charpiz od les suens oiselez petiz. Puis lur ala quere vïande si cume
nature
le demande. Mes, quant a eus fu repeirez, fu sis
e poeie bien geter [e] par chalur e par cover, nel poi fors mettre de
nature
. Maudite seit tel nureture ! » Pur ceo dit hum en
üeler que al mordre ne seit recunüe desur quel arbrë ele est crüe. Sa
nature
peot hum guenchir, mais nul n’en put del tut eiss
ureux un animal moins arrogant que luy. Certes, il semble que la sage
Nature
ait doüé châque personne de ce qui luy doit escho
ez de ce que Dieu ne fait pas un miracle pour eux seuls, et dequoy la
Nature
ne se détraque point de son cours ordinaire en le
cellente imagination de Socrate, quand il discouroit du partage de la
Nature
. Tout le monde, disoit-il, est si bien assorty de
e le stupide et le contre-faict soit de tout poinct mal traitté de la
Nature
, et qu’elle ne luy ayt pas donné dequoy se satisf
le dispensatrice ; et pour le dire en un mot n’est-elle pas également
Nature
à tout le Monde ? Cela est tellement vray, que si
pource qu’il cognoissoit l’advenir et le passé, tenant en cela de la
Nature
Divine, au lieu qu’il ne tenoit auparavant que de
la division des biens est faite avecque beaucoup d’égalité, et que la
Nature
recompense un defaut par un autre avantage plus c
ϐολον. Codd. Pf 128 Me 165 Pe 68. On dit que les hyènes changent de
nature
tous les ans et deviennent alternativement mâles
’est pas à moi qu’il faut t’en prendre, repartit le renard, mais à ta
nature
, qui fait que j’ignore si j’aurai en toi une amie
pur ceo ne [me] targereie que jo ne quesisse tuz jurs plus sulunc ma
nature
, sulunc mon us. » Par ceste essample veut mustrer
trover aveir e ceo quë unt mester, mes [il] ne poënt pas changier lur
nature
ne lur usage ; tuz jurs coveitent en lur curage.
ttent, eux qui ont abandonné même leur vrai propriétaire, avec qui la
nature
les a fait naître ? » Il ne faut pas nous afflige
iger des accidents qui nous surviennent : ce qu’on ne tient pas de sa
nature
dès sa naissance, on ne saurait le garder : nus n
Codd. Pa 222 Pf 127 Me 164 Mf 136. Les hyènes, dit-on, changent de
nature
chaque année et deviennent alternativement mâles
une hyène mâle prit à l’égard d’une hyène femelle une posture contre
nature
. Celle-ci répondit : « Si tu fais cela, camarade,
Le Chesne un jour dit au Rozeau :
Vous avez bien sujet d’accuser la
Nature
.
Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau.
L
ssez le plus souvent
Sur les humides bords des Royaumes du vent.
La
Nature
envers vous me semble bien injuste. Vostre compas
usion. En effect, à quel propos veut-il forcer aujourd’huy sa stupide
nature
, pour imiter les gentillesses du Chien, qui sont
nce, ne laisse pas de s’appuyer aussi sur quelque raison. Car la sage
Nature
nous ayant tous produits esgalement, composez de
re homme de son âge, pour vacquer à la contemplation des choses de la
Nature
; Tellement que son Genie le portoit à mediter, e
nsequence que l’on en tire, c’est qu’il n’y a point d’homme en qui la
Nature
n’ait fait naistre l’action qui luy est la mieux
tion, et devient capable des choses difficiles, en despit mesme de la
nature
. Mais nul n’a jamais veu qu’on se soit rendu plai
s’estant trouvez differens pour la cure, Leur malade paya le tribut à
Nature
; Aprés qu’en ses conseils Tant-pis eust esté cru
e soit nuisible, au lieu que la mediocrité est une chose commode à la
nature
du monde, et particulierement à celle des hommes.
roit jamais avoir une trop ample possession, veu l’excellence de leur
nature
. Or cela ne se peut pas dire des richesses, qui s
re que cela. Elle ne craint ny le feu, ny l’eau, ny les tortures : Sa
nature
est au dessus de toute souffrance corporelle : ri
xcez mesme ? Comment nous apprendra la moderation une chose qui de sa
nature
est déreglée ? Comment le trop et le superflu ser
r Vice, du moins par imitation, quand nous les aurions en horreur par
nature
. Que s’il est question maintenant de venir à l’im
riel, et par consequent corruptible. Mais il est certain aussi que la
Nature
en abhorre la destruction, et qu’elle haït ou doi
nerie, et tels autres débordements, sont tellement nuisibles à nostre
nature
, qu’il est presque impossible d’en user et de vie
ue le divin Platon en son Dialogue intitulé Gorgias, où il dit que la
Nature
et la Loy sont grandement contraires et different
la Nature et la Loy sont grandement contraires et differentes. Car la
Nature
ayant fait naistre Esope d’un Esprit libre, la Lo
outes façons, s’il est possible, à cause que ceste peine estant de la
nature
fort ennuyeuse, elle est en cela pire que toutes
e fort, mais aussi je la conseille aux personnes qui se sentent d’une
nature
envieuse et maligne, affin d’occupper à cela leur
lles actions, par une honneste jalousie de leurs semblables. De ceste
nature
estoient les jeux Olympiques et Neméens, les cour
qu’il fist hausser l’eau par ceste invention, et ainsi il contenta sa
nature
par le moyen de son artifice. Je me souviens à ce
pour en tirer une consequence de ce que nostre Autheur attribuë à la
Nature
, et sçavoir par mesme moyen pourquoy il s’est vou
nt, qu’ils appellent une reflexion. Tout ce qu’ils ont pû donner à la
nature
des animaux a esté une défectueuse puissance de d
à leur advantage : Tout ce qu’ils peuvent alleguer en faveur de ceste
nature
brutalle, c’est qu’elle infere pour le moins une
es, il n’est rien si aisé que de l’attribuër au seul instinct de leur
nature
: Car comme ceste sage Mere fait germer et croist
turel que toutes ces choses se doivent attribuër, veu le desir que la
Nature
semble monstrer de sa conservation, qui est doubl
liers, qui ont des cognoissances beaucoup plus grandes que n’est leur
nature
: Entre lesquels l’Elephant, le Singe, et le Chie
x, les menaces, et quantité d’autres sentiments approchants de nostre
nature
, parmy lesquels il n’y en a point de plus memorab
semblables exemples se rapportent dans tous les Autheurs, touchant la
nature
des Elephants, apres lesquels il n’est pas aisé,
la suite de leur vie, ils semblent en quelque façon s’éloigner de la
nature
brutale, et se rendre compagnons de la nostre, de
u les animaux capables de l’expression mesme, quoy qu’ils advoüent la
nature
de leur langage entierement diverse de la nostre,
voyons bien en quoy l’homme convient avec tous les autres corps de la
nature
, à sçavoir en l’estre, et pareillement en quoy il
en liberté, comme il se remarque tous les jours en l’homme, qui de sa
nature
est raisonnable. Cela estant, pour peu d’esprit q
qui ne seroit point, à la verité, si avec les advantages du corps, la
Nature
leur avoit donné la faculté de discourir. Mais c’
vent incapables de manger avec excez, comme nous faisons, soit que la
Nature
ait de la prevoyance pour eux, et les incline à l
adjouster tant d’articles, et d’élancemens de voix, mais c’est que la
Nature
leur a imprimé certains sons, qui servent de marq
’ils ne cessent de chanter les loüanges de Dieu ; c’est à dire que la
Nature
le loüe par leur voix, de la mesme façon qu’un ex
imprudence. Secondement, on tire les fables de la ressemblance de la
Nature
, et des operations ensemble, comme ce qu’on feint
d’en adjouster une quatriesme, tirée de la ressemblance tantost de la
Nature
, et des operations, et tantost des operations, et
ature, et des operations, et tantost des operations, et non pas de la
Nature
. Telle est la fable de Prothée Dieu marin, par le
dantes, comme la celeste, où des Idées sans nombre sont joinctes à la
Nature
; et celle de ce bas monde, qui est tres-estroict
es autres hommes. Je laisse à part plusieurs autres fictions de ceste
nature
, qu’il me seroit facile de rapporter icy, pour vo
uy fit dire fort à propos. C’estoit un Buste creux, et plus grand que
nature
. Le Renard en loüant l’effort de la Sculpture, Be
mment leurs injures, vient de la seule raison, ou si l’instinct de la
nature
mesme est capable de nous y porter. J’estime pour
xemples, et de la preuve, qui est telle. La pluspart des choses de la
nature
, ont accoustumé de s’irriter par leurs contraires
experience est visible, et au temperamment de nos personnes, et en la
nature
du feu, n’aurons-nous pas raison de dire aussi, q
nous arrester à des actions faciles et ravalées, pource que la vraye
nature
de la gloire consiste en la difficulté. Tellement
rends garde qu’il ne te manque beaucoup de moutons. » Les gens que la
nature
a faits redoutables, une fois dressés à la rapine
récieuse Del cok [re]cunte ke munta sur un femer e si grata ; sulum
nature
[se] purchaçot sa vïande cum il meuz sot ; une ch
s chere, et plus precieuse qu’eux, c’est à dire, à nous-mesme. Car la
Nature
nous a donné une juste passion pour ce qui nous t
s bien remettre avecque nos ennemis, nous devons aussi ce droict à la
Nature
de ne nous y plus fier à l’advenir, de peur d’use
roit que nous aurions recompensé un forfaict, qui est une chose de sa
nature
odieuse et impertinente. Que si l’on me dit que c
l’experience. Cela nous arrive par je ne sçay quel malheur de nostre
nature
, soit qu’elle se porte d’inclination à penetrer t
au long à déduire comment les passions demesurées transforment nostre
nature
en une pire, et nous font déchoir de la dignité d
andonnez à leurs passions, que toutes choses leur semblent changer de
nature
. Les laides s’embellissent en leur imagination :
sent en leur imagination : les belles s’y rendent divines : un don de
Nature
qui n’estoit que mediocre, y devient extrême : un
gueront, que d’une belle chose on n’en sçauroit trop avoir, et que la
Nature
a voulu rendre toutes ses perfections infinies. S
Fable. La courte et sage response de l’Asnon, dément tellement sa
nature
, que je doute si un subtil et avisé Philosophe po
’excuser alors, alleguant qu’elle estoit de ce genre d’animaux que la
nature
avoit destinez à vivre comme elle ; Surquoy le pr
ire que ceste circonstance aggrave leur peché, puis qu’estant de leur
nature
incapables de nuire, et par consequent moins pous
et de ruyne. Tout le dommage qu’on pretend faire à un ennemy de ceste
nature
là, retombe sur celuy qui l’attaque. C’est crache
jeo quidoue si haut munter, ore me covient a returner e encliner a ma
nature
. » — « Teus est le curs dë aventure. Va a meisun,
aventure. Va a meisun, e si te retien que ne voilles pur nule rien ta
nature
mes despiser. Teus se quide mut eshaucer utre sun
osée, et mourut de faim. Ainsi, quand on a des désirs contraires à la
nature
, non seulement on n’arrive pas à les satisfaire,
e je murmure ; Le chant dont vous m’avez fait don Déplaist à toute la
Nature
: Au lieu qu’un Rossignol, chetive creature, Form
. Les gens vulgaires et jaloux envient les qualités contraires à leur
nature
et perdent celles qui y sont conformes. Chamb
eu bien mûre ;
Mais qui reparoit par son art
Ce qu’avoit détruit la
nature
.
Ces deux Veuves en badinant,
En riant, en luy
en ont beau prendre des dehors plus brillants, ils ne changent pas de
nature
.
. Alors la belette produisit un autre grief et l’accusa d’outrager la
nature
par les rapports qu’il avait avec sa mère et ses
un pour cela, » et elle le dévora. Cette fable montre qu’une mauvaise
nature
, déterminée à mal faire, quand elle ne peut pas s
leux que fût ce Geant. Or quoy que cela ne semble pas ordinaire en la
Nature
, si est-ce qu’on en peut donner des raisons tres
, comme nous avons dit en quelques-uns de nos Discours precedents, la
Nature
repare les defauts du corps par les qualitez de l
rtorius et Spartacus le suyvirent, à mon advis, de bien prés en ceste
nature
de gloire. Car n’ayant jamais eu des forces compl
enereusement le leur, sous l’attente de plus grandes choses. De ceste
nature
il falloit que fût Alexandre le Grand, lors que p
dement de la vie à la vie mesme. Mais encore, ô bon Dieu ! de quelque
nature
que l’on se figure cét accommodement, n’est-il pa
pres cela y aura t’il quelque chose que nous trouvions estrange en la
Nature
? apres cela serons nous estonnez si l’Avarice de
des Anciens, que Pybrac a ainsi tournée en François. De peu de biens
Nature
se contente. Elle ne nous a pas rendu necessaire
r du froid, que ces riches broderies. Ceste invention n’est pas de la
Nature
: elle appartient proprement au luxe. On void ass
s anciens habitans de Rome, qui se contentoient d’une simple robe. La
Nature
n’a non plus besoin de viandes exquises et volupt
er nostre sang, à peine pouvons-nous attrapper soixante années. Si la
Nature
n’a donc pas besoin d’aucune de ces superfluitez,
n’addressent pas leurs desirs à un corps moins noble que le leur. La
nature
humaine est le but de leurs pretensions : La Mais
l n’y en a point de plus vile que celle-cy, ny de plus messeante à la
Nature
. O le beau destin que c’est à l’ame raisonnable d
usa de trahison. « Ce n’est pas à moi, répliqua le dauphin, mais à la
nature
qu’il faut t’en prendre : elle m’a fait aquatique
n, comme la sienne, n’est pas vne temeraire et aveugle inclination de
nature
; mais un pur effect de jugement et de raison. C’
oüer si plaisamment sur ce theatre, j’ay tiré de riches secrets de la
Nature
, de la Morale, et de la Politique ; comme vous ve
t hors de doute en l’opinion de tout le monde, ce seroit destruire la
nature
du don que de le rendre forcé ; et par consequent
t encore de nostre legitime possession. Tellement que le droict de la
nature
, et des peuples, nous permet de le demander, et m
pense qu’elle avoit quelque sujet de le remercier, de ce qu’ayant une
nature
si sanguinaire, et si accoustumée au mal, il luy
la creature au Createur, apres avoir franchy toutes les regles de la
nature
et de la Religion, est-il à croire que tels ingra
mps la servitude à la liberté ; comme fit jadis le Peuple Hebrieu. La
Nature
l’ayant donnée à ceux du premier âge, ne furent-i
de leur second Roy, elle represente l’imparfaicte condition de nostre
nature
, qui ne peut estre satisfaite dans un mesme estat
des affligez, et par toutes ces raisons usurper injustement ce que la
nature
, ou le hazard leur fait escheoir. Or contre ces m
de pire en cela, et que l’on peut appeller proprement un crime contre
nature
, et insupportable aux gents de bien, c’est l’infa
itié. Quelle honte, ô bon Dieu, que des hommes créez sociables par la
Nature
, et susceptibles de bien-veillance, se servent de
pe entend de nous persuader l’amour de la liberté. Ce n’est pas toute
Nature
de sujetion qu’il condamne. Car pour celle qui es
innocence et seureté, sans dépendre d’autres loix que de celles où la
Nature
nous lie necessairement, vont destruire par leur
irement à ceux qui prennent d’autres devoirs à rendre, que ceux de la
Nature
et des Loix : Avecque cela, l’on peut dire que c’
u le noircirais de suie. » La fable montre qu’on ne peut associer des
natures
dissemblables. Chambry 56.2 Aliter — Autre
, mais encore tu es devenu pire, et ton défaut est devenu une seconde
nature
. » Cette fable montre qu’il ne faut pas s’invétér
comme s’il était sacré, et il en prit grand soin. Ceci prouve que par
nature
les hommes ont moins d’amour et de respect pour l
f, plus masle, et plus vigoureux. Bref, c’est l’accomplissement de la
Nature
humaine que le Masle, au lieu que la femme luy do
euse. Le mesme paroist encore en la longueur de leurs cheveux, que la
Nature
ne boucle point comme aux hommes, marque infailli
il nous veut du mal sans raison, c’est un préjugé d’une tres mauvaise
nature
, et par consequent de la durée de sa haine. Car q
besoin de nous arréter à de plus grandes instructions touchant ceste
nature
d’évenements. Elles sont toutes comprises dessous
ve sans cesse contre le Laboureur, nous apprenons qu’il y a certaines
natures
si revéches, et si mal traictables, que l’on ne l
oir rien rapporté. « Ne t’en prends pas à moi, répondit-il, mais à la
nature
du lieu : il est possible d’y trouver à vivre, ma
voluptés, mais ils ne s’en saoulent jamais. Car en mesme temps que la
nature
leur refuse la jouyssance de leurs brutales delic
en la remonstrance d’un Pere à son fils. Car comme l’intention de la
Nature
est, que le semblable produise son semblable ; au
Bouc, le plus infect, et le plus vilain de tous les animaux. De telle
nature
sont ceux qui plaident, ou qui persecutent les Or
r conscience, en leur conseillant des choses illegitimes. De pareille
nature
sont encore ceux qui voyant leurs Amis malades à
qui ne crains personne, ne donnes point toutesfois aucun relâche à ta
nature
, puis que tu pisses en marchant ; que faudra-t’il
ay-je pas contraint de décharger mon ventre en volant, si mesme ceste
nature
exige de moy quelque chose de semblable ? » « Quo
amours printanieres. A toute force enfin elle se resolut D’imiter la
Nature
, et d’estre mere encore. Elle bâtit un nid, pond,
bel, Etheocle contre Polinice, et Romulus contre Remus, encore que la
nature
les eût lié pour jamais des sacrez interests du p
uenients. Or quoy qu’elle soit extrémement execrable et hydeuse de sa
nature
, si a-t’elle une chose excellente en soy, à sçavo
patrice, a tousjours esté chastiée par une autre, de mesme ou de pire
nature
qu’elle. Les Medes ne vengerent-ils pas les peupl
vanité, ô animal inconsideré. Le principal avantage que t’a donné la
Nature
ne consiste pas en cela : C’en est bien un plus g
ce livre, qui contiennent le mesme sens de celle-cy, à sçavoir que la
Nature
a doüé châque animal de quelque vertu, capable de
Egypte, qu’on alloit advertir tous les matins de la fragilité de leur
nature
, en portant une teste de mort dans leur chambre.
siesme cause, qui est tirée de nostre volonté propre. Car ceste mesme
Nature
aymant sa conservation et son bien estre, arme no
sez heroïque pour resister, ce qui n’est pas du tout impossible en la
nature
des choses ; de quelque façon qu’on le prenne, c’
la Saincte Escriture, à sçavoir, « Que l’une des trois choses contre
Nature
, c’est le Vieillard amoureux ». Cela estant, ô la
d’espouser ; action d’autant plus odieuse, que c’est une chose contre
Nature
, de rendre infortunez ceux avec qui nous voulons
ignent suyvre les advis des hommes sages, et de ceux là mesmes que la
Nature
commet pour leur gouvernement. Ces Presomptueux n
s plustost pour leur faire du bien, et les secourir. Car estant de sa
nature
tout bon, il est hors de propos de s’imaginer qu’
trent leurs enfants, comme les chefs-d’œuvre les plus accomplis de la
Nature
. De ceste foiblesse n’étoient point coûpables les
cquerir, ou par l’estime et l’admiration qu’on a pour elles. De cette
nature
sont les sciences, les arts, la prudence, et la s
marque irreprochable que rien n’est si asseuré, ny si accomply de sa
nature
, qui n’ayt son escueil, ou son sujet d’achopement
eux qui s’attribuënt la gloire des actions d’autruy, quoy que de leur
nature
ils soient stupides et impuissants. Or encore que
d’assez beaux exemples à ces Veritez, en la pluspart des choses de la
Nature
. Quelque forte qu’en soit la liaison, elle s’affo
nner de ceste sorte. Si celuy-cy, bien que Vicieux et hayssable de sa
nature
, n’a pas laissé d’attirer sur soy plus d’horreur
oit de loing les conseils des malicieux, et si elle cognoist que leur
nature
, semblable à celle du feu, ne se peut soustenir s
Cour du Roy des Lydiens ? Jugeons par cecy de la foiblesse de nostre
nature
, puis qu’un homme tel qu’Esope, si excellent en e
er un Mal-heureux, et luy faire porter la penitence des defauts de sa
nature
. Que si l’on m’objecte à cela, que le vice de las
i l’âge doit avoir meury le jugement par dessus la jeunesse. De telle
nature
fût à mon advis Ciceron, homme de grand esprit, e
ceste vie, l’on repute bien souvent à honte ce qui est loüable de sa
nature
, comme la devotion ; ou ce qui est indifferent à
eriez crime sur crime, et vous dépoüilleriez quant et quant de vostre
nature
. Mais vous me respondrez possible, que vostre fil
Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la
Nature
rejette. Chapitre XVIII. Il arriva un jour qu’a
e Corinthe, et en celuy de la Mer Rouge ? Ne semble-t’il point que la
Nature
desdaigne nos plus hautaines resolutions, et qu’e
meschante inclination, qui s’est presque tournée en la moitié de leur
nature
. Cependant, Dieu sçait avec quelle rage ils maudi
avant le temps, ou bien y a-t’il quelque beste qui ait conçeu contre
nature
? » « Ce n’est n’est pas cela », luy repliqua Zen
d’un Protecteur. Il vaut donc mieux en accuser la foiblesse de nostre
Nature
, qui ne se peut des-ennuyer sans la diversité ; e
e que ce nom est general à ceste imperfection, et à d’autres de mesme
nature
, mais qui sont diversement specifiées ; Et peut-o
raisons, elles sont fondées sur le juste partage des qualitez. Car la
Nature
ayant donné à tous les animaux dequoy se contente
res, en ce que la plus espineuse de toutes les circonstances en telle
nature
d’accidents, estant celle qui nous fait tomber de
e, et si derechef elle dépend de la reprehension des Vices, où nostre
Nature
n’est que trop sujette, ces flatteuses Meres qui
de ce doux Tyran, et luy deferer quelqu’un des hommages que toute la
nature
luy rend, sans doute la campagne est le lieu où i
utragez. Il est arrivé de tout temps une infinité d’exemples de ceste
nature
, dont je ne rapporteray que celuy de Saül envers
et non pas à son visage, puis que bien souvent dans un laid corps, la
Nature
ne laisse pas de cacher une belle ame ? Que cela
ommage à son inébranlable amour du bien, et disons que Phèdre fut une
nature
honnête, un moraliste convaincu, qui eut, en rest
Adry68, son érudition a fait surnommer le Varron de la France. Si la
nature
de cette étude ne m’imposait pas d’étroites limit
petit traité de paléographie publié en 1770 dans son Spectacle de la
nature
102, qu’il se l’était fait adresser. Il lui suffi
donc des renseignements plus précieux ; elles n’en sont pas moins de
nature
à causer à leur tour une grande perplexité à ceux
n127. » La forme peu affirmative de ce renseignement n’était pas de
nature
à me tirer de mon incertitude, d’autant plus qu’i
une fois, mélangé sans préoccupation ni des sources diverses ni de la
nature
variée des sujets. Quand on cherche à mettre un p
cins. La copie du manuscrit que d’Orville lui avait adressée était de
nature
à lui donner de l’incertitude ; mais sa préventio
vait copié sur le mauvais spécimen qui figure dans le Spectacle de la
nature
234, et nous savons que l’abbé Pluche lui-même l’
ges compétents pouvaient prononcer en dernier ressort sur l’âge et la
nature
de ces manuscrits. Il regrettait que ces pièces i
les apologues. Cassitto avait répondu en citant des fables de la même
nature
dans le livre IV des anciennes. Adry n’est pas to
n mauvais auteur qui se vante, engager un père à dompter la fougueuse
nature
de son fils, réprimer la jactance d’un athlète vi
se compose de dix vers ; à la suite vient l’ouvrage lui-même, dont la
nature
est, avec le nom de l’auteur, explicitement indiq
antique des Cantiques. Fol. 98 b à 108 a. — Livre d’un anonyme sur la
nature
de certains animaux. Fol. 109 a et suivants jusqu
é. L’opuscule qui commence en cet endroit, est un autre traité sur la
nature
de certains animaux qui s’achève au fol. 108 b. F
r la voie de la vraie solution. Mais personne n’y entra. Porté par la
nature
de son esprit à se passionner pour les thèses les
0. De visontibus : vris et alce. 111. De hyena ex Ouidio. 112. Leonis
nature
comparatio ad veram amiciciam. Ex Homero. 113. De
Commencement de la première table des matières, établie d’après leur
nature
. Fol. 5 a. — Commencement de la seconde table, di
nt terminées par ce mauvais distique, qui, comme tous ceux de la même
nature
, est évidemment une addition du copiste : Christ
433. Craignant que le mal dont il a été atteint ne fit des progrès de
nature
à en amener la destruction complète, M. Robert vo
y ne ta ualour Ne me fait ne froit ne chalour : Estrange est a moi ta
nature
; En toi ne truis point de pasture ; Muez ainz gr
suivies d’un opuscule également en langue italienne vulgaire, dont la
nature
est indiquée par ce titre : Qui comenza le dodex
it 901 a été empruntée. Toute la question est de savoir quelle est la
nature
de cet emprunt. Si la collection du manuscrit 303
imple copie du Romulus ordinaire, je commençai par rechercher si leur
nature
ne m’obligeait pas à attribuer au texte une autre
et dist. Par noble escrit et par painture, Por mieus entendre la
nature
De çou qu’il voloit aprouer, Par oïr et par e
st-à-dire une étude sur les animaux envisagés au point de vue de leur
nature
morale, qui est intitulé : Chi commenche li droi
l et cuiuers ; On fait main bien par norreture, Mais tout a dez passe
nature
. Les deux pièces de vers qui précèdent, quoique
n des Fables de Phèdre de 1806, tome I, p. 27. 100. Spectacle de la
nature
, 7e vol., p. 245. 101. Voyez l’édition des Fable
▲