te, Infelice sciagura, empio destino : Ché, se quando il Leon di sana
mente
Scorgeva intorno, alcuna atta non era A sostener
n era A sostener il suo possente orgoglio ; Che far potrà quand’ei di
mente
è fuori, E da discorso san tutto lontano ? Quanto
egna l’animal discreto, Che insopportabil sempre e periglioso È de la
mente
cieca il rio furore, Quando il rigor de la possan
l’arundele que ele lur ot dit male novele. Ele lur respunt : « Cil me
menti
, e jeo menti vus tut autresi ; quant me dist veir
e ele lur ot dit male novele. Ele lur respunt : « Cil me menti, e jeo
menti
vus tut autresi ; quant me dist veir, e jeo a vus
re par cest escrit – meintefeiz hum trovë e dit : meint hume [i] a ki
mentir
veut a celui ke li mentir solt. Nul sagë hum ne d
efeiz hum trovë e dit : meint hume [i] a ki mentir veut a celui ke li
mentir
solt. Nul sagë hum ne devreit creire parole nule,
, ceo est li [e]scufles e li lus. Cil furent avant amené ; par ser[e]
ment
unt afermé que ceo fut veirs que li chiens dist.
’il apela pur quei il ot le pain neié que li chiens li aveit baillé ;
menti
en ot pur poi de pris ; ore li rendist einz qu’il
este essample vus veut mustrer : de meint hume le puis pruver, ki par
mentir
e par tricher funt les povres suvent pleider ; fa
autretel li demanda de sa aleine quei li sembla. La dolente volt meuz
mentir
que pur verité mort suffrir : dit li que plus süe
ns ad demandé que il deit fere par jugement de celui que lui triche e
ment
. Tuz jugent que ele seit ocise ; dunc ad li lus l
ors de char de singe manger. Mes jeo ne voil beste adeser ; mun ser[e]
ment
m’estut garder, si jeo ne eüsse tele reisun que l
sil manga. Puis eurent tut lur jugement, ne tient vers eus nul ser[e]
ment
. Pur ceo mustre li sage bien, que hum ne deüst pu
que al privé ; si se demeine envers sa gent cum fist li lus del ser[e]
ment
.
e du Loup. Discours sur la septante-huictiesme Fable. A force de
mentir
ce petit Berger se rend indigne de foy, quand il
omme cela il perd une de ses brebis ; ordinaire advanture de ceux qui
mentent
, ausquels on n’ajouste point de creance, encore q
souvent de fausses. En quoy, il me semble que pour un vain plaisir de
mentir
, l’on perd une chose bien precieuse, à sçavoir la
ent aussi solides, et aussi utiles que ceux de ce livre. Ce n’est pas
mentir
que de dire qu’ils contiennent en eux un thresor
dum mihi consilium pulchrius esse queat miremurque magis quos munera
mentis
adornant quam qui corporeis enituere bonis.
repitus in xenodochio deges illud tibi mittam. » Fabula indicat, qua
mente
in parentes sumus, eadem liberos nostros in nos f
un censuroit son ouvrage. L’un trouvoit les dedans, pour ne luy point
mentir
, Indignes d’un tel personnage. L’autre blâmoit la
t proque agro uiduam fodere cœpit. Fabula indicat quam facile humanæ
mentes
uenerea uoluptate capiantur.
Allhor colui tutto ridente e lieto Non sì tosto la vide, che mentita
Mente
affermò che quell’istessa, quella Quella sola, e
ianzi pur caduta gli era. Compresa allhor Mercurio la bugiarda
Mente
di quel Villano empio e sfacciato, Quella d’oro n
s deo dicatæ iuuenes sed non multum pudicæ erant inclusæ. Sed quoniam
mentes
quoque ferreæ libidine superantur, infelix uir no
us 22 [DE CVPIDO ET INVIDO] Iuppiter ambiguas hominum praediscere
mentes
ad terras Phoebum misit ab arce poli. Tunc duo di
eur du Corbeau. Que vous estes joly ! que vous me semblez beau ! Sans
mentir
, si vostre ramage Se rapporte à vostre plumage, V
s ante leuat. Verum ubi concreto riguerunt membra timore (nam solitus
mentis
liquerat ossa calor), tunc olidum credens, quamui
e essample deivent oïr tutes femmes e retenir, que [tut] pur sulement
mentir
ne laissent lur enfanz perir !
; E quel, che vuol necessità, seguire, Per non parer altrui di bassa
mente
. Quel, che schivar non puoi, sopporta in pace.
il Lupo, e nulla mosso A sdegno del parlar suo dispettoso, Ma con la
mente
tutta cheta a quello Con un basso parlar così ris
Che vitio natural difficilmente Si lascia, ove invecchiato habbia la
mente
Ostinato voler, che in altri regna. Chi d’alcun
tur. Victus tandem precibus et cupiditate uitæ, qua nihil homini sanæ
mentis
dulcius est, adductæ sibi mulieris infusus gremio
re ; et d’une ardeur extrême Il le pousse ; et Rustaut qui n’a jamais
menti
, Dit que le Liévre est reparti. Le pauvre malheur
o fusto Percotendo le natiche asinine Gli fece di sé stesso entrar in
mente
Con molte busse, et con simil parole. Segui pur p
franchis et des esclaves de mes pères ? — Oh ! dit le renard, tu peux
mentir
à ton aise : aucun d’eux ne se lèvera pour te dém
, alors que l’ayant perdue, tu fais tant de commérages ! » A force de
mentir
, les vantards témoignent contre eux-mêmes. Ch
des orguillus, ki de grant pris sunt desirus ; par losanger, [e] par
mentir
les puet hum bien a gré servir ; le lur despenden
È in gran periglio di sentir la pena Del fallo anchor, che non ha in
mente
havuto. Chi servo è del Tiran vive in periglio,
compagno fé simil risposta. Io so, fratello, e ben mi tengo a
mente
Quel, che tu detto m’hai de l’odio antico, In cui
icate membra Sotto l’ardor del caldo estivo Sole. E rivolgendo con la
mente
spesso L’aspra calamità, che ognihor l’afflisse,
i tu veies une semblance. Tu ne dez pas aver creance en tes oilz, que
mentent
si sovent. » Dist li vileins : « Jeo me repent !
e crepar convenne. Così spesso interviene al vecchio insano Di
mente
, che dal tempo misurando Il senno, sprezza del gi
Dieux ». « Tu as raison », reprit Nectenabo, « et pour ne t’en point
mentir
, je me confesse vaincu. Il ne me reste plus qu’à
es paroles ; « Je te tiens », luy dit-il, « n’as-tu point de honte de
mentir
? Est-il bien possible qu’en une nuict, le chat d
n apres que Nectenabo eust fait appeller ceux de son conseil ; « Sans
mentir
», leur dit-il, « j’ay belle peur que l’esprit d’
y, que de tous les autres ensemble ». Xanthus approuvant cela, « Sans
mentir
», dit il, « rien ne peut empescher Esope, d’estr
unt le gupil apelé, si li unt le quor demandé. Il lur jura par ser[e]
ment
qu[e]’il ne l’ot emblé n[i]ent. « Seignurs », fet
nner celle-là, Leur en décharge un grand coup sur la teste. Ne point
mentir
, estre content du sien, C’est le plus seur : cepe
nde a la reine de sa vïande, quei l’en semble, verité l’en di. « N’en
mentirai
», fet ele, « mie : mut par esteit bien apparaill
bles que les mauvais esprits : car encore que ce soit leur mestier de
mentir
incessamment, si est-ce qu’il y a des circonstanc
isirs avec une plus agreable compagnie que celle de son mary. Et sans
mentir
, si les plus retenuës ont bien de la peine à deme
e, et que je manquasse de vertu pour luy pardonner, je puis dire sans
mentir
, que je ne luy souhaitterois rien de pire qu’une
se peut reduire à complaire et à cajoler ? Avec quelle grace peut-il
mentir
et souspirer devant la Beauté qu’il veut servir ?
t Xanthus, « n’y en a-t’il qu’un seul grain de cuict ? » « Nenny sans
mentir
», respondit Esope, « car tu m’as dit au singulie
nt tout à fait, et qu’ils endurent des choses, qui sont, à n’en point
mentir
, fâcheuses à supporter. Dequoy sont cause en part
d’un bien plus solide, et plus convenable à leur humeur. Aussi, sans
mentir
, ceste ardente soif que nous avons des loüanges,
, Ch’a l’orecchie di lor nova paresse, Se la tenesser con gran cura a
mente
Per riferirla al suo ritorno a lei. Or del campo
il core ; E tacer suole, o con parole pie Adombrar de la sua perfida
mente
L’iniqua voglia d’ingiustitia piena : Ma non colu
ls par la force de sa raison ; et jamais homme n’a mieux que luy fait
mentir
les Physionomistes. Son corps est esclave d’un ma
plusieurs actes de cruauté, et mesme de supercherie, qu’à n’en point
mentir
, cela leur arrive peu souvent, qu’en l’extremité
a mensa. Così rodendo insino a meza notte Il duro cibo con tranquilla
mente
A un dolce sonno alfin si diero in preda. Ma quan
la vanité des plus grandes entreprises du monde. Elle est telle, sans
mentir
, qu’elle ne pouvoit pas estre mieux comparée qu’à
si ta voix estoit aussi excellente que tes plumes, je ne croirois pas
mentir
, si je t’appellois le Roy des Oyseaux ». Ces term
ue le remords suit ordinairement le peché, l’on peut dire aussi, sans
mentir
, qu’il est presque tous-jours l’avant-coureur de
ant seulement ces gens-là que la corruption du siecle a gaignez, pour
mentir
, ou pour amplifier les veritez. Les Historiens me
le bien estre appellée un moment, au prix de l’Eternité ; Nenny, sans
mentir
; Et ceste seule consideration doit suffire pour
n suitte d’une autre, que pour estre commise la premiere. Aussi, sans
mentir
, l’exemple du Vice nous en doit luy-mesme détourn
ils ne joüyssoient que du simple heritage de leurs Peres ? Nenny sans
mentir
. Car ils sont bourrelez du soing d’en acquerir d’
nrichir du jeu, apostent de faux dez, font des tromperies aux cartes,
mentent
, blasphement, et corrompent les assistans ? Ne vo
oin d’expliquer sa pensée en ces termes : Neque enim notare singulos
mens
est mihi, Verum ipsam vitam et mores hominum oste
ien : petro pithoeo antiqvitatis vindici. Phrix (sic) ille seruus,
mente
sanus libera Græcas iocosus fecit ex re fabulas A
l déclare lui-même en ces termes : Rara
mens
intelligit Quod interiore condidit cura angulo.
del ysopo. no se si son atribuydas a el verdaderamente o en fingida-|
mente
. Fol. 77 a (D 1 rº). — Titre des fables provena
Las fabulas | del clarissimo | y | sabio fabulador Ysopo y nueua-|
mente
emendadas. | A las quales agora se an̄adieron al-
le. xxxiie. et dernier liure de || Vincent miroir hystorial Nouuelle||
ment
imprime a Paris par Nicolas || couteau. Et fut ac
de ce me pere : En celi met mon parement Le doulz Ihesu-Crist qui ne
ment
: Tout bien de quoi homme est imbué Estre le doit
a royne a tres belle chierre, Madame Iehanne de Bourgoingne Ou n’a ne
mente
ne vergoingne, Fille du roy de celle terre, Ceste
mençant par ce troisième de la fable iii : Omne genus pestis superat
mens
dissona verbis, et finissant par ce dernier de l
uit vives (sic), nescit vixisse sepultos Fama (sic) ; nil fidei
mens
mulieris habet. On voit, par cette seule citatio
: Quos coluit uiuos nescit uixisse sepultos Femina ; nil fidei
mens
mulieris habet. Sola premit uiuos que metu penaqu
: Quos coluit vivos nescit vixisse sepultos Femina ; nil fidei
mens
mulieris habet. Le tout est clos au verso du feu
: Quos coluit viros nescit vixisse sepultos Femina ; nil fidei
mens
mulieris habet. Ainsi accrue, la fable se compos
ni sententiæ morales || Distichis descriptæ, et marginalibus Adnota-||
mentis
illustratæ, cum scholiis || … hoc si-||gno * præn
impressis reliquis studiose libellis Perfer : nec dubia perlege
mente
, puer. Solue grates igitur loculos : nec parcito
|| Raccolta di operette || in prosa ed in versi || atte a formare la
mente
ed il cuore della gioventù || dilettando ed instr
lata male debentur, de quibus non redditis sero querimur… Fol. 31. De
mente
composita ex dictis Senece. Primum argumentum com
31. De mente composita ex dictis Senece. Primum argumentum composite
mentis
existimo posse consistere et secum morari… Fol. 3
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