ment.)
Ce broüet fut par luy servy sur une assiette :
La Cicogne au
long
bec n’en put attraper miette ;
Et le drôle eut l
et qu’il croyoit friande.
On servit pour l’embarrasser
En un vase à
long
col, et d’étroite embouchure.
Le bec de la Cicog
ô stupide animal d’Arcadie : ta feinte n’est pas assez adroitte ; tes
longues
oreilles te trahissent, et ceste affreuse peau qu
ssent visiblement. Les Fanfarons tout de mesme, ont beau porter leurs
longues
espées, faire les Rodomonts dans les ruës, morgue
voile d’une fausse devotion, est capable de tenir les personnes plus
long
temps abusées, à cause que l’exercice de la Vertu
de Jeanne de la Croix, qui tint l’Espagne comme enchantée durant une
longue
suitte d’années ; jusques là que l’Empereur Charl
rce ny que rage. L’autre exemple est tiré d’animaux plus petits. Le
long
d’un clair ruisseau beuvoit une Colombe : Quand s
n. Le Vilain retourne la teste. La Colombe l’entend, part, et tire de
long
. Le souper du Croquant avec elle s’envole : Point
Epilogue Bornons icy cette carriere. Les
longs
Ouvrages me font peur. Loin d’épuiser une matiere
« Moi, craindre le lion, avec la taille que j’ai ! avec un plèthre de
long
, n’est-il pas tout simple que je devienne le roi
La Belette entrée dans un Grenier. Damoiselle Belette au corps
long
et floüet,
Entra dans un Grenier par un trou for
Enfant. Sur le bord d’un puits trés-profond, Dormoit étendu de son
long
Un Enfant alors dans ses classes. Tout est aux Ec
, tandis que les Biens, descendant du ciel, ne viennent à eux qu’à de
longs
intervalles. L’apologue fait voir que le bien se
ere. Il leve un peu la teste, et puis siffle aussi-tost, Puis fait un
long
repli, puis tâche à faire un saut Contre son bien
ste aux debats, et prévenoit la paix ; Faisoit d’une étincelle un feu
long
à s’éteindre. La Renommée enfin commença de se pl
leur noblesse. Tandis que chacun d’eux détaillait ses titres tout au
long
, ils arrivèrent en un certain endroit. Le singe y
s pourrons nous entrebaiser tous. Adieu, dit le Renard, ma traite est
longue
à faire. Nous nous réjouïrons du succès de l’affa
ie. La voila derechef en danger de sa vie. La Dame du logis, avec son
long
museau, S’en alloit la croquer en qualité d’Oysea
er, son Sceptre à la main, Menoit en Empereur Romain Deux Coursiers à
longues
oreilles. L’un d’éponges chargé marchoit comme un
ux Rats ; Et sans les portes étretes De leurs habitations, L’animal à
longue
eschine En feroit je m’imagine, De grandes destru
soient qu’autour de ces rayons
Des animaux aîlez bourdonnans, un peu
longs
,
De couleur fort tannée ; et tels que les Abeill
’il se souvinst de faire à l’assistance Un discours où son art fut au
long
étendu ; Un discours pathetique, et dont le formu
-mêmes sauter hors de l’eau pour venir à lui. Mais comme, en dépit de
longs
efforts, il n’en était pas plus avancé, il mit de
t animal qui m’a semblé si doux. Il est velouté comme nous, Marqueté,
longue
queuë, une humble contenance ; Un modeste regard,
e le dire, répliqua le renard : ta peau fait assez voir que depuis de
longues
années tu es rompu aux exercices du gymnase. » Il
καὶ ἔριδες αἰτίαι μεγάλης βλάϐης ὑπάρχουσιν. Codd. Ba 26 Mg 50. Le
long
d’une route étroite Hercule cheminait. Il aperçut
y festin. Messire Rat promit soudain : Il n’estoit pas besoin de plus
longue
harangue. Elle allegua pourtant les delices du ba
estoit pour les gens fiers ; Fille se coëffe volontiers D’amoureux à
longue
criniere. Le Pere donc ouvertement N’osant renvoy
esme temps si passionnément épris de son amour, que sans user de plus
long
delay, il la mena droit à son logis, pour en avoi
a réalité. Puis venant à moraliser là dessus, je m’estendrois bien au
long
à déduire comment les passions demesurées transfo
s ny les vices de l’ame, principalement s’ils sont contractez par une
longue
et naturelle habitude. Qui voudroit nier une veri
irmaient que ce malade n’était pas en danger, mais que son mal serait
long
à guérir ; seul l’ignorant lui dit de prendre tou
peine. C’est assez, me dira quelqu’un de nos Auteurs ; La periode est
longue
, il faut reprendre haleine. Et puis vostre Cheval
eur excessive. Androde ayant apperçeu que la cause en procedoit d’une
longue
espine, que le pauvre Lion avoit dans la patte ;
se, de la bouche mesme de l’Esclave, qui se mit à la raconter tout au
long
, encherissant avec des paroles excessives, la rec
n vieillard, ayant coupé du bois, le chargea sur son dos. Il avait un
long
trajet à faire. Fatigué par la marche, il déposa
172 Pb 169 Pc 100 Pg 110 Ma 120 Mb 145. Un voyageur, ayant fait une
longue
route, et se trouvant recru de fatigue, se laissa
supposons que vous la possediez, pensez vous que ce plaisir vous dure
long
temps sans estre alteré par le dégoust, on par sa
ué jusqu’à la mort ? Et quand mesme cela seroit, ceste durée, quelque
longue
qu’elle fût, pourroit-elle bien estre appellée un
tude, pource qu’elle est compagne de la Vertu ? Est-ce qu’elle est de
longue
durée, à cause qu’elle survit à nostre mort ? Mai
Pb 173 Pc 104 Pf 96 Pg 113 Mb 148 Me 123. Un voyageur, qui avait de
longs
trajets à faire, fit vœu, s’il trouvait quelque c
semblables, encore veut-il que nous les ayons bien esprouvez par une
longue
et veritable cognoissance. Car de donner son cœur
lion apparut qui le poursuivit. Il prit la fuite, et le devança d’une
longue
distance ; car la force des cerfs est dans leurs
ant qu’elle estoit liquide, la Cigongne n’en pouvoit prendre avec son
long
bec : si bien que le Renard la mangea toute. Elle
ost de loisir, ou de temps que de matiere, si je voulois rapporter au
long
toutes les préeminences de la beauté de l’ame par
du dernier biais, à cause que nous avons cy devant discouru assez au
long
, contre l’Avarice et la Convoitise des Richesses.
es vieux jours d’une extrême necessité ; de sorte qu’il s’exerçoit le
long
d’un porche à demander l’aumône aux statuës, afin
Car si elle l’eust fait, asseurément il ne fût jamais arrivé à une si
longue
, et si heureuse Vieillesse, en laquelle il souffr
a perfidie estoit grande, la joye qu’il en reçeut ne fut pas aussi de
longue
durée : car un peu apres le mesme Berger le prit,
iter le blasme d’amplifier inutilement une chose assez cognuë par les
longs
traictez que les Autheurs en ont faits. Je commen
r moderation, en matiere de vaine gloire. Mais au lieu de m’amuser au
long
recit d’une chose qui n’est que trop commune à la
le plus digne de régner, parce qu’il est haut de taille, qu’il vit de
longues
années, et que sa corne est redoutable aux serpen
cela, qu’est-ce autre chose qu’Orgueil et que Vanité ? D’où vient la
longue
suitte des Pages et des Gentils-hommes ? d’où l’é
opos, de dire icy quelque chose, tant pour délasser le Lecteur de ces
longues
Moralitez, que nous avons enchaisnées l’une à l’a
on cognoist la Toute-puissance de l’Ouvrier. Je m’estendrois plus au
long
sur un si ample sujet, n’estoit que ma diggressio
mière étape à laquelle je suis arrivé, fait voir combien la route est
longue
, et, quoique je me sois mis en mesure de la conti
ubordonnée à l’accueil qui serait fait à mon début. Ayant, pendant de
longues
années, consacré toute mon activité à l’exercice
et de janvier 1885. Dans le second de ces deux numéros, résumant son
long
et consciencieux travail, il s’exprimait ainsi :
raiment trop prolonger l’examen d’un point qui ne comporte pas une si
longue
discussion. Je me bornerai, pour la clore, à expr
rim. Et plus tard, dans la fable iv du livre V, resté à la fin de sa
longue
carrière aussi pauvre qu’au commencement, il s’ex
malheurs, il faut leur attribuer une autre source, et il n’y a pas de
longs
efforts à faire pour la découvrir ; car Phèdre lu
il a appartenu à Jacques Bongars, savant bibliophile, qui, pendant de
longues
années, fut auprès des cours d’Allemagne le minis
Oxford est conservé à la Bibliothèque Bodléienne, où il est depuis de
longues
années catalogué sous la cote Auct. L. A. 9. Il e
fixer au mois suivant93. » M. Berger de Xivrey la fit précéder d’une
longue
lettre, dans laquelle il lui expliquait comment l
s qui lui étaient révélées. Gude, au contraire, vers 1663, pendant sa
longue
exploration des bibliothèques de la France, avait
tie la notice de Dom Vincent, je me suis permis une digression un peu
longue
. Mais la conclusion à laquelle il arrive me servi
tion poétique, et qu’il l’eût reprise à des intervalles plus ou moins
longs
, il l’abandonna de bonne heure. S’il l’avait cont
on et pria son élève de lui adresser une copie du manuscrit. Après de
longues
semaines d’attente, au mois d’avril 1827, elle lu
t : pendant que sa copie était sous presse, il rédigea en latin trois
longues
dissertations, qu’il comptait faire imprimer en t
e de je ne sais quelle petite gloire ; mais je songeais au temps bien
long
que, sur l’écriture évanouie ou décomposée, j’ava
brochure de Cassitto fut presque entièrement oubliée, et, pendant le
long
espace de temps écoulé, nul n’a, à son sujet, rie
ux ; car on en extrait facilement Corpus. Nous, à la vérité, après de
longues
recherches, nous sommes arrivé à Cornicis ; mais
L’état dans lequel se trouvait le manuscrit en rendait la copie très
longue
et très difficile, et, limité par le temps, j’aur
mble facile. Après avoir ainsi écrit, à des intervalles plus ou moins
longs
, dans ses rares heures de loisir, sur un premier
é ait, autant que les fables anciennes, donné lieu à des controverses
longues
et passionnées. La victoire a fini par rester au
ébat n’offre plus qu’un intérêt purement historique. Mais il a été si
long
et si ardent que, même aujourd’hui, dans une étud
nde fois transcrite, de même, alors qu’il s’était écoulé un bien plus
long
intervalle, il avait pu commettre un oubli analog
en s’appuyant sur d’autres raisons encore. La querelle dura ainsi de
longues
années ; mais le temps apaise tout ; elle commenç
n’est pas sur ses pieds. Cela est vrai ; il est d’un demi-pied trop
long
; mais, tout en y voyant matière à plaisanterie,
ambe, et il a bien soin de dire qu’il se compose d’une brève et d’une
longue
. Les différentes espèces de vers appellent ensuit
preuve évidente. Ne fallait-il pas que les deux premiers fussent bien
longs
, pour que Phèdre pût écrire : Ego illius pro sem
es, contenant le texte latin de Phèdre divisé en 3 livres et suivi de
longues
notes en langue italienne. 1854. Phædri
itori reliquit, ex quibus hic est unus. Fol. cxliii a à cxlvii a. —
Longue
suite de mots grecs concernant la géométrie, la g
et très brillant comte et seigneur, nommé Adolphe-Henri, venaient un
long
avertissement au lecteur, puis les 67 fables en p
ans la bibliothèque de Wolfenbüttel, et qu’il avait été l’objet d’une
longue
dissertation latine publiée en Allemagne, sous fo
fort peu du modèle et qui dès lors a beaucoup plus d’autorité que la
longue
paraphrase appelée Romulus de Nilant. Il y a auss
res sont en vélin et appartiennent au xiiie siècle. L’écriture est à
longues
lignes, sauf sur les feuillets 115 a à 128 b, où
er ce qu’il écrivait. En outre ce copiste, trouvant probablement trop
longs
les titres qui existent dans les plus anciens man
vrage qui suit cette table a été, comme la table elle-même, imprimé à
longues
lignes avec des caractères gothiques plus petits
édition in-folio de 114 feuillets, imprimée, comme les précédentes, à
longues
lignes, en caractères gothiques, sans lieu ni dat
are et fort précieuse imprimée en caractères d’une forme grossière, à
longues
lignes, au nombre de 41 dans les pages qui sont e
Cette édition forme un volume in-4º imprimé en caractères gothiques à
longues
lignes et composé de 77 feuillets non chiffrés, m
forme, d’après Brunet349, un volume de 77 ff. non chiffrés, imprimé à
longues
lignes au nombre de 39 sur les pages pleines, ave
Delandine351 en donne la description suivante : « Cette édition est à
longues
lignes, sans titres, mais avec des signatures don
un volume in-fol. de 112 feuillets, imprimé en caractères gothiques à
longues
lignes de 40 à la page, non chiffré, mais pourvu
ns à ces généralités, et je renvoie ceux qui voudraient avoir de plus
longs
détails sur Vincent de Beauvais et sur son œuvre
is analyser, je crois la liste de ceux que j’ai signalés suffisamment
longue
, et le moment me paraît venu de m’occuper des édi
n du Miroir historial publiée en 1474. Maittaire376, d’après le P. Le
Long
, et Panzer377, d’après Maittaire, affirment que l
ut presque oublié, et son œuvre ne fut plus imprimée en latin qu’à de
longs
intervalles. Dominique Nicolin en fit bien paraît
l forme un volume in-fol. composé de 334 feuillets, dont l’écriture à
longues
lignes est du xve siècle, et contient divers ouv
résenter plus d’un exemple ; mais je craindrais d’entrer dans de trop
longs
détails. Je me bornerai à celui-ci, que m’offre l
to du feuillet suivant. Mais j’ignorais ce fait intéressant. Après de
longues
réflexions, je finis par acquérir la conviction q
çois après ourrés Ne [com]pren pas toute l’istoire ; Car seroit troup
longue
memoire, Et ce le fais pour breueté Qui est amie
eueté Qui est amie verité ; Et pource que par auenture Ne plaist une
longue
escripture, Plus est en bénignité Breueté que n’e
u’ont esté fais es parlemens, De ce me passe ci breffment, Sans faire
long
sermonnement : Car n’a mestier de ma doctrine La
transferi (sic) de latino in romanum. Ayant dû, pour éviter de trop
longs
développements, m’abstenir d’analyser toutes les
x cents feuillets en papier, forme un volume in-fº, dont l’écriture à
longues
lignes est due à un copiste du xve siècle nommé
tiens d’énumérer. Le dixième, dont j’aurai à donner ailleurs une plus
longue
analyse, consiste dans les fables d’Avianus, qui
in-4º formé de trente-sept feuillets en parchemin, dont l’écriture à
longues
lignes est de la fin du xive siècle ou du commen
inctes. Les écritures de ces cahiers dues à des mains diverses sont à
longues
lignes. Toutes appartiennent au xive siècle. L’u
e de vingt-quatre feuillets en parchemin, dont l’écriture italienne à
longues
lignes est du xive siècle. Le premier feuillet e
ussi en parchemin sont au nombre de 99 et dont l’écriture italienne à
longues
lignes est du xive siècle. Il renferme plusieurs
res années du xve siècle. On s’étonnera avec raison de la trouver si
longue
, et cependant elle est loin d’être complète ; en
tions des fables de Walther que je viens d’analyser montrent, par les
longs
intervalles qui séparent l’apparition de chacune
page 96, se termine à la page 137. Il est suivi, pages 138 à 157, de
longues
et savantes observations intitulées Anmerkungen,
-4º, composé de 64 feuillets en parchemin dont l’écriture italienne à
longues
lignes est du xive siècle. Il ne contient que la
e de la fin du xive siècle, à deux colonnes sur les 29 premiers et à
longues
lignes sur les autres. Les quarante-six fables é
opo volgarizzato per uno da Siena. Les fables ne sont pas pourvues du
long
préambule qui les précède dans le manuscrit Gadd.
se compose de 68 feuillets en parchemin, dont l’écriture italienne à
longues
lignes est du xve siècle. Il est tout entier rem
in-4º composé de 98 feuillets chiffrés en parchemin dont l’écriture à
longues
lignes est du xve siècle. Le premier des ouvrage
iar. Le verso du feuillet 97 et le feuillet 98 sont remplis par une
longue
épître italienne intitulée : Epistola ad. D. P.
ée en lettres rondes. Elle forme un volume in-fol. de petit format, à
longues
lignes, remarquable non seulement par la pureté d
la première, elle consiste dans un volume in-fol. de petit format, à
longues
lignes, fort remarquable non seulement par la pur
e latine, on comprend que ce qui doit toucher dans une œuvre de cette
longue
période d’engourdissement intellectuel, c’est moi
illets sont en parchemin et les autres en papier et dont l’écriture à
longues
lignes est du commencement du xive siècle. Sur l
petit format, dont les feuillets sont en papier et dont l’écriture à
longues
lignes paraît être de la fin du xive siècle. Il
ui consistait, quand même elles étaient brèves, à rendre les syllabes
longues
par la force de la césure : dans la fable du Loup
it pas assez accommodant pour voir dans le mot nec une syllabe rendue
longue
par la puissance de la césure. Tout cela, il faut
composé de cinquante et un feuillets en parchemin, dont l’écriture à
longues
lignes est des xie et xiie siècles. Il ne renfe
e, 8 vol. in-8º. — À la page 146 du tome IV, imprimé en 1862, dans le
long
article qu’il consacre à Gui d’Arezzo, voici comm
t originaire, s’y forma une bibliothèque considérable, et consacra sa
longue
existence à amasser des matériaux pour l’histoire
Annales typographici, t. I, p. 104, nº 24. 376. Matt., p. 773, ex Le
Long
, Bibl. Hist. de Fr., nº 7120. 377. Panzer, Annal
ce que l’un demanderoit, l’autre le recevroit doublement. L’Avare fût
long
temps irresolu, pource qu’il ne croyoit-pas qu’on
▲