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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVII. Parole de Socrate. » p. 500
s estoient d’avis Que les appartemens en estoient trop petits. Quelle maison pour luy ! L’on y tournoit à peine. Pleust au Cie
 ! Le bon Socrate avoit raison De trouver pour ceux-là trop grande sa maison . Chacun se dit ami ; mais fol qui s’y repose ; Ri
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Invention d’Esope, pour faire retourner sa Maistresse avec Xanthus. Chapitre XIII. »
ions de bouche, propres à faire un festin. Or comme il s’en alloit de maison en maison, en s’en retournant il passa exprés dev
uche, propres à faire un festin. Or comme il s’en alloit de maison en maison , en s’en retournant il passa exprés devant le log
à quelle fut l’invention d’Esope, qui trouva moyen de rappeller en la maison la femme de Xanthus, comme auparavant il l’avoit
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 245 » pp. 352-352
Cg 13 Ca 121 Cd 88 Mb 116. Un rat des champs avait pour ami un rat de maison . Le rat de maison invité par son ami s’empressa d
Mb 116. Un rat des champs avait pour ami un rat de maison. Le rat de maison invité par son ami s’empressa d’aller dîner à la
s à ta disposition. » Ils partirent aussitôt tous les deux. Le rat de maison fit voir à son camarade des légumes et du blé, et
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 49 » pp. 95-95
e avait une femme qui était rude à l’excès envers tous les gens de la maison . Il voulut savoir si elle avait la même humeur en
ques jours, elle fut de retour, il lui demanda comment les gens de sa maison l’avaient reçue. « Les bouviers, répondit-elle, e
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 356 » pp. 244-244
Ca 197. Un homme, ayant acheté un perroquet, le laissa libre en sa maison . Le perroquet, qui était apprivoisé, sauta et se
tout nouveau venu, pousser de pareils cris, tandis qu’à moi, née à la maison , les maîtres m’interdisent de crier ! et si parfo
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 173 » p. 54
scargots. En les entendant crépiter, il dit : « Misérables bêtes, vos maisons brûlent, et vous chantez ! » Cette fable montre q
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 107 » pp. 98-98
φος <ἐπὶ δώματος ἑστὼς> καὶ λύκος — Le chevreau qui est dans la maison et le loup. Ἔριφος ἐπί τινος δώματος ἑστώς, ἐ
2 Ma 71 Mb 57 et 242. Un chevreau qui se trouvait à l’intérieur d’une maison vit passer un loup. Il se mit à l’injurier et à l
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIV. Le Lion malade, et le Renard. » p. 142
nce s’execute. De chaque espece on luy députe. Les Renards gardant la maison , Un d’eux en dit cette raison. Les pas empreints
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 132 » p. 110
Pc 56 Pg 71 Ph 57 Mb 61 Ca 80. Un homme, ayant un demi-dieu dans sa maison , lui offrait de riches sacrifices. Comme il ne ce
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 290 » p. 197
169 Me 142 Mf 118. Un serpent et une belette se battaient dans une maison . Les rats du logis, toujours dévorés par l’un et
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VII. La Lice et sa Compagne. » p. 480
court, elle l’obtient. Ce second terme échû, l’autre luy redemande Sa maison , sa chambre, son lit. La Lice cette fois montre l
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — IV. Les Oreilles du Liévre. » p. 
s. J’auray beau protester ; mon dire et mes raisons Iront aux petites Maisons .
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 125 » pp. 100-100
na, ayant fait, l’un un taureau, Prométhée un homme, et la déesse une maison , prirent Momos pour arbitre. Momos, jaloux de leu
’esprit. Quant à Athéna, il dit qu’elle aurait dû mettre sur roues sa maison , afin que, si un méchant s’établissait dans le vo
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XII. Le Cigne et le Cuisinier. » p. 399
ust ; l’un qui se piquoit d’estre 
Commensal du jardin, l’autre de la maison .
 Des fossez du Chasteau faisant leurs galeries,

15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
t courante. La chose ainsi reglée, on composa trois lots. En l’un les maisons de bouteille, Les buffets dressez sous la treille
ttirail de la goinfrerie : Dans un autre celuy de la coquetterie ; La maison de la Ville, et les meubles exquis, Les Eunuques,
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVI. De deux Hommes, et d’un Asne. »
ls commencerent alors à debattre à qui l’auroit, et le meneroit en sa maison , chacun d’eux s’imaginant que la Fortune luy eust
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIX. Le Lion et l’Asne chassant. » p. 151
a de braire, assuré qu’à ce son Les moins intimidez fuïroient de leur maison . Leur troupe n’estoit pas encore accoûtumée A la
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XX. La Discorde. » p. 
es, On y trouva difficulté. L’Auberge enfin de l’Hymenée Luy fut pour maison assignée.
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
ous dire, Seigneur, qu’il est advenu une merveilleuse chose en vostre maison des champs ». « Et quoy », repartit le Maistre, «
hemin, et son Esclave apres luy ; Et ne fût pas plustost arrivé en sa maison , que deux enfants qui estoient à la mammelle voya
ne l’ait pris que pour servir de mal-encontre et de sortilege dans sa maison  ».
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un seul grain de lentille qu’Esope fit cuire en un Pot, et de quelques autres choses facetieuses. Chapitre X. »
ntille. Esope partit incontinent, et ne fût pas plustost arrivé en la maison , que faisant le commandement de son Maistre, il n
nne volonté Comme ils fûrent donc sortis des estuves, et entrez en la maison de Xanthus ; « Esope », luy dit-il, « apporte-nou
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 126 » pp. 106-106
t la tortue. Zeus indigné contre elle la condamna à porter partout sa maison sur son dos. C’est ainsi que beaucoup préfèrent v
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — X. Le Lievre et la Tortuë. » p. 226
votre vîtesse ? Moy l’emporter ! et que seroit-ce Si vous portiez une maison  ?
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 43 » pp. 27-27
i 45 Mj 12 Mk 13 Ml 10 Mm 10 Mn 4. Un renard s’étant glissé dans la maison d’un acteur, fouilla successivement toutes ses ha
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 157 » pp. 121-121
ueur de cithare dépourvu de talent chantait du matin au soir dans une maison aux murs bien plâtrés. Comme les murs lui renvoya
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 159 » pp. 122-122
Ma 87 Mb 240 Me 85 Mj 81 Cd 67. Des voleurs, ayant pénétré dans une maison , n’y trouvèrent autre chose qu’un coq ; ils le pr
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVIII. Des Taureaux, et du Lion. »
u’elle est entierement bien-seante et vertueuse, qu’elle establit les maisons , augmente et affermit les Empires, repousse les f
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIV. Du Charbonnier, et du Foullon. »
IV. Du Charbonnier, et du Foullon. Un Charbonnier ayant pris une maison à loüage, et prié un Foullon son voisin d’y voulo
28 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — VIII. Le Cheval et le Loup. » p. 187
des Zephirs ont l’herbe rajeunie, Et que les animaux quittent tous la maison , Pour s’en aller chercher leur vie. Un Loup, dis-
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 89 » pp. 55-55
continuellement exténuées de fatigue, décidèrent de tuer le coq de la maison  ; car, à leurs yeux, c’était lui qui causait leur
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
aire de ton present ; car si je le prens, tu volleras tout dans ceste maison  ». Discours sur la vingt et uniesme Fable. L
d mesme elle ne cousteroit qu’une perte fort legere au Seigneur de la maison . Suyvant quoy pour transferer ceste question des
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
au sang, pour se revancher elles-mesmes de ce qu’il avoit rompu leur maison . Tout ce que l’Ours pût faire à cela dans l’extrê
re d’opprimer les petits, et de les aller chercher jusques dans leurs maisons , qu’ils ruynent de fonds en comble pour se vanger
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
ert, et n’est pas à croire combien je suis agreable à tous ceux de la maison  ». « O Chien mon amy », reprit le Loup, « que tu
sorte envers son Maistre, qu’il luy donneroit quelque charge dans sa maison , pourveu qu’il voulust retrancher un peu de sa fe
de reprendre les personnes, qui pouvant demeurer libres en une petite Maison avec innocence et seureté, sans dépendre d’autres
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 56 » pp. 29-29
22 Mb 10. Un charbonnier qui exerçait son métier dans une certaine maison , ayant vu un foulon établi près de lui, alla le t
34 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 180 » pp. 329-329
λὰ τούτους ἐκφεύγειν. Codd. Ba 69 Mb 244. Un chien, nourri dans une maison , était dressé à combattre les bêtes fauves. Un jo
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — En quel temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. »
us, et tient on qu’elles se monstrent encore aujourd’huy en sa Royale Maison de Lydie. La paix estant doncques faicte avecque
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVI. Du Chat, et des Rats. »
FABLE LXXVI. Du Chat, et des Rats. Le Chat entré dans une maison , où il y avoit quantité de Rats, en prenoit un ma
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
ais en seureté avecque toy, tant que tu auras une telle coignée en ta maison . D’ailleurs, bien qu’il n’y ait plus de meurtriss
oureur qui l’a offensé, mais qui n’est plus resolu de retourner en sa maison . En effect, ce seroit mal profiter des advertisse
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
e bonne fortune un Bucheron, il le pria de le mettre en seureté en sa maison . Le Bucheron luy monstra donc sa petite loge, où
ron, nous sommes advertis de ne chercher jamais nostre asyle dans les maisons suspectes. Car il se trouve peu de gens qui ayent
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
u’ils les viennent voir à leur lever ; les convient à disner en leurs Maisons , leurs escrivent à tout propos, les tyrannisent à
it de toy, si les meschants entrent à la fin trop familierement en ta Maison , quand mesme ils seroient chargez de caresses et
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
leur Pere. Ce qui fut cause qu’un jour qu’ils estoient de repos en la maison , ce bon homme commanda tout haut qu’on luy apport
s dit de la destruction des Empires, se peut rapporter à la ruyne des Maisons particulieres, qui sont les Royaumes de ceux qui
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
ple, « à quelle amende veux-tu estre condamné ? » « Je veux perdre ma maison  », repliqua Xanthus, « et suis content de la gage
: Tout ce que je te puis dire, c’est que tu n’as plus de droict en ta maison  ». « Pourquoy cela », luy demanda Xanthus ? « Pou
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
raison, leur demanda terme pour y respondre. Il s’en alla donc en sa maison , où ne sçachant que juger de cela, il devint tout
y des Prodiges, ny des Augures ; mais il est bien vray que j’ay en ma maison un serviteur, qui sçait beaucoup de choses, et qu
t de le croire, et ne faillist point le lendemain de se trouver en la Maison de Ville, ou, suivant le conseil de son serviteur
43 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 234 » pp. 161-161
tte. Soudain un quidam vint à lui et lui annonça que les portes de sa maison étaient ouvertes et qu’on avait enlevé tout ce qu
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
sne, et du Chien. Le Chien flattoit son Maistre, et tous ceux de la maison , qui l’amadoüoient et le caressoient de mesme. Ce
il arriva quelque temps apres, que voyant son Maistre de retour en la maison , il voulut voir quelle seroit l’issuë de son entr
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »
son Maistre. Ne te repens jamais d’estre homme de bien. Chasse de ta maison le Médisant, et tiens pour certain, qu’il ne manq
46 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 21 » pp. 23-23
b 23 Pf 6 Ph 6 Ma 20 Me 6 Mf 6. Un homme qui avait des coqs dans sa maison , ayant trouvé une perdrix privée à vendre, l’ache
47 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 350 » pp. 39-39
eule, l’hirondelle, leur protégée, nicha même sans crainte dans leurs maisons . Cette fable montre que, quand on prévoit l’aveni
48 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIV. Simonide préservé par les Dieux. » p. 522
pour prix de ses vers
 Ils l’avertissent qu’il déloge,
 Et que cette maison va tomber à l’envers.
 La prediction fut vraye ;
49 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
au bois cueillir la noisette. Comme il disoit ces mots, on sort de la maison . Un chien de cour l’arreste. Epieux et fourches f
50 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — II. Le Lion et le Chasseur. » p. 326
Vid un Berger. Enseigne-moy, de grace, De mon voleur, luy dit-il, la maison , Que de ce pas je me fasse raison. Le Berger dit 
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. »
III. Esope se mit donc à suivre Xanthus, comme il s’en alloit en sa maison . Alors ayant pris garde que son Maistre pissoit e
bien à croire, que n’osant sans honte me dire, que je sorte de vostre maison , vous m’avez amené ceste belle teste de chien, af
52 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 284 » pp. 193-193
as beaucoup d’habitants. » Cette fable montre que si l’on déserte les maisons et les villes, c’est surtout quand les maîtres y
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. »
ent tant de pouvoir sur ces Mutins, qu’elles les rappellerent à leurs maisons  ; ce qui nous donne à cognoistre combien sont pui
54 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 13 » pp. 79-79
[οὗτοι] ἐξαπατῶνται. Codd. Pa 76 Pb 80 Pc 41 Pe 45 Pg 51 Ma 59. Une maison était infestée de rats. Un chat, l’ayant su, s’y
55 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 140 » pp. 105-105
e, tirant parti de son intelligence, quand vint l’hiver, se bâtit une maison et y vécut. Or un jour le froid étant devenu viol
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope se justifie devant son Maistre, et luy fait voir qui avoit mangé les figues. Chapitre III. »
et témoignerons nous deux contre luy. Car ce qu’il est entré dans la maison , nous servira d’un beau pretexte, pour inventer p
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un fardeau, dont Esope se chargea. Chapitre VI. »
hapitre VI. Quelque temps aprés que le Marchand fût de retour en sa maison , il commanda à ses serviteurs de faire des balles
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
se d’Esope, qui sçachant cela, le voulut mettre bien viste hors de sa maison . Alors Ennus s’abandonnant à une hayne secrette,
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVI. Du Paon, et de la Gruë. »
eu que tu m’advoües aussi, que tu as bien de la peine à voler sur les maisons , au lieu que d’un vol courageux je perce les nuës
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
plus naturelles. Les querelles ny les divisions n’y deschirent pas la maison du Solitaire. Les assassinats, ny les imprecation
hommes au labourage. Horace et Martial loüent à tout propos certaines maisons de plaisance de leurs amis, voire les leurs propr
61 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 76 » pp. 50-50
t alors le jeune homme l’ayant vue s’en amouracha et l’emmena dans sa maison . Comme ils reposaient dans la chambre nuptiale, A
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
enfants qu’elle a amenez, mais marastre à ceux qu’elle a trouvé en la maison de son nouveau Mary : Elle monstre donc avoir une
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du thresor trouvé par Esope, et de l’ingratitude de Xanthus. Chapitre XXII. »
». « Puis que cela est », conclud Xanthus, « retournons doncques à la maison , afin que chacun de nous prenne part à cette bonn
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
ation de Tamberlan des troubles d’Italie, et de l’accroissement de la Maison d’Espagne, pour dire en passant quelque chose des
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
ans la division d’Andronic Paleologue avecque son fils ; et jamais la Maison d’Austriche ne se fust renduë si forte, sans la p
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
lement entr’aymées, contre la nourriture qu’elles avoient prise en la maison de leur Pere ? Or pource que c’est du Philosophe
e veid rebutté de toutes ses demandes, il en mourut de regret dans sa maison . Ce qu’on ne peut attribuër à l’inclination des v
67 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 185 » pp. 134-134
e là il revint, et trouva le chien endormi dans une pièce haute de la maison  ; il s’arrêta en bas et l’appela, lui rappelant l
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
es en voulust quelque jour déplacer, et commencerent à loger dans des maisons hautes, et fortifiées, à s’environner de gardes,
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
ralement pour le dommage de tout l’Estat, se dissipa ça et là par les maisons , avec frayeur. Quant au Barbier, il fut laissé pl
70 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 87 » pp. 57-57
« Car, dit-elle, je voyais alors tous les meubles qui étaient dans ma maison  ; à présent au contraire je ne puis plus rien voi
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
é dans la neige une Couleuvre presque morte de froid, l’emporta en sa maison , et la jetta prés du feu ; mais un peu aprés, la
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
l’Eglise ; on les espluche à la table ; on prend garde à eux dans la maison  ; on les guette parmy les promenades ; tout le mo
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
grands Seigneurs, et s’embroüillent dans les troubles d’une puissante Maison , jusques à faire des actions indignes de leur nai
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. Un Homme avoit en sa maison une Idole de bois, qu’il pria de luy faire quelqu
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
is qui tremblent à la veuë du peril, apres l’avoir méprisé dans leurs Maisons . Tel fut fait le Trazon de la Comedie de Plaute :
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
re temps les François à la Royale Tyge de Bourbon, les Espagnols à la Maison d’Austriche, et les Turcs à la famille des Othoma
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
là viennent tant de desordres que nous voyons en public : et dans nos maisons  : De là les dissentions et les meurtres, qui deso
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXI. Du Dieu Mercure, et d’un Charpentier. »
de leur solitude, et les charmes qu’ils trouvent dans la paix de leur maison , celuy là, possible, ne diroit pas, que telles ge
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
autre assez jeune. Comme ils demeuroient tous ensemble dans une mesme maison , la Vieille voulant attirer son mary à l’aymer, l
un mot, c’est achetter des soucis, et chasser pour jamais hors de sa maison la Philosophie et la tranquillité de l’esprit. Po
80 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du present fait à la maistresse de Xanthus. Chapitre XII. »
eritable qu’elle ayme mon Maistre ». Comme il fust donc entré dans la maison , il appella sa Maistresse, et mettant devant elle
81 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
de se separer, à cause que l’un des deux estoit obligé de visiter la maison de son ancien hoste, et de laisser son amy dans u
de si chetif que leur habillement, rien de si mal en ordre que leurs maisons . Ils font abstinence au milieu de la richesse : i
gesse et la Science ? que n’appellons-nous la Philosophie dans nostre maison , pour estre compagne éternelle de nos enfants ? E
82 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
ait advoüër ainsi, quand elle publie, qu’avec ce que Vous estes d’une Maison des plus Illustres de la Republique à qui elle a
83 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
a vie est esloignée de toute sorte de troubles et de perils : Dans ma maison je ne meurs que d’une vieillesse tranquille, et q
84 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
stes ! Il ne faut qu’un embrasement pour reduire en cendre vos belles maisons . Le débordement d’un Ruisseau vous peut oster vos
85 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
Des Coqs, et de la Perdrix. Un homme ayant plusieurs Coqs en sa maison , achepta une Perdrix, qu’il mit avec eux pour l’e
86 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
fidelité des Chiens, puis que les Histoires publiques, et toutes les maisons des particuliers sont plaines de ces merveilles,
87 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
’Auguste le lui eût donné. Tout au plus pourrait-on dire que, dans la maison impériale, la forme étrangère de son nom lui avai
t attiré sur lui l’attention des assassins. En gagnant par le toit la maison contiguë à la sienne et en allant ensuite se cach
d’y porter remède. Quand il vit que, pour satisfaire son ambition, la maison de Lorraine ne craignait pas d’appeler l’Espagne
lège toute ma bibliothèque et tous les livres qui se trouveront en ma maison . » Si donc Pierre avait rendu le manuscrit à son
tié de sa franchise, engager enfin un esclave fugitif à réintégrer la maison d’un maître brutal. N’y a-t-il pas là une ressemb
emble auscunes ioyeusetez de Poge florentin. On les vend à Lyon en la maison de la veufue de feu Barnabe Chaussard : près nost
e termine par cette souscription : Imprime a Lyon sur le Rosne en la maison de maistre Bartholomieu Buyer citoyen de Lyon et
aint-Victor, rue des Fossés Saint-Victor, est aussi ancienne que leur maison , qui fut fondée en 1113. Elle était fort estimée
t dans tous les cas établi, c’est qu’il devint, en 1215, abbé de leur maison établie Exeter et qu’il y écrivit la plus grande
prestres tabouroit, Que que li preudom labouroit, Fu soule remese en maison , Fors tant san plus de l’enfancon, Qui n’auoit pa
de Troyes, où il enseigna ensuite la rhétorique, puis occupa, dans la maison de Paris, la place de bibliothécaire que la Révol
ave est justifiée par une mosaïque qui se trouve à l’entrée d’une des maisons de Pompéi. 73. Phædri Aug. Liberti Fabularum Æs
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