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1 (1180) Fables « Marie de France, n° 44. La femme et son amant » p. 661
cunte que gueita dedenz sun hus, si espia. Un autre humme vit sur sun lit , od sa femme fist sun delit. « Allas », fet il, «
ez vus, beau sire amis ? » — « Un autre humme, ceo m’est avis, sur le lit vus tint embracee. » Dunc dis la femme tut curuce
2 (1180) Fables « Marie de France, n° 86. Le milan malade » p. 324
Marie de France, n° 86 Le milan malade Un escufles jut en sun lit  ; malades est, si cum il dit. Un jai ot sun ni pr
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VII. La Lice et sa Compagne. » p. 480
e second terme échû, l’autre luy redemande Sa maison, sa chambre, son lit . La Lice cette fois montre les dents, et dit : Je
4 (1180) Fables « Marie de France, n° 36. Le lion et le renard » p. 142
lïuns fu mut travaillez e de curre tut ennuiez. En une grave fist sun lit  ; mut fu malades a sun dit. Les bestes fist a sei
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — III. Le Loup plaidant contre le Renard pardevant le Singe. » p. 474
e memoire de Singe, à fait plus embroüillé. Le Magistrat suoit en son lit de Justice. Aprés qu’on eut bien contesté, Repliq
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — VI. La Vieille et les deux Servantes. » p. 55
upon crasseux et detestable ; Allumoit une lampe, et couroit droit au lit Où de tout leur pouvoir, de tout leur appetit, Do
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VIII. La Goute et l’Araignée. » p. 587
va tout droit se loger
 Chez un Prelat qu’elle condamne
 A jamais du lit ne bouger.
 Cataplasmes, Dieu sçait. Les gens n’o
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 55 » pp. 28-28
preuve, lui firent très vite recouvrer la santé, et il se leva de son lit . Mais, comme il n’avait pas de vrais bœufs, il en
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
es trois femelles Courent au Testament sans attendre plus tard. On le lit  ; on tâche d’entendre La volonté du Testateur, Ma
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 76 » pp. 50-50
de la chambre. La chatte, oubliant sa condition présente, se leva du lit et poursuivit la souris pour la croquer. Alors la
11 (1180) Fables « Marie de France, n° 29. Le loup qui fut roi » p. 514
, kar il nel poeit treire a mort s’il ne li vousist fere tort. En sun lit malade se feint ; a tutes bestes si se pleint qu’
12 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
mes, le premier sans date, le second portant le millésime de 1603, on lit , page 1111, nº 3 : D. PHEDIMO. VESTITORI. M AVG
lapidaires l’établissent. Dans les Inscriptiones antiquæ de Gruter on lit , page 352, nº 4 : ANEROS. ASIATICVS. VI. VIR SIB
oins anciennes et plus ou moins véridiques ; telles sont celles qu’on lit dans les fables viii, ix et xi du livre III, xi e
ré à ce travail préparatoire. Au-dessous de la note de Beaucousin, on lit  : « Voyez la lettre de M. l’abbé de Saint-Léger
d’un feuillet blanc, qui a été ajouté par le relieur et sur lequel on lit  : « Ce volume m’a été légué par mon excellent cam
mots : « Ex libris Corard de Bréban, Trecensis. » Enfin au-dessous on lit encore : « Offert par M. Édouard de Blives à la B
variantes du manuscrit de Pithou. À la suite de la dernière fable, on lit cette observation qui montre que le manuscrit ava
ent, lors même qu’il est évident que plusieurs vers sont omis ; et on lit à la fin : Phædri Aug. liberti liber V explicit f
ressa la comédie intitulée le Plaintif de Plaute ou l’Aulularia.” (H.  lit ., t. II, p. 73). C’est aussi le sentiment de Till
ns du xiie  siècle, et souvent l’orthographe en est altérée. Ainsi on lit  : olin tin imeran (tota die) au lieu de : olèn
avocat sponsore improbo, il s’empresse d’ajouter qu’au contraire on lit dans le manuscrit de Daniel : Fraudator nomen qu
’est une édition in-8º de 23 pages, sans l’épître et sans l’index. On lit au frontispice : Ivl. Phaedri | Fabvlarvm | libe
172 » ; et si l’on consulte la traduction en vers de M. de Joly, on y lit  : D’un époux adoré pendant assez longtemps La da
comblant la la lacune, ajouté la lettre n. Mais dans le manuscrit on lit très nettement : Ut jura posset inter homines re
tres sont accompagnées de notes courantes en latin. Au frontispice on lit  : Julii Phædri | fabulæ novæ et veteres : | novæ
tenant le frontispice, une dédicace et une préface. Au frontispice on lit  : Julii Phaedri | Augusti liberti | Fabulae trig
e d’ailleurs et composée seulement de douze pages. Sur la première on lit  : Q. D. B. V.  | Novi | Prorectoratus | auspicia
es, qui in circumpictis circulis sunt annotati. » Dans les autres on lit la nomenclature suivante des ouvrages contenus da
ui. Dans l’épigramme 77 du livre Ier, adressée à Valérius Flaccus, on lit ce distique : Quid possent hederæ Bacchi dare ?
prologue du quatrième livre, les autres, le prologue du cinquième, on lit les vers suivants : Hunc obtrectare si volet mal
servant de préambule à la fable Demetrius rex et Menander poeta, on y lit in fine ces deux phrases :                      
ore appuyé sur une fausse interprétation de son texte, dans lequel on lit bien : « De his ergo usque ad quadraginta et duas
bles : Gulæque credens colli longitudinem, et dans les nouvelles on lit  : Traxitque ad terram nasi longitudinem. C’est
de Phèdre et de celles restituées par Gude. Au bas de la page 148 on lit  : Parma ; Per i fratelli Gozzi. 1812.    
se reporte à la même fable dans les Fabulæ antiquæ, voici ce qu’on y lit  : Tumens inani Graculus superbia pennas Pavonum
rut ; et il ne peut y avoir de doute à cet égard ; car voici ce qu’on lit dans la Chronique de Bernard Itier, moine de Sain
rture. L’écriture plus récente est du xiiie  siècle. Voici ce qu’on y lit  : Anno gratiæ 1221. mense Augusto insurrexerunt
Sapientia in solio residens. Le dernier dessin, au-dessous duquel on lit ces mots : Auctoris graciarum actio , représente
hriste graves hominum semper miserate labores. Enfin au fol. lx b se lit cette souscription : Aurelii Prudentii Clementis
eorum et consulendum fore existimavi, etc. Au bas de la même page on lit  : Explicit prologus. Incipit liber eiusdem. Ces
ci à xcviii, xcix à cvi). Fol. lxxxiii a. — En tête de ce feuillet on lit  : Prologus. Ce prologue se compose de dix vers 
helmi ænigmata. C’est un poème en vers hexamètres, à la fin duquel on lit cette souscription : Expliciunt enigmata de vari
haut du recto du fol. cxc, par le mot Pisces , au-dessous duquel on lit  : Duos extremi veraces mundi quos appellant polo
ure peu lisible qui n’est pas celle d’Adémar. Voici ce que M. Pertz y lit  : Mensuram crucis fac delãt pollicem ungula. La
aces d’un dessin qui représente une draperie, et à la suite duquel on lit  : Similiter est tantum latum vestimentum contra
cœli, commençant à la page 380 du même volume, au bas de laquelle on lit en note : « Primus ex P(arisino 12 117) saec. XI,
quième vers notamment tous les manuscrits sont en désaccord. Ainsi on lit dans les manuscrits de Pithou et de Reims : Vulp
anonyme. Au lieu de : Vulpis hunc vidit, deinde sic cœpit loqui , on lit dans les manuscrits de l’anonyme de Nilant : Vul
de la même page, en lettres semblables écrites avec la même encre, on lit l’hexamètre suivant qui sert de titre à un nouvel
la cote 84, c’est encore la même ponctuation qui a été observée. On y lit  : Romulus Tyberino filio de civitate Attica. Isop
accueillie dans l’édition originaire de Jean Zeiner dans laquelle on lit  : Romulus tyberino filio de Civitate athica. S. E
vers auteurs grecs. Il est vrai que, dans la dédicace à Tiberinus, on lit cette phrase qui semble lui donner raison : « Ego
les constructions trop elliptiques aient rendu la pensée obscure, on lit dans une des fables du troisième livre : Hoc ill
ils sont très altérés. Pour n’en citer qu’une phrase, dans Phèdre on lit  :                            Tunc fauce improba
abulæ antiquæ reproduisent presque mot à mot le texte original ; on y lit en effet : Tunc fauce improba latro incitatus iu
Échanson de Walther. Immédiatement après, au bas du feuillet 34 b, on lit la souscription suivante : Explicit liber tertiu
duabus uxoribus. xvi. De agricultore et eius filiis. xvii.   On lit immédiatement après : Auiani fabule sequntur (f
t est occupé par le portrait d’Ésope. En tête du recto du deuxième on lit  : Vita Aesopi fabulatoris clarissimi e greco lat
us et enfin les vingt-trois fables diverses, à la suite desquelles on lit  : Finis diuersarum fabularum. Cette édition ne
ous de ce titre vient la table du livre II, à la suite de laquelle on lit  : Prohemium libri secundi fabularum Esopi. Fol
gistrum capitulorum quarti libri Esopi. Au-dessous de cette table on lit  : Fabula prima de Vulpe et vua. Fol. 65ª à 73ª
antiū. Fol. 90ª (m.iiª). Fin de la table, à la suite de laquelle on lit  : Sequūtur fabule noue esopi ex translatiōe remi
i a). — Dans le titre courant par suite d’une erreur typographique on lit tertius au lieu de secundus. Fol. 46 a (g. iv a).
rum predictarum. À la suite de la table des Fabulæ extravagantes on lit  : Sequūtur fabule noue Esopi ex transiatione (si
torum ad eundem directi et inferius scripti. À la fin du prologue on lit cette souscription : Hec de prologo autoris. Le
me : Incipit pars executiua. Au bas du recto du dernier feuillet on lit  : Explicit speculum stultorum. Le second ouvra
le mot Exemplario  ; au-dessous dans un encadrement xylographique on lit  : Libro llamado Exem-|plario : enel quel se | cō
 l. viii les mêmes fautes existent ; sur le verso du feuillet m. i on lit fa. noue au lieu de extra, et sur le recto du feu
larum Esopi. Au-dessous de la table annoncée par ce dernier titre on lit celui-ci : Prohemium libri secundi fabularum Eso
 La vie d’Ésope se termine par ces mots : tod auch vergan. Puis on lit cette phrase finale : Finis desӡ leben Esopi , c
Chrisogoni prespiterum (sic) Cardinalem.  | À la suite de ce titre on lit  : Das leben des hochberümten fabelti-|chters Eso
qui s’étend du feuillet 155 au feuillet 169 et dernier. À la fin on lit ces mots. —  Esopus der hochbetümpt fabeltichter
 32 a, portant la signature e.iiij et le nº 1. Aux lignes 11 et 12 on lit  : Hie hat ein ende das lesen (sic) esopi. | Die
nce la table. » Fol. 144 a à 151 b. — Table, à la fin de laquelle on lit  : Hye endet sich Esopus der hochberümbt fabeltic
appelées collectæ. Elles sont au nombre de vingt-quatre. À la fin on lit  : Hie nach folget der ander teil : Schöner | vnd
es fables de Brant suivent cette préface, et sur un feuillet final on lit , toujours en allemand, ce dernier avis : « Imprim
ui occupe les deux tiers de la page. Au verso du feuillet clxxiiii on lit  : Zu Friburg | im Brissgaw, | Durch Stephanum Me
ur bois, qui représente Ésope en pied et dans un angle de laquelle on lit  : 1531. Mais il n’en est pas moins vrai que le
un oiseau et de la main gauche une jambe de mammifère. Au-dessous on lit  : Gedruckt zu Frankfurt am Mayn | M. D. LXXXVI.
ivantes. — Table des matières. Au bas du recto du dernier feuillet on lit  : Gedruckt zu Franckfurt am Mayn | durch Nicolau
gistre des fables du second. Suit la table au-dessous de laquelle on lit ce titre : Cy cōmēce le prohesme du second liure
es de esepe (sic). Fol. 28 b à 34 b. — Livre III, à la fin duquel on lit  : Cy finist le tiers liure des subtilles fables
et du regnard et des chiens. Fol. s. x b. — Au milieu de la page on lit cette souscription : Cy finissent les subtilles
ar le portrait d’Ésope en pied. Enfin au verso du dernier feuillet on lit  : Cy finissent les fables de Esope de Auian de |
tre se voit le portrait d’Ésope en pied, et au-dessous du portrait on lit ce qui suit : On les vend à Anuers en lescu de |
 | . Le milieu de la page est occupé par une vignette, et au bas on lit  : En Anuers | de l’imprimerie d’Amé | Tauernier,
e est terminé par un épilogue dont Caxton est l’auteur. À la suite on lit cette souscription : And here with I fynysshe th
tyne , etc. Au verso du dernier des feuillets consacrés à la table on lit  : Imprinted at London | by Henri Wykes for John.
ntispice et de quatre pour la table, non numérotés. Au frontispice on lit , formulées dans les mêmes termes dont l’orthograp
very pleasant to be | reade  ; au centre est une gravure ; au bas on lit  : Imprinted at London for Andrew Hebb dwel-|ling
emiers feuillets et suivies d’un dernier non chiffrés. Voici ce qu’on lit au-dessous du titre : The Sixth Edition correcte
ables du livre IV, accompagnées seulement de 19 gravures. À la fin on lit  : Hier eyndet dat vierde boec vā die sub-|tijle
de la traduction de ce prologue métrique qui est celui de Walther, on lit  : Comiēça el primero libro de las fabulas del Ys
º). — Texte espagnol des Fabulæ extravagantes, à la fin desquelles on lit  : A qui se acaban las fabulas extrauagātes antig
es fables à la fin desquelles, vers le milieu de la dernière page, on lit cet avis : A qui se acaban las fabulas del esopo
inés par ces mots : Aqui se acaba la tabula , au-dessous desquels on lit  : Deo gracias. Fol. 119 b. (K 7 vº). — Gravure
rieure est orné de quatre gravures sur bois, au-dessous desquelles on lit dans un encadrement : Libro del sabio et clariss
maxime suivante : Res parva crescunt concordia. Au bas de la page on lit  : Vendense en Enueres por Juan | Steelsio, enel
e Auiano. Fol. 58 a à 71 b. —  Las fabulas collectas. À la fin on lit  : Acabanse las fabulas de Ysopo corregidas y eme
encadrement duquel sont six gravures sur deux colonnes. Au-dessous on lit  : Libro de sabio y clarissimo fabula-|dor ysopo 
feuillet 71, suivies des mots : Deo gracias , au-dessous desquels on lit cette souscription : Acabāse las fabulas de ysop
ano-|tado. Impresso an̄o M. D. lxij. Au bas du dernier feuillet on lit  : Impresso en Seuilla en casa de Seba-|stian Tru
gnette représentant entre autres choses une banderole sur laquelle se lit cette devise de Plantin : Labore et Constantia.
º Édition de 1728. Au haut du frontispice de l’édition de 1728, on lit  : Libro de la vida, y fabulas de el Sabio, y cla
ania de Impresores, | y Libre-|ros del Reyno. À la fin du volume on lit  : Laus deo. Cette édition est dans le format i
ont suivies, au recto du fol. cvij, de l’épilogue, à la fin duquel on lit ces mots : Deo gratias. Amen. Section III.
pose de 191 feuillets, et commence par la table des matières. Puis on lit au verso du deuxième feuillet sur la deuxième col
olumes : Premier volume. Fol. 1 a. À la suite d’un court préambule on lit  : Incipit. Tabvla. Primi. Volvminis. Spe-||cvli.
lets sont occupés par la table. Sur le recto du troisième feuillet on lit  : Incipit primus liber Speculi moralis Vincentii
Au bas du frontispice, dans les exemplaires destinés à J. Petit, on lit  : Ils se vendent en la rue Sainct-Jacques a Pari
hurins || Mil. V. C. xxxi , et dans ceux destinés à Galliot du Pré on lit  : Ils se vendent en la grant salle du palais au
                         ......... Et à la fin de la même glose, on lit encore : « Quid titulus ? Incipit Ysopus magistr
les notes de sa première édition de Phèdre. Voici, en effet, ce qu’on lit dans son commentaire sur la fable 29 du livre I :
du texte. Il y a soixante-deux fables. À la fin de la soixantième, on lit ce distique un peu différent de celui qui se trou
aussi ancienne que celle du texte. Au lieu du distique suivant qui se lit après la soixantième fable dans les éditions de l
t . . . . . . . . . Nutriti Ucecie. Toutefois au bas du fol. 54 a on lit  : Tanguidus Nutriti de Ucecia. G. Manuscrit
store. Les fables se terminent au verso du feuillet 20, sur lequel on lit  : Explicit liber Esopi , et au-dessous : Deo gr
rits portent Fructum lege , tandis que dans la copie de P. Pithou on lit  : Fructum cape. Cette copie ne comprend que le
le. Il comprend 177 feuillets. Au bas du recto du premier feuillet on lit  : Iste liber est Sancti Victoris Parisiensis. Qu
ouge : Sancti Spiritus assit nobis gratia. Amen. Puis au-dessous on lit  : Incipit Esopus. Les fables commencent au rec
insi conçu : Un cot en un fumier estoit, tandis que dans l’autre on lit  : Un coq sur un fumier estoit. Le classement e
fenir. L’épilogue se termine par le mot Amen , au-dessous duquel se lit cette souscription affectant la forme d’un hexamè
au fol. 90 b par le mot Explicit . Enfin, au bas de la même page, se lit cette observation qui ne tire son importance que
t au bas du recto du vingtième feuillet. À la suite de la dernière on lit cette double souscription : Explicit iste liber,
des sept premiers feuillets : Fol. 1 a. — En tête du feuillet 1 a on lit  : Incipit Esopus. Prologus. À la suite de ces m
fin du volume, c’est-à-dire au haut du verso du dernier feuillet, on lit   … cit transfeter (sic) de latino in romanum. La
e, dans le premier vers de la fable xxxix, au lieu de prædo murum, on lit prædoque murum, ce qui rend le vers faux. D’autre
e véritable auteur, et dans lequel, presque dès les premiers mots, on lit ce qui suit : « Causa autem efficiens fuisse dici
ête seulement aux secondes. En tête de la page où elles commencent on lit ces deux mots qui leur tiennent lieu de titre gén
t liber hic scriptus ; qui scripsit [sit] benedictus ! Au-dessous on lit cette souscription usuelle : Explicit esopus. de
la page 559. Au haut du recto du feuillet 133 où elles finissent, on lit cette souscription : Hic finitur Esopus cum suis
recto du feuillet 83 par le prologue ordinaire, au-dessous duquel ou lit cette glose inspirée par la dédicace de Romulus à
rginales. En tête il n’existe pas de titre général ; mais à la fin on lit  : Explicit liber Esopi. F. Manuscrit Add. 1
ficiat parvo quod marmore claudor ? Enfin au recto du feuillet 57 on lit  : De forio || Jhoanes benedictus aurifex scripsi
 : De Uxore et Viro et Puero. Au-dessous de cette dernière fable on lit cette double souscription : Deo gratias ; Amen.
te a oublié ; ainsi, après le vers : Si comme ruth la courtoise, on lit le suivant : Qui fut dame sans nulle boise. Il
e sont accompagnées d’aucun commentaire. À la suite de la dernière on lit  :       Ysopus est herba, sed ysopus dat bona ve
ar une sorte de branche diagonalement placée. Au-dessous de l’écu, on lit , sous la forme d’un vers pentamètre, la devise su
    Adsit principio virgo beata bono ! Au bas de la première page se lit cette espèce d’hexamètre encore plus barbare : E
ue jubar. 2º la fable De Patre et filio, tout entière. Au-dessous on lit  : Explicit Esopus : deo gratias : amen. C.
Esopus ; qui scripsit sit benedictus, au-dessous duquel cet autre se lit encore : Finito libro sit laus et gloria Christo
in à l’empereur romain du nom de Romulus. Au bas du feuillet 138 a on lit ces deux vers rythmiques : Explicit liber iste.
amètre :       Una sit, atque duo spiritus unus alit. Au-dessous on lit cette souscription : Explicit liber Prosperi deo
t ; argus init stabulum bobusque ministrat. Au-dessous de ce vers on lit cet autre bien connu : Finito libro sit laus et
du xve  siècle est fort belle. Au bas du recto du premier feuillet on lit  : Collegii Soc. Jesu d. Ignatii, Pollentini. A
ette souscription : Bononie G. Monet. Scripsit 1476 , et plus bas on lit  : Finis. Au-dessous du mot Finis une autre mai
ain plus récente a corrigée en mettant un E au-dessus de l’Y. Puis on lit  : Finito libro reddatur gracio (sic) Christo. He
criture est du xve  siècle et comprend, d’après la nomenclature qu’on lit sur un feuillet ajouté en tête, plusieurs ouvrage
ccupent les feuillets 69 a à 91 a. Au haut du recto du feuillet 69 on lit d’abord cette invocation, qui, sous la forme d’un
où figurent seulement ses trois derniers vers, au-dessous desquels se lit cette souscription : Explicit liber esopi deo gr
t qui, ayant appartenu à une ancienne couverture, lui a survécu. On y lit  : Iste grammaticalis siue notabilis est magistri
llets (61 à 79, d’après le numérotage du ms.). En tête du prologue on lit , en guise de titre général, ce pentamètre écrit à
s et Ancipitre et : De Lupo et Pastore. À la fin de la dernière on lit  : Explicit liber Esopi deo gratias. Amen. Les
uidem risu fiunt portantia mortem. Au-dessous de ce dernier vers on lit  : Et sic finitur Æsopus. Après viennent deux f
: Aesopi fabulae uersibus expressae ab incerto auctore. À la fin on lit  : Brixiae. mcccclxxxi. Elle est du format in-4º.
um liber cum glosa finit feliciter. Au verso du dernier feuillet on lit  : Auctores cum glosa octo libros subscriptos con
se trouve ce titre : Liber Esopi , et au bas du recto du dernier on lit  : Esopus fabulator preclarissimus cum suis moral
ers hexamètre : Accipies tanti doctoris dogmata sancti. À la fin on lit  : Impressus anno salutis nostre M. cccc. xciiii.
suspenso, au-dessous de laquelle sur le verso du dernier feuillet on lit ces mots : Finis. Laus deo. Amen. Puis viennent
ox oppræssorum (sic) mercesque retenta laborum. Enfin au-dessous se lit la souscription suivante : Impressum Mediolani p
ilieu de laquelle un écusson supporte les initiales P. B. À la fin on lit  : Auctores octo opusculorum cum commentariis dil
Ésope instruisant deux enfants et dans laquelle sur une banderole on lit le même hexamètre. La souscription finale, qui ne
d’un casque empanaché. Dans l’espace laissé blanc par la vignette on lit  : M. Lenoir , et l’encadrement du tout porte ces
s || de nouo emendatus cum glosa interliniali. Tel est le titre qu’on lit sur le premier feuillet. Le second feuillet, en t
t d seulement quatre feuillets chacun. Au verso du trente-neuvième on lit  : Esopus fabulator preclarissimus cum suis moral
e ma thèse sur leur véritable auteur. Au recto du dernier feuillet se lit cette souscription : Explicit liber fabularum Æs
e éditeur. Au-dessous du titre est une gravure, au bas de laquelle on lit J. Le Forestier . La souscription qui se trouve
rcatore et eius vxore ; lxvj (sic) De Rustico et Plutone. À la fin on lit  : Impressum Venetiis per Bernardinum Benalium An
m Parmensem finiunt. Au bas du verso de l’avant-dernier feuillet on lit  : Impressum Venetiis aedibus Joannis Tacuini de
demandent un roi. Vers le bas du verso de l’avant-dernier feuillet on lit la souscription suivante : Brixiæ Impendio Ludou
2, en tête de la première colonne, est une vignette, dans laquelle on lit le mot Esopus. Au-dessous l’œuvre de Walther est
apiente, De Avibus et Pavone. Au bas du recto du dernier feuillet, on lit  : Parmae || Apvd Seth de Viottis. Anno m.d.xlvii
suivie de cette souscription : Fabularum Aesopi finis. Plus bas, on lit  : Finis. || Apud inclytam Grana||tam. Mense febr
Sodomorum : Vox oppressorum mercesque retenta laborum. Plus bas on lit cette souscription : Huic lepidissimo fabulatori
piente ; De Avibus et Pavone. Au haut du recto du dernier feuillet on lit  : Stampato in Milano per Francesco Bernardino ||
e au centre de laquelle se trouvent les initiales M. B., et au bas on lit ce qui suit : Mediolani, apud Besutios fratres. 
8, les ajouta aussi aux fables de Phèdre. En tête de cette édition on lit  : Accedunt Ugobardi Sulmonensis Fabulæ Phædrianæ
e possède pas : A nome di Dio Amamen ! et à la suite de laquelle on lit ce titre : Questo libro si chiama isopo volgariz
....... d’ottobre 1580. À la marge supérieure du feuillet 61 a, on lit la date suivante : A di 20 di Mago 1523. Le ma
s copistes. Les feuillets 35 à 38, 49 et 85 sont blancs. À la fin, on lit  : die xxvi ianuarij hora tertia iam preterita M.
pagnée de cette légende : Il piu bel fior || ne coglie. Plus bas on lit  : In Firenze MDCCLXXVIII. || Nella stamp. di Giu
o du troisième feuillet intitulé : Idem. Au verso de ce feuillet on lit , placés au centre d’une gravure représentant une
le sixain en vers élégiaques que j’ai déjà fait connaître. Ensuite on lit  : Accii Zuchi summa Campaneæ Veron. viri eruditi
inscrit au-dessus de sa tête. Au haut du verso du premier feuillet on lit  : Accii Zuchi Summa Campanee Veronensis uiri eru
ar une gravure sur bois représentant six personnages, Ésope assis qui lit ses fables, sur un siège inférieur un copiste qui
l’édition précédente. Au bas du verso de l’avant-dernier feuillet on lit  : Impressum Venetiis per Manfre-||dum de montefe
es auditeurs assis au-dessous de lui. Au verso du premier feuillet on lit ce titre : Accii Zuchi Summa Campanee Veronensis
la seconde colonne de la table qui occupe le verso du feuillet 71 on lit  : Stampado in Venetia per Mae-||stro Manfredo de
—  Esopo con la vita sua historiade vulgare et latino. À la fin, on lit  : Impressum Mediolani per Uldericum Scinzenzeler
a paraphrasent. Au bas du verso du feuillet antépénultième (i, vi) on lit  : Impressum Mediolani per Guillermum || le Signe
tes du même imprimeur. Au bas du verso de l’avant-dernier feuillet on lit  : Stampado ī Venetia per Maestro || Manfredo de
orme un volume in-4º de 70 feuillets. Au verso de l’antépénultième on lit  : Impressum Mediolani per dominum Lazarum || de
paginé, mais signé de a à k. Au verso de l’avant-dernier feuillet on lit  : Impresso in Milano per magi-||stro Bernardino
titre une vignette représente la figure d’Ésope. Au bas de la page on lit  : In Venetia. Le verso du premier feuillet est
ommence par un feuillet blanc ; puis au recto du deuxième feuillet on lit ce préambule d’épître : « Francisco del Tuppo Nea
ae. anno M. D. XXXII. per Ludovicum Britannicum Brixie. Au verso se lit un avis intitulé : Vincentius Metellus cirratæ a
également ainsi que les choses se passent dans la fable de Neckam. On lit dans le Romulus ordinaire ce membre de phrase :
doit pas être confondu avec Neckam lui-même. Voici en effet ce qu’on lit dans l’un des quatre sixains dont l’épilogue se c
sont dessus. Elles sont suivies de l’épilogue, à la suite duquel se lit cette phrase finale : Expliciunt les fables d’Ys
t Esopus. Puis viennent les cinquante fables, à la fin desquelles on lit ces mots : Explicit Esopus , et au-dessous cet h
uire n’existait pas encore, et, comme les manuscrits dans lesquels on lit Henris sont tout aussi anciens et ne doivent pas
autres qui ont été ajoutés par le relieur. Sur le recto du premier on lit  : « Ce manuscrit a appartenu au président Fauchet
is feuillets en papier que le relieur a ajoutés en tête du volume, on lit cette mention, qui paraît y avoir été inscrite pa
. Pierre, Se hui mes la vos voi bouter, Ge vos ferai ia acouter En ce lit , et si vos foutray ; Ia autre amende n’en prendra
. Et li prestres tantost la prist Entre ses bras et si la porte En un lit , et euure la porte De l’abitacion a l’ome. Si ram
 56 ro. Le copiste suit le dialecte du nord de la France. » Quand on lit ces lignes, on comprend que, contrairement à l’af
fable lxxxix, qui dans le manuscrit est la quatre-vingt-troisième, on lit ce distique léonin écrit, sans doute par quelque
gracias. Amen. Au haut de la deuxième colonne du feuillet 49 a, on lit ce commencement d’ex libris, écrit en très gros c
emier, c’est qu’il les aura prises dans le second. Or, voici ce qu’on lit dans les trois textes : Romulus primitif : In c
t pas dans le Romulus de Nilant. C’est ainsi que, dans ce Romulus, on lit les mots conscendit altam arborem évidemment empr
et et en dehors de la première ligne de chacune des deux colonnes, on lit  : Ave Maria. N’étant que la copie du manuscrit
ivé de 136 fables, y remplace la dédicace de Romulus à son fils. On y lit ces phrases : Liber igitur iste primo græce consc
du commencement du xive  siècle. Sur le recto du premier feuillet on lit l’ex libris suivant, écrit sans doute par un des
mbreuses vicissitudes. Sur la face intérieure du premier des plats on lit  : Iste liber pertinet domino Petro zum Raben. À
a de Esopo , l’autre : Incipiunt capitula de Auiano. Finalement se lit cet usuel hexamètre léonin qui a été souvent sign
par cette souscription : Explicit registrum fabularum Esopi , qui se lit vers le haut de la première colonne du feuillet 3
ittéralement traduit. En effet, dans le prologue du Dérivé complet on lit  : « Liber… iste primo grece conscriptus est ab Es
Rat ne sont pas explicitement reproduits. Voici au contraire ce qu’on lit dans le Romulus de Nilant : Cui Rana, callide res
s, fit imprimer par Pierre Didot son interprétation, dans laquelle on lit  : « J’en ai plusieurs (sujets) qui ont rapport à
. Lipsiæ, in ædibus B. G. Teubneri, MDCCCLXXV, in-8º. À la page 16 on lit ce qui suit : Itaque sic habeto : fuit corpus quo
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