cy, puis avoit esté là. Son fils prétendoit, pour cela, Qu’on le dust
mettre
dans l’Histoire. Il eust cru s’abaisser servant u
Il eust cru s’abaisser servant un Medecin. Estant devenu vieux, on le
mit
au moulin. Son pere l’Asne alors lui revint en me
sne alors lui revint en memoire. Quand le malheur ne seroit bon Qu’à
mettre
un sot à la raison, Toujours seroit-ce à juste ca
’homme qui l’invitoit, s’en alla droict au logis de Xanthus, où il se
mit
à la table, avec des souliers tous sales et tous
n estreiller Esope ». Apres ces choses, « ma femme (dit-il tout haut)
mets
de l’eau dans un bassin, et en lave les pieds de
’ainsi Esope meriteroit d’estre battu, pource que son homme se seroit
mis
dans le soing du compliment, et de la civilité. L
vilité. La femme de Xanthus fist donc le commandement de son Mary, et
mit
de l’eau dans un bassin, pour laver les pieds de
elle luy dit qu’il se lavât, ce qu’il fit incontinent, puis il s’alla
mettre
à table, où il ne fut pas plutost assis, que Xant
Xanthus commanda, qu’on donnât à boire à son hoste : Luy cependant se
mit
à raisonner de cette sorte. « Certes, il leur app
qu’ay-je affaire de m’en donner de la peine ? » ; Et là dessus, il se
mit
à boire : Mais durant le disner, comme on luy eus
r, ny se soucier de rien que ce fut. A la fin, lon n’eust pas si tost
mis
le gasteau sur la table, que ce Vilain hoste, le
oulanger, « Malencontreux que tu és », luy dit-il, « pourquoy n’as tu
mis
du miel et du poivre dans ce gasteau ? » A ces mo
commanda en mesme temps, qu’on luy apportast des fagots, ausquels il
mit
le feu, et tira sa femme auprés, avec apparence d
t plus dure que la mienne, Je ne vois rien qui vous tienne. Nous vous
mettrons
à couvert, Repartit le Pot de fer. Si quelque mat
up vous sauveray. Cette offre le persuade. Pot de fer son camarade Se
met
droit à ses côtez. Mes gens s’en vont à trois pie
en souffre : il n’eut pas fait cent pas Que par son compagnon il fut
mis
en éclats, Sans qu’il eût lieu de se plaindre. Ne
t trouver de plus exquis, pour faire un banquet. Mais comme il voulut
mettre
toutes ses provisions dans la salle, ayant trouvé
ns la salle, ayant trouvé sa Maistresse sur le lict, où elle s’estoit
mise
pour reposer, « Madame », luy dit-il, « si cela n
mon derriere a des yeux ». Esope ayant donc appresté tous les autres
mets
, les apporta en la mesme salle, où il trouva que
tout ce beau mesnage ? » « Seigneur », respondit Esope, « quand j’ay
mis
les viandes sur la table, j’ay prié Madame, de pr
ayant Esope à sa suite, s’en alla dans un certain Cimetiere, où il se
mit
à lire sur les tombeaux quelques Epigrammes, à qu
les lettres suivantes R. P. Q. F. I. T. A. gravées sur un tombeau se
mit
à les monstrer à Xanthus ; et luy demanda s’il en
fais, je te donneray la liberté, et la moitié du thresor ». Esope se
mit
alors à foüiller prés d’une motte de terre, esloi
uatre pas, et y trouva le thresor, dont il estoit question : S’estant
mis
en mesme temps en devoir de le donner à Xanthus :
que chacun de nous prenne part à cette bonne fortune, et que tu sois
mis
en liberté ». Cela dit, ils prirent le chemin du
min du logis, où ils furent à peine arrivez, que Xanthus voulut faire
mettre
Esope en prison, de peur qu’il eust, que son babi
voyer travailler aux champs, où il ne fust pas plustost arrivé, qu’il
mit
tout de bon la main à l’œuvre Cependant, comme il
sera dire mot à faute de preuves ». Ces choses ainsi concluës, ils se
mirent
à manger les figues : Et à chaque morceau qu’ils
Mais apres qu’on luy eust respondu qu’Esope les avoit mangées, il se
mit
fort en colere, et commanda qu’on l’appellast. Co
courut prendre de l’eau tiede, qu’il beut devant tous : puis s’estant
mis
les doigts dans la bouche, pour se faire vomir, i
qu’en effect les galands avoient bien resolu de faire, et non pas de
mettre
tout de bon leurs doigts dans la bouche, mais de
us eust affaire à la Maistresse d’Esope, qui sçachant cela, le voulut
mettre
bien viste hors de sa maison. Alors Ennus s’aband
hors de sa maison. Alors Ennus s’abandonnant à une hayne secrette, se
mit
à contrefaire une lettre, par laquelle il donnoit
té ami, témoigna qu’il l’estoit encore à ce besoin, car au lieu de le
mettre
à mort, il le tint si bien caché dans un tombeau,
ompassion, qu’il en respandit des larmes, et commanda qu’on eust à le
mettre
dans le bain, et à l’équipper d’une autre façon.
que sçachant par quel moyen il falloit resoudre ceste question, il se
mit
à rire, et fist rescrire à Nectenabo, qu’incontin
s, se rendit à la mer, et, se postant sur un rocher en saillie, il se
mit
d’abord à jouer, pensant que les poissons, attiré
s comme, en dépit de longs efforts, il n’en était pas plus avancé, il
mit
de côté ses flûtes, prit son épervier, et, le jet
de la flûte, vous ne dansiez pas ; à présent que j’ai fini, vous vous
mettez
en branle. » Cette fable s’applique à ceux qui ag
à manger N’y rencontra pour tout potage Qu’une Lime d’acier qu’il se
mit
à ronger. Cette Lime luy dit, sans se mettre en c
u’une Lime d’acier qu’il se mit à ronger. Cette Lime luy dit, sans se
mettre
en colere, Pauvre ignorant ! et que pretends-tu f
t sa Compagne. Une Lice estant sur son terme, Et ne sçachant où
mettre
un fardeau si pressant, Fait si bien qu’à la fin
dit : Je suis prête à sortir avec toute ma bande, Si vous pouvez nous
mettre
hors. Ses enfans étoient déja forts. Ce qu’on do
carbot, luy requerans d’avoir soing de sa conservation. L’Escarbot se
mit
alors à prier l’Aigle, de ne point tuër le pauvre
se : Mais l’Aigle irritée donna un coup d’aisle à l’Escarbot, puis il
mit
le Liévre en pieces, et le mangea. L’Escarbot off
s’envola vers Jupiter (car on tient qu’elle est en sa protection) et
mit
à ses genoux la troisiesme portée de ses œufs, qu
t ayant fait comme une pilule des siens, monta droict au Ciel, et les
mit
dans le sein de Jupiter, qui se leva tout inconti
. Voyant donc qu’il ne les pouvoit fléchir en façon quelconque, il se
mit
à leur faire cét autre conte. « Hommes cruels et
s gens attellerent incontinent des asnes à un chariot, sur lequel ils
mirent
le pauvre Vieillard, et le laisserent aller tout
er”, disoit-il, “en quoy t’ay-je offensé, pour estre si miserablement
mis
à mort, non par des chevaux courageux, ny par de
lle fust la fin de sa vie. Quelque temps apres, la contagion s’estant
mise
parmy eux, ils consulterent l’Oracle, qui leur re
r Oison le Cigne ; et le tenant au cou,
Il alloit l’égorger, puis le
mettre
en potage.
L’oiseau prest à mourir, se plaint en
nier fut fort surpris,
Et vid bien qu’il s’estoit mépris.
Quoy ? je
mettrois
, dit-il, un tel chanteur en soupe ?
Non, non, ne
i est des mauvais, des tresfeluns e des engrés : quant uns produm les
met
avant e par lui sunt riche e manant, s’il [se] su
hunte e ennui ; a celui funt il tut le pis ki [plus] al desus les ad
mis
.
ieurs grands hommes, de qui la plume excellente s’est employée à nous
mettre
par écrit l’estat des choses du monde, et leurs n
posa dans l’esprit l’image d’une Republique de Philosophes, et qui ne
mit
pas tant la Philosophie dans les paroles, que dan
. Elle ne pût toutesfois ny corrompre la liberté de son esprit, ny le
mettre
hors de son assiette, quoy qu’elle transportast s
un loup affamé, qui cherchait pâture, ayant rencontré la charrue, se
mit
tout d’abord à lécher les côtés intérieurs du jou
rate ! si seulement tu renonçais aux rapines et au brigandage pour te
mettre
au travail de la terre ! » Ainsi les méchants ont
omme chauve qui portait perruque cheminait à cheval. Le vent, s’étant
mis
à souffler, lui enleva ses faux cheveux, et les t
ler, lui enleva ses faux cheveux, et les témoins de sa mésaventure se
mirent
à rire aux éclats. Alors le cavalier, arrêtant so
XIX. Le Lion et l’Asne chassant. Le Roy des animaux se
mit
un jour en teste De giboyer. Il celebroit sa fest
t ta race, J’en serois moy-mesme effrayé. L’Asne s’il eût osé se fût
mis
en colere, Encor qu’on le raillast avec juste rai
fet ; celui fist sumundrë a pleit. De cordewan prist une pel, si l’ad
mise
suz sun mantel ; l’un des chés leise dehors pendr
ur ceo ne deit prince ne reis ses cumandementz ne ses leis a coveitus
mettre
en bailie ; kar sa dreiture en ert perie.
Un homme, ayant fabriqué un Hermès de bois, l’apporta au marché et le
mit
en vente. Aucun acheteur ne se présentant, il se
au marché et le mit en vente. Aucun acheteur ne se présentant, il se
mit
en tête d’en attirer en criant qu’il vendait un d
XVIII. Le Renard et la Cicogne. Compere le Renard se
mit
un jour en frais,
Et retint à disner commere la
nards n’en manquent point.
Il se rejoüissoit à l’odeur de la viande
Mise
en menus morceaux, et qu’il croyoit friande.
On
s s’avise
De le tancer. Ah le petit baboüin !
Voyez, dit-il, où l’a
mis
sa sotise !
Et puis prenez de tels fripons le so
Qu’ils ont de maux, et que je plains leur sort !
Ayant tout dit, il
mit
l’enfant à bord.
Je blâme icy plus de gens qu’on
— Prologue Prologue Cil ki seivent de lettr[e]ure, devreint bien
mettre
[lur] cure es bons livres e [es] escriz e as [es]
et quant tel hum me ad requise, ne voil lesser en nule guise que n’i
mette
travail e peine, ki que m’en tienge pur vileine,
mocquoit de sa demande, il commanda qu’on le menât en prison. L’on se
mit
incontinent en estat, de le faire ; Et comme on l
rde un certain, qui s’en alloit aux estuves, il osta la pierre, et la
mit
ailleurs. Esope estant donc retourné vers son Mai
mpescher d’y heurter contre, comme eux, l’a ostée de sa place, et l’a
mise
ailleurs, Pour ceste seule raison, j’ay dit que j
t à leur aise, il se fist une émotion du costé des Louveteaux, qui se
mirent
à hurler bien fort, et à demander leurs meres. Le
y, et rompu la treve, ils se jetterent sur les pauvres Brebis, qu’ils
mirent
en pieces bien aisément, pource qu’elles n’avoien
est contraire. D’ailleurs, comment pouvons-nous étre asseurez qu’il a
mis
en oubly toute sa hayne, puis qu’il y en a plusie
ment, la terre, l’engagea à avaler la mer par trois fois. La terre se
mit
à l’œuvre une première fois, et elle dégagea les
e dégagea les montagnes ; puis elle avala la mer une deuxième fois et
mit
à nu les plaines ; si elle se décide à absorber l
si la Fourmy qui l’aborda, se preserva du danger d’estre noyée, et se
mit
en seureté. Sur ces entre-faites, voila survenir
danger present. Remarque sur la septante-neufviesme Fable. Je ne
mets
aucune difference entre l’Allegorie de cette Fabl
e de ses Ennemis. Il pria donc Jupiter de luy en donner ; mais luy se
mit
à rire de sa folie, et mesme luy accourcist les o
té dépoüillez, ou de leurs Royaumes, ou de la vie, pour n’avoir voulu
mettre
des bornes à leur convoitise, et qui pour tout de
Marie de France, n° 8 La chienne qui était sur le point de
mettre
bas De une lisee voil ore cunter que preste est
ors a l’us la butereient. La force ert lur e la vigur : fors l’en unt
mise
en deshonur. Cest essample purrez saveir e par me
herbe fu od falcs copee. Mes tu iés si engresse e fole que avant veus
mettre
ta parole ; la meie veus fere remeindre, par engr
pas, einz s’en aïre ; la u il set que l’en est pire, veut sa mençunge
mettre
avant ; nul ne fereit de ceo taisant.
j 87 Mm 81 Ch 70. Un chien de chasse, ayant aperçu un lion, s’était
mis
à sa poursuite. Mais le lion se retourna et se mi
u un lion, s’était mis à sa poursuite. Mais le lion se retourna et se
mit
à rugir. Alors le chien eut peur et rebroussa che
voicy le seul Philosophe qui est venu à ton festin ». Ceste nouvelle
mit
grandement en peine Xanthus, pour-ce qu’il s’imag
oient de luy. Le lendemain ses disciples estans venus aux Escoles, se
mirent
à le blasmer de ce qui s’estoit passé. « Quoy ? n
t, qu’il ait fallu, que pour nous empescher d’aller chez toy, tu ayes
mis
à la porte ce puant Esope, pour nous injurier, et
E LXIV. De l’Asne, et du Loup. L’Asne passant sur un buisson, se
mit
une espine au pied, et vid à mesme temps un Loup,
ne que j’ay au pied, afin que j’en meure plus doucement ». Le Loup se
mit
incontinent à luy rendre ce bon office ; mais il
celuy qui pour paroistre universel en la cognoissance des choses, ne
mette
effrontément sur le tapis des questions sur des m
que pour s’y estre par trop assis, le malheur voulut pour luy, qu’il
mit
dehors ses entrailles. Il est advenu depuis, que
dre ton cœur, car tu n’en as point ». Une autre fois Xanthus s’estant
mis
à banqueter avecque des Philosophes, comme ils fu
us contenter, et ne toucher plus au reste, vous, dis-je, que le vin a
mis
en si belle humeur, pour en avoir assez beu ». Al
intenant ». La chose concluë, pour confirmation de ceste gajeure, ils
mirent
tous deux leurs anneaux, puis se retirerent. Le l
ent à jeun, ce dequoy tu és demeuré d’accord estant saoul. Apres cela
mets
ordre, qu’il y ait quantité de paille sur le riva
ois, qu’une Montagne devoit enfanter, tout le Peuple y accourut et se
mit
à l’entour avecque frayeur, croyant desja qu’il e
s hommes, qui cherchent à se rendre immortels par des Bastiments, qui
mettent
sur pied des Armées, qui dévorent les Provinces e
dent pas aux esperances qu’ils font naistre, ou aux Fanfarons, qui ne
mettent
point en effect la centiesme partie de leurs mena
é de personne ; Et telle la grande Pyramide d’Egypte, où nul n’a sçeu
mettre
la derniere main. Le semblable aussi n’arriva-t’i
lus ridicule ? Ce sera, sans doute, celuy qui par un excés d’Ambition
met
dix-huict cents mille hommes sur pied, et n’about
φάγοι τὰς κέδρους τοῦ Λιϐάνου. » Cod. Mb 133. Un jour les arbres se
mirent
en devoir d’élire un roi pour les commander, et i
arbres : « Si vraiment vous m’oignez pour régner sur vous, venez vous
mettre
à l’abri sous moi ; sinon, qu’il sorte du feu de
κάνουσιν. Codd. Pa 181 Pb 178 Pg 116 Mb 154 Ca 135. Un homme, ayant
mis
une statue de dieu sur le dos d’un âne, le condui
nant que c’était lui qu’on adorait, ne se tint plus d’orgueil ; il se
mit
à braire et il refusa d’avancer. L’ânier, devinan
e, au sortir des rigueurs de l’Hyver, Apperceut un Cheval qu’on avoit
mis
au vert. Je laisse à penser quelle joye. Bonne ch
n malade. L’autre qui s’en doutoit, luy lâche une ruade, Qui vous luy
met
en marmelade Les mendibules et les dents. C’est b
La Republique des Oiseaux : La Deesse aux cent bouches, dis-je, Ayant
mis
par tout la terreur En publiant l’Edit du nouvel
Pour l’hommage et pour la maniere, Le Singe en fut chargé : l’on luy
mit
par écrit Ce que l’on vouloit qui fust dit. Le se
Assistez du Cheval ainsi que du Chameau. Tous quatre en chemin ils se
mirent
Avec le Singe Ambassadeur nouveau. La Caravanne e
portoit pas si ardemment qu’il eust voulu, ce qui fut cause, qu’il se
mit
à le frapper pour une legere faute. Esope ayant p
ers mon Maistre, avant que luy-mesme m’accuse, et qu’ainsi je ne sois
mis
hors de charge ». Ceste resolution prise, il s’en
n’ay », dit-il, « ny rien despensé n’y rien achepté non plus ». Il se
mit
donc en chemin, et son Esclave apres luy ; Et ne
estoient à la mammelle voyant Esope, en eurent peur aussi-tost, et se
mirent
à crier. Ce que voyant Esope ; « Et bien », dit-i
mpagnons, et d’entrer plus avant dans le logis ; mais comme il se fût
mis
en estat de le faire : « Vrayment », dirent ils e
Lf 108 Me 70 Mf 62 Mg 78 Mj 70 Ml 73. Zeus, ayant façonné l’homme,
mit
aussitôt en lui les diverses inclinations ; mais
e, mit aussitôt en lui les diverses inclinations ; mais il oublia d’y
mettre
la pudeur. Aussi ne sachant par où l’introduire,
nt que l’âne n’en pouvait plus, lui ôta une partie de sa charge et la
mit
et la mit sur le mulet. Quand ils eurent fait enc
ne n’en pouvait plus, lui ôta une partie de sa charge et la mit et la
mit
sur le mulet. Quand ils eurent fait encore un bou
il sonna la charge, Fut le Trompette et le Heros. Dans l’abord il se
met
au large ; Puis prend son temps, fond sur le cou
rit de voir Qu’il n’est griffe ny dent en la beste irritée, Qui de la
mettre
en sang ne fasse son devoir. Le malheureux Lion s
t partagerent entr’eux les fardeaux qu’ils avoient à porter. Esope se
mit
alors à les prier de luy donner le moins pesant,
oit le plus. Ce qui n’empescha pas que pour luy complaire, ils ne luy
missent
la corbeille sur les espaules. Luy cependant ayan
s sa corbeille, il la chargea tout à son aise sur ses espaules, et se
mit
à marcher si viste, que devançant de bien loing s
neantmoins la retenir, pour n’avoir aucune dent. Son Maistre s’estant
mis
alors à le tancer aigrement, en adjoustant les co
es languissent sous la volonté d’autruy, sans que la leur soit jamais
mise
en exercice, et sans considerer qu’ils sont homme
es services immortels ont esté cruellement bannis, voire quelquesfois
mis
à mort par l’ingratitude de leurs Peuples. Les ho
es d’un arbre, et ce fut alors, que se dédisant de son opinion, il se
mit
à loüer ses jambes, et à blasmer ses cornes, qui
t par mesme moyen tu donneras une belle instruction aux hommes, de ne
mettre
leur avantage en la vaine monstre des grandeurs e
sont pas si sujettes aux coups de coignée, que les grands arbres. Ne
mettons
donc point en compte, si nous sommes sages, nostr
urs bonnes qualitez, et ne jugent pas les autres dignes de leur estre
mis
en comparaison. Ces Médisants blâment les défauts
Comme au contraire, s’ils ont quelque chose de loüable en eux, ils le
mettent
à si haut prix, qu’il semble que tout le monde le
il ne veut qu’elle luy reproche sa pesanteur, et qu’au contraire elle
mette
en avant la haute maniere qu’elle a de voler jusq
t abondamment recompensée. Depuis ayant quitté l’Isle de Samos, il se
mit
à voyager en diverses contrées, où tout son plais
en Babilone, et y donna de si belles preuves de son sçavoir, qu’il se
mit
en faveur auprés du Roy Lycerus, qui le fit un de
ict que de coustume : ce qui fut cause que les Liévres espouvantez se
mirent
vistement à la fuïte. Mais comme ils fuyoient, il
ui s’alloient precipiter, pour se tirer de la peine où ils s’estoient
mis
, represente la foiblesse de ceux qui meurent de p
on. Je demande à ces gens, de qui la passion Est d’entasser toûjours,
mettre
somme sur somme, Quel avantage ils ont que n’ait
us vous affligez tant, Puisque vous ne touchiez jamais à cet argent :
Mettez
une pierre à la place, Elle vous vaudra tout auta
a livrer au plus tard dans deux jours, Ils conviennent de prix, et se
mettent
en queste, Trouvent l’Ours qui s’avance, et vient
m’a dit qu’il ne faut jamais Vendre la peau de l’Ours qu’on ne l’ait
mis
par terre.
Une grande gate demanda, sur une table l’adenta ; une suriz ot desuz
mise
. Puis defendi que en nule guise al vilein qu’il n
al Creatur. » Pur ceo ne deit nul encuper autrui fesance ne blamer ne
mettre
fame sur sun preme ; chescun reprenge sei me[is]m
ndre. Mes [il] ne lur volt pas atendre ; el crus d’un chesne s’esteit
mis
. Les oiseus l’unt entur asis, puis esgardent ki l
a e mesbailli, e il s’en fuient* desur li. Quant ele ot sa teste fors
mise
, purpensa sei que en nule guise ne volst el païs
r dans le fameux Temple d’Apollon, qui estoit en leur Ville, et de le
mettre
secrettement dans la male ou la valise d’Esope. U
ns ses males et ses valises, où trouvant la phiole d’or qu’on y avoit
mise
, ils la prirent et la monstrerent aux Citoyens, q
et de luy laisser passer chemin. Mais au lieu de le delivrer, ils le
mirent
en prison, pour avoir, disoient-ils, commis un sa
de mariage, voila qu’un larron ayant espié les Bœufs du Laboureur, se
mit
à les deslier, et les chassa devant soy. Dequoy l
Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. Esope se
mit
donc à suivre Xanthus, comme il s’en alloit en sa
y quelque chose de semblable ? » « Quoy », adjoûta Xanthus, « cela te
met
-il si fort en peine ? Tu ne sçais donc pas, que s
qui le regardant fixement, « Il faut », s’ecria-telle « qu’avant que
mettre
le pied ceans, tu souffres qu’on te découppe le v
n’estonnerent point autrement Xanthus, qui se tournant vers Esope, se
mit
à le reprendre, de ce qu’en chemin le voyant piss
lets, qui soient plus beaux et plus gentils qu’il ne faut, de peur de
mettre
en ombrage vostre Mary ». A ces mots, la femme de
usoient pas ainsi, bien que toutesfois cela ne les empeschât point de
mettre
au monde de fort vigoureux enfans, chez qui la sa
ncomparable Vertu, et qui par des merveilles de Valeur et de Pieté, a
mis
à fin tant de hautes entreprises. Ne doit-il pas
ents, qui accoustument aux delicatesses les enfans qu’ils viennent de
mettre
au monde ? Est-il possible de leur faire hayr une
ût bien mieux vallu pour telles femmes, d’avoir esté steriles, que de
mettre
au monde des Miserables abandonnez à toutes les d
viennent les plus vertueux, et les plus honnestes. Toutes les raisons
mises
cy-devant, et tournées au sens contraire, peuvent
et les quatre jeunes garçons pendus aux corbeilles : puis leur ayant
mis
en main à chacun une truelle ou tel autre instrum
tinent, et lors que ces Maistres ouvriers se virent bien haut, ils se
mirent
à crier ensemble ; « Donnez nous des pierres, don
stoit passée. Nectenabo fist à l’instant appeller Esope ; et s’estant
mis
à le tancer ; « D’où vient », luy dit-il, « que t
en oyant hannir les chevaux de Babylone ? » Par ceste responce, il se
mit
si bien dans l’esprit du Roy, qu’il l’estima gran
mbre d’hommes sçavants, fort versez aux questions Sophistiques, il se
mit
à les entretenir sur la suffisance d’Esope, et vo
artie, en un festin où il les avoit invitez. Comme ils se furent tous
mis
à table, un de ces Sophistes attaquant Esope ; «
». En suitte de celuy-cy, un autre prenant la parole ; « Il y a », se
mit
-il à dire, « un grand Temple, dans lequel est un
urent arrivez en Lydie, Esope se presenta devant le Roy, qui s’estant
mis
en colere ; « Voyez », dit il, « si ce n’est pas
me m’ait empesché de subjuguer une si grande Isle ? ». Esope s’estant
mis
alors à parler, il le fist ainsi. « Puissant Mona
nfermeté, que un lu seit escorcié tut vifs, si seit li sanc en la pel
mis
sur vostre piz desque a demain : de vostre mal vu
cel meme revient sur lui, si cum li lus fist del gupil, qu’il voleit
mettre
en eissil.
rrivé en la maison, que faisant le commandement de son Maistre, il ne
mit
cuire qu’une lentille. Apres donc que Xanthus se
eant de faire autre chose que ton commandement, Tu ne m’as point dit,
mets
de l’eau dans le bassin, lave mes pieds, apporte
Mais Esope n’ayant vuidé dans les escuelles que l’eau toute pure, se
mit
à la distribuer à un chacun ; Dequoy Xanthus bien
utes, dis-je, unanimement
Se promettent de rire à son enterrement ;
Mettent
le nez à l’air, montrent un peu la teste ;
Puis
leurs nids à rats ;
Puis ressortant font quatre pas ;
Puis enfin se
mettent
en queste.
Mais voicy bien une autre feste.
Le
haque sujet il ne laisse pas d’y avoir un prix veritable ; que nous y
mettons
, ou selon l’excellence de la chose, ou selon la n
ont un prix indefiny, et qui n’est mesurable, que par le temps, qu’on
met
à les acquerir, ou par l’estime et l’admiration q
e. Quant au Coq, je pense qu’il est pris pour l’homme voluptueux, qui
met
tout dans l’indifference, horsmis son ordure prop
ieux, Thésée ou Hercule, était le plus grand. Mais les dieux, s’étant
mis
en colère contre eux, se vengèrent chacun sur le
avient que par un an ot en [un] bois plenté de glan. Les pros i sunt
mis
e chaciez. Li teissuns s’est acumpainiez ensemble
e ronce pour s’aider de son secours. Les épines de la ronce lui ayant
mis
les pattes en sang, il eut mal et lui dit : « Hél
et lui dit : « Hélas ! j’ai eu recours à toi pour m’aider, et tu m’as
mis
plus mal en point. — Eh bien ; tu t’es fourvoyé,
utesfois », adjousta-il, « je m’asseure qu’il nous traictera d’autres
mets
à soupper, et vous verrez ce que je luy en diray
avecque luy. Esope s’en alla donc au marché, et sans rien changer de
mets
precedents, il achepta derechef des langues, les
trange sorte : Mesme vers ses pareils s’estant refugié Il fut par eux
mis
à la porte. Il est assez de Geais à deux pieds co
δωσι χάριν. Cod. T 1. Deux coqs se battaient pour des poules ; l’un
mit
l’autre en fuite. Alors le vaincu se retira dans
, et le vainqueur s’élevant en l’air se percha sur un mur élevé et se
mit
à chanter à plein gosier. Aussitôt un aigle fonda
vait un chien. Quand il forgeait, le chien dormait ; mais quand il se
mettait
à manger, le chien venait se mettre à ses côtés.
chien dormait ; mais quand il se mettait à manger, le chien venait se
mettre
à ses côtés. Le forgeron, lui ayant jeté un os, l
e fort haute, Et telle qu’on en voit en de certains climats, S’estant
mis
à couvert, et sauvé du trépas ; Les Veneurs pour
s au Sort, un seul Soleil à peine Se peut souffrir. Une demi-douzaine
Mettra
la Mer à sec, et tous ses habitans. Adieu joncs e
ar il le sevent a felun. Par ceste essample nus devise nul ne se deit
mettre
en justise de celui que mal lui veut fere, mes de
qu’il honorait particulièrement. Héraclès lui apparut et lui dit : «
Mets
la main aux roues, aiguillonne tes bœufs et n’inv
t à la continuë. Et puisque nous voicy tombez sur ce sujet : On avoit
mis
des gens au guet, Qui voyant sur les eaux de loin
Md 56 Mh 51 Mi 91 Mm 72 Lc 56 Lg 56. Une mule engraissée d’orge se
mit
à gambader, se disant à elle-même : « J’ai pour p
de son père l’âne. Cette fable montre que, même si les circonstances
mettent
un homme en vue, il ne doit pas oublier son origi
t un troupeau sur le bord de la mer, en voyant le calme des flots, se
mit
en tête de naviguer pour faire du commerce. En co
commerce. En conséquence il vendit ses moutons, acheta des dattes et
mit
à la voile. Mais une violente tempête survint, et
es dissolutions et les débauches, qui les perdent entierement, et qui
mettent
dans le tombeau celuy qui les a mis au monde. La
s perdent entierement, et qui mettent dans le tombeau celuy qui les a
mis
au monde. La mesme chose arrive entre les Chicane
handise. Pour cét effect la Chauve-souris emprunta de l’argent, et le
mit
dans la Communauté ; le Buisson apporta une robbe
ecque soy, et le Plongeon prit de l’or. Apres ces preparatifs, ils se
mirent
tous sur mer ; où le malheur voulut qu’il survint
t un tel tintamarre, Que le bon homme est étonné. Le pis fut que l’on
mit
en piteux équipage Le pauvre potager ; adieu plan
adieu planches, quarreaux ; Adieu chicorée et poreaux ; Adieu dequoy
mettre
au potage. Le Lievre estoit gisté dessous un mais
eluy qu’on pense.
Le Meusnier à ces mots connoist son ignorance.
Il
met
sur pieds sa beste, et la fait détaler.
L’Asne,
monter.
Messieurs, dit le Meusnier, il vous faut contenter. L’enfant
met
pied à terre, et puis le vieillard monte ; Quand
maints quolibets coup sur coup renvoyez, L’homme crut avoir tort, et
mit
son fils en croupe.
Au bout de trente pas une tr
invita son Maistre, et les autres escoliers. Comme ils se fûrent tous
mis
à table, la premiere chose que fit Xanthus, fût d
monde ». Ceste response pleust aux Escoliers de Xanthus, qui s’estans
mis
à rire : « Certainement », dirent-ils, « ce nouve
ur. Apres le disner, Xanthus estant de retour en son logis, se voulut
mettre
à deviser avec sa femme, comme il avoit accoustum
sope porte cecy à ma femme, et non pas à ma bien aymée ». Ces paroles
mirent
en desordre Xanthus, qui toutesfois pour s’en ser
en la Maison de Ville, ou, suivant le conseil de son serviteur, il se
mit
à parler aux Assistants, qui le prierent incontin
ster la Ville de tes conseils, nous te prions de le faire ». S’estant
mis
alors à parler plus hardiment, « Messieurs », leu
nc en liberté, et en pleine assemblée des Samiens ; « Messieurs », se
mit
-il à dire, « l’Aigle (comme vous sçauez) estant l
pouvoit estre que dommageable. Aussi arriva-t’il que les loups ayant
mis
en pieces les chiens, il leur fût facile d’en fai
ent entr’eux de retenir Esope. Mais luy ne le voulut pas, et s’estant
mis
à la voile avecque l’Ambassadeur, il s’en alla tr
danser ; mais il fit mainte extravagance, et les animaux indignés le
mirent
dehors à coups de bâton. Cette fable convient à c
Genisse avec l’empire. Une Grenoüille en soûpiroit. Qu’avez-vous, se
mit
à luy dire Quelqu’un du peuple croassant. Et ne v
xception, regardent sa taniere, Pas un ne marque de retour. Cela nous
met
en méfiance. Que sa Majesté nous dispense. Gramme
lui vienent, sil quereient pur ce que prendre le voleient. El bois se
met
tut esmaiét, par ses cornes est atachiét, en un b
u, pauvre Idiot, avec cét infidelle animal ? Ne crains-tu pas d’avoir
mis
la mort dans ton sein ? Si tu as ouy dire que les
méchamment à leurs peres, et qui desirent la mort de celuy qui les a
mis
au monde, voire mesme qui les a comblé de de bien
oute la Ville, auquel il donna une entiere esperance de ses biens, et
mit
toute son affection en luy, comme s’il eust esté
e gain de ses Esclaves, il se laissa vaincre à ses persuasions, et se
mit
sur mer. Y estant arrivé, il fit habiller de neuf
arrivé, il fit habiller de neuf le Grammairien et le Musicien, et les
mit
en vente en plein marché. Mais d’autant qu’Esope
’advisa de le couvrir d’un meschant sac. L’ayant ainsi déguisé, il le
mit
au milieu de ses deux compagnons, affin que ceux
s équipage, il s’émerveilla de l’invention du marchand ; Car il avoit
mis
le laid au milieu, affin que par l’opposition de
anthus, « Toutes choses », repartit le Musicien. A ces mots, Esope se
mit
à rire : A quoy le disciple de Xanthus ayant pris
it dire cette fable à propos d’un homme que la découverte d’un trésor
met
en péril de mort.
» Comme il s’abandonnait à l’orgueil, un puissant lion le prit et se
mit
à le dévorer. Le loup changeant d’avis s’écria :
ent avec une langue si tendre et si molle peux-tu mâcher et manger un
mets
si dur ? » Cette fable s’adresse à ceux dont la l
130 Mj 128 Ml 132. Une poule, ayant trouvé des œufs de serpent, se
mit
à les couver soigneusement et, après les avoir ch
, Seigneur du voisinage,
Firent societé, dit-on, au temps jadis,
Et
mirent
en commun le gain et le dommage.
Dans les lacqs
reliefs d’Ortolans.
Sur un Tapis de Turquie
Le couvert se trouva
mis
.
Je laisse à penser la vie
Que firent ces deux
n, Prest d’étouffer la pauvre beste, Ou de la lâcher aussi-tost, Pour
mettre
Apollon en défaut. Apollon reconnut ce qu’il avoi
s ; D’abord avec son haleine Il se réchauffe les doigts. Puis sur le
mets
qu’on luy donne Delicat il souffle aussi ; Le Sat
rtit pour la chasse. Ayant aperçu une grive sur un arbre élevé, il se
mit
en tête de l’attraper. En conséquence, ayant ajus
Tandis qu’il levait ainsi la tête en l’air, il ne s’aperçut pas qu’il
mettait
le pied sur un aspic endormi, qui se retourna et
eugle avait l’habitude de reconnaître au toucher toute bête qu’on lui
mettait
entre les mains, et de dire de quelle espèce elle
rtes avaient un âne qu’ils chargeaient de leurs bagages, quand ils se
mettaient
en route. Or un jour cet âne mourut de fatigue ;
ulut ronger une Lime qu’il trouva dans une forge ; Mais elle s’estant
mise
à rire, « Sotte beste », luy dit-elle, « qu’est-c
o senza haver rispetto Del mal, che del suo oprar ne senta altrui, Si
mette
a far ciò che ’l suo cor gli detta : Per che talh
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