che per modo alcun vender non puote, Celando il suo pensier con finte
note
Mentre non ne può far ciò, ch’egli vuole. Volon
attaglia move a l’huom di lui più forte, E prende ardir da le miserie
note
Di far ingiuria al misero, che oppresso È da cura
Aux soûpirs vrais ou faux celle-là s’abandonne : C’est toujours mesme
note
, et pareil entretien : On dit qu’on est inconsola
iroit là prendre. Aussi ne les y prit-on pas. Leur ennemi changea de
note
, Sur la robe du Dieu fit tomber une crote : Le Di
r français n’avait pas échappé au savant Pierre Burmann, qui, par une
note
insérée dans sa magnifique édition in-4, de 17272
r et de restituer le véritable sens. Mais il est vraisemblable que la
note
de Pierre Burmann ne fut pas aperçue des traducte
n’a rien de remarquable ; le deuxième, quoique très rogné, porte des
notes
écrites par trois mains différentes. Je n’ai aucu
eur français des fables de Phèdre. C’est là du moins ce qu’indique la
note
suivante tracée au crayon en tête de l’exemplaire
eodem plane caractere cum præsentibus ad Phædrum simillimas. » Cette
note
est signée d’un B avec paraphe. À côté de ce B, à
usin est parfaitement exacte. Pour m’en assurer, j’ai collationné les
notes
manuscrites de cet exemplaire avec celles des édi
édition qu’il s’est livré à ce travail préparatoire. Au-dessous de la
note
de Beaucousin, on lit : « Voyez la lettre de M.
les nos 221 et 222. Le premier de ces deux exemplaires, à raison des
notes
en langue française dont il est pourvu, est plus
l’histoire littéraire de sa ville natale, m’a exprimé l’idée que ces
notes
étaient de Grosley ; mais, quand on les compare à
ibuer à une main beaucoup plus ancienne. J’ai relevé plusieurs de ces
notes
; mais, dans le désir d’abréger cette analyse, je
(C’est un petit poème en vers italiens, contenu dans six pages.) Les
notes
, mises en marge de l’édition de Phèdre, sont d’un
ie, et le relieur avait dû rogner les marges au point de tronquer les
notes
, auxquelles par suite manquent des fragments de m
faitement conservé, et ses marges, quoique pleines, ne portent aucune
note
manuscrite. Je n’ai aucune observation particuliè
t du Parlement de Paris89, et voici comment il s’exprime dans une des
notes
, dont il a enrichi les Disputationes du Père Desb
en 1826, dans la collection des classiques latins de Lemaire avec une
note
de Barbier ainsi conçue : « Ce précieux manuscrit
de M. le vicomte Le Pelletier de Rosanbo, pair de France91. » Cette
note
étant parvenue à sa connaissance, Schwabe « écriv
ait y avoir des lacunes, sans rendre compte de son travail par aucune
note
, et en se contentant de mettre à la fin une liste
hœi non sine desiderio relicta bonis omnibus recordatio. » Quant aux
notes
que Rigault avait insérées dans sa première éditi
outre au commencement, sur la face intérieure de la couverture, cette
note
, qui est de la main de M. de Foncemagne, et que l
ste de ces deux manuscrits. » Après avoir attribué à M. Dacier cette
note
, qui, évidemment, ne peut avoir été écrite que pa
plus en plus inintelligible. En voici le texte : « Depuis que cette
note
a été écrite, on a recouvré à la Bibliothèque du
re et tout le cinquième y manquent. » Il est évident qu’une pareille
note
, qui contient autant de faussetés que de mots, ne
besoin qu’il lui eût été communiqué. Quant au véritable auteur de la
note
, ce qu’il dit du manuscrit démontre qu’il ne l’a
vu le manuscrit de Reims ; il n’en a connu les variantes que par les
notes
écrites de la main du Père Sirmond en marge d’un
eims que tout savant pouvait étudier dans l’abbaye de Saint-Remi. Les
notes
de Gude fournissent donc des renseignements plus
s cette première idée, c’est que de place en place on trouve dans ses
notes
des variantes précédées de cette autre abréviatio
rit de Pithou que dans l’appendice de l’édition originale et dans les
notes
des diverses éditions de Rigault. Or, pour prendr
e la fable i, l’autre sur le vers 7 de la fable ii, ne sont, dans ses
notes
, précédées que des simples lettres MS. Ne lui aya
nt été signalées ni par l’appendice de l’édition originale ni par les
notes
de Rigault comme appartenant au manuscrit de Pith
dans les deux manuscrits, il a eu soin de la faire précéder dans ses
notes
, page 223, de cette mention : MS. Rem. et Pith.
uglément les variantes de Dom Vincent ; car le volume qui portait ses
notes
manuscrites a disparu, et il est possible que, da
du manuscrit brûlé, je dois faire connaître ce qu’il était. Dans une
note
manuscrite par lui placée au bas de la troisième
e en 1564 par le savant P. Daniel, d’Orléans, qui l’accompagna de ses
notes
, et il faut convenir que c’est un ouvrage qui par
tions que la réimpression de l’édition de Schwabe, et j’y trouvai une
note
du bibliophile Barbier, ainsi conçue : « Ce manus
tirer de mon incertitude, d’autant plus qu’il était accompagné d’une
note
, suivant laquelle Dom Cl. Étiennot de la Serre, d
u pouvait revendiquer l’honneur de lui avoir donné le jour : dans une
note
ajoutée à la préface qui précède sa publication d
t se compose la Vetus Danielis Chartula, il a soin d’insérer dans des
notes
spéciales les variantes du manuscrit qu’il déclar
uscrit de Daniel ni en entier ni en fragment. Rigault, en mettant ses
notes
en ordre, a attribué au manuscrit de Daniel des m
e Meursius, sur la foi de la première édition de Rigault, a, dans ses
notes
sur Phèdre, en l’attribuant également au manuscri
t enfin des travaux de Schwabe, M. Berger de Xivrey signale, dans une
note
, la même variante et lui attribue la même source1
tés en si beau chemin, et le même M. Berger de Xivrey, dans une autre
note
, indique une autre variante qui serait fournie pa
ur le témoignage de Burmann, à qui il avait renvoyé le lecteur par la
note
suivante : « Burmanni Syllog. Epp., t. IV, p. 42.
ue, s’il n’en a pas fait l’aveu, il ne s’en était pas moins servi des
notes
inédites d’Étienne Sanadon165, et de l’active col
tre. À l’égard du Père Brotier, il semble ressortir clairement de ses
notes
qu’il n’a pas prétendu avoir une copie du manuscr
agments de mots indéchiffrables et indiquant ses conjectures dans des
notes
courantes. Quelques semaines après, il publia une
nde, celui des anciennes. Les unes et les autres sont accompagnées de
notes
courantes en latin. Au frontispice on lit : Juli
in en regard, la traduction française en prose ajoutée au bas, et les
notes
latines de Jannelli rejetées à la suite de chacun
| par M. Petronj | et en prose française | par M. Bagioli | avec les
notes
latines de l’édition originale | et précédée[s] d
ition Petronj, se trouve, sur la page blanche en regard du titre, une
note
manuscrite ainsi conçue : « Voir Examen des nouve
este l’authenticité de ces fables et cette opinion a prévalu. » Cette
note
n’est pas exacte ; mais je ne m’expliquerai sur c
es, savoir : les pages 1 à 42 au texte latin, les pages 43 à 78 à des
notes
extraites de celles de Jannelli et de Cassitto, e
t Vatican est si bien conforme à celui de Naples, qu’il porte même la
note
, qui, dans ce dernier, figure en marge d’un ancie
omnibus, Nisi vtile est quod facimus, stulta est gloria186. » Cette
note
de Perotti était doublement inexacte : d’abord ce
u et ensuite par Rittershuys, Rigault et autres, et éclairés de leurs
notes
et de leurs scholies. Ils se trouvent livre II, f
ui par Gruter dans ses Inscriptiones antiquæ 190 et par Gude dans ses
notes
sur Phèdre191. Cette inscription, qui, d’après Je
n 1826, dans la Collection des classiques latins de Lemaire, avec des
notes
de Barbier, dont l’une239 indiquait que le manusc
feuilleté au Vatican le manuscrit de Daniel. Schwabe, ayant, par les
notes
de Barbier, appris qu’on savait enfin où était ce
opiarum libri V. Oder, etc. Magdebourg. In-18. Édition accompagnée de
notes
allemandes. 1826. Phædri Aug. Lib. fabul
, parallelisque fabulis J. de La Fontaine. Nouvelle édition suivie de
notes
grammaticales, etc. Par une société de professeur
bri V. Nouvelle édition d’après les meilleurs textes avec sommaire et
notes
en français par M. Vérien. Paris, Dezobry, E. Mad
tæ. Mit Anmerkgn. von J. R. Koene, s. C. Nepos. Fedro. Le Favole con
note
italiane precedute da un discorso sulla favola e
stes et le texte des fables anciennes de Phèdre enrichi de nombreuses
notes
. 1842. J. Phædri, Aug. lib., fabulæ vete
gelo Maï et les fables correspondantes de La Fontaine, avec Notice et
notes
en français par M. F. Dübner. Paris, chez F. Dido
bularum libri V cum fabellis novis. Nouvelle édition publiée avec des
notes
en français et suivie des imitations de La Fontai
861 et 1871). In-8º v. viii-87 s. Favole scette di Fedro corredate di
note
per cura del Prof. A. Lace approvate dal consigli
enant le texte latin de Phèdre divisé en 3 livres et suivi de longues
notes
en langue italienne. 1854. Phædri August
ibri V. Nouvelle édition d’après les meilleurs textes, renfermant des
notes
historiques, grammaticales et littéraires en fran
erti Bibliopolæ. In-12. Le Favole di Fedro corredate di Spiegazioni e
note
italiane per cura di Carlo Gatti. Firenze, Felice
1. Phædri Aug. lib. fabularum libri V. Nouvelle édition avec des
notes
, un dictionnaire et les fables de La Fontaine en
hædri Aug. lib. fabularum libri V. Nouvelle édition, publiée avec des
notes
en français et un choix de fables du P. Desbillon
Augusti liberti fabularum libri V. Nouvelle édition, publiée avec des
notes
en français et des fables choisies de Desbillons,
libri V. Édition classique, à l’usage des élèves de sixième avec des
notes
grammaticales, prosodiques, critiques et historiq
précédée d’une notice sur Phèdre, accompagnée d’un commentaire et de
notes
, suivie des imitations de La Fontaine, etc., et d
Fables de Phèdre, divisées en quatre livres égaux, enrichies de
notes
et traduites en français, conformément à l’éditio
iées d’après le manuscrit de Perotti ; avec le texte en regard et des
notes
. Paris, Louis Duprat-Duverger. In-8º de 24 feuill
les. 1816. Fables de Phèdre, traduction nouvelle avec des
notes
, par M. l’abbé Paul, ancien professeur d’éloquenc
d’un quart de feuille. Fables de Phèdre, traduction nouvelle avec des
notes
. Par M. l’abbé Adolphe Masson, professeur dans l’
ie de la langue française ; précédées du texte pur et accompagnées de
notes
explicatives, d’après les principes de MM. de Por
de Phèdre, traduites en français avec le texte latin en regard et des
notes
par M. D. Marie (1858, 1882, 1886). Paris, Hachet
l’autre correcte et précédée du texte latin avec des sommaires et des
notes
par une société de professeurs et de latinistes.
aragraphes et les fables elles-mêmes, dont chacune est suivie : 1º de
notes
; 2º de cinq traductions italiennes composées par
r prosa Toscana recate a riscontro del testo latino ed illustrate con
note
di varie maniere per Sebastiano M. Zappala, profe
1841. Le Favole di Fedro voltate in rime semi-giocose, con
note
istoriche da Giovanni Pasquale Professoro di Rett
du feuillet 195 où commencent les fables ésopiques, avait écrit cette
note
: Harum quæ sequuntur fabularum quædam sunt e Ph
ajoute M. Pertz, une espèce de collection d’extraits ou de recueil de
notes
où se mêle tout ce qui est passé par la tête de l
cru devoir m’aider de toutes, me servir en même temps de mes propres
notes
et de ces éléments réunis faire une analyse nouve
cto du premier feuillet, c’est-à-dire du feuillet clxxxvii, porte des
notes
relatives aux choses qui, arrivées en 1028, pouva
stitution du texte de Phèdre une importance capitale, attestée par la
note
de Paul Petau écrite en tête du recto du fol. cxc
pour l’histoire de l’art. En tête de la première page, à gauche de la
note
de P. Petau, le copiste, qui est certainement Adé
25 vers intitulé Est et non et notamment, au bas de la page 185, une
note
dans laquelle l’éditeur, donnant la nomenclature
, édité d’après un manuscrit de Vienne, et, au bas de la page 27, la
note
dans laquelle l’éditeur indique comment il est in
ençant par les mots Bis sena mensum , et, au bas de la même page, la
note
de l’éditeur qui expose que, dans le manuscrit Vo
commençant à la page 380 du même volume, au bas de laquelle on lit en
note
: « Primus ex P(arisino 12 117) saec. XI, fol. 13
imoges par O. Holder-Egger. Cette notice est suivie du texte même des
notes
marginales qui, dans le manuscrit, occupent les f
tre le contenu. Sachant que Gude l’avait étudié, je cherchai dans ses
notes
sur Phèdre ce qu’il avait dû en dire, et bientôt
n avait révélé l’existence, en avait cité quelques fragments dans ses
notes
sur la fable xiii du livre I de Phèdre, intitulée
ude qui n’en avait révélé l’existence que par deux citations dans ses
notes
sur Phèdre publiées après sa mort en 1698 par le
les yeux. Peut-être même l’avait-il rédigée avant la publication des
notes
de Gude sur Phèdre, c’est-à-dire avant 1697. Il n
la fameuse dédicace, il n’en avait pas moins eu soin de la publier en
note
à la page 65, et d’indiquer qu’elle était tirée d
dédicace à Tiberinus, et que Nilant l’avait publiée lui-même dans la
note
B de la page 65 de son édition322. La place même
dû comprendre que, si cet éminent critique l’avait reléguée dans une
note
, c’est qu’il ne l’avait pas considérée comme se r
lem. Ce titre occupe trois lignes et le point précis où, d’après mes
notes
, chacune d’elles finit, est celui qui comme tel e
à un nombre d’exemplaires relativement considérable. Si j’avais pris
note
de tous ceux que j’ai vus, j’en pourrais signaler
rites par Vincent de Beauvais que dans son Miroir doctrinal. Mais les
notes
dont il a, dans la même édition, pourvu le texte
Pour justifier ce nom, voici ce qu’il expliquait ensuite dans une des
notes
de son ouvrage : « J’aurois dû écrire Gauffredus
i avait été communiqué par son compatriote Haenel, il avait trouvé la
note
suivante écrite de la main même du copiste : « In
onensis, qui ipse compilavit metra. » Dressler avait conclu de cette
note
que l’auteur véritable était Ugobard de Sulmona.
9 pour livrer à la publicité six fables élégiaques imprimées dans les
notes
de sa première édition de Phèdre. Voici, en effet
haque fable est précédée d’un titre à l’encre rouge et accompagnée de
notes
interlinéaires d’une écriture microscopique et be
rs de celle qui concerne la Matrone d’Éphèse, P. Pithou a écrit cette
note
: Hæc Fabula sumpta est Petronio Arbitro et rela
t vel celavit vel titulum istum deleverit, anathema sit. Amen. Cette
note
établit bien que le manuscrit a appartenu à l’abb
encement du livre, sur la face interne de la couverture a inscrit une
note
ainsi conçue : « Ce qui a rapport à la musique a
elle qu’à la fin du xvie siècle, Rigault, en préparant ses premières
notes
sur les fables de Phèdre, remarqua, dans la libra
précède les feuillets numérotés, la cause en est indiquée dans cette
note
que j’ai déjà citée : « A mon entrée en la librai
a fable i : Tu gallo stolidum, tu, iaspide dona sophiæ Pulchra
notes
. Stolido nil sapit ista seges. 3º L’épimythion d
L’état de ses acquisitions, en janvier 1764, se montait, suivant une
note
de sa main, à la somme de 50,787 livres. À sa mor
, sont le Pater et l’Ave Maria paraphrasés. Viennent ensuite diverses
notes
d’une écriture plus moderne. La première est daté
e iehanne de borgomgne. En marge de ce dernier vers il a écrit cette
note
: « femme de Philipes le Long qui régnoit en 1316
exsoletis editionibus et codice ms. luci redditæ. Du reste, dans ses
notes
sur les fables en vers élégiaques, Névelet ne sig
oi, le chancelier d’État, le 31 octobre 1815, adressa à cet effet une
note
très pressante au cardinal Gonsalvi, secrétaire d
eurs, elle renferme les fables de Walther, mais pourvues seulement de
notes
marginales. Elles sont, au verso du feuillet G i
chiffrées. Les fables de Walther occupent les pages 487 à 530, et les
notes
qui les concernent, les pages 668 à 678. 1660
une suite non interrompue de vers rimant deux à deux. » Et, dans une
note
complétant sa description, M. Robert ajoute : « D
ne besogne plus utile, s’il s’était borné à publier, en y ajoutant en
note
les variantes de son manuscrit, les fables de Rom
crit français 25405 de la Bibliothèque nationale, et l’on y verra une
note
qui lui assigne la date de 1204. Cette date, il e
oyez ce qu’il a écrit au bas de la première page de ce manuscrit. Les
notes
marginales sont aussi de sa main. Ce manuscrit do
ond en parchemin. Sur le recto du feuillet en papier a été écrite une
note
qui assigne au manuscrit l’année 1204, date de la
Ysopes. Sur la première page, l’auteur de la seconde série a par la
note
suivante nommé l’auteur de la première et indiqué
caire, en 1862, a au-dessous exprimé une opinion différente dans deux
notes
en anglais, dont la première peut se traduire ain
e quelques écritures sur les feuillets 15 b à 17530. » Cette première
note
est paraphée par son auteur. Voici la traduction
it aisé de produire feraient d’ailleurs double emploi ; car, dans les
notes
placées au bas du texte, ils trouveront relevées
second volume de cet ouvrage, on les trouvera ajoutées, sous forme de
notes
, au texte du manuscrit du British Museum. § 3
vigæ, Sumtu F. Viewegii, MDCCCVI, 2 vol. in-8°. (Voyez t. II, p. 152,
note
24.) 3. Œuvres complètes d’Horace, de Juvénal,
etri Burmanni. Leidæ, apud Samuelem Luchtmans, 1727. Burmann, p. 114,
note
40, s’exprime ainsi : Male autem hæc capit Gallic
i David Hoogstratanus. Amstelædami, СӀƆ ӀƆ CCI, in-4º. (Voyez p. 129,
note
24.) 61. Phædri Augusti Liberti Fabularum Æsopi
urante Petro Burmanno. Amstelædami, CIƆ IƆ CXCVIII, in-8º. (Voyez les
notes
de Gude sur Phèdre, p. 324.) 62. Voyez, dans l’é
r Phèdre, p. 324.) 62. Voyez, dans l’édition de Burmann de 1698, les
notes
de Gude, p. 324. 63. Phædri Augusti Liberti Fab
s et modernes, et notamment, en 1807, une édition de Phèdre, avec les
notes
du Père Desbillons. 69. Jacques Sirmond, jésuite
arisiis, Ambrosius Firminus Didot, MDCCCXXX. (Voyez, à la préface, la
note
I de la p. 41.) 87. Voyez la note I à la page 42
MDCCCXXX. (Voyez, à la préface, la note I de la p. 41.) 87. Voyez la
note
I à la page 42 de la préface mise par M. Berger d
olaus Eligius Lemaire, MDCCCXXVI, 2 vol. in-8º. (Voyez tome I, p. 34,
note
3.) 92. Voyez, dans l’édition diplomatique du ma
canis, M.D.CCCXXXI, in-8º (Voyez p. 310 à 314.) 114. Tome II, p. 92,
note
2. 115. Journal des savants. 1884. Page 673, no
. Tome II, p. 92, note 2. 115. Journal des savants. 1884. Page 673,
note
1. 116. Phædri Augusti Liberti Fabularum Æsop.
ions de Lebel et de Conti, éditées avec une étude préliminaire et des
notes
par Louis Lacour, 1865, in-32. 121. Ce livre est
, complectens, etc., curante Angelo Maï. Romæ, 1831, in-8º. (Voyez la
note
de la page 308.) 130. Œuvres complètes d’Horace
hie, intitulée : Biografia di Guido Monaco, d’Arezzo, inventore delle
note
musicale, a été réimprimée à Naples, en 1868, sou
ædami, apud Henricum Wetstenium, CIƆ.IƆ.CXCVIII, in-8º. (Voyez p. 54,
note
1.) 144. Phædri Augusti Liberti Fabularum Æsopi
taliens par M. Petronj et en prose française par M. Bagioli, avec les
notes
latines de l’édition originale, et précédées d’un
italiens par M. Petronj et en prose française par M. Bagioli avec les
notes
latines de l’édition originale et précédées d’une
195. Voyez dans les éditions in-8º du Phèdre de Burmann la première
note
sur la fable xvii du livre III. 196. Phædri Aug
elædami, ex typographia Francisci Halmæ. CIƆ IƆ CCI, in-4º. (Voyez la
note
préliminaire sur la fable xvii du livre III.) 19
. À Rotterdam, chez Reinier Leers, MDCXCVII. (Voyez, au mot Ésope, la
note
M, p. 1091.) 212. « Num igitur Phædrus Senecæ i
nt. Hambourg, 1697, in-8º (Au chap. iii du livre II voyez la deuxième
note
.) 213. « Seneca fabellas et apologos Æsopios op
èdre en tête des fables, p. 705, 1re col.) 239. Voyez tome I, p. 34,
note
3. 240. Phædri Aug. Liberti Fabularum Æsopiarum
II. Lipsiæ, in ædibus B. G. Teubneri, 1870. (Voyez nº 761.) 292. Ces
notes
ont étc publiées par M. O. Holder-Egger dans Neue
Frederico Nilant. Lugd. Batav., 1709. in-12. (Voyez la préface et la
note
b de la page 65.) 304. Phædri Aug. lib. fabular
. 316. Voyez, dans le nº du Journal des savants de décembre 1884, la
note
2 de la page 678. 317. Voyez, dans son édition d
Fables inédites, etc. Paris, E. Cabin, 1825. (Voyez t. I, p. xciij,
note
1.) 418. Fables inédites, etc. Paris, E. Cabin,
Fables inédites, etc. Paris, E. Cabin, 1825. (Voyez t. I, p. lxxxix,
note
1, et p. ccxxiv.) 419. Venerabilis Hildeberti…
bles inédites, etc…, Paris, 1825. 2 vol. in-8º. (Voyez t. I, p. clxv,
note
1.) 434. Fables inédites, etc. Paris, 1825. 2 v
sæculi XVII initium floruerunt. Londres, 1748, in-fol. (Voy. p. 540,
note
D.) 483. Voyez la première édition des Fabuliste
8º (Voy. t. I, p. clxx.) 487. Fables inédites, etc. (Voyez p. clxx,
note
3.) 488. Voyez t. I, p. 408. 489. Voyez p. 158
Janvier 1885, p. 41. 508. Journal des savants. Janvier 1885, p. 41,
note
2. 509. Journal des savants. — Janvier 1885, p.
.) 514. Poésies de Marie de France. Paris, 1820. (Voyez t. I, p. 1,
note
1, et t. II, p. 401, note 3.) 515. Voyez la trad
de France. Paris, 1820. (Voyez t. I, p. 1, note 1, et t. II, p. 401,
note
3.) 515. Voyez la traduction anglaise de sa diss
ance, t. II, p. xv. 529. Poésies de Marie de France, t. II, p. xvi,
note
2. 530. « The whole is of the thirteenth centur