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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 132 » p. 110
Ph 57 Mb 61 Ca 80. Un homme, ayant un demi-dieu dans sa maison, lui offrait de riches sacrifices. Comme il ne cessait de dépe
2 (1180) Fables « Marie de France, n° 27. L’homme et ses membres » p. 130
ient ; quant [la] grant febleté sentirent, manger et beivre al ventre offrirent  ; mes trop l’eurent fet j[e]uner si qu’il ne poei
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
ulut. Comme il fut question de porter ce tribut, Le Mulet et l’Asne s’ offrirent , Assistez du Cheval ainsi que du Chameau. Tous qu
ns tout à point, Dit-il, et nous voicy compagnons de voyage. J’allois offrir mon fait à part ; Mais bien qu’il soit leger, tou
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 286 » p. 265
e présenta un peu tard chez un oiseleur. Celui-ci, n’ayant rien à lui offrir , s’en fut vers sa perdrix privée, et il allait la
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — II. Le Pot de terre et le Pot de fer. » p. 378
e d’avanture, Entre deux je passeray, Et du coup vous sauveray. Cette offre le persuade. Pot de fer son camarade Se met droit
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 193 » p. 333
iteur ? » — Si tu en doutes, répondit le renard, viens chez moi, je t’ offre à dîner. » Le lièvre le suivit. Or à l’intérieur
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 45 » pp. 32-32
La fable montre qu’aucun élément, ni la terre, ni l’air, ni l’eau, n’ offre de sûreté aux criminels poursuivis par les dieux.
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 62 » p. 71
ésir me pousse à la saisir, mon caractère à m’abstenir. Ô fortune qui offre et qui ne permet pas de prendre ! Ô trésor qui ne
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — En quel temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. »
devant de lui avec des rameaux et des chapeaux de fleurs, qu’ils luy offrirent , faisant en outre à cause de luy des jeux solemne
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — FABLE I. Le Lion amoureux. » p. 140
eut souffrir. Celle-cy prend bien l’asseurance De venir à vos pieds s’ offrir , Par zele et par reconnoissance. Du temps que le
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
uisse boire la Mer ? » « Ouy sans doute », respondit Xanthus,  « je m’ offre à la boire moy-mesme ». « Mais si tu ne le peux f
t’en parler franchement », dit Esope, « l’on sçait assez que tu t’es offert à une chose, de laquelle il t’est impossible de v
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 46 » pp. 34-34
ésespéraient de le sauver, il s’adressa aux dieux, promettant de leur offrir une hécatombe et de leur consacrer des ex-voto, s
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
quesfois de jurer le nom de Dieu avec des begayements enfantins, et d’ offrir à un Ennemy les premices de nos pensées. O lasche
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 4 » pp. 3-3
se voyant dénué de tout secours, recourut au seul être que le hasard offrit à ses yeux ; c’était un escarbot ; il le supplia
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. »
ent nos familiers, qui nous flattent, qui nous accostent, et qui nous offrent des services extraordinaires, tant qu’ils nous vo
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
Espics meurs ». Ceste responce donna de l’admiration au Roy, qui luy offrit de grands dons. Le jour d’apres s’estant advisé d
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
sister ? Est-ce là un bien preferable aux promesses de Dieu, qui vous offre le pardon, si vous pardonnez, et vous prepare des
18 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
rce originaire, s’en écartent trop pour servir à sa restitution, et n’ offrent plus d’intérêt que pour l’histoire de la littérat
ils aient si fort dénaturé le sens des vers de Phèdre. Oui, ces vers offrent une antithèse ; mais elle n’existe pas entre Phèd
, s’abstint de s’y livrer. Indécis devant les différents genres qui s’ offraient à lui, il n’avait fait aucun choix. S’il fallait
livre n’est pas le seul qui soit incomplet, et que les livres IV et V offrent aussi des lacunes évidentes. Mais ce qui est sign
ier ses deux premiers livres. Quoi qu’il en soit, si leur publication offrait un danger, il est certain qu’il s’y était exposé.
seconde moitié du xvie  siècle, à laquelle Pierre Pithou appartient, offre à l’historien qui l’observe un singulier contrast
onsentit à le suivre en Angleterre. Mais la prospérité de ce pays lui offrait un contraste trop affligeant ; il n’y passa que d
t plus due à son seul mérite. « Les traitants eux-mêmes, dit Grosley, offrirent à M. Pithou des provisions pour la sienne. » Il l
ris Corard de Bréban, Trecensis. » Enfin au-dessous on lit encore : «  Offert par M. Édouard de Blives à la Bibliothèque de Tro
sion d’enrichir leur librairie (c’était le terme), que celle que leur offrait la dispersion des livres de la bibliothèque de Sa
M. de Rosanbo, ajoute-t-il94, me répondit aussitôt, en me réitérant l’ offre d’une entrevue, qui eut lieu le 16 juin, dont le
sont la copie du manuscrit, de la main de Pierre Pithou. Cette copie offre cela de très remarquable que l’on y voit, en même
de parchemin, qui très probablement était déchiré d’assez près pour n’ offrir qu’une partie de la marge sans aucune lettre. Je
é qui étaient en désaccord avec les variantes manuscrites. Ce procédé offre des inconvénients notables. Il résulte de son app
ne différait que très peu. Le procédé, suivi par M. Berger de Xivrey, offre des inconvénients non seulement pour le texte mêm
nom de Dom Vincent, pour ne pas profiter ici de l’occasion qu’elle m’ offre de le faire parler lui-même. Voici ce qu’au sujet
ce, et, négligeant les fables nouvelles, de signaler les variantes qu’ offraient les anciennes dans le manuscrit de Perotti. Sa de
Pétrone aurait vécu à une autre époque. Voici maintenant quel intérêt offrait , pour l’authenticité des nouvelles fables, la fix
ntenait que les fables de Phèdre anciennes et nouvelles. Mais elles n’ offraient plus de lacunes, et ses conjectures, d’ailleurs s
ette absence d’unité dans l’exécution. Cependant les caractères qui n’ offrent aucune variation de forme, et l’encre qui est par
i par rester aux partisans de l’authenticité, de sorte que le débat n’ offre plus qu’un intérêt purement historique. Mais il a
qu’elle se trouvait sans doute en tête de ses fables ; ces lacunes qu’ offrent les manuscrits et qui, aucun feuillet ne manquant
le qui en était la mise en action est absente. Le manuscrit de Pithou offrait des pages déchirées au milieu et à la fin. En man
Phèdre les laissent de côté. Au contraire, les fables nouvelles nous offrent des récits semblables : tels sont, par exemple, l
ption Explicit. Le 25e quaterne et le 26e jusqu’au feuillet clxxxi offrent au milieu du texte de nombreux dessins à la plume
pêchent de considérer le manuscrit de Wissembourg comme susceptible d’ offrir un point d’appui solide pour la restauration du t
ition de la vérité, avait émis l’avis qu’elle n’avait été qu’un appât offert à la crédulité publique, et qu’elle devait par le
nuscrit Voss. lat. in 8º, 15 qui est à peu près du même temps, et qui offre la même leçon, non seulement la ponctuation, mais
seudonyme de Romulus ? on conçoit que la solution de cette question n’ offre qu’un médiocre intérêt, et, comme aucun document
t en notable désaccord avec ceux du premier. Sauf celui d’Oxford, ils offrent bien la même division en quatre livres, mais tous
orence, Rome et Naples. À son retour en Hollande, ses amis lui firent offrir une chaire à Duisbourg ; mais il la refusa pour c
une différence ; enfin, dans les manuscrits, le livre IV, d’une part, offre trois fables qui ne se trouvent pas dans les édit
upo et edo. xvii.   Après les apologues d’Avianus, l’édition d’Ulm offre un dernier groupe de fables appelées dans les tit
. Aux pages occupées par les fabulæ extravagantes les titres courants offrent de nombreuses erreurs typographiques. Ainsi le fo
e distinguer cette édition de la précédente. La vie d’Ésope elle-même offre aussi un point important de dissemblance : elle n
ranslatione Remicii. Les titres courants des pages qu’elles occupent offrent de nombreuses fautes : ainsi les feuillets m. iii
e contient une traduction distincte de celle de J. Macho et par suite offre un intérêt tout particulier. Beaucoup de fables n
oledo. L’édition ne contient pas le texte latin des fables et n’en offre que la traduction espagnole. J’ajoute que la dern
trinal. Ainsi que je l’ai expliqué, les fables du Miroir doctrinal offrent avec les mêmes variantes le même texte que celles
fit bien paraître une édition in-folio à Venise en 1591 ; mais elle n’ offre qu’un texte altéré. § 10. — Édition de Douai.
n Maître. Les quarante-huit fables dont se compose cette liste offrent un intérêt spécial. D’abord, par la forme s’éloig
Phèdre », de même celles de l’Anonyme, comparées à celles de Romulus, offrent les mêmes sujets et des idées et des expressions
d’entrer dans de trop longs détails. Je me bornerai à celui-ci, que m’ offre la moralité d’une fable dont j’ai déjà parlé, et
dans la fable de la Grenouille et du Rat les trois collections m’ont offert  : Rom. ordinaire. Ila grossum petiit linum
mmentaires dont elles furent pourvues, si elles sont aussi insensées, offrent moins de variété. Il semble qu’à l’origine deux m
d’un arbre portant un écusson avec le mot Felix , et dont le dernier offre cette souscription : Fabularum liber cum glosa f
on auroit pu corriger des vers qui semblent manquer de sens ou qui n’ offrent que des tournures ridicules431. » Si maintenant
m’empêcher de constater que, dénuée de valeur littéraire, son œuvre n’ offre qu’un intérêt purement historique. Quant à Phèdre
ularité exceptionnelle ; car tous les manuscrits, comparés entre eux, offrent d’innombrables variantes, qui ne permettent pas d
u’il me suffise de dire qu’il en est ressorti que les deux manuscrits offrent chacun des variantes, qui non seulement les font
s inédites du moyen âge, en a fait l’objet d’une étude spéciale. Il n’ offre pas seulement, comme les précédents, un intérêt p
nuscrit que M. Robert a été conduit à penser que c’était l’exemplaire offert à la reine de France, il s’est basé sur un argume
l existe de grandes différences. D’abord les fables du manuscrit 1595 offrent un très grand nombre de variantes. Ainsi, pour ne
r les maximes qu’il y a rencontrées. Il en résulte que le manuscrit n’ offre qu’un très médiocre intérêt. Quant au surplus de
on. Je n’ai pas besoin d’insister sur l’importance philologique qu’il offre à quiconque s’intéresse aux origines de notre lan
s, par lequel commence la fable xxxi, il a écrit Servus. Le manuscrit offre en outre de mauvaises leçons qui ne sauraient êtr
 : Quare non intrasti ? Respondit , et par les hexamètres suivants qu’ offre dans Horace la première épître du livre I : Olim
cle. Les fables de Walther, qui occupent les feuillets 171 b à 185 a, offrent une division en trois livres, qui trahit leur ori
t orné d’une superbe miniature ; ce qui n’empêche pas les marges d’en offrir d’autres destinées à illustrer les fables. Il ne
dix-huit feuillets en parchemin. L’écriture, qui est du xve  siècle, offre une magnifique ampleur de forme. La reliure en bo
y. Cela me dispense d’en donner la description. Sans les variantes qu’ offre le texte latin, je croirais que les trois manuscr
es manuscrits purement littéraires resteraient à Rome et que ceux qui offriraient un intérêt spécial à l’Allemagne, seraient au con
manuscrit 725, composé de 64 feuillets en parchemin du format in-4º, offre une écriture italienne du xiiie  siècle plus fine
nq premières lignes du verso et qui, différant sensiblement de celles offertes par les autres manuscrits, me paraissent, malgré
 || Fabularum Esopi || Floreti. Au-dessous de ce titre le frontispice offre une vignette sur bois, qui représente un cœur sur
lle porte en gros caractères le mot Alis , et aux quatre angles elle offre quatre médaillons contenant les attributs des qua
ançois Massari de Venise, tire son principal intérêt du point d’appui offert par elle, comme par celle de 1507, à ceux qui vou
t plus à leur valeur littéraire, et l’intérêt qu’elles peuvent encore offrir est devenu purement historique. Section VII.
ute la page. L’auteur y est représenté à genoux devant Ésope à qui il offre sa traduction. Le verso du même feuillet est enti
: ils s’adressent directement à elles, et, sans parler d’otages, leur offrent d’être leurs gardiens. Dans le Romulus ordinaire,
Elles sont remarquables par l’emploi régulier des rimes croisées et n’ offrent pas toutes le même genre de mesure : ici ce sont
raducteur ne se nomme pas. Elles sont au nombre de quarante, et elles offrent cette particularité qui ne permet aucun doute sur
n effet, les deux textes des manuscrits de Vienne 901 et de Berlin 87 offrent des leçons identiques qui n’existent pas dans le
e dus l’interrompre, et, l’un des employés de la Bibliothèque m’ayant offert de l’exécuter, je lui confiai ce travail. Quand i
i ce travail. Quand il me fut parvenu, j’examinai les variantes qu’il offrait , et, avant de me demander si elles faisaient du t
re. Comme Lessing, Schwabe n’avait pas aperçu le véritable intérêt qu’ offrait le Romulus de Leyde. À mon sens, lorsqu’on examin
d’elle-même. On verra alors que ce Romulus et le Dérivé de 136 fables offrent des expressions qui leur sont communes, qui, en m
collection que je prenais pour un fragment du Romulus anglo-latin en offre une qui n’existe pas dans sa version, celle du Re
dit-il, dédie son poème au vaillant Guillaume, comte de Flandre, pour offrir un modèle d’honneur à sa famille. Dans leur rage
einte à ce chiffre. Si tel manuscrit qui contient cent trois fables n’ offrait pas uniquement les mêmes que tel autre qui en pos
ent effacé. Le volume renferme 75 œuvres diverses en vers français et offre un très grand intérêt pour l’étude des origines d
elt encore, Par mon chief auoir l’en veilg ore, Puisque vos le m’aues offerte . Cil li pleuist et laisse ouuerte La porte au vil
ière colonne du feuillet 80 b. L’écriture, qui est sur deux colonnes, offre cette particularité que la lettre v, qui dans le
st très nette et qui appartient au commencement du xive  siècle, elle offre , comme dans le manuscrit 25405, cette particulari
ennent à la variété des dialectes, les manuscrits des fables de Marie offrent encore d’innombrables variantes, qui pourtant n’e
première fable du Romulus Roberti, il remarque que ce Romulus « nous offre un texte fort abrégé », et que, tandis que le Rom
d’avis qu’en publiant, d’après le manuscrit 347 C, avec les variantes offertes par le manuscrit 347 B, celle qu’on trouvera dans
Romulus primitif, mais qui appartient au texte de Nilant, et qu’il n’ offrirait pas, s’il ne se rattachait pas à ce dernier par u
Romulus primitif beaucoup plus que le Dérivé complet, et d’autre part offrir des expressions qui, étrangères au Romulus primit
ur du Romulus hexamétrique a traduite, quel est le premier vers qui s’ offre aux yeux ? C’est le suivant : Magnus Romanæ regn
rêt qu’au point de vue de l’histoire littéraire du moyen âge. S’il en offre un autre plus spécial, ce sera au lexicographe qu
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