és l’ombre Tant de fous, qu’on n’en sçait pas La pluspart du temps le
nombre
. Au Chien dont parle Esope il faut les renvoyer.
ucoup plus nombreuses, lui commanda d’en faire disparaître un certain
nombre
en les métamorphosant en hommes. Prométhée exécut
êmes ne pourriez pas me porter. » Il en va ainsi dans les armées : le
nombre
, le plus souvent, n’est rien, si les chefs n’exce
ns les temps anciens, le mensonge ne se rencontrait que chez un petit
nombre
d’hommes ; maintenant il est chez tous, quoi qu’o
que fretin, Fut pris par un Pescheur au bord d’une riviere. Tout fait
nombre
, dit l’homme en voyant son butin ; Voilà commence
l’onagre de la vitesse de ses pieds. Quand ils eurent pris un certain
nombre
de pièces, le lion partagea et fit trois parts qu
sse aux sauterelles devant le rempart. Après en avoir pris un certain
nombre
, il vit un scorpion ; il le prit pour une sautere
semble peu d’affaire. C’est par cette raison qu’égayant leur esprit,
Nombre
de gens fameux en ce genre ont écrit. Tous ont fu
dit de même qu’il ne le recevrait pas, s’il ne lui donnait un certain
nombre
de ses propres années ; le bœuf en donna une part
s, à cause qu’il me semble fort difficile de les exprimer, veu que le
nombre
n’en est pas moins grand que des conditions, et d
ages des hommes de lettres. En voicy un qui pourroit bien estre de ce
nombre
, et s’exempter de l’empire des années, combien qu
usciter des accusateurs aux gens de bien, afin de diminuer en cela le
nombre
de leurs ennemis, et s’enrichir de la despoüille
s’affoiblit souvent par les moindres Ennemis, quand ils s’unissent en
nombre
. Y a-t’il rien moins à craindre qu’une Chenille,
s ne laissent pas d’estre plus examinez que les autres, pour le grand
nombre
de gents qu’ils obligent à cela, l’exercice desqu
ent vray, que je dédaignerois d’en alleguer des raisons, veu le grand
nombre
d’exemples que nous en avons. Ne voyons-nous pas
, sans le perdre de vue ou sans s’inspirer de lui, s’étaient en grand
nombre
, au moyen âge, exercés dans la même spécialité li
avais, en leur donnant asile, éprouvé une hésitation justifiée par le
nombre
restreint de celles dont les sujets avaient été i
on nom à une montagne de Macédoine, étant venu à Thespies, établit le
nombre
des neuf Muses et imposa à toutes les neuf noms q
ètement battus. Ils ont, sans l’affirmer, supposé que Phèdre était au
nombre
des prisonniers, et que c’était ainsi qu’il était
que les couvents, qui, dans les temps d’ignorance, ont sauvé un grand
nombre
de leurs œuvres, en ont aussi détruit beaucoup. L
iter, et qui en distribua des Exemplaires à leurs amis communs. De ce
nombre
étoit le P. Sirmond : il étoit alors à Rome, où i
hommes de lettres. Elle n’a été tirée qu’à deux cents exemplaires. Ce
nombre
devra paraître insuffisant et rendre nécessaire u
l est vrai que les œuvres de pure érudition n’intéressent qu’un petit
nombre
de personnes et que, pour les entreprendre, il fa
était à peu près identique à celui de Pithou et qui contenait le même
nombre
de fables dans le même ordre, se terminait par ce
t de Reims ne contenaient plus que cinq fables. Il en résulte dans le
nombre
des fables de chaque livre une disproportion fort
ant Orelli l’a fait remarquer, il avait omis d’en signaler un certain
nombre
, soit qu’elles lui eussent échappé, soit qu’il n’
ait laisser le moindre doute. Au premier abord, lorsqu’on aperçoit le
nombre
considérable des variantes relevées par Dom Vince
tirer cette conclusion seraient dupes d’un mirage trompeur. Le grand
nombre
des variantes ne vient que de ce que la veuve Bro
l’attention qu’elles exigent. Voyons d’abord les erreurs relatives au
nombre
même des fables. Depuis la publication de l’éditi
on de ses fables. Après avoir examiné les graves erreurs relatives au
nombre
des fables, il me reste à relever, au sujet des p
péciaux. Ce n’est sans doute qu’un court fragment. Mais le très petit
nombre
des manuscrits de Phèdre, contenant son vrai text
nouvelle nomenclature des ouvrages de Perotti, dont il avait élevé le
nombre
de vingt-trois à vingt-six, et dont le vingt-sixi
he l’épître en prose que je viens d’indiquer, on arrive toujours à un
nombre
total de cent cinquante-sept poésies. Elles sont
donner M. Pithou, il ne resta aucun doute dans les esprits. Le petit
nombre
d’expressions que trouve à y reprendre aujourd’hu
us, et, comme l’exprime etiam, comme le ferait déjà supposer le petit
nombre
de fables qui leur sont communes, Phèdre s’était
toutes les éditions et toutes les traductions de ses fables. Mais le
nombre
en est infini. De plus, Schwabe dans sa seconde é
rit par une première main une seconde a ajouté en marge un très grand
nombre
de gloses. Fol. xiii b. — Gloses qui se rapporten
capitulum monstrorum. Fol. 109 b à 110 a. — Table des chapitres au
nombre
de 57, qui, au bas du fol. 110 a, est suivie de c
spondent à aucune de celles de Phèdre anciennes ou nouvelles, sont au
nombre
de 32. Ce sont celles qui, dans le livre I, porte
ède il ressort que la collection du Romulus primitif possède un grand
nombre
de fables se rapportant soit à celles de Phèdre q
dre qui ont survécu, soit à celles qui ont péri. Mais l’importance du
nombre
n’est pas la seule que présente cette collection
d Rufum, dont on pourrait, dans ce cas, très exactement déterminer le
nombre
et les sujets. Il est évident que la collection
n effet quelques fables de Phèdre ont été découvertes, et aussitôt le
nombre
de celles de Romulus en apparence étrangères au f
et du texte du Romulus primitif m’ayant déjà permis de déterminer le
nombre
et les sujets des fables de l’Æsopus ad Rufum, pu
is, à savoir que l’Æsopus ad Rufum et les Fabulæ antiquæ, ni par leur
nombre
respectif, ni par les leçons de leurs textes, ne
encement du moyen âge un corps de fables ésopiques, tiré d’un certain
nombre
d’auteurs latins, désigné sous la dénomination d’
identiques : ils sont divisés en quatre livres semblables tant par le
nombre
que par l’ordre des fables. Les trois manuscrits,
nuscrits Dijonais et Burnéien, qu’il n’y a à relever qu’un très petit
nombre
de variantes qui peuvent être mises au compte du
ce qui donne un total de 83 fables, qui non seulement sont égales en
nombre
à celles des manuscrits du premier groupe, mais e
imprimés en caractères gothiques de grosse dimension, de sorte que le
nombre
des lignes de chaque page descend jusqu’à trente
à chacun vingt fables, il en aura pour la symétrie attribué un pareil
nombre
au quatrième. Ce dernier livre est terminé par un
uée à Sorg. D’ailleurs, par le format, les caractères gothiques et le
nombre
des feuillets, elle est entièrement semblable à l
es se composant de vingt fables, il s’ensuit que les gravures sont au
nombre
de 80, non comprise celle qui orne la dédicace de
qui illustrent la vie d’Ésope sont dans l’édition d’Augsbourg en même
nombre
que dans l’édition originale. Quant au dessin, vo
ule esopie antique extrauagantes dicte sequuntur. Ces fables sont au
nombre
de 17, ornées de 17 gravures intercalées dans le
le Auiani quarum registrum subiungitur. Les fables d’Avianus, qui au
nombre
de vingt-sept occupent les feuillets suivants et
ui ont servi à l’impression des deux précédents. Il renferme un grand
nombre
de gravures sur bois appropriées aux fables. Il s
emière une copie encore plus servile. Non seulement elles ont le même
nombre
de feuillets ; mais encore elles sont identiques
e même nombre de feuillets ; mais encore elles sont identiques par le
nombre
des cahiers, la division de ces cahiers en deux s
l’édition originale, on voit dans chaque édition nouvelle diminuer le
nombre
de ces gravures. Fol. 21 a. — Table du livre I de
quitur. Fol. 100 b à 114 b. — Fabule collecte. Ces fables sont au
nombre
de 23. Dans les titres courants des feuillets qu’
’édition primitive, soit sur celles de Sorg, qui seules renferment un
nombre
de gravures aussi grand. Fol. 23 a (d. i a). — Il
sans titre les fabulæ collectas des éditions précédentes, réduites au
nombre
de dix-neuf par l’élimination des quatre facéties
r chacune des fabulæ collectæ de distiques élégiaques généralement au
nombre
de deux et quelquefois plus nombreux. La deuxièm
iniunt. Il est probable que l’édition de Brant avait été tirée à un
nombre
d’exemplaires relativement considérable. Si j’ava
Avianus. Fol. 90 a à 108 b. — Fables appelées collectæ. Elles sont au
nombre
de vingt-quatre. À la fin on lit : Hie nach folg
es fables du Poge florentin. Les fables d’Alphonse sont seulement au
nombre
de treize. Fol. s. iii a. — La première est de l
ité de la femme pour decepuoir son mary. Les fables du Pogge sont au
nombre
de sept. La dernière est intitulée : Du cocq et
se imprimée en caractères d’une forme grossière, à longues lignes, au
nombre
de 41 dans les pages qui sont entières, avec des
net349, un volume de 77 ff. non chiffrés, imprimé à longues lignes au
nombre
de 39 sur les pages pleines, avec des signatures
du dernier feuillet, qui représente la figure d’Ésope, porte bien le
nombre
xv, dans lequel Panzer a cru voir la date de 1515
15352 ; mais Brunet plus judicieux affirme qu’il indique seulement le
nombre
des cahiers, et il assigne à l’édition la date ap
ier qui ne comprend que six feuillets, sont chacun formés de huit, le
nombre
total des feuillets est de 142. Ils sont chiffrés
120 a. — Fables d’Avianus. Fol. 120 b à 133 b. — Fables d’Alphonse au
nombre
de treize. Fol. 134 a et suivants. — Facéties du
igné de a à r et chiffré par feuillet. Les feuillets chiffrés sont au
nombre
de 134, et sont suivis de cinq autres non chiffré
nsie. Fol. 89 b à 99 a. — Fables dites fabulæ collectæ, réduites au
nombre
de 14, ornées de 14 gravures et terminées par cet
6 b (K 4 vº). — Texte espagnol des Fabulæ collectæ, qui, seulement au
nombre
de 22, sont arrêtées au bas de la dernière page p
47 ne tarda pas à être réimprimée dans le même format et avec le même
nombre
de feuillets pourvus de signatures, qui vont de a
illets pourvus de signatures, qui vont de a à i. Les cahiers étant au
nombre
de 9 et se composant chacun de 8 feuillets, il s’
nombre de 9 et se composant chacun de 8 feuillets, il s’ensuit que le
nombre
des feuillets est de 72. Cette réimpression est o
s aux lettres initiales. Celles qui illustrent la vie d’Ésope sont au
nombre
de 29. Fol. 1 a (a 1 rº). — Frontispice dans l’en
si dire, qu’une réimpression des deux précédentes : même format, même
nombre
de feuillets chiffrés, mêmes gravures au recto du
précédées de sa dédicace ni divisées en quatre livres. Elles sont au
nombre
de 80. Page 187. A qui se acaban las Fabulas de
ieno. Page 308. Las | Fabulas | collectas | de muchos autores. Le
nombre
des fables est absolument identique à celui de l’
de 1657 forme un volume in-16. de 176 feuillets, non compris ceux, au
nombre
de 8, consacrés à la table. En voici le frontispi
m’arrête qu’à ce qui touche les fables de Romulus. Elles figurent au
nombre
de 29 dans le livre IV du Miroir historial, où on
de Beauvais dut avoir une grande vogue au moyen âge à en juger par le
nombre
considérable de manuscrits qui en est resté dans
deuxième colonne du feuillet 107 verso. Les fables sont seulement au
nombre
de 27. Le copiste a omis les deux fables qui comm
u folio 38 et se terminent au bas du recto du folio 41. Elles sont au
nombre
de 29. Elles sont précédées seulement de la parti
r sont, suivant un numérotage à l’encre rouge en chiffres romains, au
nombre
de 152, et dont l’écriture est celle d’une main f
à z 4 et de aa 1 à rr 5, ne seraient, d’après leur numérotage, qu’au
nombre
de 311 ; mais c’est une erreur ; car, si l’on se
en comprend que 6. D’après leur numérotage, les feuillets seraient au
nombre
de 353 ; mais ce numérotage doit être inexact ; c
1 à VN 4. Les cahiers sont tous de 8 feuillets. Les feuillets sont au
nombre
de 304 ; c’est par erreur que le dernier feuillet
ncent au fol. 113 verso et finissent au fol. 117 recto. Elles sont au
nombre
de 45. Dans le prologue d’ailleurs très amoindri,
ule Ysopi , mais ne portent pas de titres particuliers. Elles sont au
nombre
de 95 et peuvent se diviser en deux groupes compr
illustre critique s’exprimait en ces termes : « On pourrait aussi, au
nombre
de ces poètes, compter le fameux Romulus, qui adr
s manuscrits philologiques de la bibliothèque impériale de Vienne, au
nombre
desquels un manuscrit des fables élégiaques était
que sur le nom de l’auteur des fables, c’est celui qui concerne leur
nombre
. Ce qui est bien admis, et ce qui ne pouvait être
e de la fin du xiiie siècle. Les fables ne portent pas de titre ; au
nombre
de soixante, elles occupent la première partie du
commencent au recto du fol. 28 vers le bas de la page. Elles sont au
nombre
de 61, réparties sous 62 numéros. La dernière est
e ; mais elles sont plus qu’au complet, c’est-à-dire qu’elles sont au
nombre
de 62. Elles commencent au haut du recto du deuxi
du feuillet 40 et se terminent au verso du feuillet 66. Elles sont au
nombre
de 60, réparties par la raison connue sous 61 num
x Livres Théologiques et Ecclésiastiques ; on y trouve un assez grand
nombre
d’anciennes éditions. Elle contient aussi plusieu
to du feuillet 27 et finissent au recto du feuillet 35. Elles sont au
nombre
de 62, et comprennent, outre les soixante fables
que le prologue, sont allongées à l’aide de quelques vers ajoutés, au
nombre
de quatre en général, à l’affabulation primitive.
ce détail ne justifie pas la dernière hypothèse de M. Robert ; car ce
nombre
n’est pas une date ; c’est une ancienne cote. En
cette comparaison, que nous avons ajouté quelques gravures, en petit
nombre
, dont les sujets ont été fournis par des livres e
fférences. D’abord les fables du manuscrit 1595 offrent un très grand
nombre
de variantes. Ainsi, pour ne citer qu’un exemple
l’autre on lit : Un coq sur un fumier estoit. Le classement et le
nombre
des fables ne sont pas non plus identiques. L’ord
e Citoyen et le Soldat. Enfin une différence notable est relative au
nombre
des vers. Le prologue du manuscrit 1595 n’a pas l
vers, qui, dans celui du manuscrit 1594, précédent les 4 derniers. Le
nombre
des vers de chaque épimythion n’est pas non plus
. Toutes les fables portent des titres à l’encre rouge. Elles sont au
nombre
de 126 et se réfèrent à trois séries de fables la
suivies d’un épilogue, qui n’a également que 18 vers. Comme enfin le
nombre
des fables est le même que dans le ms. 19123, et
feuillet 105 b et se terminent au feuillet 123 b. Elles ne sont qu’au
nombre
de soixante. Elles sont accompagnées de deux séri
les de vélin sont ornées de lettres capitales coloriées et d’un grand
nombre
de miniatures oblongues très curieuses par leurs
nt les feuillets en papier sont non, comme l’indique le catalogue, au
nombre
de 54, mais bien au nombre de 57, et dont l’écrit
sont non, comme l’indique le catalogue, au nombre de 54, mais bien au
nombre
de 57, et dont l’écriture est de la fin du xve s
encre noire et soulignés à l’encre rouge. Quoique ne dépassant pas le
nombre
de soixante, elles sont pourvues de soixante-deux
Les fables de Walther, désignées par les mots Esopus metrice, sont au
nombre
de 60. Elles sont suivies d’une soixante et unièm
r est en parchemin et les autres en papier. Les fables de Walther, au
nombre
de soixante seulement, y remplissent les feuillet
a et que risum multiplicant, (et) reproborum corrigantur vitia. » Le
nombre
des fables est de soixante ; elles sont accompagn
29 feuillets. Parmi les ouvrages variés qu’il contient et qui sont au
nombre
de douze se trouvent les fables de Walther qui co
. 2745 forme un volume du petit format in-fol., dont les feuillets au
nombre
de 160 sont en parchemin, et dont l’écriture est
es fables élégiaques, seul ouvrage contenu dans le manuscrit, sont au
nombre
de 63 ; elles comprennent les 60 fables primitive
de miniature qui ne le cède en rien au précédent. Les fables sont au
nombre
de 61, composées de 60 ordinaires, et d’une soixa
. Il y en a soixante-deux ; comme toujours lorsqu’elles atteignent ce
nombre
, les deux dernières sont celles intitulées De Cap
scrit de la Bibliothèque nationale, il a nécessairement un plus grand
nombre
de feuillets. Ces feuillets en parchemin ont dû,
de feuillets. Ces feuillets en parchemin ont dû, à l’origine, être au
nombre
de 134 ; mais, le premier ayant disparu, il n’en
llet 116 b du volume et se terminent au feuillet 136 b. Elles sont au
nombre
de soixante-deux, composées des soixante authenti
elle miniature que le temps a malheureusement effacée. Les fables, au
nombre
de 62, se terminent par ces mots : Explicit libe
llets 1 à 19. Ces fables, dont l’écriture est du xve siècle, sont au
nombre
de 61, et comprennent les 60 fables ordinaires et
lther qu’il contient occupent les feuillets 192 b à 203 b, et sont au
nombre
de 62, comprenant les 60 fables primitives et les
rte aussi la cote 13835, est un grand in-fol., dont les feuillets, au
nombre
de 62, sont en parchemin et dont l’écriture à tro
ther qui s’étendent du feuillet 12 b au feuillet 22 b. Elles sont au
nombre
de 60. En marge du prologue en vers se trouve une
es de Walther qui occupent les feuillets 89 a à 138 a. Ces fables, au
nombre
de soixante, sont accompagnées d’un commentaire,
ateur. Le manuscrit de Bruxelles se compose de 134 feuillets. Dans ce
nombre
sont compris deux feuillets blancs, qui le termin
88 de ce volume. Les fables, accompagnées de quelques gloses, sont au
nombre
de soixante-deux comprenant les 60 ordinaires et
manuscrit forme un volume in-4º dont les feuillets en papier sont au
nombre
de 120 et portent une écriture du xve siècle. Il
othèque royale de Bruxelles, il porte le nº 534. Il contient un grand
nombre
d’œuvres distinctes, dues à divers copistes. Les
ontenait les fables de Walther fut-il, à la fin du siècle dernier, au
nombre
de ceux qui, à la suite du traité de Tolentino, f
gloses marginales ajoutées par une main moins ancienne. Elles sont au
nombre
de soixante-deux, comprenant les soixante ordinai
e nº LXXX. C’est un volume in-4º, dont les feuillets en parchemin, au
nombre
de 91, sont remplis par une belle écriture italie
recouvert de parchemin, dont les feuillets aussi en parchemin sont au
nombre
de 99 et dont l’écriture italienne à longues lign
it liber Esopii (sic). Grâce aux deux complémentaires, elles sont au
nombre
de 62. Les 49 premières sont pourvues de titres p
nuscrit 630. Le manuscrit 630 est un in-4º, dont les feuillets, au
nombre
de 112, sont en parchemin et dont l’écriture, due
au feuillet 25 a, et, accrues des deux complémentaires, s’élèvent au
nombre
de 62. Elles ne portent aucun titre général, mais
sont munies chacune de son titre écrit à l’encre rouge. Elles sont au
nombre
de soixante-trois et comprennent les soixante aut
pent les marges largement ménagées pour elles. Ces miniatures sont au
nombre
de 146. Les fables sont en outre précédées d’une
cription : Explicit liber Esopi. Deo gratias. Amen. Les fables, au
nombre
de soixante-trois, comprennent les soixante ordin
spéciaux à chacune d’elles, également écrits à l’encre rouge, sont au
nombre
de soixante-deux. Les deux dernières sont intitul
ve siècle, occupent les vingt-deux premiers feuillets. Elles sont au
nombre
de soixante et une et se composent des soixante a
le volume porte en souscription la date de 1460. Les fables sont, au
nombre
de 62. Elles comprennent les deux complémentaires
s des fables de Walther. § 1. — Éditions du XVe siècle. Si le
nombre
considérable des manuscrits de Walther atteste la
er atteste la faveur inouïe dont ses fables ont joui au moyen âge, le
nombre
aussi grand des éditions qui en furent publiées à
um traducta Incipit. Puis viennent les fables élégiaques qui sont au
nombre
de soixante. La dernière est suivie de cette ment
n titre ainsi conçu : Incipit liber fabularum Esopi. Elles sont au
nombre
de soixante seulement et se terminent au recto du
des éditions semblables antérieurement publiées, ne dépassent pas le
nombre
de soixante et qui sont grossies du même commenta
du feuillet est blanc. Cette édition avait sans doute été tirée à un
nombre
d’exemplaires relativement considérable ; car ils
ers se composent de huit feuillets et le vingt-septième de quatre, le
nombre
total des feuillets est de 212. Les fables de Wal
, le nombre total des feuillets est de 212. Les fables de Walther, au
nombre
de soixante, commencent au feuillet v 7 a, c’est-
Fabularum Esopi. || Floreti. Tel est le titre complexe d’ouvrages, au
nombre
desquels sont les fables de Walther. Au-dessous d
du dernier qui en comprend dix. Il s’ensuit que les feuillets sont au
nombre
de 186. La souscription finale est ainsi conçue :
siques. Chacune des fables est illustrée d’une gravure sur bois. Leur
nombre
total est de 65. Aux soixante authentiques placée
sept cahiers de huit feuillets et par conséquent de feuillets dont le
nombre
total est de 136. Cette édition, quoique d’un aut
is. La même faveur n’a pas été faite à la préface. Les fables sont au
nombre
de soixante-six, composées des soixante ordinaire
se composent de huit feuillets et le sixième de six ; ce qui donne un
nombre
total de quarante-six feuillets. Il existe un exe
italienne et illustrées de gravures sur bois très grossières, sont au
nombre
de soixante-cinq comprenant, avec les soixante au
ravure sur bois qui encadre le prologue. Puis viennent les fables, au
nombre
de soixante, qui, comme lorsqu’elles accompagnent
nairement réservé aux grandes lettres initiales. Les fables, étant au
nombre
de soixante-trois, se composent des soixante auth
un, soit en tout de quarante feuillets. Les fables de Walther sont au
nombre
de 66. Aux 60 authentiques placées sous 61 numéro
mpose de cinq cahiers ; chaque cahier comprenant huit feuillets, leur
nombre
total est de quarante. Les fables de Walther, aux
s d’une glose et ornées chacune d’une gravure sur bois. Elles sont au
nombre
de 66, comprenant les soixante de Walther et les
ace blanc destiné à les recevoir, c’est là qu’elles se trouvent. Leur
nombre
est de soixante-deux résultant de la traduction d
os volume in-4º de grand format, dont les feuillets en papier sont au
nombre
de 252, et dont l’écriture, due à une main italie
fable des Grenouilles demandant un roi, les fables sont seulement au
nombre
de 63. Celle qui porte le nº 64 est intitulée :
ssemblent beaucoup, les fables de cet Esopo volgare sont seulement au
nombre
de quarante-six. Manuscrit 200 du fonds Palati
ttura e trovò la pietra preziosa. Cap. Primo. Les chapitres sont au
nombre
de 63. La fable que renferme le dernier est celle
tées sous les titres De Capone et Ancipitre et De Lupo et Pastore. Le
nombre
des numéros s’élève à soixante-quatre, parce qu’i
t un roi, qui porte les nos 15 et 16, elles sont, sous 63 numéros, au
nombre
de soixante-deux seulement. La Bibliothèque Bodlé
. Les fables, précédées d’un préambule, commencent à la page 20. Leur
nombre
est de cinquante-trois seulement ; encore sont-el
double Sonetto en langue italienne. Les fables, sous 66 nos, sont au
nombre
de 64. La soixantième, qui porte le nº 62, n’est
ucharinum inscriptum contexta fœliciter incipit. Les fables sont au
nombre
de soixante-quatre. Chaque fable latine est accom
ée de 9 cahiers dont les feuillets, à raison de 8 par cahier, sont au
nombre
total de 72. Le titre placé en tête du recto du p
e dans les éditions antérieures du même imprimeur, les fables sont au
nombre
de soixante-quatre. Chaque fable latine est ornée
qui, étant composés de huit feuillets chacun, en donnent au volume un
nombre
total de soixante-douze. Cette édition, contenant
fesseur assis dans sa chaire et entouré de ses élèves. Les fables, au
nombre
de 64, sont suivies de cette souscription : Impr
s’appliquant à un cahier de seize feuillets, et les cahiers étant au
nombre
de cinq, il s’ensuit que le volume se compose de
ica. Les fables, quoique réparties sous 66 numéros, sont seulement au
nombre
de 64, par le motif qu’il a été attribué deux nos
éiens. Signés de a à y, les cahiers dont le volume se compose sont au
nombre
de 22 formés de 8 feuillets, sauf le cahier f, qu
e 4 et les cahiers u et x qui n’en comprennent que 6, de sorte que le
nombre
total des feuillets est de 168. Voici maintenant
dont celle de 1493 n’est en somme que la réimpression, elles sont au
nombre
de 64 sous 66 numéros. Le distique Fine fruor, et
scentiæ , qui fait connaître le nom du traducteur. Les fables sont au
nombre
de soixante-trois. Leurs distiques sont accompagn
e Exeter et qu’il y écrivit la plus grande partie de ses ouvrages. Le
nombre
en est extraordinaire ; Bale, qui en signale cinq
Avianus, et cette erreur, qui s’explique d’ailleurs par l’identité du
nombre
des fables et du rythme des vers, subsisterait pe
ractères gothiques par une main du xive siècle. Il renferme un grand
nombre
d’opuscules, tels que fabliaux et romans, dont pl
ui li donra bufle. Les fables qui viennent ensuite sont seulement au
nombre
de quarante, écrites à la suite les unes des autr
pace qui les sépare, ni titre qui les distingue. Ce qui les réduit au
nombre
de quarante, c’est que le poète français a omis d
, si on le compare à celui du manuscrit 24432, on y trouve un certain
nombre
de variantes que M. Robert a d’ailleurs pris la p
it qui li donra la bufe. Quant aux fables elles-mêmes, elles sont au
nombre
de quarante, qui sont toutes les mêmes que celles
épilogue, dans lesquels le traducteur ne se nomme pas. Elles sont au
nombre
de quarante, et elles offrent cette particularité
qui, avec des sujets différents, donnent aux deux collections le même
nombre
de pièces. Deuxième partie. Romulus de V
ître. Tout d’abord je dois dire qu’elle est surtout importante par le
nombre
des fables dont elle se compose. En comprenant qu
on des textes, le faire aisément cesser. En effet on rencontre en bon
nombre
, dans le Romulus de Vienne, des expressions de Ph
occupent, ainsi qu’on l’a vu, que les feuillets 132 à 137, et sont au
nombre
de 80, suivies d’un double épilogue. La collectio
ussi loin du texte pur, ensuite parce que les moralités y sont en bon
nombre
accrues d’additions poétiques. Pour justifier cet
dante du dérivé du Romulus de Vienne. Les fables de ce dérivé sont au
nombre
de 60. Mais 56 seulement sont suivies des fables
compose des mêmes fables que le Romulus ordinaire. Semblables par le
nombre
et peu différentes par la rédaction et le classem
ables du Romulus ordinaire et de dire que leur classement, comme leur
nombre
, serait identique dans les deux collections, si c
déjà vu, par la liste que j’en ai dressée, que les fables qui sont au
nombre
de 82 ont été, probablement comme dans le Romulus
Nilant, au lieu des 45 fables précédemment éditées, on en trouvera un
nombre
plus élevé dont voici la nomenclature : Romulu
èce intitulée : La Statue d’Ésope. Mais provisoirement j’accepte le
nombre
de cinquante. Par cette liste on voit que les suj
ssez de celles du Romulus primitif pour n’avoir pas conservé en grand
nombre
les expressions de Phèdre. Pour qu’on puisse s’en
cription précédente. Les fables qui forment le second ouvrage sont au
nombre
de 51, si l’on y comprend la dernière pièce. Elle
elui d’Oxford. Il s’ensuit que celles de ce dernier manuscrit sont au
nombre
de 50 et dépassent de 5 celles du manuscrit de Le
mitation partielle du Romulus anglo-latin. § 3. — Détermination du
nombre
des fables. L’importance qu’au moyen âge o
ne qui manquait dans l’autre, il l’a ajoutée et est ainsi arrivé à un
nombre
total de 137 fables. Il est possible que ce nombr
ainsi arrivé à un nombre total de 137 fables. Il est possible que ce
nombre
soit le vrai ; mais je ne le crois pas. Le premie
t fait découvrir deux autres qui m’ont permis de fixer à cinquante le
nombre
des fables du Romulus de Nilant. L’un des deux ma
par Marie, a dû appartenir au Romulus anglo-latin, ce qui en élève le
nombre
total à 114. Reste à examiner la question de savo
e le nombre total à 114. Reste à examiner la question de savoir si le
nombre
de 114 ne devrait pas être réduit à 104. Sur les
parti le plus sage dans l’incertitude où je suis est de maintenir le
nombre
de 114 ; en conséquence, j’établis de la façon su
manuscrit Harléien 978 du British Museum. Mais, lorsqu’en comptant le
nombre
des fables que chacun d’eux renferme, on en trouv
d’eux renferme, on en trouve 104, on est dupe d’une illusion ; car ce
nombre
est uniquement dû à la division en deux fables de
autre qui en possède une égale quantité, il pourrait se faire que le
nombre
des fables dues à Marie fût réellement supérieur
ables. Il s’ensuit que les fables de Marie doivent être maintenues au
nombre
trouvé par son éditeur. Maintenant, si l’on compa
99 a. À la suite des fables de Marie, le manuscrit renferme un grand
nombre
d’œuvres poétiques de la même époque, et notammen
celui-ci : Amen, Amen, priies por moi. Les fables sont seulement au
nombre
de 94, c’est-à-dire qu’il en manque neuf. Ce sont
ut un de ceux employés par M. de Roquefort526, comprend un trop grand
nombre
d’œuvres pour que j’en donne ici la liste. Il con
il en a 104, tandis que, parmi les autres, les plus complets, sous un
nombre
égal de numéros, n’en possèdent en réalité que 10
du feuillet 24 b par cette souscription : Explicit de Ysopes. Leur
nombre
, à cause de la division en deux parties de la fab
e quarante-neuf fables. Il s’ensuit que les fables manquantes sont au
nombre
de 54 ; ce sont celles qui, dans mon tableau, por
opiste primitif à être orné de miniatures. Elles sont en apparence au
nombre
de 57, à cause de la division en deux de la fable
hemin et dont l’écriture est sur deux colonnes. Il contient un grand
nombre
de pièces, parmi lesquelles les fables de Marie o
ncre rouge. Comme le titre général l’indique, elles devraient être au
nombre
de 81 ; mais par suite de la disparition de plusi
. 3 ; 256 vº, col. 1, 256 vº, col. 2 ; 256 vº, col. 3. Les fables, au
nombre
de 102, ne portent pas de titres, sont pourvues d
s n’ont pas davantage de titres particuliers. Elles sont seulement au
nombre
de 61, de sorte qu’il en manque 42, qui sont cell
division en deux de la fable du Prêtre et du Loup, paraissent être au
nombre
de 104, débutent au haut du feuillet 40 a par ce
l formulé en latin. Elles ne sont pas au complet et sont seulement au
nombre
de 67, de sorte qu’il en manque 36, qui sont cell
l viennent immédiatement les quarante vers du prologue. Elles sont au
nombre
de 88, d’où il suit que, pour être complète, la c
e dans un volume in-fol. de très petit format, dont les feuillets, au
nombre
de 162, sont en parchemin et dont l’écriture à de
able, avait été ménagé un espace blanc non rempli. Les fables sont au
nombre
de 136, c’est-à-dire que la collection est complè
lume aussi grossièrement dessinées qu’enluminées. Elles ne sont qu’au
nombre
de 135, c’est-à-dire qu’il en manque une, celle q
tête de la première colonne du feuillet 37 b et qui sont seulement au
nombre
de 134. La collection, pour être complète, devrai
n sa possession qu’un manuscrit incomplet, il en a négligé un certain
nombre
et, pour celles qu’il a retenues, il ne s’est pas
t litteris eas commendari pulchrum indicauit et utile. Elles sont au
nombre
de 136, et chacune d’elles est pourvue d’un titre
a. Malheureusement, elles sont incomplètes et s’élèvent seulement au
nombre
de 56. Elles sont précédées de leur prologue ordi
sa traduction anglaise, ne comprenait que 114 fables, c’est-à-dire un
nombre
sensiblement inférieur à celui du Dérivé complet,
a traduction allemande de Gérard comprend 103 fables, c’est-à-dire un
nombre
de fables inférieur à celui de la collection lati
t perdu par le retranchement de trois cahiers à la fin un assez grand
nombre
de fables ; toutefois il est possible aussi que l
fables xxiii et cxvi ; ce qui en réalité réduit à cent vingt-trois le
nombre
des fables latines interprétées par les allemande
s trois vers rythmiques, dont la composition repose uniquement sur le
nombre
des syllabes se divisent chacun en deux hémistich
é semblable. On peut enfin ajouter que, dans les deux collections, le
nombre
des fables, dont le Romulus primitif a été pour l
artage pas ce sentiment. Sans doute les compilateurs, pour grossir le
nombre
de leurs fables, ont pu en emprunter les sujets à
c à bon droit, on le reconnaîtra, que j’ai mis le Romulus de Berne au
nombre
de ses dérivés. Section II. Manuscrit du Romul
gymnase de Hamm, en Westphalie. Érudit distingué, il a écrit un grand
nombre
d’ouvrages, dont le premier fut une étude sur Aus
almonées, c’est à dire, imitateurs du haut Jupiter. Mais il y en a un
nombre
presque infiny d’autres, qui se meslent de contre
de plusieurs choses discordantes, comme la celeste, où des Idées sans
nombre
sont joinctes à la Nature ; et celle de ce bas mo
ambitieux couvrirent la Mer de vaisseaux, et la terre d’un prodigieux
nombre
de Soldats, si pas un de ces Elements ne pût supp
e Vaisseaux tout l’Hellespont, et mit des Rivieres à sec par le grand
nombre
de ses Soldats. Pour cette mesme raison l’on pouv
er, s’il falloit abandonner leurs vices pour elle. L’exemple d’un bon
nombre
de personnes de condition leur apprend assez, qu’
iere qu’un peu apres, ayant fait venir de la ville d’Eliopolis un bon
nombre
d’hommes sçavants, fort versez aux questions Soph
es envenimées ? d’enfoncer des portes ? de mettre en embuscade un bon
nombre
de Satellites ? et bref, d’armer par maniere de d
les Religieux et les vrays Devots, l’on peut dire asseurément que le
nombre
en est fort petit, à comparaison de l’étrange mul
amne encore les mauvaises actions ; et qu’on ny mette la constance au
nombre
des choses heroïques). Prenons, dis-je, que l’hom
se puissance de discourir, qu’ils ont soustenu n’estre divisée par un
nombre
reiglé de propositions, ny certain en ses consequ
ter nostre sujection, veu les autres advantages qu’elles ont en grand
nombre
par dessus nous, comme la force et l’addresse du
r dans des cuirs de bœuf l’eau que l’on doit boire : on s’assemble au
nombre
de quinze ou vingt mille contre l’invasion des Ma