtout du texte du dérivé qui dans cet
ouvrage
portera le nom de Romulus ordinaire, que je vais
des imitations latines, dont la plus importante sera étudiée dans cet
ouvrage
sous la dénomination de Dérivé complet. En tête d
ablir la distinction entre les deux auteurs, il s’était appuyé sur un
ouvrage
publié à Venise, en 1513, sous ce titre : Supple
loin de la vieille édition d’Ulm, et devant enfin la publier dans cet
ouvrage
avec les fables elles-mêmes, je m’abstiens de la
s la dénomination d’Aesopus et dédié à un certain Rufus. C’est de cet
ouvrage
, qui depuis a disparu, que, nul exemplaire de Phè
elles elles sont l’élément dominant, et je ne donnerai asile dans cet
ouvrage
qu’aux textes dont le Romulus primitif aura été l
ccessives. Aussi est-ce lui et sont-ce ses sous-dérivés qui, dans cet
ouvrage
, occuperont la plus large place. À la rigueur, po
ème, au bas de la première colonne. Au haut de la seconde commence un
ouvrage
qui a dû être composé à l’usage des écoliers ; ca
s’occupe depuis longtemps de réunir des matériaux importants pour un
ouvrage
semblable, j’ai eu connaissance d’une copie de Ro
ouve du moins une fois de plus que la composition originaire de notre
ouvrage
s’est conservée pendant des siècles entiers sans
u à la bibliothèque publique de Maëstricht est relié avec deux autres
ouvrages
, qu’à raison de leur contenu je crois devoir anal
538, et dans sa cinquième édition (1864), tome V, p. 1215, a cité cet
ouvrage
, mais n’a pas signalé la précieuse édition du xve
un second prologue en vers élégiaques, qui se lie plus intimement à l’
ouvrage
composé tout entier dans le même rythme, qui est
iption est accompagnée de ces mots qui annoncent le commencement de l’
ouvrage
lui-même : Incipit pars executiua. Au bas du re
u dernier feuillet on lit : Explicit speculum stultorum. Le second
ouvrage
, réuni sous la même couverture, est, au point de
occupé par la table des matières, que, pour indiquer le contenu de l’
ouvrage
, je crois devoir transcrire ici : Capitulum prim
e eo qui perhibet consilium alteri. et sibi ipsi nescit consulere. L’
ouvrage
qui suit cette table a été, comme la table elle-m
. 1 b (a i b). — Table donnant les titres des dix-sept chapitres de l’
ouvrage
. Fol. 2 a (a ii a) à 60 a (h vi a). — Prologue et
’avais été accidentellement entraîné, dans la première édition de cet
ouvrage
, à donner l’analyse détaillée de ce livre, dont,
Leeu de 1486. Si l’on ouvre, à la page 444, le premier volume de l’
ouvrage
de Panzer, on y trouve sous le nº 27 l’indication
ition in-fol. qui avait été achevée le 6 juin 1481, et, la vogue de l’
ouvrage
ne diminuant pas, il en avait, en 1482, fait para
adopté le même format et copié les gravures des premières éditions. L’
ouvrage
qui forme un petit in-folio de 203 feuillets, se
ternants de six et de huit feuillets. Fol. 1 a (a. i a). — Titre de l’
ouvrage
ainsi conçu : Esopi appologi siue mythologi cum
Voici l’analyse du volume : Fol. 1 a. — Il est consacré au titre de l’
ouvrage
ainsi conçu : Das buch des hochbe-|remten (sic)
nature. Fol. 5 a. — Commencement de la seconde table, divisée comme l’
ouvrage
en deux parties. Voici le contenu des feuillets n
donnés ensemble. » Une préface indique ensuite que Brant a écrit son
ouvrage
pour l’instruction de son fils Onophrius. Les fab
par Gregoire Bonte, en la | rue de Chambre. 1532. Au fol. 128 a, l’
ouvrage
se termine par une souscription ainsi conçue : C
20, dont les 62 premières se rapportent seules à celles de Romulus. L’
ouvrage
se termine par cette souscription finale : Fin d
huit, le nombre total des feuillets est de 142. Ils sont chiffrés. L’
ouvrage
commence par ce titre placé en tête du recto du p
autres éditions contemporaines et peut-être encore plus grossière. L’
ouvrage
est terminé par un épilogue dont Caxton est l’aut
ravaux typographiques du célèbre imprimeur anglais, je leur signale l’
ouvrage
qui a été publié en 1863, à Londres, en deux beau
, qui, quoique incomplet, me permet du moins d’indiquer le titre de l’
ouvrage
. Le voici : Esopus leuen ende fabulen, ende die
nt de Beauvais, c’est d’abord parce que, compris dans les plus grands
ouvrages
de cet illustre encyclopédiste, ils en ont partag
4354-14355. Mais ces manuscrits ne contenant pas tous intégralement l’
ouvrage
historique de Vincent de Beauvais, il s’ensuit qu
e proposant de joindre aux textes, qui seront publiés à la fin de cet
ouvrage
, le Romulus du Miroir historial, je n’ai pas cru
Secundum Augustinum… » — Fol. 1-3. Table. — Fol. 3. Commencement de l’
ouvrage
: « Quoniam multitudo librorum et temporis brevit
hapitres des livres I à XXXII, fol. 12-15, sur 4 colonnes. Début de l’
ouvrage
: « Deus est substancia incorporea… » Ce premier
celle d’une main française du xve siècle. Il renferme, entre autres
ouvrages
, le Romulus de Vincent de Beauvais tiré du Miroir
es mots : Deo gratias. Amen. Section III. Éditions latines des
ouvrages
de Vincent de Beauvais. Quoiqu’il existe e
ier feuillet ne renferme que 27 lignes, dont la dernière, terminant l’
ouvrage
, est ainsi conçue : rialis. p̱patescunt. Amen 36
lonnes de 67 lignes par page sans gardes, signatures ni pagination. L’
ouvrage
qui embrasse 400 feuillets se termine à la deuxiè
nsi : Incipit primvs liber specvli moralis || [I] N omnibus operi. L’
ouvrage
se termine au verso de l’avant-dernier feuillet,
faisait paraître, dans le format in-folio, le Speculum historiale. L’
ouvrage
est précédé d’une table alphabétique, et terminé
feuillet on lit : Incipit primus liber Speculi moralis Vincentii. L’
ouvrage
se termine par cette souscription : Anno incarna
ctrinalis. Speculum doctrinale Vincentii beluacensis Incipit , etc. L’
ouvrage
est terminé par la souscription suivante qui révè
V. Éditions anglaises de Caxton. Toujours attentif aux grands
ouvrages
publiés en langue française et toujours ardent à
Devant publier le texte de ces fables dans le second volume de cet
ouvrage
, je m’abstiens ici de toute autre explication.
nt l’écriture à longues lignes est du xve siècle, et contient divers
ouvrages
dont le catalogue imprimé394 donne la nomenclatur
posé de fables d’Eude de Cherrington. Dans la première édition de cet
ouvrage
j’ai analysé et publié l’œuvre de ce moine ; j’y
rendre compte de la valeur de cette hypothèse, je me suis reporté à l’
ouvrage
de Girald Barry intitulé Itinerarium Cambriae 409
r ce nom, voici ce qu’il expliquait ensuite dans une des notes de son
ouvrage
: « J’aurois dû écrire Gauffredus ; car, dans le
anglaise des distiques dont le style se rapproche assez de celui de l’
ouvrage
dont nous parlons ; mais il y avoit, au commencem
trouver la preuve qu’un certain maître Galfred en ait été l’auteur. L’
ouvrage
est au contraire attribué à Ésope, et les mots ed
tion des fables de Phèdre, M. Dressler, qui paraît n’avoir connu ni l’
ouvrage
de M. Robert ni la glose du manuscrit 8023, préte
ster des doutes, celui-ci fut facilement accepté. Il est vrai que les
ouvrages
connus du célèbre Hildebert permettaient de le cr
tionnaire bibliographique la vie de Walther l’Anglais. Je possédais l’
ouvrage
de Jean Bale, imprimé à Bâle de 1557 à 1559421 ;
xve siècle, on en trouve d’autres que, dans le second volume de cet
ouvrage
, je placerai à la suite des soixante premières. F
s manuscrits que j’ai déjà examinés. Les fables sont suivies de trois
ouvrages
poétiques, dont le premier paraît complet, à en j
minent : Explicit doctrina magistri Johannis Faceti, etc. Quant à l’
ouvrage
lui-même, on le rencontre souvent dans les ancien
a cote du manuscrit, et, n’en rencontrant pas le signalement dans son
ouvrage
, j’ai eu beaucoup de peine à le retrouver. Y étan
n, dont l’écriture fort nette est du commencement du xve siècle. Les
ouvrages
qu’il renferme sont les suivants : 1º le livre de
aujourd’hui relié en veau. Les fables en vers élégiaques sont le seul
ouvrage
qu’il renferme ; mais elles sont plus qu’au compl
u’à l’époque de la Révolution. Les fables de Walther, qu’entre autres
ouvrages
il renferme, commencent sans titre général au mil
. On les trouvera dans l’appendice, qui, dans le second volume de cet
ouvrage
, fera suite aux soixante premières fables. Après
e sous ce numéro les mots varia carmina, qui ne s’appliquaient qu’aux
ouvrages
formant le manuscrit 713. Il ne s’en tint pas là.
ive siècle, et qui contient, soit en totalité, soit par extraits, 31
ouvrages
différents. Les fables de Walther en sont le dix-
ième plat, et, comme la plupart des manuscrits, il comprend plusieurs
ouvrages
. Les fables de Walther commencent au feuillet 105
choix des éditions, précieuse par ses manuscrits, ses estampes et les
ouvrages
rares qu’elle renferme. Il la commença en 1734, e
Le feuillet 79 est blanc. Les feuillets 80 à 126 sont remplis par un
ouvrage
religieux intitulé : Lumen animæ. Cet ouvrage e
6 sont remplis par un ouvrage religieux intitulé : Lumen animæ. Cet
ouvrage
est précédé d’une table qui occupe les feuillets
ent du feuillet 81 b au milieu du feuillet 82 b. Ils sont suivis de l’
ouvrage
lui-même, dont le premier chapitre est annoncé en
table des matières donne dans les termes suivants la nomenclature des
ouvrages
contenus dans le manuscrit : Speculum confession
monasterii Sancti Mathie apostoli extra Treviros. Il contient trois
ouvrages
, dont l’énumération figure au-dessus de l’ex-libr
n papier et dont l’écriture est du xve siècle. Il comprend plusieurs
ouvrages
, dont la nomenclature a été, dans les termes suiv
cim patriarchis. Esopus. Liber Senece de forma et honestate vite. L’
ouvrage
désigné par le mot Esopus n’est en réalité pourvu
querit uterque lacum fluentem. Il en est ainsi jusqu’à la fin de l’
ouvrage
, qui se termine par cette souscription : Explici
’on trouvera parmi celles de l’appendice dans le second volume de cet
ouvrage
. Le distique final ainsi transposé est lui-même,
auparavant sur un feuillet disparu. Les fables étaient précédées d’un
ouvrage
de grammaire composé en vers par le professeur Al
le, forme un volume in-4º de 245 feuillets en papier et comprend onze
ouvrages
. Les fables, qui en sont le cinquième, occupent
46, forme un volume in-folio de 116 feuillets. Il renferme dix-huit
ouvrages
, dont les fables de Walther sont le quatorzième.
la suite. Les fables élégiaques, qui sont le huitième des vingt et un
ouvrages
qu’il renferme, commencent au recto du feuillet 8
renferme les épimythions des 60 fables de Walther. Il comprend quinze
ouvrages
dont ces épimythions sont le treizième. G. Man
rum Galterum composuisse). Le manuscrit renferme au total vingt-cinq
ouvrages
divers. H. Manuscrit 7680. Ce manuscrit, qu
e catalogue, sont intitulées Liber Esopi et sont le dernier des trois
ouvrages
qui s’y trouvent. I. Manuscrit 14134. Ce ma
fabulae versibus elegiacis expressae , et suivies de quatorze autres
ouvrages
. J. Manuscrit 14301. Ce manuscrit, dont le
ention : Em. F 89, forme un volume in-4º de 429 feuillets. Parmi les
ouvrages
variés qu’il contient et qui sont au nombre de do
: Em. G. 87, forme un volume in-4º de 161 feuillets et renferme six
ouvrages
, dont le premier est le Novus Avianus de Vienne,
ntion : S. Nic. 213. Il se compose de 336 feuillets et renferme sept
ouvrages
, parmi lesquels figurent, accompagnées d’un comme
in-4 du xve siècle composé de 236 feuillets. Il renferme de nombreux
ouvrages
énumérés dans le catalogue de la Bibliothèque. Le
chemin, et dont l’écriture est du xive siècle. Il comprend plusieurs
ouvrages
désignés par ces titres : Flores Senecæ, Virgili
été gravé en grands caractères gothiques. Les fables élégiaques, seul
ouvrage
contenu dans le manuscrit, sont au nombre de 63 ;
en parchemin et écrit par une main du xve siècle. Il contient quatre
ouvrages
désignés par les titres suivants : Theodolus, Eso
n parchemin et écrit par une main du xive siècle. Il contient quatre
ouvrages
annoncés par ces titres : Catonis disticha, Gramm
le, occupe seulement 27 feuillets. Aussi ne renferme-t-il pas d’autre
ouvrage
que les fables de Walther. On n’y trouve que les
est intacte, je pourrai, en les publiant dans le second volume de cet
ouvrage
, reconstituer les vers que M. Robert n’avait pas
un petit in-fol. de 65 feuillets en parchemin, qui renferme les trois
ouvrages
suivants : 1º Fabulæ anonymi, 2º Præcepta rethori
olume in-4º, dont les soixante-quatre feuillets sont occupés par deux
ouvrages
intitulés, le premier : Exopi fabulæ , le second
ne du xive siècle, le premier sur parchemin, le second sur papier. L’
ouvrage
appelé Exopi fabulæ consiste dans 62 fables, comp
, partie en parchemin et partie en papier. Il ne renferme pas d’autre
ouvrage
que les fables de Walther qui remplissent les feu
parchemin et dont l’écriture est du xiiie siècle. Il comprend trois
ouvrages
, savoir : les distiques de Denys Caton, les fable
r pages, dont l’écriture est à deux colonnes. Il contient de nombreux
ouvrages
en prose et en vers et notamment les fables de Wa
siècle. D’après la table manuscrite placée en tête, il renferme onze
ouvrages
, dont les fables de Walther, comprenant les soixa
. Je donnerai plus loin, d’après M. Endlicher, la nomenclature des
ouvrages
contenus dans le manuscrit 303. Quant à présent,
cement du volume et trois à la fin. Le manuscrit ne comprend que deux
ouvrages
. Le premier est la collection des épigrammes de P
ombre de 120 et portent une écriture du xve siècle. Il contient deux
ouvrages
. Le premier est un poème religieux qui occupe les
88 et contenir une partie des quarante et une premières fables. Car l’
ouvrage
précédent est complet, et les deux feuillets perd
ompose de 63 feuillets en parchemin qui renferment divers fragments d’
ouvrages
latins et dont les écritures sont les unes du ixe
me in-4º, dont les feuillets sont en papier et qui renferme plusieurs
ouvrages
écrits à des époques très diverses. L’écriture de
liothèque du palais Brera renvoie pour plus amples renseignements à l’
ouvrage
suivant de Muratori : Antiq. Itat. medii ævi, t.
en parchemin, dont l’écriture est du xive siècle. Il contient quatre
ouvrages
, qui sont sur un premier feuillet en papier indiq
s la nomenclature qu’on lit sur un feuillet ajouté en tête, plusieurs
ouvrages
énumérés dans les termes suivants : 1º Catonis c
e grammatice (fol. 83 a à 89 a). Les fables qui forment le troisième
ouvrage
sont celles de Walther. Elles comprennent non seu
siècle. Voici, telle qu’elle figure au catalogue, la nomenclature des
ouvrages
contenus dans le manuscrit : 1º Fol. 1 a. Donati
sibus elegis, etc. Les fables de Walther, qui forment le dernier des
ouvrages
contenus dans le manuscrit, en occupent les feuil
italienne à longues lignes est du xive siècle. Il renferme plusieurs
ouvrages
tant en prose qu’en vers, parmi lesquels les fabl
e, et il n’y a pas lieu d’en tenir compte. Le manuscrit renferme deux
ouvrages
. Le premier, qui s’étend du feuillet 1 a au mili
scopus Reginensis. De vita atciva (sic) et contemplativa. Le second
ouvrage
consiste dans les fables de Walther, qui, partant
t dont l’écriture, due à une main italienne, est du xive siècle. Les
ouvrages
qu’il contient sont énumérés dans les termes suiv
quatre feuillets en parchemin du format in-4º et ne renferme que deux
ouvrages
. Le premier, en vers hexamètres, commence, sans t
ce qu’il est : Explicit liber Senece. Deo gratias. Amen. Le second
ouvrage
, qui commence au haut du feuillet 7 a, consiste d
s. Voici, telle qu’elle figure en tête du volume, la nomenclature des
ouvrages
qu’il renferme : 1. Æsopi fabulæ. 2. De natura q
nter Errorem et Veritatem, etc. 4. Henricus Septimellensis. Tous ces
ouvrages
sont en vers. Les fables de Walther, qui forment
du xive siècle. Voici, d’après le Catalogue de la Bibliothèque, les
ouvrages
qui s’y trouvent : 1º Æsopi Phrygii fabulæ ; 2º
sur deux colonnes appartient au xiiie siècle. Il renferme plusieurs
ouvrages
dont le cinquième consiste, non pas dans les fabl
iure est en bois et les feuillets en papier et qui renferme plusieurs
ouvrages
. Les fables, dont l’écriture est du xve siècle,
t sur papier ; elle est certainement du xve siècle. En effet, un des
ouvrages
contenus dans le volume porte en souscription la
e 1488, sans cesser de paraître seules, elles sont réunies à d’autres
ouvrages
poétiques dans des éditions qui, à raison de leur
us anglo-latin dont on trouvera le texte dans le second volume de cet
ouvrage
. Voici les premières phrases qui y faisaient suit
um alani. || Fabularum Esopi. || Floreti. Tel est le titre complexe d’
ouvrages
, au nombre desquels sont les fables de Walther. A
us le nº 2075 substitué au nº 2044, un exemplaire relié avec d’autres
ouvrages
. Telle est la nomenclature chronologique des édit
ur, est la réimpression de celle de 1519. Elle contient, entre autres
ouvrages
, les fables de Walther attribuées à Salon et préc
ix portraits, dont neuf ont la prétention d’être ceux des auteurs des
ouvrages
contenus dans le volume. Nous sommes ici encore e
yonnaise, mais d’une réimpression augmentée ; car à la suite des huit
ouvrages
ordinaires il en existe un neuvième. Elle forme u
m glosa finit feliciter. Au recto du dernier feuillet du volume les
ouvrages
qu’il contient sont terminés par cette souscripti
raductions en langage vulgaire des fables de Walther. C’est d’après l’
ouvrage
de M. Ghivizanni que j’en vais donner une analyse
no Ghivizzani, à qui j’emprunte cette nomenclature, affirme, dans son
ouvrage
intitulé : Il Volgarizzamento delle Favole di Ga
a date suivante : A di 20 di Mago 1523. Le manuscrit renferme deux
ouvrages
mentionnés en ces termes par M. Palermo : 1º Vol
n dont l’écriture à longues lignes est du xve siècle. Le premier des
ouvrages
qu’il renferme est une traduction italienne en la
ed. Édition en 1 volume qui est le vingt-sixième d’une collection d’
ouvrages
destinés à l’instruction de la jeunesse. En consé
e édition à la Bibliothèque nationale, où, longtemps réuni à d’autres
ouvrages
, il a porté avec eux la cote 6534 Y. La Grenville
un Italien nommé Bartholomi Mascara, qui n’avait voulu en faire qu’un
ouvrage
classique destiné à être mis entre les mains des
l’épimythion des siennes. En se référant dans le second volume de cet
ouvrage
au texte du manuscrit 14961, on verra combien il
maison établie Exeter et qu’il y écrivit la plus grande partie de ses
ouvrages
. Le nombre en est extraordinaire ; Bale, qui en s
in-8º allongé, composé de 126 feuillets en parchemin. Il renferme les
ouvrages
suivants : 1. Johannis de Hauvilla liber de pote
même en est plus ancienne, et par suite plus voisine de l’époque où l’
ouvrage
latin a été composé. 1º Première traduction.
ume est résumé dans une table des matières placée en tête. Le dernier
ouvrage
est intitulé : De la misère de l’ome. Il commen
sur parchemin en gothique de la fin du xive siècle. Il contient deux
ouvrages
, les fables françaises qui occupent les 54 premie
illets, et le Bestiaire d’amour qui remplit les 40 derniers. Ces deux
ouvrages
sont séparés par les feuillets 55 et 56, qui sont
Comme on trouvera les deux collections dans le deuxième volume de cet
ouvrage
, on pourra, en les comparant, s’édifier complètem
1 vol. in-4º489. Je me borne à indiquer, d’après lui, les titres des
ouvrages
qu’il renferme : I. Fol. 1 a à 9 a. — Dyonysii C
lis. La nomenclature qui précède montre quels nombreux et différents
ouvrages
sont contenus dans le manuscrit 303. Pour ne parl
le format in-8º et dont l’écriture est du xive siècle, renferme les
ouvrages
suivants : 1º Catonis sententiæ (fol. 1 a à 14 b
ction I. Observation préliminaire. Dans la première édition de cet
ouvrage
, il n’a pas été question de la collection que je
n porte également une décision judiciaire. Le manuscrit renferme deux
ouvrages
. Le premier, qui commence au recto du 2e feuillet
suite de la souscription précédente. Les fables qui forment le second
ouvrage
sont au nombre de 51, si l’on y comprend la derni
tre le sujet de chacune. On les trouvera dans le second volume de cet
ouvrage
, en tête des fables du Romulus de Nilant qui sero
e siècle on avait coutume d’attribuer à Alfred le Grand « beaucoup d’
ouvrages
qu’il n’avait pas faits », mais que cette traditi
e a d’autres points d’appui. On sait, par la première édition de cet
ouvrage
, que du Romulus sur lequel a été faite la version
Marie avait entendu désigner Guillaume d’Ypres516. En 1834, dans son
ouvrage
sur les Bardes, les Jongleurs et les Trouvères, v
attestent qu’on aimait autant son personnel (sic) qu’on estimait ses
ouvrages
. Pour nous qui croyons que Marie n’écrivait pas e
erc. J’ajoute que son goût ne la portait pas vers les traductions des
ouvrages
latins, qu’elle considérait comme très méritantes
e paraphrase poétique. Elle explique elle-même qu’aux traductions des
ouvrages
latins elle avait préféré la mise en œuvre des ré
de Marie, quatorze fabliaux en vers octosyllabiques, et, après, sept
ouvrages
en vers français, dont le principal est un Bestia
t au xiiie siècle. Voici, d’après le catalogue imprimé, la liste des
ouvrages
qu’il contient : 1º L’Ymage dou monde. 2º Les fa
du Monde par Gautier de Metz qui le composa en 1245. À la fin de cet
ouvrage
on voit que ce manuscrit a été écrit en 1265. 2º
une traduction du poème latin de Marbode, évêque de Rennes. Voyez cet
ouvrage
dans l’édition des ouvrages de ce prélat par le p
in de Marbode, évêque de Rennes. Voyez cet ouvrage dans l’édition des
ouvrages
de ce prélat par le père Beaugendre. 5º Fables d’
tantinople par Baudouin. Le verso est occupé par une nomenclature des
ouvrages
contenus dans le manuscrit, suivie de cette obser
euillets en parchemin, dont l’écriture est à deux colonnes. Parmi les
ouvrages
qu’il contient, figurent les fables de Marie qui
nt l’usage adopté à Bruxelles, porte autant de cotes qu’il contient d’
ouvrages
divers. Il forme un fort volume in-fol., composé
que je les ai a mon tour introduites dans la première édition de cet
ouvrage
. Cette appréciation a été jugée inexacte par M. G
r constat duci Aurelianensi. Cet ex libris, dont M. Robert, dans son
ouvrage
sur les fables inédites des xiie , xiiie et xive
tant que la copie du manuscrit 347 C, le ms. 347 B comprend les mêmes
ouvrages
dans le même ordre. Le premier est le traité De P
annoncé par ce titre : Incipit p̱log9 sup̱ libm de naturis rer/. L’
ouvrage
se termine à la septième ligne de la première col
nglo-latin est due à M. Robert, qui, en 1825, les a publiées dans son
ouvrage
sur les Fables inédites des xiie , xiiie et xive
iantes offertes par le manuscrit 347 B, celle qu’on trouvera dans cet
ouvrage
, ce n’est pas à une besogne superflue que je me s
stellis. Item quedam miracula. Le Dérivé complet, qui esi le premier
ouvrage
contenu dans le manuscrit, commence au haut du ve
s lignes paraît être de la fin du xive siècle. Il renferme plusieurs
ouvrages
disposés dans l’ordre suivant : 1º [Æsopi fabulæ
catalogue de la Bibliothèque donne en ces termes la nomenclature des
ouvrages
qu’il contient : 1º Sermo de passione domini, in
s est de la première moitié du xve siècle. Il renferme, entre autres
ouvrages
, le Dérivé complet du Romulus anglo-latin, qui s’
l’écriture à deux colonnes est du xve siècle. Il contient plusieurs
ouvrages
. On y trouve notamment, du feuillet 98 a au feuil
uscrit fait partie d’un gros volume in-fol., qui, contenant plusieurs
ouvrages
, porte les cotes 531 à 536, dont les feuillets so
Bibliothèque, il lui a été donné autant de numéros qu’il s’y trouve d’
ouvrages
différents ; malgré cela il a été catalogué sous
aît issu de ce dernier, je les publierai dans le second volume de cet
ouvrage
. § 3. — Traductions du Dérivé complet. 1
de se reporter au texte qui sera publié dans le second volume de cet
ouvrage
. Ils m’excuseront, je l’espère, d’avoir sacrifié
en quatrains qui, dans le second volume de la première édition de cet
ouvrage
, occupe les pages 436 à 479. Les quatrains y sont
, ni le nº 1362 que, par suite de la classification adoptée pour leur
ouvrage
, ils ont ajouté au précédent, mais bien le nº 177
s, je n’ai pas cru devoir les négliger ; dans le second volume de cet
ouvrage
, on les trouvera ajoutées, sous forme de notes, a
t perdre, et mourut le 20 mars 1818. Il a publié plusieurs éditions d’
ouvrages
anciens et modernes, et notamment, en 1807, une é
utif. Il avait formé une belle bibliothèque, riche en manuscrits. Ses
ouvrages
n’ont pas tous été publiés ; le plus important, r
te-trois manuscrits, qui contiennent une partie ou la totalité de ses
ouvrages
et qui sont parvenus à ma connaissance, l’appelle
, Franck ; Leipsig, Engelmann, 1847. (Voyez p. 399.) 179. Voyez même
ouvrage
, p. 399. 180. André Contrario, littérateur du xv
ble xvii du livre III.) 197. Jugemens des savans sur les principaux
ouvrages
des auteurs, par Adrien Baillet. Revus, corrigés
iiij.) 275. J’ignore quel était ce Jacob qui lui avait commandé cet
ouvrage
, et à qui il reconnaît devoir le gouvernement de
e Hamm, en Westphalie. Érudit distingué, il a écrit un grand nombre d’
ouvrages
, dont le premier fut une étude sur Ausone, et le
t suiv., dans la notice sur Adémar, les renseignements relatifs à ses
ouvrages
.) 287. Catalogi librorum manuscriptorum Angliæ
a Fontaine, Paris, Cabin, 1825 ; 2 vol. in-8º. (Voyez, en tête de cet
ouvrage
, l’Essai sur les auteurs dont les Fables ont préc
nt la vie et les œuvres font l’objet d’une notice particulière dans l’
ouvrage
bibliographique de Bale (Baleus) publié à Bâle de
1745, a été un des premiers érudits de son époque. Parmi les nombreux
ouvrages
qu’il a composés et qu’en général il a publiés da
ipti latini bibliothecæ Nanianæ, qui parurent en 1776. C’est dans cet
ouvrage
(p. 152 à 153) qu’il exprime sa pensée sur l’aute
ed eposti da F. Palermo, T. I, p. 162 ; 2º à la page 86 du T. I de l’
ouvrage
publié à Rome en 1889 sous ce double titre : Cata
æ, apud J. Oporinum, 1557 et 1559. (Voy. t. I, p. 272.) 475. Voyez l’
ouvrage
précité, t. I, p. 273. 476. Relationum historic
ît différer de celles que M. Léopold Hervieux a fait connaître dans l’
ouvrage
intitulé : Les Fabulistes latins depuis le siècle
Discours sur la cinquantiesme Fable. La cinquantiesme Fable de cét
ouvrage
est toute pleine de judicieux advertissements. Pa
ans une espece de desespoir. Eux tout de mesme, apres avoir veu leurs
ouvrages
baffoüez, leurs tableaux effacez, et leurs pieces
os de son esprit : il s’occupa à de si hautes pensées, et composa des
ouvrages
si Divins, qu’on luy donna depuis à bon droict le
be insensiblement en un Discours, dont j’ay si souvent parlé dans cét
Ouvrage
, que je pourrois me rendre ennuyeux au Lecteur, p
eure grace, et que ceste petite imperfection releve l’excellence de l’
ouvrage
. Si elle est extrémement brune ils nous voudront
ement des Vicieux. Quant au premier poinct, toute la suitte de nostre
Ouvrage
n’est pleine que de cét advertissement. Nous avon
que. En plus de ses Cento Favole Morali, il est l’auteur de plusieurs
ouvrages
en prose et en vers, en latin et en italien : nou