Ph 57 Mb 61 Ca 80. Un homme, ayant un demi-dieu dans sa maison, lui
offrait
de riches sacrifices. Comme il ne cessait de dépe
ient ; quant [la] grant febleté sentirent, manger et beivre al ventre
offrirent
; mes trop l’eurent fet j[e]uner si qu’il ne poei
ulut. Comme il fut question de porter ce tribut, Le Mulet et l’Asne s’
offrirent
, Assistez du Cheval ainsi que du Chameau. Tous qu
ns tout à point, Dit-il, et nous voicy compagnons de voyage. J’allois
offrir
mon fait à part ; Mais bien qu’il soit leger, tou
e présenta un peu tard chez un oiseleur. Celui-ci, n’ayant rien à lui
offrir
, s’en fut vers sa perdrix privée, et il allait la
e d’avanture, Entre deux je passeray, Et du coup vous sauveray. Cette
offre
le persuade. Pot de fer son camarade Se met droit
iteur ? » — Si tu en doutes, répondit le renard, viens chez moi, je t’
offre
à dîner. » Le lièvre le suivit. Or à l’intérieur
La fable montre qu’aucun élément, ni la terre, ni l’air, ni l’eau, n’
offre
de sûreté aux criminels poursuivis par les dieux.
ésir me pousse à la saisir, mon caractère à m’abstenir. Ô fortune qui
offre
et qui ne permet pas de prendre ! Ô trésor qui ne
devant de lui avec des rameaux et des chapeaux de fleurs, qu’ils luy
offrirent
, faisant en outre à cause de luy des jeux solemne
eut souffrir. Celle-cy prend bien l’asseurance De venir à vos pieds s’
offrir
, Par zele et par reconnoissance. Du temps que le
uisse boire la Mer ? » « Ouy sans doute », respondit Xanthus, « je m’
offre
à la boire moy-mesme ». « Mais si tu ne le peux f
t’en parler franchement », dit Esope, « l’on sçait assez que tu t’es
offert
à une chose, de laquelle il t’est impossible de v
ésespéraient de le sauver, il s’adressa aux dieux, promettant de leur
offrir
une hécatombe et de leur consacrer des ex-voto, s
quesfois de jurer le nom de Dieu avec des begayements enfantins, et d’
offrir
à un Ennemy les premices de nos pensées. O lasche
se voyant dénué de tout secours, recourut au seul être que le hasard
offrit
à ses yeux ; c’était un escarbot ; il le supplia
ent nos familiers, qui nous flattent, qui nous accostent, et qui nous
offrent
des services extraordinaires, tant qu’ils nous vo
Espics meurs ». Ceste responce donna de l’admiration au Roy, qui luy
offrit
de grands dons. Le jour d’apres s’estant advisé d
sister ? Est-ce là un bien preferable aux promesses de Dieu, qui vous
offre
le pardon, si vous pardonnez, et vous prepare des
rce originaire, s’en écartent trop pour servir à sa restitution, et n’
offrent
plus d’intérêt que pour l’histoire de la littérat
ils aient si fort dénaturé le sens des vers de Phèdre. Oui, ces vers
offrent
une antithèse ; mais elle n’existe pas entre Phèd
, s’abstint de s’y livrer. Indécis devant les différents genres qui s’
offraient
à lui, il n’avait fait aucun choix. S’il fallait
livre n’est pas le seul qui soit incomplet, et que les livres IV et V
offrent
aussi des lacunes évidentes. Mais ce qui est sign
ier ses deux premiers livres. Quoi qu’il en soit, si leur publication
offrait
un danger, il est certain qu’il s’y était exposé.
seconde moitié du xvie siècle, à laquelle Pierre Pithou appartient,
offre
à l’historien qui l’observe un singulier contrast
onsentit à le suivre en Angleterre. Mais la prospérité de ce pays lui
offrait
un contraste trop affligeant ; il n’y passa que d
t plus due à son seul mérite. « Les traitants eux-mêmes, dit Grosley,
offrirent
à M. Pithou des provisions pour la sienne. » Il l
ris Corard de Bréban, Trecensis. » Enfin au-dessous on lit encore : «
Offert
par M. Édouard de Blives à la Bibliothèque de Tro
sion d’enrichir leur librairie (c’était le terme), que celle que leur
offrait
la dispersion des livres de la bibliothèque de Sa
M. de Rosanbo, ajoute-t-il94, me répondit aussitôt, en me réitérant l’
offre
d’une entrevue, qui eut lieu le 16 juin, dont le
sont la copie du manuscrit, de la main de Pierre Pithou. Cette copie
offre
cela de très remarquable que l’on y voit, en même
de parchemin, qui très probablement était déchiré d’assez près pour n’
offrir
qu’une partie de la marge sans aucune lettre. Je
é qui étaient en désaccord avec les variantes manuscrites. Ce procédé
offre
des inconvénients notables. Il résulte de son app
ne différait que très peu. Le procédé, suivi par M. Berger de Xivrey,
offre
des inconvénients non seulement pour le texte mêm
nom de Dom Vincent, pour ne pas profiter ici de l’occasion qu’elle m’
offre
de le faire parler lui-même. Voici ce qu’au sujet
ce, et, négligeant les fables nouvelles, de signaler les variantes qu’
offraient
les anciennes dans le manuscrit de Perotti. Sa de
Pétrone aurait vécu à une autre époque. Voici maintenant quel intérêt
offrait
, pour l’authenticité des nouvelles fables, la fix
ntenait que les fables de Phèdre anciennes et nouvelles. Mais elles n’
offraient
plus de lacunes, et ses conjectures, d’ailleurs s
ette absence d’unité dans l’exécution. Cependant les caractères qui n’
offrent
aucune variation de forme, et l’encre qui est par
i par rester aux partisans de l’authenticité, de sorte que le débat n’
offre
plus qu’un intérêt purement historique. Mais il a
qu’elle se trouvait sans doute en tête de ses fables ; ces lacunes qu’
offrent
les manuscrits et qui, aucun feuillet ne manquant
le qui en était la mise en action est absente. Le manuscrit de Pithou
offrait
des pages déchirées au milieu et à la fin. En man
Phèdre les laissent de côté. Au contraire, les fables nouvelles nous
offrent
des récits semblables : tels sont, par exemple, l
ption Explicit. Le 25e quaterne et le 26e jusqu’au feuillet clxxxi
offrent
au milieu du texte de nombreux dessins à la plume
pêchent de considérer le manuscrit de Wissembourg comme susceptible d’
offrir
un point d’appui solide pour la restauration du t
ition de la vérité, avait émis l’avis qu’elle n’avait été qu’un appât
offert
à la crédulité publique, et qu’elle devait par le
nuscrit Voss. lat. in 8º, 15 qui est à peu près du même temps, et qui
offre
la même leçon, non seulement la ponctuation, mais
seudonyme de Romulus ? on conçoit que la solution de cette question n’
offre
qu’un médiocre intérêt, et, comme aucun document
t en notable désaccord avec ceux du premier. Sauf celui d’Oxford, ils
offrent
bien la même division en quatre livres, mais tous
orence, Rome et Naples. À son retour en Hollande, ses amis lui firent
offrir
une chaire à Duisbourg ; mais il la refusa pour c
une différence ; enfin, dans les manuscrits, le livre IV, d’une part,
offre
trois fables qui ne se trouvent pas dans les édit
upo et edo. xvii. Après les apologues d’Avianus, l’édition d’Ulm
offre
un dernier groupe de fables appelées dans les tit
. Aux pages occupées par les fabulæ extravagantes les titres courants
offrent
de nombreuses erreurs typographiques. Ainsi le fo
e distinguer cette édition de la précédente. La vie d’Ésope elle-même
offre
aussi un point important de dissemblance : elle n
ranslatione Remicii. Les titres courants des pages qu’elles occupent
offrent
de nombreuses fautes : ainsi les feuillets m. iii
e contient une traduction distincte de celle de J. Macho et par suite
offre
un intérêt tout particulier. Beaucoup de fables n
oledo. L’édition ne contient pas le texte latin des fables et n’en
offre
que la traduction espagnole. J’ajoute que la dern
trinal. Ainsi que je l’ai expliqué, les fables du Miroir doctrinal
offrent
avec les mêmes variantes le même texte que celles
fit bien paraître une édition in-folio à Venise en 1591 ; mais elle n’
offre
qu’un texte altéré. § 10. — Édition de Douai.
n Maître. Les quarante-huit fables dont se compose cette liste
offrent
un intérêt spécial. D’abord, par la forme s’éloig
Phèdre », de même celles de l’Anonyme, comparées à celles de Romulus,
offrent
les mêmes sujets et des idées et des expressions
d’entrer dans de trop longs détails. Je me bornerai à celui-ci, que m’
offre
la moralité d’une fable dont j’ai déjà parlé, et
dans la fable de la Grenouille et du Rat les trois collections m’ont
offert
: Rom. ordinaire. Ila grossum petiit linum
mmentaires dont elles furent pourvues, si elles sont aussi insensées,
offrent
moins de variété. Il semble qu’à l’origine deux m
d’un arbre portant un écusson avec le mot Felix , et dont le dernier
offre
cette souscription : Fabularum liber cum glosa f
on auroit pu corriger des vers qui semblent manquer de sens ou qui n’
offrent
que des tournures ridicules431. » Si maintenant
m’empêcher de constater que, dénuée de valeur littéraire, son œuvre n’
offre
qu’un intérêt purement historique. Quant à Phèdre
ularité exceptionnelle ; car tous les manuscrits, comparés entre eux,
offrent
d’innombrables variantes, qui ne permettent pas d
u’il me suffise de dire qu’il en est ressorti que les deux manuscrits
offrent
chacun des variantes, qui non seulement les font
s inédites du moyen âge, en a fait l’objet d’une étude spéciale. Il n’
offre
pas seulement, comme les précédents, un intérêt p
nuscrit que M. Robert a été conduit à penser que c’était l’exemplaire
offert
à la reine de France, il s’est basé sur un argume
l existe de grandes différences. D’abord les fables du manuscrit 1595
offrent
un très grand nombre de variantes. Ainsi, pour ne
r les maximes qu’il y a rencontrées. Il en résulte que le manuscrit n’
offre
qu’un très médiocre intérêt. Quant au surplus de
on. Je n’ai pas besoin d’insister sur l’importance philologique qu’il
offre
à quiconque s’intéresse aux origines de notre lan
s, par lequel commence la fable xxxi, il a écrit Servus. Le manuscrit
offre
en outre de mauvaises leçons qui ne sauraient êtr
: Quare non intrasti ? Respondit , et par les hexamètres suivants qu’
offre
dans Horace la première épître du livre I : Olim
cle. Les fables de Walther, qui occupent les feuillets 171 b à 185 a,
offrent
une division en trois livres, qui trahit leur ori
t orné d’une superbe miniature ; ce qui n’empêche pas les marges d’en
offrir
d’autres destinées à illustrer les fables. Il ne
dix-huit feuillets en parchemin. L’écriture, qui est du xve siècle,
offre
une magnifique ampleur de forme. La reliure en bo
y. Cela me dispense d’en donner la description. Sans les variantes qu’
offre
le texte latin, je croirais que les trois manuscr
es manuscrits purement littéraires resteraient à Rome et que ceux qui
offriraient
un intérêt spécial à l’Allemagne, seraient au con
manuscrit 725, composé de 64 feuillets en parchemin du format in-4º,
offre
une écriture italienne du xiiie siècle plus fine
nq premières lignes du verso et qui, différant sensiblement de celles
offertes
par les autres manuscrits, me paraissent, malgré
|| Fabularum Esopi || Floreti. Au-dessous de ce titre le frontispice
offre
une vignette sur bois, qui représente un cœur sur
lle porte en gros caractères le mot Alis , et aux quatre angles elle
offre
quatre médaillons contenant les attributs des qua
ançois Massari de Venise, tire son principal intérêt du point d’appui
offert
par elle, comme par celle de 1507, à ceux qui vou
t plus à leur valeur littéraire, et l’intérêt qu’elles peuvent encore
offrir
est devenu purement historique. Section VII.
ute la page. L’auteur y est représenté à genoux devant Ésope à qui il
offre
sa traduction. Le verso du même feuillet est enti
: ils s’adressent directement à elles, et, sans parler d’otages, leur
offrent
d’être leurs gardiens. Dans le Romulus ordinaire,
Elles sont remarquables par l’emploi régulier des rimes croisées et n’
offrent
pas toutes le même genre de mesure : ici ce sont
raducteur ne se nomme pas. Elles sont au nombre de quarante, et elles
offrent
cette particularité qui ne permet aucun doute sur
n effet, les deux textes des manuscrits de Vienne 901 et de Berlin 87
offrent
des leçons identiques qui n’existent pas dans le
e dus l’interrompre, et, l’un des employés de la Bibliothèque m’ayant
offert
de l’exécuter, je lui confiai ce travail. Quand i
i ce travail. Quand il me fut parvenu, j’examinai les variantes qu’il
offrait
, et, avant de me demander si elles faisaient du t
re. Comme Lessing, Schwabe n’avait pas aperçu le véritable intérêt qu’
offrait
le Romulus de Leyde. À mon sens, lorsqu’on examin
d’elle-même. On verra alors que ce Romulus et le Dérivé de 136 fables
offrent
des expressions qui leur sont communes, qui, en m
collection que je prenais pour un fragment du Romulus anglo-latin en
offre
une qui n’existe pas dans sa version, celle du Re
dit-il, dédie son poème au vaillant Guillaume, comte de Flandre, pour
offrir
un modèle d’honneur à sa famille. Dans leur rage
einte à ce chiffre. Si tel manuscrit qui contient cent trois fables n’
offrait
pas uniquement les mêmes que tel autre qui en pos
ent effacé. Le volume renferme 75 œuvres diverses en vers français et
offre
un très grand intérêt pour l’étude des origines d
elt encore, Par mon chief auoir l’en veilg ore, Puisque vos le m’aues
offerte
. Cil li pleuist et laisse ouuerte La porte au vil
ière colonne du feuillet 80 b. L’écriture, qui est sur deux colonnes,
offre
cette particularité que la lettre v, qui dans le
st très nette et qui appartient au commencement du xive siècle, elle
offre
, comme dans le manuscrit 25405, cette particulari
ennent à la variété des dialectes, les manuscrits des fables de Marie
offrent
encore d’innombrables variantes, qui pourtant n’e
première fable du Romulus Roberti, il remarque que ce Romulus « nous
offre
un texte fort abrégé », et que, tandis que le Rom
d’avis qu’en publiant, d’après le manuscrit 347 C, avec les variantes
offertes
par le manuscrit 347 B, celle qu’on trouvera dans
Romulus primitif, mais qui appartient au texte de Nilant, et qu’il n’
offrirait
pas, s’il ne se rattachait pas à ce dernier par u
Romulus primitif beaucoup plus que le Dérivé complet, et d’autre part
offrir
des expressions qui, étrangères au Romulus primit
ur du Romulus hexamétrique a traduite, quel est le premier vers qui s’
offre
aux yeux ? C’est le suivant : Magnus Romanæ regn
rêt qu’au point de vue de l’histoire littéraire du moyen âge. S’il en
offre
un autre plus spécial, ce sera au lexicographe qu