priant de luy prester Quelque grain pour subsister Jusqu’à la saison
nouvelle
. Je vous payray, luy dit-elle, Avant l’Oust, foy
it le Coq, je ne pouvois jamais Apprendre une plus douce et meilleure
nouvelle
, Que celle De cette paix. Et ce m’est une double
Car les Médisans estans sans cesse aux aguets, pour chercher quelque
nouvelle
matiere à leurs calomnies, comme ils voyent qu’il
reilles.
La Guespe ne sçachant que dire à ces raisons,
Fit enqueste
nouvelle
; et pour plus de lumiere
Entendit une fourmilli
a Dame la plus belle Ne charma tant son Favory, Que fait cette épouse
nouvelle
Son hypocondre de mary. Il l’amadouë, elle le fla
dit-il, « voicy le seul Philosophe qui est venu à ton festin ». Ceste
nouvelle
mit grandement en peine Xanthus, pour-ce qu’il s’
La Bique allant remplir sa traînante mammelle, Et paistre l’herbe
nouvelle
, Ferma sa porte au loquet ; Non sans dire à son B
e doutoit bien qu’à la fin le Roy mesme en pouroit estre fâché. Ceste
nouvelle
plût grandement à Lycerus, à qui le pauvre Esope
perdre une gloire bien acquise, par la precipitation d’en gaigner une
nouvelle
. Ainsi en prit-il à Minutius, qui enflé par le su
un certain tribut, à faute dequoy, il leur declaroit la guerre. Cette
nouvelle
, et l’apprehension qu’ils avoient d’estre sous la
nt l’Ambassadeur des Lydiens, sans avoir conclu ny paix ny trefve. La
nouvelle
en estant depuis venuë au Roy Cresus, il se resol
d’un air caressant, le salua et dit : « Je viens t’annoncer une bonne
nouvelle
. Tu sais que notre roi, le lion, est mon voisin ;
t il supplia le renard de faire une autre tentative et de trouver une
nouvelle
ruse pour amener le cerf. Le renard répondit : «
u’elle en rencontra en son chemin. Elles bien faschées, formerent une
nouvelle
plaincte. Ce fut en vain toutesfois, pource que J
ville, avec aussi peu de jugement, que s’il eût apporté la meilleure
nouvelle
du monde. Dequoy le menu peuple irrité sur la cro
le consentement de toute la compagnie Mais le Renard envieux de cette
nouvelle
dignité s’avisa de le mener en une fosse, où il v
une condition penible et traversée. La pauvreté ne leur sembla point
nouvelle
en leurs vieux jours : ils se l’étoient renduë tr
y tous ses Conseillers, qui disoient tout haut ; « Ce n’est pas chose
nouvelle
, nous avons ouy cecy de longtemps, et le sçavons
vec eux pour l’engraisser. Mais les Coqs ne virent pas plustost cette
nouvelle
compagne, que chacun luy donnant son coup de bec,
donner une suite à mon premier travail, en faire paraître une édition
nouvelle
à laquelle je pusse ensuite, sans regret, rattach
siste, qui lui a été sans doute inspirée par le passage suivant de la
Nouvelle
Diplomatique des Bénédictins : « Pierre Daniel, b
ut qu’après une étude consciencieuse du manuscrit qu’il en publia une
nouvelle
édition. Ceux qui douteraient qu’il y eut réellem
Ce nombre devra paraître insuffisant et rendre nécessaire une édition
nouvelle
. » Le succès n’a pas répondu au mérite, et les d
roit français, a crue du siècle de Théodose, et que les auteurs de la
Nouvelle
Diplomatique renvoient au siècle de la meilleure
ait peu digne aujourd’hui d’une grande estime. « 2º Les auteurs de la
Nouvelle
Diplomatique ne pensent pas cependant de même. “C
re sur la foi de Schwabe, appelé par lui vir summus, qu’il produit sa
nouvelle
assertion. Ce dernier, il est vrai, dans son Excu
allait livrer son travail à l’imprimeur, quand lui arriva cette bonne
nouvelle
. Je renvoie à sa préface ceux qui voudront savoir
de’ Letterati : il avait, dans ses Dissertazioni Vossiane, donné une
nouvelle
nomenclature des ouvrages de Perotti, dont il ava
ures dans des notes courantes. Quelques semaines après, il publia une
nouvelle
édition qui ne contenait que les fables de Phèdre
édigeait, il était au comble de la colère. Il venait de découvrir une
nouvelle
brochure de Cassitto ; composée de quatre pages,
mensonges, et bientôt il avait pu s’assurer de l’exactitude de cette
nouvelle
par quelques pages imprimées qui lui en avaient é
un choix heureux dans les apologues d’Ésope et leur a donné une grâce
nouvelle
par sa précision élégante que l’on a comparée ave
n’est pas de Ciceron. « Et cette entreprise ne seroit pas entierement
nouvelle
. Un Ecrivain du dernier Siécle a déjà voulu prouv
ve à y reprendre aujourd’hui un des plus ingénieux Critiques, est une
nouvelle
preuve de toute la pureté de Phedre… « Il y a dan
de Perotti, qui eut lieu en 1808, donna à la discussion une vivacité
nouvelle
plus tard attestée par le savant Daunou236. « À
omplètes, privées l’une de sa fin et l’autre de son commencement, une
nouvelle
lacune, qu’il est impossible de connaître exactem
fabulis, P. Syri sententiis, parallelisque fabulis J. de La Fontaine.
Nouvelle
édition suivie de notes grammaticales, etc. Par u
olar. Regia. In-8º maj. 1840. Fabularum A. L. Phædri libri V.
Nouvelle
édition par A. de Savary. Paris, Maire-Nyon. In-1
n. In-12 de 12 feuilles et demie. Phædri Aug. lib. fabular, libri V.
Nouvelle
édition d’après les meilleurs textes avec sommair
v. 208 s. 1851. Phædri fabularum libri V cum fabellis novis.
Nouvelle
édition publiée avec des notes en français et sui
4 pages intitulées : Indice. 1855. Phædri fabularum libri V.
Nouvelle
édition d’après les meilleurs textes, renfermant
n-12 de 4 feuilles 1 sixième. Phædri Augusti lib. fabularum libri V.
Nouvelle
édition d’après les meilleurs textes, avec une vi
In-24 de 96 pages. 1861. Phædri Aug. lib. fabularum libri V.
Nouvelle
édition avec des notes, un dictionnaire et les fa
In-18 de xv-144 p. 1873. Phædri Aug. lib. fabularum libri V.
Nouvelle
édition, publiée avec des notes en français et un
Roblot. In-18 de x-117 p. Phædri Augusti liberti fabularum libri V.
Nouvelle
édition, publiée avec des notes en français et de
86). In-16 de 93 p. 1879. Phædri Aug. lib. fabular. libri V.
Nouvelle
édition, d’après les meilleurs textes, précédée d
886, 1887). In-12 de xii-200 p. 1880. Phædri fabul. libri V.
Nouvelle
édition classique avec les fables de La Fontaine
nciennes et vingt-deux des nouvelles. 1882. Fables de Phèdre.
Nouvelle
édition publiée par M. l’abbé Frette. Paris, impr
ères. In-18 de xvi-76 pages. 1884. Fables choisies de Phèdre.
Nouvelle
édition classique abrégée, graduée et annotée, co
Les fables de Phèdre, affranchi d’Auguste, en latin et en françois.
Nouvelle
traduction, avec des remarques, dédiée à Mgr le D
. In-18 de 5 feuilles. 1816. Fables de Phèdre, traduction
nouvelle
avec des notes, par M. l’abbé Paul, ancien profes
lin-Mandar. In-8º d’un quart de feuille. Fables de Phèdre, traduction
nouvelle
avec des notes. Par M. l’abbé Adolphe Masson, pro
Fables de Phèdre, latin-français, traduction de l’abbé Paul.
Nouvelle
édition adaptée à celle de Brotier, augmentée de
les. Nouvelles Fables attribuées à Phèdre, latin-français. Traduction
nouvelle
. Par M. Genouille. Paris, Aug. Delalain. In-12 d’
d’une feuille 1 tiers. 1834. Fables de Phèdre. Traduction
nouvelle
par M. Ernest Panckoucke. Paris, C.-L.-F. Panckou
hèdre, en latin et en français, avec version interlinéaire en regard.
Nouvelle
édition conforme à celle de Brotier, augmentée :
4 feuilles 1 sixième. 1846. Fables de Phèdre. Traduction
nouvelle
en vers français, texte en regard par M. A. Scrib
1875. Fables de Phèdre, latin-français en regard. Traduction
nouvelle
par A. Lebobe, ancien professeur. Paris, Jules De
. 1878. Les auteurs latins expliqués, d’après une méthode
nouvelle
, par deux traductions françaises, l’une littérale
e de sa mort. Dans la Biographie universelle de Michaud280 et dans la
nouvelle
Biographie générale de MM. Firmin Didot frères281
ux renseignements. Le savant P. Labbé l’a corrigée et publiée dans la
Nouvelle
Bibliothèque des manuscrits. C’est des ouvrages d
sorte que sur la même ligne, sans épigraphe ni disjonction, une œuvre
nouvelle
ferait suite à une autre toute différente. « C’es
emps de mes propres notes et de ces éléments réunis faire une analyse
nouvelle
. La reliure ayant été démontée, je me suis trouvé
s personnages qu’il met en scène, dans un seul vers et sous une forme
nouvelle
, l’idée morale qu’il a tout d’abord exprimée ; ma
fermées, que l’on attendait, pour les en retirer, l’achèvement de la
nouvelle
mairie, et que, provisoirement du moins, il était
M. le docteur E. Grosse de Kœnigsberg, occupé de la publication d’une
nouvelle
édition des fables ésopiques chez le libraire Teu
e qu’on s’éloigne de l’édition originale, on voit dans chaque édition
nouvelle
diminuer le nombre de ces gravures. Fol. 21 a. —
uf destiné à faire ressortir la valeur d’une vieille toile, une œuvre
nouvelle
avait été ajoutée à l’ancienne. L’auteur de cette
hèses contraires. Mais personne n’avait songé à le vulgariser par une
nouvelle
publication. C’est seulement en 1806 que Schwabe,
é au British Museum le manuscrit Burnéien, il a senti que c’était une
nouvelle
source dont il ne pouvait, sous peine de lui ôter
i Wykes for John. V. Valey. D. Réimpression de 1634. En 1634,
nouvelle
réimpression de la traduction de Caxton, éditée à
E. Réimpression de 1647. En 1647, dans le format in-8º, paraît une
nouvelle
réimpression éditée à Londres et exécutée par le
xécutée à Londres par le même imprimeur que les deux précédentes, une
nouvelle
réimpression, composée, comme celle de 1647, de 1
n latine des fables d’Ésope dont le nom aurait été conservé à l’œuvre
nouvelle
. La même incertitude relativement au nom de l’emp
406 ; mais, en le nommant ainsi, il avait fait lui-même une confusion
nouvelle
: un Italien, sur l’œuvre duquel je reviendrai, A
mérite même de ces dessins, au moment où ils furent faits, étoit une
nouvelle
recommandation que nous n’avons pas cru devoir né
é adressé au professeur de Bautzen, fut mis par lui à profit dans une
nouvelle
édition des fables de Phèdre, la plus complète qu
t bonnes, j’en ai pris copie dans l’intention d’en donner une édition
nouvelle
. En sus des 190 feuillets du manuscrit, il y a, à
che le véritable auteur des fables élégiaques, s’en distingue par une
nouvelle
conjecture. Après avoir rappelé les hypothèses fo
n sur le véritable auteur des fables élégiaques, signaler l’hypothèse
nouvelle
contenue dans l’extrait qui précède. Mais je n’av
81, s’écoule un siècle entier dans lequel je ne trouve aucune édition
nouvelle
du texte de Walther. Pour en rencontrer une, il f
Roquefort510, à l’article que M. P. Chabaille lui a consacré dans la
Nouvelle
Biographie générale de MM. Firmin-Didot frères, e
t du Loup, qui n’existe pas dans le Romulus primitif, a été une forme
nouvelle
donnée à l’une des fables de ce Romulus par l’aut
bles de ce Romulus par l’auteur du Romulus de Nilant ; or cette forme
nouvelle
que ce dernier a seul pu lui fournir, a été tradu
.XII, in-18. (Voyez p. 37 et 38.) 105. Fables de Phèdre. Traduction
nouvelle
par M. Ernest Panckoucke. Paria, C.-L.-F. Panckou
XXI, in-8º. (Voyez p. 300 à 314.) 127. Fables de Phèdre, traduction
nouvelle
par M. Ernest Panckoucke. Paris, C.-L.-F. Panckou
Voyez p. 9. 140. Décembre 1831. 141. Fables de Phèdre. Traduction
nouvelle
par M. Ernest Panckoucke. Paris, C.-L.-F. Panckou
e. Tome I. Paris, chez Mme C. Desplaces, 1854. (Voyez p. 172.) 281.
Nouvelle
biographie générale depuis les temps les plus rec
er 1885, page 43. 499. Voyez son article sur Marie de France dans la
Nouvelle
Biographie générale publiée par MM. Firmin Didot