ndant la lecture de l’âne ; aussi lui dit-il : « Descends de quelques
lignes
, très cher ; peut-être trouveras-tu dans la suite
combattre les bêtes fauves. Un jour qu’il en vit beaucoup rangées en
ligne
, il brisa le collier de son cou et s’enfuit par l
es Escrivains mercenaires, pour se faire vendre bien cherement quatre
lignes
de loüange ; Que si quelques-uns d’entr’eux ne le
ar suite manquent des fragments de mots, des mots entiers et même des
lignes
. Cet accident n’empêche pas de reconnaître dans c
ers mots de la fable précédente, et, par conséquent, ne commencent la
ligne
que si la dernière ligne de la fable précédente e
édente, et, par conséquent, ne commencent la ligne que si la dernière
ligne
de la fable précédente est entièrement remplie. Q
ent remplie. Quant au corps de la fable, il commence toujours avec la
ligne
, et sa première lettre, qui est, comme nous l’avo
age. M. Pithou en fait la remarque, et il indique ces lacunes par des
lignes
ponctuées.” « Pithou, ainsi que les autres savant
variations du manuscrit (vetustissimi codicis scriptura). Ainsi, ces
lignes
ponctuées n’indiquent nullement des lacunes obser
restait à copier. Il a même laissé en blanc la fin des deux dernières
lignes
de l’avant-dernière fable et la fin de la dernièr
x dernières lignes de l’avant-dernière fable et la fin de la dernière
ligne
de la dernière fable ; ce qui n’a lieu nulle part
siècle, au plus tard du commencement du ixe . J’ai copié, monsieur,
ligne
par ligne et le moins mal qu’il m’a été possible
au plus tard du commencement du ixe . J’ai copié, monsieur, ligne par
ligne
et le moins mal qu’il m’a été possible ; j’ai con
mots Et vindicabit, qui commençaient la seconde, étaient sur la même
ligne
que les mots Mutatus statim qui terminaient la pr
derniers vers d’une autre fable, dont le premier mot est sur la même
ligne
que les derniers de la précédente. Il en est de m
omme de la prose. Dom Vincent, en voyant dans l’édition de Pithou une
ligne
consacrée à chaque vers, avait naturellement supp
image qui rende ma pensée, ou bien ils descendent l’un de l’autre en
ligne
directe, ou bien ils descendent d’une souche comm
utre en ligne directe, ou bien ils descendent d’une souche commune en
ligne
collatérale. Laquelle de ces deux hypothèses est
line vers la première. J’ai expliqué que dans l’un et dans l’autre la
ligne
ne se terminait pas à la fin de chaque vers, et q
lu ménager l’espace et pour cela a fait toute sa copie sans rompre la
ligne
, et le second, s’étant servi de cette copie, ne s
c’est que, dans le manuscrit de P. Daniel, chaque vers occupe seul la
ligne
où il est écrit. Or ce manuscrit, qui paraît être
les avait eus sous les yeux, il n’aurait pas manqué de consacrer une
ligne
entière à chacun des ïambes. Le savant philologue
tion dont M. l’abbé Maï pourrait peut-être donner la solution. » Ces
lignes
étaient écrites depuis quelques mois à peine, que
super tractatum suum de musica. Le préambule se compose de quelques
lignes
; puis vient le traité lui-même précédé de cet au
enant seulement les 21 premières fables du IIe livre139. » À lire ces
lignes
, on croirait que le manuscrit n’existait plus. Co
n aux fables d’Ésope et non à celles de Phèdre. Il suffit de lire les
lignes
qui précèdent pour voir qu’il déclare prendre Éso
gnans, qui, dans le manuscrit de Pithou, se terminent au milieu d’une
ligne
achevée par le premier des trois derniers d’une f
suis quin potius vivere malle. » J’ai divisé la prose en autant de
lignes
qu’il y a de vers imités, et l’imitation était te
s ensemble par diverses mains du xe siècle, de sorte que sur la même
ligne
, sans épigraphe ni disjonction, une œuvre nouvell
opus, etc. C’est la dédicace de Romulus, qui occupe les six premières
lignes
de la page. La septième ligne commence par ces mo
Romulus, qui occupe les six premières lignes de la page. La septième
ligne
commence par ces mots, qui, dans le texte du prem
Main, Verlag von Johann David Sauerländer, 1876 (Voyez, page 100, les
lignes
relatives au manuscrit Woss. in-8º 15, dans l’art
titres sont écrites à l’encre rouge, et occupent une hauteur de trois
lignes
, excepté dans les titres où, quoique toujours en
tre A, et dont les autres sont numérotés de 1 à 123. Chaque page a 27
lignes
, excepté quand il a été laissé entre les fables,
té laissé entre les fables, ce qui est fréquent, un espace blanc de 5
lignes
et même davantage. La couverture du livre se dist
ner un sens à ce qui était incohérent, a quelquefois métamorphosé des
lignes
entières. À cet égard il appelle l’attention sur
upée par le prologue transcrit par Tross. Il se termine à la première
ligne
du verso du même feuillet. La même ligne est comp
Il se termine à la première ligne du verso du même feuillet. La même
ligne
est complétée par ce titre à l’encre rouge : Inc
i écrits avec la même encre en grosses capitales occupent la dernière
ligne
de la page. Fol. 116 a. — Table des 55 chapitres
urg, et, pour faciliter les rapprochements, je la divise en autant de
lignes
qu’il existe de vers dans l’œuvre de Phèdre. La v
tre fournis par toutes les collections de fables latines ; mais, deux
lignes
plus loin, c’est à sa seule imagination que, dans
Tyberium filium suum, in Latinum venit. Le prologue qui contient ces
lignes
paraît avoir été en grande faveur au moyen âge ;
te du manuscrit Burnéien et divisée, comme précédemment, en autant de
lignes
qu’il existe de vers dans le texte antique : Ne
en vélin et appartiennent au xiiie siècle. L’écriture est à longues
lignes
, sauf sur les feuillets 115 a à 128 b, où elle es
caractères gothiques de grosse dimension, de sorte que le nombre des
lignes
de chaque page descend jusqu’à trente et un, est
uli sancti Chry|sogoni presbiterum Cardinalem. Ce titre occupe trois
lignes
et le point précis où, d’après mes notes, chacune
de moins que dans les éditions de Sorg. Il y a dans la vie d’Ésope 42
lignes
à la page. Fol. 21 a (c. vii a). — Registrum fab
i suit cette table a été, comme la table elle-même, imprimé à longues
lignes
avec des caractères gothiques plus petits que ceu
in-folio de 114 feuillets, imprimée, comme les précédentes, à longues
lignes
, en caractères gothiques, sans lieu ni date et sa
peu plus grande, et par suite, tandis que la seconde n’a que 41 ou 42
lignes
par page, on en compte jusqu’à 44 dans la premièr
erum Cardinalem. Les hachures, qui dans ce titre marquent la fin des
lignes
, fournissent un nouveau moyen de distinguer cette
sion de Günther Zainer forme un volume in-fol. de 167 feuillets de 36
lignes
à la page, sans lieu, date, ni nom d’imprimeur, e
raduites du latin par le docteur Henri Steinhöwel, etc. » Fol. 34 a,
ligne
13. — La vie d’Ésope se termine par ces mots : t
nu du volume, dont les matières se terminent, sans souscription, à la
ligne
23 du feuillet 167 a. Pour ceux qui voudront fai
monseigneur Antoine du titre de Saint-Chrysogone, etc. » Fol. 34 b,
ligne
9. — Was mit söllichem tod auch vergan | finis
le nº 334, forme un volume in-fol. de 115 feuillets, qui a de 43 à 44
lignes
à la page, qui est imprimé en caractères gothique
uillets, imprimé en caractères gothiques, disposé en pages de 34 à 36
lignes
et illustré de gravures sur bois. Des 151 feuille
iste Ésope. » Fol. 32 a, portant la signature e.iiij et le nº 1. Aux
lignes
11 et 12 on lit : Hie hat ein ende das lesen (si
es liures de romule. Suit la table des matières. Fol. 51 a dernière
ligne
à 55 b. — Dix-sept fables accompagnées de 8 gravu
ort précieuse imprimée en caractères d’une forme grossière, à longues
lignes
, au nombre de 41 dans les pages qui sont entières
e trouve au verso du sixième feuillet du cahier o, et qui occupe sept
lignes
: Cy finissent les subtilles fables de Esope tra
ition forme un volume in-4º imprimé en caractères gothiques à longues
lignes
et composé de 77 feuillets non chiffrés, mais sig
’après Brunet349, un volume de 77 ff. non chiffrés, imprimé à longues
lignes
au nombre de 39 sur les pages pleines, avec des s
e351 en donne la description suivante : « Cette édition est à longues
lignes
, sans titres, mais avec des signatures dont la de
e 70 feuillets réimprimés en lettres gothiques, à deux colonnes de 40
lignes
, illustrés de gravures sur bois et signés de A à
e in-fol. de 112 feuillets, imprimé en caractères gothiques à longues
lignes
de 40 à la page, non chiffré, mais pourvu de sign
, dont les 116 feuillets en vélin portent, à raison de cinquante-deux
lignes
sur chaque face, une écriture à deux colonnes. Ce
m naturale. Un volume du grand format in-folio, à 2 colonnes de 66
lignes
chacune sans gardes, signatures ni pages numéroté
sont consacrés à la table et le neuvième commence par cette première
ligne
du livre XIX : ij. De opere sexte diei. Et primo
La première colonne du verso du dernier feuillet ne renferme que 27
lignes
, dont la dernière, terminant l’ouvrage, est ainsi
ctrinale. Un volume du grand format in-folio à deux colonnes de 67
lignes
par page sans gardes, signatures ni pagination. L
ne à la deuxième colonne du recto du dernier feuillet, qui n’a que 60
lignes
, par celle-ci : in quo et agnus ābulet et elepha
a imprimé une autre, qui a, comme la précédente, 400 feuillets et 67
lignes
à la page, mais qui s’en distingue par plusieurs
ons. Pour n’en citer qu’un exemple, je ferai observer que la dernière
ligne
est ainsi conçue : & altus in quo et agnus a
re édition. Un volume in-folio de 474 feuillets à 2 colonnes de 62
lignes
chaque. Il est imprimé en lettres rondes. Il comp
vrage se termine au verso de l’avant-dernier feuillet, qui n’a que 14
lignes
, par celle-ci : secula benedictus deus. Le dern
e de l’avant-dernier feuillet est terminée par une souscription en 13
lignes
, dont voici la fin : Impressumqӡ ī inclyta vrbe
ette édition, inconnue à Daunou, comprend 4 vol. in-fº à 2 col. de 67
lignes
, imprimés avec les mêmes caractères que les deux
crés à la table des matières, et dont le troisième commence par cette
ligne
: Speculum historiale Vincentii Beluacensis fra.
du tome II, la deuxième colonne du recto qui ne se compose que de 13
lignes
, se termine par celle-ci : Explicit scd’a pars s
dernier feuillet est terminé à la deuxième colonne du verso par cette
ligne
: ordinis predicatorum explicit. Le tome IV re
lum historiale en quatre volumes grand in-folio à deux colonnes de 62
lignes
chacune, imprimés en lettres rondes comme celles
dition formée de trois volumes, grand in-folio, à deux colonnes de 52
lignes
chacune, sans chiffres, réclames ni signatures. C
urale, sans date, ni lieu d’impression, ni nom d’imprimeur. Elle a 69
lignes
à la page, et ne porte ni signatures, ni réclames
ologne une édition in-folio du Speculum morale, à deux colonnes de 56
lignes
, qui ne porte ni signatures, ni réclames, ni pagi
un volume in-fol. composé de 334 feuillets, dont l’écriture à longues
lignes
est du xve siècle, et contient divers ouvrages d
manuscrit de la bibliothèque Grenville, il ne faut pas lire bien des
lignes
pour comprendre que le glossateur, qui probableme
gloria Christo. Une main moins ancienne avait écrit au-dessous deux
lignes
, dans lesquelles se trouvait le nom d’un des prop
mencement du xiiie siècle ; les pages les plus remplies n’ont que 27
lignes
et ne sont écrites que sur une seule colonne. Le
e à la marge. Il y a quelques abréviations. La glose est en latin, en
lignes
fort serrées de la même écriture ; le tout est un
feuillets en papier, forme un volume in-fº, dont l’écriture à longues
lignes
est due à un copiste du xve siècle nommé Théodor
ormé de trente-sept feuillets en parchemin, dont l’écriture à longues
lignes
est de la fin du xive siècle ou du commencement
emplissent les vingt et un premiers feuillets et les quatre premières
lignes
du recto du vingt-deuxième feuillet. Elles sont p
le copiste, dans la crainte de manquer de parchemin, avait serré ses
lignes
davantage, et, tout en conservant à son écriture
Les écritures de ces cahiers dues à des mains diverses sont à longues
lignes
. Toutes appartiennent au xive siècle. L’un des c
lix. Au-dessous de ce galimatias dont elle n’est séparée que par une
ligne
blanche, vient cette souscription : Explicit li
gt-quatre feuillets en parchemin, dont l’écriture italienne à longues
lignes
est du xive siècle. Le premier feuillet et le de
parchemin sont au nombre de 99 et dont l’écriture italienne à longues
lignes
est du xive siècle. Il renferme plusieurs ouvrag
liminaires qui occupent le recto du feuillet 59 et les cinq premières
lignes
du verso et qui, différant sensiblement de celles
Domino et : De Pastore et Lupo. Elles se terminent a la huitième
ligne
du verso du dix-neuvième feuillet par ces mots :
on gothique in-4 de 18 feuillets, sous les signatures a-b et à trente
lignes
par pages pleines. Elle a été achevée d’imprimer
n-4º, composé de 92 feuillets et imprimé en caractères gothiques à 40
lignes
à la page, sans indication de lieu, ni de nom d’i
posé de 64 feuillets en parchemin dont l’écriture italienne à longues
lignes
est du xive siècle. Il ne contient que la versio
fin du xive siècle, à deux colonnes sur les 29 premiers et à longues
lignes
sur les autres. Les quarante-six fables ésopique
ose de 68 feuillets en parchemin, dont l’écriture italienne à longues
lignes
est du xve siècle. Il est tout entier rempli par
mposé de 98 feuillets chiffrés en parchemin dont l’écriture à longues
lignes
est du xve siècle. Le premier des ouvrages qu’il
ttres rondes. Elle forme un volume in-fol. de petit format, à longues
lignes
, remarquable non seulement par la pureté des cara
ière, elle consiste dans un volume in-fol. de petit format, à longues
lignes
, fort remarquable non seulement par la pureté des
premiers feuillets. Le titre de chaque fable est en marge sur la même
ligne
que le dernier vers de la fable précédente. Il es
te du recto du feuillet 40, dont elles n’occupent que les 6 premières
lignes
. § 2. — Manuscrit Digbéien nº 172. Des
Le copiste suit le dialecte du nord de la France. » Quand on lit ces
lignes
, on comprend que, contrairement à l’affirmation d
version en prose du texte d’Avianus, qui finissent à l’antépénultième
ligne
de la deuxième colonne du feuillet 159 b et sont
Tout au haut du recto du premier feuillet et en dehors de la première
ligne
de chacune des deux colonnes, on lit : Ave Maria
̱log9 sup̱ libm de naturis rer/. L’ouvrage se termine à la septième
ligne
de la première colonne du feuillet 184 a (en réal
xve siècle tirées de ces manuscrits, et dont j’ai déjà cité quelques
lignes
à la page 294. Il fait honneur du texte latin des
ont en parchemin et les autres en papier et dont l’écriture à longues
lignes
est du commencement du xive siècle. Sur le recto
ormat, dont les feuillets sont en papier et dont l’écriture à longues
lignes
paraît être de la fin du xive siècle. Il renferm
de cinquante et un feuillets en parchemin, dont l’écriture à longues
lignes
est des xie et xiie siècles. Il ne renferme que