cunte que gueita dedenz sun hus, si espia. Un autre humme vit sur sun
lit
, od sa femme fist sun delit. « Allas », fet il, «
ez vus, beau sire amis ? » — « Un autre humme, ceo m’est avis, sur le
lit
vus tint embracee. » Dunc dis la femme tut curuce
Marie de France, n° 86 Le milan malade Un escufles jut en sun
lit
; malades est, si cum il dit. Un jai ot sun ni pr
e second terme échû, l’autre luy redemande Sa maison, sa chambre, son
lit
. La Lice cette fois montre les dents, et dit : Je
lïuns fu mut travaillez e de curre tut ennuiez. En une grave fist sun
lit
; mut fu malades a sun dit. Les bestes fist a sei
e memoire de Singe, à fait plus embroüillé. Le Magistrat suoit en son
lit
de Justice. Aprés qu’on eut bien contesté, Repliq
upon crasseux et detestable ; Allumoit une lampe, et couroit droit au
lit
Où de tout leur pouvoir, de tout leur appetit, Do
va tout droit se loger
Chez un Prelat qu’elle condamne
A jamais du
lit
ne bouger.
Cataplasmes, Dieu sçait. Les gens n’o
preuve, lui firent très vite recouvrer la santé, et il se leva de son
lit
. Mais, comme il n’avait pas de vrais bœufs, il en
es trois femelles Courent au Testament sans attendre plus tard. On le
lit
; on tâche d’entendre La volonté du Testateur, Ma
de la chambre. La chatte, oubliant sa condition présente, se leva du
lit
et poursuivit la souris pour la croquer. Alors la
, kar il nel poeit treire a mort s’il ne li vousist fere tort. En sun
lit
malade se feint ; a tutes bestes si se pleint qu’
mes, le premier sans date, le second portant le millésime de 1603, on
lit
, page 1111, nº 3 : D. PHEDIMO. VESTITORI. M AVG
lapidaires l’établissent. Dans les Inscriptiones antiquæ de Gruter on
lit
, page 352, nº 4 : ANEROS. ASIATICVS. VI. VIR SIB
oins anciennes et plus ou moins véridiques ; telles sont celles qu’on
lit
dans les fables viii, ix et xi du livre III, xi e
ré à ce travail préparatoire. Au-dessous de la note de Beaucousin, on
lit
: « Voyez la lettre de M. l’abbé de Saint-Léger
d’un feuillet blanc, qui a été ajouté par le relieur et sur lequel on
lit
: « Ce volume m’a été légué par mon excellent cam
mots : « Ex libris Corard de Bréban, Trecensis. » Enfin au-dessous on
lit
encore : « Offert par M. Édouard de Blives à la B
variantes du manuscrit de Pithou. À la suite de la dernière fable, on
lit
cette observation qui montre que le manuscrit ava
ent, lors même qu’il est évident que plusieurs vers sont omis ; et on
lit
à la fin : Phædri Aug. liberti liber V explicit f
ressa la comédie intitulée le Plaintif de Plaute ou l’Aulularia.” (H.
lit
., t. II, p. 73). C’est aussi le sentiment de Till
ns du xiie siècle, et souvent l’orthographe en est altérée. Ainsi on
lit
: olin tin imeran (tota die) au lieu de : olèn
avocat sponsore improbo, il s’empresse d’ajouter qu’au contraire on
lit
dans le manuscrit de Daniel : Fraudator nomen qu
’est une édition in-8º de 23 pages, sans l’épître et sans l’index. On
lit
au frontispice : Ivl. Phaedri | Fabvlarvm | libe
172 » ; et si l’on consulte la traduction en vers de M. de Joly, on y
lit
: D’un époux adoré pendant assez longtemps La da
comblant la la lacune, ajouté la lettre n. Mais dans le manuscrit on
lit
très nettement : Ut jura posset inter homines re
tres sont accompagnées de notes courantes en latin. Au frontispice on
lit
: Julii Phædri | fabulæ novæ et veteres : | novæ
tenant le frontispice, une dédicace et une préface. Au frontispice on
lit
: Julii Phaedri | Augusti liberti | Fabulae trig
e d’ailleurs et composée seulement de douze pages. Sur la première on
lit
: Q. D. B. V. | Novi | Prorectoratus | auspicia
es, qui in circumpictis circulis sunt annotati. » Dans les autres on
lit
la nomenclature suivante des ouvrages contenus da
ui. Dans l’épigramme 77 du livre Ier, adressée à Valérius Flaccus, on
lit
ce distique : Quid possent hederæ Bacchi dare ?
prologue du quatrième livre, les autres, le prologue du cinquième, on
lit
les vers suivants : Hunc obtrectare si volet mal
servant de préambule à la fable Demetrius rex et Menander poeta, on y
lit
in fine ces deux phrases :
ore appuyé sur une fausse interprétation de son texte, dans lequel on
lit
bien : « De his ergo usque ad quadraginta et duas
bles : Gulæque credens colli longitudinem, et dans les nouvelles on
lit
: Traxitque ad terram nasi longitudinem. C’est
de Phèdre et de celles restituées par Gude. Au bas de la page 148 on
lit
: Parma ; Per i fratelli Gozzi. 1812.
se reporte à la même fable dans les Fabulæ antiquæ, voici ce qu’on y
lit
: Tumens inani Graculus superbia pennas Pavonum
rut ; et il ne peut y avoir de doute à cet égard ; car voici ce qu’on
lit
dans la Chronique de Bernard Itier, moine de Sain
rture. L’écriture plus récente est du xiiie siècle. Voici ce qu’on y
lit
: Anno gratiæ 1221. mense Augusto insurrexerunt
Sapientia in solio residens. Le dernier dessin, au-dessous duquel on
lit
ces mots : Auctoris graciarum actio , représente
hriste graves hominum semper miserate labores. Enfin au fol. lx b se
lit
cette souscription : Aurelii Prudentii Clementis
eorum et consulendum fore existimavi, etc. Au bas de la même page on
lit
: Explicit prologus. Incipit liber eiusdem. Ces
ci à xcviii, xcix à cvi). Fol. lxxxiii a. — En tête de ce feuillet on
lit
: Prologus. Ce prologue se compose de dix vers
helmi ænigmata. C’est un poème en vers hexamètres, à la fin duquel on
lit
cette souscription : Expliciunt enigmata de vari
haut du recto du fol. cxc, par le mot Pisces , au-dessous duquel on
lit
: Duos extremi veraces mundi quos appellant polo
ure peu lisible qui n’est pas celle d’Adémar. Voici ce que M. Pertz y
lit
: Mensuram crucis fac delãt pollicem ungula. La
aces d’un dessin qui représente une draperie, et à la suite duquel on
lit
: Similiter est tantum latum vestimentum contra
cœli, commençant à la page 380 du même volume, au bas de laquelle on
lit
en note : « Primus ex P(arisino 12 117) saec. XI,
quième vers notamment tous les manuscrits sont en désaccord. Ainsi on
lit
dans les manuscrits de Pithou et de Reims : Vulp
anonyme. Au lieu de : Vulpis hunc vidit, deinde sic cœpit loqui , on
lit
dans les manuscrits de l’anonyme de Nilant : Vul
de la même page, en lettres semblables écrites avec la même encre, on
lit
l’hexamètre suivant qui sert de titre à un nouvel
la cote 84, c’est encore la même ponctuation qui a été observée. On y
lit
: Romulus Tyberino filio de civitate Attica. Isop
accueillie dans l’édition originaire de Jean Zeiner dans laquelle on
lit
: Romulus tyberino filio de Civitate athica. S. E
vers auteurs grecs. Il est vrai que, dans la dédicace à Tiberinus, on
lit
cette phrase qui semble lui donner raison : « Ego
les constructions trop elliptiques aient rendu la pensée obscure, on
lit
dans une des fables du troisième livre : Hoc ill
ils sont très altérés. Pour n’en citer qu’une phrase, dans Phèdre on
lit
: Tunc fauce improba
abulæ antiquæ reproduisent presque mot à mot le texte original ; on y
lit
en effet : Tunc fauce improba latro incitatus iu
Échanson de Walther. Immédiatement après, au bas du feuillet 34 b, on
lit
la souscription suivante : Explicit liber tertiu
duabus uxoribus. xvi. De agricultore et eius filiis. xvii. On
lit
immédiatement après : Auiani fabule sequntur (f
t est occupé par le portrait d’Ésope. En tête du recto du deuxième on
lit
: Vita Aesopi fabulatoris clarissimi e greco lat
us et enfin les vingt-trois fables diverses, à la suite desquelles on
lit
: Finis diuersarum fabularum. Cette édition ne
ous de ce titre vient la table du livre II, à la suite de laquelle on
lit
: Prohemium libri secundi fabularum Esopi. Fol
gistrum capitulorum quarti libri Esopi. Au-dessous de cette table on
lit
: Fabula prima de Vulpe et vua. Fol. 65ª à 73ª
antiū. Fol. 90ª (m.iiª). Fin de la table, à la suite de laquelle on
lit
: Sequūtur fabule noue esopi ex translatiōe remi
i a). — Dans le titre courant par suite d’une erreur typographique on
lit
tertius au lieu de secundus. Fol. 46 a (g. iv a).
rum predictarum. À la suite de la table des Fabulæ extravagantes on
lit
: Sequūtur fabule noue Esopi ex transiatione (si
torum ad eundem directi et inferius scripti. À la fin du prologue on
lit
cette souscription : Hec de prologo autoris. Le
me : Incipit pars executiua. Au bas du recto du dernier feuillet on
lit
: Explicit speculum stultorum. Le second ouvra
le mot Exemplario ; au-dessous dans un encadrement xylographique on
lit
: Libro llamado Exem-|plario : enel quel se | cō
l. viii les mêmes fautes existent ; sur le verso du feuillet m. i on
lit
fa. noue au lieu de extra, et sur le recto du feu
larum Esopi. Au-dessous de la table annoncée par ce dernier titre on
lit
celui-ci : Prohemium libri secundi fabularum Eso
La vie d’Ésope se termine par ces mots : tod auch vergan. Puis on
lit
cette phrase finale : Finis desӡ leben Esopi , c
Chrisogoni prespiterum (sic) Cardinalem. | À la suite de ce titre on
lit
: Das leben des hochberümten fabelti-|chters Eso
qui s’étend du feuillet 155 au feuillet 169 et dernier. À la fin on
lit
ces mots. — Esopus der hochbetümpt fabeltichter
32 a, portant la signature e.iiij et le nº 1. Aux lignes 11 et 12 on
lit
: Hie hat ein ende das lesen (sic) esopi. | Die
nce la table. » Fol. 144 a à 151 b. — Table, à la fin de laquelle on
lit
: Hye endet sich Esopus der hochberümbt fabeltic
appelées collectæ. Elles sont au nombre de vingt-quatre. À la fin on
lit
: Hie nach folget der ander teil : Schöner | vnd
es fables de Brant suivent cette préface, et sur un feuillet final on
lit
, toujours en allemand, ce dernier avis : « Imprim
ui occupe les deux tiers de la page. Au verso du feuillet clxxiiii on
lit
: Zu Friburg | im Brissgaw, | Durch Stephanum Me
ur bois, qui représente Ésope en pied et dans un angle de laquelle on
lit
: 1531. Mais il n’en est pas moins vrai que le
un oiseau et de la main gauche une jambe de mammifère. Au-dessous on
lit
: Gedruckt zu Frankfurt am Mayn | M. D. LXXXVI.
ivantes. — Table des matières. Au bas du recto du dernier feuillet on
lit
: Gedruckt zu Franckfurt am Mayn | durch Nicolau
gistre des fables du second. Suit la table au-dessous de laquelle on
lit
ce titre : Cy cōmēce le prohesme du second liure
es de esepe (sic). Fol. 28 b à 34 b. — Livre III, à la fin duquel on
lit
: Cy finist le tiers liure des subtilles fables
et du regnard et des chiens. Fol. s. x b. — Au milieu de la page on
lit
cette souscription : Cy finissent les subtilles
ar le portrait d’Ésope en pied. Enfin au verso du dernier feuillet on
lit
: Cy finissent les fables de Esope de Auian de |
tre se voit le portrait d’Ésope en pied, et au-dessous du portrait on
lit
ce qui suit : On les vend à Anuers en lescu de |
| . Le milieu de la page est occupé par une vignette, et au bas on
lit
: En Anuers | de l’imprimerie d’Amé | Tauernier,
e est terminé par un épilogue dont Caxton est l’auteur. À la suite on
lit
cette souscription : And here with I fynysshe th
tyne , etc. Au verso du dernier des feuillets consacrés à la table on
lit
: Imprinted at London | by Henri Wykes for John.
ntispice et de quatre pour la table, non numérotés. Au frontispice on
lit
, formulées dans les mêmes termes dont l’orthograp
very pleasant to be | reade ; au centre est une gravure ; au bas on
lit
: Imprinted at London for Andrew Hebb dwel-|ling
emiers feuillets et suivies d’un dernier non chiffrés. Voici ce qu’on
lit
au-dessous du titre : The Sixth Edition correcte
ables du livre IV, accompagnées seulement de 19 gravures. À la fin on
lit
: Hier eyndet dat vierde boec vā die sub-|tijle
de la traduction de ce prologue métrique qui est celui de Walther, on
lit
: Comiēça el primero libro de las fabulas del Ys
º). — Texte espagnol des Fabulæ extravagantes, à la fin desquelles on
lit
: A qui se acaban las fabulas extrauagātes antig
es fables à la fin desquelles, vers le milieu de la dernière page, on
lit
cet avis : A qui se acaban las fabulas del esopo
inés par ces mots : Aqui se acaba la tabula , au-dessous desquels on
lit
: Deo gracias. Fol. 119 b. (K 7 vº). — Gravure
rieure est orné de quatre gravures sur bois, au-dessous desquelles on
lit
dans un encadrement : Libro del sabio et clariss
maxime suivante : Res parva crescunt concordia. Au bas de la page on
lit
: Vendense en Enueres por Juan | Steelsio, enel
e Auiano. Fol. 58 a à 71 b. — Las fabulas collectas. À la fin on
lit
: Acabanse las fabulas de Ysopo corregidas y eme
encadrement duquel sont six gravures sur deux colonnes. Au-dessous on
lit
: Libro de sabio y clarissimo fabula-|dor ysopo
feuillet 71, suivies des mots : Deo gracias , au-dessous desquels on
lit
cette souscription : Acabāse las fabulas de ysop
ano-|tado. Impresso an̄o M. D. lxij. Au bas du dernier feuillet on
lit
: Impresso en Seuilla en casa de Seba-|stian Tru
gnette représentant entre autres choses une banderole sur laquelle se
lit
cette devise de Plantin : Labore et Constantia.
º Édition de 1728. Au haut du frontispice de l’édition de 1728, on
lit
: Libro de la vida, y fabulas de el Sabio, y cla
ania de Impresores, | y Libre-|ros del Reyno. À la fin du volume on
lit
: Laus deo. Cette édition est dans le format i
ont suivies, au recto du fol. cvij, de l’épilogue, à la fin duquel on
lit
ces mots : Deo gratias. Amen. Section III.
pose de 191 feuillets, et commence par la table des matières. Puis on
lit
au verso du deuxième feuillet sur la deuxième col
olumes : Premier volume. Fol. 1 a. À la suite d’un court préambule on
lit
: Incipit. Tabvla. Primi. Volvminis. Spe-||cvli.
lets sont occupés par la table. Sur le recto du troisième feuillet on
lit
: Incipit primus liber Speculi moralis Vincentii
Au bas du frontispice, dans les exemplaires destinés à J. Petit, on
lit
: Ils se vendent en la rue Sainct-Jacques a Pari
hurins || Mil. V. C. xxxi , et dans ceux destinés à Galliot du Pré on
lit
: Ils se vendent en la grant salle du palais au
......... Et à la fin de la même glose, on
lit
encore : « Quid titulus ? Incipit Ysopus magistr
les notes de sa première édition de Phèdre. Voici, en effet, ce qu’on
lit
dans son commentaire sur la fable 29 du livre I :
du texte. Il y a soixante-deux fables. À la fin de la soixantième, on
lit
ce distique un peu différent de celui qui se trou
aussi ancienne que celle du texte. Au lieu du distique suivant qui se
lit
après la soixantième fable dans les éditions de l
t . . . . . . . . . Nutriti Ucecie. Toutefois au bas du fol. 54 a on
lit
: Tanguidus Nutriti de Ucecia. G. Manuscrit
store. Les fables se terminent au verso du feuillet 20, sur lequel on
lit
: Explicit liber Esopi , et au-dessous : Deo gr
rits portent Fructum lege , tandis que dans la copie de P. Pithou on
lit
: Fructum cape. Cette copie ne comprend que le
le. Il comprend 177 feuillets. Au bas du recto du premier feuillet on
lit
: Iste liber est Sancti Victoris Parisiensis. Qu
ouge : Sancti Spiritus assit nobis gratia. Amen. Puis au-dessous on
lit
: Incipit Esopus. Les fables commencent au rec
insi conçu : Un cot en un fumier estoit, tandis que dans l’autre on
lit
: Un coq sur un fumier estoit. Le classement e
fenir. L’épilogue se termine par le mot Amen , au-dessous duquel se
lit
cette souscription affectant la forme d’un hexamè
au fol. 90 b par le mot Explicit . Enfin, au bas de la même page, se
lit
cette observation qui ne tire son importance que
t au bas du recto du vingtième feuillet. À la suite de la dernière on
lit
cette double souscription : Explicit iste liber,
des sept premiers feuillets : Fol. 1 a. — En tête du feuillet 1 a on
lit
: Incipit Esopus. Prologus. À la suite de ces m
fin du volume, c’est-à-dire au haut du verso du dernier feuillet, on
lit
… cit transfeter (sic) de latino in romanum. La
e, dans le premier vers de la fable xxxix, au lieu de prædo murum, on
lit
prædoque murum, ce qui rend le vers faux. D’autre
e véritable auteur, et dans lequel, presque dès les premiers mots, on
lit
ce qui suit : « Causa autem efficiens fuisse dici
ête seulement aux secondes. En tête de la page où elles commencent on
lit
ces deux mots qui leur tiennent lieu de titre gén
t liber hic scriptus ; qui scripsit [sit] benedictus ! Au-dessous on
lit
cette souscription usuelle : Explicit esopus. de
la page 559. Au haut du recto du feuillet 133 où elles finissent, on
lit
cette souscription : Hic finitur Esopus cum suis
recto du feuillet 83 par le prologue ordinaire, au-dessous duquel ou
lit
cette glose inspirée par la dédicace de Romulus à
rginales. En tête il n’existe pas de titre général ; mais à la fin on
lit
: Explicit liber Esopi. F. Manuscrit Add. 1
ficiat parvo quod marmore claudor ? Enfin au recto du feuillet 57 on
lit
: De forio || Jhoanes benedictus aurifex scripsi
: De Uxore et Viro et Puero. Au-dessous de cette dernière fable on
lit
cette double souscription : Deo gratias ; Amen.
te a oublié ; ainsi, après le vers : Si comme ruth la courtoise, on
lit
le suivant : Qui fut dame sans nulle boise. Il
e sont accompagnées d’aucun commentaire. À la suite de la dernière on
lit
: Ysopus est herba, sed ysopus dat bona ve
ar une sorte de branche diagonalement placée. Au-dessous de l’écu, on
lit
, sous la forme d’un vers pentamètre, la devise su
Adsit principio virgo beata bono ! Au bas de la première page se
lit
cette espèce d’hexamètre encore plus barbare : E
ue jubar. 2º la fable De Patre et filio, tout entière. Au-dessous on
lit
: Explicit Esopus : deo gratias : amen. C.
Esopus ; qui scripsit sit benedictus, au-dessous duquel cet autre se
lit
encore : Finito libro sit laus et gloria Christo
in à l’empereur romain du nom de Romulus. Au bas du feuillet 138 a on
lit
ces deux vers rythmiques : Explicit liber iste.
amètre : Una sit, atque duo spiritus unus alit. Au-dessous on
lit
cette souscription : Explicit liber Prosperi deo
t ; argus init stabulum bobusque ministrat. Au-dessous de ce vers on
lit
cet autre bien connu : Finito libro sit laus et
du xve siècle est fort belle. Au bas du recto du premier feuillet on
lit
: Collegii Soc. Jesu d. Ignatii, Pollentini. A
ette souscription : Bononie G. Monet. Scripsit 1476 , et plus bas on
lit
: Finis. Au-dessous du mot Finis une autre mai
ain plus récente a corrigée en mettant un E au-dessus de l’Y. Puis on
lit
: Finito libro reddatur gracio (sic) Christo. He
criture est du xve siècle et comprend, d’après la nomenclature qu’on
lit
sur un feuillet ajouté en tête, plusieurs ouvrage
ccupent les feuillets 69 a à 91 a. Au haut du recto du feuillet 69 on
lit
d’abord cette invocation, qui, sous la forme d’un
où figurent seulement ses trois derniers vers, au-dessous desquels se
lit
cette souscription : Explicit liber esopi deo gr
t qui, ayant appartenu à une ancienne couverture, lui a survécu. On y
lit
: Iste grammaticalis siue notabilis est magistri
llets (61 à 79, d’après le numérotage du ms.). En tête du prologue on
lit
, en guise de titre général, ce pentamètre écrit à
s et Ancipitre et : De Lupo et Pastore. À la fin de la dernière on
lit
: Explicit liber Esopi deo gratias. Amen. Les
uidem risu fiunt portantia mortem. Au-dessous de ce dernier vers on
lit
: Et sic finitur Æsopus. Après viennent deux f
: Aesopi fabulae uersibus expressae ab incerto auctore. À la fin on
lit
: Brixiae. mcccclxxxi. Elle est du format in-4º.
um liber cum glosa finit feliciter. Au verso du dernier feuillet on
lit
: Auctores cum glosa octo libros subscriptos con
se trouve ce titre : Liber Esopi , et au bas du recto du dernier on
lit
: Esopus fabulator preclarissimus cum suis moral
ers hexamètre : Accipies tanti doctoris dogmata sancti. À la fin on
lit
: Impressus anno salutis nostre M. cccc. xciiii.
suspenso, au-dessous de laquelle sur le verso du dernier feuillet on
lit
ces mots : Finis. Laus deo. Amen. Puis viennent
ox oppræssorum (sic) mercesque retenta laborum. Enfin au-dessous se
lit
la souscription suivante : Impressum Mediolani p
ilieu de laquelle un écusson supporte les initiales P. B. À la fin on
lit
: Auctores octo opusculorum cum commentariis dil
Ésope instruisant deux enfants et dans laquelle sur une banderole on
lit
le même hexamètre. La souscription finale, qui ne
d’un casque empanaché. Dans l’espace laissé blanc par la vignette on
lit
: M. Lenoir , et l’encadrement du tout porte ces
s || de nouo emendatus cum glosa interliniali. Tel est le titre qu’on
lit
sur le premier feuillet. Le second feuillet, en t
t d seulement quatre feuillets chacun. Au verso du trente-neuvième on
lit
: Esopus fabulator preclarissimus cum suis moral
e ma thèse sur leur véritable auteur. Au recto du dernier feuillet se
lit
cette souscription : Explicit liber fabularum Æs
e éditeur. Au-dessous du titre est une gravure, au bas de laquelle on
lit
J. Le Forestier . La souscription qui se trouve
rcatore et eius vxore ; lxvj (sic) De Rustico et Plutone. À la fin on
lit
: Impressum Venetiis per Bernardinum Benalium An
m Parmensem finiunt. Au bas du verso de l’avant-dernier feuillet on
lit
: Impressum Venetiis aedibus Joannis Tacuini de
demandent un roi. Vers le bas du verso de l’avant-dernier feuillet on
lit
la souscription suivante : Brixiæ Impendio Ludou
2, en tête de la première colonne, est une vignette, dans laquelle on
lit
le mot Esopus. Au-dessous l’œuvre de Walther est
apiente, De Avibus et Pavone. Au bas du recto du dernier feuillet, on
lit
: Parmae || Apvd Seth de Viottis. Anno m.d.xlvii
suivie de cette souscription : Fabularum Aesopi finis. Plus bas, on
lit
: Finis. || Apud inclytam Grana||tam. Mense febr
Sodomorum : Vox oppressorum mercesque retenta laborum. Plus bas on
lit
cette souscription : Huic lepidissimo fabulatori
piente ; De Avibus et Pavone. Au haut du recto du dernier feuillet on
lit
: Stampato in Milano per Francesco Bernardino ||
e au centre de laquelle se trouvent les initiales M. B., et au bas on
lit
ce qui suit : Mediolani, apud Besutios fratres.
8, les ajouta aussi aux fables de Phèdre. En tête de cette édition on
lit
: Accedunt Ugobardi Sulmonensis Fabulæ Phædrianæ
e possède pas : A nome di Dio Amamen ! et à la suite de laquelle on
lit
ce titre : Questo libro si chiama isopo volgariz
....... d’ottobre 1580. À la marge supérieure du feuillet 61 a, on
lit
la date suivante : A di 20 di Mago 1523. Le ma
s copistes. Les feuillets 35 à 38, 49 et 85 sont blancs. À la fin, on
lit
: die xxvi ianuarij hora tertia iam preterita M.
pagnée de cette légende : Il piu bel fior || ne coglie. Plus bas on
lit
: In Firenze MDCCLXXVIII. || Nella stamp. di Giu
o du troisième feuillet intitulé : Idem. Au verso de ce feuillet on
lit
, placés au centre d’une gravure représentant une
le sixain en vers élégiaques que j’ai déjà fait connaître. Ensuite on
lit
: Accii Zuchi summa Campaneæ Veron. viri eruditi
inscrit au-dessus de sa tête. Au haut du verso du premier feuillet on
lit
: Accii Zuchi Summa Campanee Veronensis uiri eru
ar une gravure sur bois représentant six personnages, Ésope assis qui
lit
ses fables, sur un siège inférieur un copiste qui
l’édition précédente. Au bas du verso de l’avant-dernier feuillet on
lit
: Impressum Venetiis per Manfre-||dum de montefe
es auditeurs assis au-dessous de lui. Au verso du premier feuillet on
lit
ce titre : Accii Zuchi Summa Campanee Veronensis
la seconde colonne de la table qui occupe le verso du feuillet 71 on
lit
: Stampado in Venetia per Mae-||stro Manfredo de
— Esopo con la vita sua historiade vulgare et latino. À la fin, on
lit
: Impressum Mediolani per Uldericum Scinzenzeler
a paraphrasent. Au bas du verso du feuillet antépénultième (i, vi) on
lit
: Impressum Mediolani per Guillermum || le Signe
tes du même imprimeur. Au bas du verso de l’avant-dernier feuillet on
lit
: Stampado ī Venetia per Maestro || Manfredo de
orme un volume in-4º de 70 feuillets. Au verso de l’antépénultième on
lit
: Impressum Mediolani per dominum Lazarum || de
paginé, mais signé de a à k. Au verso de l’avant-dernier feuillet on
lit
: Impresso in Milano per magi-||stro Bernardino
titre une vignette représente la figure d’Ésope. Au bas de la page on
lit
: In Venetia. Le verso du premier feuillet est
ommence par un feuillet blanc ; puis au recto du deuxième feuillet on
lit
ce préambule d’épître : « Francisco del Tuppo Nea
ae. anno M. D. XXXII. per Ludovicum Britannicum Brixie. Au verso se
lit
un avis intitulé : Vincentius Metellus cirratæ a
également ainsi que les choses se passent dans la fable de Neckam. On
lit
dans le Romulus ordinaire ce membre de phrase :
doit pas être confondu avec Neckam lui-même. Voici en effet ce qu’on
lit
dans l’un des quatre sixains dont l’épilogue se c
sont dessus. Elles sont suivies de l’épilogue, à la suite duquel se
lit
cette phrase finale : Expliciunt les fables d’Ys
t Esopus. Puis viennent les cinquante fables, à la fin desquelles on
lit
ces mots : Explicit Esopus , et au-dessous cet h
uire n’existait pas encore, et, comme les manuscrits dans lesquels on
lit
Henris sont tout aussi anciens et ne doivent pas
autres qui ont été ajoutés par le relieur. Sur le recto du premier on
lit
: « Ce manuscrit a appartenu au président Fauchet
is feuillets en papier que le relieur a ajoutés en tête du volume, on
lit
cette mention, qui paraît y avoir été inscrite pa
. Pierre, Se hui mes la vos voi bouter, Ge vos ferai ia acouter En ce
lit
, et si vos foutray ; Ia autre amende n’en prendra
. Et li prestres tantost la prist Entre ses bras et si la porte En un
lit
, et euure la porte De l’abitacion a l’ome. Si ram
56 ro. Le copiste suit le dialecte du nord de la France. » Quand on
lit
ces lignes, on comprend que, contrairement à l’af
fable lxxxix, qui dans le manuscrit est la quatre-vingt-troisième, on
lit
ce distique léonin écrit, sans doute par quelque
gracias. Amen. Au haut de la deuxième colonne du feuillet 49 a, on
lit
ce commencement d’ex libris, écrit en très gros c
emier, c’est qu’il les aura prises dans le second. Or, voici ce qu’on
lit
dans les trois textes : Romulus primitif : In c
t pas dans le Romulus de Nilant. C’est ainsi que, dans ce Romulus, on
lit
les mots conscendit altam arborem évidemment empr
et et en dehors de la première ligne de chacune des deux colonnes, on
lit
: Ave Maria. N’étant que la copie du manuscrit
ivé de 136 fables, y remplace la dédicace de Romulus à son fils. On y
lit
ces phrases : Liber igitur iste primo græce consc
du commencement du xive siècle. Sur le recto du premier feuillet on
lit
l’ex libris suivant, écrit sans doute par un des
mbreuses vicissitudes. Sur la face intérieure du premier des plats on
lit
: Iste liber pertinet domino Petro zum Raben. À
a de Esopo , l’autre : Incipiunt capitula de Auiano. Finalement se
lit
cet usuel hexamètre léonin qui a été souvent sign
par cette souscription : Explicit registrum fabularum Esopi , qui se
lit
vers le haut de la première colonne du feuillet 3
ittéralement traduit. En effet, dans le prologue du Dérivé complet on
lit
: « Liber… iste primo grece conscriptus est ab Es
Rat ne sont pas explicitement reproduits. Voici au contraire ce qu’on
lit
dans le Romulus de Nilant : Cui Rana, callide res
s, fit imprimer par Pierre Didot son interprétation, dans laquelle on
lit
: « J’en ai plusieurs (sujets) qui ont rapport à
. Lipsiæ, in ædibus B. G. Teubneri, MDCCCLXXV, in-8º. À la page 16 on
lit
ce qui suit : Itaque sic habeto : fuit corpus quo
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