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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVII. Le Chien qui lâche sa proye pour l’ombre. » p. 133
és l’ombre Tant de fous, qu’on n’en sçait pas La pluspart du temps le nombre . Au Chien dont parle Esope il faut les renvoyer.
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 323 » p. 240
ucoup plus nombreuses, lui commanda d’en faire disparaître un certain nombre en les métamorphosant en hommes. Prométhée exécut
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 160 » p. 130
êmes ne pourriez pas me porter. » Il en va ainsi dans les armées : le nombre , le plus souvent, n’est rien, si les chefs n’exce
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 260 » p. 355
ns les temps anciens, le mensonge ne se rencontrait que chez un petit nombre d’hommes ; maintenant il est chez tous, quoi qu’o
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — III. Le petit Poisson et le Pescheur » p. 18
que fretin, Fut pris par un Pescheur au bord d’une riviere. Tout fait nombre , dit l’homme en voyant son butin ; Voilà commence
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 208 » pp. 339-339
l’onagre de la vitesse de ses pieds. Quand ils eurent pris un certain nombre de pièces, le lion partagea et fit trois parts qu
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 294 » pp. 199-199
sse aux sauterelles devant le rempart. Après en avoir pris un certain nombre , il vit un scorpion ; il le prit pour une sautere
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — II. Le Lion et le Chasseur. » p. 326
semble peu d’affaire. C’est par cette raison qu’égayant leur esprit, Nombre de gens fameux en ce genre ont écrit. Tous ont fu
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 140 » pp. 105-105
dit de même qu’il ne le recevrait pas, s’il ne lui donnait un certain nombre de ses propres années ; le bœuf en donna une part
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIII. Du Renard, et du Buisson. »
s, à cause qu’il me semble fort difficile de les exprimer, veu que le nombre n’en est pas moins grand que des conditions, et d
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
ages des hommes de lettres. En voicy un qui pourroit bien estre de ce nombre , et s’exempter de l’empire des années, combien qu
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE II. Du Loup, et de l’Aigneau. »
usciter des accusateurs aux gens de bien, afin de diminuer en cela le nombre de leurs ennemis, et s’enrichir de la despoüille
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
s’affoiblit souvent par les moindres Ennemis, quand ils s’unissent en nombre . Y a-t’il rien moins à craindre qu’une Chenille,
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
s ne laissent pas d’estre plus examinez que les autres, pour le grand nombre de gents qu’ils obligent à cela, l’exercice desqu
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
ent vray, que je dédaignerois d’en alleguer des raisons, veu le grand nombre d’exemples que nous en avons. Ne voyons-nous pas
16 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
, sans le perdre de vue ou sans s’inspirer de lui, s’étaient en grand nombre , au moyen âge, exercés dans la même spécialité li
avais, en leur donnant asile, éprouvé une hésitation justifiée par le nombre restreint de celles dont les sujets avaient été i
on nom à une montagne de Macédoine, étant venu à Thespies, établit le nombre des neuf Muses et imposa à toutes les neuf noms q
ètement battus. Ils ont, sans l’affirmer, supposé que Phèdre était au nombre des prisonniers, et que c’était ainsi qu’il était
que les couvents, qui, dans les temps d’ignorance, ont sauvé un grand nombre de leurs œuvres, en ont aussi détruit beaucoup. L
iter, et qui en distribua des Exemplaires à leurs amis communs. De ce nombre étoit le P. Sirmond : il étoit alors à Rome, où i
hommes de lettres. Elle n’a été tirée qu’à deux cents exemplaires. Ce nombre devra paraître insuffisant et rendre nécessaire u
l est vrai que les œuvres de pure érudition n’intéressent qu’un petit nombre de personnes et que, pour les entreprendre, il fa
était à peu près identique à celui de Pithou et qui contenait le même nombre de fables dans le même ordre, se terminait par ce
t de Reims ne contenaient plus que cinq fables. Il en résulte dans le nombre des fables de chaque livre une disproportion fort
ant Orelli l’a fait remarquer, il avait omis d’en signaler un certain nombre , soit qu’elles lui eussent échappé, soit qu’il n’
ait laisser le moindre doute. Au premier abord, lorsqu’on aperçoit le nombre considérable des variantes relevées par Dom Vince
tirer cette conclusion seraient dupes d’un mirage trompeur. Le grand nombre des variantes ne vient que de ce que la veuve Bro
l’attention qu’elles exigent. Voyons d’abord les erreurs relatives au nombre même des fables. Depuis la publication de l’éditi
on de ses fables. Après avoir examiné les graves erreurs relatives au nombre des fables, il me reste à relever, au sujet des p
péciaux. Ce n’est sans doute qu’un court fragment. Mais le très petit nombre des manuscrits de Phèdre, contenant son vrai text
nouvelle nomenclature des ouvrages de Perotti, dont il avait élevé le nombre de vingt-trois à vingt-six, et dont le vingt-sixi
he l’épître en prose que je viens d’indiquer, on arrive toujours à un nombre total de cent cinquante-sept poésies. Elles sont
donner M. Pithou, il ne resta aucun doute dans les esprits. Le petit nombre d’expressions que trouve à y reprendre aujourd’hu
us, et, comme l’exprime etiam, comme le ferait déjà supposer le petit nombre de fables qui leur sont communes, Phèdre s’était
toutes les éditions et toutes les traductions de ses fables. Mais le nombre en est infini. De plus, Schwabe dans sa seconde é
rit par une première main une seconde a ajouté en marge un très grand nombre de gloses. Fol. xiii b. — Gloses qui se rapporten
capitulum monstrorum. Fol. 109 b à 110 a. — Table des chapitres au nombre de 57, qui, au bas du fol. 110 a, est suivie de c
spondent à aucune de celles de Phèdre anciennes ou nouvelles, sont au nombre de 32. Ce sont celles qui, dans le livre I, porte
ède il ressort que la collection du Romulus primitif possède un grand nombre de fables se rapportant soit à celles de Phèdre q
dre qui ont survécu, soit à celles qui ont péri. Mais l’importance du nombre n’est pas la seule que présente cette collection 
d Rufum, dont on pourrait, dans ce cas, très exactement déterminer le nombre et les sujets. Il est évident que la collection
n effet quelques fables de Phèdre ont été découvertes, et aussitôt le nombre de celles de Romulus en apparence étrangères au f
et du texte du Romulus primitif m’ayant déjà permis de déterminer le nombre et les sujets des fables de l’Æsopus ad Rufum, pu
is, à savoir que l’Æsopus ad Rufum et les Fabulæ antiquæ, ni par leur nombre respectif, ni par les leçons de leurs textes, ne
encement du moyen âge un corps de fables ésopiques, tiré d’un certain nombre d’auteurs latins, désigné sous la dénomination d’
identiques : ils sont divisés en quatre livres semblables tant par le nombre que par l’ordre des fables. Les trois manuscrits,
nuscrits Dijonais et Burnéien, qu’il n’y a à relever qu’un très petit nombre de variantes qui peuvent être mises au compte du
ce qui donne un total de 83 fables, qui non seulement sont égales en nombre à celles des manuscrits du premier groupe, mais e
imprimés en caractères gothiques de grosse dimension, de sorte que le nombre des lignes de chaque page descend jusqu’à trente
à chacun vingt fables, il en aura pour la symétrie attribué un pareil nombre au quatrième. Ce dernier livre est terminé par un
uée à Sorg. D’ailleurs, par le format, les caractères gothiques et le nombre des feuillets, elle est entièrement semblable à l
es se composant de vingt fables, il s’ensuit que les gravures sont au nombre de 80, non comprise celle qui orne la dédicace de
qui illustrent la vie d’Ésope sont dans l’édition d’Augsbourg en même nombre que dans l’édition originale. Quant au dessin, vo
ule esopie antique extrauagantes dicte sequuntur. Ces fables sont au nombre de 17, ornées de 17 gravures intercalées dans le
le Auiani quarum registrum subiungitur. Les fables d’Avianus, qui au nombre de vingt-sept occupent les feuillets suivants et
ui ont servi à l’impression des deux précédents. Il renferme un grand nombre de gravures sur bois appropriées aux fables. Il s
emière une copie encore plus servile. Non seulement elles ont le même nombre de feuillets ; mais encore elles sont identiques
e même nombre de feuillets ; mais encore elles sont identiques par le nombre des cahiers, la division de ces cahiers en deux s
l’édition originale, on voit dans chaque édition nouvelle diminuer le nombre de ces gravures. Fol. 21 a. — Table du livre I de
quitur. Fol. 100 b à 114 b. —  Fabule collecte. Ces fables sont au nombre de 23. Dans les titres courants des feuillets qu’
’édition primitive, soit sur celles de Sorg, qui seules renferment un nombre de gravures aussi grand. Fol. 23 a (d. i a). — Il
sans titre les fabulæ collectas des éditions précédentes, réduites au nombre de dix-neuf par l’élimination des quatre facéties
r chacune des fabulæ collectæ de distiques élégiaques généralement au nombre de deux et quelquefois plus nombreux. La deuxièm
iniunt. Il est probable que l’édition de Brant avait été tirée à un nombre d’exemplaires relativement considérable. Si j’ava
Avianus. Fol. 90 a à 108 b. — Fables appelées collectæ. Elles sont au nombre de vingt-quatre. À la fin on lit : Hie nach folg
es fables du Poge florentin. Les fables d’Alphonse sont seulement au nombre de treize. Fol. s. iii a. —  La première est de l
ité de la femme pour decepuoir son mary. Les fables du Pogge sont au nombre de sept. La dernière est intitulée : Du cocq et
se imprimée en caractères d’une forme grossière, à longues lignes, au nombre de 41 dans les pages qui sont entières, avec des
net349, un volume de 77 ff. non chiffrés, imprimé à longues lignes au nombre de 39 sur les pages pleines, avec des signatures
du dernier feuillet, qui représente la figure d’Ésope, porte bien le nombre  xv, dans lequel Panzer a cru voir la date de 1515
15352 ; mais Brunet plus judicieux affirme qu’il indique seulement le nombre des cahiers, et il assigne à l’édition la date ap
ier qui ne comprend que six feuillets, sont chacun formés de huit, le nombre total des feuillets est de 142. Ils sont chiffrés
120 a. — Fables d’Avianus. Fol. 120 b à 133 b. — Fables d’Alphonse au nombre de treize. Fol. 134 a et suivants. — Facéties du
igné de a à r et chiffré par feuillet. Les feuillets chiffrés sont au nombre de 134, et sont suivis de cinq autres non chiffré
nsie. Fol. 89 b à 99 a. — Fables dites fabulæ collectæ, réduites au nombre de 14, ornées de 14 gravures et terminées par cet
6 b (K 4 vº). — Texte espagnol des Fabulæ collectæ, qui, seulement au nombre de 22, sont arrêtées au bas de la dernière page p
47 ne tarda pas à être réimprimée dans le même format et avec le même nombre de feuillets pourvus de signatures, qui vont de a
illets pourvus de signatures, qui vont de a à i. Les cahiers étant au nombre de 9 et se composant chacun de 8 feuillets, il s’
nombre de 9 et se composant chacun de 8 feuillets, il s’ensuit que le nombre des feuillets est de 72. Cette réimpression est o
s aux lettres initiales. Celles qui illustrent la vie d’Ésope sont au nombre de 29. Fol. 1 a (a 1 rº). — Frontispice dans l’en
si dire, qu’une réimpression des deux précédentes : même format, même nombre de feuillets chiffrés, mêmes gravures au recto du
précédées de sa dédicace ni divisées en quatre livres. Elles sont au nombre de 80. Page 187. A qui se acaban las Fabulas de
ieno. Page 308. Las | Fabulas | collectas | de muchos autores. Le nombre des fables est absolument identique à celui de l’
de 1657 forme un volume in-16. de 176 feuillets, non compris ceux, au nombre de 8, consacrés à la table. En voici le frontispi
m’arrête qu’à ce qui touche les fables de Romulus. Elles figurent au nombre de 29 dans le livre IV du Miroir historial, où on
de Beauvais dut avoir une grande vogue au moyen âge à en juger par le nombre considérable de manuscrits qui en est resté dans
deuxième colonne du feuillet 107 verso. Les fables sont seulement au nombre de 27. Le copiste a omis les deux fables qui comm
u folio 38 et se terminent au bas du recto du folio 41. Elles sont au nombre de 29. Elles sont précédées seulement de la parti
r sont, suivant un numérotage à l’encre rouge en chiffres romains, au nombre de 152, et dont l’écriture est celle d’une main f
à z 4 et de aa 1 à rr 5, ne seraient, d’après leur numérotage, qu’au nombre de 311 ; mais c’est une erreur ; car, si l’on se
en comprend que 6. D’après leur numérotage, les feuillets seraient au nombre de 353 ; mais ce numérotage doit être inexact ; c
1 à VN 4. Les cahiers sont tous de 8 feuillets. Les feuillets sont au nombre de 304 ; c’est par erreur que le dernier feuillet
ncent au fol. 113 verso et finissent au fol. 117 recto. Elles sont au nombre de 45. Dans le prologue d’ailleurs très amoindri,
ule Ysopi , mais ne portent pas de titres particuliers. Elles sont au nombre de 95 et peuvent se diviser en deux groupes compr
illustre critique s’exprimait en ces termes : « On pourrait aussi, au nombre de ces poètes, compter le fameux Romulus, qui adr
s manuscrits philologiques de la bibliothèque impériale de Vienne, au nombre desquels un manuscrit des fables élégiaques était
que sur le nom de l’auteur des fables, c’est celui qui concerne leur nombre . Ce qui est bien admis, et ce qui ne pouvait être
e de la fin du xiiie  siècle. Les fables ne portent pas de titre ; au nombre de soixante, elles occupent la première partie du
commencent au recto du fol. 28 vers le bas de la page. Elles sont au nombre de 61, réparties sous 62 numéros. La dernière est
e ; mais elles sont plus qu’au complet, c’est-à-dire qu’elles sont au nombre de 62. Elles commencent au haut du recto du deuxi
du feuillet 40 et se terminent au verso du feuillet 66. Elles sont au nombre de 60, réparties par la raison connue sous 61 num
x Livres Théologiques et Ecclésiastiques ; on y trouve un assez grand nombre d’anciennes éditions. Elle contient aussi plusieu
to du feuillet 27 et finissent au recto du feuillet 35. Elles sont au nombre de 62, et comprennent, outre les soixante fables
que le prologue, sont allongées à l’aide de quelques vers ajoutés, au nombre de quatre en général, à l’affabulation primitive.
ce détail ne justifie pas la dernière hypothèse de M. Robert ; car ce nombre n’est pas une date ; c’est une ancienne cote. En
cette comparaison, que nous avons ajouté quelques gravures, en petit nombre , dont les sujets ont été fournis par des livres e
fférences. D’abord les fables du manuscrit 1595 offrent un très grand nombre de variantes. Ainsi, pour ne citer qu’un exemple
l’autre on lit : Un coq sur un fumier estoit. Le classement et le nombre des fables ne sont pas non plus identiques. L’ord
e Citoyen et le Soldat. Enfin une différence notable est relative au nombre des vers. Le prologue du manuscrit 1595 n’a pas l
vers, qui, dans celui du manuscrit 1594, précédent les 4 derniers. Le nombre des vers de chaque épimythion n’est pas non plus
. Toutes les fables portent des titres à l’encre rouge. Elles sont au nombre de 126 et se réfèrent à trois séries de fables la
suivies d’un épilogue, qui n’a également que 18 vers. Comme enfin le nombre des fables est le même que dans le ms. 19123, et
feuillet 105 b et se terminent au feuillet 123 b. Elles ne sont qu’au nombre de soixante. Elles sont accompagnées de deux séri
les de vélin sont ornées de lettres capitales coloriées et d’un grand nombre de miniatures oblongues très curieuses par leurs
nt les feuillets en papier sont non, comme l’indique le catalogue, au nombre de 54, mais bien au nombre de 57, et dont l’écrit
sont non, comme l’indique le catalogue, au nombre de 54, mais bien au nombre de 57, et dont l’écriture est de la fin du xve  s
encre noire et soulignés à l’encre rouge. Quoique ne dépassant pas le nombre de soixante, elles sont pourvues de soixante-deux
Les fables de Walther, désignées par les mots Esopus metrice, sont au nombre de 60. Elles sont suivies d’une soixante et unièm
r est en parchemin et les autres en papier. Les fables de Walther, au nombre de soixante seulement, y remplissent les feuillet
a et que risum multiplicant, (et) reproborum corrigantur vitia. » Le nombre des fables est de soixante ; elles sont accompagn
29 feuillets. Parmi les ouvrages variés qu’il contient et qui sont au nombre de douze se trouvent les fables de Walther qui co
. 2745 forme un volume du petit format in-fol., dont les feuillets au nombre de 160 sont en parchemin, et dont l’écriture est
es fables élégiaques, seul ouvrage contenu dans le manuscrit, sont au nombre de 63 ; elles comprennent les 60 fables primitive
de miniature qui ne le cède en rien au précédent. Les fables sont au nombre de 61, composées de 60 ordinaires, et d’une soixa
. Il y en a soixante-deux ; comme toujours lorsqu’elles atteignent ce nombre , les deux dernières sont celles intitulées De Cap
scrit de la Bibliothèque nationale, il a nécessairement un plus grand nombre de feuillets. Ces feuillets en parchemin ont dû,
de feuillets. Ces feuillets en parchemin ont dû, à l’origine, être au nombre de 134 ; mais, le premier ayant disparu, il n’en
llet 116 b du volume et se terminent au feuillet 136 b. Elles sont au nombre de soixante-deux, composées des soixante authenti
elle miniature que le temps a malheureusement effacée. Les fables, au nombre de 62, se terminent par ces mots : Explicit libe
llets 1 à 19. Ces fables, dont l’écriture est du xve  siècle, sont au nombre de 61, et comprennent les 60 fables ordinaires et
lther qu’il contient occupent les feuillets 192 b à 203 b, et sont au nombre de 62, comprenant les 60 fables primitives et les
rte aussi la cote 13835, est un grand in-fol., dont les feuillets, au nombre de 62, sont en parchemin et dont l’écriture à tro
ther qui s’étendent du feuillet 12 b au feuillet 22 b. Elles sont au nombre de 60. En marge du prologue en vers se trouve une
es de Walther qui occupent les feuillets 89 a à 138 a. Ces fables, au nombre de soixante, sont accompagnées d’un commentaire,
ateur. Le manuscrit de Bruxelles se compose de 134 feuillets. Dans ce nombre sont compris deux feuillets blancs, qui le termin
88 de ce volume. Les fables, accompagnées de quelques gloses, sont au nombre de soixante-deux comprenant les 60 ordinaires et
manuscrit forme un volume in-4º dont les feuillets en papier sont au nombre de 120 et portent une écriture du xve  siècle. Il
othèque royale de Bruxelles, il porte le nº 534. Il contient un grand nombre d’œuvres distinctes, dues à divers copistes. Les
ontenait les fables de Walther fut-il, à la fin du siècle dernier, au nombre de ceux qui, à la suite du traité de Tolentino, f
gloses marginales ajoutées par une main moins ancienne. Elles sont au nombre de soixante-deux, comprenant les soixante ordinai
e nº LXXX. C’est un volume in-4º, dont les feuillets en parchemin, au nombre de 91, sont remplis par une belle écriture italie
recouvert de parchemin, dont les feuillets aussi en parchemin sont au nombre de 99 et dont l’écriture italienne à longues lign
it liber Esopii (sic). Grâce aux deux complémentaires, elles sont au nombre de 62. Les 49 premières sont pourvues de titres p
nuscrit 630. Le manuscrit 630 est un in-4º, dont les feuillets, au nombre de 112, sont en parchemin et dont l’écriture, due
au feuillet 25 a, et, accrues des deux complémentaires, s’élèvent au nombre de 62. Elles ne portent aucun titre général, mais
sont munies chacune de son titre écrit à l’encre rouge. Elles sont au nombre de soixante-trois et comprennent les soixante aut
pent les marges largement ménagées pour elles. Ces miniatures sont au nombre de 146. Les fables sont en outre précédées d’une
cription : Explicit liber Esopi. Deo gratias. Amen. Les fables, au nombre de soixante-trois, comprennent les soixante ordin
spéciaux à chacune d’elles, également écrits à l’encre rouge, sont au nombre de soixante-deux. Les deux dernières sont intitul
ve  siècle, occupent les vingt-deux premiers feuillets. Elles sont au nombre de soixante et une et se composent des soixante a
le volume porte en souscription la date de 1460. Les fables sont, au nombre de 62. Elles comprennent les deux complémentaires
s des fables de Walther. § 1. — Éditions du XVe siècle. Si le nombre considérable des manuscrits de Walther atteste la
er atteste la faveur inouïe dont ses fables ont joui au moyen âge, le nombre aussi grand des éditions qui en furent publiées à
um traducta Incipit. Puis viennent les fables élégiaques qui sont au nombre de soixante. La dernière est suivie de cette ment
n titre ainsi conçu : Incipit liber fabularum Esopi. Elles sont au nombre de soixante seulement et se terminent au recto du
des éditions semblables antérieurement publiées, ne dépassent pas le nombre de soixante et qui sont grossies du même commenta
du feuillet est blanc. Cette édition avait sans doute été tirée à un nombre d’exemplaires relativement considérable ; car ils
ers se composent de huit feuillets et le vingt-septième de quatre, le nombre total des feuillets est de 212. Les fables de Wal
, le nombre total des feuillets est de 212. Les fables de Walther, au nombre de soixante, commencent au feuillet v 7 a, c’est-
Fabularum Esopi. || Floreti. Tel est le titre complexe d’ouvrages, au nombre desquels sont les fables de Walther. Au-dessous d
du dernier qui en comprend dix. Il s’ensuit que les feuillets sont au nombre de 186. La souscription finale est ainsi conçue :
siques. Chacune des fables est illustrée d’une gravure sur bois. Leur nombre total est de 65. Aux soixante authentiques placée
sept cahiers de huit feuillets et par conséquent de feuillets dont le nombre total est de 136. Cette édition, quoique d’un aut
is. La même faveur n’a pas été faite à la préface. Les fables sont au nombre de soixante-six, composées des soixante ordinaire
se composent de huit feuillets et le sixième de six ; ce qui donne un nombre total de quarante-six feuillets. Il existe un exe
italienne et illustrées de gravures sur bois très grossières, sont au nombre de soixante-cinq comprenant, avec les soixante au
ravure sur bois qui encadre le prologue. Puis viennent les fables, au nombre de soixante, qui, comme lorsqu’elles accompagnent
nairement réservé aux grandes lettres initiales. Les fables, étant au nombre de soixante-trois, se composent des soixante auth
un, soit en tout de quarante feuillets. Les fables de Walther sont au nombre de 66. Aux 60 authentiques placées sous 61 numéro
mpose de cinq cahiers ; chaque cahier comprenant huit feuillets, leur nombre total est de quarante. Les fables de Walther, aux
s d’une glose et ornées chacune d’une gravure sur bois. Elles sont au nombre de 66, comprenant les soixante de Walther et les
ace blanc destiné à les recevoir, c’est là qu’elles se trouvent. Leur nombre est de soixante-deux résultant de la traduction d
os volume in-4º de grand format, dont les feuillets en papier sont au nombre de 252, et dont l’écriture, due à une main italie
fable des Grenouilles demandant un roi, les fables sont seulement au nombre de 63. Celle qui porte le nº 64 est intitulée :
ssemblent beaucoup, les fables de cet Esopo volgare sont seulement au nombre de quarante-six. Manuscrit 200 du fonds Palati
ttura e trovò la pietra preziosa. Cap. Primo. Les chapitres sont au nombre de 63. La fable que renferme le dernier est celle
tées sous les titres De Capone et Ancipitre et De Lupo et Pastore. Le nombre des numéros s’élève à soixante-quatre, parce qu’i
t un roi, qui porte les nos 15 et 16, elles sont, sous 63 numéros, au nombre de soixante-deux seulement. La Bibliothèque Bodlé
. Les fables, précédées d’un préambule, commencent à la page 20. Leur nombre est de cinquante-trois seulement ; encore sont-el
double Sonetto en langue italienne. Les fables, sous 66 nos, sont au nombre de 64. La soixantième, qui porte le nº 62, n’est
ucharinum inscriptum contexta fœliciter incipit. Les fables sont au nombre de soixante-quatre. Chaque fable latine est accom
ée de 9 cahiers dont les feuillets, à raison de 8 par cahier, sont au nombre total de 72. Le titre placé en tête du recto du p
e dans les éditions antérieures du même imprimeur, les fables sont au nombre de soixante-quatre. Chaque fable latine est ornée
qui, étant composés de huit feuillets chacun, en donnent au volume un nombre total de soixante-douze. Cette édition, contenant
fesseur assis dans sa chaire et entouré de ses élèves. Les fables, au nombre de 64, sont suivies de cette souscription : Impr
s’appliquant à un cahier de seize feuillets, et les cahiers étant au nombre de cinq, il s’ensuit que le volume se compose de
ica. Les fables, quoique réparties sous 66 numéros, sont seulement au nombre de 64, par le motif qu’il a été attribué deux nos
éiens. Signés de a à y, les cahiers dont le volume se compose sont au nombre de 22 formés de 8 feuillets, sauf le cahier f, qu
e 4 et les cahiers u et x qui n’en comprennent que 6, de sorte que le nombre total des feuillets est de 168. Voici maintenant
dont celle de 1493 n’est en somme que la réimpression, elles sont au nombre de 64 sous 66 numéros. Le distique Fine fruor, et
scentiæ , qui fait connaître le nom du traducteur. Les fables sont au nombre de soixante-trois. Leurs distiques sont accompagn
e Exeter et qu’il y écrivit la plus grande partie de ses ouvrages. Le nombre en est extraordinaire ; Bale, qui en signale cinq
Avianus, et cette erreur, qui s’explique d’ailleurs par l’identité du nombre des fables et du rythme des vers, subsisterait pe
ractères gothiques par une main du xive  siècle. Il renferme un grand nombre d’opuscules, tels que fabliaux et romans, dont pl
ui li donra bufle. Les fables qui viennent ensuite sont seulement au nombre de quarante, écrites à la suite les unes des autr
pace qui les sépare, ni titre qui les distingue. Ce qui les réduit au nombre de quarante, c’est que le poète français a omis d
, si on le compare à celui du manuscrit 24432, on y trouve un certain nombre de variantes que M. Robert a d’ailleurs pris la p
it qui li donra la bufe. Quant aux fables elles-mêmes, elles sont au nombre de quarante, qui sont toutes les mêmes que celles
épilogue, dans lesquels le traducteur ne se nomme pas. Elles sont au nombre de quarante, et elles offrent cette particularité
qui, avec des sujets différents, donnent aux deux collections le même nombre de pièces. Deuxième partie. Romulus de V
ître. Tout d’abord je dois dire qu’elle est surtout importante par le nombre des fables dont elle se compose. En comprenant qu
on des textes, le faire aisément cesser. En effet on rencontre en bon nombre , dans le Romulus de Vienne, des expressions de Ph
occupent, ainsi qu’on l’a vu, que les feuillets 132 à 137, et sont au nombre de 80, suivies d’un double épilogue. La collectio
ussi loin du texte pur, ensuite parce que les moralités y sont en bon nombre accrues d’additions poétiques. Pour justifier cet
dante du dérivé du Romulus de Vienne. Les fables de ce dérivé sont au nombre de 60. Mais 56 seulement sont suivies des fables
compose des mêmes fables que le Romulus ordinaire. Semblables par le nombre et peu différentes par la rédaction et le classem
ables du Romulus ordinaire et de dire que leur classement, comme leur nombre , serait identique dans les deux collections, si c
déjà vu, par la liste que j’en ai dressée, que les fables qui sont au nombre de 82 ont été, probablement comme dans le Romulus
Nilant, au lieu des 45 fables précédemment éditées, on en trouvera un nombre plus élevé dont voici la nomenclature : Romulu
èce intitulée : La Statue d’Ésope. Mais provisoirement j’accepte le nombre de cinquante. Par cette liste on voit que les suj
ssez de celles du Romulus primitif pour n’avoir pas conservé en grand nombre les expressions de Phèdre. Pour qu’on puisse s’en
cription précédente. Les fables qui forment le second ouvrage sont au nombre de 51, si l’on y comprend la dernière pièce. Elle
elui d’Oxford. Il s’ensuit que celles de ce dernier manuscrit sont au nombre de 50 et dépassent de 5 celles du manuscrit de Le
mitation partielle du Romulus anglo-latin. § 3. — Détermination du nombre des fables.     L’importance qu’au moyen âge o
ne qui manquait dans l’autre, il l’a ajoutée et est ainsi arrivé à un nombre total de 137 fables. Il est possible que ce nombr
ainsi arrivé à un nombre total de 137 fables. Il est possible que ce nombre soit le vrai ; mais je ne le crois pas. Le premie
t fait découvrir deux autres qui m’ont permis de fixer à cinquante le nombre des fables du Romulus de Nilant. L’un des deux ma
par Marie, a dû appartenir au Romulus anglo-latin, ce qui en élève le nombre total à 114. Reste à examiner la question de savo
e le nombre total à 114. Reste à examiner la question de savoir si le nombre de 114 ne devrait pas être réduit à 104. Sur les
parti le plus sage dans l’incertitude où je suis est de maintenir le nombre de 114 ; en conséquence, j’établis de la façon su
manuscrit Harléien 978 du British Museum. Mais, lorsqu’en comptant le nombre des fables que chacun d’eux renferme, on en trouv
d’eux renferme, on en trouve 104, on est dupe d’une illusion ; car ce nombre est uniquement dû à la division en deux fables de
autre qui en possède une égale quantité, il pourrait se faire que le nombre des fables dues à Marie fût réellement supérieur
ables. Il s’ensuit que les fables de Marie doivent être maintenues au nombre trouvé par son éditeur. Maintenant, si l’on compa
 99 a. À la suite des fables de Marie, le manuscrit renferme un grand nombre d’œuvres poétiques de la même époque, et notammen
celui-ci : Amen, Amen, priies por moi. Les fables sont seulement au nombre de 94, c’est-à-dire qu’il en manque neuf. Ce sont
ut un de ceux employés par M. de Roquefort526, comprend un trop grand nombre d’œuvres pour que j’en donne ici la liste. Il con
il en a 104, tandis que, parmi les autres, les plus complets, sous un nombre égal de numéros, n’en possèdent en réalité que 10
du feuillet 24 b par cette souscription : Explicit de Ysopes. Leur nombre , à cause de la division en deux parties de la fab
e quarante-neuf fables. Il s’ensuit que les fables manquantes sont au nombre de 54 ; ce sont celles qui, dans mon tableau, por
opiste primitif à être orné de miniatures. Elles sont en apparence au nombre de 57, à cause de la division en deux de la fable
hemin et dont l’écriture est sur deux colonnes. Il contient un grand nombre de pièces, parmi lesquelles les fables de Marie o
ncre rouge. Comme le titre général l’indique, elles devraient être au nombre de 81 ; mais par suite de la disparition de plusi
. 3 ; 256 vº, col. 1, 256 vº, col. 2 ; 256 vº, col. 3. Les fables, au nombre de 102, ne portent pas de titres, sont pourvues d
s n’ont pas davantage de titres particuliers. Elles sont seulement au nombre de 61, de sorte qu’il en manque 42, qui sont cell
division en deux de la fable du Prêtre et du Loup, paraissent être au nombre de 104, débutent au haut du feuillet 40 a par ce
l formulé en latin. Elles ne sont pas au complet et sont seulement au nombre de 67, de sorte qu’il en manque 36, qui sont cell
l viennent immédiatement les quarante vers du prologue. Elles sont au nombre de 88, d’où il suit que, pour être complète, la c
e dans un volume in-fol. de très petit format, dont les feuillets, au nombre de 162, sont en parchemin et dont l’écriture à de
able, avait été ménagé un espace blanc non rempli. Les fables sont au nombre de 136, c’est-à-dire que la collection est complè
lume aussi grossièrement dessinées qu’enluminées. Elles ne sont qu’au nombre de 135, c’est-à-dire qu’il en manque une, celle q
tête de la première colonne du feuillet 37 b et qui sont seulement au nombre de 134. La collection, pour être complète, devrai
n sa possession qu’un manuscrit incomplet, il en a négligé un certain nombre et, pour celles qu’il a retenues, il ne s’est pas
t litteris eas commendari pulchrum indicauit et utile. Elles sont au nombre de 136, et chacune d’elles est pourvue d’un titre
 a. Malheureusement, elles sont incomplètes et s’élèvent seulement au nombre de 56. Elles sont précédées de leur prologue ordi
sa traduction anglaise, ne comprenait que 114 fables, c’est-à-dire un nombre sensiblement inférieur à celui du Dérivé complet,
a traduction allemande de Gérard comprend 103 fables, c’est-à-dire un nombre de fables inférieur à celui de la collection lati
t perdu par le retranchement de trois cahiers à la fin un assez grand nombre de fables ; toutefois il est possible aussi que l
fables xxiii et cxvi ; ce qui en réalité réduit à cent vingt-trois le nombre des fables latines interprétées par les allemande
s trois vers rythmiques, dont la composition repose uniquement sur le nombre des syllabes se divisent chacun en deux hémistich
é semblable. On peut enfin ajouter que, dans les deux collections, le nombre des fables, dont le Romulus primitif a été pour l
artage pas ce sentiment. Sans doute les compilateurs, pour grossir le nombre de leurs fables, ont pu en emprunter les sujets à
c à bon droit, on le reconnaîtra, que j’ai mis le Romulus de Berne au nombre de ses dérivés. Section II. Manuscrit du Romul
gymnase de Hamm, en Westphalie. Érudit distingué, il a écrit un grand nombre d’ouvrages, dont le premier fut une étude sur Aus
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
almonées, c’est à dire, imitateurs du haut Jupiter. Mais il y en a un nombre presque infiny d’autres, qui se meslent de contre
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
de plusieurs choses discordantes, comme la celeste, où des Idées sans nombre sont joinctes à la Nature ; et celle de ce bas mo
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
ambitieux couvrirent la Mer de vaisseaux, et la terre d’un prodigieux nombre de Soldats, si pas un de ces Elements ne pût supp
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
e Vaisseaux tout l’Hellespont, et mit des Rivieres à sec par le grand nombre de ses Soldats. Pour cette mesme raison l’on pouv
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
er, s’il falloit abandonner leurs vices pour elle. L’exemple d’un bon nombre de personnes de condition leur apprend assez, qu’
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
iere qu’un peu apres, ayant fait venir de la ville d’Eliopolis un bon nombre d’hommes sçavants, fort versez aux questions Soph
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
es envenimées ? d’enfoncer des portes ? de mettre en embuscade un bon nombre de Satellites ? et bref, d’armer par maniere de d
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
les Religieux et les vrays Devots, l’on peut dire asseurément que le nombre en est fort petit, à comparaison de l’étrange mul
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
amne encore les mauvaises actions ; et qu’on ny mette la constance au nombre des choses heroïques). Prenons, dis-je, que l’hom
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
se puissance de discourir, qu’ils ont soustenu n’estre divisée par un nombre reiglé de propositions, ny certain en ses consequ
ter nostre sujection, veu les autres advantages qu’elles ont en grand nombre par dessus nous, comme la force et l’addresse du
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
r dans des cuirs de bœuf l’eau que l’on doit boire : on s’assemble au nombre de quinze ou vingt mille contre l’invasion des Ma
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