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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — Epilogue »
Epilogue Bornons icy cette carriere. Les longs Ouvrages me font peur. Loin d’épuiser une matiere, On n’en
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVII. Parole de Socrate. » p. 500
le de Socrate. Socrate un jour faisant bâtir, Chacun censuroit son ouvrage . L’un trouvoit les dedans, pour ne luy point ment
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « A monseigneur, le dauphin. »
ongere, Contient des veritez qui servent de leçons. Tout parle en mon Ouvrage , et mesme les Poissons. Ce qu’ils disent s’adress
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
espoüilles d’autruy, et transportent des feüillets entiers dans leurs ouvrages , jusques à s’accommoder des inventions des morts,
t de vie. Ce fût ainsi qu’Homere s’ayda un peu trop familierement des Ouvrages d’Orphée et de Linus ; Virgile de ceux d’Ennius,
e la lice. Je ne trouve, ce me semble, rien plus à propos dans tout l’ ouvrage de nostre Phrygien, que ceste comparaison du Pres
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVI. Le Serpent et la Lime. » p. 93
Croyez-vous que vos dents impriment leurs outrages Sur tant de beaux ouvrages  ? Ils sont pour vous d’airain, d’acier, de diaman
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — FABLE I. Le Buscheron et Mercure. » p. 173
ron et Mercure. A.M.L.C.D.B. Vostre goust a servi de regle à mon Ouvrage . J’ay tenté les moyens d’acquerir son suffrage. V
s Agneaux aux Loups ravissans, La Moûche à la Fourmy ; faisant de cet ouvrage Une ample Comedie à cent actes divers, Et dont la
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
timents magnifiques, comme des Mausolées, des Colosses, et quantité d’ ouvrages semblables. Car on a presque tousjours veu finir
r les bornes qu’elle s’est prescripte ? Que si nous voulons venir des ouvrages des Roys, à ceux des Particuliers, n’y en a-t’il
e que nous faisons, tant pour la production de l’esprit, que pour les ouvrages materiels ? C’est veritablement à une petite Sour
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XII. La Colombe et la Fourmy. » p. 235
urut ; et fit tant par ses dents, Qu’une maille rongée emporta tout l’ ouvrage . Patience et longueur de temps Font plus que forc
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — IX. Le Lion et le Moucheron. » p. 255
se cache, on tremble à l’environ : Et cette alarme universelle Est l’ ouvrage d’un Moûcheron. Un avorton de Moûche en cent lieu
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
embres et l’Estomach. Je devois par la Royauté
 Avoir commencé mon Ouvrage .
 A la voir d’un certain costé,
 1Messer Gaster
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VIII. La Goute et l’Araignée. » p. 587
e ;
 Voilà des moûcherons de pris.
 Une servante vient balayer tout l’ ouvrage .
 Autre toile tissuë, autre coup de balay.
 Le pa
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIV. Simonide préservé par les Dieux. » p. 522
z davantage.
 Enfin l’éloge de ces Dieux
 Faisoit les deux tiers de l’ ouvrage .
 L’Athlete avoit promis d’en payer un talent :

13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 125 » pp. 100-100
déesse une maison, prirent Momos pour arbitre. Momos, jaloux de leurs ouvrages , commença par dire que Zeus avait fait une bévue
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
riginal, ne trouvent point de meilleur moyen que de leur dedier leurs Ouvrages . Je n’ay donc pas mauvaise raison de les imiter,
rrections necessaires, je me persuade d’avoir comme renouvellé tout l’ Ouvrage , par les divers Raisonnemens de Morale et de Poli
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
e l’Historien Tite-Live, loüe perpetuellement les Romains en tout son ouvrage , si ce n’est de hazard quand leurs fautes sont tr
donne à son ancre la teinture de ses passions, et ne transmette à son ouvrage les maladies dont il est taché ; tout de mesme qu
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
ous, tant y a qu’ils se plaisent quelquesfois à destruire leur propre ouvrage .  
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
erieures, ou s’il a de grands ressentiments de charité ; car c’est un ouvrage du cœur, et non des actions. Toutesfois il arrive
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
avons fait plaisir, et que cela nous oblige à les considerer comme un ouvrage de nostre main. De plus, il se proposera mille fo
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
ivre à jamais, et dans l’Histoire de nostre temps, et dans les autres ouvrages des hommes de lettres. En voicy un qui pourroit b
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
fût à les faire, je ne croirois pas qu’il y eût au monde un meilleur ouvrage que celuy-cy. Car il n’est point d’avanture ny de
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
st clair de soy-mesme, et bien digne de consideration, puis qu’en cét Ouvrage l’ingenieux Esope s’est imaginé diverses peinture
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
litez, que nous avons enchaisnées l’une à l’autre en la suitte de cét Ouvrage , comme pour traicter d’une matiere fort plausible
t animal, et plus encore de son esprit, se resolut de le tromper en l’ ouvrage qu’il luy avoit apporté. Et de faict, il feignit
’estende là dessus, à cause de la briefveté que j’affecte en tout cet Ouvrage . Il n’est celuy d’entre nous qui n’en ait veu des
animaux chantent les merveilles de Dieu, et que par eux, qui sont ses Ouvrages , on cognoist la Toute-puissance de l’Ouvrier. Je
is le but de la vraye Poësie, bien que toutesfois elle differe de cét ouvrage , en ce qu’elle ne met en avant que des hommes et
23 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
u indirects de son œuvre. C’est là, quant à présent, que s’arrête mon ouvrage . Mais je n’ai atteint qu’une première station. Qu
e à tous ceux dont il avait à exposer ou à discuter les opinions. Son ouvrage sera désormais la base de tout ce qu’on écrira su
’il nous donnera bientôt la suite qu’il nous fait attendre. Un second ouvrage , ayant pour objet Avianus et ses imitateurs, est
tend, ce n’est pas un succès lucratif, auquel ne saurait prétendre un ouvrage qui a dû coûter si cher à préparer et à publier ;
ureux, en exprimant à M. Hervieux toute notre estime pour son premier ouvrage , de penser que nous pourrons contribuer en quelqu
titut l’avait tenu au moment même auquel ce qu’il appelle mon premier ouvrage avait paru, c’est-à-dire au commencement de 1884,
oses, j’éprouve le très vif regret d’avoir livré au public un premier ouvrage défectueux, et, convaincu que le nouveau donne se
les Manuscrits connus et inconnus qui les renferment. Plan de l’ ouvrage . L’étude que j’entreprends embrasse un vaste c
uvres latines qui en ont été l’imitation, j’ai cru devoir diviser mon ouvrage en trois livres consacrés : Le premier, à l’œuvre
ès J.-C.45. Quant au Père Desbillons, il n’ose pas fixer une date à l’ ouvrage de Phèdre46. Il affirme seulement que les deux fa
-dire Municipii Tarsensis libertus. Je dois en outre signaler, dans l’ ouvrage de Gruter, cette inscription trouvée dans le couv
pour imiter ces artistes qui, afin d’amorcer le public, signent leurs ouvrages du nom de Praxitèle : Æsopi nomen sicubi interpo
s loisirs qu’il recherchait et qui lui permirent d’écrire de nouveaux ouvrages et notamment de publier la loi des Wisigoths. Pen
de connaissances littéraires, se composait de passés 5 000 volumes d’ ouvrages imprimés et d’à peu près 600 volumes manuscrits.
âtelet, neveu de Jacques Leschassier, jurisconsulte célèbre, dont les Ouvrages sont réunis en un volume in-4º, imprimé en 1649,
rso. Les autres, qui ne sont point numérotés, renferment une espèce d’ ouvrage d’histoire naturelle fabuleuse, ou description d’
uillet déchiré à la fin, et il y en avait d’autres dans le corps de l’ ouvrage . M. Pithou en fait la remarque, et il indique ces
ion, comme le dit M. Adry, qu’il y ait des lacunes dans le corps de l’ ouvrage . Quant à ce prétendu feuillet déchiré, après la d
offre des inconvénients notables. Il résulte de son application que l’ ouvrage de M. Berger de Xivrey montre bien en quoi le man
éans, qui l’accompagna de ses notes, et il faut convenir que c’est un ouvrage qui paraîtrait peu digne aujourd’hui d’une grande
ner, ignorant l’existence de ce petit volume, je consultai les autres ouvrages qui me parurent le plus propres à m’éclairer. Je
n du savant cardinal130, et moi-même, dans la première édition de cet ouvrage , j’avais exprimé le même avis. J’ignorais que, da
t Asino, et au-dessus du titre se trouve la désignation générale de l’ ouvrage dans les termes suivants : Phedi Aug. Liber. L.
e : « Burmanni Syllog. Epp., t. IV, p. 42. » Quant à Burmann, dans l’ ouvrage cité par Schwabe, il avait publié une lettre écri
d’une publication séparée et qu’elles figurent noyées dans un immense ouvrage , elles ont le plus souvent échappé à l’attention
ire ici quelques mots. Lorsque j’ai publié la première édition de cet ouvrage , je ne l’avais pas encore rencontré. Si je l’avai
c une exactitude mathématique, et si, dans la première édition de cet ouvrage , je n’avais pas déjà, par la publication des vari
examinés. J’ai donc à m’occuper du sien ; mais, avant de parler de l’ ouvrage , je crois devoir dire d’abord quelques mots de l’
été un des premiers philologues de son temps. Il a laissé de nombreux ouvrages , dont la nomenclature nous a été donnée d’abord p
pas ingrat envers son oncle. Il s’occupa après sa mort de publier ses ouvrages , et ce fut lui qui, en 1489, fit imprimer à Venis
é l’existence. Voici tout entière la nomenclature qu’il y donnait des ouvrages de Perotti : 1. Polybii libri V priores, e græco
scrit de l’Epitome de Perotti 161. » Dans la première édition de mon ouvrage sur les Fabulistes latins, je n’avais pas complèt
dans ses Dissertazioni Vossiane, donné une nouvelle nomenclature des ouvrages de Perotti, dont il avait élevé le nombre de ving
public, il semblait que Cassitto n’avait pu rien emprunter à ces deux ouvrages . Mais, soit qu’il connût quelque employé de l’imp
sunt annotati. » Dans les autres on lit la nomenclature suivante des ouvrages contenus dans le manuscrit : 1º Christophori Land
écouverte, n’avait encore publié que les deux premiers volumes de son ouvrage intitulé Classicorum auctorum è Vaticanis codicib
aticane lui révéla le véritable texte et le détermina à ajouter à son ouvrage un supplément, qui parut, également à Zurich, en
dites Fables nouvelles. Section I. Fables anciennes. De tous les ouvrages que l’antiquité nous a légués, il n’en est pas un
t à cette pression si cavalièrement exercée sur leur conscience : les ouvrages qu’ils publièrent en font foi. À défaut des manus
bles n’étaient pas encore imprimées et qu’il en rapporte une comme un ouvrage de sa façon198. » Burmann lui-même ne sut pas, d
irmation fausse, que probablement, s’il avait pu publier lui-même son ouvrage , il aurait aperçue et rectifiée. Malheureusement
our à tour d’expliquer la phrase de Sénèque : G.-J. Vossius, dans son ouvrage intitulé De poetis latinis et publié en 1654 aprè
ence. Mais un des plus sçavans hommes de l’Europe, M. Christ, dans un ouvrage qui est un jeu pour lui, et qui seroit pour tout
êque : il se peut très-bien qu’il ait mis alors cette Fable parmi ses Ouvrages , et que l’y ayant retrouvée dans un âge avancé il
autre la donne à Pérotti. Pour décider il faut la lire dans les deux Ouvrages et reconnoître son auteur en comparant les stiles
rs Auteurs du Siécle d’Auguste. De-là il conclut que le Phedre est un Ouvrage supposé. Mais comme il y a dans chaque Auteur bie
bère, comme si elles s’étaient passées sous ses yeux. Ce n’est pas un ouvrage , comme il y en a beaucoup, qu’on peut, faute de r
rsonne compétente ne conteste l’authenticité, et dont cependant aucun ouvrage ancien ne fait mention. Il est vrai que Sénèque n
crivains plus récents, ne rencontrant pas ces particularités dans les ouvrages connus des anciens, n’ont pas pu les reproduire,
s la prosodie latine, l’homme le plus expert de son époque. Parmi les ouvrages didactiques dont il fut l’auteur, il en est deux
traités de versification. De pareils écrits, qui sont avant tout des ouvrages de patience, ne peuvent guère sortir d’une plume
e notions acquises dans la jeunesse. Non, car il avoue encore que son ouvrage lui a coûté une peine infinie : Qua in re incred
a Fontaine, par M. Beuzelin père, ancien chef d’Institution à Paris ; ouvrage revu et continué par l’abbé Beuzelin, officier de
é à l’étude tous les loisirs de sa vie monastique, et écrit plusieurs ouvrages , dont, avant son départ, il avait disposé en fave
ée et publiée dans la Nouvelle Bibliothèque des manuscrits. C’est des ouvrages d’Adémar à peu près le seul qui ait vu le jour ;
vers acrostiches, conservés dans les Analecta de Mabillon, ses autres ouvrages n’ont pas été imprimés286. Le manuscrit, que je v
plis par des dessins à la plume destinés à servir d’illustrations à l’ ouvrage de Prudence connu sous le nom de Psychomachia seu
petit traité d’astronomie qui occupe les fol. xxx b à xxxii b ; 2º l’ ouvrage d’Hyginus, qui s’étend du fol. clv a au fol. clxx
: Prologus. Ce prologue se compose de dix vers ; à la suite vient l’ ouvrage lui-même, dont la nature est, avec le nom de l’au
in Christi nomine, amen. L’écriture ne paraît pas être d’Adémar. L’ ouvrage est entier ; il se termine au recto du fol. cvi.
nuscrit a été tout entier écrit par la même main, et cela, malgré les ouvrages très dissemblables qu’on y trouve et dont il donn
trouve et dont il donne la nomenclature suivante : Fol. 1 a à 59 b. —  Ouvrage intitulé : Juliani Toletani prognosticorum futur
a credenda , etc. Tross ajoute qu’entre ce prologue et la partie de l’ ouvrage que M. Berger de Xivrey a prise à tort pour le co
gardé le silence sur le manuscrit, cela tient à ce que, à cause de l’ ouvrage de Julien Toletan et de quelques autres opuscules
ider, je voulus voir si je ne pourrais pas trouver dans quelque autre ouvrage des renseignements plus complets. Je me rappelai
, je m’étais empressé de me faire expédier plusieurs exemplaires de l’ ouvrage qui m’était signalé. J’y recourus, et je trouvai,
, qui, portant en gros caractères rouges et noirs le titre du premier ouvrage du manuscrit, n’aurait pas dû être omis. Il a été
ut de la page le bibliothécaire Ebert a donné, de sa main, au premier ouvrage le titre suivant : Juliani episcopi toletani pro
opi toletani prognostica futuri seculi. Fol. 59 b. — Fin du premier ouvrage terminé par cette souscription en capitales à l’e
même encre, on lit l’hexamètre suivant qui sert de titre à un nouvel ouvrage  : Hunc cecinit  | Salomon mira dulcedine librum.
disparu, et c’est en m’aidant surtout du texte du dérivé qui dans cet ouvrage portera le nom de Romulus ordinaire, que je vais
des imitations latines, dont la plus importante sera étudiée dans cet ouvrage sous la dénomination de Dérivé complet. En tête d
ablir la distinction entre les deux auteurs, il s’était appuyé sur un ouvrage publié à Venise, en 1513, sous ce titre : Supple
loin de la vieille édition d’Ulm, et devant enfin la publier dans cet ouvrage avec les fables elles-mêmes, je m’abstiens de la
s la dénomination d’Aesopus et dédié à un certain Rufus. C’est de cet ouvrage , qui depuis a disparu, que, nul exemplaire de Phè
elles elles sont l’élément dominant, et je ne donnerai asile dans cet ouvrage qu’aux textes dont le Romulus primitif aura été l
ccessives. Aussi est-ce lui et sont-ce ses sous-dérivés qui, dans cet ouvrage , occuperont la plus large place. À la rigueur, po
ème, au bas de la première colonne. Au haut de la seconde commence un ouvrage qui a dû être composé à l’usage des écoliers ; ca
s’occupe depuis longtemps de réunir des matériaux importants pour un ouvrage semblable, j’ai eu connaissance d’une copie de Ro
ouve du moins une fois de plus que la composition originaire de notre ouvrage s’est conservée pendant des siècles entiers sans
u à la bibliothèque publique de Maëstricht est relié avec deux autres ouvrages , qu’à raison de leur contenu je crois devoir anal
538, et dans sa cinquième édition (1864), tome V, p. 1215, a cité cet ouvrage , mais n’a pas signalé la précieuse édition du xve
un second prologue en vers élégiaques, qui se lie plus intimement à l’ ouvrage composé tout entier dans le même rythme, qui est
iption est accompagnée de ces mots qui annoncent le commencement de l’ ouvrage lui-même : Incipit pars executiua. Au bas du re
u dernier feuillet on lit : Explicit speculum stultorum. Le second ouvrage , réuni sous la même couverture, est, au point de
occupé par la table des matières, que, pour indiquer le contenu de l’ ouvrage , je crois devoir transcrire ici : Capitulum prim
e eo qui perhibet consilium alteri. et sibi ipsi nescit consulere. L’ ouvrage qui suit cette table a été, comme la table elle-m
. 1 b (a i b). — Table donnant les titres des dix-sept chapitres de l’ ouvrage . Fol. 2 a (a ii a) à 60 a (h vi a). — Prologue et
’avais été accidentellement entraîné, dans la première édition de cet ouvrage , à donner l’analyse détaillée de ce livre, dont,
Leeu de 1486. Si l’on ouvre, à la page 444, le premier volume de l’ ouvrage de Panzer, on y trouve sous le nº 27 l’indication
ition in-fol. qui avait été achevée le 6 juin 1481, et, la vogue de l’ ouvrage ne diminuant pas, il en avait, en 1482, fait para
adopté le même format et copié les gravures des premières éditions. L’ ouvrage qui forme un petit in-folio de 203 feuillets, se
ternants de six et de huit feuillets. Fol. 1 a (a. i a). — Titre de l’ ouvrage ainsi conçu : Esopi appologi siue mythologi cum 
Voici l’analyse du volume : Fol. 1 a. — Il est consacré au titre de l’ ouvrage ainsi conçu : Das buch des hochbe-|remten (sic)
nature. Fol. 5 a. — Commencement de la seconde table, divisée comme l’ ouvrage en deux parties. Voici le contenu des feuillets n
donnés ensemble. » Une préface indique ensuite que Brant a écrit son ouvrage pour l’instruction de son fils Onophrius. Les fab
par Gregoire Bonte, en la | rue de Chambre. 1532. Au fol. 128 a, l’ ouvrage se termine par une souscription ainsi conçue : C
20, dont les 62 premières se rapportent seules à celles de Romulus. L’ ouvrage se termine par cette souscription finale : Fin d
huit, le nombre total des feuillets est de 142. Ils sont chiffrés. L’ ouvrage commence par ce titre placé en tête du recto du p
autres éditions contemporaines et peut-être encore plus grossière. L’ ouvrage est terminé par un épilogue dont Caxton est l’aut
ravaux typographiques du célèbre imprimeur anglais, je leur signale l’ ouvrage qui a été publié en 1863, à Londres, en deux beau
, qui, quoique incomplet, me permet du moins d’indiquer le titre de l’ ouvrage . Le voici : Esopus leuen ende fabulen, ende die
nt de Beauvais, c’est d’abord parce que, compris dans les plus grands ouvrages de cet illustre encyclopédiste, ils en ont partag
4354-14355. Mais ces manuscrits ne contenant pas tous intégralement l’ ouvrage historique de Vincent de Beauvais, il s’ensuit qu
e proposant de joindre aux textes, qui seront publiés à la fin de cet ouvrage , le Romulus du Miroir historial, je n’ai pas cru
Secundum Augustinum… » — Fol. 1-3. Table. — Fol. 3. Commencement de l’ ouvrage  : « Quoniam multitudo librorum et temporis brevit
hapitres des livres I à XXXII, fol. 12-15, sur 4 colonnes. Début de l’ ouvrage  : « Deus est substancia incorporea… » Ce premier
celle d’une main française du xve  siècle. Il renferme, entre autres ouvrages , le Romulus de Vincent de Beauvais tiré du Miroir
es mots : Deo gratias. Amen. Section III. Éditions latines des ouvrages de Vincent de Beauvais.     Quoiqu’il existe e
ier feuillet ne renferme que 27 lignes, dont la dernière, terminant l’ ouvrage , est ainsi conçue : rialis. p̱patescunt. Amen 36
lonnes de 67 lignes par page sans gardes, signatures ni pagination. L’ ouvrage qui embrasse 400 feuillets se termine à la deuxiè
nsi : Incipit primvs liber specvli moralis || [I] N omnibus operi. L’ ouvrage se termine au verso de l’avant-dernier feuillet,
faisait paraître, dans le format in-folio, le Speculum historiale. L’ ouvrage est précédé d’une table alphabétique, et terminé
feuillet on lit : Incipit primus liber Speculi moralis Vincentii. L’ ouvrage se termine par cette souscription : Anno incarna
ctrinalis. Speculum doctrinale Vincentii beluacensis Incipit , etc. L’ ouvrage est terminé par la souscription suivante qui révè
V. Éditions anglaises de Caxton.     Toujours attentif aux grands ouvrages publiés en langue française et toujours ardent à
Devant publier le texte de ces fables dans le second volume de cet ouvrage , je m’abstiens ici de toute autre explication.
nt l’écriture à longues lignes est du xve  siècle, et contient divers ouvrages dont le catalogue imprimé394 donne la nomenclatur
posé de fables d’Eude de Cherrington. Dans la première édition de cet ouvrage j’ai analysé et publié l’œuvre de ce moine ; j’y
rendre compte de la valeur de cette hypothèse, je me suis reporté à l’ ouvrage de Girald Barry intitulé Itinerarium Cambriae 409
r ce nom, voici ce qu’il expliquait ensuite dans une des notes de son ouvrage  : « J’aurois dû écrire Gauffredus ; car, dans le
anglaise des distiques dont le style se rapproche assez de celui de l’ ouvrage dont nous parlons ; mais il y avoit, au commencem
trouver la preuve qu’un certain maître Galfred en ait été l’auteur. L’ ouvrage est au contraire attribué à Ésope, et les mots ed
tion des fables de Phèdre, M. Dressler, qui paraît n’avoir connu ni l’ ouvrage de M. Robert ni la glose du manuscrit 8023, préte
ster des doutes, celui-ci fut facilement accepté. Il est vrai que les ouvrages connus du célèbre Hildebert permettaient de le cr
tionnaire bibliographique la vie de Walther l’Anglais. Je possédais l’ ouvrage de Jean Bale, imprimé à Bâle de 1557 à 1559421 ;
xve  siècle, on en trouve d’autres que, dans le second volume de cet ouvrage , je placerai à la suite des soixante premières. F
s manuscrits que j’ai déjà examinés. Les fables sont suivies de trois ouvrages poétiques, dont le premier paraît complet, à en j
minent : Explicit doctrina magistri Johannis Faceti, etc. Quant à l’ ouvrage lui-même, on le rencontre souvent dans les ancien
a cote du manuscrit, et, n’en rencontrant pas le signalement dans son ouvrage , j’ai eu beaucoup de peine à le retrouver. Y étan
n, dont l’écriture fort nette est du commencement du xve  siècle. Les ouvrages qu’il renferme sont les suivants : 1º le livre de
aujourd’hui relié en veau. Les fables en vers élégiaques sont le seul ouvrage qu’il renferme ; mais elles sont plus qu’au compl
u’à l’époque de la Révolution. Les fables de Walther, qu’entre autres ouvrages il renferme, commencent sans titre général au mil
. On les trouvera dans l’appendice, qui, dans le second volume de cet ouvrage , fera suite aux soixante premières fables. Après
e sous ce numéro les mots varia carmina, qui ne s’appliquaient qu’aux ouvrages formant le manuscrit 713. Il ne s’en tint pas là.
ive  siècle, et qui contient, soit en totalité, soit par extraits, 31  ouvrages différents. Les fables de Walther en sont le dix-
ième plat, et, comme la plupart des manuscrits, il comprend plusieurs ouvrages . Les fables de Walther commencent au feuillet 105
choix des éditions, précieuse par ses manuscrits, ses estampes et les ouvrages rares qu’elle renferme. Il la commença en 1734, e
Le feuillet 79 est blanc. Les feuillets 80 à 126 sont remplis par un ouvrage religieux intitulé : Lumen animæ. Cet ouvrage e
6 sont remplis par un ouvrage religieux intitulé : Lumen animæ. Cet ouvrage est précédé d’une table qui occupe les feuillets 
ent du feuillet 81 b au milieu du feuillet 82 b. Ils sont suivis de l’ ouvrage lui-même, dont le premier chapitre est annoncé en
table des matières donne dans les termes suivants la nomenclature des ouvrages contenus dans le manuscrit : Speculum confession
monasterii Sancti Mathie apostoli extra Treviros. Il contient trois ouvrages , dont l’énumération figure au-dessus de l’ex-libr
n papier et dont l’écriture est du xve  siècle. Il comprend plusieurs ouvrages , dont la nomenclature a été, dans les termes suiv
cim patriarchis. Esopus. Liber Senece de forma et honestate vite. L’ ouvrage désigné par le mot Esopus n’est en réalité pourvu
querit uterque lacum fluentem. Il en est ainsi jusqu’à la fin de l’ ouvrage , qui se termine par cette souscription : Explici
’on trouvera parmi celles de l’appendice dans le second volume de cet ouvrage . Le distique final ainsi transposé est lui-même,
auparavant sur un feuillet disparu. Les fables étaient précédées d’un ouvrage de grammaire composé en vers par le professeur Al
le, forme un volume in-4º de 245 feuillets en papier et comprend onze ouvrages . Les fables, qui en sont le cinquième, occupent
 46, forme un volume in-folio de 116 feuillets. Il renferme dix-huit ouvrages , dont les fables de Walther sont le quatorzième.
la suite. Les fables élégiaques, qui sont le huitième des vingt et un ouvrages qu’il renferme, commencent au recto du feuillet 8
renferme les épimythions des 60 fables de Walther. Il comprend quinze ouvrages dont ces épimythions sont le treizième. G. Man
rum Galterum composuisse). Le manuscrit renferme au total vingt-cinq ouvrages divers. H. Manuscrit 7680. Ce manuscrit, qu
e catalogue, sont intitulées Liber Esopi et sont le dernier des trois ouvrages qui s’y trouvent. I. Manuscrit 14134. Ce ma
fabulae versibus elegiacis expressae , et suivies de quatorze autres ouvrages . J. Manuscrit 14301. Ce manuscrit, dont le
ention : Em. F 89, forme un volume in-4º de 429 feuillets. Parmi les ouvrages variés qu’il contient et qui sont au nombre de do
 : Em. G. 87, forme un volume in-4º de 161 feuillets et renferme six ouvrages , dont le premier est le Novus Avianus de Vienne,
ntion : S. Nic. 213. Il se compose de 336 feuillets et renferme sept ouvrages , parmi lesquels figurent, accompagnées d’un comme
in-4 du xve  siècle composé de 236 feuillets. Il renferme de nombreux ouvrages énumérés dans le catalogue de la Bibliothèque. Le
chemin, et dont l’écriture est du xive  siècle. Il comprend plusieurs ouvrages désignés par ces titres : Flores Senecæ, Virgili
été gravé en grands caractères gothiques. Les fables élégiaques, seul ouvrage contenu dans le manuscrit, sont au nombre de 63 ;
en parchemin et écrit par une main du xve  siècle. Il contient quatre ouvrages désignés par les titres suivants : Theodolus, Eso
n parchemin et écrit par une main du xive  siècle. Il contient quatre ouvrages annoncés par ces titres : Catonis disticha, Gramm
le, occupe seulement 27 feuillets. Aussi ne renferme-t-il pas d’autre ouvrage que les fables de Walther. On n’y trouve que les
est intacte, je pourrai, en les publiant dans le second volume de cet ouvrage , reconstituer les vers que M. Robert n’avait pas
un petit in-fol. de 65 feuillets en parchemin, qui renferme les trois ouvrages suivants : 1º Fabulæ anonymi, 2º Præcepta rethori
olume in-4º, dont les soixante-quatre feuillets sont occupés par deux ouvrages intitulés, le premier : Exopi fabulæ , le second
ne du xive  siècle, le premier sur parchemin, le second sur papier. L’ ouvrage appelé Exopi fabulæ consiste dans 62 fables, comp
, partie en parchemin et partie en papier. Il ne renferme pas d’autre ouvrage que les fables de Walther qui remplissent les feu
parchemin et dont l’écriture est du xiiie  siècle. Il comprend trois ouvrages , savoir : les distiques de Denys Caton, les fable
r pages, dont l’écriture est à deux colonnes. Il contient de nombreux ouvrages en prose et en vers et notamment les fables de Wa
 siècle. D’après la table manuscrite placée en tête, il renferme onze ouvrages , dont les fables de Walther, comprenant les soixa
. Je donnerai plus loin, d’après M. Endlicher, la nomenclature des ouvrages contenus dans le manuscrit 303. Quant à présent,
cement du volume et trois à la fin. Le manuscrit ne comprend que deux ouvrages . Le premier est la collection des épigrammes de P
ombre de 120 et portent une écriture du xve  siècle. Il contient deux ouvrages . Le premier est un poème religieux qui occupe les
88 et contenir une partie des quarante et une premières fables. Car l’ ouvrage précédent est complet, et les deux feuillets perd
ompose de 63 feuillets en parchemin qui renferment divers fragments d’ ouvrages latins et dont les écritures sont les unes du ixe
me in-4º, dont les feuillets sont en papier et qui renferme plusieurs ouvrages écrits à des époques très diverses. L’écriture de
liothèque du palais Brera renvoie pour plus amples renseignements à l’ ouvrage suivant de Muratori : Antiq. Itat. medii ævi, t. 
en parchemin, dont l’écriture est du xive  siècle. Il contient quatre ouvrages , qui sont sur un premier feuillet en papier indiq
s la nomenclature qu’on lit sur un feuillet ajouté en tête, plusieurs ouvrages énumérés dans les termes suivants : 1º Catonis c
e grammatice (fol. 83 a à 89 a). Les fables qui forment le troisième ouvrage sont celles de Walther. Elles comprennent non seu
siècle. Voici, telle qu’elle figure au catalogue, la nomenclature des ouvrages contenus dans le manuscrit : 1º Fol. 1 a. Donati
sibus elegis, etc. Les fables de Walther, qui forment le dernier des ouvrages contenus dans le manuscrit, en occupent les feuil
italienne à longues lignes est du xive  siècle. Il renferme plusieurs ouvrages tant en prose qu’en vers, parmi lesquels les fabl
e, et il n’y a pas lieu d’en tenir compte. Le manuscrit renferme deux ouvrages . Le premier, qui s’étend du feuillet 1 a au mili
scopus Reginensis. De vita atciva (sic) et contemplativa. Le second ouvrage consiste dans les fables de Walther, qui, partant
t dont l’écriture, due à une main italienne, est du xive  siècle. Les ouvrages qu’il contient sont énumérés dans les termes suiv
quatre feuillets en parchemin du format in-4º et ne renferme que deux ouvrages . Le premier, en vers hexamètres, commence, sans t
ce qu’il est : Explicit liber Senece. Deo gratias. Amen. Le second ouvrage , qui commence au haut du feuillet 7 a, consiste d
s. Voici, telle qu’elle figure en tête du volume, la nomenclature des ouvrages qu’il renferme : 1. Æsopi fabulæ. 2. De natura q
nter Errorem et Veritatem, etc. 4. Henricus Septimellensis. Tous ces ouvrages sont en vers. Les fables de Walther, qui forment
du xive  siècle. Voici, d’après le Catalogue de la Bibliothèque, les ouvrages qui s’y trouvent : 1º Æsopi Phrygii fabulæ ; 2º
sur deux colonnes appartient au xiiie  siècle. Il renferme plusieurs ouvrages dont le cinquième consiste, non pas dans les fabl
iure est en bois et les feuillets en papier et qui renferme plusieurs ouvrages . Les fables, dont l’écriture est du xve  siècle,
t sur papier ; elle est certainement du xve  siècle. En effet, un des ouvrages contenus dans le volume porte en souscription la
e 1488, sans cesser de paraître seules, elles sont réunies à d’autres ouvrages poétiques dans des éditions qui, à raison de leur
us anglo-latin dont on trouvera le texte dans le second volume de cet ouvrage . Voici les premières phrases qui y faisaient suit
um alani. || Fabularum Esopi. || Floreti. Tel est le titre complexe d’ ouvrages , au nombre desquels sont les fables de Walther. A
us le nº 2075 substitué au nº 2044, un exemplaire relié avec d’autres ouvrages . Telle est la nomenclature chronologique des édit
ur, est la réimpression de celle de 1519. Elle contient, entre autres ouvrages , les fables de Walther attribuées à Salon et préc
ix portraits, dont neuf ont la prétention d’être ceux des auteurs des ouvrages contenus dans le volume. Nous sommes ici encore e
yonnaise, mais d’une réimpression augmentée ; car à la suite des huit ouvrages ordinaires il en existe un neuvième. Elle forme u
m glosa finit feliciter. Au recto du dernier feuillet du volume les ouvrages qu’il contient sont terminés par cette souscripti
raductions en langage vulgaire des fables de Walther. C’est d’après l’ ouvrage de M. Ghivizanni que j’en vais donner une analyse
no Ghivizzani, à qui j’emprunte cette nomenclature, affirme, dans son ouvrage intitulé : Il Volgarizzamento delle Favole di Ga
a date suivante : A di 20 di Mago 1523. Le manuscrit renferme deux ouvrages mentionnés en ces termes par M. Palermo : 1º  Vol
n dont l’écriture à longues lignes est du xve  siècle. Le premier des ouvrages qu’il renferme est une traduction italienne en la
ed. Édition en 1 volume qui est le vingt-sixième d’une collection d’ ouvrages destinés à l’instruction de la jeunesse. En consé
e édition à la Bibliothèque nationale, où, longtemps réuni à d’autres ouvrages , il a porté avec eux la cote 6534 Y. La Grenville
un Italien nommé Bartholomi Mascara, qui n’avait voulu en faire qu’un ouvrage classique destiné à être mis entre les mains des
l’épimythion des siennes. En se référant dans le second volume de cet ouvrage au texte du manuscrit 14961, on verra combien il
maison établie Exeter et qu’il y écrivit la plus grande partie de ses ouvrages . Le nombre en est extraordinaire ; Bale, qui en s
in-8º allongé, composé de 126 feuillets en parchemin. Il renferme les ouvrages suivants : 1. Johannis de Hauvilla liber de pote
même en est plus ancienne, et par suite plus voisine de l’époque où l’ ouvrage latin a été composé. 1º Première traduction.
ume est résumé dans une table des matières placée en tête. Le dernier ouvrage est intitulé : De la misère de l’ome. Il commen
sur parchemin en gothique de la fin du xive  siècle. Il contient deux ouvrages , les fables françaises qui occupent les 54 premie
illets, et le Bestiaire d’amour qui remplit les 40 derniers. Ces deux ouvrages sont séparés par les feuillets 55 et 56, qui sont
Comme on trouvera les deux collections dans le deuxième volume de cet ouvrage , on pourra, en les comparant, s’édifier complètem
1 vol. in-4º489. Je me borne à indiquer, d’après lui, les titres des ouvrages qu’il renferme : I. Fol. 1 a à 9 a. — Dyonysii C
lis. La nomenclature qui précède montre quels nombreux et différents ouvrages sont contenus dans le manuscrit 303. Pour ne parl
le format in-8º et dont l’écriture est du xive  siècle, renferme les ouvrages suivants : 1º Catonis sententiæ (fol. 1 a à 14 b
ction I. Observation préliminaire. Dans la première édition de cet ouvrage , il n’a pas été question de la collection que je
n porte également une décision judiciaire. Le manuscrit renferme deux ouvrages . Le premier, qui commence au recto du 2e feuillet
suite de la souscription précédente. Les fables qui forment le second ouvrage sont au nombre de 51, si l’on y comprend la derni
tre le sujet de chacune. On les trouvera dans le second volume de cet ouvrage , en tête des fables du Romulus de Nilant qui sero
e  siècle on avait coutume d’attribuer à Alfred le Grand « beaucoup d’ ouvrages qu’il n’avait pas faits », mais que cette traditi
e a d’autres points d’appui. On sait, par la première édition de cet ouvrage , que du Romulus sur lequel a été faite la version
Marie avait entendu désigner Guillaume d’Ypres516. En 1834, dans son ouvrage sur les Bardes, les Jongleurs et les Trouvères, v
attestent qu’on aimait autant son personnel (sic) qu’on estimait ses ouvrages . Pour nous qui croyons que Marie n’écrivait pas e
erc. J’ajoute que son goût ne la portait pas vers les traductions des ouvrages latins, qu’elle considérait comme très méritantes
e paraphrase poétique. Elle explique elle-même qu’aux traductions des ouvrages latins elle avait préféré la mise en œuvre des ré
de Marie, quatorze fabliaux en vers octosyllabiques, et, après, sept ouvrages en vers français, dont le principal est un Bestia
t au xiiie  siècle. Voici, d’après le catalogue imprimé, la liste des ouvrages qu’il contient : 1º L’Ymage dou monde. 2º Les fa
du Monde par Gautier de Metz qui le composa en 1245. À la fin de cet ouvrage on voit que ce manuscrit a été écrit en 1265. 2º
une traduction du poème latin de Marbode, évêque de Rennes. Voyez cet ouvrage dans l’édition des ouvrages de ce prélat par le p
in de Marbode, évêque de Rennes. Voyez cet ouvrage dans l’édition des ouvrages de ce prélat par le père Beaugendre. 5º Fables d’
tantinople par Baudouin. Le verso est occupé par une nomenclature des ouvrages contenus dans le manuscrit, suivie de cette obser
euillets en parchemin, dont l’écriture est à deux colonnes. Parmi les ouvrages qu’il contient, figurent les fables de Marie qui
nt l’usage adopté à Bruxelles, porte autant de cotes qu’il contient d’ ouvrages divers. Il forme un fort volume in-fol., composé
que je les ai a mon tour introduites dans la première édition de cet ouvrage . Cette appréciation a été jugée inexacte par M. G
r constat duci Aurelianensi. Cet ex libris, dont M. Robert, dans son ouvrage sur les fables inédites des xiie , xiiie et xive
tant que la copie du manuscrit 347 C, le ms. 347 B comprend les mêmes ouvrages dans le même ordre. Le premier est le traité De P
annoncé par ce titre : Incipit p̱log9 sup̱ libm de naturis rer/. L’ ouvrage se termine à la septième ligne de la première col
nglo-latin est due à M. Robert, qui, en 1825, les a publiées dans son ouvrage sur les Fables inédites des xiie , xiiie et xive
iantes offertes par le manuscrit 347 B, celle qu’on trouvera dans cet ouvrage , ce n’est pas à une besogne superflue que je me s
stellis. Item quedam miracula. Le Dérivé complet, qui esi le premier ouvrage contenu dans le manuscrit, commence au haut du ve
s lignes paraît être de la fin du xive  siècle. Il renferme plusieurs ouvrages disposés dans l’ordre suivant : 1º [Æsopi fabulæ
catalogue de la Bibliothèque donne en ces termes la nomenclature des ouvrages qu’il contient : 1º Sermo de passione domini, in
s est de la première moitié du xve  siècle. Il renferme, entre autres ouvrages , le Dérivé complet du Romulus anglo-latin, qui s’
l’écriture à deux colonnes est du xve  siècle. Il contient plusieurs ouvrages . On y trouve notamment, du feuillet 98 a au feuil
uscrit fait partie d’un gros volume in-fol., qui, contenant plusieurs ouvrages , porte les cotes 531 à 536, dont les feuillets so
Bibliothèque, il lui a été donné autant de numéros qu’il s’y trouve d’ ouvrages différents ; malgré cela il a été catalogué sous
aît issu de ce dernier, je les publierai dans le second volume de cet ouvrage . § 3. — Traductions du Dérivé complet. 1
de se reporter au texte qui sera publié dans le second volume de cet ouvrage . Ils m’excuseront, je l’espère, d’avoir sacrifié
en quatrains qui, dans le second volume de la première édition de cet ouvrage , occupe les pages 436 à 479. Les quatrains y sont
, ni le nº 1362 que, par suite de la classification adoptée pour leur ouvrage , ils ont ajouté au précédent, mais bien le nº 177
s, je n’ai pas cru devoir les négliger ; dans le second volume de cet ouvrage , on les trouvera ajoutées, sous forme de notes, a
t perdre, et mourut le 20 mars 1818. Il a publié plusieurs éditions d’ ouvrages anciens et modernes, et notamment, en 1807, une é
utif. Il avait formé une belle bibliothèque, riche en manuscrits. Ses ouvrages n’ont pas tous été publiés ; le plus important, r
te-trois manuscrits, qui contiennent une partie ou la totalité de ses ouvrages et qui sont parvenus à ma connaissance, l’appelle
, Franck ; Leipsig, Engelmann, 1847. (Voyez p. 399.) 179. Voyez même ouvrage , p. 399. 180. André Contrario, littérateur du xv
ble xvii du livre III.) 197. Jugemens des savans sur les principaux ouvrages des auteurs, par Adrien Baillet. Revus, corrigés
iiij.) 275. J’ignore quel était ce Jacob qui lui avait commandé cet ouvrage , et à qui il reconnaît devoir le gouvernement de
e Hamm, en Westphalie. Érudit distingué, il a écrit un grand nombre d’ ouvrages , dont le premier fut une étude sur Ausone, et le
t suiv., dans la notice sur Adémar, les renseignements relatifs à ses ouvrages .) 287. Catalogi librorum manuscriptorum Angliæ
a Fontaine, Paris, Cabin, 1825 ; 2 vol. in-8º. (Voyez, en tête de cet ouvrage , l’Essai sur les auteurs dont les Fables ont préc
nt la vie et les œuvres font l’objet d’une notice particulière dans l’ ouvrage bibliographique de Bale (Baleus) publié à Bâle de
1745, a été un des premiers érudits de son époque. Parmi les nombreux ouvrages qu’il a composés et qu’en général il a publiés da
ipti latini bibliothecæ Nanianæ, qui parurent en 1776. C’est dans cet ouvrage (p. 152 à 153) qu’il exprime sa pensée sur l’aute
ed eposti da F. Palermo, T. I, p. 162 ; 2º à la page 86 du T. I de l’ ouvrage publié à Rome en 1889 sous ce double titre : Cata
æ, apud J. Oporinum, 1557 et 1559. (Voy. t. I, p. 272.) 475. Voyez l’ ouvrage précité, t. I, p. 273. 476. Relationum historic
ît différer de celles que M. Léopold Hervieux a fait connaître dans l’ ouvrage intitulé : Les Fabulistes latins depuis le siècle
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
Discours sur la cinquantiesme Fable. La cinquantiesme Fable de cét ouvrage est toute pleine de judicieux advertissements. Pa
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
e les leurs, et pour la conduite de ma vie, et pour l’ornement de mon ouvrage .  
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
ans une espece de desespoir. Eux tout de mesme, apres avoir veu leurs ouvrages baffoüez, leurs tableaux effacez, et leurs pieces
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
os de son esprit : il s’occupa à de si hautes pensées, et composa des ouvrages si Divins, qu’on luy donna depuis à bon droict le
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
be insensiblement en un Discours, dont j’ay si souvent parlé dans cét Ouvrage , que je pourrois me rendre ennuyeux au Lecteur, p
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
eure grace, et que ceste petite imperfection releve l’excellence de l’ ouvrage . Si elle est extrémement brune ils nous voudront
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
ement des Vicieux. Quant au premier poinct, toute la suitte de nostre Ouvrage n’est pleine que de cét advertissement. Nous avon
31 (1570) Cento favole morali « Présentation »
que. En plus de ses Cento Favole Morali, il est l’auteur de plusieurs ouvrages en prose et en vers, en latin et en italien : nou
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