oit entre ses dents une piece de chair, de qui l’ombre, comme c’est l’
ordinaire
, paroissant dans l’eau à la clarté du Soleil, il
tout insatiable desir d’une possession, non seulement reüssit pour l’
ordinaire
à neant, pour ce qui est d’acquerir de nouveau, m
continuel des creanciers. Pour le regard des Amants, c’est presque l’
ordinaire
de voir, que n’estant pas rassasiez de la possess
Fable, de ceux qui se veulent mesler d’un mestier qui ne leur est pas
ordinaire
, ny propre, et laissent pour cét effet leur vray
, joincte à une foiblesse d’esprit encore plus grande. Or est-elle si
ordinaire
au siecle où nous sommes, que mesme les simples f
t devait sur son dos Porter l’attirail necessaire, Et combattre à son
ordinaire
: L’Ours s’apprester pour les assauts : Le Renard
humeur, il n’y en a point en la bouche de qui ces injures soient plus
ordinaires
, qu’en celle des Amants. Ce sont eux, qui les pre
de l’esprit, soit pour la force du corps. Ce qui n’est pas seulement
ordinaire
en nostre espece, mais en celle de tous les anima
a constitution de l’homme. Ce que tesmoignent assez leurs évacuations
ordinaires
, par qui elles se deschargent d’un sang malin, et
veilles, et qui sont incapables de se conduire dans les circonstances
ordinaires
de la vie.
aux, et les Brebis leurs Chiens.
L’échange en estant fait aux formes
ordinaires
,
Et reglé par des Commissaires,
Au bout de quel
e, ne déchoit pas seulement de ce qu’elle desire, mais elle dissipe d’
ordinaire
ce qui est acquis. Je me souviens que j’ay assez
e murailles capable de les deffendre, ils repriment tout à coup leurs
ordinaires
apprehensions, et ne songent pour ceste heure là
nt pas toutesfois dépourveus de l’amour de la vengeance, qui est plus
ordinaire
à ces ames basses, qu’aux genereuses. Il faut don
ly. Le vase est imbibé, l’étoffe a pris son ply. En vain de son train
ordinaire
On le veut desaccoûtumer. Quelque chose qu’on pui
nous mesfier principalement des personnes, qui empruntent contre leur
ordinaire
, le masque de leur feinte pieté. Ce que fist fort
esme en son inconvenient. Nous voyons par là que les meschants sont d’
ordinaire
enveloppez dans leurs propres menées, et portent
une gipsy qui promet des merveilles et se montre incapable des choses
ordinaires
. Chambry 91.2 Aliter — Autre version. Γ
quand il crie tout de bon, et comme cela il perd une de ses brebis ;
ordinaire
advanture de ceux qui mentent, ausquels on n’ajou
ue ce n’estoit qu’un mensonge que cet indiscret vouloit debiter à son
ordinaire
, on le saisit aussi-tost, et le mena-t’on droit à
En regardant à tout, il voit une autre tête Que celles qu’il voyoit d’
ordinaire
en ce lieu. Le Cerf est reconnu ; chacun prend un
leur tour, et rendre la pareille à l’aggresseur. Aussi voyons-nous d’
ordinaire
que telle espece de gens est extrémement noircie
es, où nous voyons par une infinité d’exemples, que la fraude tombe d’
ordinaire
sur son autheur, à cause qu’il se treuve toûjours
pour eux seuls, et dequoy la Nature ne se détraque point de son cours
ordinaire
en leur faveur. Je me souviens à ce propos d’avoi
erfection, l’on ne s’y trompera guere, ce me semble. Car il se void d’
ordinaire
qu’un homme extrémement laid, sera doüé d’un espr
e soixante-dixiesme contient quelque chose de plus, que le blâme de l’
ordinaire
temerité. Car c’est bien veritablement un effect
té remarquée par Esope, comme la plus commune de celles qui tombent d’
ordinaire
en praticque parmy les hommes, qui estans presque
nt en pieces bien aisément, pource qu’elles n’avoient plus leur garde
ordinaire
. Discours sur la quarante-troisiesme Fable.
son compagnon. De ce manquement de consideration l’on void naistre d’
ordinaire
le refus et l’opiniastreté contre les conseils. D
14 Me 3 Mf 3. Un rossignol perché sur un chêne élevé chantait à son
ordinaire
. Un épervier l’aperçut, et, comme il manquait de
s sçavoir le dommage qu’ils se font. Mais ceste remarque estant assez
ordinaire
en toutes les actions de la vie, ne manque presqu
ceux qui se disent nos amis, veu la grande tromperie qui se trouve d’
ordinaire
parmy les hommes, n’est ce pas une espece de mani
n fougue, et avec une pluralité d’ennemis. Ceste mauvaise methode est
ordinaire
à ceux qui nous persecutent en nostre affliction,
quelque orgueilleux que fût ce Geant. Or quoy que cela ne semble pas
ordinaire
en la Nature, si est-ce qu’on en peut donner des
e les foibles, qu’ils dédaignent de mettre en œuvre tout ce qui est d’
ordinaire
praticqué pour la seureté des Combattans, à sçavo
dis je, tout cela, si ce n’est de la richesse ? Ne voyons-nous pas d’
ordinaire
qu’elle fait prendre à dédain tout ce qui est au
es Roys de Sparthe, et les premiers de toutes les Monarchies ont eu d’
ordinaire
plus de Vertu, et mieux merité l’amour des Peuple
ion, et qu’elle haït ou doit haïr ce qui l’advance au deçà des bornes
ordinaires
de la vie. Nous ne devrions donc pas beaucoup aym
peu de gents interessez, et que l’execution de leur arrest est pour l’
ordinaire
de petite difficulté.
Aloüette à l’essor, le Maistre s’en vient faire Sa ronde ainsi qu’à l’
ordinaire
. Ces bleds ne devroient pas, dit-il, estre debout
ope n’auroit pas feint ceste Fable sans sujet, puis que nous voyons d’
ordinaire
dans le monde que les meschants sont punis, et le
A MONSEIGNEUR MOROSINI, AMBASSADEUR
ORDINAIRE
DE LA SERENISSIME REPUBLIQVE DE VENISE, PRES DE S
Oncle, qui faisant comme vous en cette Cour la charge d’Ambassadeur
ordinaire
, au temps du feu Roy d’heureuse memoire, fut hono
delices en sa mauvaise fortune. D’ailleurs, l’homme de bien estant d’
ordinaire
beaucoup plus traictable que le meschant, il est
mortel Ennemy, auquel encore qu’il voulust laisser la vie, selon son
ordinaire
generosité, si luy fust-il impossible d’obtenir c
and air, c’est à dire qui se jettent dans la haute volée, sont pour l’
ordinaire
sujets à l’inconstance. La raison n’en est pas di
ombien ils le sçavoient dire agreablement, ou plustost par un caprice
ordinaire
aux esprits des hommes, qui est de n’estre jamais
eulement oster à la fortune du Macedonien tout le pouvoir qu’elle a d’
ordinaire
dans les combats, mais aussi c’est beaucoup dérog
ion, comme les Souverains, et ceux qui en approchent, entretiennent d’
ordinaire
des Historiens à gages, qui ne peuvent de moins q
re, que toutes choses sont gouvernées par la Providence Divine, est l’
ordinaire
solution, que donnent les Sages. Laisse moy donc
inte, qui comme elle glace les temperaments, elle reside aussi pour l’
ordinaire
dans les humeurs froides. D’ailleurs ils ont esté
es mal-faisants, qui pour assener leurs coups sans peril, cherchent d’
ordinaire
une foible et nuë simplicité ; pource que s’ils a
les animositez qu’ils suscitent à l’encontre d’eux, estant bien plus
ordinaire
aux hommes de murmurer contre ceux qui changent d
Lion. Il s’en revêtit à l’heure mesme, puis s’en retourna à sa pâture
ordinaire
, donnant l’alarme à toutes les autres bestes, qui
t l’image de la necessité comme une chose effroyable. Ils craignent d’
ordinaire
que tout leur vienne à manquer : Ils se mesfient
une. C’est à cause de cela qu’Aristote dit, que les Vieillards sont d’
ordinaire
plus avares que les autres, pource qu’ils ont le
ui devore et engloutit tous les plus hauts desseins, et ignore pour l’
ordinaire
toutes les craintes. Or pour revenir à l’Avarice,
que de les laisser riches avecque peu de Vertu ? N’arrive-t’il pas d’
ordinaire
que tels enfans ingrats et dénaturez, se mocquent
a leurs pensées dans le Ciel. Mais je passe de bien loing les limites
ordinaires
de mes Allegories, dont il faut accuser la riches
de croire que ce soit à son occasion. Telle espece d’orgueil est fort
ordinaire
à ceux qui vivent familierement auprés de la pers
personnes mesme qu’il envie, puis qu’il est certain que nous aymons d’
ordinaire
plus que les autres, ceux à qui nous avons fait p
MONSIEUR, La deformité du corps estant, comme elle est, une marque
ordinaire
de celle de l’ame, j’auois un juste sujet d’appre
pas tous à si bon marché, que la Gruë d’Esope. Car ils se trouvent d’
ordinaire
embroüillez dans les propres menées de ceux qu’il
un mesme estat, et aspire incessamment à la nouveauté. Ce qui estant
ordinaire
en la pluspart de nos actions, arrive sur tout en
l’estime des autres pour se la transferer. Les exemples de cela sont
ordinaires
dans les Estats, autant de fois qu’il se fait que
et à ne voler jamais de jour. Voylà pourquoy l’on ne la voit point d’
ordinaire
, que lors qu’il est presque nuict. Discours sur
cte asseurance de sa vie. Or quoy que les exemples de perfidie soient
ordinaires
en cette occasion, si est ce qu’il s’est rencontr
sont pas tous-jours d’humeur d’acquerir des biens perissables ; leur
ordinaire
est de les mespriser bien fort, et se tenir au de
r à ceste Fable deux belles Moralitez, l’une que les Trompeurs sont d’
ordinaire
trompez eux-mesmes, et l’autre que dés nôtre Enfa
. D’ailleurs l’évenement et la praticque des choses, dépendent pour l’
ordinaire
du temps, à quoy le Sage s’accommode discrettemen
rs conjoinctement avecque les graces corporelles, mais qu’on voyoit d’
ordinaire
les belles personnes foibles et stupides ; et au
fléchy sous l’apprehension d’une guerre, ou qu’il eût descheu de son
ordinaire
égalité ? Estoit-il blâmable du vice des lâches,
rtifice, et sans soupçon, ne jugeant digne de luy que la voye la plus
ordinaire
, et la plus naïfve. Ce n’est pas pourtant que je
ue tels Voleurs, sur qui la justice des hommes s’exerce, ne tombent d’
ordinaire
en ceste disgrace, que pour n’avoir esté bien rep
’il ayme. D’ailleurs, toute habitude loüable et honneste de soy, va d’
ordinaire
jusques à l’éternité, si elle est contractée comm
e imperfection : car de l’imputer à un defaut d’esprit, nous voyons d’
ordinaire
que les plus habiles sont les plus sujets à l’amo
à des actions precipitées et dommageables. Telles violences tombent d’
ordinaire
plus aisément dans l’ame des petits, que des autr
on luy vueille faire du mal, ny qu’elle doive rien endurer plus que l’
ordinaire
. Il n’est pas ainsi d’une Truye, qui n’est ny tir
rangs des avocats. « Pendant les vacances de l’année 1595, qu’à son
ordinaire
il étoit venu passer à Troyes, expose Grosley, Fr
sitto de plagiat inepte. Pour lui, Cassitto est moins qu’un plagiaire
ordinaire
; c’est un plagiaire qui cherche, par toutes sort
r la description du manuscrit. Le manuscrit a la dimension d’un in-8º
ordinaire
. L’écriture est sur papier. Elle est très fine, m
es 34 fables restituées par Gude et par Burmann, et celles du Romulus
ordinaire
. 1835. Phædri Aug. lib. fabularum Æsopia
e qu’il ignore si ces fables sont identiques soit à celles du Romulus
ordinaire
, soit à celles de l’anonyme de Nilant, soit à cel
erbe cœpit était plus que le verbe occœpit en rapport avec le langage
ordinaire
du fabuliste, il en avait conclu que le manuscrit
manuscrit était un recueil de fables connues, tel que ceux du Romulus
ordinaire
et de l’anonyme de Nilant, ou si au contraire c’é
élégance des caractères arrondis et pleins, telle qu’elle se montre d’
ordinaire
dans les plus beaux manuscrits de cette époque. L
out du texte du dérivé qui dans cet ouvrage portera le nom de Romulus
ordinaire
, que je vais l’examiner. § 1. — Dissertation su
st-à-dire dans le plus ancien de ceux contenant les fables du Romulus
ordinaire
, la dédicace commence ainsi : Romulus Tyberino fi
ale et dans son Speculum doctrinale, vingt-neuf des fables du Romulus
ordinaire
, et Gude, dont la compétence en matière paléograp
tion spéciale. Le Romulus primitif a péri ; mais, à l’aide du Romulus
ordinaire
et du Romulus conservé à Vienne, on peut dresser
’est que ces fables étaient comprises, non pas, comme dans le Romulus
ordinaire
, dans quatre livres, mais dans trois seulement. O
quand on aura entièrement parcouru ce volume, qu’en dehors du Romulus
ordinaire
aucun des dérivés directs du Romulus primitif n’e
son plus connu et plus proche dérivé, c’est-à-dire à celui du Romulus
ordinaire
, et cela, en me servant du plus ancien des manusc
professeurs. On aperçoit dans cet Æsopus, lorsqu’à laide du Romulus
ordinaire
on cherche à se rendre compte de ce qu’il a été,
ie ligor. En sens inverse on trouve dans les manuscrits du Romulus
ordinaire
des expressions qui s’écartent du texte de Phèdre
e M. Oesterley, celui, sinon du Romulus primitif, au moins du Romulus
ordinaire
qui s’en éloigne peu, il n’ait pas aperçu les dif
présent avertir qu’elles seront consacrées : La première, au Romulus
ordinaire
et à ses sous-dérivés, La deuxième, au Romulus de
rivés, La cinquième, au Romulus de Berne. Première partie. Romulus
ordinaire
et ses sous-dérivés. Chapitre premier. Romul
Romulus ordinaire et ses sous-dérivés. Chapitre premier. Romulus
ordinaire
. Section I. Observations sur le Romulus ordi
emier. Romulus ordinaire. Section I. Observations sur le Romulus
ordinaire
. Jusqu’à ce jour la collection que j’appelle R
lus ordinaire. Jusqu’à ce jour la collection que j’appelle Romulus
ordinaire
a été considérée comme la plus ancienne de toutes
ens manuscrits que dans les plus anciennes éditions, c’est le Romulus
ordinaire
qu’on devait être dès lors induit à juger le plus
rochaient, par exception, dans certains endroits, plus que le Romulus
ordinaire
, de Phèdre et conséquemment de l’Æsopus ad Rufum
nnée des fables du Romulus primitif et d’avertir que celle du Romulus
ordinaire
n’en doit différer que par l’absence des deux fab
ar les mêmes procédés que précédemment, dans quelle mesure le Romulus
ordinaire
a conservé les phrases et les expressions de Phèd
f, c’est, à défaut du texte disparu de ce dernier, à celui du Romulus
ordinaire
que j’ai eu recours. Établir un nouveau parallèle
a recommencer, je m’en abstiens. Section II. Manuscrits du Romulus
ordinaire
. Les manuscrits que j’ai considérés comme cont
es manuscrits que j’ai considérés comme contenant le texte du Romulus
ordinaire
sont les six suivants : 1º Le manuscrit du Britis
s regarder comme des dérivés du Romulus primitif distincts du Romulus
ordinaire
. Mais, comme, en l’absence du Romulus primitif, o
me telles, les éditer toutes les trois à la suite du texte du Romulus
ordinaire
. En somme, j’aurais été dans la regrettable néces
le premier groupe qui renferme le plus exactement le texte du Romulus
ordinaire
, c’est à l’un des trois manuscrits de ce groupe q
érivé, mais comme un exemplaire plus ou moins pur du texte du Romulus
ordinaire
. C’est un volume du petit format in-fol., compos
de il ressort d’abord que le manuscrit contient les fables du Romulus
ordinaire
; elles s’y trouvent bien au complet et elles ser
dans ma première édition, je les ai notées au bas du texte du Romulus
ordinaire
édité d’après la copie de Pierre Crinitus. Je ne
me peine. Dans le manuscrit du Mans, à la suite des fables du Romulus
ordinaire
, vient au verso du feuillet 128 une fable dont le
ue ne seraient que des dérivés semblables de la collection du Romulus
ordinaire
, M. Oesterley donne la nomenclature de ceux des m
coup d’œil sur le manuscrit, il aurait vu qu’il contenait le Romulus
ordinaire
, qu’il portait en tête, sans modification notable
it assez irréprochable pour qu’on pût y voir un exemplaire du Romulus
ordinaire
. En effet il ne diffère guère de celui du manuscr
e ma première édition, j’ai découvert un sixième manuscrit du Romulus
ordinaire
. Il est en Angleterre, à Cheltenham, et dépend de
l’Anonyme de Névelet que j’appellerai Walther et à celles du Romulus
ordinaire
. Les fables de Walther, qui commencent au haut du
e qu’au bas des pages, elles ont été encadrées dans celles du Romulus
ordinaire
, sinon par le même copiste, du moins par un autre
e s’abritent aussi sous le même. Tous paraissent empruntés au Romulus
ordinaire
. On peut trouver plus de ressemblance avec celui
on va pouvoir se convaincre que leur texte est bien celui du Romulus
ordinaire
: Esopus de se primam dixit fabulam. In sterquil
ette dernière. Dans le même livre la fable du Lion régnant du Romulus
ordinaire
a été transcrite au-dessous de celle du Juif et d
cond copiste a transcrit les vingt-deux fables du livre IV du Romulus
ordinaire
, et, comme l’espace n’était pas suffisant, il a,
scilicet ultimus esse dicitur. Section III. Éditions du Romulus
ordinaire
. De tous les dérivés directs du Romulus primit
inaire. De tous les dérivés directs du Romulus primitif le Romulus
ordinaire
est, avec celui de Nilant, le seul qui ait été im
tion la plus célèbre et vraisemblablement la plus ancienne du Romulus
ordinaire
fut celle d’Ulm, que Schwabe considéra comme ayan
e, des fables de Bidpaï, on me permettra, avant de revenir au Romulus
ordinaire
, de signaler deux autres éditions d’une traductio
n de Bâle, qui avait essayé de rajeunir les fables latines du Romulus
ordinaire
, avait été pour elles le chant du cygne. Il en pa
e de 1806. Pendant deux siècles entiers, le texte latin du Romulus
ordinaire
fut presque oublié. Gude l’avait bien retrouvé da
hwabe, dans sa deuxième édition des fables de Phèdre, tira le Romulus
ordinaire
de l’oubli presque complet dans lequel la découve
mblablement communiqué un exemplaire de sa fameuse édition du Romulus
ordinaire
; il n’est donc pas étonnant qu’il ait été le pre
tion de Jean Fahre. Si, au xvie siècle, le texte latin du Romulus
ordinaire
cessa d’être réimprimé, il n’en fut pas de même d
À peine avait paru la traduction allemande des fables du Romulus
ordinaire
qu’une traduction française en était également pu
1485. Traduites en France et en Angleterre, les fables du Romulus
ordinaire
le furent bientôt dans les Pays-Bas, et l’honneur
t orné de gravures362. Chapitre II. Dérivés en prose du Romulus
ordinaire
. Première collection. Romulus de Vincent de
nt obtenu une notoriété plus grande que les autres dérivés du Romulus
ordinaire
, et c’est ensuite parce que, tout en différant as
qu’on voie plus aisément quelles sont les fables extraites du Romulus
ordinaire
par Vincent de Beauvais et dans quel ordre nous l
audra mieux que des explications même clairement données : Romulus
ordinaire
. Miroir historial. Miroir doctrinal. I, 2
r la fable du Cerf à la Fontaine, suivi l’ordre des fables du Romulus
ordinaire
, et qu’au contraire, dans son Miroir doctrinal, i
nal contenant les fables extraites par Vincent de Beauvais du Romulus
ordinaire
, la Bibliothèque royale de Munich possède un manu
peut pour la détermination de leur source hésiter qu’entre le Romulus
ordinaire
et le Romulus de Vienne, qui, ainsi que je l’étab
ienne, qui, ainsi que je l’établirai plus loin, est, comme le Romulus
ordinaire
, un dérivé direct du Romulus primitif. Pour sorti
t, duquel des deux Romulus celui d’Oxford est le plus voisin : Rom.
ordinaire
: ad rivum e diverso venerunt. Sursum bibebat Lup
ulus de Vienne contient le mot quemdam que ne possèdent ni le Romulus
ordinaire
ni celui d’Oxford ; ces deux derniers portent le
i est dans celui de Vienne ; au mot eripuit que présentent le Romulus
ordinaire
et celui d’Oxford celui de Vienne substitue abstu
oyons qu’en général l’ordre des mots qui est le même dans les Romulus
ordinaire
et d’Oxford, ne s’accorde pas avec celui qui a ét
le attache le fil par lequel elle tient le Rat. C’est donc du Romulus
ordinaire
que celui d’Oxford est l’abrégé. J’ai dit que cet
ature avec l’indication de celles qui y correspondent dans le Romulus
ordinaire
. Ms. 86. Romulus ordinaire. Prologue. Dédic
les qui y correspondent dans le Romulus ordinaire. Ms. 86. Romulus
ordinaire
. Prologue. Dédicace. 1. Le Coq et la Perle.
t-cinq premières, qui non seulement par le fond descendent du Romulus
ordinaire
, mais qui en sont encore par la forme une imitati
re, ainsi séparée de la seconde, un dérivé uniquement tiré du Romulus
ordinaire
, et dans la seconde elle-même un dérivé mixte, is
i en ont été les principales sources. Romulus de Munich. Romulus
ordinaire
. Fabulæ extravagantes. 1. Le Coq et la Perle
d’incertitude sur celui qui a été leur source : c’est bien du Romulus
ordinaire
qu’elles sont dérivées ; car, si de temps en temp
ifférentes : il n’y en a qu’une, la xxixe , qui soit issue du Romulus
ordinaire
, où elle est la ixe du Livre II. Les xxvie , xxv
latin en prose qui est en même temps un abrégé ; seulement le Romulus
ordinaire
, au lieu d’en être la source unique, en est seule
temps leur corrélation avec leurs principales sources : Romulus
ordinaire
. Dérivé complet du Romulus anglo-latin. E
Source des fables de Walther l’Anglais. Les fables du Romulus
ordinaire
n’ont pas seulement servi de base à des compilati
vre consistait dans la collection que j’ai baptisée du nom de Romulus
ordinaire
. Ne supposant pas qu’il y eût d’autres collection
que, dans le manuscrit 3121 de la Phillip’s library, c’est au Romulus
ordinaire
qu’elles sont jointes, dans le manuscrit de Berli
aux vieilles éditions, on ne trouve plus l’Anonyme uni qu’au Romulus
ordinaire
. Mais cela ne prouve qu’une chose, c’est qu’à l’é
a vraie origine ne pouvant, à mes yeux, subsister qu’entre le Romulus
ordinaire
et celui de Vienne, j’ai essayé de comparer simul
a Grenouille et du Rat les trois collections m’ont offert : Rom.
ordinaire
. Ila grossum petiit linum ; Murem sibi ad pedem
fidem. Pes coït ergo pedi. Dans l’Anonyme, comme dans le Romulus
ordinaire
, c’est bien à sa patte que la Grenouille attache
r cet exemple, trancher la question de filiation en faveur du Romulus
ordinaire
. Obligé de prendre un parti, c’est pour cette sol
agantes sur la fictive dédicace à Tiberinus placée en tête du Romulus
ordinaire
. Je vais en passer en revue quelques-unes. Dans l
i n’est guère que la copie altérée de l’épître dédicatoire du Romulus
ordinaire
. Romulus y est bien présenté comme le traducteur
ainsi qu’elles n’embrassent que les trois premiers livres du Romulus
ordinaire
. Il est supposable que, si elles ne comprennent p
a nomenclature accompagnée de leurs références avec celles du Romulus
ordinaire
: Walther. Romulus ordinaire. Prologue. P
s références avec celles du Romulus ordinaire : Walther. Romulus
ordinaire
. Prologue. Prologue. 1. Le Coq et la Perle.
peinte dans un petit cercle doré. Indépendamment des soixante fables
ordinaires
, il renferme les deux complémentaires, qui y sont
it : Fructum cape. Cette copie ne comprend que les soixante fables
ordinaires
; elles portent 61 numéros à cause de la division
risberiensi in Policratico suo. Le distique Fine sui , etc., qui d’
ordinaire
termine la soixantième fable, est suivi de cet au
Elles sont au nombre de 62, et comprennent, outre les soixante fables
ordinaires
, les deux complémentaires De Capone et Accipitre
té la division en livres qui se trouve dans les manuscrits du Romulus
ordinaire
et que chacun de ses livres se composait des même
r ces mots : Incipit Esopus. Elles comprennent les soixante fables
ordinaires
, qui même, à cause du dédoublement de la fable de
trop rapide. Les 13 dernières fables ne sont pas rangées dans l’ordre
ordinaire
. Elles se terminent, d’après la pagination, au re
s’agit du lion malade et du renard, et dont par exception à la règle
ordinaire
l’auteur paraît avoir puisé ses inspirations à de
idemment inspirés par ces mots de la fable xii du livre IV du Romulus
ordinaire
: Interrogata autem à leone : Quare non intrasti
nte authentiques, elles ne se présentent pas tout à fait dans l’ordre
ordinaire
: il y a interversion entre la vingt-deuxième et
nuscrits est généralement la vingt-sixième vient après les deux que d’
ordinaire
elle précède. La fable xlviii ne se compose que d
teflesch qui l’a signé. Les fables de Walther, limitées aux soixante
ordinaires
, commencent sans titre général au recto du feuill
es qu’il renferme, commencent au recto du feuillet 83 par le prologue
ordinaire
, au-dessous duquel ou lit cette glose inspirée pa
e que, suivant l’opinion adoptée, elles sont bien dérivées du Romulus
ordinaire
. Elles ne comprennent que 60 fables, et sont préc
n rien au précédent. Les fables sont au nombre de 61, composées de 60
ordinaires
, et d’une soixante et unième en vers hexamètres,
ne se compose que de 18 feuillets, uniquement consacrés aux 62 fables
ordinaires
par un véritable calligraphe du xve siècle. Elle
lose, n’en occupent que les 25 premiers. Indépendamment des 62 fables
ordinaires
, elles en comprennent une soixante-troisième, qui
st du xve siècle, sont au nombre de 61, et comprennent les 60 fables
ordinaires
et la fable De Capone et Accipitre, qui, étant in
renant les 60 fables primitives et les deux qui en sont le complément
ordinaire
. Aucun titre général ne les surmonte ; mais la fi
1. Ayant dû, lorsque j’ai passé en revue les manuscrits du Romulus
ordinaire
, décrire ce manuscrit qui en contient une copie,
ze ouvrages, dont les fables de Walther, comprenant les soixante-deux
ordinaires
, forment le douzième. Elles commencent à la premi
ologue et aux épimythions, par les cinq fables substituées aux fables
ordinaires
, par l’addition de dix-neuf autres tirées d’Avian
de quelques gloses, sont au nombre de soixante-deux comprenant les 60
ordinaires
et les deux fables De Capone et Accipitre et De P
ienne. Elles sont au nombre de soixante-deux, comprenant les soixante
ordinaires
et les deux complémentaires De Capone et Accipitr
par ce titre : Incipit liber exopi. Elles se composent des soixante
ordinaires
et des deux complémentaires. Toutes sont surmonté
it liber Esopi. La fable xlviii ne possède que les quinze distiques
ordinaires
. D. Manuscrit 640. Œuvre d’un copiste itali
. Les fables, au nombre de soixante-trois, comprennent les soixante
ordinaires
auxquelles s’ajoutent les trois suivantes : De Do
emagne peut revendiquer la première publication des fables du Romulus
ordinaire
, c’est à l’Italie que revient l’honneur des premi
égaux, et que cette division, conforme à celle des fables du Romulus
ordinaire
, démontre une fois de plus qu’elles en sont bien
ce. Les fables sont au nombre de soixante-six, composées des soixante
ordinaires
et de six autres intitulées : De Capone et Accipi
mais d’une réimpression augmentée ; car à la suite des huit ouvrages
ordinaires
il en existe un neuvième. Elle forme un volume in
e de soixante, qui, comme lorsqu’elles accompagnent celles du Romulus
ordinaire
, sont divisées en trois livres. Au recto du derni
trés anglais, qui, en traduisant les trois premiers livres du Romulus
ordinaire
, ont, sans le vouloir ou sans le savoir, paraphra
rt la version ou, pour être plus exact, la paraphrase tant du Romulus
ordinaire
que du Romulus anglo-latin. La Bibliothèque Bodlé
o Zuccho. De même que la première traduction des fables du Romulus
ordinaire
avait paru en Allemagne, de même ce fut en Italie
événements politiques. Les fables en vers de Walther, nées du Romulus
ordinaire
, extrait lui-même du Romulus primitif qui était d
ge, le seul lettré qui ait mis en vers élégiaques la prose du Romulus
ordinaire
. Alexandre Neckam, son compatriote et son contemp
en voici la nomenclature accompagnée des numéros de celles du Romulus
ordinaire
, auxquelles elles ont été empruntées : Alex. N
ire, auxquelles elles ont été empruntées : Alex. Neckam. Romulus
ordinaire
. 1. Le Loup et la Grue. I, 8. 2. Les Quadrup
fables, trente-sept se rapportent par les sujets à celles du Romulus
ordinaire
. Celles qui correspondent aux fables connues de P
rosaïque qui était probablement la suivante conservée dans le Romulus
ordinaire
: Ossa lupus cum devoraret, unum ex illis hæsit
s hæsit ei. On voit par cette comparaison que c’est bien du Romulus
ordinaire
que dérive l’œuvre de Neckam. Je sais qu’une obje
te-deux fables de Neckam cinq n’avaient pas été empruntées au Romulus
ordinaire
; ce sont les suivantes : Le Taureau et le Mouche
, lui était fourni à la fois par les Fabulæ antiquæ et par le Romulus
ordinaire
, c’est dans ce dernier qu’il prenait le thème à m
Neckam, j’ai déjà montré qu’il avait plutôt suivi le texte du Romulus
ordinaire
que celui de Phèdre ; je peux de même affirmer qu
des mots, que l’œuvre de Neckam est plus conforme au texte du Romulus
ordinaire
qu’à celui des Fabulæ antiquæ, c’est, encore par
parler d’otages, leur offrent d’être leurs gardiens. Dans le Romulus
ordinaire
, au contraire, les Loups envoient des mandataires
les choses se passent dans la fable de Neckam. On lit dans le Romulus
ordinaire
ce membre de phrase : Si Canes obsides darent ,
rsque le sujet qu’il met en vers ne lui est pas fourni par le Romulus
ordinaire
, ce n’est pas davantage, grâce sans doute à la ra
du Lièvre, de l’Aigle et du Moineau, qui n’existe pas dans le Romulus
ordinaire
. Elle figure dans ce qui nous est parvenu du text
Mais alors où avait-il pu rencontrer les cinq fables dont le Romulus
ordinaire
ne lui fournissait pas la matière ? Voilà ce que
hèdre les sujets ou tout au moins deux des cinq sujets que le Romulus
ordinaire
ne pouvait lui procurer. Mais il est probable que
ux fables dont elle se compose, il y en a trente-sept dont le Romulus
ordinaire
a été la base unique. En tenant ce langage, je re
ger483. Ce dernier, traduisant en vers élégiaques, d’après le Romulus
ordinaire
, la fable du Loup et de l’Agneau, avait écrit les
ckam n’a pas copié Walther, mais encore, imitant comme lui le Romulus
ordinaire
, il en a davantage conservé les expressions. J’ai
nq fables de Neckam qui n’ont pas été puisées par lui dans le Romulus
ordinaire
, la première correspond à la xxxvie des Fabulæ a
ienne, des expressions de Phèdre, qui, n’existant pas dans le Romulus
ordinaire
, n’ont pu être puisées que dans le Romulus primit
e, qui est dans Phèdre la vingt et unième du livre I, dans le Romulus
ordinaire
la quinzième du livre I, et dans celui de Vienne
che la proie pour l’ombre. En voici d’abord le texte, tiré du Romulus
ordinaire
: « Amittit proprivm qvisqvis avidvs alienvm appe
définitive, si la collection de Vienne n’est pas un dérivé du Romulus
ordinaire
, elle constitue une œuvre qui, comme lui, ne s’él
it ressortir les différences séparant le Romulus de Vienne du Romulus
ordinaire
, c’est-à-dire de la fable du Chien qui lâche la p
Le Romulus de Florence se compose des mêmes fables que le Romulus
ordinaire
. Semblables par le nombre et peu différentes par
quelle catégorie je devais le rattacher. Devais-je y voir le Romulus
ordinaire
plus ou moins dénaturé par des variantes, qui, si
voir dans le texte de la Laurentienne un Dérivé, issu, non du Romulus
ordinaire
, mais du Romulus primitif ? Dans sa Notice sur de
manuscrits que j’ai mis au rang de ceux contenant le texte du Romulus
ordinaire
, il y en a qui, comme le manuscrit du Mans, renfe
r le manuscrit de Florence que comme un exemplaire de plus du Romulus
ordinaire
. Pour m’éclairer, ce qui m’était nécessaire, c’ét
ent du texte de Florence une imitation ou une simple copie du Romulus
ordinaire
, je commençai par rechercher si leur nature ne m’
it pas dans certaines parties plus rapproché de Phèdre que le Romulus
ordinaire
, et si dès lors il n’était pas, comme ce dernier
rapprochement, il ressort que des deux textes c’est celui du Romulus
ordinaire
qui est le plus conforme à Phèdre. Mais continuon
rence est conforme à celui de Phèdre dans plusieurs cas où le Romulus
ordinaire
s’en écarte. Pour rendre plus concluant cet exame
a et Capella et Ovis sodales fuerunt Leonis. Ici on voit le Romulus
ordinaire
suivre Phèdre de plus près que celui de Florence
ence, offrant des expressions de Phèdre que ne possède pas le Romulus
ordinaire
, ne procède pas de ce dernier, et la seconde, c’e
est donc acquis que le Romulus de Florence n’est pas issu du Romulus
ordinaire
. Sans vouloir attacher au classement des fables p
onie avec cette solution. Dans les plus anciens manuscrits du Romulus
ordinaire
, la fable du Renard et de l’Aigle est la huitième
e. Je pourrais me contenter de renvoyer à celle des fables du Romulus
ordinaire
et de dire que leur classement, comme leur nombre
it identique dans les deux collections, si celle qui, dans le Romulus
ordinaire
, est la huitième du livre II, n’était pas la trei
e Romulus de Florence, et si, tandis que, dans le livre II du Romulus
ordinaire
, la fable de la Mouche et de la Mule précède cell
ces titres, les numéros que portent les mêmes fables dans le Romulus
ordinaire
: Romulus de Florence. Romulus ordinaire.
fables dans le Romulus ordinaire : Romulus de Florence. Romulus
ordinaire
. I, 1. Le Coq et la Perle. I, 1. I, 2. Le Lo
est-à-dire de celles dont sont formés les livres III et IV du Romulus
ordinaire
. Quant aux autres opuscules qui viennent à la sui
de qu’au point de vue des services à en tirer pour publier du Romulus
ordinaire
une édition bien exacte, le traitèrent avec un dé
ps que l’œuvre poétique de Phèdre, la prosaïque paraphrase du Romulus
ordinaire
. Comme Lessing, Schwabe n’avait pas aperçu le vér
ilant un dérivé du Romulus primitif et prétendre que c’est du Romulus
ordinaire
que j’aurais dû le faire descendre. Je reconnais
les puisées dans le Romulus primitif ou tout au moins dans le Romulus
ordinaire
, sont pour le surplus sorties d’autres sources. Q
llet 218 rº qui porte le nº 217 bis. Elles sont précédées du prologue
ordinaire
en quarante vers, se succèdent sans titres et son
rante vers, se succèdent sans titres et sont terminées par l’épilogue
ordinaire
, auquel toutefois manquent les quatre derniers ve
llet 58 a et se terminent au feuillet 92 b. Le prologue et l’épilogue
ordinaires
les précèdent et les suivent. Elles ne sont accom
e portent pas de litres particuliers, mais sont précédées du prologue
ordinaire
et suivies de l’épilogue composé seulement de 22
commençait un Bestiaire. Les fables de Marie débutent par le prologue
ordinaire
en tête du feuillet 31 a. Au-dessus du prologue a
dication de M. de Roquefort528, les fables sont suivies de l’épilogue
ordinaire
, écrit par la même main que les titres ; comme da
nombre de 102, ne portent pas de titres, sont pourvues de l’épilogue
ordinaire
et se terminent au milieu du feuillet 273 rº, col
ie presque littérale du Romulus primitif, ou, si l’on veut du Romulus
ordinaire
, les fables du Romulus Roberti sont toutes dérivé
est le complément habituel. Le premier, qui est précédé de la préface
ordinaire
, ne porte aucun titre général ; mais les fables y
complète. Jusqu’à la soixantième fable le copiste a respecté l’ordre
ordinaire
et n’a presque rien omis ; il a même conservé les
ne à la première colonne du feuillet 26 a. Il débute par son prologue
ordinaire
, qui est annoncé par ce titre à l’encre rouge :
vent seulement au nombre de 56. Elles sont précédées de leur prologue
ordinaire
, mais ne portent ni titre général applicable à la
ème, c’est-à-dire à celle du Rat et de la Grenouille. Dans le Romulus
ordinaire
qui, on le sait, n’est guère que la copie du Romu
nunc esse ligamen. Ce n’est pas tout. Dans la même fable, le Romulus
ordinaire
dit seulement que la Grenouille, avec la ficelle
e du Loup régnant et du Singe, le Romulus de Nilant, comme le Romulus
ordinaire
et comme celui de Vienne, laisse au Lion son titr
ts barbares qui non seulement ne se rencontrent pas dans les lexiques
ordinaires
, mais qu’on chercherait même en vain dans ceux de
alther l’Anglais, qui, on se le rappelle, a pris en dehors du Romulus
ordinaire
les sujets de ses dernières fables. Maintenant, s
rencontre des expressions qui, quoique n’existant pas dans le Romulus
ordinaire
, n’en ont pas moins été empruntées à Phèdre. Je v
us. On voit, par ce premier exemple, que, tandis que dans le Romulus
ordinaire
, le mot inferius a été substitué au mot inferior,
ux textes antique et Bernois des expressions répudiées par le Romulus
ordinaire
devient encore plus sensible : Phèdre. Hæc prop
ssait Phèdre, et que, tout en prenant pour principal guide le Romulus
ordinaire
, il a fait en même temps quelques emprunts au poè
le Romulus de Berne des expressions de Phèdre omises dans le Romulus
ordinaire
, c’est parce qu’il était dérivé non de ce Romulus
e le commencement en tête de l’épilogue du quatrième livre du Romulus
ordinaire
, et si le milieu n’a pas été conservé, la fin est
ur cheute ; pource que cela se peut en effect, à cause des changemens
ordinaires
de la fortune. Que si elle les a mis en un estat
enaçoit temerairement, ne rabatist rien pour tout cela de sa violence
ordinaire
. Il en prit de mesme qu’à luy à plusieurs Monarqu
sage déguisé de rides, le corps catarreux, et l’esprit bizarre pour l’
ordinaire
. Que si d’avanture ils rencontrent, comme j’ay su
isonnement en ceste action, et qu’il avoit quelque chose par dessus l’
ordinaire
des bestes brutes ? On rapporte encore une Histoi
▲