eau, Elle sent son ongle maligne. Pendant qu’à la plumer l’Autour est
occupé
, Luy-mesme sous les rets demeure envelopé. Oisele
nier. Autre plainte. Quoy donc, dit le Sort en colere, Ce Baudet-cy m’
occupe
autant Que cent Monarques pourroient faire. Croit
ncé dans une boucherie, y saisit un cœur, tandis que le boucher était
occupé
, et prit la fuite. Le boucher s’étant retourné et
la terre
Sera couverte, et qu’à leurs bleds
Les gens n’estant plus
occupez
Feront aux Oisillons la guerre ;
Quand regingle
eunes garçons achetaient de la viande au même étal. Voyant le boucher
occupé
d’un autre côté, l’un d’eux déroba des abattis et
nt mentir, estre content du sien, C’est le plus seur : cependant on s’
occupe
A dire faux pour attraper du bien : Que sert cela
s, pourquoy t’arrestes-tu à une fumée de vaine gloire ? Pourquoy ne t’
occupes
-tu à la poursuitte d’un bien plus solide, affin d
s’estoient pas encore portez assez avant dans l’estude des Arts, pour
occuper
le souverain commandement par prudence, plustost
mais encore de ceux qui lui étaient étrangers. Dès lors je pouvais m’
occuper
non seulement de lui, mais encore de tous ceux qu
attaché à marcher dans la voie philologique. J’ai bien commencé par m’
occuper
de Phèdre qui est le premier des fabulistes latin
se, et cependant il y a peu d’auteurs latins qui aient autant que lui
occupé
le public de leur personne. Sans cesse il s’inter
démontrerai plus loin l’inexactitude. Mais, si Phèdre s’est beaucoup
occupé
de lui, aucun de ses contemporains ou du moins de
st mea. Est-il supposable qu’il en aurait été instruit, lui qui ne s’
occupait
que de littérature, s’il n’avait pas lui-même véc
sque Phèdre parvint à la vieillesse, il ne songea qu’au repos et ne s’
occupa
pas de la publier. Après avoir analysé les divers
pinions des critiques, je vais maintenant formuler la mienne. Ne nous
occupons
d’abord que des deux premiers livres. Ce qui avai
ume, les écrivains latins contemporains ou postérieurs ne se sont pas
occupés
de lui. Il est vrai que ses fables avaient acquis
iste Principis. Q. Sept. Florens Christianvs. Les pages 3 et 4 sont
occupées
par une épître de Pithou à son frère François. «
singularis. Sedani, apud Jacobum Salessium, 1602. (Cet opuscule, qui
occupe
44 pages, contient des poèmes latins, dont les su
is ac portentis ex fabulis Græcorum et al. » J’aurais maintenant à m’
occuper
des trois exemplaires de l’édition de Pithou, con
on de ce manuscrit et de le publier92 ». M. Hase, trop affairé pour s’
occuper
de cette publication, engagea M. Berger de Xivrey
e. Il est in-4º et contient 54 feuillets, dont les fables de Phèdre n’
occupent
que les 38 premiers, qui sont numérotés par pages
nt bien les variantes du manuscrit de Daniel dont j’aurai bientôt à m’
occuper
; mais elles gardaient le plus absolu silence sur
ciements pour la complaisance avec laquelle vous avez bien voulu vous
occuper
de mes brouillons. « J’ai l’honneur d’être, etc.
s sont devenus. M. Berger de Xivrey fut plus heureux. Pendant qu’il s’
occupait
de faire paraître le manuscrit de Pithou, profita
tte hypothèse, c’est que, dans le manuscrit de P. Daniel, chaque vers
occupe
seul la ligne où il est écrit. Or ce manuscrit, q
de Daniel. § 1. — Histoire du manuscrit. J’ai maintenant à m’
occuper
du troisième manuscrit des fables de Phèdre, et,
s le nom de Vetus Danielis chartula. Bien des bibliographes s’en sont
occupés
. Mais, sauf Rigault, Isaac Vossius, l’Allemand Gœ
ent de Paris. Cette position lui avait laissé des loisirs qu’il avait
occupés
à collectionner des médailles et surtout des livr
Christine, n’avaient pas été fondus dans la bibliothèque et qu’ils y
occupaient
une division spéciale, formant dans l’immense gal
in. Le premier des trois, celui qui est au commencement du volume, en
occupe
les 16 premiers feuillets. L’écriture paraît du x
laquelle visaient toujours les copistes. Le verso du feuillet 18 est
occupé
par une prière en prose latine rimée. Angelo Maï
plus considérable, il s’étend du feuillet 21 au feuillet 124. Il est
occupé
jusqu’au feuillet 92 par un fragment du roman de
t pas dans les trois premiers manuscrits déjà examinés. J’ai donc à m’
occuper
du sien ; mais, avant de parler de l’ouvrage, je
dit avoir écrit à une époque où, depuis une dizaine d’années, il ne s’
occupait
plus de poésie latine149. Pirrho Perotti ne fut p
ie latine149. Pirrho Perotti ne fut pas ingrat envers son oncle. Il s’
occupa
après sa mort de publier ses ouvrages, et ce fut
auteur de l’Histoire générale de la Littérature, fut un de ceux qui s’
occupèrent
le plus sérieusement de l’exhumer. Sur la fausse
mprimé dès 1809, en différa la publication. Mais l’Imprimerie royale,
occupée
de travaux plus pressants, ne put se consacrer ac
rtation savante et consciencieuse, qui sur les 296 pages du volume en
occupait
62. Mais il y avait autre chose, et la dissertati
. Le volume, précédé d’une préface et des documents de l’enquête qui
occupent
huit pages, se compose en outre de cent vingt pag
ne de ces conversations ; mais je m’aperçois que je me suis déjà trop
occupé
de la querelle de Cassitto et de Jannelli, et je
ème, en 194 pages sans la préface et la vie de Phèdre en latin qui en
occupent
16, se divise en deux parties : la première, cont
s compter la dédicace à M. le baron de Pommereul et la préface qui en
occupent
23, comprend la traduction en vers italiens des t
CIVI SVO SAL. P. D. Les neuf feuillets qui suivent cette épître sont
occupés
par un index ou table des matières, qui reproduit
ER. Cette dédicace, dont j’ai déjà parlé et dont j’aurai encore à m’
occuper
, est immédiatement suivie de compositions très di
nt ailleurs, quand j’en aurai le loisir et quand le cœur me dira de m’
occuper
de ces frivolités. En attendant, réfléchissez à c
et pas d’être d’un autre avis. Martial suppose bien que Canius peut s’
occuper
d’études critiques sur Claude et sur Néron ; mais
t, après avoir appliqué l’apostrophe de Martial à un Phèdre, qui ne s’
occupait
que de philosophie, a-t-il pu attribuer au même p
s dissertations fort savantes et malheureusement peu connues. Je ne m’
occuperai
que de la seconde ; c’est celle dans laquelle son
ne. Dans le premier, qui est intitulé De generibus metrorum 273, il s’
occupe
d’abord de la composition des diverses espèces de
sont les positions qu’ils y doivent et celles qu’ils n’y doivent pas
occuper
. Il sait quel rôle important le vers ïambique jou
second, de feuillets paginés de 805 à 1752 et suivis de 6 non paginés
occupés
par un Index poeticus universalis et de 4 non pag
paginés occupés par un Index poeticus universalis et de 4 non paginés
occupés
par les Omissa. Le premier des deux volumes, p.
otées, précédées de 10 non numérotées et suivies de 3 dernières pages
occupées
par l’Index. 1732. Phædri Augusti Cæsari
c la traduction en vers italiens en regard : Les pages 146 à 229 sont
occupées
par un Index vocabulorum, et les pages 230 à 237,
sième quaterne (Fol. ii à xi). Fol. ii a à iv a. — Ces feuillets sont
occupés
par des figures bibliques, qui, quoique grossière
filio civitate atlica. Esopus, etc. C’est la dédicace de Romulus, qui
occupe
les six premières lignes de la page. La septième
i, optime Theodosi, etc. — Rustica deflentem, etc. M. L. Müller s’est
occupé
, dans le Rheinisches Museum für Philologie, 1867,
in-8º. Fol. xiv a à xv a. — Ici se place une œuvre philosophique, qui
occupe
les trois premières pages du quaterne, et que le
lets du précédent, celui-ci avait reçu, à raison de la position qu’il
occupait
, les nos 22 à 29. Fol. xxii a. — Gloses sur Perse
de copie, qui paraît complète et qui semble être de la main d’Adémar,
occupe
tout le quaterne et se termine au verso du fol. x
ns le même manuscrit, notamment : 1º le petit traité d’astronomie qui
occupe
les fol. xxx b à xxxii b ; 2º l’ouvrage d’Hyginus
lxxxii). Fol. lxiii a à lxxxii b. — Explication de l’apocalypse, qui
occupe
deux quaternes. Le premier, qui se compose des fe
Adrianus Adelmo instituerunt grammaticam artem. M. L. Müller s’est
occupé
de ce fragment dans le Rheinisches Museum für Phi
. Barba modica 6 cincinnulos de sinistro. Fol. ccxii b. — Un dessin
occupe
cette dernière page. Au-dessus une main du xiiie
Latinus in-8º, 15. Comme on le sait, bien d’autres que moi s’en sont
occupés
. Mais ceux qui voudront étudier leurs travaux épr
est suivie du texte même des notes marginales qui, dans le manuscrit,
occupent
les feuillets 138ª à 144ª et le recto du feuillet
arii argumenti, porte la cote 19 et dont les feuillets en papier sont
occupés
par des opuscules écrits par des mains diverses a
et presque toutes celles des titres sont écrites à l’encre rouge, et
occupent
une hauteur de trois lignes, excepté dans les tit
de diversis | ge ne ri bus. Fol. 109 a. — La page est tout entière
occupée
par le prologue transcrit par Tross. Il se termin
ula monstruorum (sic). Fol. 110 b. — Le commencement du feuillet est
occupé
par ce second préambule : Primo namque de his ad
undus de belluis , qui écrits avec la même encre en grosses capitales
occupent
la dernière ligne de la page. Fol. 116 a. — Table
pitres du traité De monstris, qui, tandis que, dans ce manuscrit, ils
occupent
trois pages, n’en remplissaient que deux dans cel
ce dernier dans les fables ci-dessus énumérées, le manuscrit qui nous
occupe
devient un document précieux. Et cependant il ne
alyse que j’ai donnée du fameux manuscrit. On y verra que la dédicace
occupe
le verso du fol. 4, tandis que les fables, s’éten
. Aussi est-ce lui et sont-ce ses sous-dérivés qui, dans cet ouvrage,
occuperont
la plus large place. À la rigueur, pour faire con
sée au mois d’août dernier par M. le docteur E. Grosse de Kœnigsberg,
occupé
de la publication d’une nouvelle édition des fabl
souverain, en 1671, lui confia les fonctions de bibliothécaire. Il s’
occupa
alors de mettre en ordre les précieux matériaux q
« Grâce à l’obligeance de M. le docteur E Grosse de Königsberg, qui s’
occupe
depuis longtemps de réunir des matériaux importan
rit tout entier de la main du savant Florentin. Les fables de Romulus
occupent
les feuillets 151 à 164. Après les avoir transcri
e ne lui maintiendrai pas dans cette seconde édition la place qu’elle
occupait
dans la première. § 5. — Manuscrit du Corpus C
feuillet 33 rº, ont d’abord figuré seules sur les feuillets qu’elles
occupent
. Puis, tant en marge qu’au bas des pages, elles o
ois toujours grossières et quelquefois licencieuses, dont la première
occupe
tout le verso du premier feuillet et a la prétent
r Sigismond, duc d’Autriche. » Les feuillets 3 b in fine à 26 b sont
occupés
par la vie d’Ésope en latin, qui est elle-même su
einhöwel. Comme dans cette dernière, le verso du premier feuillet est
occupé
par le portrait d’Ésope. En tête du recto du deux
Anthoniū tituli sancti Chry|sogoni presbiterum Cardinalem. Ce titre
occupe
trois lignes et le point précis où, d’après mes n
it registrum capitulorum tercii libri Esopi. La table du livre III n’
occupe
que la moitié de la page. Puis commencent les fab
ercalées dans le texte ou mises à la suite de chaque fable. Aux pages
occupées
par les fabulæ extravagantes les titres courants
º 327 est bien celle que j’analyse ici. Les titres courants des pages
occupées
par les 17 fabule noue présentent, comme ceux des
strum subiungitur. Les fables d’Avianus, qui au nombre de vingt-sept
occupent
les feuillets suivants et se terminent au fol. 10
cette souscription : Hec de prologo autoris. Le recto du fol. v est
occupé
par un second prologue en vers élégiaques, qui se
cit prologus que suivent les mots : Incipit liber. Le fol. 5 est
occupé
par la table des matières, que, pour indiquer le
e signaler. Je poursuis mon analyse. Fol. i b. — Portrait d’Ésope qui
occupe
toute la page. Il est entouré, sous forme d’arabe
rencontre de nombreuses erreurs dans les titres courants des pages qu’
occupent
les fables de Romulus. Ainsi au verso des feuille
sopi ex translatione Remicii. Les titres courants des pages qu’elles
occupent
offrent de nombreuses fautes : ainsi les feuillet
gistrum post subiungitur. Les titres courants des feuillets qu’elles
occupent
sont très fautifs. Ainsi les feuillets n. iii, n.
sont au nombre de 23. Dans les titres courants des feuillets qu’elles
occupent
, je relève de nouvelles fautes : ainsi les feuill
uoiqu’il contînt un recueil de fables, je n’aurais peut-être pas dû m’
occuper
. Depuis lors les deux volumes ont été séparés, et
et voici sur quoi ils étaient établis : en 1480, Gérard Leeu s’était
occupé
d’imprimer la collection de fables en prose de Ni
uillets, se divise en deux parties bien distinctes : la première, qui
occupe
les 124 premiers feuillets, est consacrée aux div
rment un nombre de gravures aussi grand. Fol. 23 a (d. i a). — Il est
occupé
par la dédicace de Romulus, précédée elle-même du
et l’autre de 5. Elle débute par un prologue en vers élégiaques, qui
occupe
le recto du feuillet 125, tandis que le verso du
re, c’est des éditions qui en ont été imprimées que je vais d’abord m’
occuper
. 1º Édition de Günther Zainer. De toutes les
on numérotés, consacrés à la vie d’Ésope, de 119 feuillets numérotés,
occupés
par les diverses collections de fables, et de 14
alyser. D’ailleurs elle renferme les mêmes collections de fables, qui
occupent
les 154 premiers feuillets, et ne se distingue de
es. Fol. 1 b. — Le verso du feuillet 1 est rempli par une gravure qui
occupe
toute la page et qui représente la Vierge et l’En
trichen. Au-dessous de ce titre est le portrait en pied d’Ésope qui
occupe
les deux tiers de la page. Au verso du feuillet c
nd Trempeln Doctors Seba-|stian Brand , etc. Le centre de la page est
occupé
par une gravure sur bois qui représente Ésope ass
pétition du même portrait. Fol. 2 a. — Le commencement de la page est
occupé
par un nouveau titre général ainsi formulé : Cy
vante, qui se trouve au verso du sixième feuillet du cahier o, et qui
occupe
sept lignes : Cy finissent les subtilles fables
erole porte les noms des imprimeurs. Le verso du premier feuillet est
occupé
par le portrait d’Ésope en pied. Enfin au verso d
ouueau en fran|coys selon la véritable | . Le milieu de la page est
occupé
par une vignette, et au bas on lit : En Anuers |
format in-fol., dont Panzer357 et Hain358 font mention, et dont je m’
occuperai
moi-même tout à l’heure. J’ai trouvé à la bibliot
die welcke hier na volghen. Fol. 59 a à 73 b. — Ces feuillets sont
occupés
par les 17 fables dites fabulæ extravagantes, qui
que se contienen en este libro. La table qui commence au fol. 211 b
occupe
en outre les cinq feuillets suivants. 5º Éditi
s feuillets est de 72. Cette réimpression est ornée de gravures qui n’
occupent
que les petits espaces ordinairement réservés aux
uivi d’aussi près que les autres collections dont j’aurai ensuite à m’
occuper
. Section I. Notice sur Vincent de Beauvais et s
mpé, en ajoutant que, dans le Miroir doctrinal, les fables de Romulus
occupent
les chap. 114 à 124 du livre IV ; car elles ne co
ent au xiiie siècle. Il renferme les fables du Miroir historial, qui
occupent
les feuillets 106 et 107 et commencent sans titre
e j’ai signalés suffisamment longue, et le moment me paraît venu de m’
occuper
des éditions imprimées. § 1er. — Éditions de St
le gothique. La première partie se compose des 18 premiers livres et
occupe
318 feuillets. Les 21 premiers feuillets renferme
s chapitres. La deuxième partie se compose des livres XIX à XXXIII et
occupe
327 feuillets. Les huit premiers feuillets sont c
nes, par celle-ci : secula benedictus deus. Le dernier feuillet est
occupé
par un chapitre intitulé De virginitate 370.
es IX à XVI. Il se compose de 176 feuillets, dont les 3 premiers sont
occupés
par la table, et dont le quatrième commence à la
ipit. Tabvla. Primi. Volvminis. Spe-||cvli. Historialis. Cette table
occupe
les deux premiers feuillets. — Fol. 3 a. Incipit
ures, réclames, ni pages numérotées. Les deux premiers feuillets sont
occupés
par la table. Sur le recto du troisième feuillet
uvellement imprime a Paris. Le reste des feuillets préliminaires est
occupé
par la table et le répertoire des cahiers. Vienne
ime a Paris. Le surplus, sauf le dernier feuillet qui est blanc, est
occupé
par la table et le répertoire des cahiers. Vienne
t || miroir historial || Nouuellement imprime a Paris. Le surplus est
occupé
par la table et le répertoire des cahiers. Vienne
nt mi||roir hystorial || nouuellement imprime a Paris. Le surplus est
occupé
par la table ; le répertoire des cahiers fait déf
des 32 livres est précédé d’une grande et belle gravure sur bois, qui
occupe
presque toute la page. § 3. — Édition de Nicol
encadrement approprié au destinataire. Le surplus des 8 feuillets est
occupé
par la table. Puis viennent 260 feuillets signés
. Le verso du premier feuillet et les cinq feuillets qui suivent sont
occupés
par la table. Puis viennent 243 feuillets signés
roir || hystorial. La table commence au verso du premier feuillet et
occupe
les cinq autres. Puis viennent 202 feuillets sign
|| Miroir hystorial. Le verso du premier feuillet et les autres sont
occupés
par la table. Puis viennent 218 feuillets signés
regnault libraire iure de luniuersite. Le verso du même feuillet est
occupé
par une gravure représentant un éléphant et sur s
rema folia exsecta sunt. Les fables signalées par cette nomenclature
occupent
les feuillets 250 a à 266 b. Elles portent à l’en
riture à deux colonnes sur vélin est du xiiie siècle. Les fables qui
occupent
les feuillets 80 a à 96 b, sont annoncées par cet
ais la recherche de son nom n’en fut pas moins poursuivie, Barth s’en
occupa
; le vrai nom lui parut être celui de Bernard. Il
lxii, et détruit ou semble détruire l’argument tiré de la place qu’il
occupe
. Enfin on a objecté que les fables de Walther n’é
enfant l’aurait forcément assujetti. J’ajoute que la fable dont je m’
occupe
a, comparée aux autres, un air de parenté véritab
le. Les fables ne portent pas de titre ; au nombre de soixante, elles
occupent
la première partie du manuscrit et s’arrêtent au
de Walther, 6º le livre de Tobie. Les fables, dont j’ai seulement à m’
occuper
, commencent au recto du fol. 28 vers le bas de la
bliothèques. » Des manuscrits que possédait l’abbaye, celui qui nous
occupe
n’était pas le moins précieux. Le catalogue manus
d traducteur inconnu comme le premier. Les feuillets 36 b à 37 a sont
occupés
par une pastourelle, qui commence par ces deux ve
et 109, et l’épilogue, à la deuxième du feuillet 126. Les fables, qui
occupent
tout l’intervalle, ne portent aucun titre. Le com
de chaque fable, avait ménagé un grand espace blanc, qui devait être
occupé
par une miniature, mais qui n’a pas été rempli. L
Falli si posset, falleret ipsa deum. Le troisième feuillet est
occupé
par la table des matières ; les fables élégiaques
es de Walther sont dans le manuscrit suivies de celles d’Avianus, qui
occupent
les feuillets 124 recto à 136 verso. 6º Manusc
talogue analyse en ces termes : « Les prières qui terminent le volume
occupent
six feuillets. La première, contre la fièvre, est
nos 127 à 131. Les fables de Walther, accompagnées d’un commentaire,
occupent
les feuillets 3 à 76. Elles sont limitées aux soi
eux intitulé : Lumen animæ. Cet ouvrage est précédé d’une table qui
occupe
les feuillets 80 a à 81 a et qui est intitulée :
. Les fables de Walther indiquées par les mots Esopus cum commento
occupent
les feuillets 88 a à 435 b. Elles sont accompagné
Il porte le millésime de 1471. Il contient les fables d’Avianus, qui
occupent
les feuillets 95 a à 110 b ; mais en ce qui les t
ier et comprend onze ouvrages. Les fables, qui en sont le cinquième,
occupent
les feuillets 205 à 219, ne sont accompagnées d’a
dont l’écriture est du xve siècle. Les soixante-quatre premiers sont
occupés
par 62 fables accompagnées de gloses marginales e
-huit ouvrages, dont les fables de Walther sont le quatorzième. Elles
occupent
les feuillets 76 et suivants. L’écriture est de l
42. Il se compose de 333 feuillets, dont les vingt-cinq premiers sont
occupés
par les fables de Walther, signalées en ces terme
n-fol. de 288 feuillets, dans lequel les feuillets 183 a à 202 b sont
occupés
par les fables de Walther annoncées par les mots
e la Bibliothèque. Le premier consiste dans les fables de Walther qui
occupent
les premiers feuillets, et qui du feuillet 61 au
illets dont l’écriture est du xve siècle. Les fables de Walther, qui
occupent
les feuillets 171 b à 185 a, offrent une division
nuscrit ne renferme que le prologue et les 30 premières fables. Elles
occupent
les feuillets 57 à 65 qui sont actuellement les d
e plus admirer du dessin ou de la couleur. Le bas de la même page est
occupé
par les armes du duc, autre chef-d’œuvre de minia
me in-fol. dont l’écriture sur papier, due à une main du xve siècle,
occupe
seulement 27 feuillets. Aussi ne renferme-t-il pa
e belle écriture du xve siècle. Les fables élégiaques qu’il renferme
occupent
les feuillets 13 a à 35 b et sont précédées de ce
ne précède aucun titre général et que n’accompagne aucune glose, n’en
occupent
que les 25 premiers. Indépendamment des 62 fables
en est presque entièrement indépendante. Cataloguée séparément, elle
occupe
des salles qui lui sont réservées et auxquelles u
e nationale, elles étaient précédées d’un préambule qui a disparu. Il
occupait
le premier feuillet et le second jusqu’au milieu
o. Mais, le premier feuillet ayant été arraché, les derniers vers qui
occupaient
sur le second le commencement du recto ont été gr
Ecrites en gros caractères par une main habile du xive siècle, elles
occupent
les feuillets 2 à 19. Aucun titre général ne les
nº 127, est un volume in-4º, dont les soixante-quatre feuillets sont
occupés
par deux ouvrages intitulés, le premier : Exopi
t l’écriture est du xve siècle. Les fables de Walther qu’il contient
occupent
les feuillets 192 b à 203 b, et sont au nombre de
ier sont blancs. Le volume ne contient que les fables de Walther qui
occupent
les feuillets 2 a à 23 b. Sans titre général, ell
i figure dans cette nomenclature, est donné aux fables de Walther qui
occupent
les feuillets 89 a à 138 a. Ces fables, au nombre
ne table, que surmonte ce titre : Hec est tabula totius libri, et qui
occupe
le feuillet non paginé. Les feuillets 1 et 2 a so
cle. Il contient deux ouvrages. Le premier est un poème religieux qui
occupe
les 80 premiers feuillets. Le second n’est qu’un
pistes. Les fables de Walther, qui ne s’y trouvent que partiellement,
occupent
les feuillets 159 a à 172 b. Il est vrai que ces
ume qui portaient les nos 1 à 28, et deux autres qui précédaient ceux
occupés
par le fragment conservé des fables élégiaques et
a Leonis Equus. Celles qui la suivent sont complètes. Ces 19 fables
occupent
12 feuillets. La dernière se termine au milieu du
s à rester dans cette ville. En 1622, les troupes bavaroises, l’ayant
occupée
, s’emparèrent de la bibliothèque dans laquelle se
comme renfermant des fables ésopiques. Au surplus, si celui qui nous
occupe
avait été apporté en France, il aurait, comme les
quitanus. — Epigrammata. 3º Fol. 47ª à 63b. — Ces feuillets sont
occupés
par les fables de Walther, dont l’écriture est de
de vingt feuillets. Le premier, qui est le douzième du manuscrit, est
occupé
au recto par des écritures insignifiantes et au v
e, sans l’approuver, une supposition assez peu accréditée. Les fables
occupent
les feuillets 24 a à 57 a. Elles se terminent par
r, qui forment le dernier des ouvrages contenus dans le manuscrit, en
occupent
les feuillets 73 a à 91 a. Elles se composent des
vrages tant en prose qu’en vers, parmi lesquels les fables de Walther
occupent
les feuillets 69 a à 91 a. Au haut du recto du fe
armen. Les mots Æsopi fabulæ se rapportent aux fables de Walther qui
occupent
les feuillets 59 à 76. Elles sont précédées d’obs
illets 59 à 76. Elles sont précédées d’observations préliminaires qui
occupent
le recto du feuillet 59 et les cinq premières lig
précieux par une suite ininterrompue de magnifiques miniatures qui en
occupent
les marges largement ménagées pour elles. Ces min
nt il est question dans cette nomenclature sont celles de Walther qui
occupent
les 19 premiers feuillets (61 à 79, d’après le nu
ont le complément habituel et de la fable De pueris ludentibus. Elles
occupent
les deux premiers cahiers et les deux premiers fe
cit liber Esopi deo gratias. Amen. Les cinq feuillets suivants sont
occupés
par le poème d’Eva columba, en vers hexamètres, a
l’encre rouge ainsi conçu : Incipiunt versus excerpti ab Esopo , et
occupent
les feuillets 61 b, col. 1 à 62 b, col. 2. 2º
e plusieurs ouvrages. Les fables, dont l’écriture est du xve siècle,
occupent
les vingt-deux premiers feuillets. Elles sont au
nt quatre, soit au total trente-six. Le recto du premier feuillet est
occupé
par une gravure sur bois, représentant, à gauche,
orte que le titre sans ornements xylographiques. Le verso du même est
occupé
par la table. Les fables de Walther commencent au
atem discipulorum. Le frontispice au haut duquel figure ce titre est
occupé
par une gravure différente de celles précédemment
ges chiffrées précédées de seize non chiffrées. Les fables de Walther
occupent
les pages 487 à 530, et les notes qui les concern
vers élégiaques de fables appartenant aux collections en prose. Elles
occupent
les pages 71 à 149. Cette édition n’est que la re
e in-12 de 402 pages, dont 399 sont chiffrées. Les pages 32 à 86 sont
occupées
par les soixante fables de Walther augmentées de
me un volume in-8 de lii-232 pages, dans lequel les fables de Walther
occupent
les cinquante dernières. L’édition de 1784 a été,
plies par l’introduction (Einleitung). La traduction en vers français
occupe
ensuite les pages 1 à 95. Puis vient le texte de
ces manuscrits et des éditions qui en ont paru que je vais d’abord m’
occuper
. I. — Manuscrits. A. Bibliothèque Riccardie
ertia iam preterita M.cccc.lxxiij. Les Favole di Esopo in volgare
occupent
les feuillets 31 a à 34 b. Il n’y en a que quator
s sont ornées de miniatures qui, comme celles du manuscrit Gadd. 176,
occupent
le bas des pages. F. — Bibliothèque Trivulzie
nt l’écriture est du xve siècle. Les vingt-cinq premières pages sont
occupées
par les Favole di Esopo volgarizzate per uno da S
hiffrées. La version italienne des fables de Walther per uno da Siena
occupe
les pages 1 à 69. Les pages 71 à 82 sont remplies
qui il offre sa traduction. Le verso du même feuillet est entièrement
occupé
par le sonnet suivant : (S) api chio son Esopo
Rustico et Plutone. Chaque fable est ornée d’une gravure sur bois qui
occupe
une page entière et le plus souvent est intercalé
essum Rome die. XXVIIII. Marcii M.CCCC.LXXXIII. La fin du volume est
occupée
par la Concionetta, la Canzon Morale, la Salutati
. Le recto du premier feuillet est, comme dans la précédente édition,
occupé
par une gravure sur bois représentant six personn
du recto du premier feuillet est engagé dans une gravure sur bois qui
occupe
tout le frontispice et qui représente Ésope instr
i en sont la traduction. Au bas de la seconde colonne de la table qui
occupe
le verso du feuillet 71 on lit : Stampado in Ven
imo dn̄o Ludouico dux (sic) Mediolani. L’avant-dernier feuillet est
occupé
par la table. Il existe des exemplaires de cette
ecto du premier feuillet, surmonte une grande gravure sur bois qui en
occupe
le reste. Cette édition forme un volume in-4º de
ii. die. xxiii || mensis Decembris. Les deux derniers feuillets sont
occupés
par la table des matières et la marque de l’impri
1528. Fabule de Esopo hystoriate. Au-dessous de ce titre qui
occupe
le recto du premier feuillet est une gravure sur
titre placé au haut du recto du premier feuillet est une gravure qui
occupe
le reste de la page. Cette édition in-12 se termi
he. Fol. 1 b (a. i b). — Le verso du premier feuillet est entièrement
occupé
par une belle gravure sur bois que relève un rich
erit, anathema sit. Amen. Les fables, dans ce volumineux recueil, n’
occupent
que deux feuillets. Elles commencent au haut du r
jourd’hui, si M. E. du Méril ne l’avait pas enfin aperçue. Les fables
occupent
les quinze premiers feuillets. Le titre de chaque
chaque fable, en contient la morale, est reproduit dans une table qui
occupe
les feuillets 16 et 17. Sur les marges sont inscr
du xive siècle. Il contient deux ouvrages, les fables françaises qui
occupent
les 54 premiers feuillets, et le Bestiaire d’amou
Romulus primitif. C’est de cette collection que je vais maintenant m’
occuper
. Malheureusement les manuscrits qui en existaient
mmé Novus Avianus, enfin celles du Romulus de Vienne. Ces dernières n’
occupent
, ainsi qu’on l’a vu, que les feuillets 132 à 137,
et de Berlin, devant énumérer les cinquante fables de celui dont je m’
occupe
actuellement, je m’abstiens, pour éviter un doubl
opria amittunt. Voici la même fable tirée de la collection qui nous
occupe
: Sæpe amittit propria, quisquis avidius appetit
inent par le mot Amen en tête du recto du feuillet 40, dont elles n’
occupent
que les 6 premières lignes. § 2. — Manuscrit D
collection de Romulus, signalée dans la nomenclature qui précède, en
occupe
les cinq premiers feuillets. Elle porte un titre
même me livrer à la critique du texte latin, je puisse encore moins m’
occuper
de productions poétiques qui sortent d’une étude
Les 13 derniers sont d’une écriture moins ancienne que le reste. Ils
occupent
la moitié de la première colonne du feuillet 99 a
plupart, d’une obscénité révoltante. Lorsque précédemment je me suis
occupé
du dénombrement des fables, j’ai eu l’occasion d’
’étend du feuillet 1 au feuillet 41. Les deux premiers feuillets sont
occupés
par la table des matières qui est annoncée par ce
e 22 vers. H. Manuscrit 24310. Lorsque précédemment j’ai eu à m’
occuper
des manuscrits contenant la traduction en vers fr
e 1204, date de la prise de Constantinople par Baudouin. Le verso est
occupé
par une nomenclature des ouvrages contenus dans l
tient un grand nombre de pièces, parmi lesquelles les fables de Marie
occupent
les feuillets 29 a à 45 b. Au bas du feuillet 28
rième, intitulé : Mouchet IV, qui renferme les fables de Marie. Elles
occupent
le commencement du volume. Ici je dois signaler u
. 1 ; il s’ensuit qu’à raison du système de pagination employé, elles
occupent
les cent trois premières pages. Elles sont accomp
. Parmi les ouvrages qu’il contient, figurent les fables de Marie qui
occupent
les feuillets 19 a à 32 b. Elles ont été précédée
t l’écriture à deux colonnes est du xiiie siècle. L’œuvre de Marie y
occupe
les feuillets 73 à 96. Elle comprend le prologue,
re est de la fin du xiiie siècle. Les fables de Marie qu’il renferme
occupent
les feuillets 39 à 83. Elles sont précédées de ce
t même œuvre. Il en est autrement de l’épilogue du manuscrit qui nous
occupe
: son texte diffère tellement de celui des autres
§ 1er. — Examen du Dérivé partiel. En 1825, pendant qu’il s’
occupait
de la publication des Fables médites des xiie , x
aduction anglaise, les fables, sinon toutes, au moins presque toutes,
occupent
les mêmes places que dans le texte latin. Or, ent
xl et 40. Lorsque, dans le volume que je consacrerai à Avianus, je m’
occuperai
du dérivé en prose latine intitulé Apologi Aviani
ontinue à comparer les textes, on voit clairement que celui de Nilant
occupe
une position intermédiaire entre celui du Romulus
ulanum. 6º [Sermo.] 7º Clemens quintus. Les fables du Dérivé complet
occupent
les cinquante-quatre premiers feuillets. Comme da
insunt Aesopi et Aniani fabulae. La dernière partie du manuscrit est
occupée
par deux collections de fables, le Dérivé complet
u manuscrit précédent. Le feuillet 36 et le recto du feuillet 37 sont
occupés
tout entiers par deux tables des matières, celle
min, qui portent sur deux colonnes une écriture très fine. Les fables
occupent
les feuillets 77 a à 83 a. Malheureusement, elles
la collection de fables en vers hexamètres dont je vais maintenant m’
occuper
. En effet, à l’heure à laquelle j’en aborde l’exa
il ne laisse pas aux mots la place que rationnellement ils devraient
occuper
: il les range dans l’ordre que la mesure exige,
a au milieu du feuillet 16 a, puis celles du Dérivé hexamétrique qui
occupent
le reste du volume. Si peu intéressant que soit c
ins qui, dans le second volume de la première édition de cet ouvrage,
occupe
les pages 436 à 479. Les quatrains y sont formés
ar une main du xive siècle. Les cinquante-deux fables qu’il renferme
occupent
les feuillets 189 à 210, et se divisent en deux l
me des opuscules dont il se compose, et sur le cahier où il figure il
occupe
les feuillets 11b à 12b. 1. Phædri Augu
éfet du collège de Troyes, où il enseigna ensuite la rhétorique, puis
occupa
, dans la maison de Paris, la place de bibliothéca
e musique. » 132. M. Fétis n’est pas le seul biographe qui se soit
occupé
de Guido. Quoiqu’il lui ait consacré une notice t
euglement perpetuel, il posseda si bien le repos de son esprit : il s’
occupa
à de si hautes pensées, et composa des ouvrages s
yaumes. Pour se contenter en leur Convoitise, il a fallu qu’ils ayent
occupé
les pauvres habitans de ces contrées à foüiller s