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1 (1495) Hecatomythium primum - Hecatomythium secundum « [Hecatomythivm primvm] — Abstemius 87. De lepore calliditatem, et vvlpe celeritatem a Iove petentibvs » p. 
tati suæ calliditatem adiungeret, quibus Iuppiter ita respondit. « Ab origine mundi e sinu nostro liberalissimo singulis animan
2 (1495) Hecatomythium primum - Hecatomythium secundum « [Hecatomythivm secvndvm] — [M. Grunii Corococtæ porcelli testamentum] »
Testament du porc et le Testament de l'âne. Deux fables latines, à l' origine d'un genre littéraire » [in] Fables et fabulistes
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 129 » pp. 315-315
les circonstances mettent un homme en vue, il ne doit pas oublier son origine  ; car cette vie n’est qu’incertitude. Chambry
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
la protection du Faucon, nous avons veu cy-dessus comment elle a son origine en la propre imperfection de ceux qui eslisent un
5 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
ines qu’on adopte, il y a un point qui est incontestable, c’est que l’ origine de chacune est grecque et que la forme grecque es
inions de ses devanciers, accepte celle du Père Desbillons : 1º sur l’ origine macédonienne de Phèdre ; 2º sur l’interprétation
er brièvement ma pensée. Il est évident que Phèdre était Macédonien d’ origine , et je veux bien admettre avec le Père Desbillons
un genre de littérature inusité à Rome, c’est qu’à raison même de son origine il était tout particulièrement initié aux vieille
râce et la finesse des détails dont il l’a ornée ; Phèdre, malgré son origine macédonienne, étant en pleine possession des secr
is je dois auparavant rectifier les idées erronées qui existent sur l’ origine de ce document. Pierre Pithou, indépendamment de
que le silence des frères Pithou empêche aujourd’hui de remonter à l’ origine de leur manuscrit. Voyons maintenant par quelles
es variantes qui porteraient avec elles l’indication expresse de leur origine . Mais telle n’était pas l’opinion d’Orelli. « Il
e fait éprouver l’insuffisance des indications données par Gude sur l’ origine des variantes, on est plongé par lui dans un emba
elui qui avait servi à Pithou. Il existait entre eux une communauté d’ origine , sur laquelle l’examen le plus superficiel ne sau
x un air de famille, qui ne permet pas de douter de leur communauté d’ origine , et, s’il ne déclare pas nettement opter pour l’h
du manuscrit, l’a légèrement dénaturé113. Ce qui a été écrit sur son origine est exact : il dépendait de la bibliothèque de Sa
Quos collegi, ut essent, Pyrrhe, utiles tibi, il ne l’entreprit à l’ origine qu’à titre de passe-temps littéraire. Mais, lorsq
le défendre outre mesure. Il est supposable que, dans un livre qu’à l’ origine il n’avait pas entrepris pour l’éducation de son
outes les autres fables anciennes sont son œuvre. Car leur identité d’ origine est évidente. En revanche, si l’on prouve que l’u
pas douteux, et, lorsque je considère en outre que Perotti avait, à l’ origine , formé son recueil sans but arrêté, et que ce ne
é des écrivains latins il n’avait pu classer parmi eux un affranchi d’ origine macédonienne ; le Père Vavasseur, dans son livre
ses fables. Mais il n’en a pas parlé, parce que Phèdre, Macédonien d’ origine , les a écrites dans la langue de son pays. Le gen
, qu’on peut considérer comme des apologues, portent la trace de leur origine indienne. Elle pénétra également dans la Grèce hé
rec. Sans doute la fable ésopique était étrangère aux Romains, et son origine explique qu’il ait emprunté à la littérature grec
pas dans les manuscrits connus de Phèdre, mais qui trahissent la même origine . Aussi Gude et Burmann se sont-ils ingéniés à les
s les ouvrages connus des anciens, n’ont pas pu les reproduire, que l’ origine antique en est incontestable. Elles ont dû, il es
nouvelles, on comprendrait qu’à chaque groupe pût être attribuée une origine différente. Mais il n’en est pas ainsi : le tout
soit anciennes, soit nouvelles, on demeure convaincu qu’elles ont une origine commune. Supposons maintenant que les manuscrits
me la seconde partie du livre IV devait, par ses dimensions, être à l’ origine en rapport avec la première, il est certain que l
brutal. N’y a-t-il pas là une ressemblance frappante, qui trahit une origine commune ? Mais ce n’est pas la seule ; les autres
Hac re probatur quantum ingenium valet. Après avoir ainsi expliqué l’ origine de ce vers inutile, Gude s’était efforcé de démon
. De leur division en cinq livres il conclut que toutes ont bien leur origine dans l’œuvre de Phèdre, dont le copiste a suivi l
ner ici. Les manuscrits s’y divisent en sept classes, basées sur leur origine . Suivant la classe à laquelle ils appartiennent,
e Phèdre actuellement connues, dix-sept autres fables qui ont la même origine  ; ce sont les fables i 3, i 4, i 5, i 12, ii 1, i
se. Les manuscrits de la Bibliothèque du Lambeth palace ont plusieurs origines . Celui dont il s’agit ici est de ceux que le Cata
l n’aurait pu en prendre connaissance, sans apercevoir la diversité d’ origine . Cela m’autorise à ajouter que la mention écrite
ses apologues à son fils qu’en souvenance du Tibre, pour indiquer son origine romaine, on appela Tyberinus. » Mais, si vraisem
ille édition d’Ulm, ni les collections qui ont bien l’une de ces deux origines , mais qui, ayant été écrites en vers, constituent
éril qui consiste à supposer que les fables de Romulus ont eu la même origine que ce qu’on appelle les fables de Phèdre, et qu’
tions, elles ont conservé un air de famille saisissant qui trahit une origine commune. La question qui reste à résoudre est cel
lement diminué ; dans les fables nouvellement découvertes on trouve l’ origine de huit fables de Romulus. N’est-il pas dès lors
facile d’apprécier la valeur des opinions qui ont été exprimées sur l’ origine des trois collections, d’en apercevoir la fausset
omulus, il en a conclu que ce dernier avait dû avoir son anonyme pour origine . Voici en quels termes, dans sa préface, il expri
les différences profondes qui devaient empêcher de leur attribuer une origine commune. En effet, cette impossibilité de les rat
du docteur allemand : il reconnaît lui-même qu’au mois d’août 1869 l’ origine du manuscrit, par suite d’une révision générale,
e Romulus qu’il contient nous est parvenu tel qu’il a été composé à l’ origine  ; il en conclut que c’est bien un dérivé direct ;
le du Lion et du Renard qui a volé le cœur du Cerf. Comme elle a pour origine une de celles de ce fabuliste, je ne lui maintien
buées ; une seule, étant accompagnée de son nom, ne peut, quant à son origine , être l’objet d’aucun doute. A. Édition sans da
à 178. Il semble au premier abord en résulter qu’il a dû exister, à l’ origine , deux feuillets portant les numéros 109 et 110. M
en trente-deux livres, qui embrassent l’histoire universelle depuis l’ origine du monde jusqu’à l’année 1244. Le Speculum natura
10, 12, 19 du livre IV. De ces 29 fables de Romulus dix-sept ont leur origine dans la traduction en prose des fables connues de
u que les vingt-cinq premières fables ont bien toutes un Romulus pour origine . Mais quand on examine leur texte, on ne peut avo
x fables xxx, xxxii, xxxiv, xxxvi et xxxvii, je ne peux en indiquer l’ origine ni même en signaler de semblables dans d’autres c
rêter mon attention, Tous les critiques qui ont cherché à découvrir l’ origine de ces fables, sont partis de cette idée qu’il av
r ce motif que c’étaient les plus nombreux. Le doute quant à la vraie origine ne pouvant, à mes yeux, subsister qu’entre le Rom
urs peu clairvoyants elles durent nécessairement se ressentir de leur origine . Mais, grâce à ce que vraisemblablement peu de ma
lles sont aussi insensées, offrent moins de variété. Il semble qu’à l’ origine deux manuscrits seulement, pourvus de commentaire
m’autorise à tenir ce langage, c’est qu’il ne connaissait même pas l’ origine de Salon dont il faisait un citoyen, non de Parme
et que les deux premières fables complémentaires, n’ayant pas la même origine , ne devaient pas non plus être sorties de la plum
avait été fondée en 1113 sous Louis VI. À la porte du dortoir, cette origine était rappelée par l’inscription suivante en hexa
collection totale, en a supprimé le prologue, qui en aurait révélé l’ origine différente, et l’épilogue qui en aurait fait conn
sur l’importance philologique qu’il offre à quiconque s’intéresse aux origines de notre langue nationale. Dans le premier volume
et dont l’écriture est du xve  siècle. En tête de la première page l’ origine du manuscrit est révélée par un ex-libris ainsi c
scrit, qui a été écrit en 1436 et dans les années suivantes et dont l’ origine est indiquée au catalogue imprimé de la Bibliothè
equel il portait le nº 109. Ce manuscrit, dont le catalogue indique l’ origine par cette mention : Aug. S. Ur. 109 et à qui la
le catalogue complété. Le manuscrit 5311 forme un volume in-4, dont l’ origine est indiquée au catalogue par cette mention : Ch
Ce manuscrit, qui est du xve  siècle, forme un volume in-4º, dont l’ origine est indiquée au catalogue par cette mention : Eb
Ce manuscrit, qui est du xve  siècle, forme un volume in-4º dont l’ origine est indiquée au catalogue par cette mention : In
Ce manuscrit, qui est du xve  siècle, forme un volume in-fol., dont l’ origine est indiquée au catalogue par cette mention : Em
. J. Manuscrit 14301. Ce manuscrit, dont le catalogue indique l’ origine par cette mention : Em. D 26, contient plusieurs
K. Manuscrit 14586. Ce manuscrit, qui est du xve  siècle et dont l’ origine est indiquée par cette mention : Em. F 89, forme
Manuscrit 14703. Ce manuscrit qui remonte au xve  siècle et dont l’ origine est indiquée au catalogue par cette mention : Em
Ce manuscrit, qui est du xve  siècle, forme un volume in-fol., dont l’ origine est indiquée au catalogue par cette mention : S.
 171 b à 185 a, offrent une division en trois livres, qui trahit leur origine et qui montre que, suivant l’opinion adoptée, ell
ment les derniers du manuscrit. Il est probable que la collection à l’ origine était entière, et qu’elle n’est devenue incomplèt
lus grand nombre de feuillets. Ces feuillets en parchemin ont dû, à l’ origine , être au nombre de 134 ; mais, le premier ayant d
ts perdus ne pouvaient s’y rapporter. Le manuscrit avait renfermé à l’ origine soixante fables. Les fables conservées sont d’abo
to per cura || di Gaetano Ghivizzani || con un discorso || interno la origine della Favola, la sua ragione storica || e i fonti
recto du premier a été inscrite en tête cette mention qui révèle son origine  : Iste liber est Sancti Victoris parisiensis. Qu
e et de la troisième ; la neuvième fable du livre I de Phèdre a été l’ origine de la quatrième ; enfin je ne saurais dire de que
elles offrent cette particularité qui ne permet aucun doute sur leur origine , que chacune d’elles est suivie du distique élégi
fier ce que, dans ma première édition, j’avais exposé au sujet de son origine . Ayant alors cru voir dans le manuscrit Burnéien
u’ils appartiennent seulement à un auteur commun. Cette communauté d’ origine leur a d’ailleurs valu une ressemblance intime. C
cher si leur nature ne m’obligeait pas à attribuer au texte une autre origine . Le premier point à trancher était en effet celui
if, tandis que, dans le dérivé, sur 136 on en trouve 79 qui ont cette origine . Est-ce que ces soixante-dix-neuf fables, indirec
t conclure que le Romulus anglo-latin avait eu lui-même pour première origine le Romulus de Nilant, auquel avaient été ajoutés
nt Fauchet, qui en a extrait beaucoup de choses dans son recueil de l’ origine de la langue et poésie françoise. Voyez ce qu’il
rses en vers français et offre un très grand intérêt pour l’étude des origines de la langue française. De ces œuvres celle de Ma
dont l’écriture sur 2 colonnes est du xiiie  siècle. Il possédait à l’ origine 50 feuillets ; mais il est privé du premier, sur
ration. À l’égard des dix-huit dernières, la question relative à leur origine est un peu plus difficile à résoudre ; c’est qu’e
r sous silence une autre opinion que M. Gaston Paris a formulée sur l’ origine du Dérivé complet et qui est en contradiction fla
n présenter que seize augmentées de l’épimythion d’une dix-septième d’ origine différente, le manuscrit en possède quarante-deux
, et il ajoute que son œuvre et celle de Gérard de Minden ont la même origine , et que la source à laquelle ils ont puisé est la
t je me borne à examiner la valeur de son opinion sur la communauté d’ origine des deux traductions française et allemande de Ma
ule, la quatre-vingt-dix-neuvième, qui sans doute n’avait pas la même origine que les 124 autres. Toutes ces dernières sans exc
omulus de Nilant, dont peut-être elle n’est qu’indirectement issue. L’ origine du Dérivé hexamétrique étant ainsi fixée, il s’ag
ator. Malgré cette transformation, il ne peut exister de doute sur l’ origine de l’œuvre : il me paraît certain que c’est le te
t remarquer que c’est une petite addition qui, étant étrangère à leur origine commune et constituant une exception unique à leu
il consacre à Gui d’Arezzo, voici comment M. Fétis s’explique sur son origine  : « Que Guido soit né à Arezzo, cela ne paraît p
modernes donnent à Barthélemy le surnom de Glanville. Nous ignorons l’ origine de cette dénomination dont nous n’avons point tro
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