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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 323 » p. 240
λόγος εὔκαιρος. Codd. Pa 213 Pf 121 Me 156 Mf 130. Prométhée, sur l’ ordre de Zeus, avait modelé les hommes et les bêtes. Ma
certain nombre en les métamorphosant en hommes. Prométhée exécuta cet ordre . Il enr ésulta que ceux qui n’ont pas reçu la for
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVI. Le Serpent et la Lime. » p. 93
rains que celles du temps. Cecy s’adresse à vous, esprits du dernier ordre , Qui n’estant bons à rien cherchez sur tout à mor
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 110 » p. 102
fit d’abord résistance ; mais Hermès insista en disant que c’était l’ ordre de Zeus. « Eh bien ! dit-elle, qu’ils creusent ta
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVII. Du Renard, et du Loup. »
Renard : « quand tu m’auras tiré d’icy, je te raconteray le tout par ordre  ». Discours sur la soixante-septiesme Fable.
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 119 » pp. 109-109
donna d’entrer par le fondement. Elle regimba tout d’abord contre cet ordre qui l’indignait ; enfin sur les instances pressan
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope découvre le derriere de sa Maistresse. Chapitre XX. »
s viandes, tandis que je m’en retourneray à la Cuisine, pour y donner ordre au reste ». « Va t’en où tu voudras », luy respon
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »
e espece de Republique sera la meilleure, qui approchera le plus de l’ ordre et de la liaison d’une famille, c’est à dire, cel
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 247 » pp. 168-168
as rendre responsable l’auteur d’une injustice, quand il agit sur les ordres d’autrui, mais bien ceux qui ont autorité sur lui
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — IV. Le Jardinier et son Seigneur. » p. 
ais troüée, horrible et large playe Que l’on fit à la pauvre haye Par ordre du Seigneur ; car il eust esté mal Qu’on n’eust p
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 86 » pp. 53-53
t de lui apporter un fagot de baguettes. Quand ils eurent exécuté son ordre , tout d’abord il leur donna les baguettes en fais
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
ns considerer que tout changement ne fait que troubler et confondre l’ ordre d’un Estat, quand mesme il seroit de bien en mieu
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
jeun, ce dequoy tu és demeuré d’accord estant saoul. Apres cela mets ordre , qu’il y ait quantité de paille sur le rivage, et
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
qu’au temps des anciens Roys de France, et de la grand’ Bretagne, les Ordres de Chevalerie furent inventez, à sçavoir pour sec
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
es exemples Poëtiques aux veritables. Deodat de Gozon, Chevalier de l’ Ordre de sainct Jean de Jerusalem, merita depuis d’en e
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
onde, et mesme plus vertueux. Je verifieray ces deux propositions par ordre . Premierement, il est tres-certain que les mignot
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
autruy, et à vivre, comme l’on dit, du jour à la journée, sans donner ordre à s’empescher de mourir de faim en temps d’hyver.
17 (1570) Cento favole morali « Présentation »
tuosa, e civile, Venise, Pietro Brigonci, in-4. Illustration (par ordre chronologique) [1570] Gravures originales réa
ele Faerno, Fabulae centum, 99 Remaniements et adaptations (par ordre chronologique) [1607] —Błażewski, Marcin, Set
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
e leur vie, rien de si chetif que leur habillement, rien de si mal en ordre que leurs maisons. Ils font abstinence au milieu
u’il faut pour arriver jusques à la frontiere, et que ne mettons-nous ordre à nous fournir d’une monnoye qui s’y debite, c’es
19 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
ter qu’au commencement de la Renaissance, j’aurais dû publier, dans l’ ordre de leurs apparitions successives, les œuvres des
m’y être suffisamment reposé, je me remettrai en marche, conciliant l’ ordre des temps avec les exigences de la philologie, je
’après avoir rattaché leurs œuvres à la sienne, que je reviendrai à l’ ordre chronologique. Mais la première étape à laquelle
umanité. Et maintenant, qu’on me permette, avant de passer à un autre ordre d’idées, d’ajouter une dernière observation. Phèd
elle, un éloge, qui, s’il avait été réellement un écrivain de premier ordre , blesserait encore les lois les plus élémentaires
fait relier avec d’autres opuscules, dont voici les titres dans leur ordre  : 1º Variorum poematum liber I. Lyrica. Auctore
elui de Pithou et qui contenait le même nombre de fables dans le même ordre , se terminait par ces mots : Phædri Augusti lib
n ? Il était facile à trouver : il suffisait pour cela de respecter l’ ordre du manuscrit : on aurait vu que le quatrième livr
ouleversement, que souvent ils n’avaient pas craint de substituer à l’ ordre des manuscrits ; mais, en reconnaissant leur erre
en connue de Pierre Danet, publiée en 1675 dans le format in-4º « par ordre du Roi très chrétien à l’usage du sérénissime Dau
Daniel ni en entier ni en fragment. Rigault, en mettant ses notes en ordre , a attribué au manuscrit de Daniel des mots qu’il
l les lisait et en extrayait tantôt une fable, tantôt une autre, sans ordre ni méthode, ou bien il composait tantôt une épigr
t occupés par un index ou table des matières, qui reproduit dans leur ordre , avec de légères modifications, les titres des di
nes aux autres sans classement méthodique, et probablement sans autre ordre que l’ordre chronologique. Elles comprennent des
es sans classement méthodique, et probablement sans autre ordre que l’ ordre chronologique. Elles comprennent des fables de Ph
ni de la nature variée des sujets. Quand on cherche à mettre un peu d’ ordre dans ce chaos, on s’aperçoit qu’il y a : 1º Tre
au recto du feuillet 100 et s’étend jusqu’au verso du feuillet 146. L’ ordre des diverses poésies est absolument le même que d
tti est formé de poésies diverses, ajoutées les unes aux autres, sans ordre , à des intervalles plus ou moins éloignés. Si Per
le pourrai, celles qui ont paru jusqu’à nos jours. Pour procéder avec ordre , je vais diviser ce chapitre en deux sections, co
pièces relatives à la morale, présentées aux jeunes étudiants dans l’ ordre qui doit leur être le plus utile (par Depons, pro
’une littérale et interlinéaire, avec la construction du latin dans l’ ordre naturel des idées, l’autre conforme au génie de l
gies d’Isidore. Fol. cxxviii a à cxxx a. — Gloses et mots classés par ordre alphabétique. Fol. cxxx a à cxxxi a. — Chronologi
fables, qui sont même dépourvues de leurs titres. Les voici dans leur ordre  : v. v. a. 19. v. l. in-8º, 15. 1. Gallus a
t les matières qui ont été prises pour base, et l’on a créé, dans cet ordre d’idées, les classes appelées Juridica, Theologic
bordant l’examen des fables du Romulus originaire, je dois faire pour ordre une observation préliminaire. On a abusé un peu d
, qui, s’emparant de la compilation récente, a modifié sensiblement l’ ordre des fables, a fait disparaître le Prologue qui le
rtage en trois livres, qu’il aurait transcrit les fables dans le même ordre , qu’il les aurait fait précéder de la même dédica
e je discute et que je rencontre tant de collections de fables dont l’ ordre et la disposition sont presque toujours les mêmes
nde partie des sujets traités et par leur texte, mais encore par leur ordre même qui en beaucoup d’endroits est en parfaite c
sont divisés en quatre livres semblables tant par le nombre que par l’ ordre des fables. Les trois manuscrits, formant le seco
lutionnaire. J’ai voulu savoir si, à l’époque où furent supprimés les ordres monastiques, il n’était pas passé dans la bibliot
onfia les fonctions de bibliothécaire. Il s’occupa alors de mettre en ordre les précieux matériaux qu’il avait recueillis dan
e ; elles s’y trouvent bien au complet et elles seraient dans le même ordre que dans les manuscrits de Burney, de Gude et de
ombreuses, qui sont en général le résultat soit de changements dans l’ ordre des mots, soit d’erreurs involontaires dues à l’i
du premier groupe, mais encore se suivraient absolument dans le même ordre , si la fable du Renard et de l’Aigle, au lieu d’a
vingt fables du livre I (fol. 62 a lig. 24 à 82 b), disposées dans l’ ordre suivant : 1º Texte latin en prose, 2º Gravure sur
n allemande de Steinhöwel, 4º Texte latin en vers élégiaques. Le même ordre est observé dans la disposition des matières des
lets, et le seizième, neuf. Ces cahiers sont pourvus des 16 lettres d’ ordre ou signatures suivantes : a, b, c, d, e, f, g, h,
haque cahier, au bas du recto, portent, indépendamment de la lettre d’ ordre , un numérotage qui va de 1 à 4. De même que la le
ettre d’ordre, un numérotage qui va de 1 à 4. De même que la lettre d’ ordre sert au classement des cahiers, les numéros serve
dam , etc. Fol. 27ª (d.iiiª). Incipit fabularum liber primus. Ici l’ ordre n’est pas le même que dans l’édition de Zeiner. C
erino filio de civitate athica. S. Esopus , etc., et aussi bien par l’ ordre des mots que par la ponctuation justifie la thèse
us. Il est annoncé par ce titre : Incipit fabularum liber primus. L’ ordre adopté n’est plus le même que dans le préambule :
t pas accompagnées des deux fables en vers correspondantes. Quant à l’ ordre des gravures, il est toujours le même, sauf dans
olume est formé de 16 cahiers pourvus de signatures et classés dans l’ ordre des lettres suivantes : a, b, c, d, e, f, g, h, i
ravure, le texte en vers et le texte en prose se suivent dans le même ordre que pour le prologue. Fol. 30 a. —  Explicit libe
rmonte une gravure pareille à celle des éditions antérieures. Le même ordre a été suivi pour les fables elles-mêmes : d’abord
teur en theologie frere Julien des Augustins de Lyon. On le voit, l’ ordre des matières est toujours le même. C’est la vie d
ays natal, pour venir étudier les lettres à Paris, où il entra dans l’ ordre des dominicains. Son surnom de Bellovacensis lui
s extraites du Romulus ordinaire par Vincent de Beauvais et dans quel ordre nous les montre chacun des deux Miroirs historial
cent de Beauvais a, sauf pour la fable du Cerf à la Fontaine, suivi l’ ordre des fables du Romulus ordinaire, et qu’au contrai
oir historial. J’ai dit aussi qu’elles ne différaient guère que par l’ ordre dans lequel elles étaient disposées. Il y a cepen
les trois autres, de deux, l’une alphabétique et l’autre dressée par ordre de matières. Voici l’analyse des quatre volumes :
assons aux extraits de la fable suivante, nous voyons qu’en général l’ ordre des mots qui est le même dans les Romulus ordinai
r ; c’est Théodose qui prie Romulus, orateur et philosophe de premier ordre , de composer pour lui un livre unissant le charme
ollection complète en comprend au moins soixante. En voici, suivant l’ ordre le plus généralement suivi dans les manuscrits et
as ici l’objet d’une courte notice. Cette abbaye, qui appartenait à l’ ordre de Saint-Augustin, avait été fondée en 1113 sous
ient dans sa première partie, et à cet effet transcrire ici dans leur ordre les titres français que leur traduction porte :
ulement la traduction française. De ces manuscrits, le premier dans l’ ordre numérique est celui qui, après avoir reçu la cote
classement et le nombre des fables ne sont pas non plus identiques. L’ ordre dans lequel le manuscrit 1595 les possède est dif
le même que dans le ms. 19123, et qu’elles sont classées dans le même ordre , on est, au premier abord, porté à en induire que
xamen trop rapide. Les 13 dernières fables ne sont pas rangées dans l’ ordre ordinaire. Elles se terminent, d’après la paginat
soixante authentiques, elles ne se présentent pas tout à fait dans l’ ordre ordinaire : il y a interversion entre la vingt-de
obtenir du Saint-Père la restitution de sa bibliothèque, et, sur les ordres du roi, le chancelier d’État, le 31 octobre 1815,
ue les vingt-quatre fables portent dans le texte latin, rangés dans l’ ordre adopté dans le manuscrit pour celles qui en sont
blessé de ce jeu de mots fait avec son nom, Neckam opta pour un autre ordre monastique. Oudin prétend qu’il serait néanmoins
après la réponse de l’abbé de Saint-Alban il entra directement dans l’ ordre des chanoines de Saint-Augustin. Ce qui paraît da
; voici, en effet, l’analyse qu’il donne de ce manuscrit sous le nº d’ ordre  273484 : Chronicon breve. Tractatus qui incipit,
s différences ne résultent guère que d’une simple interversion dans l’ ordre des mots. Elles sont insignifiantes, et, si dans
evoir ici changer de procédé. En conséquence voici, établis d’après l’ ordre suivi dans le manuscrit lui-même, les titres des
fables du Romulus primitif, mais encore ont été traités dans le même ordre . On peut, sans craindre de se tromper, ajouter qu
res. Les dix-sept premières seulement sont accompagnées d’un numéro d’ ordre , qui pour chacune, sauf pour la première, est pla
mmence au recto du feuillet 96. Ces fables sont classées dans le même ordre que celles du Romulus primitif, et sont divisées
s où je l’ai trouvé, les fables étaient toujours rangées dans le même ordre , et cet ordre, qui diffère de celui dans lequel s
rouvé, les fables étaient toujours rangées dans le même ordre, et cet ordre , qui diffère de celui dans lequel sont disposées
fables, indirectement issues du Romulus primitif, apparaissent dans l’ ordre dans lequel elles sont dans ce Romulus ? Nullemen
quatre premières qu’on y remarque sont les mêmes et sont dans le même ordre que celles du Romulus de Nilant, avec cette seule
au contraire, en sont dérivées, reparaissent et se complètent dans un ordre identique. Du nº 89 au nº 112 ont été réunies vin
mmence par reproduire, séparées en deux groupes, mais rangées dans un ordre identique, quarante-huit des fables du Romulus de
jà servi à établir la liste des fables latines. Ce n’est pas tout : l’ ordre des fables variant dans chaque manuscrit, je suiv
ait immédiatement suite à la fable du Breton. Comme, par exception, l’ ordre des fables dans le manuscrit 24428 est exactement
plus complète. Ce qui me paraît fortifier cette supposition, c’est l’ ordre même dans lequel se présentent les vingt-deux fab
tenter. Je vais en donner une plus détaillée. Si je me conformais à l’ ordre suivi par le rédacteur du Catalogue, je devrais d
té De Proprietatibus rerum, dont l’auteur innommé a été un moine de l’ ordre des Frères mineurs, qui dans les manuscrits est a
anuscrit 347 C, le ms. 347 B comprend les mêmes ouvrages dans le même ordre . Le premier est le traité De Proprietatibus rerum
anglaise qui en aurait été faite, non par un roi anglais, mais sur l’ ordre d’un roi anglais, appelé tantôt Afferus, tantôt A
a fin du xive  siècle. Il renferme plusieurs ouvrages disposés dans l’ ordre suivant : 1º [Æsopi fabulæ.] 2º Exemplum de trib
es, le scribe qui l’aurait copié n’aurait pu rétablir dans sa copie l’ ordre détruit dans son modèle. 3º Dans quelques endroit
st pas complète. Jusqu’à la soixantième fable le copiste a respecté l’ ordre ordinaire et n’a presque rien omis ; il a même co
place que rationnellement ils devraient occuper : il les range dans l’ ordre que la mesure exige, et pour cela il va jusqu’à m
post læderet unquam. Si en effet on veut rétablir les mots dans leur ordre logique, on doit les écrire ainsi : Ast per Styga
tout examen comparatif des textes, par la complète concordance que l’ ordre des fables présente dans les deux collections. On
elle démontre, comme je l’ai affirmé, que dans les deux collections l’ ordre des fables est absolument le même, mais encore on
es écrivains des douze premiers siècles de l’Église, rédigé et mis en ordre par l’abbé A. Sevestre, du diocèse de Chartres, p
es écrivains des douze premiers siècles de l’Église, rédigé et mis en ordre par l’abbé A. Sevestre, publié par l’abbé Migne.
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