bien fait pour moi, dit-il, puisque lâchant la pâture que j’avais en
main
, j’ai préféré l’espoir d’une plus belle proie. »
FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. La
Main
, et le Pied, formerent jadis une plaincte contre
is luy les ayant prié deux ou trois fois de l’assister d’aliments, la
Main
luy en fist refus ; de sorte que se trouvant par
attenué de faim, tous les autres Membres commencerent à défaillir. La
Main
les voulut doncques servir alors, mais ce fut tro
t dans une grange, il fut pris par un Paysan. Comme il se veid en ses
mains
, pour essayer de s’en retirer, il se mit à le fla
Car on establissoit Juge sur un autre, celuy qui avoit la force à la
main
, et qui n’etoit pas moins usurpateur, ny moins bl
cés de ceste vie, qu’un meurtrier paye la peine de ses actions par la
main
d’un autre meurtrier ? Qu’un adultere souffre le
onorait particulièrement. Héraclès lui apparut et lui dit : « Mets la
main
aux roues, aiguillonne tes bœufs et n’invoque les
Elle avoit évité la perfide machine, Lors que se rencontrant sous la
main
de l’oiseau, Elle sent son ongle maligne. Pendant
rtit le pêcheur, je serais un sot de lâcher le butin que j’ai dans la
main
, pour compter sur le butin à venir, si grand qu’i
lâcher, sans espoir d’un profit plus grand, le profit qu’on a dans la
main
, sous prétexte qu’il est petit.
que l’oracle de Delphes était menteur. Au jour fixé, il prit dans sa
main
un petit moineau, et, le cachant sous son manteau
açant en face de l’oracle, il demanda si l’objet qu’il tenait dans sa
main
était vivant ou inanimé. Il voulait, si le dieu r
fait l’Oust. Creusez, foüillez, bêchez, ne laissez nulle place Où la
main
ne passe et repasse. Le pere mort, les fils vous
arder. Ne savez mie que ceo munte ? Tutes femeles unt grant hunte, si
mains
madles les deit tucher a tel busuin ne aprismer.
, à quoy bon cecy ? L’un refroidit mon potage ; L’autre réchauffe ma
main
. Vous pouvez, dit le Sauvage, Reprendre vostre ch
tude de reconnaître au toucher toute bête qu’on lui mettait entre les
mains
, et de dire de quelle espèce elle était. Or un jo
eus ayant enfermé tous les biens dans un tonneau, le laissa entre les
mains
d’un homme. Cet homme, qui était curieux, voulut
tel chanteur en soupe ?
Non, non, ne plaise aux Dieux que jamais ma
main
coupe
La gorge à qui s’en sert si bien. Ainsi d
fices, jusques là mesme, que de la langue ils en viennent souvent aux
mains
, et tout cela pour un advantage qui ne leur est p
eo te ai issi deliveré » Li lus respundi cuintement : « Ta lange, tes
mains
vereiment dei jeo », fet il, « bon gré saveir ; m
mêlent, et les unes viennent plus tôt, les autres plus tard entre les
mains
de Zeus, pour subir ses justes jugements. Cette f
it à rire et lui dit : « Tu vas mourir tout de suite, et de ma propre
main
; car quel que soit le mal, petit ou grand, il fa
e des malheurs, quand il m’arrive par hasard d’être prise entre leurs
mains
. » Les fanfarons de paroles se laissent confondre
peut rien tirer qu’avecque le bâton. Plus je te remplissois, plus mes
mains
estoient vuides : J’ay bien fait de changer de to
donne un autre Maistre ; et l’Animal de somme Passe du Jardinier aux
mains
d’un Corroyeur. La pesanteur des peaux, et leur m
enaient en sens inverse, lui demandèrent ce qui lui avait souillé les
mains
; il répondit qu’il venait de descendre d’un mûri
gé d’éponges, et l’Asne chargé de sel. Un Asnier, son Sceptre à la
main
, Menoit en Empereur Romain Deux Coursiers à longu
jamais la crainte des perils. Comme ils se voyent donc la force à la
main
, à cause de ceux qui les assistent, ou dans un en
schez, ou separez, si d’avanture des outrages il en falloit venir aux
mains
. Cependant les grands courages, qui recognoissent
« Fous es », fet ele, « si tu creiz pur verité quan que tu veiz. » As
mains
le prent, od li l’en meine a une cuve d’ewe plein
satyre. L’hiver étant venu et avec lui le froid, l’homme portait ses
mains
à sa bouche et soufflait dessus. Le satyre lui de
emanda pourquoi il en usait ainsi. Il répondit qu’il se chauffait les
mains
à cause du froid. Après, on leur servit à manger.
us avons dit, qu’il ne faut pas tomber pour la seconde fois entre les
mains
des meschants, mais se mesfier tous-jours d’eux,
asseoir auprés du feu. Mais ayant pris garde qu’il soufloit dans ses
mains
, il luy en demanda la cause : A quoy le Voyageur
. Il leur respondit que nenny, et toutesfois leur faisant signe de la
main
, il leur monstra l’endroict où il estoit caché ;
aurois eu garde de m’en aller, comme tu dis, sans te remercier, si ta
main
, tes actions, tes mœurs, et ta vie, eussent esté
s extrémement obligez à la courtoisie d’un si bon hoste, leverent les
mains
au Ciel, et recompenserent leur bien facteur par
n métier qu’il veut nous faire apprendre.
Ainsi dit, ainsi fait. Les
mains
cessent de prendre ;
Les bras d’agir, les jambes
loit à l’Écolle, déroba un Livre à son Compagnon, et le mit entre les
mains
de sa Mere, qui le prit volontiers sans le châtie
issoit en âge. A la fin la chose alla si avant, qu’il tomba entre les
mains
de la Justice : On luy fit donc son procez, et sa
nt au danger pour nostre consideration, jusques à mettre l’espée à la
main
pour nostre deffence ; En cela plus interessez po
ladie, ou accablé de misere, ou confiné dans une prison, ou entre les
mains
des Sergents, on esprouve de fidelles et durables
à l’heure mesme, et le pauvre Merle bien estonné de se voir entre ses
mains
; « O homme », luy dit-il, « si tu bastis toûjour
e
Je sçauray m’éloigner, ou vivre en quelque coin.
Voyez-vous cette
main
qui par les airs chemine ?
Un jour viendra qui n
veux : Je rehausse d’un teint la blancheur naturelle : Et la derniere
main
que met à sa beauté Une femme allant en conqueste
boureur, vu sa stérilité, s’en allait le couper, et déjà, la hache en
main
, il assénait son coup. Les cigales et les moineau
hacun de ses trois fils l’en asseure en pleurant. Il prend à tous les
mains
; il meurt ; et les trois freres Trouvent un bien
Mais pour revenir à nostre Corbeau, qui fût comme un joüet entre les
mains
des Enfants, il nous apprend que si la folle imit
Arts, et en toute sorte d’actions, soit de l’intelligence, soit de la
main
. En quoy le Presomptueux, qui s’imagine follement
tes des Paysans et du menu peuple, à qui la Fureur met les armes à la
main
, et les porte indiscrettement à des actions preci
l’œil de la poudre, si l’œil prend garde aux choses nuisibles ; si la
main
va au devant du coup, pour parer la teste ; si la
ard aux circonstances, on se voit enlever même ce qu’on tient dans la
main
. Chambry 108.2 Aliter — Autre version.
il vit un scorpion ; il le prit pour une sauterelle, et, creusant la
main
, il allait l’y déposer, quand le scorpion, dressa
érance de plus grands biens laissent échapper ceux qu’ils ont dans la
main
. Chambry 8.2 Aliter — Autre version Ἀηδ
ervir de guide, que de parler tant seulement ; Il faut prendre par la
main
celuy qu’on veut addresser, et le conduire, en ma
it connoissance avec elle ; Auprés de luy la fait asseoir ; Prend une
main
, un bras, leve un coin du mouchoir ; Toutes sotis
x champs, où il ne fust pas plustost arrivé, qu’il mit tout de bon la
main
à l’œuvre Cependant, comme il eust pris fantaisie
oins au contraire n’ont rien de sacré, ny d’inviolable. Ils levent la
main
devant leur Juge ; ils appellent leur Createur à
ans le discours precedent n’auroient jamais reçeu de disgrace par les
mains
de leurs Ennemis, si leur grandeur n’eust attiré
, si pour la juste deffence de sa vie quelqu’autre a mis l’espée à la
main
contre un qui soit un peu en faveur, ou en credit
si bien reduit dans une Cisterne, qu’il seroit sans doute mort de sa
main
, si le vertueux jeune homme n’eust moderé son res
moins reduict à la mercy des Turcs, et mourut deux heures apres de la
main
d’un Ianissaire. Mais je ne m’apperçois pas qu’en
ouvaient ces revers, ils se choisirent des stratèges et les élurent à
main
levée. Or ceux-ci, voulant être distingués des si
cognoissance. Car de donner son cœur à la premiere occasion entre les
mains
d’une personne que nous n’avons point pratiquée,
un bois, il vit un lion qui dévorait le veau ; épouvanté, il leva les
mains
au ciel en s’écriant : « Ô souverain Zeus, naguèr
ur femmes. Que pourrais-je bien te faire ? » À ces mots, il asséna sa
main
sur le mur, pour crever l’œil du lion. Mais une p
, et que cela nous oblige à les considerer comme un ouvrage de nostre
main
. De plus, il se proposera mille fois devant les y
e resistance dura depuis jusqu’à ce que le grand Cesar les reduisit à
main
armée, soit que l’honneur de ceste entreprise luy
ouces paroles le gros cerf qui habite la forêt, et amène-le entre mes
mains
; car j’ai envie de ses entrailles et de son cœur
cerf se sauva en toute hâte dans les bois. Alors le renard claqua ses
mains
l’une contre l’autre, dépité d’avoir perdu sa pei
de sa liberté, il doit cherir tous les Roys qui luy sont donnez de la
main
de Dieu, fussent-ils plus insensibles, ou plus st
haillons, et de laisser aller un heritage assez raisonnable entre les
mains
des persecuteurs. Ce seroit une chose extravagant
quatre jeunes garçons pendus aux corbeilles : puis leur ayant mis en
main
à chacun une truelle ou tel autre instrument de M
rence, accoururent tous à la foule, et arracherent le pauvre chat des
mains
de ceux qui le battoient ; puis ils s’en allerent
t commandé en de pareilles rencontres, ont accoustumé de briguer sous
main
l’honneur entier de l’advanture, et de rendre de
my », luy dit-il, « je ne suis pas d’advis de me laisser échapper des
mains
une proye asseurée, quelque petite qu’elle puisse
iere une charge de Capitaine, qui luy tombera toute acquise entre les
mains
, pour attendre avec incertitude, celle de Maresch
nt qu’ils ont esté bien et fidellement unis. Nous avons veu entre les
mains
d’un Laboureur un faisceau de Verges, qui n’ont p
ngeance, et que c’est empieter sur luy que de la vouloir faire de ses
mains
. Voylà pour ce qui est d’étouffer toute sorte de
r par là. De la voix il répondit qu’il n’en avait pas vu ; mais de la
main
il fit un geste pour indiquer où il était caché.
es enfants, et tu seras à la fin contrainct de le tuer de ceste mesme
main
dont tu luy as desja conservé la vie. Icy je ne p
oureur fasché contre un Serpent qu’il nourrissoit, prit une cognée en
main
, et se mit à le poursuyvre. Mais le Serpent escha
telle la grande Pyramide d’Egypte, où nul n’a sçeu mettre la derniere
main
. Le semblable aussi n’arriva-t’il pas en l’entrep
raisonnement, les uns mirent la forme de leur Gouvernement entre les
mains
de plusieurs, et les autres s’attribuërent à eux
que nous, et de tels temperaments ; nourris sous tel climat, de telle
main
, et de telle sorte ; si, dis-je, les mesmes circo
lus importants. Mais un jour il fut pris sur le fait ; on lui lia les
mains
derrière le dos, et on le conduisit au bourreau.
faire plus d’honneur, qu’elle me veut laver les pieds de ses propres
mains
, bien qu’elle le puisse commander à quelqu’une de
il hoste accourut à luy par une estrange merveille, et le sauva de la
main
de ces Brigands. Voila un exemple de la recognois
ant son ennemy dans la ruë ; « Tu és », luy dit-il, « eschappé de mes
mains
», donnant à entendre par ces paroles, que la dis
’oisiveté ; de s’estre gorgé de delices, d’avoir perdu l’usage de ses
mains
, et engourdy jusques-là sa personne, qu’elle deme
soüiller du sang des nostres. Ce fût elle qui mit le poignard dans la
main
de Polymnestor, pour tuër l’innocent Polydore, qu
urent immuables et perclus dans leurs cabinets, à faute d’estendre la
main
, pour tirer les pistolles de leur place, et en fa
le d’estre venuë du Ciel, d’estre faite pure et incorruptible par les
mains
de Dieu, et puis d’espouser icy bas la chetive pa
n troubla point. Mais apres que devant l’assemblée il eust estendu la
main
, et obtenu silence des assistans, « Hommes Samien
conduite criminelle de Séjan. Le ministre de Tibère avait aspiré à la
main
de Livia Livilla, sœur de Germanicus et femme de
bailliage de Tonnerre étant devenu vacant, il le reçut, en 1573, des
mains
du duc d’Uzès et de sa femme, Louise de Clermont-
me soupçonnoit-on leur existence. Il les avoit déjà transcrites de sa
main
, et données à Patisson, son Imprimeur, lorsque la
ttre ce voyage à profit pour le Public, il avait retiré le Phèdre des
mains
de Patisson, pour le faire imprimer à Troyes sous
; le deuxième, quoique très rogné, porte des notes écrites par trois
mains
différentes. Je n’ai aucune remarque à faire sur
est signée d’un B avec paraphe. À côté de ce B, à l’encre, une autre
main
a ajouté ces mots : Certe Beaucousin 75. La con
and on les compare à sa signature, on est porté à les attribuer à une
main
beaucoup plus ancienne. J’ai relevé plusieurs de
ement de faire connaître les particularités qui indiquent par quelles
mains
le volume est successivement passé. D’abord, sur
remonter à l’origine de leur manuscrit. Voyons maintenant par quelles
mains
, depuis 1596, il est successivement passé. Pierre
mettre facilement un terme à leur incertitude. Il porte écrites de la
main
de Rigault les variantes du manuscrit avec les in
son Examen des nouvelles fables de Phèdre, indique qu’il est dans les
mains
de M. Le Peletier de Rosanbo, fils de l’infortuné
orrections d’une encre un peu plus foncée, mais évidemment de la même
main
. De là les doubles leçons pour le même mot. « La
reliés 32 feuillets en papier, qui sont la copie du manuscrit, de la
main
de Pierre Pithou. Cette copie offre cela de très
ianus, Rigault répéta les mêmes variantes. Ceux qui n’auront dans les
mains
que ces deux éditions, pourront être portés à cro
lt, publié en 1617 par Robert Étienne. Cet exemplaire était passé des
mains
de M. de Foncemagne dans celles de M. Dacier. Il
t, sur la face intérieure de la couverture, cette note, qui est de la
main
de M. de Foncemagne, et que la notice, imprimée e
nier coup d’œil sur l’imprimé qui portait les variantes écrites de sa
main
, il s’aperçut de son omission, et au bas de la pa
Reims ; il n’en a connu les variantes que par les notes écrites de la
main
du Père Sirmond en marge d’un exemplaire de l’édi
même, prétendait qu’il était passé de l’abbaye de Saint-Remi dans les
mains
du savant qui l’avait publié. Confondant de même
e renfermait furent dispersées. Le manuscrit de Phèdre passa dans les
mains
de la reine Christine. Ce nouveau changement de m
bas, a été tracé ce singulier vers, qui semble être, sinon de la même
main
, au moins de la même époque : Sepe comesta, bovi
autant que personne à la défaite du païen, reçoit pour récompense la
main
de Bélisent et la couronne de Lombardie. » La fi
ntés aux œuvres des anciens auteurs latins. Ce recueil, qui est de la
main
de Daniel, avait été commencé par lui avant la de
nt ignorées, et que quelques hommes lettrés les avaient eues dans les
mains
et s’en étaient servis. Lorsque je m’exprimais ai
is ; il n’en eut pas le courage ; d’ailleurs il avait mis la dernière
main
à l’œuvre. Il se contenta d’allonger sa préface,
ffirmé que la copie adressée par d’Orville à Burmann était sortie des
mains
de ce dernier et entrée dans la Bibliothèque du c
de Phèdre, donnée à Paris en 1783. Après sa mort elle passa entre les
mains
de son neveu, et s’est définitivement perdue dans
prétendu que la copie du collège Louis-le-Grand était passée dans ses
mains
et des siennes dans celles de ce neveu qui lui-mê
tous les autres. Lorsqu’il en fut tiré, ce fut pour être livré à des
mains
ignorantes ; on y mit même pour titre : Perotti f
ertu d’un décret qu’il avait sollicité et obtenu, était déjà dans les
mains
des imprimeurs du roi, lorsque parut celle de Cas
orturer l’esprit et à me fatiguer les yeux. Je n’aurais jamais mis la
main
à une si pénible besogne, si j’avais su qu’un aut
a Sequanæa, no 12 | MDCCCXII. En tête du volume que je possède, une
main
inconnue a écrit : « Édition donnée par les soins
qu’Adry vint l’ébranler. En tête de l’exemplaire, que j’ai entre les
mains
, de l’édition Petronj, se trouve, sur la page bla
xactitude de la déclaration de Perotti, et même, avant d’avoir mis la
main
sur l’inscription lapidaire, ils n’hésitèrent pas
ses lecteurs dans la pensée que le manuscrit de Phèdre tombé dans ses
mains
était unique, et qu’il pouvait, par suite, se van
ion in-4º de 1727, il commence par supposer que Perotti a eu dans les
mains
un manuscrit semblable, sinon à celui de Pithou,
de Rigault imprimé par Robert Estienne240, est aujourd’hui entre mes
mains
, et je puis affirmer qu’il a été exactement repro
nneur ; ce vers Phædri libellos legere si desideras , qui révèle une
main
étrangère à l’auteur lui-même ; cet emprunt fait
ités réelles. Il en conclut que l’on doit y reconnaître au moins deux
mains
différentes, et pour lui rien ne démontre que l’u
à Bautzen, Dressler reconnaître si bien dans les fables nouvelles la
main
de Phèdre qu’il en fait un livre VI266. Je suis s
ins maladroits. Mais les critiques qui n’ont pas voulu reconnaître la
main
de Phèdre dans les nouvelles fables ont cité, com
jusqu’à l’année 1822. Comme leurs deux éditions sont dans toutes les
mains
, je crois pouvoir m’abstenir de mentionner celles
ces dont la réunion l’avait constitué. Presque toutes sont de la même
main
, et cette main était celle d’un moine nommé Adéma
nion l’avait constitué. Presque toutes sont de la même main, et cette
main
était celle d’un moine nommé Adémar. Adémar, qu’o
uvres très diverses, réunis ou plutôt confondus ensemble par diverses
mains
du xe siècle, de sorte que sur la même ligne, sa
Il est néanmoins possible qu’il soit presque entièrement écrit de la
main
d’Adémar, et que la différence dans les dessins t
est quod nomen habeat ista prefacio. Au texte écrit par une première
main
une seconde a ajouté en marge un très grand nombr
xix b. — Gloses sur l’Ancien Testament. Elles paraissent d’une autre
main
que les écritures qui précèdent. Sixième quatern
s. Cette seconde copie, qui paraît complète et qui semble être de la
main
d’Adémar, occupe tout le quaterne et se termine a
on le verra plus loin, ces quaternes sont tous indubitablement de la
main
d’Adémar et donnent une base certaine pour appréc
t de Saint-Martial. Fol. clxxxviii b à cxc a. — Extrait de Pline. Une
main
plus récente que celle du copiste en a exactement
teuil, ayant devant lui un livre et un encrier, tenant une plume à la
main
et paraissant méditer et écrire. Ce premier dessi
Fol. ccxii b. — Un dessin occupe cette dernière page. Au-dessus une
main
du xiiie siècle a écrit cette phrase : Raimondu
les feuillets en papier sont occupés par des opuscules écrits par des
mains
diverses au xvie et au xviie siècles. Je m’abst
La voici, telle que je l’ai trouvée, écrite en tête du volume par une
main
qui est probablement celle du conservateur en fon
jà appartenir à Vossius, et cependant elle ne m’a pas paru être de sa
main
. Pendant que j’étais en Hollande, il m’a été faci
tête des Fabulæ antiquæ. Mais il importe peu de découvrir de quelle
main
est cette copie ; ce qui est plus intéressant, c’
ceux déjà connus295. De la part d’un savant qui avait presque sous la
main
le manuscrit de Wissembourg, une pareille ignoran
manuscrit se compose de 124 feuillets, dont le premier a été par une
main
récente marqué de la lettre A, et dont les autres
ensuite observer que le manuscrit a été tout entier écrit par la même
main
, et cela, malgré les ouvrages très dissemblables
même s’exécuter qu’en allant contre le but de l’éditeur, parce qu’une
main
du xie siècle a jadis entrepris la critique du m
ris la critique du manuscrit sur le manuscrit lui-même. Cette seconde
main
a corrigé avec tant d’ardeur et elle a été notamm
me à le lui vendre. Il est probable que, bien avant d’entrer dans ses
mains
, le manuscrit était plus ou moins régulièrement s
Fol. 1 a. — Au haut de la page le bibliothécaire Ebert a donné, de sa
main
, au premier ouvrage le titre suivant : Juliani e
vrai que ses fautes ont été corrigées au xie siècle par une seconde
main
moins illettrée ; mais le correcteur tantôt s’est
les phrases défigurées, tantôt a recouru au texte qu’il avait sous la
main
et qui par malheur n’était ni celui de Phèdre, ni
imitives telles qu’on les aperçoit sous les corrections de la seconde
main
: Ne que de alienis bonis dum magnum se vellit
us dolores. Voici maintenant la même fable modifiée par la deuxième
main
sur le même manuscrit : De alienis bonis dum ma
quand il l’a voulu. Enfin, lorsque j’eus mis à mon œuvre la dernière
main
, considérant que de plus grands présents convenai
ont séparées par 190 feuillets, ne paraissent pas copiées par la même
main
, et très vraisemblablement ne se sont trouvées ré
renferme n’est guère que l’altération de l’Æsopus ad Rufum due à une
main
inexpérimentée, il ne faut peut-être pas lui cher
format, composé de 186 feuillets en papier et écrit tout entier de la
main
du savant Florentin. Les fables de Romulus occupe
tardé à me convaincre que M. Oesterley ne l’avait jamais eu entre les
mains
, et qu’il n’avait fait dans sa courte analyse que
irréprochable, et les gravures sur bois en ont été coloriées par une
main
assez adroite. Le troisième, qui est revêtu à la
cette notice, dans l’écriture de laquelle j’ai facilement reconnu la
main
de Douce lui-même : This copy (wanting one leaf
Earl Spencer, et qui vraisemblablement est encore à Althorp entre les
mains
de sa famille. Cet exemplaire faisant partie d’un
les marges de ces deux derniers exemplaires, ont été écrites par des
mains
du xvie siècle. L’exemplaire du British Museum a
é par une gravure sur bois qui représente Ésope assis et tenant de la
main
droite un oiseau et de la main gauche une jambe d
représente Ésope assis et tenant de la main droite un oiseau et de la
main
gauche une jambe de mammifère. Au-dessous on lit
is comme, pour la trancher, il faudrait avoir simultanément entre les
mains
les exemplaires des deux éditions, je ne l’essaie
º, relié en veau et composé de 45 feuillets en vélin. Il est dû à des
mains
diverses et contient plusieurs opuscules, que le
réalité en possède 64 en parchemin et dont l’écriture est de diverses
mains
du xve siècle. Les feuillets 53 à 64 sont rempli
ine de relever cette allégation ; mais, comme il est dans beaucoup de
mains
, il me paraît utile de la signaler. 2º Biblio
hiffres romains, au nombre de 152, et dont l’écriture est celle d’une
main
française du xve siècle. Il renferme, entre autr
ur lui un livre unissant le charme à l’utilité. Romulus, ayant mis la
main
sur l’œuvre grecque de l’Athénien Ésope, la tradu
encore un vieux manuscrit de la vie d’Ésope, qui se trouve entre les
mains
de Thomas Mactecoda, professeur de littérature fo
enferme les écrits de huit auteurs moraux, me paroît écrit de la même
main
, et je ne vois pas pourquoi il auroit mis son nom
son compatriote Haenel, il avait trouvé la note suivante écrite de la
main
même du copiste : « In principio huius operis att
périale, je demande le manuscrit latin 303, et, quand il est dans mes
mains
, je m’aperçois que le nom d’Hildebert n’y figure
de leur tâche : Finito libro sit laus et gloria Christo. Une
main
moins ancienne avait écrit au-dessous deux lignes
compose seulement de dix-neuf feuillets en parchemin, écrits par une
main
du xive siècle. Les premier et dix-neuvième feui
ahiers, sur chacun desquels figurent des opuscules transcrits par des
mains
diverses. Le premier de ces cahiers comprend quat
et fructefier face : Pour ce qu’il soit plus essauciez, Je ioins mes
mains
deuos au ciez, Que suppliant tout mon deffaut La
rason, De cieulx enuoie le subside : La mere et [le] fis nous aïde, E
main
biau dit qui semble fable Ha main biau mot et ano
: La mere et [le] fis nous aïde, E main biau dit qui semble fable Ha
main
biau mot et anotable. J’ay oy dire mainte foiz :
ffres arabes, il y en a un en chiffres romains, qui paraît être d’une
main
ancienne et qui, s’il était une date, serait cell
précédés d’un premier feuillet neuf qui porte un titre écrit par une
main
moderne, et suivis d’un dernier feuillet qui est
e page, se lit cette observation qui ne tire son importance que de la
main
qui l’a écrite et signée : « Le présent manuscrit
feuillet. Elles ne portent pas de titre général ; mais, en tête, une
main
ancienne a écrit cette sorte d’invocation : Alan
ses acquisitions, en janvier 1764, se montait, suivant une note de sa
main
, à la somme de 50,787 livres. À sa mort, il en do
omanum. La première syllabe du mot fecit a été grattée. Plus bas une
main
moins ancienne a écrit : Fecit transferi (sic) d
56. Dou chien, dou lou et dou bien de franchise. 57. [D]ou pie, de la
main
qui se plaignent dou uantre. 58. Dou singe et dou
e même que dans les premières. En ce qui touche le titre général, une
main
moins ancienne, pour combler la lacune, a écrit,
244 feuillets en papier dont l’écriture à deux colonnes est due à une
main
du xve siècle. Il porte le millésime de 1471. Il
t probable qu’il existe encore ; mais je ne saurais dire dans quelles
mains
il est passé. § 3. — Allemagne du Sud. B
’en interligne et suivies de cette mention qui paraît être de la même
main
que les gloses : Per Hartmannum Schedel in Studi
me. Elles occupent les feuillets 76 et suivants. L’écriture est de la
main
d’un copiste nommé Burkhardus Zingg. E. Manusc
é se compose de 16 feuillets en parchemin, dont l’écriture, due à une
main
du xve siècle, est merveilleusement belle. En tê
volume in-fol. composé de 69 feuillets en parchemin et écrit par une
main
du xve siècle. Il contient quatre ouvrages désig
t volume in-4º, composé de 65 feuillets en parchemin et écrit par une
main
du xive siècle. Il contient quatre ouvrages anno
d’indiquer, il avait pris la peine d’écrire et de signer de sa propre
main
ce qui suit : dvx Iste liber est mei Jarandi
cédent. C’est un volume in-fol. dont l’écriture sur papier, due à une
main
du xve siècle, occupe seulement 27 feuillets. Au
mencement du recto ont été grattés et remplacés par ce titre dû à une
main
du siècle dernier : « Sensuivent les Fables Dysop
encre rouge : Explicit Esopus cum expositione. Enfin au-dessous une
main
plus récente a tracé ces deux mots : Deo gracias
vingt-six œuvres distinctes. Les écritures de ces cahiers dues à des
mains
diverses sont à longues lignes. Toutes appartienn
gnées par les mots Fabulæ anonymi. Ecrites en gros caractères par une
main
habile du xive siècle, elles occupent les feuill
Manuscrit 639. Le manuscrit 639 a été écrit sur parchemin par une
main
du xive siècle. Quoiqu’il se compose de 201 feui
les deux manuscrits de Bruxelles et de Londres sont sortis de la même
main
. Ils ont d’ailleurs entre eux une ressemblance pl
le second a été ajouté par le relieur. Au verso du feuillet 132, une
main
moins ancienne que celle du copiste primitif a éc
er, dont l’écriture est la même que celle des épigrammes. En tête une
main
un peu moins ancienne a écrit ce titre : Garicii
Christi (sic), que suit le mot Amen . Cette souscription, due à une
main
ancienne, démontre que les feuillets qui portaien
76 , et plus bas on lit : Finis. Au-dessous du mot Finis une autre
main
a écrit le titre et les deux premiers vers de la
ouzième feuillet porte cette souscription : Explicit Ysopus , qu’une
main
plus récente a corrigée en mettant un E au-dessus
Ast ego scripsissem melius, bene si potuissem. Enfin au-dessous une
main
qui n’est pas non plus celle du copiste du manusc
est de la fin du xiiie siècle ou du commencement du xive et qu’une
main
du xviiie ou du xixe siècle a fait précéder du
le : Explicit liber Esopi. Deo gratias. Amen. D. M. Au-dessous une
main
du xvie siècle a écrit ces mots : Reverendissim
écritures insignifiantes et au verso par une glose due à une seconde
main
et relative à la fable De Gallo et Jaspide. Les f
t à l’encre rouge et de nombreuses gloses marginales ajoutées par une
main
moins ancienne. Elles sont au nombre de soixante-
nnes, et qui s’étend du feuillet 60 a au feuillet 68 b. Due à la même
main
que la première, elle n’est pas, sans doute pour
in-4º, composé de 52 feuillets en parchemin dont l’écriture est d’une
main
italienne du xive siècle. Il y a bien à la fin u
ts, au nombre de 112, sont en parchemin et dont l’écriture, due à une
main
italienne, est du xive siècle. Les ouvrages qu’i
du feuillet xxvi et dernier contient un opuscule écrit par une autre
main
. § 10. — Suisse. 1º Bibliothèque canton
che, Ésope assis, pensif, le coude gauche appuyé sur un pupitre et la
main
droite sur un livre tenu debout sur sa cuisse. Le
résentant Jésus-Christ ; il est accompagné d’un agneau et tient de la
main
gauche une croix et de la droite une banderole po
e manuscrit, qui a été écrit sur papier au xive siècle par une seule
main
, forme un volume de 109 feuillets. Les feuillets
illets en papier sont au nombre de 252, et dont l’écriture, due à une
main
italienne, est de la fin du xive siècle. Il est
llimètres sur 212, composé de 86 feuillets en papier chiffrés par une
main
ancienne, dont le cinquante-sixième et les deux d
illimètres sur 215, formé de 117 feuillets en papier chiffrés par une
main
moderne. L’écriture à deux colonnes est de plusie
nsongère par la faute de l’écrivain. — Aujourd’hui j’ai passé sous la
main
du correcteur, qui, à ma grande satisfaction, m’a
entique traduit par Accio Zuccho. — Les choses qui circulent dans les
mains
des enfants et des ignorants ont l’habitude de pe
lle représente Ésope couronné de lauriers, recevant un exemplaire des
mains
du traducteur agenouillé, qui est vêtu d’une robe
plaire de la Colombine a appartenu à Fernand Colomb qui, de sa propre
main
, a écrit, sur un feuillet supplémentaire inséré à
t voulu en faire qu’un ouvrage classique destiné à être mis entre les
mains
des écoliers de son pays et à leur faciliter l’ét
anneaux se tiennent si visiblement qu’il est impossible de mettre la
main
sur l’un d’eux sans toucher aux autres. § 2. —
n parchemin, écrits sur deux colonnes en caractères gothiques par une
main
du xive siècle. Il renferme un grand nombre d’op
ture est elle-même surmontée d’un titre à l’encre rouge écrit par une
main
habile. Quant au texte lui-même, si on le compare
ait n’être pas de mon avis. Si je n’avais pas eu, pour ainsi dire, la
main
forcée par mon point de départ, il est probable q
renferme le Romulus de Florence a appartenu au trop fameux Libri, des
mains
duquel il est, avec tous ses manuscrits, passé da
uscrits qui en dépendaient et notamment celui dont il s’agit ici. Des
mains
d’Isaac Vossius il est passé avec toute la biblio
qu’au bas du recto du premier feuillet il avait sans doute mise de sa
main
: Jac. Aug. Thuani. Le volume renferme de nombr
218 feuillets écrits, dont l’écriture sur deux colonnes est due à une
main
du xiiie siècle. Les 218 feuillets écrits sont p
première page de ce manuscrit. Les notes marginales sont aussi de sa
main
. Ce manuscrit donne en général de bonnes leçons,
des vers. » Cette notice est suivie de cette mention ajoutée par une
main
plus récente : « Le copiste semble avoir écrit à
cidaire en prose. Page 226. À la suite de cette nomenclature la même
main
a ajouté cette observation : Ce ms. a esté déran
re : s’il voloit oster Et hors de la meson giter, L’auoit an. ij. ses
mains
fors traistes, Quant li enfes ne dist : Ne faites
l’a uns de ses sers, S’est drois qu’il soit fel et cuiuers ; On fait
main
bien par norreture, Mais tout a dez passe nature.
e de la fable xl il ne reste que ces mots : D’un homme qui vit… Une
main
pudique a effacé la fin, qui probablement était a
es fables portent des titres spéciaux, qui ont été écrits par la même
main
que le titre général dans l’espace blanc sans dou
8, les fables sont suivies de l’épilogue ordinaire, écrit par la même
main
que les titres ; comme dans celui du manuscrit 25
des deux séries : « N a . Toutes les variantes qui suivent sont de la
main
de M. le comte de Caylus. Il les a tirées du Ms.
. de Saint-Germain des Prés parmi les fabliaux. Celles qui sont de ma
main
ont été prises sur le Ms. N. D., N. 2, 274 bis. »
l qui lui oublie Et qui Dieu met en non caloir, Por le mond(e) servir
main
et soir. Diex nous laist faire tel seruice Que no
pertinet domino Petro zum Raben. À une époque postérieure une autre
main
a ajouté : Nunc autem Nicolao Luysth presbitero
feuillets en parchemin, couverts d’une écriture microscopique par une
main
du xive siècle. Les cinquante-deux fables qu’il
le raison, qu’elle leur aura possible fait les doux yeux, ou fermé la
main
. Nous pouvons juger par là, si l’estat des Amants
nt ou s’avancent en leur condition ? Voylà donc qu’ils ont dans leurs
mains
un instrument d’Orgueil : Voylà qu’il est mal ais
ie la gloire de son autheur, ou qu’un luth qui est touché d’une bonne
main
, annonce luy-mesme l’addresse du Musicien. C’est