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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
oit entre ses dents une piece de chair, de qui l’ombre, comme c’est l’ ordinaire , paroissant dans l’eau à la clarté du Soleil, il
tout insatiable desir d’une possession, non seulement reüssit pour l’ ordinaire à neant, pour ce qui est d’acquerir de nouveau, m
continuel des creanciers. Pour le regard des Amants, c’est presque l’ ordinaire de voir, que n’estant pas rassasiez de la possess
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
Fable, de ceux qui se veulent mesler d’un mestier qui ne leur est pas ordinaire , ny propre, et laissent pour cét effet leur vray
, joincte à une foiblesse d’esprit encore plus grande. Or est-elle si ordinaire au siecle où nous sommes, que mesme les simples f
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XIX. Le Lion s’en allant en guerre. » p. 
t devait sur son dos Porter l’attirail necessaire, Et combattre à son ordinaire  : L’Ours s’apprester pour les assauts : Le Renard
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
humeur, il n’y en a point en la bouche de qui ces injures soient plus ordinaires , qu’en celle des Amants. Ce sont eux, qui les pre
de l’esprit, soit pour la force du corps. Ce qui n’est pas seulement ordinaire en nostre espece, mais en celle de tous les anima
a constitution de l’homme. Ce que tesmoignent assez leurs évacuations ordinaires , par qui elles se deschargent d’un sang malin, et
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 65 » p. 40
veilles, et qui sont incapables de se conduire dans les circonstances ordinaires de la vie.
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XIII. Les Loups et les Brebis. » p. 153
aux, et les Brebis leurs Chiens. 
L’échange en estant fait aux formes ordinaires ,
 Et reglé par des Commissaires, 
Au bout de quel
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCI. Du Chameau. »
e, ne déchoit pas seulement de ce qu’elle desire, mais elle dissipe d’ ordinaire ce qui est acquis. Je me souviens que j’ay assez
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
e murailles capable de les deffendre, ils repriment tout à coup leurs ordinaires apprehensions, et ne songent pour ceste heure là
nt pas toutesfois dépourveus de l’amour de la vengeance, qui est plus ordinaire à ces ames basses, qu’aux genereuses. Il faut don
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVIII. La Chate metamorphosée en Femme. » p. 50
ly. Le vase est imbibé, l’étoffe a pris son ply. En vain de son train ordinaire On le veut desaccoûtumer. Quelque chose qu’on pui
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
nous mesfier principalement des personnes, qui empruntent contre leur ordinaire , le masque de leur feinte pieté. Ce que fist fort
esme en son inconvenient. Nous voyons par là que les meschants sont d’ ordinaire enveloppez dans leurs propres menées, et portent
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 91 » pp. 56-56
une gipsy qui promet des merveilles et se montre incapable des choses ordinaires . Chambry 91.2 Aliter — Autre version. Γ
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
quand il crie tout de bon, et comme cela il perd une de ses brebis ; ordinaire advanture de ceux qui mentent, ausquels on n’ajou
ue ce n’estoit qu’un mensonge que cet indiscret vouloit debiter à son ordinaire , on le saisit aussi-tost, et le mena-t’on droit à
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXI. L’œil du Maistre. » p. 492
En regardant à tout, il voit une autre tête Que celles qu’il voyoit d’ ordinaire en ce lieu. Le Cerf est reconnu ; chacun prend un
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
leur tour, et rendre la pareille à l’aggresseur. Aussi voyons-nous d’ ordinaire que telle espece de gens est extrémement noircie
es, où nous voyons par une infinité d’exemples, que la fraude tombe d’ ordinaire sur son autheur, à cause qu’il se treuve toûjours
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LI. Du Paon, et du Rossignol. »
pour eux seuls, et dequoy la Nature ne se détraque point de son cours ordinaire en leur faveur. Je me souviens à ce propos d’avoi
erfection, l’on ne s’y trompera guere, ce me semble. Car il se void d’ ordinaire qu’un homme extrémement laid, sera doüé d’un espr
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
e soixante-dixiesme contient quelque chose de plus, que le blâme de l’ ordinaire temerité. Car c’est bien veritablement un effect
té remarquée par Esope, comme la plus commune de celles qui tombent d’ ordinaire en praticque parmy les hommes, qui estans presque
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIII. Des Loups, et de la Brebis. »
nt en pieces bien aisément, pource qu’elles n’avoient plus leur garde ordinaire . Discours sur la quarante-troisiesme Fable.
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CV. Du Laboureur, et du Taureau. »
son compagnon. De ce manquement de consideration l’on void naistre d’ ordinaire le refus et l’opiniastreté contre les conseils. D
19 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 8 » pp. 4-4
14 Me 3 Mf 3. Un rossignol perché sur un chêne élevé chantait à son ordinaire . Un épervier l’aperçut, et, comme il manquait de
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. »
s sçavoir le dommage qu’ils se font. Mais ceste remarque estant assez ordinaire en toutes les actions de la vie, ne manque presqu
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »
ceux qui se disent nos amis, veu la grande tromperie qui se trouve d’ ordinaire parmy les hommes, n’est ce pas une espece de mani
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIV. Du Taureau, et du Bouc. »
n fougue, et avec une pluralité d’ennemis. Ceste mauvaise methode est ordinaire à ceux qui nous persecutent en nostre affliction,
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
quelque orgueilleux que fût ce Geant. Or quoy que cela ne semble pas ordinaire en la Nature, si est-ce qu’on en peut donner des
e les foibles, qu’ils dédaignent de mettre en œuvre tout ce qui est d’ ordinaire praticqué pour la seureté des Combattans, à sçavo
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
dis je, tout cela, si ce n’est de la richesse ? Ne voyons-nous pas d’ ordinaire qu’elle fait prendre à dédain tout ce qui est au
es Roys de Sparthe, et les premiers de toutes les Monarchies ont eu d’ ordinaire plus de Vertu, et mieux merité l’amour des Peuple
ion, et qu’elle haït ou doit haïr ce qui l’advance au deçà des bornes ordinaires de la vie. Nous ne devrions donc pas beaucoup aym
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LX. De la Puce, et de l’Homme. »
peu de gents interessez, et que l’execution de leur arrest est pour l’ ordinaire de petite difficulté.  
26 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXII. L’Aloüette et ses petits, avec le Maistre d’un champ. » p. 325
Aloüette à l’essor, le Maistre s’en vient faire Sa ronde ainsi qu’à l’ ordinaire . Ces bleds ne devroient pas, dit-il, estre debout
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVIII. De l’Esprevier, et de la Colombe. »
ope n’auroit pas feint ceste Fable sans sujet, puis que nous voyons d’ ordinaire dans le monde que les meschants sont punis, et le
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
A MONSEIGNEUR MOROSINI, AMBASSADEUR ORDINAIRE DE LA SERENISSIME REPUBLIQVE DE VENISE, PRES DE S
Oncle, qui faisant comme vous en cette Cour la charge d’Ambassadeur ordinaire , au temps du feu Roy d’heureuse memoire, fut hono
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
delices en sa mauvaise fortune. D’ailleurs, l’homme de bien estant d’ ordinaire beaucoup plus traictable que le meschant, il est
mortel Ennemy, auquel encore qu’il voulust laisser la vie, selon son ordinaire generosité, si luy fust-il impossible d’obtenir c
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
and air, c’est à dire qui se jettent dans la haute volée, sont pour l’ ordinaire sujets à l’inconstance. La raison n’en est pas di
ombien ils le sçavoient dire agreablement, ou plustost par un caprice ordinaire aux esprits des hommes, qui est de n’estre jamais
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
eulement oster à la fortune du Macedonien tout le pouvoir qu’elle a d’ ordinaire dans les combats, mais aussi c’est beaucoup dérog
ion, comme les Souverains, et ceux qui en approchent, entretiennent d’ ordinaire des Historiens à gages, qui ne peuvent de moins q
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
re, que toutes choses sont gouvernées par la Providence Divine, est l’ ordinaire solution, que donnent les Sages. Laisse moy donc
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVI. Du Chévreau, et du Loup. »
inte, qui comme elle glace les temperaments, elle reside aussi pour l’ ordinaire dans les humeurs froides. D’ailleurs ils ont esté
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
es mal-faisants, qui pour assener leurs coups sans peril, cherchent d’ ordinaire une foible et nuë simplicité ; pource que s’ils a
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
les animositez qu’ils suscitent à l’encontre d’eux, estant bien plus ordinaire aux hommes de murmurer contre ceux qui changent d
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
Lion. Il s’en revêtit à l’heure mesme, puis s’en retourna à sa pâture ordinaire , donnant l’alarme à toutes les autres bestes, qui
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
t l’image de la necessité comme une chose effroyable. Ils craignent d’ ordinaire que tout leur vienne à manquer : Ils se mesfient
une. C’est à cause de cela qu’Aristote dit, que les Vieillards sont d’ ordinaire plus avares que les autres, pource qu’ils ont le
ui devore et engloutit tous les plus hauts desseins, et ignore pour l’ ordinaire toutes les craintes. Or pour revenir à l’Avarice,
que de les laisser riches avecque peu de Vertu ? N’arrive-t’il pas d’ ordinaire que tels enfans ingrats et dénaturez, se mocquent
a leurs pensées dans le Ciel. Mais je passe de bien loing les limites ordinaires de mes Allegories, dont il faut accuser la riches
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
de croire que ce soit à son occasion. Telle espece d’orgueil est fort ordinaire à ceux qui vivent familierement auprés de la pers
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
personnes mesme qu’il envie, puis qu’il est certain que nous aymons d’ ordinaire plus que les autres, ceux à qui nous avons fait p
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
MONSIEUR, La deformité du corps estant, comme elle est, une marque ordinaire de celle de l’ame, j’auois un juste sujet d’appre
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
pas tous à si bon marché, que la Gruë d’Esope. Car ils se trouvent d’ ordinaire embroüillez dans les propres menées de ceux qu’il
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
un mesme estat, et aspire incessamment à la nouveauté. Ce qui estant ordinaire en la pluspart de nos actions, arrive sur tout en
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
l’estime des autres pour se la transferer. Les exemples de cela sont ordinaires dans les Estats, autant de fois qu’il se fait que
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
et à ne voler jamais de jour. Voylà pourquoy l’on ne la voit point d’ ordinaire , que lors qu’il est presque nuict. Discours sur
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
cte asseurance de sa vie. Or quoy que les exemples de perfidie soient ordinaires en cette occasion, si est ce qu’il s’est rencontr
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
sont pas tous-jours d’humeur d’acquerir des biens perissables ; leur ordinaire est de les mespriser bien fort, et se tenir au de
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
r à ceste Fable deux belles Moralitez, l’une que les Trompeurs sont d’ ordinaire trompez eux-mesmes, et l’autre que dés nôtre Enfa
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
. D’ailleurs l’évenement et la praticque des choses, dépendent pour l’ ordinaire du temps, à quoy le Sage s’accommode discrettemen
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
rs conjoinctement avecque les graces corporelles, mais qu’on voyoit d’ ordinaire les belles personnes foibles et stupides ; et au
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
fléchy sous l’apprehension d’une guerre, ou qu’il eût descheu de son ordinaire égalité ? Estoit-il blâmable du vice des lâches,
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
rtifice, et sans soupçon, ne jugeant digne de luy que la voye la plus ordinaire , et la plus naïfve. Ce n’est pas pourtant que je
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
ue tels Voleurs, sur qui la justice des hommes s’exerce, ne tombent d’ ordinaire en ceste disgrace, que pour n’avoir esté bien rep
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. »
’il ayme. D’ailleurs, toute habitude loüable et honneste de soy, va d’ ordinaire jusques à l’éternité, si elle est contractée comm
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
e imperfection : car de l’imputer à un defaut d’esprit, nous voyons d’ ordinaire que les plus habiles sont les plus sujets à l’amo
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
à des actions precipitées et dommageables. Telles violences tombent d’ ordinaire plus aisément dans l’ame des petits, que des autr
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du present fait à la maistresse de Xanthus. Chapitre XII. »
on luy vueille faire du mal, ny qu’elle doive rien endurer plus que l’ ordinaire . Il n’est pas ainsi d’une Truye, qui n’est ny tir
57 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
rangs des avocats. « Pendant les vacances de l’année 1595, qu’à son ordinaire il étoit venu passer à Troyes, expose Grosley, Fr
sitto de plagiat inepte. Pour lui, Cassitto est moins qu’un plagiaire ordinaire  ; c’est un plagiaire qui cherche, par toutes sort
r la description du manuscrit. Le manuscrit a la dimension d’un in-8º ordinaire . L’écriture est sur papier. Elle est très fine, m
es 34 fables restituées par Gude et par Burmann, et celles du Romulus ordinaire . 1835. Phædri Aug. lib. fabularum Æsopia
e qu’il ignore si ces fables sont identiques soit à celles du Romulus ordinaire , soit à celles de l’anonyme de Nilant, soit à cel
erbe cœpit était plus que le verbe occœpit en rapport avec le langage ordinaire du fabuliste, il en avait conclu que le manuscrit
manuscrit était un recueil de fables connues, tel que ceux du Romulus ordinaire et de l’anonyme de Nilant, ou si au contraire c’é
élégance des caractères arrondis et pleins, telle qu’elle se montre d’ ordinaire dans les plus beaux manuscrits de cette époque. L
out du texte du dérivé qui dans cet ouvrage portera le nom de Romulus ordinaire , que je vais l’examiner. § 1. — Dissertation su
st-à-dire dans le plus ancien de ceux contenant les fables du Romulus ordinaire , la dédicace commence ainsi : Romulus Tyberino fi
ale et dans son Speculum doctrinale, vingt-neuf des fables du Romulus ordinaire , et Gude, dont la compétence en matière paléograp
tion spéciale. Le Romulus primitif a péri ; mais, à l’aide du Romulus ordinaire et du Romulus conservé à Vienne, on peut dresser
’est que ces fables étaient comprises, non pas, comme dans le Romulus ordinaire , dans quatre livres, mais dans trois seulement. O
quand on aura entièrement parcouru ce volume, qu’en dehors du Romulus ordinaire aucun des dérivés directs du Romulus primitif n’e
son plus connu et plus proche dérivé, c’est-à-dire à celui du Romulus ordinaire , et cela, en me servant du plus ancien des manusc
professeurs. On aperçoit dans cet Æsopus, lorsqu’à laide du Romulus ordinaire on cherche à se rendre compte de ce qu’il a été,
ie ligor. En sens inverse on trouve dans les manuscrits du Romulus ordinaire des expressions qui s’écartent du texte de Phèdre
e M. Oesterley, celui, sinon du Romulus primitif, au moins du Romulus ordinaire qui s’en éloigne peu, il n’ait pas aperçu les dif
présent avertir qu’elles seront consacrées : La première, au Romulus ordinaire et à ses sous-dérivés, La deuxième, au Romulus de
rivés, La cinquième, au Romulus de Berne. Première partie. Romulus ordinaire et ses sous-dérivés. Chapitre premier. Romul
Romulus ordinaire et ses sous-dérivés. Chapitre premier. Romulus ordinaire . Section I. Observations sur le Romulus ordi
emier. Romulus ordinaire. Section I. Observations sur le Romulus ordinaire . Jusqu’à ce jour la collection que j’appelle R
lus ordinaire. Jusqu’à ce jour la collection que j’appelle Romulus ordinaire a été considérée comme la plus ancienne de toutes
ens manuscrits que dans les plus anciennes éditions, c’est le Romulus ordinaire qu’on devait être dès lors induit à juger le plus
rochaient, par exception, dans certains endroits, plus que le Romulus ordinaire , de Phèdre et conséquemment de l’Æsopus ad Rufum
nnée des fables du Romulus primitif et d’avertir que celle du Romulus ordinaire n’en doit différer que par l’absence des deux fab
ar les mêmes procédés que précédemment, dans quelle mesure le Romulus ordinaire a conservé les phrases et les expressions de Phèd
f, c’est, à défaut du texte disparu de ce dernier, à celui du Romulus ordinaire que j’ai eu recours. Établir un nouveau parallèle
a recommencer, je m’en abstiens. Section II. Manuscrits du Romulus ordinaire . Les manuscrits que j’ai considérés comme cont
es manuscrits que j’ai considérés comme contenant le texte du Romulus ordinaire sont les six suivants : 1º Le manuscrit du Britis
s regarder comme des dérivés du Romulus primitif distincts du Romulus ordinaire . Mais, comme, en l’absence du Romulus primitif, o
me telles, les éditer toutes les trois à la suite du texte du Romulus ordinaire . En somme, j’aurais été dans la regrettable néces
le premier groupe qui renferme le plus exactement le texte du Romulus ordinaire , c’est à l’un des trois manuscrits de ce groupe q
érivé, mais comme un exemplaire plus ou moins pur du texte du Romulus ordinaire . C’est un volume du petit format in-fol., compos
de il ressort d’abord que le manuscrit contient les fables du Romulus ordinaire  ; elles s’y trouvent bien au complet et elles ser
dans ma première édition, je les ai notées au bas du texte du Romulus ordinaire édité d’après la copie de Pierre Crinitus. Je ne
me peine. Dans le manuscrit du Mans, à la suite des fables du Romulus ordinaire , vient au verso du feuillet 128 une fable dont le
ue ne seraient que des dérivés semblables de la collection du Romulus ordinaire , M. Oesterley donne la nomenclature de ceux des m
coup d’œil sur le manuscrit, il aurait vu qu’il contenait le Romulus ordinaire , qu’il portait en tête, sans modification notable
it assez irréprochable pour qu’on pût y voir un exemplaire du Romulus ordinaire . En effet il ne diffère guère de celui du manuscr
e ma première édition, j’ai découvert un sixième manuscrit du Romulus ordinaire . Il est en Angleterre, à Cheltenham, et dépend de
l’Anonyme de Névelet que j’appellerai Walther et à celles du Romulus ordinaire . Les fables de Walther, qui commencent au haut du
e qu’au bas des pages, elles ont été encadrées dans celles du Romulus ordinaire , sinon par le même copiste, du moins par un autre
e s’abritent aussi sous le même. Tous paraissent empruntés au Romulus ordinaire . On peut trouver plus de ressemblance avec celui
on va pouvoir se convaincre que leur texte est bien celui du Romulus ordinaire  : Esopus de se primam dixit fabulam. In sterquil
ette dernière. Dans le même livre la fable du Lion régnant du Romulus ordinaire a été transcrite au-dessous de celle du Juif et d
cond copiste a transcrit les vingt-deux fables du livre IV du Romulus ordinaire , et, comme l’espace n’était pas suffisant, il a,
scilicet ultimus esse dicitur. Section III. Éditions du Romulus ordinaire . De tous les dérivés directs du Romulus primit
inaire. De tous les dérivés directs du Romulus primitif le Romulus ordinaire est, avec celui de Nilant, le seul qui ait été im
tion la plus célèbre et vraisemblablement la plus ancienne du Romulus ordinaire fut celle d’Ulm, que Schwabe considéra comme ayan
e, des fables de Bidpaï, on me permettra, avant de revenir au Romulus ordinaire , de signaler deux autres éditions d’une traductio
n de Bâle, qui avait essayé de rajeunir les fables latines du Romulus ordinaire , avait été pour elles le chant du cygne. Il en pa
e de 1806. Pendant deux siècles entiers, le texte latin du Romulus ordinaire fut presque oublié. Gude l’avait bien retrouvé da
hwabe, dans sa deuxième édition des fables de Phèdre, tira le Romulus ordinaire de l’oubli presque complet dans lequel la découve
mblablement communiqué un exemplaire de sa fameuse édition du Romulus ordinaire  ; il n’est donc pas étonnant qu’il ait été le pre
tion de Jean Fahre. Si, au xvie  siècle, le texte latin du Romulus ordinaire cessa d’être réimprimé, il n’en fut pas de même d
    À peine avait paru la traduction allemande des fables du Romulus ordinaire qu’une traduction française en était également pu
1485. Traduites en France et en Angleterre, les fables du Romulus ordinaire le furent bientôt dans les Pays-Bas, et l’honneur
t orné de gravures362. Chapitre II. Dérivés en prose du Romulus ordinaire . Première collection. Romulus de Vincent de
nt obtenu une notoriété plus grande que les autres dérivés du Romulus ordinaire , et c’est ensuite parce que, tout en différant as
qu’on voie plus aisément quelles sont les fables extraites du Romulus ordinaire par Vincent de Beauvais et dans quel ordre nous l
audra mieux que des explications même clairement données : Romulus ordinaire . Miroir historial. Miroir doctrinal. I, 2
r la fable du Cerf à la Fontaine, suivi l’ordre des fables du Romulus ordinaire , et qu’au contraire, dans son Miroir doctrinal, i
nal contenant les fables extraites par Vincent de Beauvais du Romulus ordinaire , la Bibliothèque royale de Munich possède un manu
peut pour la détermination de leur source hésiter qu’entre le Romulus ordinaire et le Romulus de Vienne, qui, ainsi que je l’étab
ienne, qui, ainsi que je l’établirai plus loin, est, comme le Romulus ordinaire , un dérivé direct du Romulus primitif. Pour sorti
t, duquel des deux Romulus celui d’Oxford est le plus voisin : Rom. ordinaire  : ad rivum e diverso venerunt. Sursum bibebat Lup
ulus de Vienne contient le mot quemdam que ne possèdent ni le Romulus ordinaire ni celui d’Oxford ; ces deux derniers portent le
i est dans celui de Vienne ; au mot eripuit que présentent le Romulus ordinaire et celui d’Oxford celui de Vienne substitue abstu
oyons qu’en général l’ordre des mots qui est le même dans les Romulus ordinaire et d’Oxford, ne s’accorde pas avec celui qui a ét
le attache le fil par lequel elle tient le Rat. C’est donc du Romulus ordinaire que celui d’Oxford est l’abrégé. J’ai dit que cet
ature avec l’indication de celles qui y correspondent dans le Romulus ordinaire . Ms. 86. Romulus ordinaire. Prologue. Dédic
les qui y correspondent dans le Romulus ordinaire. Ms. 86. Romulus ordinaire . Prologue. Dédicace. 1. Le Coq et la Perle.
t-cinq premières, qui non seulement par le fond descendent du Romulus ordinaire , mais qui en sont encore par la forme une imitati
re, ainsi séparée de la seconde, un dérivé uniquement tiré du Romulus ordinaire , et dans la seconde elle-même un dérivé mixte, is
i en ont été les principales sources. Romulus de Munich. Romulus ordinaire . Fabulæ extravagantes. 1. Le Coq et la Perle
d’incertitude sur celui qui a été leur source : c’est bien du Romulus ordinaire qu’elles sont dérivées ; car, si de temps en temp
ifférentes : il n’y en a qu’une, la xxixe , qui soit issue du Romulus ordinaire , où elle est la ixe du Livre II. Les xxvie , xxv
latin en prose qui est en même temps un abrégé ; seulement le Romulus ordinaire , au lieu d’en être la source unique, en est seule
temps leur corrélation avec leurs principales sources : Romulus ordinaire .   Dérivé complet du Romulus anglo-latin. E
Source des fables de Walther l’Anglais.     Les fables du Romulus ordinaire n’ont pas seulement servi de base à des compilati
vre consistait dans la collection que j’ai baptisée du nom de Romulus ordinaire . Ne supposant pas qu’il y eût d’autres collection
que, dans le manuscrit 3121 de la Phillip’s library, c’est au Romulus ordinaire qu’elles sont jointes, dans le manuscrit de Berli
aux vieilles éditions, on ne trouve plus l’Anonyme uni qu’au Romulus ordinaire . Mais cela ne prouve qu’une chose, c’est qu’à l’é
a vraie origine ne pouvant, à mes yeux, subsister qu’entre le Romulus ordinaire et celui de Vienne, j’ai essayé de comparer simul
a Grenouille et du Rat les trois collections m’ont offert : Rom. ordinaire . Ila grossum petiit linum ; Murem sibi ad pedem
fidem. Pes coït ergo pedi. Dans l’Anonyme, comme dans le Romulus ordinaire , c’est bien à sa patte que la Grenouille attache
r cet exemple, trancher la question de filiation en faveur du Romulus ordinaire . Obligé de prendre un parti, c’est pour cette sol
agantes sur la fictive dédicace à Tiberinus placée en tête du Romulus ordinaire . Je vais en passer en revue quelques-unes. Dans l
i n’est guère que la copie altérée de l’épître dédicatoire du Romulus ordinaire . Romulus y est bien présenté comme le traducteur
ainsi qu’elles n’embrassent que les trois premiers livres du Romulus ordinaire . Il est supposable que, si elles ne comprennent p
a nomenclature accompagnée de leurs références avec celles du Romulus ordinaire  : Walther. Romulus ordinaire. Prologue. P
s références avec celles du Romulus ordinaire : Walther. Romulus ordinaire . Prologue. Prologue. 1. Le Coq et la Perle.
peinte dans un petit cercle doré. Indépendamment des soixante fables ordinaires , il renferme les deux complémentaires, qui y sont
it : Fructum cape. Cette copie ne comprend que les soixante fables ordinaires  ; elles portent 61 numéros à cause de la division
risberiensi in Policratico suo. Le distique Fine sui , etc., qui d’ ordinaire termine la soixantième fable, est suivi de cet au
Elles sont au nombre de 62, et comprennent, outre les soixante fables ordinaires , les deux complémentaires De Capone et Accipitre
té la division en livres qui se trouve dans les manuscrits du Romulus ordinaire et que chacun de ses livres se composait des même
r ces mots : Incipit Esopus. Elles comprennent les soixante fables ordinaires , qui même, à cause du dédoublement de la fable de
trop rapide. Les 13 dernières fables ne sont pas rangées dans l’ordre ordinaire . Elles se terminent, d’après la pagination, au re
s’agit du lion malade et du renard, et dont par exception à la règle ordinaire l’auteur paraît avoir puisé ses inspirations à de
idemment inspirés par ces mots de la fable xii du livre IV du Romulus ordinaire  : Interrogata autem à leone : Quare non intrasti
nte authentiques, elles ne se présentent pas tout à fait dans l’ordre ordinaire  : il y a interversion entre la vingt-deuxième et
nuscrits est généralement la vingt-sixième vient après les deux que d’ ordinaire elle précède. La fable xlviii ne se compose que d
teflesch qui l’a signé. Les fables de Walther, limitées aux soixante ordinaires , commencent sans titre général au recto du feuill
es qu’il renferme, commencent au recto du feuillet 83 par le prologue ordinaire , au-dessous duquel ou lit cette glose inspirée pa
e que, suivant l’opinion adoptée, elles sont bien dérivées du Romulus ordinaire . Elles ne comprennent que 60 fables, et sont préc
n rien au précédent. Les fables sont au nombre de 61, composées de 60  ordinaires , et d’une soixante et unième en vers hexamètres,
ne se compose que de 18 feuillets, uniquement consacrés aux 62 fables ordinaires par un véritable calligraphe du xve  siècle. Elle
lose, n’en occupent que les 25 premiers. Indépendamment des 62 fables ordinaires , elles en comprennent une soixante-troisième, qui
st du xve  siècle, sont au nombre de 61, et comprennent les 60 fables ordinaires et la fable De Capone et Accipitre, qui, étant in
renant les 60 fables primitives et les deux qui en sont le complément ordinaire . Aucun titre général ne les surmonte ; mais la fi
1. Ayant dû, lorsque j’ai passé en revue les manuscrits du Romulus ordinaire , décrire ce manuscrit qui en contient une copie,
ze ouvrages, dont les fables de Walther, comprenant les soixante-deux ordinaires , forment le douzième. Elles commencent à la premi
ologue et aux épimythions, par les cinq fables substituées aux fables ordinaires , par l’addition de dix-neuf autres tirées d’Avian
de quelques gloses, sont au nombre de soixante-deux comprenant les 60  ordinaires et les deux fables De Capone et Accipitre et De P
ienne. Elles sont au nombre de soixante-deux, comprenant les soixante ordinaires et les deux complémentaires De Capone et Accipitr
par ce titre : Incipit liber exopi. Elles se composent des soixante ordinaires et des deux complémentaires. Toutes sont surmonté
it liber Esopi. La fable xlviii ne possède que les quinze distiques ordinaires . D. Manuscrit 640. Œuvre d’un copiste itali
. Les fables, au nombre de soixante-trois, comprennent les soixante ordinaires auxquelles s’ajoutent les trois suivantes : De Do
emagne peut revendiquer la première publication des fables du Romulus ordinaire , c’est à l’Italie que revient l’honneur des premi
égaux, et que cette division, conforme à celle des fables du Romulus ordinaire , démontre une fois de plus qu’elles en sont bien
ce. Les fables sont au nombre de soixante-six, composées des soixante ordinaires et de six autres intitulées : De Capone et Accipi
mais d’une réimpression augmentée ; car à la suite des huit ouvrages ordinaires il en existe un neuvième. Elle forme un volume in
e de soixante, qui, comme lorsqu’elles accompagnent celles du Romulus ordinaire , sont divisées en trois livres. Au recto du derni
trés anglais, qui, en traduisant les trois premiers livres du Romulus ordinaire , ont, sans le vouloir ou sans le savoir, paraphra
rt la version ou, pour être plus exact, la paraphrase tant du Romulus ordinaire que du Romulus anglo-latin. La Bibliothèque Bodlé
o Zuccho. De même que la première traduction des fables du Romulus ordinaire avait paru en Allemagne, de même ce fut en Italie
événements politiques. Les fables en vers de Walther, nées du Romulus ordinaire , extrait lui-même du Romulus primitif qui était d
ge, le seul lettré qui ait mis en vers élégiaques la prose du Romulus ordinaire . Alexandre Neckam, son compatriote et son contemp
en voici la nomenclature accompagnée des numéros de celles du Romulus ordinaire , auxquelles elles ont été empruntées : Alex. N
ire, auxquelles elles ont été empruntées : Alex. Neckam. Romulus ordinaire . 1. Le Loup et la Grue. I, 8. 2. Les Quadrup
fables, trente-sept se rapportent par les sujets à celles du Romulus ordinaire . Celles qui correspondent aux fables connues de P
rosaïque qui était probablement la suivante conservée dans le Romulus ordinaire  : Ossa lupus cum devoraret, unum ex illis hæsit
s hæsit ei. On voit par cette comparaison que c’est bien du Romulus ordinaire que dérive l’œuvre de Neckam. Je sais qu’une obje
te-deux fables de Neckam cinq n’avaient pas été empruntées au Romulus ordinaire  ; ce sont les suivantes : Le Taureau et le Mouche
, lui était fourni à la fois par les Fabulæ antiquæ et par le Romulus ordinaire , c’est dans ce dernier qu’il prenait le thème à m
Neckam, j’ai déjà montré qu’il avait plutôt suivi le texte du Romulus ordinaire que celui de Phèdre ; je peux de même affirmer qu
des mots, que l’œuvre de Neckam est plus conforme au texte du Romulus ordinaire qu’à celui des Fabulæ antiquæ, c’est, encore par
parler d’otages, leur offrent d’être leurs gardiens. Dans le Romulus ordinaire , au contraire, les Loups envoient des mandataires
les choses se passent dans la fable de Neckam. On lit dans le Romulus ordinaire ce membre de phrase : Si Canes obsides darent ,
rsque le sujet qu’il met en vers ne lui est pas fourni par le Romulus ordinaire , ce n’est pas davantage, grâce sans doute à la ra
du Lièvre, de l’Aigle et du Moineau, qui n’existe pas dans le Romulus ordinaire . Elle figure dans ce qui nous est parvenu du text
Mais alors où avait-il pu rencontrer les cinq fables dont le Romulus ordinaire ne lui fournissait pas la matière ? Voilà ce que
hèdre les sujets ou tout au moins deux des cinq sujets que le Romulus ordinaire ne pouvait lui procurer. Mais il est probable que
ux fables dont elle se compose, il y en a trente-sept dont le Romulus ordinaire a été la base unique. En tenant ce langage, je re
ger483. Ce dernier, traduisant en vers élégiaques, d’après le Romulus ordinaire , la fable du Loup et de l’Agneau, avait écrit les
ckam n’a pas copié Walther, mais encore, imitant comme lui le Romulus ordinaire , il en a davantage conservé les expressions. J’ai
nq fables de Neckam qui n’ont pas été puisées par lui dans le Romulus ordinaire , la première correspond à la xxxvie des Fabulæ a
ienne, des expressions de Phèdre, qui, n’existant pas dans le Romulus ordinaire , n’ont pu être puisées que dans le Romulus primit
e, qui est dans Phèdre la vingt et unième du livre I, dans le Romulus ordinaire la quinzième du livre I, et dans celui de Vienne
che la proie pour l’ombre. En voici d’abord le texte, tiré du Romulus ordinaire  : « Amittit proprivm qvisqvis avidvs alienvm appe
définitive, si la collection de Vienne n’est pas un dérivé du Romulus ordinaire , elle constitue une œuvre qui, comme lui, ne s’él
it ressortir les différences séparant le Romulus de Vienne du Romulus ordinaire , c’est-à-dire de la fable du Chien qui lâche la p
Le Romulus de Florence se compose des mêmes fables que le Romulus ordinaire . Semblables par le nombre et peu différentes par
quelle catégorie je devais le rattacher. Devais-je y voir le Romulus ordinaire plus ou moins dénaturé par des variantes, qui, si
voir dans le texte de la Laurentienne un Dérivé, issu, non du Romulus ordinaire , mais du Romulus primitif ? Dans sa Notice sur de
manuscrits que j’ai mis au rang de ceux contenant le texte du Romulus ordinaire , il y en a qui, comme le manuscrit du Mans, renfe
r le manuscrit de Florence que comme un exemplaire de plus du Romulus ordinaire . Pour m’éclairer, ce qui m’était nécessaire, c’ét
ent du texte de Florence une imitation ou une simple copie du Romulus ordinaire , je commençai par rechercher si leur nature ne m’
it pas dans certaines parties plus rapproché de Phèdre que le Romulus ordinaire , et si dès lors il n’était pas, comme ce dernier
rapprochement, il ressort que des deux textes c’est celui du Romulus ordinaire qui est le plus conforme à Phèdre. Mais continuon
rence est conforme à celui de Phèdre dans plusieurs cas où le Romulus ordinaire s’en écarte. Pour rendre plus concluant cet exame
a et Capella et Ovis sodales fuerunt Leonis. Ici on voit le Romulus ordinaire suivre Phèdre de plus près que celui de Florence 
ence, offrant des expressions de Phèdre que ne possède pas le Romulus ordinaire , ne procède pas de ce dernier, et la seconde, c’e
est donc acquis que le Romulus de Florence n’est pas issu du Romulus ordinaire . Sans vouloir attacher au classement des fables p
onie avec cette solution. Dans les plus anciens manuscrits du Romulus ordinaire , la fable du Renard et de l’Aigle est la huitième
e. Je pourrais me contenter de renvoyer à celle des fables du Romulus ordinaire et de dire que leur classement, comme leur nombre
it identique dans les deux collections, si celle qui, dans le Romulus ordinaire , est la huitième du livre II, n’était pas la trei
e Romulus de Florence, et si, tandis que, dans le livre II du Romulus ordinaire , la fable de la Mouche et de la Mule précède cell
ces titres, les numéros que portent les mêmes fables dans le Romulus ordinaire  : Romulus de Florence. Romulus ordinaire.
fables dans le Romulus ordinaire : Romulus de Florence. Romulus ordinaire . I, 1. Le Coq et la Perle. I, 1. I, 2. Le Lo
est-à-dire de celles dont sont formés les livres III et IV du Romulus ordinaire . Quant aux autres opuscules qui viennent à la sui
de qu’au point de vue des services à en tirer pour publier du Romulus ordinaire une édition bien exacte, le traitèrent avec un dé
ps que l’œuvre poétique de Phèdre, la prosaïque paraphrase du Romulus ordinaire . Comme Lessing, Schwabe n’avait pas aperçu le vér
ilant un dérivé du Romulus primitif et prétendre que c’est du Romulus ordinaire que j’aurais dû le faire descendre. Je reconnais
les puisées dans le Romulus primitif ou tout au moins dans le Romulus ordinaire , sont pour le surplus sorties d’autres sources. Q
llet 218 rº qui porte le nº 217 bis. Elles sont précédées du prologue ordinaire en quarante vers, se succèdent sans titres et son
rante vers, se succèdent sans titres et sont terminées par l’épilogue ordinaire , auquel toutefois manquent les quatre derniers ve
llet 58 a et se terminent au feuillet 92 b. Le prologue et l’épilogue ordinaires les précèdent et les suivent. Elles ne sont accom
e portent pas de litres particuliers, mais sont précédées du prologue ordinaire et suivies de l’épilogue composé seulement de 22 
commençait un Bestiaire. Les fables de Marie débutent par le prologue ordinaire en tête du feuillet 31 a. Au-dessus du prologue a
dication de M. de Roquefort528, les fables sont suivies de l’épilogue ordinaire , écrit par la même main que les titres ; comme da
nombre de 102, ne portent pas de titres, sont pourvues de l’épilogue ordinaire et se terminent au milieu du feuillet 273 rº, col
ie presque littérale du Romulus primitif, ou, si l’on veut du Romulus ordinaire , les fables du Romulus Roberti sont toutes dérivé
est le complément habituel. Le premier, qui est précédé de la préface ordinaire , ne porte aucun titre général ; mais les fables y
complète. Jusqu’à la soixantième fable le copiste a respecté l’ordre ordinaire et n’a presque rien omis ; il a même conservé les
ne à la première colonne du feuillet 26 a. Il débute par son prologue ordinaire , qui est annoncé par ce titre à l’encre rouge :
vent seulement au nombre de 56. Elles sont précédées de leur prologue ordinaire , mais ne portent ni titre général applicable à la
ème, c’est-à-dire à celle du Rat et de la Grenouille. Dans le Romulus ordinaire qui, on le sait, n’est guère que la copie du Romu
nunc esse ligamen. Ce n’est pas tout. Dans la même fable, le Romulus ordinaire dit seulement que la Grenouille, avec la ficelle
e du Loup régnant et du Singe, le Romulus de Nilant, comme le Romulus ordinaire et comme celui de Vienne, laisse au Lion son titr
ts barbares qui non seulement ne se rencontrent pas dans les lexiques ordinaires , mais qu’on chercherait même en vain dans ceux de
alther l’Anglais, qui, on se le rappelle, a pris en dehors du Romulus ordinaire les sujets de ses dernières fables. Maintenant, s
rencontre des expressions qui, quoique n’existant pas dans le Romulus ordinaire , n’en ont pas moins été empruntées à Phèdre. Je v
us. On voit, par ce premier exemple, que, tandis que dans le Romulus ordinaire , le mot inferius a été substitué au mot inferior,
ux textes antique et Bernois des expressions répudiées par le Romulus ordinaire devient encore plus sensible : Phèdre. Hæc prop
ssait Phèdre, et que, tout en prenant pour principal guide le Romulus ordinaire , il a fait en même temps quelques emprunts au poè
le Romulus de Berne des expressions de Phèdre omises dans le Romulus ordinaire , c’est parce qu’il était dérivé non de ce Romulus
e le commencement en tête de l’épilogue du quatrième livre du Romulus ordinaire , et si le milieu n’a pas été conservé, la fin est
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
ur cheute ; pource que cela se peut en effect, à cause des changemens ordinaires de la fortune. Que si elle les a mis en un estat
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
enaçoit temerairement, ne rabatist rien pour tout cela de sa violence ordinaire . Il en prit de mesme qu’à luy à plusieurs Monarqu
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
sage déguisé de rides, le corps catarreux, et l’esprit bizarre pour l’ ordinaire . Que si d’avanture ils rencontrent, comme j’ay su
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
isonnement en ceste action, et qu’il avoit quelque chose par dessus l’ ordinaire des bestes brutes ? On rapporte encore une Histoi
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