oint commander mal à propos ». Apres qu’il eust donc achepté quelques
langues
de Pourceau, et qu’il les eust apprestées pour se
a fort propre à des Philosophes ; pource que c’est par le moyen de la
langue
qu’on exprime ses pensées. En suite de cela, il l
qu’on exprime ses pensées. En suite de cela, il les servit encore de
langues
boüillies ; Et combien qu’ils luy demandassent qu
? » luy dirent-ils, « ne cesseras-tu d’aujourd’huy de nous donner des
langues
? Ne vois-tu pas que nous avons écorché les nostr
oicy. Mais je voudrois bien sçavoir, s’il y a rien de meilleur que la
Langue
, en ceste vie mortelle : Nenny, sans doute, puis
maintient : par où l’on peut voir qu’il n’y a rien de meilleur que la
langue
». Ces raisonnements d’Esope furent approuvez par
Du second service de
Langues
. Chapitre XV. Le lendemain, les Disciples de Xa
ché, et sans rien changer de mets precedents, il achepta derechef des
langues
, les fit cuire, et les servit sur la table. Les C
rerent, se disans les uns aux autres : « Quoy ? voicy donc encore des
langues
qu’on nous presente ? » Mais sans s’arrester à le
on Maistre », respondit Esope, « y a-t’il rien de plus mauvais que la
langue
? n’est-ce point elle qui démolit les citez ? ell
’ayant aperçu lui adressa ces railleuses paroles : « Comment avec une
langue
si tendre et si molle peux-tu mâcher et manger un
her et manger un mets si dur ? » Cette fable s’adresse à ceux dont la
langue
profère des propos durs et dangereux.
en outre comment Térée lui avait fait violence et lui avait coupé la
langue
. La corneille repartit : « Que serait-ce, si tu a
pé la langue. La corneille repartit : « Que serait-ce, si tu avais ta
langue
, alors que l’ayant perdue, tu fais tant de commér
geron, se mit à lécher la lime qui s’y trouvait. Or il arriva que, sa
langue
s’usant, il en coula beaucoup de sang ; et elle s
t qu’elle enlevait quelque chose au fer, tant qu’enfin elle perdit la
langue
. Cette fable vise les gens qui, en querellant les
t gloire de se rendre de mauvais offices, jusques là mesme, que de la
langue
ils en viennent souvent aux mains, et tout cela p
.
En toute affaire ils ne font que songer
Aux moyens d’exercer leur
langue
.
Hé, mon amy, tire-moy de danger :
Tu feras apr
us que tout autre peuple les Arabes sont menteurs et trompeurs ; leur
langue
en effet ne connaît pas la vérité. Chambry 11
nd renfort pour Messieurs les Chats.
Que ne sçait point ourdir une
langue
traîtresse
Par sa pernicieuse adresse ?
Des mal
marais égayoit ses esprits. Une Grenoüille approche, et luy dit en sa
langue
: Venez me voir chez moy, je vous feray festin. M
la Fortune se presentoit devant luy, et qu’elle mesme luy deslioit la
langue
, luy donnant non seulement la grace et la facilit
t confus, et ne sçavoit qu’y respondre, pour n’avoir la liberté de la
langue
. Mais enfin comme il apperçeut que des paroles on
s en comparaison. Ces Médisants blâment les défauts d’autruy avec une
langue
qui ne sçait point espargner ; Comme au contraire
e faineant et de lasche, il se mit à l’attaquer à coups de pied et de
langue
. Cependant le pauvre Lion bien affligé, « helas !
cette raison ce pauvre Esclave estranger, à qui je fais parler nostre
langue
, ne fust mal venu aupres de vous. Mais sçachant q
e. Date 1570 Dédicataire Giulio Capra, comte vicentin
Langue
Italien Forme Vers. Toutes les
s anciens qui guident les premiers pas de l’enfant dans l’étude de la
langue
latine, Phèdre est celui qui lui laisse les plus
les noms grecs, qui ont la même désinence, se terminent en er dans la
langue
latine. C’est ainsi que des noms grecs Ἀλέξανδρος
raît pas trouver ici sa place : Phèdre, étant originaire d’un pays de
langue
grecque, n’avait pas besoin, pour porter son nom
ne se serait pas, comme lui, appliqué de bonne heure à l’étude de la
langue
latine, n’aurait pu en faire un si habile usage ?
était plus en bas âge ; il possédait déjà trop bien pour l’oublier la
langue
de son pays natal, et, la possédant, il avait pu
il avait pu dans le palais impérial, en même temps qu’il apprenait la
langue
latine, acquérir aisément une connaissance approf
on origine macédonienne, étant en pleine possession des secrets de la
langue
latine, a mis toute sa dextérité à présenter sous
221 et 222. Le premier de ces deux exemplaires, à raison des notes en
langue
française dont il est pourvu, est plus précieux q
us simple, ni plus touchant, que lui-même dans son testament écrit en
langue
latine neuf ans avant sa mort, le 1er novembre 15
baro, ne représentent qu’un étranger (un Grec) qui s’exprime dans une
langue
étrangère (la latine). Ces mêmes auteurs le croie
parlé, parce que Phèdre, Macédonien d’origine, les a écrites dans la
langue
de son pays. Le genre même qu’il avait adopté mon
Née dans l’Inde, elle.se trouve dans les plus anciens monuments de la
langue
sanscrite. Elle a passé ensuite chez les peuples
rcer : Grec lui-même, il dut être naturellement porté à en adopter la
langue
et la prosodie. Si cela est vrai, comment alors s
style de Térence qui avait vécu deux siècles avant Phèdre, et dont la
langue
ne se parlait plus que dans les écoles ; ces imit
c’est vrai ; mais c’est encore enfant qu’il était arrivé à Rome ; la
langue
romaine était devenue sa langue naturelle, et, co
enfant qu’il était arrivé à Rome ; la langue romaine était devenue sa
langue
naturelle, et, comme ses fables s’adressaient aux
as une raison pour en conclure qu’il avait composé ses fables dans la
langue
de son modèle. Importateur d’un genre nouveau, il
d’un genre nouveau, il avait dû, pour le vulgariser, se servir de la
langue
latine. C’est d’ailleurs ce que dit expressément
s l’ordre qui doit leur être le plus utile (par Depons, professeur de
langues
anciennes à l’école centrale du Puy-de-Dôme). Rio
ia Aldina (1853). In-8º de li-152 pages contenant une dissertation en
langue
italienne sur la Fable et les Fabulistes et le te
texte latin de Phèdre divisé en 3 livres et suivi de longues notes en
langue
italienne. 1854. Phædri Augusti liberti
e d’un appendice contenant des rapprochements littéraires en diverses
langues
par Édouard Malvoisin. Paris, Baltenweck. In-18 d
es en françois, avec le latin à costé. Pour servir à bien entendre la
langue
Latine, et à bien traduire en François. Septième
ites en François avec le Latin à côté. Pour servir à bien entendre la
Langue
Latine, et à bien traduire en François. Cinquième
ites en françois avec le latin à côté. Pour servir à bien entendre la
langue
Latine et à bien traduire en François. A Avignon,
hèdre, avec la traduction interlinéaire par M. Maugard, professeur de
langues
anciennes et modernes. Paris, 1º C. Joyant, 2º Ta
latin dans l’ordre naturel des idées, l’autre conforme au génie de la
langue
française ; précédées du texte pur et accompagnée
e termine par quelques maximes des sept Sages, en partie formulées en
langue
grecque. Fol. v a. — Incipiunt Simphosii enigmata
olumes du xve siècle, renfermant des collections de fables, trois en
langue
allemande et l’un en latin, qui pourraient vous i
date de 1411. L’autre volume contient une série de fables d’Ésope en
langue
latine. « Si, en vous rendant en Suisse, vous vou
t tellement défectueux, et copié avec une si profonde ignorance de la
langue
, qu’il est impossible de songer à l’éditer sans l
tte double circonstance que le copiste était absolument étranger à la
langue
latine, et que le correcteur n’a pas pris la pein
ême, qu’enfin la femme supérieure, nommée Marie de France, qui fit en
langue
française la paraphrase poétique de la version an
n est-il un de plus commun parmi ceux qui entendent et qui parlent la
langue
latine310 ? » Animé d’un esprit plus indépendant
faire servir, dans cet état de transformation, à l’enseignement de la
langue
latine. Puis est survenu un pédagogue maladroit,
rnées de gravures sur bois et suivies une à une de leur traduction en
langue
allemande (fol. 147 b à 187 a). Puis vient leur t
t, comme les précédentes, ornées de gravures sur bois et traduites en
langue
allemande, et qui sont énumérées dans la table su
où la onzième, différant de la dixième, représente Ésope servant des
langues
à son maître ; la douzième est celle d’Ulm renver
u’ils n’y ont pas été importés, ce sont les nombreuses annotations en
langue
anglaise, qui, sur les marges de ces deux dernier
ulement une troisième édition, mais encore deux traductions, l’une en
langue
française, l’autre en langue flamande. Des exempl
, mais encore deux traductions, l’une en langue française, l’autre en
langue
flamande. Des exemplaires de toutes ces éditions
u en France qu’elle se répandait en Angleterre et y était traduite en
langue
anglaise par le fameux imprimeur William Caxton.
C’est un des premiers livres qui aient été imprimés en Angleterre en
langue
anglaise. Il est signé de a à s, et comme les cah
presses de Gouda à Anvers, Gérard Leeu publia une seconde édition en
langue
flamande des fables de Romulus. Elle forme un vol
2º Édition de Henrich Eckert de Homberch de 1498. L’édition en
langue
néerlandaise de Henrich Eckert de Homberch forme
pas à pénétrer en Espagne où elles furent immédiatement traduites en
langue
espagnole. Leur traduction fut, au xve siècle, l
t le Miroir historial. Aussi est-ce lui qui fut traduit le premier en
langue
française. La traduction due à Jean de Vignay en
es de Caxton. Toujours attentif aux grands ouvrages publiés en
langue
française et toujours ardent à les faire traduire
seul été publié en français et en anglais, fut seul aussi traduit en
langue
néerlandaise. Cette version, qui n’est qu’une tra
ui avait sous les yeux un modèle difficile à lire et qui, ignorant la
langue
latine, ne pouvait substituer aux mots illisibles
ne prince profita si bien de ses leçons qu’il apprit non seulement la
langue
latine, mais encore la prosodie de cette langue.
prit non seulement la langue latine, mais encore la prosodie de cette
langue
. En récompense, Walther fut nommé archevêque de P
es au célèbre conteur d’apologues, est accompagné d’une traduction en
langue
romane versifiée, traduction libre, d’une naïveté
s ancienne, présente davantage des expressions rappelant celles de la
langue
latine. « Les expressions, dit M. Delandine443, s
s qui uoille ; Dex, la rousée de ta grace Me done si quele me face La
langue
soiche bien soner Et de vil champ bien moissoner
hilologique qu’il offre à quiconque s’intéresse aux origines de notre
langue
nationale. Dans le premier volume de ma première
t des fautes dues au copiste, qui ne devait avoir aucune notion de la
langue
latine. C’est ainsi qu’au lieu du mot Cervus, par
t démontrent que le copiste ne devait avoir aucune connaissance de la
langue
latine. B. Manuscrit 110. Ce manuscrit form
uère de valeur ; il est l’œuvre d’un copiste qui ne connaissait ni la
langue
, ni la prosodie latines, de sorte que le texte es
te feuillets. Les fables de Walther, accompagnées d’un commentaire en
langue
italienne et illustrées de gravures sur bois très
, mais parce que le paraphraste n’a pas ou possédé ou voulu mettre en
langue
allemande la totalité du texte latin. Voici les n
dinaire, ont, sans le vouloir ou sans le savoir, paraphrasé dans leur
langue
l’œuvre de Walther. Au surplus, en donnant l’anal
8, 99 et les quatre derniers sont blancs. La traduction des fables en
langue
vulgaire commence au feuillet 49, qui portait aut
ignes est du xive siècle. Il ne contient que la version italienne en
langue
vulgaire des fables de Walther par un traducteur
longues lignes sur les autres. Les quarante-six fables ésopiques en
langue
vulgaire qu’il renferme commencent au feuillet 30
e premier des ouvrages qu’il renferme est une traduction italienne en
langue
vulgaire des fables de Walther. Il y a d’abord, e
u verso du feuillet 81. Elles sont suivies d’un opuscule également en
langue
italienne vulgaire, dont la nature est indiquée p
mes récits, apprends que je suis Ésope. J’ai déjà paru en latin et en
langue
vulgaire, mais sous une forme fallacieuse et mens
Prologue latin suivi d’un Sonetto materiale et d’un Sonetto morale en
langue
italienne. Fol. 5 a (a 5 rº) à 96 a (m 8 rº). — F
rouve le titre suivi du texte latin et ensuite d’un double Sonetto en
langue
italienne. Les fables, sous 66 nos, sont au nombr
les mains des écoliers de son pays et à leur faciliter l’étude de la
langue
latine. La seule édition qui en soit connue cons
ne latinité. Si l’on songe à l’état dans lequel était alors tombée la
langue
latine, on comprend que ce qui doit toucher dans
oint capital, c’était de montrer de quelle grande famille d’œuvres de
langues
diverses il avait été le chef. Et l’on va bientôt
oublier que sa traduction a été composée sur une première version en
langue
anglaise que plusieurs critiques, et notamment M.
ulus anglo-latin a, peu de temps après son apparition, été traduit en
langue
anglaise. Mais, comme cette traduction n’a été co
éjà dit qu’elle l’avait faite sur la version anglaise. Connaissant la
langue
latine, elle aurait pu se servir du texte origina
vant en Angleterre, elle devait avoir une connaissance parfaite de la
langue
anglaise, et l’on s’explique dès lors qu’elle ait
i en a extrait beaucoup de choses dans son recueil de l’origine de la
langue
et poésie françoise. Voyez ce qu’il a écrit au ba
ançais et offre un très grand intérêt pour l’étude des origines de la
langue
française. De ces œuvres celle de Marie est la vi
des éléments pour la connaissance des anciens écrits et de l’ancienne
langue
allemande (Magdebourg, 1836) et qui a été enfin p
ropagé au dehors. Ce Romulus, composé en Angleterre, y fut traduit en
langue
anglaise, et c’est dans ce pays que Marie de Fran
ui, à la rigueur, ne seraient pas incompatibles avec le respect de la
langue
, ne sont pas rachetés par cette qualité. Les fabl
autes qui démontrent que le copiste n’avait aucune connaissance de la
langue
latine, et que, sans la comprendre, il copiait l’
ndre hommage, il m’a été communiqué par M. S. S. Lewis, professeur de
langues
grecque et latine au collège du Corpus Christi, d
es en François, avec le Latin à costé. Pour servir à bien entendre la
langue
Latine et à bien traduire en François. À Paris, c
ils en adjoustent un autre d’un Elephant Indien, qui avoit appris la
langue
des Portugais, un peu apres la conqueste de Goa.
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