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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
amis nous tournent le dos sur le declin, et sont les premiers à faire mention de nos fautes, jusques à nous traicter inhumainem
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
s, ou ennemis, ou indifferents aux Roys et aux Peuples, dont ils font mention . Estant amis, ils nous seront quant et quant susp
3 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
ue Sainte-Geneviève ; c’est là du moins ce qui paraît ressortir de la mention suivante écrite sur le titre, selon l’usage du te
n excellent camarade et ami, M. le docteur Carteron-Corthier. » Cette mention porte la signature abrégée de Corard de Bréban, a
 Offert par M. Édouard de Blives à la Bibliothèque de Troyes. » Cette mention est signée et datée ainsi : « Édouard de Blives,
erti liber V explicit feliciter, quoique le P. Brotier n’en fasse pas mention . Dans le manuscrit de M. Pithou, au contraire, ri
il a eu soin de la faire précéder dans ses notes, page 223, de cette mention  : MS. Rem. et Pith. Sans avoir une confiance a
mort 43 ans avant la naissance de Jésus-Christ. De plus, il est fait mention dans l’Aululaire de la manière dont les Gaulois r
de leurs recherches et ce n’était qu’incidemment qu’ils avaient fait mention de ses fables. Après avoir examiné les graves err
rer sa production si étrangère à ces jeux de Phèdre dont Martial fait mention . Peut-être le montrerai-je pleinement ailleurs, q
ce de Séneque ne prouve rien contre Phedre dont Martial et Avien font mention . Avien en a fait, dit M. Christ, un Fabuliste Gre
nteste l’authenticité, et dont cependant aucun ouvrage ancien ne fait mention . Il est vrai que Sénèque ne se borne pas à garder
iversité de Leyde, publié dans cette ville par Pierre Vander Aa, fait mention d’un manuscrit qui, dans les Vossiani varii argum
d’ailleurs encore plus dissemblable, m’a été également révélée par la mention par lui mise sur le manuscrit Vossianus latinus i
xpliquer que c’est M. Fleutelot qui, en rappelant que Gude avait fait mention du manuscrit de Wissembourg, lui avait donné l’id
ontenu ; il s’en était rapporté, en la copiant littéralement, à cette mention placée en tête du volume : « Æsopica ex Cod. Vet.
um, | Gothicum et Anglo-Saxonicum spectantia. » Or l’auteur de cette mention avait fait une singulière confusion : ce qu’il av
, ils y portent les cotes 639 à 928. C’est lui qui est l’auteur de la mention erronée. Le bibliothécaire actuel, M. Kershaw, à
s apercevoir la diversité d’origine. Cela m’autorise à ajouter que la mention écrite par lui doit remonter à une date antérieur
s 151 à 164. Après les avoir transcrites, Crinitus y avait ajouté une mention , qu’il avait signée et dont voici la traduction :
gravures, accompagnées d’une traduction allemande et terminées par la mention suivante : Finis fabularum Esopi a rimitio noue
’en ai trouvé à la bibliothèque publique de Stuttgard. Il porte cette mention manuscrite : Édition tout à fait inconnue jusqu’
x éditions gothiques de 114 feuillets imprimés qui se rapportent à sa mention , je ne suis pas sans peine parvenu à savoir quell
n j’ai pu sortir de ma perplexité. J’avais remarqué, au-dessous de la mention de Panzer, une référence ainsi conçue : Cat. bib
115 a. — La table qui remplit ces feuillets n’est terminée par aucune mention finale. D. Édition de 1483. L’édition de 14
la date et le nom de l’imprimeur y sont nettement indiqués par cette mention finale : Esopus der hochberühmbt fabel Tichter m
s sur bois. 10º Édition de 1531. Je n’accorde également qu’une mention sommaire à l’édition de 1531, qui ne doit avoir é
ilité, existe une page blanche sur laquelle a été écrite au crayon la mention suivante : « Très rare. Voyez l’Alexandréidos de
Le British Museum en possède un exemplaire porté au catalogue avec la mention suivante : The fables of Æ., R. F. Auienus, P. A
un exemplaire inscrit au catalogue sous la cote 12305. bb. 14 avec la mention suivante : The Fables of Esop in English. With a
Poge the Florentine. 3º Édition de 1692. Il me reste à faire mention d’une traduction anglaise, qui, éditée par sir Ro
bliée à Anvers dans le format in-fol., dont Panzer357 et Hain358 font mention , et dont je m’occuperai moi-même tout à l’heure.
t au nombre de 22, sont arrêtées au bas de la dernière page par cette mention  : Aqui se acaba el libro del ysopete ystoriado a
latins de la Sorbonne publié en 1870, il est l’objet de cette simple mention  : « Miroir doctrinal de Vincent de Beauvais. XIII
essa. Per. Jo-||hannem. Mentellin. Troisième volume. Il porte cette mention finale : Explicit. Tercivm. Volvmen. Specvli. ||
emière édition en quatre volumes. Ne la connaissant que par la courte mention qu’en fait Panzer, je m’abstiens de la décrire385
mponius Atticus. L’idée ainsi exprimée par Morelli était basée sur la mention suivante qui terminait l’édition de 1481 : « Fini
imo octuagesimo primo : die decima nona Maii. » Malheureusement cette mention , en donnant le nom de Jenson, se rapportait clair
e est du xve  siècle. Il porte sur le recto du premier feuillet cette mention écrite par un de ses anciens propriétaires : Jo.
propriétaire du manuscrit a réitéré sa première déclaration par cette mention  : Questo libro e di Gio. Batista Ponzono 1578. A
erre Pithou sur un ancien manuscrit. C’est là ce qui ressort de cette mention qui les précède : Ex vetusto codice sumptum. Q
nu à l’abbaye de Saint-Germain des Prés, ainsi qu’il résulte de cette mention mise au bas du recto du premier feuillet : Sanct
de deux autres non numérotés. Le premier porte au haut du verso cette mention qui remonte à une époque très ancienne : Histoir
lle deriere la court. Le second porte au milieu du verso cette autre mention moins ancienne : A mon entrée à la librairie du
pilogue est donc postérieur à cette année, et comme il ne fait aucune mention des enfants de cette princesse, il faut qu’il ait
son travail de copiste, Haenel avait, à son insu, transcrit la fausse mention du catalogue. Lorsqu’il était conservateur de la
st sur parchemin. Sur la face interne du premier plat, il porte cette mention inscrite au siècle dernier : Ex bibliotheca Joan
du xvie . Les 35 premiers feuillets contiennent, non pas, suivant la mention erronée du catalogue, seulement les 45 premières
de courtes gloses tant en marge qu’en interligne et suivies de cette mention qui paraît être de la même main que les gloses :
rigine est indiquée au catalogue imprimé de la Bibliothèque par cette mention  : Aug. S. Cruc. 46, forme un volume in-folio de 1
e nº 109. Ce manuscrit, dont le catalogue indique l’origine par cette mention  : Aug. S. Ur. 109 et à qui la cote 4409 a été do
blancs. En somme, malgré ses lacunes, le manuscrit 4409 méritait une mention toute spéciale. Il est l’œuvre de plusieurs copis
spéciale. Il est l’œuvre de plusieurs copistes, comme l’atteste cette mention finale : Codicem complures scripserunt. F. Ma
me un volume in-4, dont l’origine est indiquée au catalogue par cette mention  : Chiem. ep. 11. Il porte la date de 1449 et se
e un volume in-4º, dont l’origine est indiquée au catalogue par cette mention  : Ebersb. 141. Il se compose de 263 feuillets, d
me un volume in-4º dont l’origine est indiquée au catalogue par cette mention  : Ind. 280. Il se compose de 217 feuillets, et r
un volume in-fol., dont l’origine est indiquée au catalogue par cette mention  : Em. B 42. Il se compose de 333 feuillets, dont
14301. Ce manuscrit, dont le catalogue indique l’origine par cette mention  : Em. D 26, contient plusieurs opuscules, qui, d
crit, qui est du xve  siècle et dont l’origine est indiquée par cette mention  : Em. F 89, forme un volume in-4º de 429 feuille
au xve  siècle et dont l’origine est indiquée au catalogue par cette mention  : Em. G. 87, forme un volume in-4º de 161 feuill
un volume in-fol., dont l’origine est indiquée au catalogue par cette mention  : S. Nic. 213. Il se compose de 336 feuillets et
tre exécuté que pour un prince ; c’est ce que révèle tout de suite la mention suivante mise sur le recto du premier feuillet :
écier, à sa juste valeur, le mérite artistique ; car au-dessous de la mention que je viens d’indiquer, il avait pris la peine d
Walther. Elles se terminent au feuillet 25 b et sont suivies de cette mention finale, qui fixe l’âge exact du manuscrit : Deo
a soluere colla. Immédiatement après a été écrite cette intéressante mention qui termine le manuscrit : « Vita Esopi et fabule
lle library a relevée dans une notice dont voici la traduction : « La mention de Madame Jeanne de Bourgogne dans l’épilogue du
50. Jeanne mourut en 1348. Ce qui précède ressort manifestement de la mention suivante, qui dans l’épilogue est faite, de Lains
332 et 1348, et probablement vers cette dernière année à raison de la mention des enfants de Madame Bonne445. » M. Robert ayan
mme au commencement, ajouté un feuillet en parchemin, qui porte cette mention  : Est liber hic sancti Martini louaniensis.
mi les manuscrits des bibliothèques italiennes, le premier auquel une mention soit due, est le manuscrit palatin. C’est un de c
73, dans le format in-4º. Les fables de Walther sont suivies de cette mention finale : M.cccc.lxxiii. impressus libellus Rome
aques qui sont au nombre de soixante. La dernière est suivie de cette mention  : Libellus Esopi fabulatoris maximi per me Vuend
nno salutis Mcccclxxv. Die uero sexta Iulii. La page qui porte cette mention est complétée par une épitaphe en l’honneur d’Éso
: Brixiae. mcccclxxxi. Elle est du format in-4º. — Je dois enfin une mention à une édition, dont j’ai déjà parlé et que Morell
non Virginis marie. Finis. Quoique cette souscription n’en fasse pas mention , cette édition a été imprimée à Brescia. Il en ex
ciolo Ysopacto, et sempre sia Dio laudato et benedicto ! Amen. Cette mention finale existe en termes un peu différents dans l’
a écrit, sur un feuillet supplémentaire inséré à la fin du volume, la mention suivante : Este libro ansi en quadernado. costo.
ts en parchemin. Sur le recto du premier a été inscrite en tête cette mention qui révèle son origine : Iste liber est Sancti V
es feuillets sont en parchemin et dont l’écriture, contrairement à la mention du catalogue où le xiiie  siècle lui est assigné,
assé dans la bibliothèque de Notre-Dame, ainsi qu’il résulte de cette mention inscrite sur le premier feuillet ajouté aux ancie
jouté aux anciens : « A la Bibliothèque de l’église de Paris. » Cette mention a été mise en marge, le feuillet étant lui-même r
de la bibliothèque du président de Thou ; c’est ce qui ressort de la mention suivante, qu’au bas du recto du premier feuillet
eçons, mais où il manque des vers. » Cette notice est suivie de cette mention ajoutée par une main plus récente : « Le copiste
ts en papier que le relieur a ajoutés en tête du volume, on lit cette mention , qui paraît y avoir été inscrite par M. Michelant
papier ajouté par le relieur, un premier bibliothécaire a écrit cette mention  : « 978. Ni fallor, cod. sec. XIV ; cæt. non post
rait retrouvé. En 1889, étant retourné à Trèves, j’ai acquis, par une mention inscrite sur le catalogue de la Bibliothèque, la
and, successeur de L. Devillard, 1862. — Voyez page 190. 445. « The mention of “Madame Jeanne de Bourgogne” in the French tra
to 1350. Jeanne died 1348. The above is manifest from the subsequent mention , in the epilogue, of Lainsne fil dou bon roy de F
een 1332 and 1348 and probably near the latter year on account of the mention of Madame Bonne’s children. »  Bibliotheca Grenvi
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
squels il n’y en a point de plus memorable, que celuy dont Lipse fait mention , qui est tel. Un Elephant ayant reçeu commandemen
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