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1 (1180) Fables « Marie de France, n° 79. L’autour et le hibou » p. 687
charpiz od les suens oiselez petiz. Puis lur ala quere vïande si cume nature le demande. Mes, quant a eus fu repeirez, fu sis
e poeie bien geter [e] par chalur e par cover, nel poi fors mettre de nature . Maudite seit tel nureture ! » Pur ceo dit hum en
üeler que al mordre ne seit recunüe desur quel arbrë ele est crüe. Sa nature peot hum guenchir, mais nul n’en put del tut eiss
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LI. Du Paon, et du Rossignol. »
ureux un animal moins arrogant que luy. Certes, il semble que la sage Nature ait doüé châque personne de ce qui luy doit escho
ez de ce que Dieu ne fait pas un miracle pour eux seuls, et dequoy la Nature ne se détraque point de son cours ordinaire en le
cellente imagination de Socrate, quand il discouroit du partage de la Nature . Tout le monde, disoit-il, est si bien assorty de
e le stupide et le contre-faict soit de tout poinct mal traitté de la Nature , et qu’elle ne luy ayt pas donné dequoy se satisf
le dispensatrice ; et pour le dire en un mot n’est-elle pas également Nature à tout le Monde ? Cela est tellement vray, que si
pource qu’il cognoissoit l’advenir et le passé, tenant en cela de la Nature Divine, au lieu qu’il ne tenoit auparavant que de
la division des biens est faite avecque beaucoup d’égalité, et que la Nature recompense un defaut par un autre avantage plus c
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 341 » p. 242
ϐολον. Codd. Pf 128 Me 165 Pe 68. On dit que les hyènes changent de nature tous les ans et deviennent alternativement mâles
’est pas à moi qu’il faut t’en prendre, repartit le renard, mais à ta nature , qui fait que j’ignore si j’aurai en toi une amie
4 (1180) Fables « Marie de France, n° 102. La femme et la poule » p. 539
pur ceo ne [me] targereie que jo ne quesisse tuz jurs plus sulunc ma nature , sulunc mon us. » Par ceste essample veut mustrer
trover aveir e ceo quë unt mester, mes [il] ne poënt pas changier lur nature ne lur usage ; tuz jurs coveitent en lur curage.
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 344 » p. 375
ttent, eux qui ont abandonné même leur vrai propriétaire, avec qui la nature les a fait naître ? » Il ne faut pas nous afflige
iger des accidents qui nous surviennent : ce qu’on ne tient pas de sa nature dès sa naissance, on ne saurait le garder : nus n
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 340 » pp. 243-243
Codd. Pa 222 Pf 127 Me 164 Mf 136. Les hyènes, dit-on, changent de nature chaque année et deviennent alternativement mâles
une hyène mâle prit à l’égard d’une hyène femelle une posture contre nature . Celle-ci répondit : « Si tu fais cela, camarade,
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XXII. Le Chesne et le Rozeau. » p. 70
Le Chesne un jour dit au Rozeau :
 Vous avez bien sujet d’accuser la Nature .
 Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau.
 L
ssez le plus souvent
 Sur les humides bords des Royaumes du vent.
 La Nature envers vous me semble bien injuste. Vostre compas
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
usion. En effect, à quel propos veut-il forcer aujourd’huy sa stupide nature , pour imiter les gentillesses du Chien, qui sont
nce, ne laisse pas de s’appuyer aussi sur quelque raison. Car la sage Nature nous ayant tous produits esgalement, composez de
re homme de son âge, pour vacquer à la contemplation des choses de la Nature  ; Tellement que son Genie le portoit à mediter, e
nsequence que l’on en tire, c’est qu’il n’y a point d’homme en qui la Nature n’ait fait naistre l’action qui luy est la mieux
tion, et devient capable des choses difficiles, en despit mesme de la nature . Mais nul n’a jamais veu qu’on se soit rendu plai
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XII. Les Medecins. » p. 114170
s’estant trouvez differens pour la cure, Leur malade paya le tribut à Nature  ; Aprés qu’en ses conseils Tant-pis eust esté cru
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
e soit nuisible, au lieu que la mediocrité est une chose commode à la nature du monde, et particulierement à celle des hommes.
roit jamais avoir une trop ample possession, veu l’excellence de leur nature . Or cela ne se peut pas dire des richesses, qui s
re que cela. Elle ne craint ny le feu, ny l’eau, ny les tortures : Sa nature est au dessus de toute souffrance corporelle : ri
xcez mesme ? Comment nous apprendra la moderation une chose qui de sa nature est déreglée ? Comment le trop et le superflu ser
r Vice, du moins par imitation, quand nous les aurions en horreur par nature . Que s’il est question maintenant de venir à l’im
riel, et par consequent corruptible. Mais il est certain aussi que la Nature en abhorre la destruction, et qu’elle haït ou doi
nerie, et tels autres débordements, sont tellement nuisibles à nostre nature , qu’il est presque impossible d’en user et de vie
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du Pays, et de la condition d’Esope. Chapitre J . »
ue le divin Platon en son Dialogue intitulé Gorgias, où il dit que la Nature et la Loy sont grandement contraires et different
la Nature et la Loy sont grandement contraires et differentes. Car la Nature ayant fait naistre Esope d’un Esprit libre, la Lo
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
outes façons, s’il est possible, à cause que ceste peine estant de la nature fort ennuyeuse, elle est en cela pire que toutes
e fort, mais aussi je la conseille aux personnes qui se sentent d’une nature envieuse et maligne, affin d’occupper à cela leur
lles actions, par une honneste jalousie de leurs semblables. De ceste nature estoient les jeux Olympiques et Neméens, les cour
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
qu’il fist hausser l’eau par ceste invention, et ainsi il contenta sa nature par le moyen de son artifice. Je me souviens à ce
pour en tirer une consequence de ce que nostre Autheur attribuë à la Nature , et sçavoir par mesme moyen pourquoy il s’est vou
nt, qu’ils appellent une reflexion. Tout ce qu’ils ont pû donner à la nature des animaux a esté une défectueuse puissance de d
à leur advantage : Tout ce qu’ils peuvent alleguer en faveur de ceste nature brutalle, c’est qu’elle infere pour le moins une
es, il n’est rien si aisé que de l’attribuër au seul instinct de leur nature  : Car comme ceste sage Mere fait germer et croist
turel que toutes ces choses se doivent attribuër, veu le desir que la Nature semble monstrer de sa conservation, qui est doubl
liers, qui ont des cognoissances beaucoup plus grandes que n’est leur nature  : Entre lesquels l’Elephant, le Singe, et le Chie
x, les menaces, et quantité d’autres sentiments approchants de nostre nature , parmy lesquels il n’y en a point de plus memorab
semblables exemples se rapportent dans tous les Autheurs, touchant la nature des Elephants, apres lesquels il n’est pas aisé,
la suite de leur vie, ils semblent en quelque façon s’éloigner de la nature brutale, et se rendre compagnons de la nostre, de
u les animaux capables de l’expression mesme, quoy qu’ils advoüent la nature de leur langage entierement diverse de la nostre,
voyons bien en quoy l’homme convient avec tous les autres corps de la nature , à sçavoir en l’estre, et pareillement en quoy il
en liberté, comme il se remarque tous les jours en l’homme, qui de sa nature est raisonnable. Cela estant, pour peu d’esprit q
qui ne seroit point, à la verité, si avec les advantages du corps, la Nature leur avoit donné la faculté de discourir. Mais c’
vent incapables de manger avec excez, comme nous faisons, soit que la Nature ait de la prevoyance pour eux, et les incline à l
adjouster tant d’articles, et d’élancemens de voix, mais c’est que la Nature leur a imprimé certains sons, qui servent de marq
’ils ne cessent de chanter les loüanges de Dieu ; c’est à dire que la Nature le loüe par leur voix, de la mesme façon qu’un ex
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
imprudence. Secondement, on tire les fables de la ressemblance de la Nature , et des operations ensemble, comme ce qu’on feint
d’en adjouster une quatriesme, tirée de la ressemblance tantost de la Nature , et des operations, et tantost des operations, et
ature, et des operations, et tantost des operations, et non pas de la Nature . Telle est la fable de Prothée Dieu marin, par le
dantes, comme la celeste, où des Idées sans nombre sont joinctes à la Nature  ; et celle de ce bas monde, qui est tres-estroict
es autres hommes. Je laisse à part plusieurs autres fictions de ceste nature , qu’il me seroit facile de rapporter icy, pour vo
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XIV. Le Renard et le Buste. » p. 27
uy fit dire fort à propos. C’estoit un Buste creux, et plus grand que nature . Le Renard en loüant l’effort de la Sculpture, Be
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
mment leurs injures, vient de la seule raison, ou si l’instinct de la nature mesme est capable de nous y porter. J’estime pour
xemples, et de la preuve, qui est telle. La pluspart des choses de la nature , ont accoustumé de s’irriter par leurs contraires
experience est visible, et au temperamment de nos personnes, et en la nature du feu, n’aurons-nous pas raison de dire aussi, q
nous arrester à des actions faciles et ravalées, pource que la vraye nature de la gloire consiste en la difficulté. Tellement
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 316 » p. 366
rends garde qu’il ne te manque beaucoup de moutons. » Les gens que la nature a faits redoutables, une fois dressés à la rapine
18 (1180) Fables « Marie de France, n° 1. Le coq et la pierre précieuse » p. 503
récieuse Del cok [re]cunte ke munta sur un femer e si grata ; sulum nature [se] purchaçot sa vïande cum il meuz sot ; une ch
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
s chere, et plus precieuse qu’eux, c’est à dire, à nous-mesme. Car la Nature nous a donné une juste passion pour ce qui nous t
s bien remettre avecque nos ennemis, nous devons aussi ce droict à la Nature de ne nous y plus fier à l’advenir, de peur d’use
roit que nous aurions recompensé un forfaict, qui est une chose de sa nature odieuse et impertinente. Que si l’on me dit que c
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
l’experience. Cela nous arrive par je ne sçay quel malheur de nostre nature , soit qu’elle se porte d’inclination à penetrer t
au long à déduire comment les passions demesurées transforment nostre nature en une pire, et nous font déchoir de la dignité d
andonnez à leurs passions, que toutes choses leur semblent changer de nature . Les laides s’embellissent en leur imagination :
sent en leur imagination : les belles s’y rendent divines : un don de Nature qui n’estoit que mediocre, y devient extrême : un
gueront, que d’une belle chose on n’en sçauroit trop avoir, et que la Nature a voulu rendre toutes ses perfections infinies. S
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVII. De l’Asne malade, et des Loups. »
Fable. La courte et sage response de l’Asnon, dément tellement sa nature , que je doute si un subtil et avisé Philosophe po
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LX. De la Puce, et de l’Homme. »
’excuser alors, alleguant qu’elle estoit de ce genre d’animaux que la nature avoit destinez à vivre comme elle ; Surquoy le pr
ire que ceste circonstance aggrave leur peché, puis qu’estant de leur nature incapables de nuire, et par consequent moins pous
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLII. Du Serpent, et de la Lime. »
et de ruyne. Tout le dommage qu’on pretend faire à un ennemy de ceste nature là, retombe sur celuy qui l’attaque. C’est crache
24 (1180) Fables « Marie de France, n° 73. Le mulot qui cherche à se marier » p. 73
jeo quidoue si haut munter, ore me covient a returner e encliner a ma nature . » — « Teus est le curs dë aventure. Va a meisun,
aventure. Va a meisun, e si te retien que ne voilles pur nule rien ta nature mes despiser. Teus se quide mut eshaucer utre sun
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 279 » pp. 184-184
osée, et mourut de faim. Ainsi, quand on a des désirs contraires à la nature , non seulement on n’arrive pas à les satisfaire,
26 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XViI. Le Paon se plaignant à Junon. » p. 509
e je murmure ; Le chant dont vous m’avez fait don Déplaist à toute la Nature  : Au lieu qu’un Rossignol, chetive creature, Form
27 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 137 » pp. 396-396
. Les gens vulgaires et jaloux envient les qualités contraires à leur nature et perdent celles qui y sont conformes. Chamb
28 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVII. L’Homme entre deux âges, et ses deux Maistresses. » p. 31
eu bien mûre ;
 Mais qui reparoit par son art
 Ce qu’avoit détruit la nature .
 Ces deux Veuves en badinant,
 En riant, en luy
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 120 » p. 107
en ont beau prendre des dehors plus brillants, ils ne changent pas de nature .
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 12 » pp. 16-16
. Alors la belette produisit un autre grief et l’accusa d’outrager la nature par les rapports qu’il avait avec sa mère et ses
un pour cela, » et elle le dévora. Cette fable montre qu’une mauvaise nature , déterminée à mal faire, quand elle ne peut pas s
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
leux que fût ce Geant. Or quoy que cela ne semble pas ordinaire en la Nature , si est-ce qu’on en peut donner des raisons tres
, comme nous avons dit en quelques-uns de nos Discours precedents, la Nature repare les defauts du corps par les qualitez de l
rtorius et Spartacus le suyvirent, à mon advis, de bien prés en ceste nature de gloire. Car n’ayant jamais eu des forces compl
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
enereusement le leur, sous l’attente de plus grandes choses. De ceste nature il falloit que fût Alexandre le Grand, lors que p
dement de la vie à la vie mesme. Mais encore, ô bon Dieu ! de quelque nature que l’on se figure cét accommodement, n’est-il pa
pres cela y aura t’il quelque chose que nous trouvions estrange en la Nature  ? apres cela serons nous estonnez si l’Avarice de
des Anciens, que Pybrac a ainsi tournée en François. De peu de biens Nature se contente. Elle ne nous a pas rendu necessaire
r du froid, que ces riches broderies. Ceste invention n’est pas de la Nature  : elle appartient proprement au luxe. On void ass
s anciens habitans de Rome, qui se contentoient d’une simple robe. La Nature n’a non plus besoin de viandes exquises et volupt
er nostre sang, à peine pouvons-nous attrapper soixante années. Si la Nature n’a donc pas besoin d’aucune de ces superfluitez,
n’addressent pas leurs desirs à un corps moins noble que le leur. La nature humaine est le but de leurs pretensions : La Mais
l n’y en a point de plus vile que celle-cy, ny de plus messeante à la Nature . O le beau destin que c’est à l’ame raisonnable d
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 203 » p. 145
usa de trahison. « Ce n’est pas à moi, répliqua le dauphin, mais à la nature qu’il faut t’en prendre : elle m’a fait aquatique
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
n, comme la sienne, n’est pas vne temeraire et aveugle inclination de nature  ; mais un pur effect de jugement et de raison. C’
oüer si plaisamment sur ce theatre, j’ay tiré de riches secrets de la Nature , de la Morale, et de la Politique ; comme vous ve
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
t hors de doute en l’opinion de tout le monde, ce seroit destruire la nature du don que de le rendre forcé ; et par consequent
t encore de nostre legitime possession. Tellement que le droict de la nature , et des peuples, nous permet de le demander, et m
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
pense qu’elle avoit quelque sujet de le remercier, de ce qu’ayant une nature si sanguinaire, et si accoustumée au mal, il luy
la creature au Createur, apres avoir franchy toutes les regles de la nature et de la Religion, est-il à croire que tels ingra
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
mps la servitude à la liberté ; comme fit jadis le Peuple Hebrieu. La Nature l’ayant donnée à ceux du premier âge, ne furent-i
de leur second Roy, elle represente l’imparfaicte condition de nostre nature , qui ne peut estre satisfaite dans un mesme estat
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VI. Du Lion, et de quelques autres Bestes. »
des affligez, et par toutes ces raisons usurper injustement ce que la nature , ou le hazard leur fait escheoir. Or contre ces m
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
de pire en cela, et que l’on peut appeller proprement un crime contre nature , et insupportable aux gents de bien, c’est l’infa
itié. Quelle honte, ô bon Dieu, que des hommes créez sociables par la Nature , et susceptibles de bien-veillance, se servent de
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
pe entend de nous persuader l’amour de la liberté. Ce n’est pas toute Nature de sujetion qu’il condamne. Car pour celle qui es
innocence et seureté, sans dépendre d’autres loix que de celles où la Nature nous lie necessairement, vont destruire par leur
irement à ceux qui prennent d’autres devoirs à rendre, que ceux de la Nature et des Loix : Avecque cela, l’on peut dire que c’
41 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 56 » pp. 29-29
u le noircirais de suie. » La fable montre qu’on ne peut associer des natures dissemblables. Chambry 56.2 Aliter — Autre
42 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 88 » p. 246
, mais encore tu es devenu pire, et ton défaut est devenu une seconde nature . » Cette fable montre qu’il ne faut pas s’invétér
43 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 85 » pp. 299-299
comme s’il était sacré, et il en prit grand soin. Ceci prouve que par nature les hommes ont moins d’amour et de respect pour l
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
f, plus masle, et plus vigoureux. Bref, c’est l’accomplissement de la Nature humaine que le Masle, au lieu que la femme luy do
euse. Le mesme paroist encore en la longueur de leurs cheveux, que la Nature ne boucle point comme aux hommes, marque infailli
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIII. Des Loups, et de la Brebis. »
il nous veut du mal sans raison, c’est un préjugé d’une tres mauvaise nature , et par consequent de la durée de sa haine. Car q
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIII. Du Lion, et de la Chévre. »
besoin de nous arréter à de plus grandes instructions touchant ceste nature d’évenements. Elles sont toutes comprises dessous
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CV. Du Laboureur, et du Taureau. »
ve sans cesse contre le Laboureur, nous apprenons qu’il y a certaines natures si revéches, et si mal traictables, que l’on ne l
48 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 150 » pp. 84-84
oir rien rapporté. « Ne t’en prends pas à moi, répondit-il, mais à la nature du lieu : il est possible d’y trouver à vivre, ma
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXX. De la Mouche. »
voluptés, mais ils ne s’en saoulent jamais. Car en mesme temps que la nature leur refuse la jouyssance de leurs brutales delic
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
en la remonstrance d’un Pere à son fils. Car comme l’intention de la Nature est, que le semblable produise son semblable ; au
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIV. Du Taureau, et du Bouc. »
Bouc, le plus infect, et le plus vilain de tous les animaux. De telle nature sont ceux qui plaident, ou qui persecutent les Or
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXII. D’un Malade, et d’un Medecin. »
r conscience, en leur conseillant des choses illegitimes. De pareille nature sont encore ceux qui voyant leurs Amis malades à
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. »
qui ne crains personne, ne donnes point toutesfois aucun relâche à ta nature , puis que tu pisses en marchant ; que faudra-t’il
ay-je pas contraint de décharger mon ventre en volant, si mesme ceste nature exige de moy quelque chose de semblable ? » « Quo
54 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXII. L’Aloüette et ses petits, avec le Maistre d’un champ. » p. 325
amours printanieres. A toute force enfin elle se resolut D’imiter la Nature , et d’estre mere encore. Elle bâtit un nid, pond,
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
bel, Etheocle contre Polinice, et Romulus contre Remus, encore que la nature les eût lié pour jamais des sacrez interests du p
uenients. Or quoy qu’elle soit extrémement execrable et hydeuse de sa nature , si a-t’elle une chose excellente en soy, à sçavo
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVIII. De l’Esprevier, et de la Colombe. »
patrice, a tousjours esté chastiée par une autre, de mesme ou de pire nature qu’elle. Les Medes ne vengerent-ils pas les peupl
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLI. Du Cerf, et du Chasseur. »
vanité, ô animal inconsideré. Le principal avantage que t’a donné la Nature ne consiste pas en cela : C’en est bien un plus g
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVI. Du Paon, et de la Gruë. »
ce livre, qui contiennent le mesme sens de celle-cy, à sçavoir que la Nature a doüé châque animal de quelque vertu, capable de
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
Egypte, qu’on alloit advertir tous les matins de la fragilité de leur nature , en portant une teste de mort dans leur chambre.
siesme cause, qui est tirée de nostre volonté propre. Car ceste mesme Nature aymant sa conservation et son bien estre, arme no
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
sez heroïque pour resister, ce qui n’est pas du tout impossible en la nature des choses ; de quelque façon qu’on le prenne, c’
la Saincte Escriture, à sçavoir, « Que l’une des trois choses contre Nature , c’est le Vieillard amoureux ». Cela estant, ô la
d’espouser ; action d’autant plus odieuse, que c’est une chose contre Nature , de rendre infortunez ceux avec qui nous voulons
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVI. Du Chévreau, et du Loup. »
ignent suyvre les advis des hommes sages, et de ceux là mesmes que la Nature commet pour leur gouvernement. Ces Presomptueux n
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
s plustost pour leur faire du bien, et les secourir. Car estant de sa nature tout bon, il est hors de propos de s’imaginer qu’
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCV. Du Singe, et de ses Enfans. »
trent leurs enfants, comme les chefs-d’œuvre les plus accomplis de la Nature . De ceste foiblesse n’étoient point coûpables les
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
cquerir, ou par l’estime et l’admiration qu’on a pour elles. De cette nature sont les sciences, les arts, la prudence, et la s
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
marque irreprochable que rien n’est si asseuré, ny si accomply de sa nature , qui n’ayt son escueil, ou son sujet d’achopement
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
eux qui s’attribuënt la gloire des actions d’autruy, quoy que de leur nature ils soient stupides et impuissants. Or encore que
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
d’assez beaux exemples à ces Veritez, en la pluspart des choses de la Nature . Quelque forte qu’en soit la liaison, elle s’affo
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
nner de ceste sorte. Si celuy-cy, bien que Vicieux et hayssable de sa nature , n’a pas laissé d’attirer sur soy plus d’horreur
oit de loing les conseils des malicieux, et si elle cognoist que leur nature , semblable à celle du feu, ne se peut soustenir s
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
Cour du Roy des Lydiens ? Jugeons par cecy de la foiblesse de nostre nature , puis qu’un homme tel qu’Esope, si excellent en e
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
er un Mal-heureux, et luy faire porter la penitence des defauts de sa nature . Que si l’on m’objecte à cela, que le vice de las
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
i l’âge doit avoir meury le jugement par dessus la jeunesse. De telle nature fût à mon advis Ciceron, homme de grand esprit, e
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
ceste vie, l’on repute bien souvent à honte ce qui est loüable de sa nature , comme la devotion ; ou ce qui est indifferent à
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
eriez crime sur crime, et vous dépoüilleriez quant et quant de vostre nature . Mais vous me respondrez possible, que vostre fil
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. Il arriva un jour qu’a
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
e Corinthe, et en celuy de la Mer Rouge ? Ne semble-t’il point que la Nature desdaigne nos plus hautaines resolutions, et qu’e
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
meschante inclination, qui s’est presque tournée en la moitié de leur nature . Cependant, Dieu sçait avec quelle rage ils maudi
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
avant le temps, ou bien y a-t’il quelque beste qui ait conçeu contre nature  ? » « Ce n’est n’est pas cela », luy repliqua Zen
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
d’un Protecteur. Il vaut donc mieux en accuser la foiblesse de nostre Nature , qui ne se peut des-ennuyer sans la diversité ; e
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
e que ce nom est general à ceste imperfection, et à d’autres de mesme nature , mais qui sont diversement specifiées ; Et peut-o
80 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
raisons, elles sont fondées sur le juste partage des qualitez. Car la Nature ayant donné à tous les animaux dequoy se contente
81 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
res, en ce que la plus espineuse de toutes les circonstances en telle nature d’accidents, estant celle qui nous fait tomber de
82 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
e, et si derechef elle dépend de la reprehension des Vices, où nostre Nature n’est que trop sujette, ces flatteuses Meres qui
83 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
de ce doux Tyran, et luy deferer quelqu’un des hommages que toute la nature luy rend, sans doute la campagne est le lieu où i
84 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
utragez. Il est arrivé de tout temps une infinité d’exemples de ceste nature , dont je ne rapporteray que celuy de Saül envers
85 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
et non pas à son visage, puis que bien souvent dans un laid corps, la Nature ne laisse pas de cacher une belle ame ? Que cela
86 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
ommage à son inébranlable amour du bien, et disons que Phèdre fut une nature honnête, un moraliste convaincu, qui eut, en rest
Adry68, son érudition a fait surnommer le Varron de la France. Si la nature de cette étude ne m’imposait pas d’étroites limit
petit traité de paléographie publié en 1770 dans son Spectacle de la nature 102, qu’il se l’était fait adresser. Il lui suffi
donc des renseignements plus précieux ; elles n’en sont pas moins de nature à causer à leur tour une grande perplexité à ceux
n127. » La forme peu affirmative de ce renseignement n’était pas de nature à me tirer de mon incertitude, d’autant plus qu’i
une fois, mélangé sans préoccupation ni des sources diverses ni de la nature variée des sujets. Quand on cherche à mettre un p
cins. La copie du manuscrit que d’Orville lui avait adressée était de nature à lui donner de l’incertitude ; mais sa préventio
vait copié sur le mauvais spécimen qui figure dans le Spectacle de la nature 234, et nous savons que l’abbé Pluche lui-même l’
ges compétents pouvaient prononcer en dernier ressort sur l’âge et la nature de ces manuscrits. Il regrettait que ces pièces i
les apologues. Cassitto avait répondu en citant des fables de la même nature dans le livre IV des anciennes. Adry n’est pas to
n mauvais auteur qui se vante, engager un père à dompter la fougueuse nature de son fils, réprimer la jactance d’un athlète vi
se compose de dix vers ; à la suite vient l’ouvrage lui-même, dont la nature est, avec le nom de l’auteur, explicitement indiq
antique des Cantiques. Fol. 98 b à 108 a. — Livre d’un anonyme sur la nature de certains animaux. Fol. 109 a et suivants jusqu
é. L’opuscule qui commence en cet endroit, est un autre traité sur la nature de certains animaux qui s’achève au fol. 108 b. F
r la voie de la vraie solution. Mais personne n’y entra. Porté par la nature de son esprit à se passionner pour les thèses les
0. De visontibus : vris et alce. 111. De hyena ex Ouidio. 112. Leonis nature comparatio ad veram amiciciam. Ex Homero. 113. De
 Commencement de la première table des matières, établie d’après leur nature . Fol. 5 a. — Commencement de la seconde table, di
nt terminées par ce mauvais distique, qui, comme tous ceux de la même nature , est évidemment une addition du copiste : Christ
433. Craignant que le mal dont il a été atteint ne fit des progrès de nature à en amener la destruction complète, M. Robert vo
y ne ta ualour Ne me fait ne froit ne chalour : Estrange est a moi ta nature  ; En toi ne truis point de pasture ; Muez ainz gr
suivies d’un opuscule également en langue italienne vulgaire, dont la nature est indiquée par ce titre : Qui comenza le dodex
it 901 a été empruntée. Toute la question est de savoir quelle est la nature de cet emprunt. Si la collection du manuscrit 303
imple copie du Romulus ordinaire, je commençai par rechercher si leur nature ne m’obligeait pas à attribuer au texte une autre
et dist. Par noble escrit et par painture, Por mieus entendre la nature De çou qu’il voloit aprouer, Par oïr et par e
st-à-dire une étude sur les animaux envisagés au point de vue de leur nature morale, qui est intitulé : Chi commenche li droi
l et cuiuers ; On fait main bien par norreture, Mais tout a dez passe nature . Les deux pièces de vers qui précèdent, quoique
n des Fables de Phèdre de 1806, tome I, p. 27. 100. Spectacle de la nature , 7e vol., p. 245. 101. Voyez l’édition des Fable
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