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1 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 3. [DE CANCRO SVVM DOCENTE FILIVM] » p. 322
ltum nimis est, cum tu prauissima temptes, alterius censor ut uitiosa notes .
2 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [57.]. DEL CONTADINO, ET DEL CAVALLIERO. » p. 402
che per modo alcun vender non puote, Celando il suo pensier con finte note Mentre non ne può far ciò, ch’egli vuole. Volon
3 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [22.]. DEL TORO E DEL MONTONE. » p. 217
attaglia move a l’huom di lui più forte, E prende ardir da le miserie note Di far ingiuria al misero, che oppresso È da cura
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XXI. La jeune Veuve. » p. 
Aux soûpirs vrais ou faux celle-là s’abandonne : C’est toujours mesme note , et pareil entretien : On dit qu’on est inconsola
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
iroit là prendre. Aussi ne les y prit-on pas. Leur ennemi changea de note , Sur la robe du Dieu fit tomber une crote : Le Di
6 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
r français n’avait pas échappé au savant Pierre Burmann, qui, par une note insérée dans sa magnifique édition in-4, de 17272
r et de restituer le véritable sens. Mais il est vraisemblable que la note de Pierre Burmann ne fut pas aperçue des traducte
n’a rien de remarquable ; le deuxième, quoique très rogné, porte des notes écrites par trois mains différentes. Je n’ai aucu
eur français des fables de Phèdre. C’est là du moins ce qu’indique la note suivante tracée au crayon en tête de l’exemplaire
eodem plane caractere cum præsentibus ad Phædrum simillimas. » Cette note est signée d’un B avec paraphe. À côté de ce B, à
usin est parfaitement exacte. Pour m’en assurer, j’ai collationné les notes manuscrites de cet exemplaire avec celles des édi
édition qu’il s’est livré à ce travail préparatoire. Au-dessous de la note de Beaucousin, on lit : « Voyez la lettre de M. 
les nos 221 et 222. Le premier de ces deux exemplaires, à raison des notes en langue française dont il est pourvu, est plus
l’histoire littéraire de sa ville natale, m’a exprimé l’idée que ces notes étaient de Grosley ; mais, quand on les compare à
ibuer à une main beaucoup plus ancienne. J’ai relevé plusieurs de ces notes  ; mais, dans le désir d’abréger cette analyse, je
(C’est un petit poème en vers italiens, contenu dans six pages.) Les notes , mises en marge de l’édition de Phèdre, sont d’un
ie, et le relieur avait dû rogner les marges au point de tronquer les notes , auxquelles par suite manquent des fragments de m
faitement conservé, et ses marges, quoique pleines, ne portent aucune note manuscrite. Je n’ai aucune observation particuliè
t du Parlement de Paris89, et voici comment il s’exprime dans une des notes , dont il a enrichi les Disputationes du Père Desb
en 1826, dans la collection des classiques latins de Lemaire avec une note de Barbier ainsi conçue : « Ce précieux manuscrit
de M. le vicomte Le Pelletier de Rosanbo, pair de France91. » Cette note étant parvenue à sa connaissance, Schwabe « écriv
ait y avoir des lacunes, sans rendre compte de son travail par aucune note , et en se contentant de mettre à la fin une liste
hœi non sine desiderio relicta bonis omnibus recordatio. » Quant aux notes que Rigault avait insérées dans sa première éditi
outre au commencement, sur la face intérieure de la couverture, cette note , qui est de la main de M. de Foncemagne, et que l
ste de ces deux manuscrits. » Après avoir attribué à M. Dacier cette note , qui, évidemment, ne peut avoir été écrite que pa
plus en plus inintelligible. En voici le texte : « Depuis que cette note a été écrite, on a recouvré à la Bibliothèque du
re et tout le cinquième y manquent. » Il est évident qu’une pareille note , qui contient autant de faussetés que de mots, ne
besoin qu’il lui eût été communiqué. Quant au véritable auteur de la note , ce qu’il dit du manuscrit démontre qu’il ne l’a
vu le manuscrit de Reims ; il n’en a connu les variantes que par les notes écrites de la main du Père Sirmond en marge d’un
eims que tout savant pouvait étudier dans l’abbaye de Saint-Remi. Les notes de Gude fournissent donc des renseignements plus
s cette première idée, c’est que de place en place on trouve dans ses notes des variantes précédées de cette autre abréviatio
rit de Pithou que dans l’appendice de l’édition originale et dans les notes des diverses éditions de Rigault. Or, pour prendr
e la fable i, l’autre sur le vers 7 de la fable ii, ne sont, dans ses notes , précédées que des simples lettres MS. Ne lui aya
nt été signalées ni par l’appendice de l’édition originale ni par les notes de Rigault comme appartenant au manuscrit de Pith
dans les deux manuscrits, il a eu soin de la faire précéder dans ses notes , page 223, de cette mention : MS. Rem. et Pith.
uglément les variantes de Dom Vincent ; car le volume qui portait ses notes manuscrites a disparu, et il est possible que, da
du manuscrit brûlé, je dois faire connaître ce qu’il était. Dans une note manuscrite par lui placée au bas de la troisième
e en 1564 par le savant P. Daniel, d’Orléans, qui l’accompagna de ses notes , et il faut convenir que c’est un ouvrage qui par
tions que la réimpression de l’édition de Schwabe, et j’y trouvai une note du bibliophile Barbier, ainsi conçue : « Ce manus
tirer de mon incertitude, d’autant plus qu’il était accompagné d’une note , suivant laquelle Dom Cl. Étiennot de la Serre, d
u pouvait revendiquer l’honneur de lui avoir donné le jour : dans une note ajoutée à la préface qui précède sa publication d
t se compose la Vetus Danielis Chartula, il a soin d’insérer dans des notes spéciales les variantes du manuscrit qu’il déclar
uscrit de Daniel ni en entier ni en fragment. Rigault, en mettant ses notes en ordre, a attribué au manuscrit de Daniel des m
e Meursius, sur la foi de la première édition de Rigault, a, dans ses notes sur Phèdre, en l’attribuant également au manuscri
t enfin des travaux de Schwabe, M. Berger de Xivrey signale, dans une note , la même variante et lui attribue la même source1
tés en si beau chemin, et le même M. Berger de Xivrey, dans une autre note , indique une autre variante qui serait fournie pa
ur le témoignage de Burmann, à qui il avait renvoyé le lecteur par la note suivante : « Burmanni Syllog. Epp., t. IV, p. 42.
ue, s’il n’en a pas fait l’aveu, il ne s’en était pas moins servi des notes inédites d’Étienne Sanadon165, et de l’active col
tre. À l’égard du Père Brotier, il semble ressortir clairement de ses notes qu’il n’a pas prétendu avoir une copie du manuscr
agments de mots indéchiffrables et indiquant ses conjectures dans des notes courantes. Quelques semaines après, il publia une
nde, celui des anciennes. Les unes et les autres sont accompagnées de notes courantes en latin. Au frontispice on lit : Juli
in en regard, la traduction française en prose ajoutée au bas, et les notes latines de Jannelli rejetées à la suite de chacun
 | par M. Petronj | et en prose française | par M. Bagioli | avec les notes latines de l’édition originale | et précédée[s] d
ition Petronj, se trouve, sur la page blanche en regard du titre, une note manuscrite ainsi conçue : « Voir Examen des nouve
este l’authenticité de ces fables et cette opinion a prévalu. » Cette note n’est pas exacte ; mais je ne m’expliquerai sur c
es, savoir : les pages 1 à 42 au texte latin, les pages 43 à 78 à des notes extraites de celles de Jannelli et de Cassitto, e
t Vatican est si bien conforme à celui de Naples, qu’il porte même la note , qui, dans ce dernier, figure en marge d’un ancie
omnibus, Nisi vtile est quod facimus, stulta est gloria186. » Cette note de Perotti était doublement inexacte : d’abord ce
u et ensuite par Rittershuys, Rigault et autres, et éclairés de leurs notes et de leurs scholies. Ils se trouvent livre II, f
ui par Gruter dans ses Inscriptiones antiquæ 190 et par Gude dans ses notes sur Phèdre191. Cette inscription, qui, d’après Je
n 1826, dans la Collection des classiques latins de Lemaire, avec des notes de Barbier, dont l’une239 indiquait que le manusc
feuilleté au Vatican le manuscrit de Daniel. Schwabe, ayant, par les notes de Barbier, appris qu’on savait enfin où était ce
opiarum libri V. Oder, etc. Magdebourg. In-18. Édition accompagnée de notes allemandes. 1826. Phædri Aug. Lib. fabul
, parallelisque fabulis J. de La Fontaine. Nouvelle édition suivie de notes grammaticales, etc. Par une société de professeur
bri V. Nouvelle édition d’après les meilleurs textes avec sommaire et notes en français par M. Vérien. Paris, Dezobry, E. Mad
tæ. Mit Anmerkgn. von J. R. Koene, s. C. Nepos. Fedro. Le Favole con note italiane precedute da un discorso sulla favola e
stes et le texte des fables anciennes de Phèdre enrichi de nombreuses notes . 1842. J. Phædri, Aug. lib., fabulæ vete
gelo Maï et les fables correspondantes de La Fontaine, avec Notice et notes en français par M. F. Dübner. Paris, chez F. Dido
bularum libri V cum fabellis novis. Nouvelle édition publiée avec des notes en français et suivie des imitations de La Fontai
861 et 1871). In-8º v. viii-87 s. Favole scette di Fedro corredate di note per cura del Prof. A. Lace approvate dal consigli
enant le texte latin de Phèdre divisé en 3 livres et suivi de longues notes en langue italienne. 1854. Phædri August
ibri V. Nouvelle édition d’après les meilleurs textes, renfermant des notes historiques, grammaticales et littéraires en fran
erti Bibliopolæ. In-12. Le Favole di Fedro corredate di Spiegazioni e note italiane per cura di Carlo Gatti. Firenze, Felice
1. Phædri Aug. lib. fabularum libri V. Nouvelle édition avec des notes , un dictionnaire et les fables de La Fontaine en
hædri Aug. lib. fabularum libri V. Nouvelle édition, publiée avec des notes en français et un choix de fables du P. Desbillon
Augusti liberti fabularum libri V. Nouvelle édition, publiée avec des notes en français et des fables choisies de Desbillons,
libri V. Édition classique, à l’usage des élèves de sixième avec des notes grammaticales, prosodiques, critiques et historiq
précédée d’une notice sur Phèdre, accompagnée d’un commentaire et de notes , suivie des imitations de La Fontaine, etc., et d
    Fables de Phèdre, divisées en quatre livres égaux, enrichies de notes et traduites en français, conformément à l’éditio
iées d’après le manuscrit de Perotti ; avec le texte en regard et des notes . Paris, Louis Duprat-Duverger. In-8º de 24 feuill
les. 1816.     Fables de Phèdre, traduction nouvelle avec des notes , par M. l’abbé Paul, ancien professeur d’éloquenc
d’un quart de feuille. Fables de Phèdre, traduction nouvelle avec des notes . Par M. l’abbé Adolphe Masson, professeur dans l’
ie de la langue française ; précédées du texte pur et accompagnées de notes explicatives, d’après les principes de MM. de Por
de Phèdre, traduites en français avec le texte latin en regard et des notes par M. D. Marie (1858, 1882, 1886). Paris, Hachet
l’autre correcte et précédée du texte latin avec des sommaires et des notes par une société de professeurs et de latinistes.
aragraphes et les fables elles-mêmes, dont chacune est suivie : 1º de notes  ; 2º de cinq traductions italiennes composées par
r prosa Toscana recate a riscontro del testo latino ed illustrate con note di varie maniere per Sebastiano M. Zappala, profe
1841.     Le Favole di Fedro voltate in rime semi-giocose, con note istoriche da Giovanni Pasquale Professoro di Rett
du feuillet 195 où commencent les fables ésopiques, avait écrit cette note  : Harum quæ sequuntur fabularum quædam sunt e Ph
ajoute M. Pertz, une espèce de collection d’extraits ou de recueil de notes où se mêle tout ce qui est passé par la tête de l
cru devoir m’aider de toutes, me servir en même temps de mes propres notes et de ces éléments réunis faire une analyse nouve
cto du premier feuillet, c’est-à-dire du feuillet clxxxvii, porte des notes relatives aux choses qui, arrivées en 1028, pouva
stitution du texte de Phèdre une importance capitale, attestée par la note de Paul Petau écrite en tête du recto du fol. cxc
pour l’histoire de l’art. En tête de la première page, à gauche de la note de P. Petau, le copiste, qui est certainement Adé
25 vers intitulé Est et non et notamment, au bas de la page 185, une note dans laquelle l’éditeur, donnant la nomenclature
, édité d’après un manuscrit de Vienne, et, au bas de la page 27, la note dans laquelle l’éditeur indique comment il est in
ençant par les mots Bis sena mensum , et, au bas de la même page, la note de l’éditeur qui expose que, dans le manuscrit Vo
commençant à la page 380 du même volume, au bas de laquelle on lit en note  : « Primus ex P(arisino 12 117) saec. XI, fol. 13
imoges par O. Holder-Egger. Cette notice est suivie du texte même des notes marginales qui, dans le manuscrit, occupent les f
tre le contenu. Sachant que Gude l’avait étudié, je cherchai dans ses notes sur Phèdre ce qu’il avait dû en dire, et bientôt
n avait révélé l’existence, en avait cité quelques fragments dans ses notes sur la fable xiii du livre I de Phèdre, intitulée
ude qui n’en avait révélé l’existence que par deux citations dans ses notes sur Phèdre publiées après sa mort en 1698 par le
les yeux. Peut-être même l’avait-il rédigée avant la publication des notes de Gude sur Phèdre, c’est-à-dire avant 1697. Il n
la fameuse dédicace, il n’en avait pas moins eu soin de la publier en note à la page 65, et d’indiquer qu’elle était tirée d
dédicace à Tiberinus, et que Nilant l’avait publiée lui-même dans la note  B de la page 65 de son édition322. La place même
dû comprendre que, si cet éminent critique l’avait reléguée dans une note , c’est qu’il ne l’avait pas considérée comme se r
lem. Ce titre occupe trois lignes et le point précis où, d’après mes notes , chacune d’elles finit, est celui qui comme tel e
à un nombre d’exemplaires relativement considérable. Si j’avais pris note de tous ceux que j’ai vus, j’en pourrais signaler
rites par Vincent de Beauvais que dans son Miroir doctrinal. Mais les notes dont il a, dans la même édition, pourvu le texte
Pour justifier ce nom, voici ce qu’il expliquait ensuite dans une des notes de son ouvrage : « J’aurois dû écrire Gauffredus
i avait été communiqué par son compatriote Haenel, il avait trouvé la note suivante écrite de la main même du copiste : « In
onensis, qui ipse compilavit metra. » Dressler avait conclu de cette note que l’auteur véritable était Ugobard de Sulmona.
9 pour livrer à la publicité six fables élégiaques imprimées dans les notes de sa première édition de Phèdre. Voici, en effet
haque fable est précédée d’un titre à l’encre rouge et accompagnée de notes interlinéaires d’une écriture microscopique et be
rs de celle qui concerne la Matrone d’Éphèse, P. Pithou a écrit cette note  : Hæc Fabula sumpta est Petronio Arbitro et rela
t vel celavit vel titulum istum deleverit, anathema sit. Amen. Cette note établit bien que le manuscrit a appartenu à l’abb
encement du livre, sur la face interne de la couverture a inscrit une note ainsi conçue : « Ce qui a rapport à la musique a
elle qu’à la fin du xvie  siècle, Rigault, en préparant ses premières notes sur les fables de Phèdre, remarqua, dans la libra
précède les feuillets numérotés, la cause en est indiquée dans cette note que j’ai déjà citée : « A mon entrée en la librai
a fable i : Tu gallo stolidum, tu, iaspide dona sophiæ       Pulchra notes . Stolido nil sapit ista seges. 3º L’épimythion d
L’état de ses acquisitions, en janvier 1764, se montait, suivant une note de sa main, à la somme de 50,787 livres. À sa mor
, sont le Pater et l’Ave Maria paraphrasés. Viennent ensuite diverses notes d’une écriture plus moderne. La première est daté
e iehanne de borgomgne. En marge de ce dernier vers il a écrit cette note  : « femme de Philipes le Long qui régnoit en 1316
exsoletis editionibus et codice ms. luci redditæ. Du reste, dans ses notes sur les fables en vers élégiaques, Névelet ne sig
oi, le chancelier d’État, le 31 octobre 1815, adressa à cet effet une note très pressante au cardinal Gonsalvi, secrétaire d
eurs, elle renferme les fables de Walther, mais pourvues seulement de notes marginales. Elles sont, au verso du feuillet G  i
chiffrées. Les fables de Walther occupent les pages 487 à 530, et les notes qui les concernent, les pages 668 à 678. 1660
une suite non interrompue de vers rimant deux à deux. » Et, dans une note complétant sa description, M. Robert ajoute : « D
ne besogne plus utile, s’il s’était borné à publier, en y ajoutant en note les variantes de son manuscrit, les fables de Rom
crit français 25405 de la Bibliothèque nationale, et l’on y verra une note qui lui assigne la date de 1204. Cette date, il e
oyez ce qu’il a écrit au bas de la première page de ce manuscrit. Les notes marginales sont aussi de sa main. Ce manuscrit do
ond en parchemin. Sur le recto du feuillet en papier a été écrite une note qui assigne au manuscrit l’année 1204, date de la
Ysopes. Sur la première page, l’auteur de la seconde série a par la note suivante nommé l’auteur de la première et indiqué
caire, en 1862, a au-dessous exprimé une opinion différente dans deux notes en anglais, dont la première peut se traduire ain
e quelques écritures sur les feuillets 15 b à 17530. » Cette première note est paraphée par son auteur. Voici la traduction
it aisé de produire feraient d’ailleurs double emploi ; car, dans les notes placées au bas du texte, ils trouveront relevées
second volume de cet ouvrage, on les trouvera ajoutées, sous forme de notes , au texte du manuscrit du British Museum. § 3
vigæ, Sumtu F. Viewegii, MDCCCVI, 2 vol. in-8°. (Voyez t. II, p. 152, note  24.) 3. Œuvres complètes d’Horace, de Juvénal,
etri Burmanni. Leidæ, apud Samuelem Luchtmans, 1727. Burmann, p. 114, note  40, s’exprime ainsi : Male autem hæc capit Gallic
i David Hoogstratanus. Amstelædami, СӀƆ ӀƆ CCI, in-4º. (Voyez p. 129, note  24.) 61. Phædri Augusti Liberti Fabularum Æsopi
urante Petro Burmanno. Amstelædami, CIƆ IƆ CXCVIII, in-8º. (Voyez les notes de Gude sur Phèdre, p. 324.) 62. Voyez, dans l’é
r Phèdre, p. 324.) 62. Voyez, dans l’édition de Burmann de 1698, les notes de Gude, p. 324. 63. Phædri Augusti Liberti Fab
s et modernes, et notamment, en 1807, une édition de Phèdre, avec les notes du Père Desbillons. 69. Jacques Sirmond, jésuite
arisiis, Ambrosius Firminus Didot, MDCCCXXX. (Voyez, à la préface, la note  I de la p. 41.) 87. Voyez la note I à la page 42
MDCCCXXX. (Voyez, à la préface, la note I de la p. 41.) 87. Voyez la note  I à la page 42 de la préface mise par M. Berger d
olaus Eligius Lemaire, MDCCCXXVI, 2 vol. in-8º. (Voyez tome I, p. 34, note  3.) 92. Voyez, dans l’édition diplomatique du ma
canis, M.D.CCCXXXI, in-8º (Voyez p. 310 à 314.) 114. Tome II, p. 92, note  2. 115. Journal des savants. 1884. Page 673, no
. Tome II, p. 92, note 2. 115. Journal des savants. 1884. Page 673, note  1. 116. Phædri Augusti Liberti Fabularum Æsop.
ions de Lebel et de Conti, éditées avec une étude préliminaire et des notes par Louis Lacour, 1865, in-32. 121. Ce livre est
, complectens, etc., curante Angelo Maï. Romæ, 1831, in-8º. (Voyez la note de la page 308.) 130. Œuvres complètes d’Horace
hie, intitulée : Biografia di Guido Monaco, d’Arezzo, inventore delle note musicale, a été réimprimée à Naples, en 1868, sou
ædami, apud Henricum Wetstenium, CIƆ.IƆ.CXCVIII, in-8º. (Voyez p. 54, note  1.) 144. Phædri Augusti Liberti Fabularum Æsopi
taliens par M. Petronj et en prose française par M. Bagioli, avec les notes latines de l’édition originale, et précédées d’un
italiens par M. Petronj et en prose française par M. Bagioli avec les notes latines de l’édition originale et précédées d’une
195. Voyez dans les éditions in-8º du Phèdre de Burmann la première note sur la fable xvii du livre III. 196. Phædri Aug
elædami, ex typographia Francisci Halmæ. CIƆ IƆ CCI, in-4º. (Voyez la note préliminaire sur la fable xvii du livre III.) 19
. À Rotterdam, chez Reinier Leers, MDCXCVII. (Voyez, au mot Ésope, la note M, p. 1091.) 212. « Num igitur Phædrus Senecæ i
nt. Hambourg, 1697, in-8º (Au chap. iii du livre II voyez la deuxième note .) 213. « Seneca fabellas et apologos Æsopios op
èdre en tête des fables, p. 705, 1re col.) 239. Voyez tome I, p. 34, note  3. 240. Phædri Aug. Liberti Fabularum Æsopiarum
II. Lipsiæ, in ædibus B. G. Teubneri, 1870. (Voyez nº 761.) 292. Ces notes ont étc publiées par M. O. Holder-Egger dans Neue
 Frederico Nilant. Lugd. Batav., 1709. in-12. (Voyez la préface et la note  b de la page 65.) 304. Phædri Aug. lib. fabular
. 316. Voyez, dans le nº du Journal des savants de décembre 1884, la note  2 de la page 678. 317. Voyez, dans son édition d
Fables inédites, etc. Paris, E. Cabin, 1825. (Voyez t. I, p. xciij, note  1.) 418. Fables inédites, etc. Paris, E. Cabin,
Fables inédites, etc. Paris, E. Cabin, 1825. (Voyez t. I, p. lxxxix, note  1, et p. ccxxiv.) 419. Venerabilis Hildeberti…
bles inédites, etc…, Paris, 1825. 2 vol. in-8º. (Voyez t. I, p. clxv, note  1.) 434. Fables inédites, etc. Paris, 1825. 2 v
sæculi XVII initium floruerunt. Londres, 1748, in-fol. (Voy. p. 540, note  D.) 483. Voyez la première édition des Fabuliste
8º (Voy. t. I, p. clxx.) 487. Fables inédites, etc. (Voyez p. clxx, note  3.) 488. Voyez t. I, p. 408. 489. Voyez p. 158
Janvier 1885, p. 41. 508. Journal des savants. Janvier 1885, p. 41, note  2. 509. Journal des savants. — Janvier 1885, p.
.) 514. Poésies de Marie de France. Paris, 1820. (Voyez t. I, p. 1, note  1, et t. II, p. 401, note 3.) 515. Voyez la trad
de France. Paris, 1820. (Voyez t. I, p. 1, note 1, et t. II, p. 401, note  3.) 515. Voyez la traduction anglaise de sa diss
ance, t. II, p. xv. 529. Poésies de Marie de France, t. II, p. xvi, note  2. 530. « The whole is of the thirteenth centur
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