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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
ez-vous sur votre vie D’ouvrir, que l’on ne vous die Pour enseigne et mot du guet, Foin du Loup et de sa race. Comme elle d
gne et mot du guet, Foin du Loup et de sa race. Comme elle disoit ces mots , Le Loup de fortune passe. Il les recueille à pro
u s’en retourna chez soy. Où seroit le Biquet s’il eust ajoûté foy Au mot du guet, que de fortune Nostre Loup avoit entendu
beau marmot Vienne au bois cueillir la noisette. Comme il disoit ces mots , on sort de la maison. Un chien de cour l’arreste
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. »
es raisons que luy pouvoit fournir son éloquence ; mais il leur conta mot à mot toute ceste Fable, et leur fit voir par l’e
sons que luy pouvoit fournir son éloquence ; mais il leur conta mot à mot toute ceste Fable, et leur fit voir par l’exemple
eil et d’appuy, sans richesses, sans authorité, et pour le dire en un mot , la proye de vos voisins. Ces paroles prononcées
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — IX. Le Lion et le Moucheron. » p. 255
heron. Va-t-en chetif insecte, excrement de la terre. C’est en ces mots que le Lion Parloit un jour au Moûcheron. L’autre
uissant que toy ; Je le meine à ma fantaisie. A peine il achevoit ces mots , Que luy-même il sonna la charge, Fut le Trompett
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XX. L’Ours et les deux Compagnons. » p. 65
il fallut le resoudre : D’interests contre l’Ours, on n’en dit pas un mot . L’un des deux Compagnons grimpe au faiste d’un a
’haleine. C’est, dit-il, un cadavre ; Ostons-nous, car il sent. A ces mots , l’Ours s’en va dans la forest prochaine. L’un de
5 (1180) Fables « Marie de France, n° 34. Le roi des singes » p. 569
tricheür, sun cumpainun, dist me[is]mes ceste raisun ; demanderent de mot a mot. E il lur ke li semblot quë unc ne vit plus
ür, sun cumpainun, dist me[is]mes ceste raisun ; demanderent de mot a mot . E il lur ke li semblot quë unc ne vit plus bele
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du second service de Langues. Chapitre XV. »
ne les alliances, les Estats, et les Royaumes : Et pour le dire en un mot , elle-mesme d’où procedent la pluspart des fautes
i nous arrivent en cette vie ? » Esope n’eust pas plustost achevé ces mots qu’un des Assistants se tournant vers Xanthus ; «
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XIV. Le Renard et le Buste. » p. 27
l s’apperçoit Que leur fait n’est que bonne mine, Il leur applique un mot qu’un Buste de Heros Luy fit dire fort à propos.
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — II. Le Corbeau et le Renard. » p. 124
à vostre plumage, Vous estes le Phenix des hostes de ces bois. A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joye : Et pour monst
9 (1180) Fables « Marie de France, n° 99. L’homme et le navire » p. 690
quant a tere ne pot venir, dist qu’il li face sun pleisir. Aprés cel mot tost ariva la u il vot e desira. Li sages deit re
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — II. Le Lion et le Chasseur. » p. 326
Phedre estoit si succint, qu’aucuns l’en ont blâmé. Esope en moins de mots s’est encore exprimé. Mais sur tous certain 3Grec
ngt Veaux je veux choisir Le plus gras, et t’en faire offrande. À ces mots sort de l’antre un Lion grand et fort. Le Pâtre s
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. »
resenter un object si difforme, sans l’avoir prevenüe par quelque bon mot . Il entra donc plus avant dans le logis, où l’aya
dre, de ce qu’en chemin le voyant pisser, il luy avoit dit de si bons mots pour rire, et que cependant, il demeuroit muet de
ô chetif esclave, j’en suis en effect extrémement passionné ». A ces mots , Esope frappant du pied. « O Dieux », s’écria-t’i
tils qu’il ne faut, de peur de mettre en ombrage vostre Mary ». A ces mots , la femme de Xanthus ne sçachant que répondre, et
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XIX. L’Oracle et l’Impie. » p. 36
sentoit quelque peu le fagot, Et qui croyoit en Dieu pour user de ce mot , Par benefice d’inventaire, Alla consulter Apollo
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XI. La Fortune et le jeune Enfant. » p. 174
i cette imprudence si haute Provient de mon caprice ? Elle part à ces mots . Pour moy j’approuve son propos. Il n’arrive rien
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — V. Le Renard ayant la queuë coupée. » p. 17
la troupe ; Mais tournez-vous, de grace, et l’on vous répondra. A ces mots il se fit une telle huée, Que le pauvre écourté n
15 (1180) Fables « Marie de France, n° 33. Le voleur et les brebis » p. 575
reit’ ire se laissent prendre, ne ja ne se desturnerunt, ne pur murir mot ne dirrunt. Tant atendirent le bricun qu’il n’i r
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — III. Le Loup plaidant contre le Renard pardevant le Singe. » p. 474
m’en suis servi qu’aprés Phedre, et c’est en cela que consiste le bon mot , selon mon avis.
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope se justifie devant son Maistre, et luy fait voir qui avoit mangé les figues. Chapitre III. »
ct qu’un homme seul ne pourra rien contre deux, et qu’il n’osera dire mot à faute de preuves ». Ces choses ainsi concluës,
e fust alors que l’experience leur fit cognoistre la verité de ce bon mot , que tel veut faire du mal à autruy, qui s’en fai
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIII. Le Villageois et le Serpent » p. 176
re. Ingrat, dit le Manant, voilà donc mon salaire ? Tu mourras. A ces mots , plein d’un juste courroux Il vous prend sa cogné
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
uy dit-il, « que tu és si fort émeu, en t’approchant de moy ? » A ces mots Zenas s’estant un peu remis. « Ce que je viens ic
outre : mais Esope le suivant, « Arreste un peu », luy dit-il. A ces mots le marchand tourna visage, et bien fâché contre E
ouveau Maistre, « ne voila-t’il pas un effect de ma promesse ». A ces mots le marchand luy commanda de salüer ses compagnons
20 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVI. Le Corbeau voulant imiter l’Aigle. » p. 2
veilleux état : Tu me serviras de pâture. Sur l’animal beslant, à ces mots , il s’abat. La Moutonniere creature Pesoit plus q
21 (1180) Fables « Marie de France, n° 20. Le voleur et le chien » p. 403
eo sai tresbien a escïent que ma buche veus estuper que jeo ne puisse mot suner, si embler[i]ez nos berbiz quant li berkers
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
ieges et quelques aguets aux biens de la vefve et de l’orfelin. En un mot , c’est par là que les grosses Republiques traitte
est le plus considerable en sa Cour, qui est le moins vicieux. En un mot , qu’il jette les yeux sur la lascheté de son acti
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCI. Du Chameau. »
avoir embrassé du desir la possession entiere de l’Italie, prenant ce mot pour devise, ou Cesar, ou rien.  
24 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XXII. Le Chesne et le Rozeau. » p. 70
sté sans courber le dos :
 Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots ,
 Du bout de l’orizon accourt avec furie
 Le plus
25 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XI. La Grenoüille et le Rat. » p. 384
eigner autruy, Qui souvent s’en[g]eigne soy-mesme. J’ay regret que ce mot soit trop vieux aujourd’huy, Il m’a toujours semb
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 34 » pp. 22-22
roles ; et le renard, les voyant s’éloigner, sortit et s’en alla sans mot dire. Comme le bûcheron lui reprochait que, sauvé
lui reprochait que, sauvé par lui, il ne lui témoignait même pas d’un mot sa reconnaissance, le renard répondit : « Je t’au
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
lles ; Et quiconque a plus fait de duels sur une mine, et sur un demy mot , c’est celuy-là qui encherit sur la vaillance, et
pour belles et loüables des actions sanguinaires et forcenées. En un mot , plus un homme en a fait mourir d’autres, et plus
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
’or, vient de tomber dans le puits, la corde s’estant rompuë ». A ces mots le Larron se dépoüilla, et se jetta dedans pour l
à traitté plusieurs fois de la premiere, je me contenteray de dire un mot de la seconde. La malice des Enfants se verifie,
29 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VIII. La Goute et l’Araignée. » p. 587
Changeons, ma sœur l’Aragne. Et l’autre d’écouter.
 Elle la prend au mot , se glisse en la cabane :
 Point de coup de balay
30 (1180) Fables « Marie de France, n° 45. Encore la femme et son amant » p. 
t, que n’en veïstes hume od mei. Puis afierez la vostre fei que jamés mot n’en sunerez ne jamés nel me repruverez. » — « Vo
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelles viandes Esope traicta les Hostes de Xanthus. Chapitre XIV. »
villes : on pourvoit à la seureté des hommes : Et pour le dire en un mot , par elle mesme nostre vie se maintient : par où
32 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVI. La mort et le Buscheron. » p. 60
Fable à celle d’Esope : non que la mienne le merite : mais à cause du mot de Mecenas que j’y fais entrer, et qui est si bea
33 (1180) Fables « Marie de France, n° 46. Les oiseaux et leur roi » p. 652
ne branche en haut sailli, desur le dos li esmeulti. Unc[es] li cuccu mot ne dist ne peiur semblant ne l’en fist. Arere s’e
34 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
voisin, c’est mon compere. L’Oyseau de Jupiter, sans répondre un seul mot , Choque de l’aîle l’Escarbot, L’étourdit, l’oblig
35 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 212 » pp. 143-143
ins, de grandes broches, mais de mouton nulle part, il s’en alla sans mot dire. Le lion lui en fit des reproches et lui dem
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapitre XXI. »
ent-ils « du moins nous la croyons telle, si nous ne resvons ». A ces mots Xanthus tout enflammé de colere, envoya chercher
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
de Platon : la grace majestueuse de Plutarque ; et pour le dire en un mot , toutes les persuasions des Anciens et des Modern
38 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — IV. Le Jardinier et son Seigneur. » p. 
faut, vous m’entendez, Qu’il faut foüiller à l’escarcelle. Disant ces mots , il fait connoissance avec elle ; Auprés de luy l
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
j’estime encore plus braves ceux qui les ont ainsi marquez ». Par ces mots de raillerie il vouloit monstrer, qu’en matiere d
importe force ou dol contre son Ennemy ? Il entend toutesfois par le mot de dol, non une ruse malicieuse, ou une supercher
40 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
a traduction fût déjà très avancée, je l’interrompis pour chercher le mot de l’énigme. En le cherchant, j’ai vu qu’il exist
suivre dans le labyrinthe de leurs transformations successives, en un mot , à les examiner isolément. Sans dédaigner le rang
u’après, que je me conformerai de nouveau au rang d’ancienneté. En un mot , après avoir étudié un fabuliste, je me demandera
ont mis ses ïambes en prose, et l’on trouve dans leurs imitations des mots et même des lambeaux de vers, qui lui appartienne
ilem Frustra adjuvare bonitas nitetur tua. Il lui semble résulter du mot olim que, lorsque Phèdre parlait ainsi, il était
loin de la vieillesse. Mais c’est inutilement, je crois, donner de ce mot une interprétation fausse, que combat la phrase p
ceux qui vouloient l’aliéner du Roi et défend fortement, et en peu de mots , la cause du Roi et de l’État. » En 1581, fut pr
avec paraphe. À côté de ce B, à l’encre, une autre main a ajouté ces mots  : Certe Beaucousin 75. La conjecture de Beaucou
on accompagnée du millésime de 1806 et d’un timbre humide portant les mots  : « Ex libris Franc. Carteron doct. medici Trecis
ompagnée d’un timbre humide, dans l’intérieur duquel apparaissent ces mots  : « Ex libris Corard de Bréban, Trecensis. » Enfi
de tronquer les notes, auxquelles par suite manquent des fragments de mots , des mots entiers et même des lignes. Cet acciden
r les notes, auxquelles par suite manquent des fragments de mots, des mots entiers et même des lignes. Cet accident n’empêch
elativement aux deux exemplaires de Cambridge. Enfin, je ne dis qu’un mot de celui de Florence. Indépendamment du fonds gén
tion des fables. Car du reste ils sont écrits à la suite des derniers mots de la fable précédente, et, par conséquent, ne co
ais évidemment de la même main. De là les doubles leçons pour le même mot . « La séparation des vers n’est nullement indiqué
r le même mot. « La séparation des vers n’est nullement indiquée. Les mots y sont ou réunis, ou bien séparés tantôt régulièr
s appelaient διαστολή. « L’allitération n’y est pas observée dans les mots où nous la plaçons. On la trouve très rarement et
où nous la plaçons. On la trouve très rarement et justement dans les mots où nous n’en mettons pas, comme ammonere pour adm
u lieu de sumptus, etc. « Les lettres l et i ou j au commencement des mots sont absolument pareilles, ce qui fait que jocus
ns celui-ci, dit-il97, les lacunes ne sont point indiquées ; tous les mots se suivent, lors même qu’il est évident que plusi
mble, à la dernière page, que le calligraphe ait espacé davantage les mots , afin de faire arriver jusqu’au bas de la page ce
illeurs, le titre suivant s’écrivant toujours à la suite des derniers mots  ; et ce qui me semble prouver que l’original dont
ment à la supposition de M. Berger de Xivrey, ne débutait pas par les mots Primo namque. Ensuite je dois signaler l’erreur q
uite, parce qu’on ne trouve pas ordinairement dans les manuscrits ces mots -là ainsi rejetés au haut d’une autre feuille. Le
ait le même nombre de fables dans le même ordre, se terminait par ces mots  : Phædri Augusti liberti Liber quintus explicit
ers Æsopi nomen, etc. Il ne remarque pas qu’elle porte pour titre les mots  : Idem Poeta , et que ces mots, qui la rattachen
rque pas qu’elle porte pour titre les mots : Idem Poeta , et que ces mots , qui la rattachent à la précédente, ne permettent
urs l’ont en général si bien compris qu’ils ont, les uns, supprimé le mot Idem, les autres, en substituant le mot quintum a
ils ont, les uns, supprimé le mot Idem, les autres, en substituant le mot quintum au mot quartum, fait du prologue Poeta ad
s, supprimé le mot Idem, les autres, en substituant le mot quintum au mot quartum, fait du prologue Poeta ad Particulonem l
route, ils n’ont pu se tirer d’embarras, les uns qu’en supprimant un mot , les autres qu’en en changeant un autre. Certains
n plaçant le prologue en tête du livre V, ils ont laissé subsister le mot quartum. Quel était donc le vrai chemin ? Il étai
1599, le Père Sirmond était depuis longtemps à Rome. Pour trouver le mot de l’énigme, il faut se référer à la première édi
évident qu’une pareille note, qui contient autant de faussetés que de mots , ne peut avoir été écrite par M. de Foncemagne. A
c un soin remarquable, toutes les variantes manuscrites en regard des mots correspondants du texte imprimé. Ce fut une inspi
tégralité le texte de l’édition Brocas. Il s’est borné à indiquer les mots du texte imprimé qui étaient en désaccord avec le
achevée, avait été si bien rattachée à la fin d’une suivante, que les mots Et vindicabit, qui commençaient la seconde, étaie
cabit, qui commençaient la seconde, étaient sur la même ligne que les mots Mutatus statim qui terminaient la première. Enfin
bservé. Il n’était indiqué qu’au commencement du second livre par ces mots  : Phædri Augusti liberti liber secundus . À la f
l’imprimé s’était au contraire éloigné. Il y a mieux : quand le même mot figure dans le texte imprimé et dans la variante
Pithou. Ce qui revient à dire que dans les deux manuscrits les mêmes mots présentent les mêmes barbarismes. Les titres des
les deux manuscrits, est intitulée : « Item Cæsar ad Atriensem. » Ce mot Item ou manque de sens, ou, ce qui est plus proba
pose une fable perdue, qui devait la précéder et porter pour titre le mot Cæsar. Il y avait lieu de supprimer le mot Item.
er et porter pour titre le mot Cæsar. Il y avait lieu de supprimer le mot Item. Néanmoins les deux copistes le conservent ;
s’ajoutent les deux derniers vers d’une autre fable, dont le premier mot est sur la même ligne que les derniers de la préc
l’autre ou tous les deux sur un troisième aujourd’hui disparu. En un mot , pour employer une image qui rende ma pensée, ou
ude, le premier vers de l’épilogue du deuxième livre commence par les mots  : Æsopi ingenio , qui sont la véritable leçon ;
able leçon ; dans le manuscrit de Reims qui l’altérait, on lisait les mots  : Æsopi ingentem , qui laissaient voir la trace
ssaient voir la trace du texte primitif ; celui de Pithou portait les mots  : Æsopo ingentem , qui aggravaient la première a
latin, et qu’il s’exprime en bons termes.” En accordant ces derniers mots à nos diplomaticiens, on pourrait ne pas convenir
rait écrit à coup sûr avant l’édit donné contre les Druides. Enfin le mot quondam, dont il se sert en parlant de Cicéron, p
tait encore au Vatican, il l’éluda en laissant tomber de sa plume ces mots empreints d’une étonnante nonchalance : « Y est-i
ècle. Elle est intitulée : Oratio sancta quam composuit… Le dernier mot , qui était le nom de l’auteur, a subi un grattage
trième page et le commencement de la cinquième. En voici les premiers mots  : O mi custos, mi heros, mi pater misericors.
feuillet 19 et qui s’étend jusqu’au bas du recto du feuillet 20. Les mots , quoique grecs, sont écrits en caractères romains
et la couronne de Lombardie. » La fin du poème est annoncée par ces mots  : Explicit le Romans de Otinel. Ce sont les der
vé les leçons, a commis cependant une énorme faute : il a indiqué les mots nomen cum locat comme fournis par le manuscrit,
es mots nomen cum locat comme fournis par le manuscrit, au lieu des mots homines cum avocat , qui, dans celui de Pithou,
en mettant ses notes en ordre, a attribué au manuscrit de Daniel des mots qu’il avait dû tirer d’une autre source142. Puis,
i serait fournie par le second vers, et suivant laquelle, au lieu des mots mala videre , le manuscrit de Daniel porterait c
crits il en est un portant la cote 268 dont je dois dire ici quelques mots . Lorsque j’ai publié la première édition de cet o
, avant de parler de l’ouvrage, je crois devoir dire d’abord quelques mots de l’auteur. Il naquit, en 1430, à Sassoferrato,
nouvelles, il y aurait fait quelque allusion. Or, il n’en dit pas un mot . Et, quant aux fables anciennes, il peut reprodui
que les variantes déjà révélées par Burmann, et chaque fois, par les mots   Ms. Perotti , il fait suffisamment comprendre qu
r des fables nouvelles. Dans un premier chapitre qui a pour titre ces mots  : Petronii aetas Claudii et Neronis aevo pluribu
Néron ; puis il consacre un second chapitre, qui porte pour titre ces mots  : In constitutam Petronii aetatem obiecta dissol
ma traduction j’ai moi-même adoptée174, ne permet pas de déduire des mots per aliquot annos une indication bien positive. A
Mais j’aime à reconnaître que, si Jannelli a mal compris les premiers mots de la fable Mulier vidua et Miles, le contre-sens
ans l’édition de Cassitto. Puis d’innombrables fragments de vers, des mots , des syllabes, des éléments et des vestiges de le
avait publié le manuscrit tel qu’il l’avait lu, laissant en blanc les mots ou fragments de mots indéchiffrables et indiquant
crit tel qu’il l’avait lu, laissant en blanc les mots ou fragments de mots indéchiffrables et indiquant ses conjectures dans
ois auparavant, Cassitto avait eu recours. Le frontispice portait ces mots  : Phaedri fabulae | ex | codice Perottino MS. |
quam vis parvam impartiar tibi. comme s’il avait suppléé lui-même le mot parvam et voulu ne pas attribuer à l’auteur latin
ubliée en 1809 par Jannelli. Il me servit à lire sans effort tous les mots que je ne pouvais instantanément déchiffrer, et j
di. C’est l’ancienne fable de Phèdre, ordinairement désignée par ces mots  : Apes et Fuci, Vespa judice. Comme elle avait
s de Phèdre qu’il renferme. Je dois donc dire, en terminant, quelques mots sur l’état dans lequel elles se présentent. Perot
ple, il l’accuse d’avoir, dans la fable vi du livre III, substitué le mot tardandum au mot strigandum ; c’est une suppositi
d’avoir, dans la fable vi du livre III, substitué le mot tardandum au mot strigandum ; c’est une supposition que les manusc
sa publication du manuscrit de Pithou, a édité tricandum, et c’est ce mot que Gude et dom Vincent déclarent également avoir
qu’on pourrait le croire. Pourquoi donc, s’il avait trouvé les mêmes mots dans le manuscrit qu’il avait sous les yeux, ne l
pontifex Sipontinus, être tout naturellement conduit à substituer les mots pontificem maximum à la véritable leçon. En étudi
sur le manuscrit de Naples, on comprendra que je ne dise que quelques mots de ce second manuscrit qui en est la copie exacte
rius, la dédicace au neveu de Perotti, les 32 fables nouvelles et les mots , qui, extraits du manuscrit Vatican, devaient com
aurait affecté une modestie apparente, qui lui aurait fait omettre un mot si ambitieux. Il n’y a que l’œuvre d’autrui qui p
t rivaliser de science et de talent avec son devancier. Du reste, les mots improbi et jocos montrent encore que Martial ne p
choses vulgaires dans un style obscur et barbare comme lui. Quant au mot jocos, il ne peut se rapporter à l’œuvre d’un fab
était un jouteur avec lequel il n’était pas facile d’avoir le dernier mot . La même année, il adressa à Funck une volumineus
ques que, dans ses fables, Phèdre fait à Tibère et à Séjan. Quant aux mots improbi jocos Phædri, si l’on en recherche le sen
l est, il ne se rapporte pas à Phèdre le philosophe. Au contraire, le mot improbi appliqué au fabuliste, qu’il soit pris en
, qui peuvent le faire appeler improbus dans la mauvaise acception du mot  ; il y a aussi des pensées fines, qui peuvent lui
ui mériter la même épithète employée dans son meilleur sens. Quant au mot jocos, il faut avouer qu’il n’est guère propre à
 Ier. Partant de là, lui-même appelle ses écrits jocos et pour lui le mot jocari est presque sacramentel. Les raisons, donn
s. Christ ne le rejette qu’en donnant une fausse interprétation à ces mots  : « Phædrus etiam partem aliquam quinque in libel
etiam partem aliquam quinque in libellos resolvit. » Suivant lui, le mot resolvere, qu’il torture à plaisir, signifie éten
tion, et Schwabe, cherchant dans Sénèque lui-même l’interprétation du mot en litige, extrait de sa trentième consolation à
dire que la concision des fables connues soit un obstacle à ce que ce mot s’applique à leur auteur. Il n’y a pas lieu davan
de style que Pithou lui-même avait aperçues et corrigées, tout en un mot démontre que les fables que nous possédons ne son
ressément Avianus, et, quand M. du Méril reconnaît avec raison que le mot resolvere ne signifie ni mettre en prose, ni déve
st, il en commet une autre à peu près semblable, en disant que par le mot resolvere Avianus a voulu indiquer un recueil plu
complément255. 11º Elles présentent des expressions, des alliances de mots , des tours de phrase, qui ne se rencontrent pas d
as altéré le texte. Les seconds ont transposé, changé ou corrompu des mots entiers, et il en est résulté des taches qui le d
si : Quam parvam quamvis partem impertiar tibi. Qu’on transpose les mots parvam et partem, et que, à l’exemple de Jannelli
ce premier vers original : Vos eruditos miror et doctos viros, ces mots qu’il est impossible de scander : Vos doctos dec
reusement bien des feuillets avaient disparu. J’ai déjà dit quelques mots de ces lacunes277 ; j’y reviens. Le livre II est
est qu’une faible partie. La fable v de ce livre porte pour titre ces mots  : Item Cæsar ad Atriensem. Le mot Item indique
de ce livre porte pour titre ces mots : Item Cæsar ad Atriensem. Le mot Item indique que dans la fable précédente il deva
e à un badaud surpris de le voir jouer avec des enfants, fermant d’un mot la bouche à un bavard qui le dérange, interprétan
aductions françaises, l’une littérale et juxta-linéaire présentant le mot à mot français en regard des mots latins correspo
ons françaises, l’une littérale et juxta-linéaire présentant le mot à mot français en regard des mots latins correspondants
rale et juxta-linéaire présentant le mot à mot français en regard des mots latins correspondants, l’autre correcte et précéd
s six premières lignes de la page. La septième ligne commence par ces mots , qui, dans le texte du premier livre de Romulus,
Fol. xx à xxi et xxx à xxxii). Fol. xx a. — Sermon commençant par ces mots  : Festiva beatissimi B. solemnitas Christo Domin
xx b à xxxii b. — Opuscule cosmographique, où se trouvent beaucoup de mots arabes. Septième quaterne (Fol. xxii à xxix). Ic
 xxxiii à xxxvi). Fol. xxxiii a à xxxv a. — Sermon commençant par ces mots  : Legimus sanctum Moysen populo Dei precepta dan
a in solio residens. Le dernier dessin, au-dessous duquel on lit ces mots  : Auctoris graciarum actio , représente le dessi
Fol. xliv b. — Porphirius. Et au-dessous un poème, commençant par ces mots  : In quattuor versus omnis , etc. C’est celui qu
age on lit : Explicit prologus. Incipit liber eiusdem. Ces derniers mots montrent qu’à la suite du prologue venait le livr
Livre des étymologies d’Isidore. Fol. cxxviii a à cxxx a. — Gloses et mots classés par ordre alphabétique. Fol. cxxx a à cxx
. Fol. cxxxi b et suivants. — Gloses sacrées et explication de divers mots grecs ; noms d’animaux, de plantes, de minéraux,
ex quibus hic est unus. Fol. cxliii a à cxlvii a. — Longue suite de mots grecs concernant la géométrie, la grammaire et la
aris philosofie inlustrarunt disciplinis , etc. Il se termine par ces mots  : Theodorus monachus et abbas Adrianus Adelmo in
ente que celle du copiste en a exactement déterminé l’étendue par ces mots  : Quæ sequuntur ex Plinio excerpta, Libro II, Ca
 xv, xvi. Cet extrait se termine au haut du recto du fol. cxc, par le mot Pisces , au-dessous duquel on lit : Duos extrem
ellant polos. Fol. cxc a. — Entre ce dernier membre de phrase et le mot Pisces , un copiste moins ancien qu’Adémar a écr
a, par des Sententiæ præsagientes, dont la première commence par ces mots  : A. quicquid videris, in gaudium convertitur, e
sous le nº 761, le poème De Sphera cœli en 76 vers commençant par ces mots  : Hæc pictura docet , etc.) 8º Baehrens. — 1º Rh
page 352 du même volume, le petit poème en 17 vers commençant par les mots Bis sena mensum , et, au bas de la même page, la
à toutes les variantes ; car, à moins de contracter en une syllabe le mot dehinc, il est visible qu’il y a un demi-pied de
s hunc vidit, deinde sic cœpit loqui. Il avait fait remarquer que le mot Vulpis, par une erreur de copiste, était ainsi éc
mot Vulpis, par une erreur de copiste, était ainsi écrit pour Vulpes, mot qui rend le vers irréprochable, et, comme, suivan
n possunt, sapientia explicant. La dernière phrase, dans laquelle le mot viribus est substitué au mot virtuti, est, suivan
t. La dernière phrase, dans laquelle le mot viribus est substitué au mot virtuti, est, suivant lui, la traduction un peu d
rum futuri seculi libri tres. Fol. 60 a. — Courtes explications des mots Allegoria, Ænigma, Tropologia, Parabola, Paradigm
us Aesopi Fabri. « Quel est, s’écrie-t-il, celui qui, sous ce dernier mot , ne reconnaît pas immédiatement le nom de Phèdre
; et l’on verra plus loin qu’il n’en est nullement ainsi. Et quant au mot Fabri, Tross, avant d’être si affirmatif, aurait
rley et, après lui, M. Lucien Müller300, l’abréviation irrégulière du mot fabularum. Mais je ne m’attarde pas à ces détails
il contenait le commencement du traité De Monstris, dont les premiers mots n’étaient pas et ne pouvaient pas être les mots p
is, dont les premiers mots n’étaient pas et ne pouvaient pas être les mots primo namque. Pour qu’on n’en doute pas, il trans
e — ne — ri — bus , et à la suite le prologue dont voici les premiers mots  : De occulto orbis terrarum situ interrogasti, e
i ne voit pas à l’instant même le nom de Phèdre caché dans ce dernier mot  ?” Je prétends en toute modestie que ce mot fabri
dre caché dans ce dernier mot ?” Je prétends en toute modestie que ce mot fabri n’est que l’abréviation mal comprise du mot
ute modestie que ce mot fabri n’est que l’abréviation mal comprise du mot fabularum, qu’on trouve aux endroits correspondan
a fait ses corrections, qu’il est presque impossible de rétablir les mots primitifs, qui, en certains endroits, ont presque
e souscription à l’encre rouge : Finit liber de monstruis (sic). Ces mots sont eux-mêmes suivis de ces autres : Incipit li
 120 b. — Fin du deuxième livre, terminé au milieu de la page par ces mots à l’encre rouge : Finit de belluis , suivis de c
Garulus et inprudenti  ; le correcteur ensuite y substitue bien les mots Graculus et impudenti , qui, si le bon sens ne l
n, c’est à sa seule imagination que, dans son désir de faire avec des mots incohérents une phrase intelligible, il emprunte
ire avec des mots incohérents une phrase intelligible, il emprunte le mot doleres qui n’existe ni dans l’œuvre originale ni
t, dans lequel la dédicace placée en tête des fables commence par ces mots  : Romæ imperator Tiberino filio suo salutem. C
française la paraphrase poétique de la version anglaise, écrivit ces mots en tête de sa préface : Romulus qui fu emperere,
Laurent de Médicis surnommé le Magnifique308, et qui commence par ces mots  : Magnifico domino Laurencio Javina Rynuncius fe
quel, par une sorte d’accord tacite, un sens avait été attribué. « Ce mot , dit-il311, ne signifiait d’abord que le petit fa
it d’abord que le petit fabuliste romain ; puis par un de ces jeux de mots si chers au moyen âge et aux écoliers de tous les
la vieille édition d’Ulm, imprimée par Zeiner, elle commence par ces mots  : « Romulus Tiberino filio de Civitate Attica. S.
t Athénien. Mais Eschenburg avait fait remarquer que l’adjonction des mots de Civitate Attica au nom de Tiberinus n’était qu
ait la qualification d’Athénien, que c’était par une transposition de mots que, dans l’édition d’Ulm, elle avait été donnée
à déterminer. Tout à l’heure j’examinerai si l’on doit considérer les mots de civitate Attica comme indiquant un lieu de nai
ollection de fables appelée Romulus de Nilant, appliquent à Ésope les mots  : De civitate Attica. Ainsi, dans le manuscrit la
primitif, présente une particularité significative. Non seulement les mots de civitate Attica y ont été appliqués à Ésope ;
e par le copiste du manuscrit Burnéien, pour que le sens des premiers mots du prologue ait été altéré, et l’on n’ignore pas
ent laisser le moindre doute sur l’intention du copiste de placer les mots de civitate attica dans l’en-tête du prologue. Le
erium filium suum de civitate Attica, et la dédicace commence par ces mots  : Romulus filio suo Tyberio de civitate Attica. E
rpus Christi, la séparation n’est pas opérée par un simple point ; le mot salutem s’interpose de cette façon : Romulus Tybe
sont plutôt contraires que favorables à l’opinion qui fait servir les mots de civitate Attica à la détermination de la natio
omulus, on peut affirmer que, lorsque les érudits ont voulu, dans les mots de civitate Attica, trouver l’indication du lieu
compris le sens, et qu’en supposant que ce personnage eût existé, ces mots ne permettraient pas de le dire né à Athènes. Au
il aurait dû comprendre qu’il était facile de donner autrement à ces mots une explication plausible : Phèdre avait puisé da
ment par l’ignorance du copiste, qui, en les écrivant, défigurait les mots , a donné lieu, au xie  siècle, à des corrections
e une timide transformation du texte phédrien. J’emploie à dessein le mot phédrien, parce que c’est encore une fausse hypot
il y en a trente-deux qui ne se retrouvent pas dans l’Anonyme. En un mot les deux collections présentent au total quatre-v
ulentam mihi fecisti aquam ? Les Fabulæ antiquæ reproduisent presque mot à mot le texte original ; on y lit en effet : Tu
m mihi fecisti aquam ? Les Fabulæ antiquæ reproduisent presque mot à mot le texte original ; on y lit en effet : Tunc fau
de toutes celles auxquelles le nom de Romulus peut être donné, en un mot , comme celle qui a été le point de départ de tout
ées, au professeur Charles Burney, de qui je vais d’abord en quelques mots retracer la vie. Né, le 4 décembre 1757, à Lynn d
23 chap.). » — Fol. 71. « Prologus arborum (29 chap. terminés par ces mots  : scriptura scribe in buxo). » Fol. 76 b à 94 a.
qui sont en général le résultat soit de changements dans l’ordre des mots , soit d’erreurs involontaires dues à l’ignorance
s super librum fabularum Æsopi gentilis. Le prologue commence par ces mots  : Memoriam tibi tradam. Ce manuscrit me paraît pl
en tête, sans modification notable, la dédicace à Tibérinus, que les mots Memoriam tibi tradam formaient, comme dans les au
cipit liber tertius. La souscription finale consiste dans le simple mot Explicit , écrit à l’encre rouge comme les sousc
rnéien que par des variantes consistant le plus souvent, non dans des mots différents, mais dans la place différente donnée
s des mots différents, mais dans la place différente donnée aux mêmes mots . Elles se réduisent en général à de légères trans
lemand clair et intelligible par le docteur Henri Steinhöwel, non pas mot pour mot, mais sens pour sens, et souvent, pour l
air et intelligible par le docteur Henri Steinhöwel, non pas mot pour mot , mais sens pour sens, et souvent, pour la meilleu
leure intelligence du texte, avec addition ou suppression de quelques mots , et imprimé à la louange et en l’honneur du très
habétique générale en allemand (fol. 273 a à 278 b), terminée par ces mots  : Geendet säliglich von Johanne Zeiner zū vlm ,
t à la dédicace à Tiberinus qui vient ensuite et qui commence par ces mots  : [R]omulus tyberino filio. de ciuitate athica.
contenu du volume : Fol. 1 b (a. 1 b). — Portrait d’Ésope surmonté du mot Esopus. Fol. 2 a à 21 a (a. ii a à c. vii a). — 
o de civitate athica. S. Esopus , etc., et aussi bien par l’ordre des mots que par la ponctuation justifie la thèse que j’ai
x transiatione (sic) remicii. La faute typographique commise dans le mot transiatione et signalée par Hain a été pour moi
rage composé tout entier dans le même rythme, qui est annoncé par ces mots  : Incipit prologus in speculum stultorum , et qu
tion : Explicit prologus. Cette souscription est accompagnée de ces mots qui annoncent le commencement de l’ouvrage lui-mê
: Prologus et la souscription : Explicit prologus que suivent les mots  : Incipit liber. Le fol. 5 est occupé par la
al soixante. Fol. 1 a (a. i a). — En tête du frontispice se trouve le mot Exemplario  ; au-dessous dans un encadrement xyl
ue ce n’était qu’à la Bodléienne elle-même que je pourrais trouver le mot de l’énigme. Pendant un de mes séjours à Oxford,
Adelberg de Rapperg, doyen de l’église de Bâle. Elle commence par ces mots  : Adebero de Rapperg, insignis ecclesie Basilien
wel, etc. » Fol. 34 a, ligne 13. — La vie d’Ésope se termine par ces mots  : tod auch vergan. Puis on lit cette phrase fi
ahet an das register in | die gesamelt fabeln. Ce qui équivaut à ces mots  : « Fin des fables d’Avianus, et commencement de
tend du feuillet 155 au feuillet 169 et dernier. À la fin on lit ces mots . —  Esopus der hochbetümpt fabeltichter mit etlic
t in-folio et illustrée de gravures sur bois. Elle se termine par ces mots  : Esopus der hochberümbt fabeldichter mit ettlic
h des hochbe-|remten (sic) fabeltichters E-|sopi mit seinen figuren. Mots qui signifient : « Le livre du célèbre fabuliste
sen (sic) esopi. | Die vorrede Romuli philosophi in das buch Esopi. Mots dont voici le sens : « Ici finit la vie d’Ésope.
t qui au moins a été exécutée à Augsbourg, ainsi qu’il résulte de ces mots  : Gedruckt zu Augspurg. C. Édition de 14983
toute la page et qui représente la Vierge et l’Enfant-Jésus avec les mots Sancta Maria. Fol. 2 a. — Commencement de la prem
es de Auian, de Alphonce et de Poge florentin , et se termine par ces mots  : Imprime à Paris par Alain Lotrian. 12º Éd
de 28 gravures et terminée, vers le bas du fol. 25 b, col. 1, par ces mots  : Hier eyndet dat leuen van esopus. Fol, 25 b,
sus fabulas hystoriadas. Fol. 1 b. — Portrait d’Ésope, surmonté du mot Esopus, et orné, au-dessous, d’une gravure qui re
117 a (K 5 rº) à 119 a (K 7 rº). — Registre et table terminés par ces mots  : Aqui se acaba la tabula , au-dessous desquels
. 119 b. (K 7 vº). — Gravure représentant un guerrier désigné par les mots Alexander magnus. Fol. 120 (K 8). — Feuillet b
e su gallina. Ces fables sont, au verso du feuillet 71, suivies des mots  : Deo gracias , au-dessous desquels on lit cette
sur ses œuvres.     Qu’on me permette de dire brièvement quelques mots de Vincent de Beauvais et de ses œuvres. Bourguig
et vane gloriantes Eusebius , etc., et la fin en est indiquée par ces mots  : Explicit libellus de fabulis hesopi , etc. Mal
ombre de 27. Le copiste a omis les deux fables qui commencent par les mots Nocturnus quidam fur et Securis cum facta esset.
Beauvais : Speculum historiale. (Livres I-VII.) Le texte finit aux mots  : « … nisi te scire hoc sciat alterius… » — La fi
le texte de la dix-neuvième est-il incomplet ; il s’arrête après les mots suivants : E diuerso autem auceps venit et. Les
ès les mots suivants : E diuerso autem auceps venit et. Les premiers mots que porte le feuillet 286 rº sont ces derniers de
ies, au recto du fol. cvij, de l’épilogue, à la fin duquel on lit ces mots  : Deo gratias. Amen. Section III. Éditions
se termine à la deuxième colonne du recto du dernier feuillet par ces mots  : Primū volumen speculi  || historialis finit.
ni signatures, ni réclames, ni pagination, et qui se termine par les mots Speculum morale finit . M’abstenant de toute hyp
es, ni pages numérotées. Le premier feuillet, sur le recto, porte ces mots  : Primus liber Speculi doctrinalis. Speculum doc
culum morale, il en fit, en 1493, un volume in-folio, terminé par ces mots  : Opus preclarum quod speculum morale intitulatu
r || le. xvie. tour du moys de mars Lan || mil cinq cēs. xxxi. À ces mots , dans les exemplaires destinés à F. Regnault, l’i
l’éditeur. Au-dessous de l’éléphant se voit une banderole portant les mots François Regnault. La Bibliothèque nationale, sou
ble. En effet dans la première fable le Romulus de Vienne contient le mot quemdam que ne possèdent ni le Romulus ordinaire
le Romulus ordinaire ni celui d’Oxford ; ces deux derniers portent le mot Sursum, au lieu de Superius qui est dans celui de
le mot Sursum, au lieu de Superius qui est dans celui de Vienne ; au mot eripuit que présentent le Romulus ordinaire et ce
extraits de la fable suivante, nous voyons qu’en général l’ordre des mots qui est le même dans les Romulus ordinaire et d’O
e à lire et qui, ignorant la langue latine, ne pouvait substituer aux mots illisibles pour lui que des mots barbares n’ayant
ue latine, ne pouvait substituer aux mots illisibles pour lui que des mots barbares n’ayant du latin que l’apparence. On ne
égiaques, comme on le pense généralement, je vous répondrai en peu de mots , afin de n’être pas, sur un point si insignifiant
nº 8259. Mais c’est là une erreur : ce manuscrit porte pour titre ces mots  : Hic incipit liber magistri greci , et non pas
’est toujours celui d’Ésope. Ainsi le manuscrit 8509 commence par ces mots  : Incipit liber Esopi  ; le manuscrit 8509 A fini
ia. Amen, suivie de ce titre : Incipit Esopus , et se termine par les mots  : Explicit Esopus , qui ont été écrits à l’encre
ait été l’auteur. L’ouvrage est au contraire attribué à Ésope, et les mots edito (lisez editus) a magistro Gauffredo se rapp
ettaient de bonne foi les moines du moyen âge. La forme et le sens du mot Garritus me portent à penser, avec ceux dont l’op
c ceux dont l’opinion est rappelée par le glossateur lui-même, que ce mot était non pas un nom propre, mais un participe qu
pelant à quel personnage il se rapporte. Aussi n’en dirai-je que deux mots . Né en 1057, à Lavardin dans le Vendômois, Hildeb
représente deux singes au pied d’un arbre portant un écusson avec le mot Felix , et dont le dernier offre cette souscript
de fleurs de lis, surmonté d’une couronne royale, et encadré par ces mots formant quatrain : « Honneur au roy et à la cour,
gothiques à Rouen vers 1505, dont le frontispice portait en tête les mots  : Fabule Esopi cum commento , puis les armes des
t utiles, mais que par une latinité çà et là barbare, par les jeux de mots ineptes, par l’absence affectée des élisions et a
Capone et Accipitre et De Pastore et Lupo. Elles sont suivies de ces mots  : Deo gratias Amen , qui terminent le recto du s
son du Roi sur les plats. Au dos se trouve le titre suivant, dont les mots sont abrégés à cause de l’épaisseur trop faible d
et honor Christo ; versu liber explicit isto. Puis viennent ces deux mots  : Explicit Esopus. Le nom du véritable auteur
uvrages poétiques, dont le premier paraît complet, à en juger par ces mots qui le terminent : Explicit doctrina magistri Jo
un titre spécial écrit à l’encre rouge. La dernière est suivie de ces mots écrits avec la même encre : Deo gratias. Amen.
bus et la fable xxi De terra Attica non habente regem se trouvent ces mots à l’encre rouge : Explicit liber primus ; incipi
et [le] fis nous aïde, E main biau dit qui semble fable Ha main biau mot et anotable. J’ay oy dire mainte foiz : Sus saich
substance de cest livre. Or vous ai conté mainte fable Ou maint bon mot et profitable Puet chascun oïr et entendre, Qui a
, à raison qu’il estoit à l’endroit d’une fenestre mal joincte. » Ces mots paraissent à M. Robert avoir été écrits pendant l
chier a tenir Sy convient Esopet fenir. L’épilogue se termine par le mot Amen , au-dessous duquel se lit cette souscripti
collection des fables d’Avianus se termine au feuillet 131 b par ces mots  : Explicit les fables Dysopet e Dauionnet.
as ainsi. Dans le moins ancien le texte a été rajeuni, et beaucoup de mots déjà vieillis ont été remplacés par des expressio
ables que je viens d’analyser. Elles se terminent au fol. 90 b par le mot Explicit . Enfin, au bas de la même page, se lit
ntre les brebis. Ces 43 fables se terminent au feuillet 101 b par le mot Explicit . 3º Manuscrit de Douai. Dans le
publiés à Leipzig en 1830, le manuscrit de Douai est désigné par ces mots  : Phædri fabulæ, varia carmina, membr. 8 436. Or
t naturellement supprimer de la désignation placée sous ce numéro les mots varia carmina, qui ne s’appliquaient qu’aux ouvra
t réellement au recto du feuillet 91, où elles sont annoncées par ces mots  : Incipit Esopus. Elles comprennent les soixan
u feuillet 1 a on lit : Incipit Esopus. Prologus. À la suite de ces mots écrits à l’encre rouge viennent les douze vers du
ture appropriée à la fable et d’une traduction portant pour titre ces mots  : Dou chevalier et dou boriois qui est de la mai
… cit transfeter (sic) de latino in romanum. La première syllabe du mot fecit a été grattée. Plus bas une main moins anci
combler la lacune, a écrit, en tête du recto du premier feuillet, ces mots qui trahissent, sinon une grande ignorance, au mo
it avoir aucune notion de la langue latine. C’est ainsi qu’au lieu du mot Cervus, par lequel commence la fable xxxi, il a é
mmento. De Spiritu Guidonis. Les fables de Walther indiquées par les mots Esopus cum commento occupent les feuillets 88 a
en est le véritable auteur, et dans lequel, presque dès les premiers mots , on lit ce qui suit : « Causa autem efficiens fui
e compilatione dictaminum. Les fables de Walther, désignées par les mots Esopus metrice, sont au nombre de 60. Elles sont
ntes. En effet, on y trouve certains vers évidemment inspirés par ces mots de la fable xii du livre IV du Romulus ordinaire 
est suivi de cette souscription : Expliciunt dicta Ysopi , et de ces mots  : Ysopus est herba, Ysopus fert bona verba.
. Liber Senece de forma et honestate vite. L’ouvrage désigné par le mot Esopus n’est en réalité pourvu d’aucun titre. Il
aux secondes. En tête de la page où elles commencent on lit ces deux mots qui leur tiennent lieu de titre général : Esopi
La description que cet auteur en a faite me permet d’en dire quelques mots . C’était un cahier in-4º composé de treize feuill
219, ne sont accompagnées d’aucun commentaire et se terminent par les mots Finis Esopi . C. Manuscrit 609. Le manuscr
83 a à 202 b sont occupés par les fables de Walther annoncées par les mots Fabulae Æsopiae . K. Manuscrit 14586. Ce m
noster hic actor agit. La fin de la collection est annoncée par ces mots  : Explicit apologiarum (sic) esopi liber tertius
s. Il ne comprend que les 60 fables authentiques et se termine par le mot Finis . C. Manuscrit Harl. 2745. Le manusc
s’étendent du feuillet 136 au feuillet 152. Elles portent en tête ces mots  : Incipit liber Esopi , et à la fin ceux-ci : E
que le contenu, en est digne par son élégance ; sur l’un des plats le mot Esopus a été gravé en grands caractères gothiques
Liber synonymorum. Les 62 fables élégiaques auxquelles s’applique le mot Esopus s’étendent du feuillet 14 au feuillet 33.
te la mention suivante mise sur le recto du premier feuillet :   Les mots  : Dux Johannes Galeaz Mediolani , qu’il faut lir
ncent au recto du deuxième feuillet et portent pour titre général ces mots  : Incipit liber fabularum Esopi. Elles sont pré
sacré à l’œuvre de Rimicius. Au recto du feuillet 26 commence par les mots  : Novas nimirum merces la dédicace au cardinal
ope s’étend jusqu’au feuillet 67 b, où la fin en est indiquée par les mots Finis Esopi vitae . Alors, au feuillet 68 appara
rvues d’aucun commentaire et se terminent au recto du fol. 18 par ces mots usuels : Explicit liber Esopi. Deo gratias. Amen
ar les quatre suivants : Or vous ai conté mainte fable, Ou maint bon mot et profitable • Puet chacun oïr et entendre, Qui
expositione. Enfin au-dessous une main plus récente a tracé ces deux mots  : Deo gracias. 3º Bibliothèque du Lambeth
philosophiæ. Ce sont les fables de Walther qui sont désignées par les mots Fabulæ anonymi. Ecrites en gros caractères par un
ureusement effacée. Les fables, au nombre de 62, se terminent par ces mots  : Explicit liber exopi : Deo gratias. B. Ma
nal qu’on employait souvent au moyen âge, mais qu’une interversion de mots a rendu faux : Finito libro laus sit et gloria C
les de Walther, qui commencent au feuillet 32 et se terminent par les mots  : Explicit liber Isopi. 6º Bibliothèque Ph
et xxiii a, sont, au feuillet xxxviii et dernier, closes par ces deux mots  : Explicit Esopus. B. Manuscrit 1694. Ce
e pièce est intitulée : Ad Paulinum Augustinus , et commence par ces mots  : Apostolus Paulus ad Timotheum scribens , etc.
rminent vers le haut de la troisième colonne du feuillet 61 b par les mots Explicit Esopus . § 5. — Autriche. Bib
nferme, commencent au feuillet 164 a, où elles ont pour titre le seul mot Esopus . Elles ne sont chargées d’aucune glose n
connu : Finito libro sit laus et gloria Christi (sic), que suit le mot Amen . Cette souscription, due à une main ancien
. Monet. Scripsit 1476 , et plus bas on lit : Finis. Au-dessous du mot Finis une autre main a écrit le titre et les deux
ain qui n’est pas non plus celle du copiste du manuscrit a ajouté ces mots  : Manus domini. Non seulement les cahiers qui
ratias. Amen. D. M. Au-dessous une main du xvie  siècle a écrit ces mots  : Reverendissimo in Kpo patri domino Nicolino Ci
metricæ (fol. 20 b). 4º Vita Tobiæ carmine reddita (fol. 34 a). Les mots Fabulæ Æsopi metricæ désignent les fables de Walt
0 b, s’achèvent au bas du feuillet 52 b. Elles sont annoncées par ces mots à l’encre rouge : Incipit liber Esopii (sic). G
à l’encre rouge, et se terminent vers le bas du feuillet 16 b par ces mots usuels : Explicit liber Exopi. deo gracias, amen
ulæ grammatices. Les fables de Walther, auxquelles se rapportent les mots Æsopus, Fabulæ, se composent des soixante authent
i Physiologus. Dialogus de virtute. De differentia vocum carmen. Les mots Æsopi fabulæ se rapportent aux fables de Walther
es observations préliminaires commencent les fables annoncées par ces mots à l’encre rouge : Incipit liber Esopi. Elles s
re fable, qui se termine au verso du feuillet xvie , est close par le mot Amen , au-dessous duquel est cet ex-libris : Is
rminent a la huitième ligne du verso du dix-neuvième feuillet par ces mots  : Explicit liber exopi. Deo gracias. Amen. Ell
º, d’après le numérotage du manuscrit), où sa fin est indiquée par le mot Explicit . Voici le début de ce Commentaire :
ecto du premier feuillet, écrits en lettres très fines, se lisent les mots yesus maria . Le titre général est conçu en ces
n lettres moins fines et avec une encre plus noire ont été écrits les mots  : Finis. laus deo. || τελως. 11º Bibliothèq
s le nº 295 et l’autre sous le nº 296. La première se termine par ces mots  : Explect9 Esop9 ꝑ dominicū de uiualdis una9 ||
éditions qui, à raison de leur titre commençant généralement par les mots Auctores octo , peuvent être appelées Éditions d
, De Lupo et Pastore et De Pueris ludentibus. Elle se termine par ces mots  : Impressum Brixie (Brescia) per Boninum de Boni
de l’édition précédente ; au centre elle porte en gros caractères le mot Alis , et aux quatre angles elle offre quatre mé
ième, un lion avec le nom de saint Marc. L’édition se termine par ces mots  : Impressus Dauentrie per me Jacobum de Breda. A
o, au-dessous de laquelle sur le verso du dernier feuillet on lit ces mots  : Finis. Laus deo. Amen. Puis viennent ces quat
la vignette on lit : M. Lenoir , et l’encadrement du tout porte ces mots  : C’est mon désir (au haut) De Dieu servir (à
iber Esopi , que suit immédiatement le commentaire commençant par ces mots  : Græcia disciplinarum mater , etc. Le volume se
et 44 a, sans indication de lieu ni de nom d’imprimeur, par le simple mot Amen , suivi de la date de : M. D. VIII. Le vers
de la main gauche une croix et de la droite une banderole portant ces mots  : Ecce agnus. L’édition forme un volume in-4º
raphrase qu’une traduction et à laquelle se rapportent évidemment ces mots du titre général : cum interpretatione vulgari.
s mots du titre général : cum interpretatione vulgari. Ce sont ces mots qui, dans ma première édition m’induisant en erre
ête de la première colonne, est une vignette, dans laquelle on lit le mot Esopus. Au-dessous l’œuvre de Walther est annoncé
és l’un à gauche, l’autre au-dessus et le dernier à droite, ces trois mots  : Virtus securitatem parit. Plus bas : Parmae
Paruulus hoc paruo venditur ere liber. Au-dessous de ces vers est le mot Finis, et plus bas vient cet avis final : Impres
acré, commencent au verso du premier feuillet sans autre titre que le mot Prohemium qui précède le prologue connu. Elles so
i de l’édition primitive ; il n’en diffère guère que par ces premiers mots  : Fabulæ variorum auctorum, nempe Æsopi , etc.,
re représentant deux personnages, dont l’un assis est désigné par les mots Xanto filosofo et l’autre debout est appelé Esopo
ne comprend que vingt-quatre fables, et, comme elle est close par les mots  : Et sic est finis , il est clair que, si elle e
maggiormente dilettare l’animo del leggitore. Il se termine par ces mots  : e in vile et aspro vasello si nasconde cosa ca
première fable est celle du Coq et de la Perle, qui commence par les mots  : Per una stagione con grande solecitudine. Voi
La première fable, qui est intitulée : Del Gallo , commence par ces mots  : Dicie che uno Ghallo andando per prochacciare
in à la plume grossièrement colorié. La première est annoncée par ces mots  : Il comincia dal gallo che ne traua dellescha n
de 1811. Elles sont précédées d’une introduction qui commence par ces mots  : Isforzasi la presente scriptura acciochè de di
al est immédiatement suivi de la première fable, qui commence par ces mots  : Per una stagione chon grande sollecitudine cha
sopo de gramaticha || in volgare. Cette préface est terminée par ces mots  : Compie el prologo dello traslatore de gramatic
ent les fables, suivies chacune d’une morale, qui porte pour titre le mot Notabile écrit aussi à l’encre rouge, et qui est
1810, le contenu du volume est, à la page 60, indiqué par ces simples mots  : Esopo favole volgarizzate da Accio Zucco. Le
e ce titre est orné d’une vignette où sur une banderole se lisent ces mots  : Il piu bel fior ne coglie. Plus bas le fronti
acés au centre d’une gravure représentant une sorte de piédestal, ces mots  : Lepidis-||simi || Aesopi || Fabel-||lae. Imm
º). — Face, gravée sur bois, d’un soubassement de colonne portant ces mots  : Lepidis||simi || Aesopi || fabv||lae. Fol. 4
 b (m 8 vº) à 99 b (n 3 vº). — Concionetta et Canzon morale suivis du mot Finis. Fol. 99 b (n 3 vº) à 100 b (n 4 vº). — Tab
). — Table intitulée : Tavola de le preditte fabule et close par le mot Finis. Panzer a signalé cette édition467. La bibl
teurs placés à droite et à gauche. Le nom du savant est révélé par le mot Esopus inscrit au-dessus de sa tête. Au haut du v
ement à divers auditeurs dans une salle dont le mur du fond porte ces mots  : Virtus omnia vincit. Fol. 2 (a. ii). — Au de
soixante-trois. Leurs distiques sont accompagnés d’une interprétation mot à mot en prose italienne « dont certains passages
te-trois. Leurs distiques sont accompagnés d’une interprétation mot à mot en prose italienne « dont certains passages, dit
la fusion de tous les fonds latins, le contenu en est indiqué par ces mots  : Sermons et recueil de fables, d’anecdotes, etc
ît qu’il avait formulé à cet effet une demande qui commençait par ces mots  : « Si vis, veniam ; sin autem, tu autem », que p
onus es, venias ; si nequam, nequaquam », et que, blessé de ce jeu de mots fait avec son nom, Neckam opta pour un autre ordr
tamen æquam. Cette épitaphe, qui se terminait par un mauvais jeu de mots , me semble un peu suspecte, et je suppose plus ex
kam.     Après avoir fait connaître l’auteur, je dois, en quelques mots , donner un aperçu de ses fables. On ne peut, quan
remier, Bale478 l’avait signalé, et avait même cité ces cinq premiers mots du premier vers : Ingluvie cogente, Lupus dum de
pas seulement par le style, par le tour des phrases, par le choix des mots , que l’œuvre de Neckam est plus conforme au texte
fables de Neckam, qui sont dans cette nomenclature désignées par les mots Aesopi fabulae, commencent à la fin du fol. 110 a
ntificiæ ad diversos. Liber bestiarum. Il est probable que, comme le mot Mythologia dans l’édition bien connue de Névelet
titre général à diverses collections de fables ésopiques, de même le mot Mythologiæ, appliqué ici à l’une des œuvres de Ne
le cherche à la table des matières, on le voit formulé par le simple mot Ysopet. Au-dessous de l’espace blanc réservé par
ême, vers le bas de la 1re col. du feuillet 184 a, se termine par ces mots  : Requies sit eis. Amen. B. Manuscrit 15213
ces ne résultent guère que d’une simple interversion dans l’ordre des mots . Elles sont insignifiantes, et, si dans le reste
remière non seulement s’en écarte, mais encore, se rapprochant par le mot quærit des leçons du Romulus primitif, laisse ape
. Puis viennent les cinquante fables, à la fin desquelles on lit ces mots  : Explicit Esopus , et au-dessous cet hexamètre
que c’est un dérivé très défectueux, car il pullule de phrases et de mots défigurés par l’évidente ignorance du copiste, et
autres. Il a appartenu à Antoine Loysel ; c’est ce qui ressort de ces mots qui se trouvent sur le recto du 2e feuillet : « A
lement de Paris en date du 23 juin 1565. Cet arrêt est précédé de ces mots  : « Extrait des registres du Parlement. » Le prem
s 40 et 50. La fable 40, commencée au verso du folio 35, s’arrête aux mots Cui Iuno iterum , qui sont séparés du commenceme
hèvement, et la fable 50, commencée au recto du fol. 39, s’arrête aux mots iacentem in itinere , qui sont également suivis
ble avoir été une addition du copiste. Les fables se terminent par le mot Amen en tête du recto du feuillet 40, dont elle
in. C’est la seule dans laquelle au nom de Romulus soient accolés les mots urbis Romæ imperator. Il est difficile, après les
ns le comte Guillaume. Heureusement l’éloge qu’elle en fait en peu de mots nous indique facilement que ce prince était Guill
quatrième ne viennent qu’après l’épilogue, qui est lui-même suivi du mot Explicit et qui semble ainsi les mettre nettement
après la quatre-vingt-dix-huitième fable et qui lui-même est suivi du mot Explicit. Il s’ensuit que le manuscrit ne peut po
gravement déprécié. Ainsi du titre de la fable xl il ne reste que ces mots  : D’un homme qui vit… Une main pudique a effacé
fable lx, a fait disparaître la fin du titre dont il ne reste que ces mots  : De l’ourse cui le verpil… , et la partie de la
nes, offre cette particularité que la lettre v, qui dans le corps des mots est remplacée par un u, conserve au commencement
s caractères gothiques : Je cuy à frère…  ; à la suite venaient deux mots qui étaient les noms d’un moine et qu’un propriét
cette particularité, que le v n’est représenté par un u que dans les mots dont il n’est pas la première lettre, et que les
il n’est pas la première lettre, et que les lettres v et u, dans les mots vulpis et vulpil, sont remplacées par un w. M.
 w. M. Manuscrit 1683 du fonds Moreau. Je ne dirai que quelques mots de ce manuscrit in-fol., intitulé : Mouchet , qu
it Cott. Vesp. EV. » Ici paraphe pareil au précédent, que suivent les mots  : « Avril 1862531 ». Les fables de Marie qui sont
ns le Romulus de Nilant. C’est ainsi que, dans ce Romulus, on lit les mots conscendit altam arborem évidemment empruntés au
primitif, tandis que les deux Dérivés partiel et complet portent les mots in quercu resedit étrangers à ce Romulus. Si, dan
rait mieux mourir. D’autre part, le Romulus Roberti se sert des mêmes mots que le Romulus de Nilant, pour faire exprimer par
cibus », dit celui-ci ; « Nullum cibum mihi », dit celui-là. Or, ces mots ne sont pas dans le Dérivé complet. De ce double
e Romulus Roberti a dû être écrit. Sur ce point, je n’ai que quelques mots à dire : je crois qu’à défaut d’autre élément d’a
ligne de la deuxième colonne du feuillet 159 b et sont closes par ces mots  : Expliciūt apologi auiani. Sans le moindre es
ère colonne du feuillet 189 a (en réalité 190 a), sont closes par ces mots  : Expliciunt Apologi Auiani. Puis commencent,
écriture mauvaise de son modèle, a tantôt altéré, tantôt supprimé les mots qu’il n’était pas capable de déchiffrer. § 3.
ui sans doute ignorait le latin, a laissé des espaces blancs pour les mots qu’il ne pouvait pas lire, et cependant ces mots
aces blancs pour les mots qu’il ne pouvait pas lire, et cependant ces mots se trouvent dans le manuscrit 1108, qui dès lors
De Viatore et Satyro, présente trois espaces blancs destinés à trois mots omis. 4º Dans d’autres endroits le scribe du manu
res endroits le scribe du manuscrit 1107 a passé par inadvertance des mots qui sont lisibles dans le manuscrit 1108 et pour
peux citer comme exemple la fable De Vulpe et Ursa, dans laquelle les mots et lenta, d’abord oubliés, ont ensuite été ajouté
les dérivées du Romulus anglo-latin, dont le prologue annoncé par ces mots  : Sequitur prologus Esopi in librum fabularum ,
anuscrit Théol. 126 la fable du Renard et du Corbeau commence par ces mots  : Corvus perfidie pinguem caseum , etc. Au contr
pinguem caseum , etc. Au contraire, dans le manuscrit Théol. 140, le mot perfidie a disparu. Malheureusement la collection
fables ne sont séparées et distinguées des premières que par ces deux mots  : Incipit Auianus. Elles commencent à la premiè
rammaticale est irrégulière et dont le sens est inintelligible, et de mots barbares qui non seulement ne se rencontrent pas
vers de la fable De Leone regnante, où l’élision fait disparaître un mot entier : Per Stiga jurabit vel vi ast rex numina
à son procédé de versification le plus habituel, il ne laisse pas aux mots la place que rationnellement ils devraient occupe
nullum gentis post læderet unquam. Si en effet on veut rétablir les mots dans leur ordre logique, on doit les écrire ainsi
teur transpose pour les besoins du vers : tantôt il la place après le mot qu’elle régit, tantôt, en la mettant avant, il in
mot qu’elle régit, tantôt, en la mettant avant, il interpose d’autres mots , comme dans ce promythion de la fable De Leone re
sero cum nec est utile forti. Ce vers doit être compris comme si les mots qui le composent se présentaient ainsi : Nec est
être boiteux, si l’on n’était pas assez accommodant pour voir dans le mot nec une syllabe rendue longue par la puissance de
difficile à lire, laissait quelquefois un espace blanc à la place des mots qu’il ne pouvait déchiffrer, mais plus fréquemmen
’il ne pouvait déchiffrer, mais plus fréquemment leur substituait des mots ou plutôt des simulacres de mots qui étaient asse
lus fréquemment leur substituait des mots ou plutôt des simulacres de mots qui étaient assez différents des véritables pour
e trouver dans la nécessité de remplacer presque partout par d’autres mots ceux du texte dans lequel il puisait ses inspirat
Dérivé adopter les modifications introduites dans l’idée et dans les mots par celui de Nilant, dont il est clairement la di
par ce premier exemple, que, tandis que dans le Romulus ordinaire, le mot inferius a été substitué au mot inferior, employé
dis que dans le Romulus ordinaire, le mot inferius a été substitué au mot inferior, employé par Phèdre, la leçon du fabulis
également dérivé de l’Æsopus. La morale de la même fable y porte les mots  : lædunt innocentes , qui sont une légère métamo
ent Lemaire, dans sa collection des classiques latins, substituent au mot Pierus qui signifie le mont Piérus le mot Pieris
ques latins, substituent au mot Pierus qui signifie le mont Piérus le mot Pieris qui signifie la Piérie.) 19. Phædri Augu
.LVI, 2 vol. in-12. (Voyez tome I, p. 364.) 72. Cette orthographe du mot Have est justifiée par une mosaïque qui se trouve
e partie. C.-G. À Rotterdam, chez Reinier Leers, MDCXCVII. (Voyez, au mot Ésope, la note M, p. 1091.) 212. « Num igitur P
lire peccat. L’ignorance du copiste peut seule expliquer l’emploi du mot putat. 436. Catalogi librorum manuscriptorum… L
on de celle qui, dans l’œuvre d’Eude de Cherrington, commence par ces mots  : « Cornix semel videns se turpem, etc. » 525.
41 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
s magasins de malvoisie, Les esclaves de bouche, et pour dire en deux mots , L’attirail de la goinfrerie : Dans un autre celu
42 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 224 » pp. 158-158
Si le loup vient ici, nous le tuerons, mon enfant. » En entendant ces mots , le loup se remit en route en disant : « Dans cet
43 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 296 » pp. 363-363
ans cette prison pour femmes. Que pourrais-je bien te faire ? » À ces mots , il asséna sa main sur le mur, pour crever l’œil
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
qui se traisnoit à pas lents, se mit à sousrire, et luy dit plusieurs mots de raillerie, pour blâmer son extrême tardiveté.
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
r leur dignité de specieuses marques d’honneur, et pour le dire en un mot , à prendre le nom de Souverains. En suitte de cel
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
pluchée dans les mesmes Compagnies où ils souloient frequenter. En un mot , ils esprouvent pour indifferents, ceux qu’ils av
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
reprit Nectenabo, « je n’estime rien Lycerus au prix de moy ». A ces mots , le bon Esope souriant, « ô Roy », continua t’il,
fort ». Voila cependant que le Roy ne fût pas de cét advis, car à ce mot de debte et de confession ; « Je ne dois rien à L
48 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
e plus asne des trois n’est pas celuy qu’on pense.
 Le Meusnier à ces mots connoist son ignorance.
 Il met sur pieds sa best
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
ropos, les tyrannisent à force de compliments ; et pour le dire en un mot , qu’ils ne leur laissent pas un seul moment de re
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LI. Du Paon, et du Rossignol. »
elle point juste et raisonnable dispensatrice ; et pour le dire en un mot n’est-elle pas également Nature à tout le Monde ?
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
A cela le foible Roseau ne sçavoit que respondre : aussi ne disoit-il mot , se promettant qu’il ne tarderoit guere à estre v
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
ria les Officiers de la Justice, qu’il luy fût permis, de luy dire un mot à l’oreille ; Ce qu’on luy accorda facilement. Vo
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
« pourquoy n’as tu mis du miel et du poivre dans ce gasteau ? » A ces mots Esope se sentant surpris, « Mon Maistre », respon
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
épende entierement de la grace de l’esprit, comme aux diseurs de bons mots , soit qu’elle participe de tous les deux, comme a
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
rayez aux despens du public, portant chacun une inscription, avec ces mots . Voicy le Lion hoste de l’homme, voicy l’homme,
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
re manger au Loup, s’il ne s’appaisoit. Elle eust à peine proferé ces mots , que le Loup qui les ouyst, esperant de trouver q
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
peuple de la servitude des Babiloniens, et du joug de Pharaon ? En un mot , il est impossible qu’il ne se plaise à faire du
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
e corps ceste generalle alteration, que nous voulons signifier par ce mot de fiévre, qui se terminera par une migraine, par
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
e, où il y avoit quantité de viandes, l’invitant à se saouler par ces mots qu’il luy reïteroit, “Mange m’amie Grenoüille”. A
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
Conseil, que redouter à ses Ennemis par la force de ses Armes. En un mot , elle a vaincu tout ce qu’humainement elle pouvoi
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
es maisons de plaisance de leurs amis, voire les leurs propres. En un mot , quelque part que je tourne les yeux, je voy les
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
s, et reproche à l’autre de ne se cacher que dans les Cavernes. En un mot , elle estale toutes ses delices, et se mocque du
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
contraire a un commencement fort doux, et une fin espineuse ». A ces mots les Samiens s’écrierent ; « Puis que cela est, et
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
 ? », luy dit Xanthus, « Toutes choses », repartit le Musicien. A ces mots , Esope se mit à rire : A quoy le disciple de Xant
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
amais incognuës à la memoire des humains ? Combien a-t’on supprimé de mots remarquables, et d’illustres actions ? Certes, il
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
qu’ils n’ont pas encore acquis, et qu’ils n’acquerront jamais. En un mot , ils ne manquent ny de confiance ny d’espoir, mai
vil metail, l’appetit d’une monnoye crasseuse, et pour le dire en un mot , la servitude d’une chaisne d’or. Voila une plais
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
st se donner en proye à un Vautour pire que celuy de Promethée. En un mot , c’est achetter des soucis, et chasser pour jamai
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
rs, qui rend heureux les Amants, et qui favorise les Guerriers. En un mot , c’est elle mesme qui produict tous les effects,
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