le cunte Willame, le plus vaillant de nul realme, m’entremis de cest
livre
feire e de l’engleis en romanz treire. Esopë apel
cest livre feire e de l’engleis en romanz treire. Esopë apel’um cest
livre
, qu’il translata e fist escrire, del griu en lati
Il en est peu qui fort souvent Ne se plaisent d’entendre dire, Qu’au
Livre
du Destin les mortels peuvent lire. Mais ce Livre
ntendre dire, Qu’au Livre du Destin les mortels peuvent lire. Mais ce
Livre
qu’Homere et les siens ont chanté, Qu’est-ce que
tres legitimes.
Et quant au Canal, c’est celuy
Que chacun sçait, le
Livre
des Maximes.
il ki seivent de lettr[e]ure, devreint bien mettre [lur] cure es bons
livres
e [es] escriz e as [es]samples e as diz ke li phi
pas produit. En France, en Angleterre, en Allemagne et en Italie, mon
livre
a été, dans la presse savante, l’objet des appréc
tre. L’auteur ne se décidera pourtant à le publier que si son premier
livre
rencontre un accueil favorable. Le désintéresseme
en ont été l’imitation, j’ai cru devoir diviser mon ouvrage en trois
livres
consacrés : Le premier, à l’œuvre de l’auteur pri
intérêt que pour l’histoire de la littérature latine au moyen âge.
Livre
premier. Étude sur les fables de Phèdre et sur le
les phrases redondantes, par lesquelles, dans le premier épilogue du
livre
IV, il prie Particulon de ne pas lui faire attend
de Xivrey a faite d’un des manuscrits du fabuliste6 : le prologue du
livre
III, adressé à Eutyque, y est intitulé Phædrus ad
II, adressé à Eutyque, y est intitulé Phædrus ad Eutychum, et dans le
livre
IV le poète intitule Phædrus les réflexions que l
es goûts, cette habitude se maintint, et que Phèdre dédia deux de ses
livres
à deux affranchis, Eutyque et Philète, dont les n
age l’objet de la moindre incertitude. Il a soin, dans le prologue du
livre
III, de l’indiquer en ces termes : Ego, quem Pie
été Phèdre, il faudrait admettre que, lorsqu’il composa ses premiers
livres
, il était déjà âgé de près de quatre-vingt-dix an
il cite cette phrase empruntée à l’épilogue de la première partie du
livre
IV : Olim senio debilem
t pas encore entré dans l’âge adulte. À la fin du premier épilogue du
livre
IV, il dit qu’il a toujours eu soin de se rappele
de l’un et de l’autre de ces deux empereurs. Dans la célèbre fable du
livre
II, où il montre l’esclave obséquieux, qui, à for
est le seul par lequel il désigne Octave. Lorsque, dans la fable x du
livre
III, il parle d’un procès soumis par les plaideur
ues devaient être portés à lui imputer, il a, dans le prologue de son
livre
III, eu le soin d’expliquer sa pensée en ces term
où il était traduit en justice, le fabuliste, dans le prologue de son
livre
III, écrivait « qu’il avait déraciné de son cœur
ue habendi penitus corde eraserim. Et plus tard, dans la fable iv du
livre
V, resté à la fin de sa longue carrière aussi pau
verrons plus loin, ont pensé que c’étaient les fables i, ii et iv du
livre
I qui avaient éveillé les susceptibilités de Séja
n’est pas dénuée de point d’appui. Puisque c’est dans le prologue du
livre
III qu’il se plaint du procès que Séjan lui inten
s que Séjan lui intente, il est certain que ce sont ses deux premiers
livres
qui devaient renfermer les fables incriminées ; o
urée que puisse être cette prétention, quand on songe que le deuxième
livre
ne comprend que huit fables, on reste convaincu q
u’il ne nous est pas entièrement parvenu. Il est vrai que ce deuxième
livre
n’est pas le seul qui soit incomplet, et que les
ue ce deuxième livre n’est pas le seul qui soit incomplet, et que les
livres
IV et V offrent aussi des lacunes évidentes. Mais
évidentes. Mais ce qui est significatif, c’est qu’en ce qui touche le
livre
II rien dans les manuscrits de Pithou et de Reims
présentent les mêmes manuscrits, que c’est bien au moyen âge que les
livres
IV et V ont été en partie perdus. En somme, ce qu
e la question de savoir à quelle époque il écrivit et publia ses cinq
livres
. L’opinion la plus généralement admise par les cr
a plus généralement admise par les critiques, c’est qu’aucun des cinq
livres
de Phèdre ne fut écrit ou au moins publié pendant
re n’aurait osé y mettre son nom ; il voit dans les fables i et vi du
livre
Ier de mordantes personnalités. Seulement il prét
sous le règne de Tibère, croit pouvoir induire du premier épilogue du
livre
IV et de la dernière fable du livre V, qu’il n’a
ir induire du premier épilogue du livre IV et de la dernière fable du
livre
V, qu’il n’a composé ses fables qu’à un âge très
e-majesté. Le Père Desbillons considérait donc les fables ii et vi du
livre
Ier comme écrites et connues sous le règne de Tib
nt formuler la mienne. Ne nous occupons d’abord que des deux premiers
livres
. Ce qui avait en général empêché les critiques d’
craindre, non seulement écrire, mais encore publier ses deux premiers
livres
. Quoi qu’il en soit, si leur publication offrait
s’y était exposé. En effet, quand on le voit, dans le prologue de son
livre
III, déclarer d’une part qu’il a pour son malheur
nserver aucun doute sur l’époque de l’apparition de ses deux premiers
livres
. Voilà, je crois, la vérité ; c’est faute de l’a
ustra gemas, Quoniam mihi solemnis debetur gloria. Les deux premiers
livres
n’avaient sans doute pas eu la faveur qu’il aurai
uis. Quelle époque faut-il assigner à la composition de ce troisième
livre
? Si l’on s’en tient aux termes du prologue, l’in
ainsi que Sax le fait observer, mentionne, dans le chapitre IV de son
livre
XIX sur les antiquités juives, un certain Eutyque
franchi de Caligula. Pour tout concilier, il suppose que le troisième
livre
commencé sous Tibère ne fut achevé que pendant le
s rien n’autorise Wase à être si affirmatif. Dans le chapitre XIII du
livre
XVIII50, F. Josèphe parle bien encore d’un autre
essairement reporter à l’époque de Tibère la composition du troisième
livre
. Gude d’ailleurs signale beaucoup d’autres affra
ffet bien plus naturel de supposer que Phèdre ait dédié son troisième
livre
à un affranchi, dont il avait partagé le sort dan
n, ait pu, avant même d’avoir été condamné, lui adresser le troisième
livre
de ses fables. Dira-t-on que tout cela n’explique
e tout cela n’explique pas comment, dans le prologue de son troisième
livre
, Phèdre, au moment même où Séjan l’appelait en ju
. Si le vindicatif favori de Tibère avait pu connaître le prologue du
livre
III, Eutyque aurait été impuissant à protéger son
yque aurait été impuissant à protéger son ami ; mais, si le troisième
livre
avait, comme les deux premiers, été destiné à la
xposer à aucunes représailles. Je me hâte de passer aux deux derniers
livres
. Il dédia le quatrième à l’homme qui paraît avoir
éoccupation, il l’avait déjà laissé apparaître dans l’épilogue de son
livre
II, quand il avait écrit : Si livor obtrectare c
obéi à la même pensée, quand il s’était écrié dans le prologue de son
livre
III, adressé à Eutyque : Ergo hinc abesto, Livor
r ! Il en faut, selon moi, conclure que, dans le premier épilogue du
livre
IV, c’était surtout contre les envieux réels ou i
té entraîné à commettre par la fausse division qu’il a faite des cinq
livres
de Phèdre. Il a cru que c’était, non le quatrième
ite des cinq livres de Phèdre. Il a cru que c’était, non le quatrième
livre
, mais le cinquième, qui était dédié à Particulon.
Philète, dont le nom figure pourtant à la fin de la dernière fable du
livre
V. Après avoir ainsi accommodé le texte à sa guis
ré. Aussi ne se borne-t-il pas à lui dédier la première partie de son
livre
IV, et, quand, après avoir renoncé à écrire, il r
avoir renoncé à écrire, il reprend la plume et ajoute à son quatrième
livre
une seconde partie, est-ce encore à lui qu’il la
onde partie, est-ce encore à lui qu’il la consacre. J’arrive enfin au
livre
V ; c’est également sous l’égide d’un affranchi q
et page 1093, nº 10 : PHILETVS. ET. FVSCVS. L. F. C. Le cinquième
livre
, dédié à Philète, est loin de nous être parvenu t
, le fond manque d’originalité. Depuis le commencement de son premier
livre
jusqu’à la fin de la première partie du IVe, les
velles et faits divers. C’est là ce qu’on trouve dans les fables v du
livre
II, x du livre III, v de la première partie du li
divers. C’est là ce qu’on trouve dans les fables v du livre II, x du
livre
III, v de la première partie du livre IV, vi de l
les fables v du livre II, x du livre III, v de la première partie du
livre
IV, vi de la deuxième partie du même livre, ii du
v de la première partie du livre IV, vi de la deuxième partie du même
livre
, ii du livre V, xv et xvi de l’appendice. Quelque
ère partie du livre IV, vi de la deuxième partie du même livre, ii du
livre
V, xv et xvi de l’appendice. Quelquefois, si ce n
ques ; telles sont celles qu’on lit dans les fables viii, ix et xi du
livre
III, xi et xxii de la première partie du livre IV
bles viii, ix et xi du livre III, xi et xxii de la première partie du
livre
IV, x et xxvii de l’appendice. Souvent aussi il a
ieil Ésope ; de cette catégorie sont les fables iii, v, xiv et xix du
livre
III, ix, xii, xiii, xvii et xx de l’appendice. Qu
u de la mythologie ; tels sont ceux que présentent les fables xvii du
livre
III, xii, xiv, xv, xviii et xxv de la première pa
vii du livre III, xii, xiv, xv, xviii et xxv de la première partie du
livre
IV et v de l’appendice. Ce défaut complet d’origi
s la pensée est reconnu par lui-même. Dans le prologue de son premier
livre
, il déclare qu’il s’est borné à versifier la mati
rit Hanc ego polivi versibus senariis. Il ajoute dans le prologue du
livre
II qu’il prend Ésope pour modèle, et que, s’il l’
partes, Lector, accipias velim. Il est vrai que, dans le prologue du
livre
III, il prétend, comme je l’ai déjà fait observer
n, qui ressort matériellement d’abord des fables de ses deux premiers
livres
presque toutes imitées d’Ésope, et ensuite de ses
d’Ésope, et ensuite de ses aveux ultérieurs et notamment du poème du
livre
IV, qui est intitulé Phædrus et dans lequel il av
erfecit manus. C’est seulement à partir de la deuxième partie de son
livre
IV, qu’il commence à être original. Du moins, c’e
rmation ; car il reste si peu de chose, soit de la deuxième partie du
livre
IV, soit du livre V, qu’il est impossible de savo
este si peu de chose, soit de la deuxième partie du livre IV, soit du
livre
V, qu’il est impossible de savoir si Ésope n’en a
ans les anecdotes, où il met en scène Ménandre et le tyran Démétrius (
livre
IV, 2e partie, fable ii), deux Soldats et un Vole
Démétrius (livre IV, 2e partie, fable ii), deux Soldats et un Voleur (
livre
IV, 2e partie, fable iii), un Bouffon et un Paysa
un Voleur (livre IV, 2e partie, fable iii), un Bouffon et un Paysan (
livre
IV, 2e partie, fable vi), un Joueur de flûte nomm
n (livre IV, 2e partie, fable vi), un Joueur de flûte nommé Leprince (
livre
V, fable ii), et le vieillard nommé le Temps (liv
e nommé Leprince (livre V, fable ii), et le vieillard nommé le Temps (
livre
V, fable iii) ? Or, comme en dehors de ces poèmes
Or, comme en dehors de ces poèmes anecdotiques, la deuxième partie du
livre
IV et le livre V ne renferment que deux vraies fa
hors de ces poèmes anecdotiques, la deuxième partie du livre IV et le
livre
V ne renferment que deux vraies fables, on peut d
en auteur à la fois naïf et vaniteux. Il déclare, dans l’épilogue du
livre
II, que les attaques des envieux ne l’empêcheront
rato feram, Donec fortunam criminis pudeat sui. Dans le prologue du
livre
III, il traite bien ses fables de viles bagatelle
mnis mihi debetur gloria. Dans le poème vii de la première partie du
livre
IV où il se plaint de la critique, il traite de s
stultitia nauseant. Enfin, dans le prologue de la deuxième partie du
livre
IV, il se console, en pendant que, s’il est attaq
eule qualité qu’il s’attribue, c’est la brièveté. Dans le prologue du
livre
II, il avertit le lecteur qu’il aura soin d’être
rependet illi brevitas gratiam. Dans le promythion de la fable x du
livre
I, il annonce une courte fable : Hoc adtestatur
qu’il a adoptée ; il s’excuse en ces termes à la fin de la fable x du
livre
III : Hæc exsecutus sum propterea pluribus, Brev
one posteris tradam brevi67. Dans la fable vii la première partie du
livre
IV, il ne demande au lecteur qu’un peu de patienc
rva libellum sustine patientia. Lorsque, dans le premier épilogue du
livre
IV, il prie Particulon de lui donner la récompens
e, il lui a peut-être été supérieur comme philosophe. La fable iii du
livre
III fait voir que c’était un esprit élevé, sur qu
librorum, et, comme on le dit dans le Scaligeriana, ils sentaient les
livres
, comme le chat les souris. Ils achetaient tous le
irie (c’était le terme), que celle que leur offrait la dispersion des
livres
de la bibliothèque de Saint-Benoît et de plusieur
, il avait, en les achetant des pillards eux-mêmes, sauvé beaucoup de
livres
. Mais il n’en faut pas conclure que le manuscrit
manuscrit ne contenait qu’un fragment, à peine huit fables du premier
livre
. Il est aisé de comprendre qu’il n’ait pas jugé q
pas pensé de même, si, au lieu de ce lambeau, il eût possédé les cinq
livres
de fables. Au surplus, dans l’édition originale d
osition : « Je lègue audict collège toute ma bibliothèque et tous les
livres
qui se trouveront en ma maison. » Si donc Pierre
je dois signaler l’erreur qu’en voulant critiquer la division en cinq
livres
adoptée par Pierre Pithou, M. Berger de Xivrey a
liberti liber quintus explicit, d’abord parce que la division en cinq
livres
(confirmée, il est vrai, par le manuscrit de Reim
page. » M. Berger de Xivrey fait remarquer que la division en quatre
livres
rend très facile l’interprétation de ce vers de l
t lui, ce vers s’explique, si les fables qui suivent appartiennent au
livre
IV. La fable Poeta ad Particulonem devient, dans
tiennent au livre IV. La fable Poeta ad Particulonem devient, dans ce
livre
d’abord interrompu, un nouveau prologue, par lequ
t-il conclure que tout le reste du manuscrit appartienne au quatrième
livre
? Ici, malgré ma déférence pour l’auteur, je suis
ans doute rien dans le manuscrit ne révèle l’existence d’un cinquième
livre
; mais, quand on prend la peine de chercher en de
récits d’Ésope, s’exprime ainsi : « Phèdre d’une partie a formé cinq
livres
. » Pithou, guidé par ce renseignement, a divisé
» Pithou, guidé par ce renseignement, a divisé le manuscrit en cinq
livres
, et la découverte de celui de Reims a montré qu’i
ti Liber quintus explicit feliciter. Mais où finissait le quatrième
livre
et où commençait le cinquième ? Voilà ce que Pith
i clairvoyant, ne me semble pas avoir entrevu. Il arrête le quatrième
livre
à la fin du prologue, qui est intitulé Poeta ad P
t conçu dans des termes qui ne permettent pas de le mettre en tête du
livre
V, il le laisse dans le livre, auquel il appartie
permettent pas de le mettre en tête du livre V, il le laisse dans le
livre
, auquel il appartient. Puis il fait commencer le
s le livre, auquel il appartient. Puis il fait commencer le cinquième
livre
par la pièce de vers Æsopi nomen, etc. Il ne rema
édente, ne permettent pas de la considérer comme le commencement d’un
livre
nouveau. Les éditeurs l’ont en général si bien co
, fait du prologue Poeta ad Particulonem le commencement du cinquième
livre
. N’étant pas dans la bonne route, ils n’ont pu se
n’ont pas pris tant de peine ; tout en plaçant le prologue en tête du
livre
V, ils ont laissé subsister le mot quartum. Quel
ela de respecter l’ordre du manuscrit : on aurait vu que le quatrième
livre
se divise en deux parties bien nettement séparées
erment soit capable de le tenir, il reprend la plume, et ajoute à son
livre
IV une seconde partie, que, comme la première, il
e comment des éditeurs tels que Pithou ont pu, terminant le quatrième
livre
par le prologue de la deuxième partie, attribuer
e livre par le prologue de la deuxième partie, attribuer au cinquième
livre
des fables et un épilogue qui appartenaient à la
bord supposé qu’elle embrassait toute la deuxième partie du quatrième
livre
moins cette fable encore incomplète, et les trois
complète, et les trois quarts ou au moins les deux tiers du cinquième
livre
. Mais un examen plus attentif ne m’a pas permis d
ême place aux conjectures : la fin de la deuxième partie du quatrième
livre
s’y trouve nettement indiquée par un épilogue int
us que cinq fables. Il en résulte dans le nombre des fables de chaque
livre
une disproportion fort grande, et je ne doute pas
é une copie, faite sur papier transparent : 1º du prologue du premier
livre
, 2º de la morale de la fable xvi du livre I, inti
: 1º du prologue du premier livre, 2º de la morale de la fable xvi du
livre
I, intitulée Ovis, Cervus et Lupus, 3º de trois v
is, Cervus et Lupus, 3º de trois vers environ de la fable xxx du même
livre
, intitulée Ranæ metuentes Taurorum prælia. En env
Il a ensuite appartenu à lord Stuart de Rothesay, et, à la vente des
livres
de ce dernier, le hasard me l’ayant fait rencontr
t est incomplet, les deux dernières fables et l’épilogue du quatrième
livre
et tout le cinquième y manquent. » Il est éviden
Pithou ; l’un et l’autre renfermaient les mêmes fables des IVe et Ve
livres
. On pourrait objecter que le manuscrit, sur la ro
u Roi. Malheureusement il présentait une lacune. Alors que le premier
livre
des fables commençait à la troisième page de l’ex
t de son omission, et au bas de la page 3, sur laquelle commençait le
livre
I, il écrivit : « J’ai manqué dans le temps, et j
ncontre ni dans les bibliothèques publiques, ni chez les marchands de
livres
anciens. En l’absence de l’édition de la veuve Br
ult. Or, pour prendre quelques exemples au début seulement du premier
livre
, les variantes queris et gravis, portant l’une su
désaccord avec Dom Vincent. Pour ne citer que deux exemples tirés du
livre
I, tandis que Gude avait lu dans la fable x la va
sième page de l’exemplaire de la veuve Brocas, où commence le premier
livre
des fables, Dom Vincent s’exprime ainsi : « Le Ph
a première. Enfin, comme dans le manuscrit de Pithou, le passage d’un
livre
à un autre n’était pas non plus toujours observé.
lus toujours observé. Il n’était indiqué qu’au commencement du second
livre
par ces mots : Phædri Augusti liberti liber secu
citer. » Comme, dans l’exemplaire de l’édition de 1743, le cinquième
livre
était suivi des fables dont Gude avait emprunté l
Pour éviter cette méprise, il avait, à la fin de la dernière fable du
livre
V, ajouté cette observation : « Ici finit le cinq
fable du livre V, ajouté cette observation : « Ici finit le cinquième
livre
; et ces autres fables qui suivent ne sont pas da
n et dans l’autre également défaut. Ainsi, par exemple, la fable v du
livre
II, dans les deux manuscrits, est intitulée : « I
emblance encore plus frappante. Ainsi le manuscrit de Pithou, dans le
livre
IV, ne renferme de la fable Leo regnans que les n
et aux conjectures de Gude, le premier vers de l’épilogue du deuxième
livre
commence par les mots : Æsopi ingenio , qui sont
porelle de l’abbaye de Saint-Benoît et qu’il avait pu sauver bien des
livres
du pillage de la bibliothèque, Adry avait dû natu
anathema sit. » Ce qui, d’après M. Gaston Paris115, veut dire : « Ce
livre
appartient à Saint-Benoît-Fleury ; si quelqu’un l
sirs qu’il avait occupés à collectionner des médailles et surtout des
livres
rares et des manuscrits précieux, parmi lesquels
er dans les Pays-Bas, en France et en Allemagne acheter pour elle des
livres
précieux et surtout des manuscrits. C’est alors q
ut des manuscrits. C’est alors qu’il acquit, moyennant quarante mille
livres
, une grande partie de la bibliothèque de Paul Pet
réfléchie. Je renvoie ceux qui me trouveront trop sévère pour elle au
livre
intitulé : Histoire des intrigues galantes de la
riche bibliothèque qui fut achetée par le pape Alexandre VIII, et ses
livres
entrèrent au Vatican. Mais la Bibliothèque Vatica
il fait l’historique de Saint-Benoît-sur-Loire128, aurait dit que les
livres
de P. Petau étaient encore à Stockholm. Toutes me
Il ignorait, lui aussi, si le manuscrit s’y trouvait. Mais, comme les
livres
, provenant de la reine Christine, n’avaient pas é
ères pages. Ces trois pages ne contiennent que huit fables du premier
livre
; c’est par erreur que MM. Guessard et Michelant,
a première fable : De Boue et Asino 134. Les huit fables du premier
livre
, conservées dans le manuscrit de Daniel, étaient
37, que le manuscrit de Daniel embrassait à peine le tiers du premier
livre
. Cela était vrai ; mais Adry, habitué à tout éplu
as très bien inspiré. « Parmi ces manuscrits, écrit-il en parlant des
livres
de l’ancienne abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire, i
non pas de toutes les fables de Phèdre, mais d’une partie du premier
livre
, un tiers, selon le P. Desbillons, qui devrait di
, dans sa préface, il déclare qu’il ne contient que des fables du IIe
livre
, quand lui-même, au bas des huit fables du premie
ables du IIe livre, quand lui-même, au bas des huit fables du premier
livre
, dont se compose la Vetus Danielis Chartula, il a
sa plume fut seule coupable. Il est donc entendu que c’est du premier
livre
qu’il a voulu parler. Malheureusement, en dehors
n, et qui ne présente qu’un peu plus de la deuxième moitié du premier
livre
». Il y a là deux erreurs nouvelles : d’abord l’é
lui de Pithou. Ensuite il ne comprend que le quart environ du premier
livre
, et les huit fables dont il se compose, sont cell
ellement qu’un fragment ; car il ne contient qu’une partie du premier
livre
et des variantes depuis la première jusqu’à la xx
sonnes, qui, cherchant à se renseigner, s’adressent naturellement aux
livres
spéciaux. Ce n’est sans doute qu’un court fragmen
du manuscrit. On sait qu’à la mort de Daniel, arrivée en 1603, ses
livres
, mis en vente, furent achetés en partie par Paul
e du rythme ïambique et par suite a dû précéder la publication de son
livre
sur les différents genres de mètres poétiques, qu
st ce qu’il me paraît avoir fait. Il est vrai que dans la fable ii du
Livre
III intitulée Panthera et Pastores, au lieu de la
en avait faite, avait été transporté de Parme à Naples avec tous les
livres
appartenant aux Farnèse. Il y resta longtemps enf
chez le libraire Giuseppe Dura, qui possède une immense collection de
livres
anciens. Elle n’a qu’une valeur de curiosité bibl
sertations, je devais, lecteur, te faire apprécier au préambule de ce
livre
quelle était l’importance de mon travail. » Quoi
ystématiquement obscure ou banale ; c’est ce que, dans la fable ii du
livre
IV, il déclare lui-même en ces termes :
s juste, quand, par exemple, il l’accuse d’avoir, dans la fable vi du
livre
III, substitué le mot tardandum au mot strigandum
re avec raison que Burmann lui impute d’avoir dans la fable x du même
livre
remplacé ce vers : A divo Augusto tunc petiere j
issé aller à le défendre outre mesure. Il est supposable que, dans un
livre
qu’à l’origine il n’avait pas entrepris pour l’éd
t être négligé. « Je m’en souviens, écrit le Père Vavasseur dans son
livre
intitulé De ludicra dictione 184, le Père Sirmond
é que, lorsque Pierre Pithou eut édité pour la première fois les cinq
livres
de Phèdre, et par égard pour leur vieille amitié
stée si longtemps cachée. Mais personne, après la lecture complète du
livre
, ne douta plus qu’il n’appartînt à l’époque d’Aug
opiæ, Niccolo Perotti en avait fait avant lui. Dans l’épigramme 77 du
livre
Ier, adressée à Valérius Flaccus, on lit ce disti
x donner qu’une. Si l’on pouvait attribuer à Perotti la fable xvii du
livre
III, il faudrait admettre que toutes les autres f
Perotti, archevêque de Siponte, dans ses commentaires sur le premier
livre
de Martial, déclara au sujet de ce passage, Quid
res, et éclairés de leurs notes et de leurs scholies. Ils se trouvent
livre
II, fable lvi 188. » On le voit, Schryver ne pro
archevêque de Siponte qui s’attribue la paternité de la fable xvii du
livre
III. Avant de trancher avec tant d’assurance une
er192, existait encore en 1666, contenait ce vers de la fable xvii du
livre
III : Nisi utile est quod facimus, stulta est gl
des vers, qui, dans la dédicace, ont été empruntés aux prologues des
livres
III et ӀV des fables de Phèdre et qui, suivant lu
se reporte au texte de Phèdre, on trouve ces vers dans le prologue du
livre
III : Honori et meritis dedicans illum tuis : Qu
une égale impéritie, ils ont fait, les uns, le prologue du quatrième
livre
, les autres, le prologue du cinquième, on lit les
et que ce ne fut qu’après l’avoir composé qu’il songea à en faire un
livre
d’éducation, je me sens de plus en plus convaincu
ait né en Thrace, dans la partie de ce pays voisine de la Grèce ; ses
livres
ne donnent donc aucun démenti au témoignage de Sé
eux un affranchi d’origine macédonienne ; le Père Vavasseur, dans son
livre
De ludicra dictione publié en 1658210, en supposa
ié en 1697211, en affirmant que « Sénèque avait oublié qu’il y eût un
livre
au monde qui s’appelât les fables de Phèdre » ; F
nterprète en faveur de sa thèse. Dans l’épigramme xx de son troisième
livre
, Martial, demandant à sa muse ce que fait son che
n fabuliste. L’épithète improbus ne peut convenir qu’à l’homme qui se
livre
à un travail persévérant et l’auteur des fables n
ables d’Ésope, qu’il développa, resolvit, de manière à en former cinq
livres
, tandis que les fables connues sont très nombreus
ns, quand on voit qu’il en a composé quarante-deux réunies en un seul
livre
, et qu’aucune des siennes n’a le moindre rapport
ins qui nous sont restés ? « Mais pourquoi vouloir ôter à Phedre cinq
Livres
entiers par ce qu’on y auroit inséré une seule Fa
e ses misères, il écrivait à l’un de ses protecteurs, à la fin de son
livre
IV, qu’il était loin d’être affaibli par la vieil
utres critiques… Car Phèdre lui-même, dans l’épilogue de son deuxième
livre
, établit bien qu’il est un écrivain romain227. »
se. Or, à cette époque, il ne pouvait connaître que les deux premiers
livres
, les seuls qui, suivant lui, fussent alors compos
t amuser : risum movet , dit Phèdre lui-même dans le prologue de son
livre
Ier. Partant de là, lui-même appelle ses écrits j
t que de philosophie, a-t-il pu attribuer au même philosophe les cinq
livres
de fables dont parle Avianus ? Ne devait-il pas t
pas trouver au moins bien singulière cette division identique en cinq
livres
, adoptée par le philosophe et par l’auteur des fa
’un ancien seul pouvait avoir. Qu’on lise, par exemple, la fable v du
livre
II : la belle peinture des ardélions, cet esclave
ope ; il n’a pas non plus, comme le prétend Christ, développé en cinq
livres
une partie de son œuvre. « Resolvere, dit-il, ne
auquel aucun feuillet utile ne manque, le texte est divisé en quatre
livres
; or, si c’était l’œuvre de Phèdre, il serait, co
e de Phèdre, il serait, comme Avianus l’atteste, divisé non en quatre
livres
, mais en cinq. Mais j’ai démontré que M. Berger d
atin ; c’est lui-même qui le déclare en ces termes dans l’épilogue du
livre
II : Quod si labori faverit Latium meo, Plures h
. Et pour qu’on n’en doute pas, il le répète encore, lorsque dans le
livre
IV il dit à Particulon :
0º L’assertion d’Avianus, qui déclare que Phèdre n’a composé que cinq
livres
, ne prouve rien. Phèdre ne les publia que les uns
Avianus n’en a-t-il connu que cinq. Mais il est probable que les cinq
livres
que nous possédons nous sont parvenus incomplets.
les-mêmes portent les traces de leurs lacunes. Après la fable xiii du
livre
IV, il y en a une qui saute aux yeux : le prologu
e xiii du livre IV, il y en a une qui saute aux yeux : le prologue du
livre
V, qui se termine par ce vers : Sed jam ad Fabel
elles, il n’est pas nécessaire de supposer qu’il écrivit plus de cinq
livres
, et qu’au contraire y trouvant naturellement leur
par sa composition elle rappelle complètement la fable licencieuse du
livre
IV, intitulée : Idem Prometheus. Passant sous
ment contemporain, que Phèdre rapporte comme celui dont la fable x du
livre
III contient le récit. Adry ne parle pas de la fa
Cassitto avait répondu en citant des fables de la même nature dans le
livre
IV des anciennes. Adry n’est pas touché de cette
si bien dans les fables nouvelles la main de Phèdre qu’il en fait un
livre
VI266. Je suis surpris que, tandis que cet éditeu
llum et dont les éditeurs ont fait l’épilogue d’une sorte de sixième
livre
; ensuite arrive un petit poème : De virtute ad
monie avec ses idées chrétiennes. C’est ainsi que, dans la fable x du
livre
III, il a, comme je l’ai déjà dit, remplacé le ve
e : Muli et Latrones, qui dans les éditions de Phèdre est la viie du
livre
II, quinze vers également composés dans le rythme
et, comme dans l’édition de Dressler276, elles formeraient un sixième
livre
, ce qui est impossible ; car Avianus déclare que
avantage. » Il est vrai que Dressler a eu tort d’en faire un sixième
livre
; mais il a ainsi commis une faute sans importanc
a pensée de l’éditeur. Obligé de les grouper, il en a fait un sixième
livre
; mais il est probable qu’il n’a jamais cru que P
aru. J’ai déjà dit quelques mots de ces lacunes277 ; j’y reviens. Le
livre
II est d’une brièveté qui ne permet pas de le cro
s ce manuscrit, le copiste n’a fait suivre d’aucune fable le titre du
livre
II et a fait commencer le livre III, non pas par
ait suivre d’aucune fable le titre du livre II et a fait commencer le
livre
III, non pas par le prologue intitulé Phædrus ad
par le prologue intitulé Auctor qui fait suite à la dernière fable du
livre
I, attribuant ainsi au livre III les fables, dont
or qui fait suite à la dernière fable du livre I, attribuant ainsi au
livre
III les fables, dont, à l’exemple de Pithou, tous
nt, à l’exemple de Pithou, tous les éditeurs ont cru devoir former le
livre
II. Dans le second volume de cette édition je m’e
ais au moins faut-il admettre que, si nous possédons quelque chose du
livre
II, ce qui en est resté n’en est qu’une faible pa
, ce qui en est resté n’en est qu’une faible partie. La fable v de ce
livre
porte pour titre ces mots : Item Cæsar ad Atrien
e de la lacune ? Il est impossible de le savoir ; mais la brièveté du
livre
permet de la supposer très considérable. Le prolo
du livre permet de la supposer très considérable. Le prologue même du
livre
III en fournit la preuve évidente. Ne fallait-il
viam, Et cogitavi plura quam reliquerat ? Dans la première partie du
livre
IV, les huit premiers vers de la fable Leo regnan
te, dont les proportions seules sont inconnues. La deuxième partie du
livre
IV est encore plus incomplète. Ainsi que je l’ai
impossible de connaître exactement ; mais, comme la seconde partie du
livre
IV devait, par ses dimensions, être à l’origine e
t certain que la lacune doit être de forte taille. Quant au cinquième
livre
, il est évident, puisqu’il se réduit aux cinq der
ntrairement à l’affirmation d’Avianus, il en avait composé un sixième
livre
. L’objection tirée de la nécessité de supposer un
xième livre. L’objection tirée de la nécessité de supposer un sixième
livre
qui n’a jamais existé, est ainsi complètement dét
e. In-8º de 107 pages, contenant le texte latin de Phèdre divisé en 3
livres
et suivi de longues notes en langue italienne.
2 vol. in-12. 1809. Fables de Phèdre, divisées en quatre
livres
égaux, enrichies de notes et traduites en françai
on en vers français par M. C. Macaigne, professeur. Première partie :
livres
I et II. Château-Thierry, Renaud. In-16 de 86 pag
hom (Anglico et Sinice). Canton, all’officio tipografº. In-4º.
Livre
II. Étude sur les fables des imitateurs directs e
e. C’est seulement des premières qu’il sera question dans ce deuxième
livre
, qui ne pourra être que très court. Car, si les i
ord en 1697, en deux volumes in-folio287, dans l’ancien catalogue des
livres
de la Bibliothèque de l’Université de Leyde288, e
a septième ligne commence par ces mots, qui, dans le texte du premier
livre
de Romulus, servent de titre à la fable du Milan
usdem. Ces derniers mots montrent qu’à la suite du prologue venait le
livre
même de Caton écrit sur un autre cahier qui n’aur
ments géographiques, glossographiques et chronologiques, empruntés au
Livre
des étymologies d’Isidore. Fol. cxxviii a à cxxx
sous la forme d’un homme assis dans un fauteuil, ayant devant lui un
livre
et un encrier, tenant une plume à la main et para
blement celle du conservateur en fonctions à l’époque de l’entrée des
livres
d’Isaac Vossius dans la bibliothèque de l’Univers
de Leyde n’a été qu’une seule fois imprimée. En passant en revue les
livres
de la bibliothèque de l’Université de cette ville
it possédé une riche abbaye, qui en avait été dépositaire et dont les
livres
, à l’époque de la grande Révolution, avaient pu ê
en avait cité quelques fragments dans ses notes sur la fable xiii du
livre
I de Phèdre, intitulée Vulpis et Corvus. Cette fa
Paris. Mais, quand je demandai au maire l’autorisation de visiter les
livres
de M. E du Méril, il me répondit qu’ils étaient r
uent, un espace blanc de 5 lignes et même davantage. La couverture du
livre
se distingue par des plats en bois, couverts de c
lose d’un anonyme sur le Cantique des Cantiques. Fol. 98 b à 108 a. —
Livre
d’un anonyme sur la nature de certains animaux. F
ors l’examen des fables, Tross observe qu’elles sont divisées en cinq
livres
, composés : le premier d’un prologue et de 14 fab
le quatrième, de 16, et le cinquième, de 11. De leur division en cinq
livres
il conclut que toutes ont bien leur origine dans
e sa thèse il puise un nouvel argument dans le titre même du deuxième
livre
qui est ainsi conçu : Incipit liber secundus Aes
e dirais peut-être qu’elles sont un peu puériles. La division en cinq
livres
du manuscrit de Wissembourg ne pourrait servir d’
connues de l’auteur ancien qui s’y retrouvent appartenaient aux mêmes
livres
; et l’on verra plus loin qu’il n’en est nullemen
ation, c’est que l’œuvre du fabuliste romain n’a jamais eu de sixième
livre
, et que, si le manuscrit de Wissembourg, comme le
eut que cette vérité ressorte de la division de son manuscrit en cinq
livres
; mais, ainsi que je l’ai déjà fait observer, le
ères. À cet égard il appelle l’attention sur les fables 5, 8 et 12 du
livre
I, 1, 4, 8 et 10 du livre II, 2, 3, 5, 8 et 14 du
le l’attention sur les fables 5, 8 et 12 du livre I, 1, 4, 8 et 10 du
livre
II, 2, 3, 5, 8 et 14 du livre III, 4 et 12 du liv
5, 8 et 12 du livre I, 1, 4, 8 et 10 du livre II, 2, 3, 5, 8 et 14 du
livre
III, 4 et 12 du livre IV, et 5, 7 et 9 du livre V
1, 4, 8 et 10 du livre II, 2, 3, 5, 8 et 14 du livre III, 4 et 12 du
livre
IV, et 5, 7 et 9 du livre V. Ces deux circonstanc
, 2, 3, 5, 8 et 14 du livre III, 4 et 12 du livre IV, et 5, 7 et 9 du
livre
V. Ces deux circonstances l’empêchent de considér
puscules théologiques, il avait été, à Wolfenbüttel, classé parmi les
livres
de théologie, dans lesquels, à défaut d’un catalo
s salutem sont au bas du feuillet 60 b. Les fables sont divisées en 5
livres
; chacun d’eux, sauf le premier, est précédé d’un
e donnait pas à Tross le droit de s’écrier à propos de l’épigraphe du
livre
II Incipit liber II Æsopi fabri : “Qui ne voit pa
abularum, qu’on trouve aux endroits correspondants de tous les autres
livres
. Pourtant la délicatesse de la paraphrase donne à
ièrement disparu. Ces corrections se continuent jusqu’à la fin du IVe
livre
; dans le Ve il n’en existe que d’insignifiantes,
lconque, il faut à la fois indiquer son numéro et sa classe. Pour les
livres
imprimés un système tout différent a été adopté :
re ligne de la page. Fol. 116 a. — Table des 55 chapitres du deuxième
livre
, close par cette souscription en grosses lettres
iciciunt capitula de marinis belluis. Fol. 120 b. — Fin du deuxième
livre
, terminé au milieu de la page par ces mots à l’en
à l’encre rouge : Finit de belluis , suivis de ce titre du troisième
livre
en grosses capitales écrites avec la même encre :
es écrites avec la même encre : Incipit de serpentibus. Ce troisième
livre
n’est précédé d’aucune table. Fol. 123 b. — Fin d
me livre n’est précédé d’aucune table. Fol. 123 b. — Fin du troisième
livre
, au milieu de la page, par cette souscription en
euillets, qui contenaient le Prologue et les huit premières fables du
Livre
I, n’existaient déjà plus, et avant la reliure ce
’étaient que l’imitation latine en vers élégiaques des trois premiers
livres
du Romulus ordinaire302. Il me semble que cette q
rgomate ordinis heremitarum , et il avait extrait de la page 75 de ce
livre
le passage suivant : « Harum (c’est des Fables d’
ient comprises, non pas, comme dans le Romulus ordinaire, dans quatre
livres
, mais dans trois seulement. On saura, quand on au
aucun des dérivés directs du Romulus primitif n’est divisé en quatre
livres
. Ou, comme dans le Romulus de Vienne, la division
pas, ou, comme dans le Romulus de Nilant, elle est seulement en trois
livres
; on en peut conclure que cette dernière était ce
e passer à la nomenclature des fables contenues dans chacun des trois
livres
, avec l’indication de celles de Phèdre dont elles
es fables de Romulus qu’on retrouve dans Phèdre. Sur les 20 fables du
livre
I, 14 sont tirées de celles de Phèdre anciennemen
2, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 13, 14, 15 et 16. Sur les 20 fables du
livre
II, il y en a 16 qui ont été empruntées aux ancie
t 20. La quatrième est la mise en prose d’une des nouvelles. Enfin le
livre
III et dernier embrasse 44 fables, dont quatorze
ennes ou nouvelles, sont au nombre de 32. Ce sont celles qui, dans le
livre
I, portent les numéros 3, 12, 17, 18, 19 et 20 ;
ans le livre I, portent les numéros 3, 12, 17, 18, 19 et 20 ; dans le
livre
II, les numéros 8, 9 et 10 ; dans le livre III, l
17, 18, 19 et 20 ; dans le livre II, les numéros 8, 9 et 10 ; dans le
livre
III, les numéros 1, 2, 3, 4, 5, 6, 11, 15, 16, 18
ient rendu la pensée obscure, on lit dans une des fables du troisième
livre
: Hoc illis narro qui me non intelligunt ; ce q
s divisions adoptées par son modèle, c’est-à-dire le partage en trois
livres
, qu’il aurait transcrit les fables dans le même o
urs à la fable du Chien et du Loup qui est dans Phèdre la septième du
livre
III, dans le manuscrit de Wissembourg la septième
eptième du livre III, dans le manuscrit de Wissembourg la septième du
livre
IV et dans le Romulus primitif la dix-septième du
a septième du livre IV et dans le Romulus primitif la dix-septième du
livre
III. Phèdre. A furibus tuearis et noctu domu
n est obligé de lui assigner les premières années du xie siècle.
Livre
III. Étude sur les fables dérivées du Romulus pri
s, je disais qu’il avait fait oublier Phèdre. Ce troisième et dernier
livre
va fournir la preuve palpable de cette assertion
x textes dont le Romulus primitif aura été la base capitale. Comme ce
livre
, à raison de l’extraordinaire abondance des matiè
u premier groupe sont presque identiques : ils sont divisés en quatre
livres
semblables tant par le nombre que par l’ordre des
ier. Sauf celui d’Oxford, ils offrent bien la même division en quatre
livres
, mais tous les trois ils différent des trois prem
roupe la fable de l’Aigle et du Renard, au lieu d’être la huitième du
livre
II, est la treizième du livre Ier. En outre, leur
u Renard, au lieu d’être la huitième du livre II, est la treizième du
livre
Ier. En outre, leurs textes eux-mêmes s’écartent
Ce manuscrit du xiie siècle, de grand format, renfermant les quatre
livres
de fables de Romulus et XXXII livres de l’histoir
nd format, renfermant les quatre livres de fables de Romulus et XXXII
livres
de l’histoire naturelle de Pline, se trouvait, au
. Ainsi que le porte la lettre de M. Guignard, à la suite venaient 32
livres
de l’histoire naturelle de Pline. Mais il paraît
u duc de Brunswick, Leibnitz, après la mort de Gude, avait acheté ses
livres
. Il en est résulté que sa copie est passée dans l
, si la fable du Renard et de l’Aigle, au lieu d’être la treizième du
livre
Ier, était la huitième du livre II. Nous avons vu
Aigle, au lieu d’être la treizième du livre Ier, était la huitième du
livre
II. Nous avons vu que, sur ce point, le manuscrit
isti 42, feuillets 150 bis à 161, xive siècle, ne contient que trois
livres
. Il commence ainsi : Incipit prologus super libru
qu’enfin le manuscrit renfermait non pas seulement les trois premiers
livres
, mais la totalité des fables divisées en trois li
trois premiers livres, mais la totalité des fables divisées en trois
livres
. Le premier livre se compose de 20 fables ; le se
res, mais la totalité des fables divisées en trois livres. Le premier
livre
se compose de 20 fables ; le second, de 27 sous 2
e ordre, si la fable du Renard et de l’Aigle, au lieu d’appartenir au
livre
Ier, où elle est la treizième, était la huitième
partenir au livre Ier, où elle est la treizième, était la huitième du
livre
II. La fin du livre I et le commencement du livre
r, où elle est la treizième, était la huitième du livre II. La fin du
livre
I et le commencement du livre II sont indiqués en
tait la huitième du livre II. La fin du livre I et le commencement du
livre
II sont indiqués en ces termes : Explicit liber
termes : Explicit liber primus. Incipit liber secundus. La fin du
livre
II et le commencement du livre III sont signalés
s. Incipit liber secundus. La fin du livre II et le commencement du
livre
III sont signalés par ces deux formules semblable
de les supprimer. Il n’a respecté que ceux des fables i, ii et xx du
livre
I et xxii du livre II, c’est-à-dire des fables du
Il n’a respecté que ceux des fables i, ii et xx du livre I et xxii du
livre
II, c’est-à-dire des fables du Coq et de la Perle
’Hirondelle et du Lion et du Berger. Enfin, dans la première fable du
livre
I, il a même omis la moralité. Tel est le contenu
mihi. Hec illis Esopus narrat qui non intelligunt. Les deux premiers
livres
se composent de chacun vingt fables par suite du
du deuxième au premier de la fable de l’Aigle et du Renard. La fin du
livre
I et le commencement du livre II sont indiqués pa
able de l’Aigle et du Renard. La fin du livre I et le commencement du
livre
II sont indiqués par ces deux phrases à l’encre r
cit liber primus fabularum. Incipit Esopi liber secundus. La fin du
livre
II et le commencement du livre III sont annoncés
ipit Esopi liber secundus. La fin du livre II et le commencement du
livre
III sont annoncés en ces termes : Explicit liber
icit liber secundus : incipit liber tercius Ysopi gentilis. Dans le
livre
III, comme Walther n’a pas traduit en vers élégia
oldat en marge de la version poétique de cette dernière. Dans le même
livre
la fable du Lion régnant du Romulus ordinaire a é
mplémentaires, le second copiste a transcrit les vingt-deux fables du
livre
IV du Romulus ordinaire, et, comme l’espace n’éta
aïves, quand elles ne sont pas triviales. Viennent ensuite les quatre
livres
des fables de Romulus précédés chacun d’une table
des fables de Romulus précédés chacun d’une table latine. La table du
livre
I est annoncée par ce titre : registrum fabularu
e Névelet. C’est après ce prologue que se placent les vingt fables du
livre
I (fol. 62 a lig. 24 à 82 b), disposées dans l’or
e ordre est observé dans la disposition des matières des trois autres
livres
. En tête du second qui, comme le premier, se comp
lles-mêmes (fol. 83 a à 104 b). La table des matières, qui précède le
livre
III, est annoncée par cette phrase : Incipit reg
trouvent les fables elles-mêmes (fol. 105 a à 130 b). Enfin vient le
livre
IV, composé comme les trois premiers de vingt fab
ne. xx. Comme l’auteur des fables élégiaques n’a point traduit le
livre
IV de Romulus, il s’ensuit qu’ici chacune des fab
tion du texte et des gravures est la même que dans les trois premiers
livres
. On voit par l’exposé qui précède que, dans l’édi
, l’œuvre de Romulus comprend quatre-vingts fables divisées en quatre
livres
égaux. Cette division ne correspond pas exactemen
à celle des principaux manuscrits. En effet, dans ces manuscrits, le
livre
I ne renferme pas la fable De Aquila et Vulpe et
ite ne se compose que de dix-neuf fables ; cette fable fait partie du
livre
II, dans lequel elle est la huitième et qui, la p
t la huitième et qui, la possédant, comprend vingt et une fables ; le
livre
III, au contraire, ne présente aucune différence
raire, ne présente aucune différence ; enfin, dans les manuscrits, le
livre
IV, d’une part, offre trois fables qui ne se trou
s élégiaques. Il est probable qu’après avoir, dans les trois premiers
livres
, fait suivre chaque fable en prose de sa traducti
a pour la symétrie attribué un pareil nombre au quatrième. Ce dernier
livre
est terminé par une sorte d’avis ainsi formulé :
gnale que pour ne rien omettre de ce qui intéresse les amis des vieux
livres
. Je n’ai plus, pour en finir avec la fameuse édit
bué l’importance d’un véritable manuscrit et l’a appelé le Phénix des
livres
. Mais, dans cette circonstance comme dans beaucou
espiterum (sic) Cardinalem. Fol. 25b à 26ª (d.ib à d.iiª). Table du
livre
I des fables de Romulus, intitulée : Registrū fa
et en est séparée par l’illustration xylographique. Chacun des quatre
livres
se composant de vingt fables, il s’ensuit que les
qui orne la dédicace de Romulus à son fils. Fol. 38b (e.vib). Fin du
livre
I. Fol. 39ª (e.viiª). Capitula libri secundi fab
ri secundi fabularum Esopi. Au-dessous de ce titre vient la table du
livre
II, à la suite de laquelle on lit : Prohemium li
i secundi fabularum Esopi. Fol. 39ª à 51ª (e.viiª à g.iiiª). Fin du
livre
II, suivi de la table du livre III, annoncée ains
l. 39ª à 51ª (e.viiª à g.iiiª). Fin du livre II, suivi de la table du
livre
III, annoncée ainsi : Incipit registrū capitulor
Fabula prima de Leone ei pastore. Fol. 51ª à 65ª (g.iiiª à i.iª).
Livre
III. Fol. 65ª (i.iª). Fin du livre III, suivi de
Fol. 51ª à 65ª (g.iiiª à i.iª). Livre III. Fol. 65ª (i.iª). Fin du
livre
III, suivi de la table du livre IV annoncée en ce
). Livre III. Fol. 65ª (i.iª). Fin du livre III, suivi de la table du
livre
IV annoncée en ces termes : Incipit registrum ca
lit : Fabula prima de Vulpe et vua. Fol. 65ª à 73ª (i.iª à k.iª).
Livre
IV, terminé par cette souscription : Finit, quar
egistrum fabularum Esopi. in librum primū. C’est la table du premier
livre
des fables de Romulus. Fol. 21 b (c. vii b). — P
écédemment soutenue. Fol. 22 a (c. viii a). — Commencement du premier
livre
des fables de Romulus. Il est annoncé par ce titr
le est placée la gravure. Par exception, dans les fables x et xiii du
livre
I la gravure précède, au lieu de les suivre, les
deux fables auxquelles elle se rapporte. Fol. 34 a (e. v a). — Fin du
livre
I et table du livre II, ainsi intitulée : Capitu
es elle se rapporte. Fol. 34 a (e. v a). — Fin du livre I et table du
livre
II, ainsi intitulée : Capitula libri Secungi (si
sopi. Ce préambule n’est accompagné d’aucune gravure. Dans ce second
livre
, la gravure vient toujours après les deux fables
b). — Incipit registrum capitulorum tercii libri Esopi. La table du
livre
III n’occupe que la moitié de la page. Puis comme
s qui suit immédiatement, porte ce titre : Eiusdem fabule prosa. Le
livre
III présente cette particularité que les fables v
la gravure au milieu du texte en prose. Fol. 60 a (i. iv a). — Fin du
livre
III, sans souscription, et table du livre IV, san
l. 60 a (i. iv a). — Fin du livre III, sans souscription, et table du
livre
IV, sans titre. Fol. 60 b (i. iiii b). — Commenc
le du livre IV, sans titre. Fol. 60 b (i. iiii b). — Commencement du
livre
IV. La disposition du texte et des gravures cesse
est au milieu du texte de la fable v. Fol. 67 a (k. iii a). — Fin du
livre
IV, terminé par cette souscription : Finit quart
on nouvelle diminuer le nombre de ces gravures. Fol. 21 a. — Table du
livre
I des fables de Romulus. Fol. 21 b. — Prologus m
2 a. — Incipit fabularum liber primus. Fol. 22 a à 34 a. — Premier
livre
. Fol. 34 a. — Capitula libri secundi fabularum E
hemium libri secundi fabularum Esopi. Fol. 34 b à 46 a. — Fables du
livre
II. Fol. 46 a. — Finit secundus. Fol. 46 b. —
strum capitulorum tercii libri Esopi. Fol. 46 b à 60 a. — Fables du
livre
III. Fol. 60 a. — Table du livre IV, sans titre q
opi. Fol. 46 b à 60 a. — Fables du livre III. Fol. 60 a. — Table du
livre
IV, sans titre qui la précède. Fol. 60 b à 67 a.
du livre IV, sans titre qui la précède. Fol. 60 b à 67 a. — Fables du
livre
IV. Elles se terminent au haut du recto du fol. 6
a première édition de cet ouvrage, à donner l’analyse détaillée de ce
livre
, dont, quoiqu’il contînt un recueil de fables, je
ohemium libri secundi fabularum Esopi. Fol. 41 b. — Fin du deuxième
livre
. Table du troisième livre intitulée : Incipit re
larum Esopi. Fol. 41 b. — Fin du deuxième livre. Table du troisième
livre
intitulée : Incipit registrum fabularum tercii l
it registrum fabularum tercii libri Esopi. Commencement du troisième
livre
. Fol. 53 b. — Fin du troisième livre ; la vingtiè
sopi. Commencement du troisième livre. Fol. 53 b. — Fin du troisième
livre
; la vingtième et dernière fable de ce livre inti
53 b. — Fin du troisième livre ; la vingtième et dernière fable de ce
livre
intitulée De Leonis fallaci conversatione n’exist
n’existe qu’en prose. Ensuite vient ce titre de la table du quatrième
livre
: Sequitur tabula libri quarti. Fol. 54 a. —
quitur tabula libri quarti. Fol. 54 a. — Commencement du quatrième
livre
, qui ne se compose plus que des fables de Romulus
e manuscrit 42 du Corpus Christi d’Oxford, les fables appartenant aux
livres
III et IV. En outre, à la suite des vingt fables,
suite des vingt fables, qui dans les éditions antérieures forment le
livre
III, Sébastien Brant a placé les deux dernières f
pour la symétrie, une traduction latine en prose. Il s’ensuit que le
livre
III comprend 42 fables. Comme les fables du livre
Il s’ensuit que le livre III comprend 42 fables. Comme les fables du
livre
IV n’ont pas été traduites en vers par l’anonyme
teinhöwel , etc. Ce texte peut se traduire ainsi : « Ici commence le
livre
et la vie du très célèbre fabuliste Ésope, tradui
i. Zum ersten die | vorred , etc. En français : « La table du premier
livre
du très célèbre fabuliste et maître Ésope. Tout d
buch Esopi, | etc. Ce qui veut dire : « La préface de Romulus sur le
livre
d’Ésope, etc. » Fol. 80 a, portant le nº xlvi. —
u sch-|reibet Esopo. Phrase, dont voici le sens : « Ici finit le IVe
livre
du très illustre fabuliste et maître Ésope et com
ant maître Rimicius, lesquelles ne sont pas comprises dans les quatre
livres
de Romulus. Ici commencent les fables d’Avianus a
Table synoptique des points communs que présentent les matières de ce
livre
. » Fol. 159 a. — Hystoria sigismunde : der toch
sope. » Fol. 38 (1) a à 87 (50) b. — Traduction allemande des quatre
livres
de Romulus. Fol. 87 (50) a. — die mitlauffenden
ci commence la table synoptique des points communs dans la matière du
livre
. » Cette table se termine au folio 170 a. C.
nd etlicher schimpfreden. Pogii. Autrement dit : « Ici commencent le
livre
et la vie du fabuliste Ésope mise du grec en lati
rs. Esopj zum ersten. Ce qui peut se lire ainsi : « Table du premier
livre
du célèbre fabuliste et maître Ésope ; tout d’abo
n das buch. Esopi. Soit : « La Préface du philosophe Romulus pour le
livre
d’Ésope. » À la suite de cette préface viennent l
s pour le livre d’Ésope. » À la suite de cette préface viennent les 4
livres
de Romulus. Fol. 60 a. — Hie endet sich das vird
tē fabeln die mā zu schribet esopo. Lisez : « Ici finit le quatrième
livre
du célèbre fabuliste et maître Ésope, et commence
imicius, lesquelles ne sont pas comprises par Romulus dans ses quatre
livres
, et commencement des fables d’Avianus avec leur t
nifie : « Ici commence la table des points communs dans la matière du
livre
. » Fol. 112 a à 115 a. — La table qui remplit ce
fabeltichters E-|sopi mit seinen figuren. Mots qui signifient : « Le
livre
du célèbre fabuliste Ésope avec ses figures. » F
emten fabeltichters Esopi. Traduction : « Ici commence la préface du
livre
du très célèbre fabuliste Ésope. » Fol. 32 a, po
i finit la vie d’Ésope. — La préface de Romulus le philosophe pour le
livre
d’Ésope » Fol. 144 a, portant la signature v.ii
que d’Ulm abrite de l’une d’elles un exemplaire acquis à la vente des
livres
d’un descendant des Besserer. Le volume, qui est
cription : Cy finist la vie de esope. Fol. 18 b à 19 a. — Table du
livre
I des fables de Romulus surmontée de ce titre :
des fables de esope du premier liure. Fol. 19 a. — Commencement du
livre
I, annoncé en ces termes : Cy commence la prefac
ut. La dédicace est ornée d’une gravure. Fol. 19 a à 23 b. — Premier
livre
orné seulement de 8 gravures. Fol. 23 b. — Cy fi
d liure des subtilles fables de esope. Fol. 23 b à 28 a. — Deuxième
livre
orné de 9 gravures seulement et suivi de ces deux
mence le registre des fables du tiers. Fol. 28 a à 28 b. — Table du
livre
III. Fol. 28 b. — Cy commence le tiers liure des
tiers liure des subtilles fables de esepe (sic). Fol. 28 b à 34 b. —
Livre
III, à la fin duquel on lit : Cy finist le tiers
le tiers liure des subtilles fables de esope. Et cōmēce le quart. Le
livre
III est pourvu de douze gravures. Fol. 34 b à 40
uart. Le livre III est pourvu de douze gravures. Fol. 34 b à 40 a. —
Livre
IV, que par exception ne précède aucune table, qu
n pied. Fol. a. ii a à e. i b. — Vie d’Ésope. Fol. e. i b. — Table du
livre
I de Romulus. Fol. e. ii a. — Cy commance la pré
ur bois, commence par le titre ou sommaire suivant : Ci commence le
livre
des subtilles hystoires et fables de Esope. Que t
is analogues à celles des éditions antérieures. C’est un des premiers
livres
qui aient été imprimés en Angleterre en langue an
Partie préliminaire comprenant la vie d’Ésope. Fol. 30 b. — Table du
livre
I des fables de Romulus. Fol. 31 a à 41 a. — Dédi
e I des fables de Romulus. Fol. 31 a à 41 a. — Dédicace de Romulus et
livre
I. Fol. 41 b. — Table du livre II des fables de R
31 a à 41 a. — Dédicace de Romulus et livre I. Fol. 41 b. — Table du
livre
II des fables de Romulus. Fol. 42 a à 53 a. — Liv
41 b. — Table du livre II des fables de Romulus. Fol. 42 a à 53 a. —
Livre
II. Fol. 53 b. — Table du livre III des fables de
ables de Romulus. Fol. 42 a à 53 a. — Livre II. Fol. 53 b. — Table du
livre
III des fables de Romulus. Fol. 53 b à 66 a. — Li
53 b. — Table du livre III des fables de Romulus. Fol. 53 b à 66 a. —
Livre
III. Fol. 66 b. — Table du livre IV des fables de
bles de Romulus. Fol. 53 b à 66 a. — Livre III. Fol. 66 b. — Table du
livre
IV des fables de Romulus. Fol. 67 a à 77 a. — Liv
66 b. — Table du livre IV des fables de Romulus. Fol. 67 a à 77 a. —
Livre
IV. Fol. 77 b à 96 b. — Livre V comprenant les di
fables de Romulus. Fol. 67 a à 77 a. — Livre IV. Fol. 77 b à 96 b. —
Livre
V comprenant les dix-sept fables dites Fabulæ ext
eyndet dat leuen van esopus. Fol, 25 b, col. 1. — Table du premier
livre
des fables de Romulus, précédée de ce titre : En
édicace de Romulus surmontée d’une gravure et commencement du premier
livre
. Les fables sont toutes précédées d’une gravure q
tere der | fabulen van dat andere boeck. Suit la table des fables du
livre
II. Fol. 34 a, col. 2. — Hier beghint die prefac
fabulē vandē en̄ nota-|bilen Esopus. Fol. 34 a à 42 b. — Fables du
livre
II. Fol. 42 b, col. 1. — Hier eyndet dat ander b
len. En̄ beghint dӡ register vā | den derden boeck. Suit la table du
livre
III qui se termine à la col. 2. Fol. 42 b, col 2.
le fabulen vā esopus. Fol. 42 b, col. 2 à 52 a, col. 1. — Fables du
livre
III, terminées par cette souscription : Hier eyn
tion : Hier eyndet dӡ derde boeck vā esopus. Puis vient la table du
livre
IV, précédée de ce titre : En̄ begint die tafel
begint die tafel vā dat vierde boec. Fol. 52 a à 59 b. — Fables du
livre
IV, accompagnées seulement de 19 gravures. À la f
emière fable. Fol. 26 a (d 6 rº) à 34 b (f 2 vº). — Texte espagnol du
livre
I des fables de Romulus. Fol. 34 b (f 2 vº). — So
livre I des fables de Romulus. Fol. 34 b (f 2 vº). — Souscription du
livre
I : Aqui se acaba el primero libro. Elle est im
acaba el primero libro. Elle est immédiatement suivie de ce titre du
livre
II : Aqui comiença el segundo libro de las fabul
l prohemio. Fol. 34 b (f 2 vº) à 43 a (g 5 rº). — Texte espagnol du
livre
II des fables de Romulus, qui est terminé par cet
ui se acaba el segundo libro. Fol. 43 a (g 5 rº). — Commencement du
livre
II annoncé par ce titre : Comiença el libro terc
mo ingenio. Fol. 43 a (g. 5 rº) à 52 b (h 2vº). — Texte espagnol du
livre
III terminé par cette souscription : Aqui se aca
a el tercero libro del ysopo. Fol. 52 b (h 2 vº). — Commencement du
livre
IV des fables de Romulus indiqué en ces termes :
del ysopo. Fol. 52 b (h 2 vº) à 61 b (A 5 vº). — Texte espagnol du
livre
IV terminé par cette souscription : Aqui se acab
aba la vida de Ysopo. Fol. 17 a (c 1 rº) à 22 a (c 6 rº). — Premier
livre
de Romulus. Fol. 22 a (c 6 rº) à 26 b (d 2 vº).
er livre de Romulus. Fol. 22 a (c 6 rº) à 26 b (d 2 vº). — Deuxième
livre
de Romulus. Fol. 26 b (d 2 vº) à 32 a (d 8 rº). —
ème livre de Romulus. Fol. 26 b (d 2 vº) à 32 a (d 8 rº). — Troisième
livre
de Romulus. Fol. 32 a (d 8 rº) à 36 a (e 4 rº). —
ème livre de Romulus. Fol. 32 a (d 8 rº) à 36 a (e 4 rº). — Quatrième
livre
de Romulus. Fol. 36 a (e 4 rº) à 46 a (f 6 rº). —
e Romulus, ne sont pas précédées de sa dédicace ni divisées en quatre
livres
. Elles sont au nombre de 80. Page 187. A qui se
Speculum doctrinale. Le Speculum historiale se divise en trente-deux
livres
, qui embrassent l’histoire universelle depuis l’o
née 1244. Le Speculum naturale est divisé par les uns en trente-trois
livres
et par les autres en trente-deux seulement. Comme
e date qu’au précédent. Le Speculum morale ne se compose que de trois
livres
qui contiennent des dissertations sur les mouveme
fuse nettement la paternité. Le Speculum doctrinale comprend dix-huit
livres
. C’est par erreur que quelques bibliographes ne l
touche les fables de Romulus. Elles figurent au nombre de 29 dans le
livre
IV du Miroir historial, où on les rencontre du ch
ap. 2 au chap. 8. Ce sont les fables 2, 3, 5, 6, 8, 14, 15, 16, 17 du
livre
I, les fables 3, 5, 9, 16, 18, 21 du livre II, le
5, 6, 8, 14, 15, 16, 17 du livre I, les fables 3, 5, 9, 16, 18, 21 du
livre
II, les fables 3, 4, 5, 7, 14, 15, 16, 17, 18 du
16, 18, 21 du livre II, les fables 3, 4, 5, 7, 14, 15, 16, 17, 18 du
livre
III, et les fables 1, 8, 10, 12, 19 du livre IV.
7, 14, 15, 16, 17, 18 du livre III, et les fables 1, 8, 10, 12, 19 du
livre
IV. De ces 29 fables de Romulus dix-sept ont leur
re, savoir : dans les fables 1, 4, 5, 8, 13, 21, 23, 3, 24, 12, 11 du
livre
I, 7 du livre III, 23, 24, 1, 3 du livre IV a et
ans les fables 1, 4, 5, 8, 13, 21, 23, 3, 24, 12, 11 du livre I, 7 du
livre
III, 23, 24, 1, 3 du livre IV a et 1 de l’appendi
13, 21, 23, 3, 24, 12, 11 du livre I, 7 du livre III, 23, 24, 1, 3 du
livre
IV a et 1 de l’appendice. Dans le Speculum doctri
avait déjà insérées dans son premier Speculum ; on les trouve dans le
livre
IV, où elles vont du chap. 114 au chap. 123. Dans
roir doctrinal, les fables de Romulus occupent les chap. 114 à 124 du
livre
IV ; car elles ne comprennent pas le chapitre 124
s n’existent que dans le manuscrit 4897, qui comprend les 16 premiers
livres
du Miroir et dans le manuscrit 14354-14355 divisé
iam multitudo librorum et temporis brevitas… » Ce volume contient les
livres
I-VIII. Parchemin. 259 feuillets. 383 sur 261 mi
t l’analyse suivante : Vincent de Beauvais : Speculum doctrinale. —
Livres
I-IX. — Ce volume contient aussi le commencement
rinale. — Livres I-IX. — Ce volume contient aussi le commencement du
livre
X. — Commencement : « Quoniam multitudo librorum
Table alphabétique des chapitres, fol. 1-4 ; table des chapitres des
livres
I à XXXII, fol. 12-15, sur 4 colonnes. Début de l
: « Deus est substancia incorporea… » Ce premier volume renferme les
livres
I-VIII. xive siècle. Parchemin. 281 feuillets
it l’analyse suivante : Vincent de Beauvais : Speculum historiale. (
Livres
I-VII.) Le texte finit aux mots : « … nisi te sci
rit l’analyse suivante : Vincent de Beauvais : Speculum historiale ,
livres
1 à 7. Table des chapitres en tête. xiiie sièc
313 feuillets et le 2e de 323. Les quarante-six premiers chapitres du
livre
XXV manquent. § 2. — Allemagne du Sud.
e du Collège d’Exon, porte le nº 15 et qui, contenant les trente-deux
livres
du Miroir historial, renferme nécessairement les
deux colonnes. Ce manuscrit contient seulement les quatorze premiers
livres
du Miroir historial et par suite le Romulus de Vi
deux colonnes sur vélin est irréprochable et qui contiennent tous les
livres
du Miroir historial et par conséquent le Romulus
tirant sur le gothique. La première partie se compose des 18 premiers
livres
et occupe 318 feuillets. Les 21 premiers feuillet
prologue et la table des chapitres. La deuxième partie se compose des
livres
XIX à XXXIII et occupe 327 feuillets. Les huit pr
sacrés à la table et le neuvième commence par cette première ligne du
livre
XIX : ij. De opere sexte diei. Et primo de anima
62 lignes chaque. Il est imprimé en lettres rondes. Il comprend trois
livres
. Les 3 premiers feuillets contiennent la table de
mes caractères que les deux premiers Speculum. Le tome I renferme les
livres
I à VIII. Il se compose de 155 feuillets, dont le
rimū volumen speculi || historialis finit. Le tome II renferme les
livres
IX à XVI. Il se compose de 176 feuillets, dont le
t scd’a pars speculi historialis vincētij. Le tome III renferme les
livres
XVII à XXIV. Il se compose de 175 feuillets. En t
. En tête il porte la table des chapitres et la table particulière du
livre
XVII, qui commence par ce titre à la première col
tte ligne : ordinis predicatorum explicit. Le tome IV renferme les
livres
XXV à XXXII. Il se compose de 191 feuillets, et c
compte du monastère. Le premier volume de 326 feuillets renferme les
livres
I à X ; le deuxième de 321 feuillets, les livres
uillets renferme les livres I à X ; le deuxième de 321 feuillets, les
livres
XI à XXI ; le troisième de 371 feuillets, les liv
1 feuillets, les livres XI à XXI ; le troisième de 371 feuillets, les
livres
XXII à XXXII. Au verso du dernier feuillet du tro
abétique de l’histoire générale. Tome I, comprenant les huit premiers
livres
. Il se compose d’abord de dix feuillets prélimina
s et un dernier de 10. Au recto du dernier feuillet les huit premiers
livres
du Miroir historial se terminent par cette souscr
|| la messe de messeigneurs les presidens. Tome II, comprenant les
livres
IX à XV. Il se compose d’abord de 12 feuillets pr
miroir || historial. Et commence le xvie. Tome III, comprenant les
livres
XVI à XXII. Il se compose d’abord de 12 feuillets
et deuziesme || liure du miroer hystorial. Tome IV, comprenant les
livres
XXIII à XXVII. Il se compose d’abord de 10 feuill
fine le xxviie liure || Du miroir hystorial. Tome V, comprenant les
livres
XXVIII à XXXII. Il se compose d’abord de 8 feuill
on chante la || messe De messeigneurs les presidens. Chacun des 32
livres
est précédé d’une grande et belle gravure sur boi
ci la description de l’édition : Tome I, comprenant les huit premiers
livres
du Miroir historial. Il se compose d’abord de 8 f
des matières. Viennent ensuite 236 feuillets signés et numérotés. Les
livres
du Miroir historial qu’ils contiennent sont termi
mier volume de Vin||cent mirouer hystorial. Tome II, comprenant les
livres
IX à XV. Il se compose d’abord de 8 feuillets, do
Puis viennent 260 feuillets signés et numérotés qui contiennent les
livres
du Miroir historial terminés eux-mêmes par cette
xve. liure de Vincent || miroir hystorial. Tome III, comprenant les
livres
XVI à XXII. Il se compose d’abord de 6 feuillets
. Puis viennent 243 feuillets signés et numérotés qui contiennent les
livres
du Miroir historial terminés par cette souscripti
xiie. liure de Vincent || miroir hystorial. Tome IV, comprenant les
livres
XXIII à XXVII. II se compose d’abord de 6 feuille
. Puis viennent 202 feuillets signés et numérotés qui contiennent les
livres
du Miroir historial terminés par cette souscripti
fine le xxviie liure du miroir || hystorial. Tome V, comprenant les
livres
XXVIII à XXXII. Il se compose d’abord de 6 feuill
nent 218 feuillets signés et numérotés qui contiennent les 5 derniers
livres
clos ainsi au recto du dernier feuillet : Cy fin
a xxixe , qui soit issue du Romulus ordinaire, où elle est la ixe du
Livre
II. Les xxvie , xxviie et xxxiiie correspondent
re de choix et faire figurer toutes les extravagantes à la fin de son
livre
. Quant à moi, considérant qu’elles n’ont guère pl
e de certaines personnes un Grec d’Athènes, nommé Ésope, a composé un
livre
de fables et que, suivant les uns, l’empereur Tib
ereur Théodose à un certain Anglais a demandé de composer pour lui un
livre
à la fois utile et agréable. Ce serait ainsi qu’a
ulus, orateur et philosophe de premier ordre, de composer pour lui un
livre
unissant le charme à l’utilité. Romulus, ayant mi
e. Elles furent également publiées avec un autre tant dans des petits
livres
de classe qui leur étaient uniquement affectés qu
ts livres de classe qui leur étaient uniquement affectés que dans des
livres
plus volumineux renfermant les œuvres poétiques d
ant les œuvres poétiques de huit auteurs latins. Il y avait parmi ces
livres
une édition originale, dont les autres n’étaient
ètes, compter le fameux Romulus, qui adressa à son fils Tybertinus un
livre
, dont les fables imitées des apologues du Phrygie
ens de Parme se tourmentent pour refuser à Romulus la paternité de ce
livre
, pour l’attribuer à l’un de leurs concitoyens nom
e. » En somme, les témoignages fournis par les manuscrits et par les
livres
imprimés étaient trompeurs. Mais encore fallait-i
reddit utilitates. » Ce qui peut se traduire ainsi : « Le titre de ce
livre
est Incipit Esopus ; ce nom n’est pas celui de l’
pe est suave et exhale des parfums variés. Or il en est de même de ce
livre
qui présente des avantages divers. » Je ne m’arr
cepteur, mais encore comme un père. Walther avait composé pour lui un
livre
intitulé : Pro latinæ linguæ exercitiis. Il est p
her. On s’explique ainsi qu’elles n’embrassent que les trois premiers
livres
du Romulus ordinaire. Il est supposable que, si e
Voici, en effet, ce qu’on lit dans son commentaire sur la fable 29 du
livre
I : « Asinus irridens aprum. Hanc fabulam refert
du xve siècle. Les ouvrages qu’il renferme sont les suivants : 1º le
livre
de Caton, 2º une épître en vers, 3º le livre De c
ont les suivants : 1º le livre de Caton, 2º une épître en vers, 3º le
livre
De contemptu mundi, 4º l’églogue déjà plusieurs f
lusieurs fois rencontrée de Théodule, 5º les fables de Walther, 6º le
livre
de Tobie. Les fables, dont j’ai seulement à m’occ
leur siècle. Cette bibliothèque est très considérable par rapport aux
Livres
Théologiques et Ecclésiastiques ; on y trouve un
te disparition a été constatée par M. Nisard, qui, au commencement du
livre
, sur la face interne de la couverture a inscrit u
cipit secundus. Ils montrent que Walther avait adopté la division en
livres
qui se trouve dans les manuscrits du Romulus ordi
trouve dans les manuscrits du Romulus ordinaire et que chacun de ses
livres
se composait des mêmes fables, et fournissent un
l il est dû, en avaient fait ce qu’on appellerait aujourd’hui un vrai
livre
de luxe. On me permettra donc de m’y arrêter un p
a représenté l’auteur, sous la forme d’un moine à genoux, offrant son
livre
à la Vierge qui est assise et qui dans ses bras t
ui dans ses bras tient l’enfant Jésus. Au-dessous le titre général du
livre
est ainsi conçu : Compilatio Ysopi alati cum aui
lther se termine par l’épilogue suivant : c’est la substance de cest
livre
. Or vous ai conté mainte fable Ou maint bon mot
Plus les amer sus toute auoir. Et pour ce dit Iustiniens Qui fist les
livres
anciens : Je veuil mes cheualiers adrois, Plus sa
opiste et sur le temps où il vivait : comment l’acteur a compilé ces
livres
avecques adicions aucunes en l’onneur de madame l
es gravures, en petit nombre, dont les sujets ont été fournis par des
livres
exécutés à la même époque434. » On ne peut que
un succès aussi complet qu’il semble le croire. Les miniatures de son
livre
ne sont que la caricature de celles du manuscrit
94 et les quarante-troisième et quarante-quatrième ainsi conçus : Ly
livres
fait chier a tenir Sy convient Esopet fenir. L’é
iture est d’ailleurs très soignée, était évidemment destiné à être un
livre
de luxe. Le copiste, au-dessus de chaque fable, a
r 1764, se montait, suivant une note de sa main, à la somme de 50,787
livres
. À sa mort, il en donna la propriété à la ville,
ignie à roi. Cette pièce n’a pas été achevée. M. Adamoli estimait à 7
livres
ce rare manuscrit. » Cette courte notice serait
uve certains vers évidemment inspirés par ces mots de la fable xii du
livre
IV du Romulus ordinaire : Interrogata autem à le
ar les hexamètres suivants qu’offre dans Horace la première épître du
livre
I : Olim qued Vulpes ægroto caute Leoni Respondi
rtenu au pape Pie VI, et avait figuré après sa mort à la vente de ses
livres
. Il est probable qu’il existe encore ; mais je ne
i occupent les feuillets 171 b à 185 a, offrent une division en trois
livres
, qui trahit leur origine et qui montre que, suiva
feuillets, et, bien qu’écrit sur papier, peut être considéré comme un
livre
de luxe. Il ne renferme que les fables de Walther
um , et suivies d’une sorte d’épilogue terminé par ce dernier vers du
Livre
II des Géorgiques : Et iam tempus equum fumantia
ées et auxquelles un personnel spécial est attaché. Elle est riche en
livres
précieux et notamment en incunables. Elle possède
observer que les soixante fables de Walther y sont divisées en trois
livres
égaux, et que cette division, conforme à celle de
ensif, le coude gauche appuyé sur un pupitre et la main droite sur un
livre
tenu debout sur sa cuisse. Les fables sont précéd
ites : Ésope, couronné de lauriers, est assis et reçoit l’offrande du
livre
qui lui est faite à genoux par l’auteur de la tra
lles accompagnent celles du Romulus ordinaire, sont divisées en trois
livres
. Au recto du dernier feuillet la dernière est sui
et des autres lettrés anglais, qui, en traduisant les trois premiers
livres
du Romulus ordinaire, ont, sans le vouloir ou san
, qui est vêtu d’une robe à épaulette. Fol. 2 b (a 2 vº). — Titre du
livre
ainsi formulé : Accii Zuchi summa campanee || Ve
nº 11867. M. E. du Méril en cite un passage qui est tiré du cinquième
livre
, et dans lequel, ébloui des splendeurs de Paris,
e les sujets de la deuxième et de la troisième ; la neuvième fable du
livre
I de Phèdre a été l’origine de la quatrième ; enf
ables d’Ysopes le philosophe et commence la complainte de celi qui ce
livre
rima. L’épilogue lui-même, vers le bas de la 1re
er, du Taureau et de l’Âne, qui est dans Phèdre la vingt et unième du
livre
I, dans le Romulus ordinaire la quinzième du livr
vingt et unième du livre I, dans le Romulus ordinaire la quinzième du
livre
I, et dans celui de Vienne la seizième de la coll
omulus ordinaire, la fable du Renard et de l’Aigle est la huitième du
livre
II. Au contraire, dans toutes les collections qui
i m’ont paru directement nées du Romulus primitif, elle appartient au
livre
I. Or, dans le manuscrit de Florence, elle fait é
. Or, dans le manuscrit de Florence, elle fait également partie de ce
livre
I, dont elle est la treizième. S’il n’en résulte
lections, si celle qui, dans le Romulus ordinaire, est la huitième du
livre
II, n’était pas la treizième du livre I dans le R
s ordinaire, est la huitième du livre II, n’était pas la treizième du
livre
I dans le Romulus de Florence, et si, tandis que,
me du livre I dans le Romulus de Florence, et si, tandis que, dans le
livre
II du Romulus ordinaire, la fable de la Mouche et
précède celle de la Mouche et de la Fourmi, elle la suit dans le même
livre
du Romulus de Florence. Mais, comme jusqu’à prése
t été, probablement comme dans le Romulus primitif, divisées en trois
livres
composés, les deux premiers, chacun de vingt, et
isième, de quarante-deux, c’est-à-dire de celles dont sont formés les
livres
III et IV du Romulus ordinaire. Quant aux autres
qu’on puisse s’en rendre compte, je vais d’abord extraire du premier
livre
de Phèdre quelques phrases empruntées à diverses
oins exactes dans le Romulus de Nilant. Par exemple, dans son premier
livre
, Phèdre avait écrit : Fable 1. Ad rivum eundem L
Ulm et que pour cette fausse raison il appela le véritable Phénix des
livres
, et ces deux documents, joints aux vingt-neuf fab
Les 51 fables, dont se compose la collection, sont divisées en deux
livres
et comprennent : 1º 18 fables appartenant toutes,
et comprennent : 1º 18 fables appartenant toutes, sauf la sixième, au
livre
I du Romulus primitif ; 2º 33 fables appartenant
re I du Romulus primitif ; 2º 33 fables appartenant aux deux derniers
livres
. Parmi les 51 fables, il y en a deux qui sont inc
même ordre que celles du Romulus primitif, et sont divisées en trois
livres
précédés de la même dédicace et suivis du même ép
, dans les deux collections, les mêmes fables appartiennent aux mêmes
livres
. Sauf la fable du Glaive perdu, qui d’ailleurs, d
e Nilant ne se compose au total que de 50 fables empruntées aux trois
livres
du Romulus primitif, tandis que, dans le dérivé,
º 112 ont été réunies vingt-quatre fables qui, appartenant aux divers
livres
du Romulus primitif, mais n’existant pas dans le
ble n’en est pas une et n’est qu’une pièce inspirée par l’épilogue du
livre
II de Phèdre. N’en doit-on pas forcément conclure
able, provenant du Romulus primitif et indirectement de l’épilogue du
livre
II de Phèdre, mais ayant trait à la statue d’Ésop
t le premier (f. 386) porte seulement en tête cet ex-libris : « En ce
livre
sont contenues plusieurs vies des saints et des s
uvres distinctes. Les 156 premiers feuillets contiennent les dix-neuf
livres
du traité De Proprietatibus rerum, dont l’auteur
cumte Willaume, Le plus vaillant de cest royaume, M’entremis de cest
livre
feire Et de l’Angleiz en Roman treire540. Après
cumte Willaume, Le plus vaillant de cest royaume, M’entremis de cest
livre
feire Et de l’angleiz en roman treire. Ysopet ape
e cest livre feire Et de l’angleiz en roman treire. Ysopet apeluns ce
livre
Qu’il traveilla et fist escrire ; De griu en lati
Athènes ; || il avait un esprit ingénieux, || et a écrit beaucoup de
livres
artistiques, || pour servir d’exemple à son fils,
is encore on y trouve les mêmes traces d’accord dans leur division en
livres
. Il faut en outre observer que les sujets traité
le Dérivé en vers rythmiques. Il est vrai que, dans la fable xxiii du
Livre
II de ce Dérivé, les personnages parmi lesquels f
’il renferme occupent les feuillets 189 à 210, et se divisent en deux
livres
, comprenant l’un 18 fables et l’autre 34. Quoique
rend en effet que les treize fables suivantes, puisées dans les trois
livres
de son modèle : Romulus de Berne. Romulus pr
Ossa. » Caii Plinii Secundi Historiæ naturalis libri XXXVII. (Voyez
livre
VI, chap. viii.) 11. « Thracem se fuisse innuit
min Didot, Instituti Franciæ typographo, MDCCCLIII, in-8º maj. (Voyez
livre
X, chap. iii, nº 17.) 17. « Χρόνῳ δὲ ὕστερου, φ
ditur. » Caii Plinii Secundi Historiæ naturalis libri XXXVII. (Voyez
livre
IV, chap. viii. Certains éditeurs et notamment Le
… Parisiis, editore Ambrosio Firmin-Didot, MDCCCLV, in-8º maj. (Voyez
livre
I, chap. xx.) 21. Phædri Augusti Liberti Fabula
éloquence latine au Collège de France. Paris, 1845, in-8º maj. (Voyez
livre
II, chap. iii, p. 627.) 23. Notitia orbis antiq
Léopold Hervieux. Paris, E. Dentu éditeur, 1881, 1 volume in-12. 31.
Livre
III, Prol., v. 57. 32. Livre IV, Fab. xxii et xx
ntu éditeur, 1881, 1 volume in-12. 31. Livre III, Prol., v. 57. 32.
Livre
IV, Fab. xxii et xxv. 33. Livre Ier, Fab. ii, v.
. 31. Livre III, Prol., v. 57. 32. Livre IV, Fab. xxii et xxv. 33.
Livre
Ier, Fab. ii, v. 5. 34. Livre III, Prol., v. 52.
32. Livre IV, Fab. xxii et xxv. 33. Livre Ier, Fab. ii, v. 5. 34.
Livre
III, Prol., v. 52. 35. Livre IV, 2e partie, Fab.
xv. 33. Livre Ier, Fab. ii, v. 5. 34. Livre III, Prol., v. 52. 35.
Livre
IV, 2e partie, Fab. ii. 36. Livre III, Fab. ix.
34. Livre III, Prol., v. 52. 35. Livre IV, 2e partie, Fab. ii. 36.
Livre
III, Fab. ix. 37. Livre IV, 2e partie, Fab. i.
52. 35. Livre IV, 2e partie, Fab. ii. 36. Livre III, Fab. ix. 37.
Livre
IV, 2e partie, Fab. i. 38. Livre Ier, Fab. ii et
. ii. 36. Livre III, Fab. ix. 37. Livre IV, 2e partie, Fab. i. 38.
Livre
Ier, Fab. ii et Livre IV, 2e partie, Fab. ii. 39
Fab. ix. 37. Livre IV, 2e partie, Fab. i. 38. Livre Ier, Fab. ii et
Livre
IV, 2e partie, Fab. ii. 39. Livre IV, 1re partie
Fab. i. 38. Livre Ier, Fab. ii et Livre IV, 2e partie, Fab. ii. 39.
Livre
IV, 1re partie, Fab. xxii. 40. Eodem loco. 41.
otier Parisiis, MDCCLXXXIII. (Voyez la préface, p. xi.) 65. Phèdre,
livre
IV, 2e partie, épilogue. 66. Phèdre, livre III,
e, p. xi.) 65. Phèdre, livre IV, 2e partie, épilogue. 66. Phèdre,
livre
III, fable xvii ; livre IV, 1re partie, fable ii
livre IV, 2e partie, épilogue. 66. Phèdre, livre III, fable xvii ;
livre
IV, 1re partie, fable ii ; livre IV, 2e partie, f
66. Phèdre, livre III, fable xvii ; livre IV, 1re partie, fable ii ;
livre
IV, 2e partie, fable i. 67. Phèdre, livre IV, 1
V, 1re partie, fable ii ; livre IV, 2e partie, fable i. 67. Phèdre,
livre
IV, 1re partie, fable v. 68. Adry (Jean-Féliciss
ude préliminaire et des notes par Louis Lacour, 1865, in-32. 121. Ce
livre
est un volume in-18, publié à Amsterdam, chez Jan
nt bibliothécaire à lui donner le titre de Augens dans l’index de son
livre
. Ce nom a fait dire à plusieurs écrivains qui se
Davidem Aubrios, et Clementem Schleichium. M.DC.XXIV, in-fol. (Voyez
livre
XXXVI, chap. xxi, col. 1669 et 1670.) 195. Voyez
ions in-8º du Phèdre de Burmann la première note sur la fable xvii du
livre
III. 196. Phædri Aug. Liberti Fabularum Ӕsopiar
. CIƆ IƆ CCI, in-4º. (Voyez la note préliminaire sur la fable xvii du
livre
III.) 197. Jugemens des savans sur les principa
ue scripta ad nos pervenerunt. Hambourg, 1697, in-8º (Au chap. iii du
livre
II voyez la deuxième note.) 213. « Seneca fabel
gæ Comitis, ex officina Theodori Maire, CIƆ IƆ CXXXVII, in-12. (Voyez
livre
III, chap. xxix, p. 185 et s.) 217. Voyez l’édit
e Disputatio. 232. J’ai, dans la biographie de Phèdre, établi que le
livre
III avait été, comme les deux premiers, écrit et
le raisonnement de Schwabe, par la raison que les fables du troisième
livre
, comme celles des deux premiers, ont été presque
, 1854, in-8º. 242. Pages 54 et 55. 243. De Institutione oratoria,
livre
I, chap. ix. 244. In Perottinum codicem ms. reg
du moyen âge. Paris, Franck, 1854, 1 vol. in-8º. (Voyez p. 89.) 312.
Livre
III, chap. ii à viii. 313. Fabulæ antiquæ… acce
20. On en retrouve le commencement en tête de l’épilogue du quatrième
livre
du Romulus ordinaire, et si le milieu n’a pas été
édition, tome I, col. 93. 350. Bibliothèque de Lyon. Catalogue des
livres
qu’elle renferme dans la classe des Belles-Lettre
Gyraldus. » Barthii Adversaria Commentaria. Francfort, 1624. (Voyez
livre
III, chap. xxii.) 409. Itinerarium Cambriæ ; se
suum munditias imitandum. » Poetic., apud J. Crispinum, 1561. (Voyez
livre
VI, ch. iv, p. 304.) 424. « Simiam Phædri hunc
traduction des fables de Phèdre, M. Fleutelot s’exprime ainsi : « Un
livre
anglais, imprimé à Londres en 1503, contient les
oyez pp. 293 et 295. 494. Romulus et Rimicius, p. 78 et suiv. 495.
Livre
IV, chap. ii à viii. 496. Livre IV, chap. cxiv à
us et Rimicius, p. 78 et suiv. 495. Livre IV, chap. ii à viii. 496.
Livre
IV, chap. cxiv à cxxiii. 497. Catalogus Libroru
res, Paris, 1610, in-4, p. 579. 519. Recherches de la France, t. I,
livre
VIII, ch. 1, col. 754. 520. Histoire de la poés
e pilote vaut le vaisseau. » Ceci s’adresse à un méchant homme qui se
livre
à des entreprises perverses. Chambry 116.2
isait pas : tu es justement puni de m’avoir enlevé. » Un homme qui se
livre
à sa convoitise et fait du mal à de plus faibles
n Enfant, et de sa Mere. Un Enfant qui alloit à l’Écolle, déroba un
Livre
à son Compagnon, et le mit entre les mains de sa
ar si elle m’eust bien châtié la premiere fois que je luy apportay le
livre
que j’avois dérobé à mon Compagnon, cela m’eust d
te-sixiesme Fable. Je pense qu’il y a deux ou trois Fables dans ce
livre
, qui contiennent le mesme sens de celle-cy, à sça
qu’au lieu de quelque Histoire serieuse, je vienne vous presenter un
Livre
de Fables. Mais, Monseigneur , il me semble que
urement ils ont appris, ou de l’Experience, ou de la lecture des bons
Livres
, tels que celui-cy, qui en donne ingenieusement l
lus grands personnages de l’Antiquité luy tiennent compagnie dans les
livres
; Et quelque part qu’il se tourne, il y treuve de
lieux sa voluptueuse solitude. Tesmoin Ronsard, Pybrac, Cardan en son
livre
de la Consolation, et une infinité d’autres, pour
e recognoistre l’un et l’autre, il vaut mieux que je vous renvoye aux
livres
des Philosophes, et particulierement au judicieux
er de nouvelles. Pour moy, je n’ay pas trouvé Cardan judicieux en son
Livre
de la Sagesse, où traictant de la malice Diaboliq
songes du monde fussent aussi solides, et aussi utiles que ceux de ce
livre
. Ce n’est pas mentir que de dire qu’ils contienne
ppe de Macedoine, quand leurs ennemis les poursuivoient, avecques des
livres
diffamatoires, et des outrages publics. Il me sem
Philosophes, que de s’arrester aux complaisances des flatteurs ? Les
Livres
sont des amis qui ne trompent point ; on y peut v
s accoustument pas de bonne heure aux choses, où, comme dit Cardan au
Livre
de la Sagesse, il les faut impunément exposer, qu
uquel elles sont arrivées, ou pour le moins ils les prennent dans des
Livres
qui en sont tirez. Tellement qu’ils se rendent su
on nom dans la tombe par la reputation d’estre Serf ? Veut-il que les
livres
parlent de luy, tout de mesme que d’un homme bien
lonais]. [1668] —La Fontaine, Jean de, Fables choisies et mises vers (
livres
I à VI) : « Le Coq et le Renard », II, 15 (Verdiz
en, et de conclurre par quelques moralitez toute l’explication de son
livre
. Voicy un petit Fugitif, qui se presente chargé d
it parler les Animaux, ce seroit, à mon advis, un manquement à nostre
livre
, de ne traicter point de leur façon de discourir,
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