/ 79
1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 205 » p. 148
bien fait pour moi, dit-il, puisque lâchant la pâture que j’avais en main , j’ai préféré l’espoir d’une plus belle proie. »
t de plus belles espérances, et lâchent imprudemment ce qu’ils ont en main .
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. »
FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. La Main , et le Pied, formerent jadis une plaincte contre
is luy les ayant prié deux ou trois fois de l’assister d’aliments, la Main luy en fist refus ; de sorte que se trouvant par
attenué de faim, tous les autres Membres commencerent à défaillir. La Main les voulut doncques servir alors, mais ce fut tro
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVIII. De l’Esprevier, et de la Colombe. »
t dans une grange, il fut pris par un Paysan. Comme il se veid en ses mains , pour essayer de s’en retirer, il se mit à le fla
Car on establissoit Juge sur un autre, celuy qui avoit la force à la main , et qui n’etoit pas moins usurpateur, ny moins bl
cés de ceste vie, qu’un meurtrier paye la peine de ses actions par la main d’un autre meurtrier ? Qu’un adultere souffre le
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 72 » p. 291
onorait particulièrement. Héraclès lui apparut et lui dit : « Mets la main aux roues, aiguillonne tes bœufs et n’invoque les
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XV. L’Oiseleur, l’Autour et l’Aloüette. » p. 
Elle avoit évité la perfide machine, Lors que se rencontrant sous la main de l’oiseau, Elle sent son ongle maligne. Pendant
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 26 » pp. 18-18
rtit le pêcheur, je serais un sot de lâcher le butin que j’ai dans la main , pour compter sur le butin à venir, si grand qu’i
lâcher, sans espoir d’un profit plus grand, le profit qu’on a dans la main , sous prétexte qu’il est petit.
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 50 » pp. 36-36
que l’oracle de Delphes était menteur. Au jour fixé, il prit dans sa main un petit moineau, et, le cachant sous son manteau
açant en face de l’oracle, il demanda si l’objet qu’il tenait dans sa main était vivant ou inanimé. Il voulait, si le dieu r
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — IX. Le Laboureur et ses enfans. » p. 42
fait l’Oust. Creusez, foüillez, bêchez, ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse. Le pere mort, les fils vous
9 (1180) Fables « Marie de France, n° 21. Le loup et la truie » p. 547
arder. Ne savez mie que ceo munte ? Tutes femeles unt grant hunte, si mains madles les deit tucher a tel busuin ne aprismer. 
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — VII. Le Satyre et le Passant. » p. 35
, à quoy bon cecy ? L’un refroidit mon potage ; L’autre réchauffe ma main . Vous pouvez, dit le Sauvage, Reprendre vostre ch
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 54 » p. 37
tude de reconnaître au toucher toute bête qu’on lui mettait entre les mains , et de dire de quelle espèce elle était. Or un jo
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 124 » pp. 312-312
eus ayant enfermé tous les biens dans un tonneau, le laissa entre les mains d’un homme. Cet homme, qui était curieux, voulut
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XII. Le Cigne et le Cuisinier. » p. 399
tel chanteur en soupe ?
 Non, non, ne plaise aux Dieux que jamais ma main coupe
 La gorge à qui s’en sert si bien. Ainsi d
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVI. De deux Hommes, et d’un Asne. »
fices, jusques là mesme, que de la langue ils en viennent souvent aux mains , et tout cela pour un advantage qui ne leur est p
15 (1180) Fables « Marie de France, n° 30. Le loup et le berger » p. 22
eo te ai issi deliveré » Li lus respundi cuintement : « Ta lange, tes mains vereiment dei jeo », fet il, « bon gré saveir ; m
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 127 » pp. 313-313
mêlent, et les unes viennent plus tôt, les autres plus tard entre les mains de Zeus, pour subir ses justes jugements. Cette f
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 358 » p. 272
it à rire et lui dit : « Tu vas mourir tout de suite, et de ma propre main  ; car quel que soit le mal, petit ou grand, il fa
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 359 » p. 273
e des malheurs, quand il m’arrive par hasard d’être prise entre leurs mains . » Les fanfarons de paroles se laissent confondre
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VIII. L’Homme et l’Idole de bois. » p. 285
peut rien tirer qu’avecque le bâton. Plus je te remplissois, plus mes mains estoient vuides : J’ay bien fait de changer de to
20 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XI. L’Asne et ses Maistres. » p. 179
donne un autre Maistre ; et l’Animal de somme Passe du Jardinier aux mains d’un Corroyeur. La pesanteur des peaux, et leur m
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 215 » p. 152
enaient en sens inverse, lui demandèrent ce qui lui avait souillé les mains  ; il répondit qu’il venait de descendre d’un mûri
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — X. L’Asne chargé d’éponges, et l’Asne chargé de sel. » p. 180
gé d’éponges, et l’Asne chargé de sel. Un Asnier, son Sceptre à la main , Menoit en Empereur Romain Deux Coursiers à longu
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
jamais la crainte des perils. Comme ils se voyent donc la force à la main , à cause de ceux qui les assistent, ou dans un en
schez, ou separez, si d’avanture des outrages il en falloit venir aux mains . Cependant les grands courages, qui recognoissent
24 (1180) Fables « Marie de France, n° 44. La femme et son amant » p. 661
« Fous es », fet ele, « si tu creiz pur verité quan que tu veiz. » As mains le prent, od li l’en meine a une cuve d’ewe plein
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 60 » pp. 35-35
satyre. L’hiver étant venu et avec lui le froid, l’homme portait ses mains à sa bouche et soufflait dessus. Le satyre lui de
emanda pourquoi il en usait ainsi. Il répondit qu’il se chauffait les mains à cause du froid. Après, on leur servit à manger.
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVI. Du Chat, et des Rats. »
us avons dit, qu’il ne faut pas tomber pour la seconde fois entre les mains des meschants, mais se mesfier tous-jours d’eux,
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVI. Du Satyre, et du Voyageur. »
asseoir auprés du feu. Mais ayant pris garde qu’il soufloit dans ses mains , il luy en demanda la cause : A quoy le Voyageur
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
. Il leur respondit que nenny, et toutesfois leur faisant signe de la main , il leur monstra l’endroict où il estoit caché ;
aurois eu garde de m’en aller, comme tu dis, sans te remercier, si ta main , tes actions, tes mœurs, et ta vie, eussent esté
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Par quelle advanture Esope reçeut le don de bien parler. Chapitre IIII. »
s extrémement obligez à la courtoisie d’un si bon hoste, leverent les mains au Ciel, et recompenserent leur bien facteur par
30 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
n métier qu’il veut nous faire apprendre.
 Ainsi dit, ainsi fait. Les mains cessent de prendre ;
 Les bras d’agir, les jambes
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
loit à l’Écolle, déroba un Livre à son Compagnon, et le mit entre les mains de sa Mere, qui le prit volontiers sans le châtie
issoit en âge. A la fin la chose alla si avant, qu’il tomba entre les mains de la Justice : On luy fit donc son procez, et sa
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. »
nt au danger pour nostre consideration, jusques à mettre l’espée à la main pour nostre deffence ; En cela plus interessez po
ladie, ou accablé de misere, ou confiné dans une prison, ou entre les mains des Sergents, on esprouve de fidelles et durables
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »
à l’heure mesme, et le pauvre Merle bien estonné de se voir entre ses mains  ; « O homme », luy dit-il, « si tu bastis toûjour
34 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VIII. L’Hirondelle et les petits Oyseaux. » p. 39
e
 Je sçauray m’éloigner, ou vivre en quelque coin.
 Voyez-vous cette main qui par les airs chemine ?
 Un jour viendra qui n
35 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — III. La Moûche et la Fourmy. » p. 521
veux : Je rehausse d’un teint la blancheur naturelle : Et la derniere main que met à sa beauté Une femme allant en conqueste
36 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 85 » pp. 299-299
boureur, vu sa stérilité, s’en allait le couper, et déjà, la hache en main , il assénait son coup. Les cigales et les moineau
37 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
hacun de ses trois fils l’en asseure en pleurant. Il prend à tous les mains  ; il meurt ; et les trois freres Trouvent un bien
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
Mais pour revenir à nostre Corbeau, qui fût comme un joüet entre les mains des Enfants, il nous apprend que si la folle imit
Arts, et en toute sorte d’actions, soit de l’intelligence, soit de la main . En quoy le Presomptueux, qui s’imagine follement
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
tes des Paysans et du menu peuple, à qui la Fureur met les armes à la main , et les porte indiscrettement à des actions preci
l’œil de la poudre, si l’œil prend garde aux choses nuisibles ; si la main va au devant du coup, pour parer la teste ; si la
40 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 108 » pp. 97-97
ard aux circonstances, on se voit enlever même ce qu’on tient dans la main . Chambry 108.2 Aliter — Autre version.
41 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 294 » pp. 199-199
il vit un scorpion ; il le prit pour une sauterelle, et, creusant la main , il allait l’y déposer, quand le scorpion, dressa
42 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 8 » pp. 4-4
érance de plus grands biens laissent échapper ceux qu’ils ont dans la main . Chambry 8.2 Aliter — Autre version Ἀηδ
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
ervir de guide, que de parler tant seulement ; Il faut prendre par la main celuy qu’on veut addresser, et le conduire, en ma
44 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — IV. Le Jardinier et son Seigneur. » p. 
it connoissance avec elle ; Auprés de luy la fait asseoir ; Prend une main , un bras, leve un coin du mouchoir ; Toutes sotis
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope se justifie devant son Maistre, et luy fait voir qui avoit mangé les figues. Chapitre III. »
x champs, où il ne fust pas plustost arrivé, qu’il mit tout de bon la main à l’œuvre Cependant, comme il eust pris fantaisie
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVII. Du Chien, et de la Brebis. »
oins au contraire n’ont rien de sacré, ny d’inviolable. Ils levent la main devant leur Juge ; ils appellent leur Createur à
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLI. Du Cerf, et du Chasseur. »
ans le discours precedent n’auroient jamais reçeu de disgrace par les mains de leurs Ennemis, si leur grandeur n’eust attiré
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXII. Du Chat, et du Coq. »
, si pour la juste deffence de sa vie quelqu’autre a mis l’espée à la main contre un qui soit un peu en faveur, ou en credit
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
si bien reduit dans une Cisterne, qu’il seroit sans doute mort de sa main , si le vertueux jeune homme n’eust moderé son res
moins reduict à la mercy des Turcs, et mourut deux heures apres de la main d’un Ianissaire. Mais je ne m’apperçois pas qu’en
50 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 239 » pp. 165-165
ouvaient ces revers, ils se choisirent des stratèges et les élurent à main levée. Or ceux-ci, voulant être distingués des si
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
cognoissance. Car de donner son cœur à la premiere occasion entre les mains d’une personne que nous n’avons point pratiquée,
52 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 74 » pp. 49-49
un bois, il vit un lion qui dévorait le veau ; épouvanté, il leva les mains au ciel en s’écriant : « Ô souverain Zeus, naguèr
53 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 296 » pp. 363-363
ur femmes. Que pourrais-je bien te faire ? » À ces mots, il asséna sa main sur le mur, pour crever l’œil du lion. Mais une p
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
, et que cela nous oblige à les considerer comme un ouvrage de nostre main . De plus, il se proposera mille fois devant les y
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
e resistance dura depuis jusqu’à ce que le grand Cesar les reduisit à main armée, soit que l’honneur de ceste entreprise luy
56 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 200 » pp. 336-336
ouces paroles le gros cerf qui habite la forêt, et amène-le entre mes mains  ; car j’ai envie de ses entrailles et de son cœur
cerf se sauva en toute hâte dans les bois. Alors le renard claqua ses mains l’une contre l’autre, dépité d’avoir perdu sa pei
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
de sa liberté, il doit cherir tous les Roys qui luy sont donnez de la main de Dieu, fussent-ils plus insensibles, ou plus st
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
haillons, et de laisser aller un heritage assez raisonnable entre les mains des persecuteurs. Ce seroit une chose extravagant
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
quatre jeunes garçons pendus aux corbeilles : puis leur ayant mis en main à chacun une truelle ou tel autre instrument de M
rence, accoururent tous à la foule, et arracherent le pauvre chat des mains de ceux qui le battoient ; puis ils s’en allerent
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
t commandé en de pareilles rencontres, ont accoustumé de briguer sous main l’honneur entier de l’advanture, et de rendre de
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
my », luy dit-il, « je ne suis pas d’advis de me laisser échapper des mains une proye asseurée, quelque petite qu’elle puisse
iere une charge de Capitaine, qui luy tombera toute acquise entre les mains , pour attendre avec incertitude, celle de Maresch
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
nt qu’ils ont esté bien et fidellement unis. Nous avons veu entre les mains d’un Laboureur un faisceau de Verges, qui n’ont p
ngeance, et que c’est empieter sur luy que de la vouloir faire de ses mains . Voylà pour ce qui est d’étouffer toute sorte de
63 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 34 » pp. 22-22
r par là. De la voix il répondit qu’il n’en avait pas vu ; mais de la main il fit un geste pour indiquer où il était caché.
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
es enfants, et tu seras à la fin contrainct de le tuer de ceste mesme main dont tu luy as desja conservé la vie. Icy je ne p
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
oureur fasché contre un Serpent qu’il nourrissoit, prit une cognée en main , et se mit à le poursuyvre. Mais le Serpent escha
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
telle la grande Pyramide d’Egypte, où nul n’a sçeu mettre la derniere main . Le semblable aussi n’arriva-t’il pas en l’entrep
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
raisonnement, les uns mirent la forme de leur Gouvernement entre les mains de plusieurs, et les autres s’attribuërent à eux
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LI. Du Paon, et du Rossignol. »
que nous, et de tels temperaments ; nourris sous tel climat, de telle main , et de telle sorte ; si, dis-je, les mesmes circo
69 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 297 » pp. 200-200
lus importants. Mais un jour il fut pris sur le fait ; on lui lia les mains derrière le dos, et on le conduisit au bourreau.
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
faire plus d’honneur, qu’elle me veut laver les pieds de ses propres mains , bien qu’elle le puisse commander à quelqu’une de
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
il hoste accourut à luy par une estrange merveille, et le sauva de la main de ces Brigands. Voila un exemple de la recognois
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
ant son ennemy dans la ruë ; « Tu és », luy dit-il, « eschappé de mes mains  », donnant à entendre par ces paroles, que la dis
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
’oisiveté ; de s’estre gorgé de delices, d’avoir perdu l’usage de ses mains , et engourdy jusques-là sa personne, qu’elle deme
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
soüiller du sang des nostres. Ce fût elle qui mit le poignard dans la main de Polymnestor, pour tuër l’innocent Polydore, qu
urent immuables et perclus dans leurs cabinets, à faute d’estendre la main , pour tirer les pistolles de leur place, et en fa
le d’estre venuë du Ciel, d’estre faite pure et incorruptible par les mains de Dieu, et puis d’espouser icy bas la chetive pa
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
n troubla point. Mais apres que devant l’assemblée il eust estendu la main , et obtenu silence des assistans, « Hommes Samien
76 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
conduite criminelle de Séjan. Le ministre de Tibère avait aspiré à la main de Livia Livilla, sœur de Germanicus et femme de
bailliage de Tonnerre étant devenu vacant, il le reçut, en 1573, des mains du duc d’Uzès et de sa femme, Louise de Clermont-
me soupçonnoit-on leur existence. Il les avoit déjà transcrites de sa main , et données à Patisson, son Imprimeur, lorsque la
ttre ce voyage à profit pour le Public, il avait retiré le Phèdre des mains de Patisson, pour le faire imprimer à Troyes sous
 ; le deuxième, quoique très rogné, porte des notes écrites par trois mains différentes. Je n’ai aucune remarque à faire sur
est signée d’un B avec paraphe. À côté de ce B, à l’encre, une autre main a ajouté ces mots : Certe Beaucousin 75. La con
and on les compare à sa signature, on est porté à les attribuer à une main beaucoup plus ancienne. J’ai relevé plusieurs de
ement de faire connaître les particularités qui indiquent par quelles mains le volume est successivement passé. D’abord, sur
remonter à l’origine de leur manuscrit. Voyons maintenant par quelles mains , depuis 1596, il est successivement passé. Pierre
mettre facilement un terme à leur incertitude. Il porte écrites de la main de Rigault les variantes du manuscrit avec les in
son Examen des nouvelles fables de Phèdre, indique qu’il est dans les mains de M. Le Peletier de Rosanbo, fils de l’infortuné
orrections d’une encre un peu plus foncée, mais évidemment de la même main . De là les doubles leçons pour le même mot. « La
reliés 32 feuillets en papier, qui sont la copie du manuscrit, de la main de Pierre Pithou. Cette copie offre cela de très
ianus, Rigault répéta les mêmes variantes. Ceux qui n’auront dans les mains que ces deux éditions, pourront être portés à cro
lt, publié en 1617 par Robert Étienne. Cet exemplaire était passé des mains de M. de Foncemagne dans celles de M. Dacier. Il
t, sur la face intérieure de la couverture, cette note, qui est de la main de M. de Foncemagne, et que la notice, imprimée e
nier coup d’œil sur l’imprimé qui portait les variantes écrites de sa main , il s’aperçut de son omission, et au bas de la pa
Reims ; il n’en a connu les variantes que par les notes écrites de la main du Père Sirmond en marge d’un exemplaire de l’édi
même, prétendait qu’il était passé de l’abbaye de Saint-Remi dans les mains du savant qui l’avait publié. Confondant de même
e renfermait furent dispersées. Le manuscrit de Phèdre passa dans les mains de la reine Christine. Ce nouveau changement de m
bas, a été tracé ce singulier vers, qui semble être, sinon de la même main , au moins de la même époque : Sepe comesta, bovi
autant que personne à la défaite du païen, reçoit pour récompense la main de Bélisent et la couronne de Lombardie. » La fi
ntés aux œuvres des anciens auteurs latins. Ce recueil, qui est de la main de Daniel, avait été commencé par lui avant la de
nt ignorées, et que quelques hommes lettrés les avaient eues dans les mains et s’en étaient servis. Lorsque je m’exprimais ai
is ; il n’en eut pas le courage ; d’ailleurs il avait mis la dernière main à l’œuvre. Il se contenta d’allonger sa préface,
ffirmé que la copie adressée par d’Orville à Burmann était sortie des mains de ce dernier et entrée dans la Bibliothèque du c
de Phèdre, donnée à Paris en 1783. Après sa mort elle passa entre les mains de son neveu, et s’est définitivement perdue dans
prétendu que la copie du collège Louis-le-Grand était passée dans ses mains et des siennes dans celles de ce neveu qui lui-mê
tous les autres. Lorsqu’il en fut tiré, ce fut pour être livré à des mains ignorantes ; on y mit même pour titre : Perotti f
ertu d’un décret qu’il avait sollicité et obtenu, était déjà dans les mains des imprimeurs du roi, lorsque parut celle de Cas
orturer l’esprit et à me fatiguer les yeux. Je n’aurais jamais mis la main à une si pénible besogne, si j’avais su qu’un aut
a Sequanæa, no 12 | MDCCCXII. En tête du volume que je possède, une main inconnue a écrit : « Édition donnée par les soins
qu’Adry vint l’ébranler. En tête de l’exemplaire, que j’ai entre les mains , de l’édition Petronj, se trouve, sur la page bla
xactitude de la déclaration de Perotti, et même, avant d’avoir mis la main sur l’inscription lapidaire, ils n’hésitèrent pas
ses lecteurs dans la pensée que le manuscrit de Phèdre tombé dans ses mains était unique, et qu’il pouvait, par suite, se van
ion in-4º de 1727, il commence par supposer que Perotti a eu dans les mains un manuscrit semblable, sinon à celui de Pithou,
de Rigault imprimé par Robert Estienne240, est aujourd’hui entre mes mains , et je puis affirmer qu’il a été exactement repro
nneur ; ce vers Phædri libellos legere si desideras , qui révèle une main étrangère à l’auteur lui-même ; cet emprunt fait
ités réelles. Il en conclut que l’on doit y reconnaître au moins deux mains différentes, et pour lui rien ne démontre que l’u
à Bautzen, Dressler reconnaître si bien dans les fables nouvelles la main de Phèdre qu’il en fait un livre VI266. Je suis s
ins maladroits. Mais les critiques qui n’ont pas voulu reconnaître la main de Phèdre dans les nouvelles fables ont cité, com
jusqu’à l’année 1822. Comme leurs deux éditions sont dans toutes les mains , je crois pouvoir m’abstenir de mentionner celles
ces dont la réunion l’avait constitué. Presque toutes sont de la même main , et cette main était celle d’un moine nommé Adéma
nion l’avait constitué. Presque toutes sont de la même main, et cette main était celle d’un moine nommé Adémar. Adémar, qu’o
uvres très diverses, réunis ou plutôt confondus ensemble par diverses mains du xe  siècle, de sorte que sur la même ligne, sa
Il est néanmoins possible qu’il soit presque entièrement écrit de la main d’Adémar, et que la différence dans les dessins t
est quod nomen habeat ista prefacio. Au texte écrit par une première main une seconde a ajouté en marge un très grand nombr
 xix b. — Gloses sur l’Ancien Testament. Elles paraissent d’une autre main que les écritures qui précèdent. Sixième quatern
s. Cette seconde copie, qui paraît complète et qui semble être de la main d’Adémar, occupe tout le quaterne et se termine a
on le verra plus loin, ces quaternes sont tous indubitablement de la main d’Adémar et donnent une base certaine pour appréc
t de Saint-Martial. Fol. clxxxviii b à cxc a. — Extrait de Pline. Une main plus récente que celle du copiste en a exactement
teuil, ayant devant lui un livre et un encrier, tenant une plume à la main et paraissant méditer et écrire. Ce premier dessi
Fol. ccxii b. — Un dessin occupe cette dernière page. Au-dessus une main du xiiie  siècle a écrit cette phrase : Raimondu
les feuillets en papier sont occupés par des opuscules écrits par des mains diverses au xvie et au xviie  siècles. Je m’abst
La voici, telle que je l’ai trouvée, écrite en tête du volume par une main qui est probablement celle du conservateur en fon
jà appartenir à Vossius, et cependant elle ne m’a pas paru être de sa main . Pendant que j’étais en Hollande, il m’a été faci
tête des Fabulæ antiquæ. Mais il importe peu de découvrir de quelle main est cette copie ; ce qui est plus intéressant, c’
ceux déjà connus295. De la part d’un savant qui avait presque sous la main le manuscrit de Wissembourg, une pareille ignoran
manuscrit se compose de 124 feuillets, dont le premier a été par une main récente marqué de la lettre A, et dont les autres
ensuite observer que le manuscrit a été tout entier écrit par la même main , et cela, malgré les ouvrages très dissemblables
même s’exécuter qu’en allant contre le but de l’éditeur, parce qu’une main du xie  siècle a jadis entrepris la critique du m
ris la critique du manuscrit sur le manuscrit lui-même. Cette seconde main a corrigé avec tant d’ardeur et elle a été notamm
me à le lui vendre. Il est probable que, bien avant d’entrer dans ses mains , le manuscrit était plus ou moins régulièrement s
Fol. 1 a. — Au haut de la page le bibliothécaire Ebert a donné, de sa main , au premier ouvrage le titre suivant : Juliani e
vrai que ses fautes ont été corrigées au xie  siècle par une seconde main moins illettrée ; mais le correcteur tantôt s’est
les phrases défigurées, tantôt a recouru au texte qu’il avait sous la main et qui par malheur n’était ni celui de Phèdre, ni
imitives telles qu’on les aperçoit sous les corrections de la seconde main  : Ne que de alienis bonis dum magnum se vellit
us dolores. Voici maintenant la même fable modifiée par la deuxième main sur le même manuscrit : De alienis bonis dum ma
quand il l’a voulu. Enfin, lorsque j’eus mis à mon œuvre la dernière main , considérant que de plus grands présents convenai
ont séparées par 190 feuillets, ne paraissent pas copiées par la même main , et très vraisemblablement ne se sont trouvées ré
renferme n’est guère que l’altération de l’Æsopus ad Rufum due à une main inexpérimentée, il ne faut peut-être pas lui cher
format, composé de 186 feuillets en papier et écrit tout entier de la main du savant Florentin. Les fables de Romulus occupe
tardé à me convaincre que M. Oesterley ne l’avait jamais eu entre les mains , et qu’il n’avait fait dans sa courte analyse que
irréprochable, et les gravures sur bois en ont été coloriées par une main assez adroite. Le troisième, qui est revêtu à la
cette notice, dans l’écriture de laquelle j’ai facilement reconnu la main de Douce lui-même : This copy (wanting one leaf
Earl Spencer, et qui vraisemblablement est encore à Althorp entre les mains de sa famille. Cet exemplaire faisant partie d’un
les marges de ces deux derniers exemplaires, ont été écrites par des mains du xvie  siècle. L’exemplaire du British Museum a
é par une gravure sur bois qui représente Ésope assis et tenant de la main droite un oiseau et de la main gauche une jambe d
représente Ésope assis et tenant de la main droite un oiseau et de la main gauche une jambe de mammifère. Au-dessous on lit 
is comme, pour la trancher, il faudrait avoir simultanément entre les mains les exemplaires des deux éditions, je ne l’essaie
º, relié en veau et composé de 45 feuillets en vélin. Il est dû à des mains diverses et contient plusieurs opuscules, que le
réalité en possède 64 en parchemin et dont l’écriture est de diverses mains du xve  siècle. Les feuillets 53 à 64 sont rempli
ine de relever cette allégation ; mais, comme il est dans beaucoup de mains , il me paraît utile de la signaler. 2º Biblio
hiffres romains, au nombre de 152, et dont l’écriture est celle d’une main française du xve  siècle. Il renferme, entre autr
ur lui un livre unissant le charme à l’utilité. Romulus, ayant mis la main sur l’œuvre grecque de l’Athénien Ésope, la tradu
encore un vieux manuscrit de la vie d’Ésope, qui se trouve entre les mains de Thomas Mactecoda, professeur de littérature fo
enferme les écrits de huit auteurs moraux, me paroît écrit de la même main , et je ne vois pas pourquoi il auroit mis son nom
son compatriote Haenel, il avait trouvé la note suivante écrite de la main même du copiste : « In principio huius operis att
périale, je demande le manuscrit latin 303, et, quand il est dans mes mains , je m’aperçois que le nom d’Hildebert n’y figure
de leur tâche :       Finito libro sit laus et gloria Christo. Une main moins ancienne avait écrit au-dessous deux lignes
compose seulement de dix-neuf feuillets en parchemin, écrits par une main du xive  siècle. Les premier et dix-neuvième feui
ahiers, sur chacun desquels figurent des opuscules transcrits par des mains diverses. Le premier de ces cahiers comprend quat
et fructefier face : Pour ce qu’il soit plus essauciez, Je ioins mes mains deuos au ciez, Que suppliant tout mon deffaut La
rason, De cieulx enuoie le subside : La mere et [le] fis nous aïde, E main biau dit qui semble fable Ha main biau mot et ano
 : La mere et [le] fis nous aïde, E main biau dit qui semble fable Ha main biau mot et anotable. J’ay oy dire mainte foiz :
ffres arabes, il y en a un en chiffres romains, qui paraît être d’une main ancienne et qui, s’il était une date, serait cell
précédés d’un premier feuillet neuf qui porte un titre écrit par une main moderne, et suivis d’un dernier feuillet qui est
e page, se lit cette observation qui ne tire son importance que de la main qui l’a écrite et signée : « Le présent manuscrit
feuillet. Elles ne portent pas de titre général ; mais, en tête, une main ancienne a écrit cette sorte d’invocation : Alan
ses acquisitions, en janvier 1764, se montait, suivant une note de sa main , à la somme de 50,787 livres. À sa mort, il en do
omanum. La première syllabe du mot fecit a été grattée. Plus bas une main moins ancienne a écrit : Fecit transferi (sic) d
56. Dou chien, dou lou et dou bien de franchise. 57. [D]ou pie, de la main qui se plaignent dou uantre. 58. Dou singe et dou
e même que dans les premières. En ce qui touche le titre général, une main moins ancienne, pour combler la lacune, a écrit,
244 feuillets en papier dont l’écriture à deux colonnes est due à une main du xve  siècle. Il porte le millésime de 1471. Il
t probable qu’il existe encore ; mais je ne saurais dire dans quelles mains il est passé. § 3. — Allemagne du Sud. B
’en interligne et suivies de cette mention qui paraît être de la même main que les gloses : Per Hartmannum Schedel in Studi
me. Elles occupent les feuillets 76 et suivants. L’écriture est de la main d’un copiste nommé Burkhardus Zingg. E. Manusc
é se compose de 16 feuillets en parchemin, dont l’écriture, due à une main du xve  siècle, est merveilleusement belle. En tê
volume in-fol. composé de 69 feuillets en parchemin et écrit par une main du xve  siècle. Il contient quatre ouvrages désig
t volume in-4º, composé de 65 feuillets en parchemin et écrit par une main du xive  siècle. Il contient quatre ouvrages anno
d’indiquer, il avait pris la peine d’écrire et de signer de sa propre main ce qui suit : dvx Iste liber est mei Jarandi
cédent. C’est un volume in-fol. dont l’écriture sur papier, due à une main du xve  siècle, occupe seulement 27 feuillets. Au
mencement du recto ont été grattés et remplacés par ce titre dû à une main du siècle dernier : « Sensuivent les Fables Dysop
encre rouge : Explicit Esopus cum expositione. Enfin au-dessous une main plus récente a tracé ces deux mots : Deo gracias
vingt-six œuvres distinctes. Les écritures de ces cahiers dues à des mains diverses sont à longues lignes. Toutes appartienn
gnées par les mots Fabulæ anonymi. Ecrites en gros caractères par une main habile du xive  siècle, elles occupent les feuill
Manuscrit 639. Le manuscrit 639 a été écrit sur parchemin par une main du xive  siècle. Quoiqu’il se compose de 201 feui
les deux manuscrits de Bruxelles et de Londres sont sortis de la même main . Ils ont d’ailleurs entre eux une ressemblance pl
le second a été ajouté par le relieur. Au verso du feuillet 132, une main moins ancienne que celle du copiste primitif a éc
er, dont l’écriture est la même que celle des épigrammes. En tête une main un peu moins ancienne a écrit ce titre : Garicii
Christi (sic), que suit le mot Amen . Cette souscription, due à une main ancienne, démontre que les feuillets qui portaien
76 , et plus bas on lit : Finis. Au-dessous du mot Finis une autre main a écrit le titre et les deux premiers vers de la
ouzième feuillet porte cette souscription : Explicit Ysopus , qu’une main plus récente a corrigée en mettant un E au-dessus
Ast ego scripsissem melius, bene si potuissem. Enfin au-dessous une main qui n’est pas non plus celle du copiste du manusc
est de la fin du xiiie  siècle ou du commencement du xive et qu’une main du xviiie ou du xixe  siècle a fait précéder du
le : Explicit liber Esopi. Deo gratias. Amen. D. M. Au-dessous une main du xvie  siècle a écrit ces mots : Reverendissim
écritures insignifiantes et au verso par une glose due à une seconde main et relative à la fable De Gallo et Jaspide. Les f
t à l’encre rouge et de nombreuses gloses marginales ajoutées par une main moins ancienne. Elles sont au nombre de soixante-
nnes, et qui s’étend du feuillet 60 a au feuillet 68 b. Due à la même main que la première, elle n’est pas, sans doute pour
in-4º, composé de 52 feuillets en parchemin dont l’écriture est d’une main italienne du xive  siècle. Il y a bien à la fin u
ts, au nombre de 112, sont en parchemin et dont l’écriture, due à une main italienne, est du xive  siècle. Les ouvrages qu’i
du feuillet xxvi et dernier contient un opuscule écrit par une autre main . § 10. — Suisse. 1º Bibliothèque canton
che, Ésope assis, pensif, le coude gauche appuyé sur un pupitre et la main droite sur un livre tenu debout sur sa cuisse. Le
résentant Jésus-Christ ; il est accompagné d’un agneau et tient de la main gauche une croix et de la droite une banderole po
e manuscrit, qui a été écrit sur papier au xive  siècle par une seule main , forme un volume de 109 feuillets. Les feuillets 
illets en papier sont au nombre de 252, et dont l’écriture, due à une main italienne, est de la fin du xive  siècle. Il est
llimètres sur 212, composé de 86 feuillets en papier chiffrés par une main ancienne, dont le cinquante-sixième et les deux d
illimètres sur 215, formé de 117 feuillets en papier chiffrés par une main moderne. L’écriture à deux colonnes est de plusie
nsongère par la faute de l’écrivain. — Aujourd’hui j’ai passé sous la main du correcteur, qui, à ma grande satisfaction, m’a
entique traduit par Accio Zuccho. — Les choses qui circulent dans les mains des enfants et des ignorants ont l’habitude de pe
lle représente Ésope couronné de lauriers, recevant un exemplaire des mains du traducteur agenouillé, qui est vêtu d’une robe
plaire de la Colombine a appartenu à Fernand Colomb qui, de sa propre main , a écrit, sur un feuillet supplémentaire inséré à
t voulu en faire qu’un ouvrage classique destiné à être mis entre les mains des écoliers de son pays et à leur faciliter l’ét
anneaux se tiennent si visiblement qu’il est impossible de mettre la main sur l’un d’eux sans toucher aux autres. § 2. —
n parchemin, écrits sur deux colonnes en caractères gothiques par une main du xive  siècle. Il renferme un grand nombre d’op
ture est elle-même surmontée d’un titre à l’encre rouge écrit par une main habile. Quant au texte lui-même, si on le compare
ait n’être pas de mon avis. Si je n’avais pas eu, pour ainsi dire, la main forcée par mon point de départ, il est probable q
renferme le Romulus de Florence a appartenu au trop fameux Libri, des mains duquel il est, avec tous ses manuscrits, passé da
uscrits qui en dépendaient et notamment celui dont il s’agit ici. Des mains d’Isaac Vossius il est passé avec toute la biblio
qu’au bas du recto du premier feuillet il avait sans doute mise de sa main  : Jac. Aug. Thuani. Le volume renferme de nombr
218 feuillets écrits, dont l’écriture sur deux colonnes est due à une main du xiiie  siècle. Les 218 feuillets écrits sont p
première page de ce manuscrit. Les notes marginales sont aussi de sa main . Ce manuscrit donne en général de bonnes leçons,
des vers. » Cette notice est suivie de cette mention ajoutée par une main plus récente : « Le copiste semble avoir écrit à
cidaire en prose. Page 226. À la suite de cette nomenclature la même main a ajouté cette observation : Ce ms. a esté déran
re : s’il voloit oster Et hors de la meson giter, L’auoit an. ij. ses mains fors traistes, Quant li enfes ne dist : Ne faites
l’a uns de ses sers, S’est drois qu’il soit fel et cuiuers ; On fait main bien par norreture, Mais tout a dez passe nature.
e de la fable xl il ne reste que ces mots : D’un homme qui vit… Une main pudique a effacé la fin, qui probablement était a
es fables portent des titres spéciaux, qui ont été écrits par la même main que le titre général dans l’espace blanc sans dou
8, les fables sont suivies de l’épilogue ordinaire, écrit par la même main que les titres ; comme dans celui du manuscrit 25
des deux séries : « N a . Toutes les variantes qui suivent sont de la main de M. le comte de Caylus. Il les a tirées du Ms.
. de Saint-Germain des Prés parmi les fabliaux. Celles qui sont de ma main ont été prises sur le Ms. N. D., N. 2, 274 bis. »
l qui lui oublie Et qui Dieu met en non caloir, Por le mond(e) servir main et soir. Diex nous laist faire tel seruice Que no
pertinet domino Petro zum Raben. À une époque postérieure une autre main a ajouté : Nunc autem Nicolao Luysth presbitero
feuillets en parchemin, couverts d’une écriture microscopique par une main du xive  siècle. Les cinquante-deux fables qu’il
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
le raison, qu’elle leur aura possible fait les doux yeux, ou fermé la main . Nous pouvons juger par là, si l’estat des Amants
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
nt ou s’avancent en leur condition ? Voylà donc qu’ils ont dans leurs mains un instrument d’Orgueil : Voylà qu’il est mal ais
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
ie la gloire de son autheur, ou qu’un luth qui est touché d’une bonne main , annonce luy-mesme l’addresse du Musicien. C’est
/ 79