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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVIII. Le Renard et la Cicogne. » p. 426
ment.)
 Ce broüet fut par luy servy sur une assiette :
 La Cicogne au long bec n’en put attraper miette ;
 Et le drôle eut l
et qu’il croyoit friande.
 On servit pour l’embarrasser
 En un vase à long col, et d’étroite embouchure.
 Le bec de la Cicog
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
ô stupide animal d’Arcadie : ta feinte n’est pas assez adroitte ; tes longues oreilles te trahissent, et ceste affreuse peau qu
ssent visiblement. Les Fanfarons tout de mesme, ont beau porter leurs longues espées, faire les Rodomonts dans les ruës, morgue
voile d’une fausse devotion, est capable de tenir les personnes plus long temps abusées, à cause que l’exercice de la Vertu
de Jeanne de la Croix, qui tint l’Espagne comme enchantée durant une longue suitte d’années ; jusques là que l’Empereur Charl
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XII. La Colombe et la Fourmy. » p. 235
rce ny que rage. L’autre exemple est tiré d’animaux plus petits. Le long d’un clair ruisseau beuvoit une Colombe : Quand s
n. Le Vilain retourne la teste. La Colombe l’entend, part, et tire de long . Le souper du Croquant avec elle s’envole : Point
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — Epilogue »
Epilogue Bornons icy cette carriere. Les longs Ouvrages me font peur. Loin d’épuiser une matiere
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 220 » p. 260
« Moi, craindre le lion, avec la taille que j’ai ! avec un plèthre de long , n’est-il pas tout simple que je devienne le roi
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVII. La Belette entrée dans un Grenier. » p. 24
La Belette entrée dans un Grenier. Damoiselle Belette au corps long et floüet,
 Entra dans un Grenier par un trou for
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XI. La Fortune et le jeune Enfant. » p. 174
Enfant. Sur le bord d’un puits trés-profond, Dormoit étendu de son long Un Enfant alors dans ses classes. Tout est aux Ec
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 1 » p. 274
, tandis que les Biens, descendant du ciel, ne viennent à eux qu’à de longs intervalles. L’apologue fait voir que le bien se
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIII. Le Villageois et le Serpent » p. 176
ere. Il leve un peu la teste, et puis siffle aussi-tost, Puis fait un long repli, puis tâche à faire un saut Contre son bien
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XX. La Discorde. » p. 
ste aux debats, et prévenoit la paix ; Faisoit d’une étincelle un feu long à s’éteindre. La Renommée enfin commença de se pl
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 39 » p. 14
leur noblesse. Tandis que chacun d’eux détaillait ses titres tout au long , ils arrivèrent en un certain endroit. Le singe y
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XV. Le Coq et le Renard. » p. 671
s pourrons nous entrebaiser tous. Adieu, dit le Renard, ma traite est longue à faire. Nous nous réjouïrons du succès de l’affa
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — V. La Chauvesouris et les deux Belettes. » p. 172
ie. La voila derechef en danger de sa vie. La Dame du logis, avec son long museau, S’en alloit la croquer en qualité d’Oysea
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — X. L’Asne chargé d’éponges, et l’Asne chargé de sel. » p. 180
er, son Sceptre à la main, Menoit en Empereur Romain Deux Coursiers à longues oreilles. L’un d’éponges chargé marchoit comme un
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VI. Le combat des Rats et des Belettes. » p. 165
ux Rats ; Et sans les portes étretes De leurs habitations, L’animal à longue eschine En feroit je m’imagine, De grandes destru
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XXI. Les Frelons, et les Moûches à miel. » p. 504
soient qu’autour de ces rayons
 Des animaux aîlez bourdonnans, un peu longs ,
 De couleur fort tannée ; et tels que les Abeill
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIX. Le Charlatan. » p. 
’il se souvinst de faire à l’assistance Un discours où son art fut au long étendu ; Un discours pathetique, et dont le formu
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 24 » p. 11
-mêmes sauter hors de l’eau pour venir à lui. Mais comme, en dépit de longs efforts, il n’en était pas plus avancé, il mit de
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — V. Le Cochet, le Chat et le Souriceau. » p. 716
t animal qui m’a semblé si doux. Il est velouté comme nous, Marqueté, longue queuë, une humble contenance ; Un modeste regard,
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 35 » pp. 20-20
e le dire, répliqua le renard : ta peau fait assez voir que depuis de longues années tu es rompu aux exercices du gymnase. » Il
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 130 » pp. 316-316
καὶ ἔριδες αἰτίαι μεγάλης βλάϐης ὑπάρχουσιν. Codd. Ba 26 Mg 50. Le long d’une route étroite Hercule cheminait. Il aperçut
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XI. La Grenoüille et le Rat. » p. 384
y festin. Messire Rat promit soudain : Il n’estoit pas besoin de plus longue harangue. Elle allegua pourtant les delices du ba
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — FABLE I. Le Lion amoureux. » p. 140
estoit pour les gens fiers ; Fille se coëffe volontiers D’amoureux à longue criniere. Le Pere donc ouvertement N’osant renvoy
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
esme temps si passionnément épris de son amour, que sans user de plus long delay, il la mena droit à son logis, pour en avoi
a réalité. Puis venant à moraliser là dessus, je m’estendrois bien au long à déduire comment les passions demesurées transfo
s ny les vices de l’ame, principalement s’ils sont contractez par une longue et naturelle habitude. Qui voudroit nier une veri
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 134 » pp. 317-317
irmaient que ce malade n’était pas en danger, mais que son mal serait long à guérir ; seul l’ignorant lui dit de prendre tou
26 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 
peine. C’est assez, me dira quelqu’un de nos Auteurs ; La periode est longue , il faut reprendre haleine. Et puis vostre Cheval
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
eur excessive. Androde ayant apperçeu que la cause en procedoit d’une longue espine, que le pauvre Lion avoit dans la patte ;
se, de la bouche mesme de l’Esclave, qui se mit à la raconter tout au long , encherissant avec des paroles excessives, la rec
28 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 78 » pp. 60-60
n vieillard, ayant coupé du bois, le chargea sur son dos. Il avait un long trajet à faire. Fatigué par la marche, il déposa
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 262 » pp. 174-174
172 Pb 169 Pc 100 Pg 110 Ma 120 Mb 145. Un voyageur, ayant fait une longue route, et se trouvant recru de fatigue, se laissa
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
supposons que vous la possediez, pensez vous que ce plaisir vous dure long temps sans estre alteré par le dégoust, on par sa
ué jusqu’à la mort ? Et quand mesme cela seroit, ceste durée, quelque longue qu’elle fût, pourroit-elle bien estre appellée un
tude, pource qu’elle est compagne de la Vertu ? Est-ce qu’elle est de longue durée, à cause qu’elle survit à nostre mort ? Mai
31 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 261 » pp. 178-178
Pb 173 Pc 104 Pf 96 Pg 113 Mb 148 Me 123. Un voyageur, qui avait de longs trajets à faire, fit vœu, s’il trouvait quelque c
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
semblables, encore veut-il que nous les ayons bien esprouvez par une longue et veritable cognoissance. Car de donner son cœur
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 103 » pp. 74-74
lion apparut qui le poursuivit. Il prit la fuite, et le devança d’une longue distance ; car la force des cerfs est dans leurs
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
ant qu’elle estoit liquide, la Cigongne n’en pouvoit prendre avec son long bec : si bien que le Renard la mangea toute. Elle
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
ost de loisir, ou de temps que de matiere, si je voulois rapporter au long toutes les préeminences de la beauté de l’ame par
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
du dernier biais, à cause que nous avons cy devant discouru assez au long , contre l’Avarice et la Convoitise des Richesses.
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
es vieux jours d’une extrême necessité ; de sorte qu’il s’exerçoit le long d’un porche à demander l’aumône aux statuës, afin
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
Car si elle l’eust fait, asseurément il ne fût jamais arrivé à une si longue , et si heureuse Vieillesse, en laquelle il souffr
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
a perfidie estoit grande, la joye qu’il en reçeut ne fut pas aussi de longue durée : car un peu apres le mesme Berger le prit,
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
iter le blasme d’amplifier inutilement une chose assez cognuë par les longs traictez que les Autheurs en ont faits. Je commen
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
r moderation, en matiere de vaine gloire. Mais au lieu de m’amuser au long recit d’une chose qui n’est que trop commune à la
42 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 200 » pp. 336-336
le plus digne de régner, parce qu’il est haut de taille, qu’il vit de longues années, et que sa corne est redoutable aux serpen
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
cela, qu’est-ce autre chose qu’Orgueil et que Vanité ? D’où vient la longue suitte des Pages et des Gentils-hommes ? d’où l’é
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
opos, de dire icy quelque chose, tant pour délasser le Lecteur de ces longues Moralitez, que nous avons enchaisnées l’une à l’a
on cognoist la Toute-puissance de l’Ouvrier. Je m’estendrois plus au long sur un si ample sujet, n’estoit que ma diggressio
45 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
mière étape à laquelle je suis arrivé, fait voir combien la route est longue , et, quoique je me sois mis en mesure de la conti
ubordonnée à l’accueil qui serait fait à mon début. Ayant, pendant de longues années, consacré toute mon activité à l’exercice
et de janvier 1885. Dans le second de ces deux numéros, résumant son long et consciencieux travail, il s’exprimait ainsi :
raiment trop prolonger l’examen d’un point qui ne comporte pas une si longue discussion. Je me bornerai, pour la clore, à expr
rim. Et plus tard, dans la fable iv du livre V, resté à la fin de sa longue carrière aussi pauvre qu’au commencement, il s’ex
malheurs, il faut leur attribuer une autre source, et il n’y a pas de longs efforts à faire pour la découvrir ; car Phèdre lu
il a appartenu à Jacques Bongars, savant bibliophile, qui, pendant de longues années, fut auprès des cours d’Allemagne le minis
Oxford est conservé à la Bibliothèque Bodléienne, où il est depuis de longues années catalogué sous la cote Auct. L. A. 9. Il e
fixer au mois suivant93. » M. Berger de Xivrey la fit précéder d’une longue lettre, dans laquelle il lui expliquait comment l
s qui lui étaient révélées. Gude, au contraire, vers 1663, pendant sa longue exploration des bibliothèques de la France, avait
tie la notice de Dom Vincent, je me suis permis une digression un peu longue . Mais la conclusion à laquelle il arrive me servi
tion poétique, et qu’il l’eût reprise à des intervalles plus ou moins longs , il l’abandonna de bonne heure. S’il l’avait cont
on et pria son élève de lui adresser une copie du manuscrit. Après de longues semaines d’attente, au mois d’avril 1827, elle lu
t : pendant que sa copie était sous presse, il rédigea en latin trois longues dissertations, qu’il comptait faire imprimer en t
e de je ne sais quelle petite gloire ; mais je songeais au temps bien long que, sur l’écriture évanouie ou décomposée, j’ava
brochure de Cassitto fut presque entièrement oubliée, et, pendant le long espace de temps écoulé, nul n’a, à son sujet, rie
ux ; car on en extrait facilement Corpus. Nous, à la vérité, après de longues recherches, nous sommes arrivé à Cornicis ; mais
L’état dans lequel se trouvait le manuscrit en rendait la copie très longue et très difficile, et, limité par le temps, j’aur
mble facile. Après avoir ainsi écrit, à des intervalles plus ou moins longs , dans ses rares heures de loisir, sur un premier
é ait, autant que les fables anciennes, donné lieu à des controverses longues et passionnées. La victoire a fini par rester au
ébat n’offre plus qu’un intérêt purement historique. Mais il a été si long et si ardent que, même aujourd’hui, dans une étud
nde fois transcrite, de même, alors qu’il s’était écoulé un bien plus long intervalle, il avait pu commettre un oubli analog
en s’appuyant sur d’autres raisons encore. La querelle dura ainsi de longues années ; mais le temps apaise tout ; elle commenç
n’est pas sur ses pieds. Cela est vrai ; il est d’un demi-pied trop long  ; mais, tout en y voyant matière à plaisanterie,
ambe, et il a bien soin de dire qu’il se compose d’une brève et d’une longue . Les différentes espèces de vers appellent ensuit
preuve évidente. Ne fallait-il pas que les deux premiers fussent bien longs , pour que Phèdre pût écrire : Ego illius pro sem
es, contenant le texte latin de Phèdre divisé en 3 livres et suivi de longues notes en langue italienne. 1854. Phædri
itori reliquit, ex quibus hic est unus. Fol. cxliii a à cxlvii a. —  Longue suite de mots grecs concernant la géométrie, la g
et très brillant comte et seigneur, nommé Adolphe-Henri, venaient un long avertissement au lecteur, puis les 67 fables en p
ans la bibliothèque de Wolfenbüttel, et qu’il avait été l’objet d’une longue dissertation latine publiée en Allemagne, sous fo
fort peu du modèle et qui dès lors a beaucoup plus d’autorité que la longue paraphrase appelée Romulus de Nilant. Il y a auss
res sont en vélin et appartiennent au xiiie  siècle. L’écriture est à longues lignes, sauf sur les feuillets 115 a à 128 b, où
er ce qu’il écrivait. En outre ce copiste, trouvant probablement trop longs les titres qui existent dans les plus anciens man
vrage qui suit cette table a été, comme la table elle-même, imprimé à longues lignes avec des caractères gothiques plus petits
édition in-folio de 114 feuillets, imprimée, comme les précédentes, à longues lignes, en caractères gothiques, sans lieu ni dat
are et fort précieuse imprimée en caractères d’une forme grossière, à longues lignes, au nombre de 41 dans les pages qui sont e
Cette édition forme un volume in-4º imprimé en caractères gothiques à longues lignes et composé de 77 feuillets non chiffrés, m
forme, d’après Brunet349, un volume de 77 ff. non chiffrés, imprimé à longues lignes au nombre de 39 sur les pages pleines, ave
Delandine351 en donne la description suivante : « Cette édition est à longues lignes, sans titres, mais avec des signatures don
un volume in-fol. de 112 feuillets, imprimé en caractères gothiques à longues lignes de 40 à la page, non chiffré, mais pourvu
ns à ces généralités, et je renvoie ceux qui voudraient avoir de plus longs détails sur Vincent de Beauvais et sur son œuvre
is analyser, je crois la liste de ceux que j’ai signalés suffisamment longue , et le moment me paraît venu de m’occuper des édi
n du Miroir historial publiée en 1474. Maittaire376, d’après le P. Le Long , et Panzer377, d’après Maittaire, affirment que l
ut presque oublié, et son œuvre ne fut plus imprimée en latin qu’à de longs intervalles. Dominique Nicolin en fit bien paraît
l forme un volume in-fol. composé de 334 feuillets, dont l’écriture à longues lignes est du xve  siècle, et contient divers ouv
résenter plus d’un exemple ; mais je craindrais d’entrer dans de trop longs détails. Je me bornerai à celui-ci, que m’offre l
to du feuillet suivant. Mais j’ignorais ce fait intéressant. Après de longues réflexions, je finis par acquérir la conviction q
çois après ourrés Ne [com]pren pas toute l’istoire ; Car seroit troup longue memoire, Et ce le fais pour breueté Qui est amie
eueté Qui est amie verité ; Et pource que par auenture Ne plaist une longue escripture, Plus est en bénignité Breueté que n’e
u’ont esté fais es parlemens, De ce me passe ci breffment, Sans faire long sermonnement : Car n’a mestier de ma doctrine La
transferi (sic) de latino in romanum. Ayant dû, pour éviter de trop longs développements, m’abstenir d’analyser toutes les
x cents feuillets en papier, forme un volume in-fº, dont l’écriture à longues lignes est due à un copiste du xve  siècle nommé
tiens d’énumérer. Le dixième, dont j’aurai à donner ailleurs une plus longue analyse, consiste dans les fables d’Avianus, qui
in-4º formé de trente-sept feuillets en parchemin, dont l’écriture à longues lignes est de la fin du xive  siècle ou du commen
inctes. Les écritures de ces cahiers dues à des mains diverses sont à longues lignes. Toutes appartiennent au xive  siècle. L’u
e de vingt-quatre feuillets en parchemin, dont l’écriture italienne à longues lignes est du xive  siècle. Le premier feuillet e
ussi en parchemin sont au nombre de 99 et dont l’écriture italienne à longues lignes est du xive  siècle. Il renferme plusieurs
res années du xve  siècle. On s’étonnera avec raison de la trouver si longue , et cependant elle est loin d’être complète ; en
tions des fables de Walther que je viens d’analyser montrent, par les longs intervalles qui séparent l’apparition de chacune
page 96, se termine à la page 137. Il est suivi, pages 138 à 157, de longues et savantes observations intitulées Anmerkungen,
-4º, composé de 64 feuillets en parchemin dont l’écriture italienne à longues lignes est du xive  siècle. Il ne contient que la
e de la fin du xive  siècle, à deux colonnes sur les 29 premiers et à longues lignes sur les autres. Les quarante-six fables é
opo volgarizzato per uno da Siena. Les fables ne sont pas pourvues du long préambule qui les précède dans le manuscrit Gadd.
se compose de 68 feuillets en parchemin, dont l’écriture italienne à longues lignes est du xve  siècle. Il est tout entier rem
in-4º composé de 98 feuillets chiffrés en parchemin dont l’écriture à longues lignes est du xve  siècle. Le premier des ouvrage
iar. Le verso du feuillet 97 et le feuillet 98 sont remplis par une longue épître italienne intitulée : Epistola ad. D. P. 
ée en lettres rondes. Elle forme un volume in-fol. de petit format, à longues lignes, remarquable non seulement par la pureté d
la première, elle consiste dans un volume in-fol. de petit format, à longues lignes, fort remarquable non seulement par la pur
e latine, on comprend que ce qui doit toucher dans une œuvre de cette longue période d’engourdissement intellectuel, c’est moi
illets sont en parchemin et les autres en papier et dont l’écriture à longues lignes est du commencement du xive  siècle. Sur l
petit format, dont les feuillets sont en papier et dont l’écriture à longues lignes paraît être de la fin du xive  siècle. Il
ui consistait, quand même elles étaient brèves, à rendre les syllabes longues par la force de la césure : dans la fable du Loup
it pas assez accommodant pour voir dans le mot nec une syllabe rendue longue par la puissance de la césure. Tout cela, il faut
composé de cinquante et un feuillets en parchemin, dont l’écriture à longues lignes est des xie et xiie  siècles. Il ne renfe
e, 8 vol. in-8º. — À la page 146 du tome IV, imprimé en 1862, dans le long article qu’il consacre à Gui d’Arezzo, voici comm
t originaire, s’y forma une bibliothèque considérable, et consacra sa longue existence à amasser des matériaux pour l’histoire
Annales typographici, t. I, p. 104, nº 24. 376. Matt., p. 773, ex Le Long , Bibl. Hist. de Fr., nº 7120. 377. Panzer, Annal
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
ce que l’un demanderoit, l’autre le recevroit doublement. L’Avare fût long temps irresolu, pource qu’il ne croyoit-pas qu’on
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