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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — Fable I. La Cigale et la Fourmy. » p. 112373
priant de luy prester Quelque grain pour subsister Jusqu’à la saison nouvelle . Je vous payray, luy dit-elle, Avant l’Oust, foy
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XV. Le Coq et le Renard. » p. 671
it le Coq, je ne pouvois jamais Apprendre une plus douce et meilleure nouvelle , Que celle De cette paix. Et ce m’est une double
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIV. Du Charbonnier, et du Foullon. »
Car les Médisans estans sans cesse aux aguets, pour chercher quelque nouvelle matiere à leurs calomnies, comme ils voyent qu’il
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XXI. Les Frelons, et les Moûches à miel. » p. 504
reilles.
 La Guespe ne sçachant que dire à ces raisons,
 Fit enqueste nouvelle  ; et pour plus de lumiere
 Entendit une fourmilli
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVIII. La Chate metamorphosée en Femme. » p. 50
a Dame la plus belle Ne charma tant son Favory, Que fait cette épouse nouvelle Son hypocondre de mary. Il l’amadouë, elle le fla
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapitre XXI. »
dit-il, « voicy le seul Philosophe qui est venu à ton festin ». Ceste nouvelle mit grandement en peine Xanthus, pour-ce qu’il s’
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
La Bique allant remplir sa traînante mammelle, Et paistre l’herbe nouvelle , Ferma sa porte au loquet ; Non sans dire à son B
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
e doutoit bien qu’à la fin le Roy mesme en pouroit estre fâché. Ceste nouvelle plût grandement à Lycerus, à qui le pauvre Esope
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
perdre une gloire bien acquise, par la precipitation d’en gaigner une nouvelle . Ainsi en prit-il à Minutius, qui enflé par le su
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
un certain tribut, à faute dequoy, il leur declaroit la guerre. Cette nouvelle , et l’apprehension qu’ils avoient d’estre sous la
nt l’Ambassadeur des Lydiens, sans avoir conclu ny paix ny trefve. La nouvelle en estant depuis venuë au Roy Cresus, il se resol
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 200 » pp. 336-336
d’un air caressant, le salua et dit : « Je viens t’annoncer une bonne nouvelle . Tu sais que notre roi, le lion, est mon voisin ;
t il supplia le renard de faire une autre tentative et de trouver une nouvelle ruse pour amener le cerf. Le renard répondit : « 
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
u’elle en rencontra en son chemin. Elles bien faschées, formerent une nouvelle plaincte. Ce fut en vain toutesfois, pource que J
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
ville, avec aussi peu de jugement, que s’il eût apporté la meilleure nouvelle du monde. Dequoy le menu peuple irrité sur la cro
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
le consentement de toute la compagnie Mais le Renard envieux de cette nouvelle dignité s’avisa de le mener en une fosse, où il v
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
une condition penible et traversée. La pauvreté ne leur sembla point nouvelle en leurs vieux jours : ils se l’étoient renduë tr
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
y tous ses Conseillers, qui disoient tout haut ; « Ce n’est pas chose nouvelle , nous avons ouy cecy de longtemps, et le sçavons
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
vec eux pour l’engraisser. Mais les Coqs ne virent pas plustost cette nouvelle compagne, que chacun luy donnant son coup de bec,
18 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
donner une suite à mon premier travail, en faire paraître une édition nouvelle à laquelle je pusse ensuite, sans regret, rattach
siste, qui lui a été sans doute inspirée par le passage suivant de la Nouvelle Diplomatique des Bénédictins : « Pierre Daniel, b
ut qu’après une étude consciencieuse du manuscrit qu’il en publia une nouvelle édition. Ceux qui douteraient qu’il y eut réellem
Ce nombre devra paraître insuffisant et rendre nécessaire une édition nouvelle . » Le succès n’a pas répondu au mérite, et les d
roit français, a crue du siècle de Théodose, et que les auteurs de la Nouvelle Diplomatique renvoient au siècle de la meilleure
ait peu digne aujourd’hui d’une grande estime. « 2º Les auteurs de la Nouvelle Diplomatique ne pensent pas cependant de même. “C
re sur la foi de Schwabe, appelé par lui vir summus, qu’il produit sa nouvelle assertion. Ce dernier, il est vrai, dans son Excu
allait livrer son travail à l’imprimeur, quand lui arriva cette bonne nouvelle . Je renvoie à sa préface ceux qui voudront savoir
de’ Letterati : il avait, dans ses Dissertazioni Vossiane, donné une nouvelle nomenclature des ouvrages de Perotti, dont il ava
ures dans des notes courantes. Quelques semaines après, il publia une nouvelle édition qui ne contenait que les fables de Phèdre
édigeait, il était au comble de la colère. Il venait de découvrir une nouvelle brochure de Cassitto ; composée de quatre pages,
mensonges, et bientôt il avait pu s’assurer de l’exactitude de cette nouvelle par quelques pages imprimées qui lui en avaient é
un choix heureux dans les apologues d’Ésope et leur a donné une grâce nouvelle par sa précision élégante que l’on a comparée ave
n’est pas de Ciceron. « Et cette entreprise ne seroit pas entierement nouvelle . Un Ecrivain du dernier Siécle a déjà voulu prouv
ve à y reprendre aujourd’hui un des plus ingénieux Critiques, est une nouvelle preuve de toute la pureté de Phedre… « Il y a dan
de Perotti, qui eut lieu en 1808, donna à la discussion une vivacité nouvelle plus tard attestée par le savant Daunou236. « À
omplètes, privées l’une de sa fin et l’autre de son commencement, une nouvelle lacune, qu’il est impossible de connaître exactem
fabulis, P. Syri sententiis, parallelisque fabulis J. de La Fontaine. Nouvelle édition suivie de notes grammaticales, etc. Par u
olar. Regia. In-8º maj. 1840. Fabularum A. L. Phædri libri V. Nouvelle édition par A. de Savary. Paris, Maire-Nyon. In-1
n. In-12 de 12 feuilles et demie. Phædri Aug. lib. fabular, libri V. Nouvelle édition d’après les meilleurs textes avec sommair
v. 208 s. 1851. Phædri fabularum libri V cum fabellis novis. Nouvelle édition publiée avec des notes en français et sui
4 pages intitulées : Indice. 1855. Phædri fabularum libri V. Nouvelle édition d’après les meilleurs textes, renfermant
n-12 de 4 feuilles 1 sixième. Phædri Augusti lib. fabularum libri V. Nouvelle édition d’après les meilleurs textes, avec une vi
In-24 de 96 pages. 1861. Phædri Aug. lib. fabularum libri V. Nouvelle édition avec des notes, un dictionnaire et les fa
In-18 de xv-144 p. 1873. Phædri Aug. lib. fabularum libri V. Nouvelle édition, publiée avec des notes en français et un
Roblot. In-18 de x-117 p. Phædri Augusti liberti fabularum libri V. Nouvelle édition, publiée avec des notes en français et de
86). In-16 de 93 p. 1879. Phædri Aug. lib. fabular. libri V. Nouvelle édition, d’après les meilleurs textes, précédée d
886, 1887). In-12 de xii-200 p. 1880. Phædri fabul. libri V. Nouvelle édition classique avec les fables de La Fontaine
nciennes et vingt-deux des nouvelles. 1882. Fables de Phèdre. Nouvelle édition publiée par M. l’abbé Frette. Paris, impr
ères. In-18 de xvi-76 pages. 1884. Fables choisies de Phèdre. Nouvelle édition classique abrégée, graduée et annotée, co
  Les fables de Phèdre, affranchi d’Auguste, en latin et en françois. Nouvelle traduction, avec des remarques, dédiée à Mgr le D
. In-18 de 5 feuilles. 1816.     Fables de Phèdre, traduction nouvelle avec des notes, par M. l’abbé Paul, ancien profes
lin-Mandar. In-8º d’un quart de feuille. Fables de Phèdre, traduction nouvelle avec des notes. Par M. l’abbé Adolphe Masson, pro
    Fables de Phèdre, latin-français, traduction de l’abbé Paul. Nouvelle édition adaptée à celle de Brotier, augmentée de
les. Nouvelles Fables attribuées à Phèdre, latin-français. Traduction nouvelle . Par M. Genouille. Paris, Aug. Delalain. In-12 d’
d’une feuille 1 tiers. 1834.     Fables de Phèdre. Traduction nouvelle par M. Ernest Panckoucke. Paris, C.-L.-F. Panckou
hèdre, en latin et en français, avec version interlinéaire en regard. Nouvelle édition conforme à celle de Brotier, augmentée :
4 feuilles 1 sixième. 1846.     Fables de Phèdre. Traduction nouvelle en vers français, texte en regard par M. A. Scrib
1875.     Fables de Phèdre, latin-français en regard. Traduction nouvelle par A. Lebobe, ancien professeur. Paris, Jules De
. 1878.     Les auteurs latins expliqués, d’après une méthode nouvelle , par deux traductions françaises, l’une littérale
e de sa mort. Dans la Biographie universelle de Michaud280 et dans la nouvelle Biographie générale de MM. Firmin Didot frères281
ux renseignements. Le savant P. Labbé l’a corrigée et publiée dans la Nouvelle Bibliothèque des manuscrits. C’est des ouvrages d
sorte que sur la même ligne, sans épigraphe ni disjonction, une œuvre nouvelle ferait suite à une autre toute différente. « C’es
emps de mes propres notes et de ces éléments réunis faire une analyse nouvelle . La reliure ayant été démontée, je me suis trouvé
s personnages qu’il met en scène, dans un seul vers et sous une forme nouvelle , l’idée morale qu’il a tout d’abord exprimée ; ma
fermées, que l’on attendait, pour les en retirer, l’achèvement de la nouvelle mairie, et que, provisoirement du moins, il était
M. le docteur E. Grosse de Kœnigsberg, occupé de la publication d’une nouvelle édition des fables ésopiques chez le libraire Teu
e qu’on s’éloigne de l’édition originale, on voit dans chaque édition nouvelle diminuer le nombre de ces gravures. Fol. 21 a. — 
uf destiné à faire ressortir la valeur d’une vieille toile, une œuvre nouvelle avait été ajoutée à l’ancienne. L’auteur de cette
hèses contraires. Mais personne n’avait songé à le vulgariser par une nouvelle publication. C’est seulement en 1806 que Schwabe,
é au British Museum le manuscrit Burnéien, il a senti que c’était une nouvelle source dont il ne pouvait, sous peine de lui ôter
i Wykes for John. V. Valey. D. Réimpression de 1634. En 1634, nouvelle réimpression de la traduction de Caxton, éditée à
E. Réimpression de 1647. En 1647, dans le format in-8º, paraît une nouvelle réimpression éditée à Londres et exécutée par le
xécutée à Londres par le même imprimeur que les deux précédentes, une nouvelle réimpression, composée, comme celle de 1647, de 1
n latine des fables d’Ésope dont le nom aurait été conservé à l’œuvre nouvelle . La même incertitude relativement au nom de l’emp
406 ; mais, en le nommant ainsi, il avait fait lui-même une confusion nouvelle  : un Italien, sur l’œuvre duquel je reviendrai, A
mérite même de ces dessins, au moment où ils furent faits, étoit une nouvelle recommandation que nous n’avons pas cru devoir né
é adressé au professeur de Bautzen, fut mis par lui à profit dans une nouvelle édition des fables de Phèdre, la plus complète qu
t bonnes, j’en ai pris copie dans l’intention d’en donner une édition nouvelle . En sus des 190 feuillets du manuscrit, il y a, à
che le véritable auteur des fables élégiaques, s’en distingue par une nouvelle conjecture. Après avoir rappelé les hypothèses fo
n sur le véritable auteur des fables élégiaques, signaler l’hypothèse nouvelle contenue dans l’extrait qui précède. Mais je n’av
81, s’écoule un siècle entier dans lequel je ne trouve aucune édition nouvelle du texte de Walther. Pour en rencontrer une, il f
Roquefort510, à l’article que M. P. Chabaille lui a consacré dans la Nouvelle Biographie générale de MM. Firmin-Didot frères, e
t du Loup, qui n’existe pas dans le Romulus primitif, a été une forme nouvelle donnée à l’une des fables de ce Romulus par l’aut
bles de ce Romulus par l’auteur du Romulus de Nilant ; or cette forme nouvelle que ce dernier a seul pu lui fournir, a été tradu
.XII, in-18. (Voyez p. 37 et 38.) 105. Fables de Phèdre. Traduction nouvelle par M. Ernest Panckoucke. Paria, C.-L.-F. Panckou
XXI, in-8º. (Voyez p. 300 à 314.) 127. Fables de Phèdre, traduction nouvelle par M. Ernest Panckoucke. Paris, C.-L.-F. Panckou
Voyez p. 9. 140. Décembre 1831. 141. Fables de Phèdre. Traduction nouvelle par M. Ernest Panckoucke. Paris, C.-L.-F. Panckou
e. Tome I. Paris, chez Mme C. Desplaces, 1854. (Voyez p. 172.) 281. Nouvelle biographie générale depuis les temps les plus rec
er 1885, page 43. 499. Voyez son article sur Marie de France dans la Nouvelle Biographie générale publiée par MM. Firmin Didot
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