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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapitre XXI. »
Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre av
et des Philosophes, commanda à Esope de se tenir à la porte, et de ne laisser entrer que les Doctes. L’heure du disner estant d
n Maistre », luy dit Esope, « ne m’as-tu point commandé exprés, de ne laisser venir à ton Festin des gents du commun, et des ig
t donc pris pour des Ignorants, je leur ay deffendu la porte, et n’ay laissé entrer que celuy-cy, qui a fort bien respondu ».
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — IX. Le Laboureur et ses enfans. » p. 42
témoins. Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l’heritage Que nous ont laissé nos parens. Un tresor est caché dedans. Je ne sça
ostre champ dés qu’on aura fait l’Oust. Creusez, foüillez, bêchez, ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse. Le pe
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIX. De la Fourmy, et de la Colombe. »
ort, rompit incontinent avecque son bec un rameau de l’arbre, qu’elle laissa cheoir dans la fontaine ; et ainsi la Fourmy qui
rmy, elle le mordit au pied de sorte que l’Oyseleur fût contrainct de laisser aller ses gluaux, surpris par la douleur que luy
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — III. Le Loup devenu Berger. » p. 451
tte. 
La pluspart des Brebis dormoient pareillement.
 L’hypocrite les laissa faire :
 Et pour pouvoir mener vers son fort les
ût ny fuïr ny se défendre.

 Toûjours par quelque endroit fourbes se laissent prendre.
 Quiconque est Loup, agisse en Loup ;
 C
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Partement d’Esope, et son arrivée en Lydie. Chapitre XXIV. »
. Ce qu’elle n’eust pas plustost dit, que celuy qui l’avoit prise, la laissa aller sans luy faire mal. Je t’en dis de mesme, ô
a Esope, « toute la priere que j’ay à te faire, c’est qu’il te plaise laisser en paix les Samiens ». « Je le veux », dit le Roy
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XXI. La jeune Veuve. » p. 
ait seul le voyage. La Belle avoit un pere homme prudent et sage : Il laissa le torrent couler. A la fin, pour la consoler, Ma
it-elle aussi-tost, Un Cloître est l’époux qu’il me faut. Le pere luy laissa digerer sa disgrace. Un mois de la sorte se passe
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 207 » pp. 150-150
le manger, quand le rat le pria de le relâcher, promettant, s’il lui laissait la vie, de le payer de retour. Le lion se mit à r
i laissait la vie, de le payer de retour. Le lion se mit à rire et le laissa aller. Or il arriva que peu de temps après il dut
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du Pays, et de la condition d’Esope. Chapitre J . »
choses du monde, et leurs naturelles revolutions, affin d’en pouvoir laisser quelque memoire à la posterité. Mais comme il n’e
prit, il a de beaucoup surpassé la plus part de ces gens-là, et les a laissé bien loing apres luy. Car il nous fait voir par e
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
emps, joüer le rolle d’un Prince genereux, mais trop confiant, qui se laisse decevoir aux conseils d’autruy ; et nous la voyon
, il est à croire, qu’il prendra nos excuses en meilleure part, et se laissera peu à peu gagner aux raisons que nous aurions euë
pable d’excuse, c’est à quoy ils ne se cognoissent point, mais ils se laissent emporter aux plaintes, et aux paroles outrageuses
era non plus d’excuse avecque nous, puis qu’elle devoit non seulement laisser perir ses petits, mais encore mourir elle mesme d
le, et prit prisonnier son mortel Ennemy, auquel encore qu’il voulust laisser la vie, selon son ordinaire generosité, si luy fu
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
soit avec quelque dépendance, voire mesme avecque plusieurs. Car pour laisser à part les justes et agreables submissions que no
u’il fust Dieu, et le plus parfaict des hommes tout ensemble, n’a pas laissé de déferer au Commandement des Puissances terrien
pas digne d’un bien, ou d’un privilege par dessus les autres, qui le laisse perir, ou diminuër par sa propre faute, d’autant
serve ; si bien que par consequent c’est une espece de démerite de la laisser descheoir ou avilir par sa nonchalance. A ceste o
autant qu’il luy est possible celuy qui s’asservit, à cause qu’il se laisse guider par la volonté d’autruy, et perd en beauco
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
stion à la fin de decreter tout le bien pour quelques haillons, et de laisser aller un heritage assez raisonnable entre les mai
et servons inconsiderément de soufflet à leurs vanitez. Il faut donc laisser bien loing telles frequentations, et se dégager d
leur intelligence ; Et comme en matiere d’opinions, il ne faut pas se laisser charmer aux specieuses maximes, mais rechercher l
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VIII. Le Vieillard et l’Asne. » p. 476
Et que m’importe donc, dit l’Asne, à qui je sois ? Sauvez-vous, et me laissez paistre : Nôtre ennemi c’est nôtre Maistre, Je vo
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 8 » pp. 4-4
r lui et le lia. Se voyant près de mourir, le rossignol le pria de le laisser aller, alléguant qu’il n’était pas capable de rem
ceux-là sont déraisonnables qui dans l’espérance de plus grands biens laissent échapper ceux qu’ils ont dans la main. Chambr
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 233 » p. 349
ais-toi : l’éclat des astres ne s’éclipse jamais. » Il ne faut pas se laisser aveugler par l’orgueil, quand on est en réputatio
15 (1180) Fables « Marie de France, n° 21. Le loup et la truie » p. 547
deivent oïr tutes femmes e retenir, que [tut] pur sulement mentir ne laissent lur enfanz perir !
16 (1180) Fables « Marie de France, n° 92. Le corbeau et son petit » p. 679
ns rien manïer, [me] dei jeo dunc[es] remüer ? » Li corps respunt : «  Laisse m’ester ! Vole par tei, si te haïe ! Ore sui sanz
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
qui aigrist et aggrava leur peché ? Mais je ne m’apperçois pas que je laisse ma Fable en arriere, pour suyvre des mysteres rel
oir de la naissance, ils avoient toutes sortes d’obligations. Mais je laisse en arriere tous ces exemples, pour alleguer seule
Perfide, qu’il avoit comme enchanté des promesses de son heritage, ne laissa pas de luy tendre un piege mortel, et de le traic
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 287 » p. 192
par toi la première le cours de leurs méfaits. » La perversité ne se laisse pas apprivoiser, même à force de bienfaits.
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — IX. Le Rat de Ville, et le Rat des Champs. » p. 352
d’Ortolans.

 Sur un Tapis de Turquie
 Le couvert se trouva mis. 
Je laisse à penser la vie
 Que firent ces deux amis.

 Le
20 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VII. La Lice et sa Compagne. » p. 480
ut que l’on en vienne aux coups ; Il faut plaider, il faut combattre. Laissez -leur prendre un pied chez vous, Ils en auront bie
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 231 » pp. 159-159
sura, en lui promettant, si elle lui tenait trois propos vrais, de la laisser aller. Alors la brebis commença par lui dire qu’e
us faites méchamment la guerre ! » Le loup reconnut sa véracité et la laissa partir. Cette fable montre que souvent la vérité
22 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 124 » pp. 312-312
. Cod. Ba 44. Zeus ayant enfermé tous les biens dans un tonneau, le laissa entre les mains d’un homme. Cet homme, qui était
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — V. Le Renard ayant la queuë coupée. » p. 17
Par grand hazard en estant échapé, Non pas franc, car pour gage il y laissa sa queuë : S’estant, dis-je, sauvé sans queuë et
24 (1180) Fables « Marie de France, n° 33. Le voleur et les brebis » p. 575
ent e cunseilerent que ne se veulent pas defendre ; pur dreit’ ire se laissent prendre, ne ja ne se desturnerunt, ne pur murir m
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
es deux estoit obligé de visiter la maison de son ancien hoste, et de laisser son amy dans une hostellerie. En suitte dequoy il
pour avoir l’or et l’argent que son hoste portoit pour son voyage. Je laisse à lire dans Valere le grand, les trois apparition
en abondance, aux despens de leur peine, et de leur sang mesme. Mais laissons pour le present ces monstrueux exemples d’Avarice
D’ailleurs, quelque violence qu’il y ait en leurs affections, ils ne laissent pas de contempler quelquesfois les merveilles de
cause d’elle-mesme, et non pour l’amour de la Gloire, tellement qu’il laissa depuis le bien apparent pour le solide. Voylà jus
Y a-t’il rien de plus étourdy que de prendre un soing inutile, et de laisser la necessaire ? A cela l’on peut objecter, qu’un
ire ? A cela l’on peut objecter, qu’un Pere vertueux est bien aise de laisser ses enfans riches, affin qu’ils ne souffrent rien
re plusieurs exemples de Vertu avec une petite succession, que de les laisser riches avecque peu de Vertu ? N’arrive-t’il pas d
déreglée ? Ce qui n’adviendroit jamais si leurs Peres ne leur avoient laissé des biens qu’à suffisance. En tel cas, ils ne tro
oup, tellement que de ce costé là nous ne luy ferons point tort de le laisser moins riche, puis qu’il pourra vivre en ceste con
les nostres heritiers des choses solides et vertueuses ? Que ne leur laissons -nous la Sagesse et la Science ? que n’appellons-n
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 18 » p. 301
en colère contre cet homme à qui tu parais belle. » Il ne faut pas se laisser aveugler par l’orgueil, quand on s’enrichit par d
27 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — V. L’Asne et le petit Chien. » p. 91
Ont le don d’agréer infus avec la vie. C’est un point qu’il leur faut laisser  ; Et ne pas ressembler à l’Asne de la Fable, Qui,
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
u’il est bon d’user de clemence envers eux ; ce qu’il ne faudroit pas laisser de faire, quand mesme on n’en devroit esperer auc
quand mesme elle ne seroit suivie d’aucun avantage temporel, nous ne laisserions pas d’estre obligez à la pratiquer, en considerat
vie, et ne soit suyvie d’une bonne fin pour les mener en l’autre. Je laisse à part les Histoires, qui démonstrent la recognoi
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 187 » pp. 332-332
énoncer ta méchanceté cachée. » Les manières glorieuses des fanfarons laissent voir visiblement leur méchanceté secrète. Cha
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 359 » p. 273
hasard d’être prise entre leurs mains. » Les fanfarons de paroles se laissent confondre même par un homme simple.
31 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIX. L’Enfant et le Maistre d’Ecole. » p. 211
D’un certain sot la remontrance vaine.
 Un jeune enfant dans l’eau se laissa choir,
 En badinant sur les bords de la Seine.
 L
32 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VII. L’Yvrogne et sa femme. » p. 246
leurs écus.
 Un jour que celui-cy plein du jus de la treille,
 Avoit laissé ses sens au fond d’une bouteille,
 Sa femme l’enf
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
d, au contraire de celles, que la terre produict de soy-mesme, qui ne laissent pas d’estre plustost advancées, encore qu’on n’y
a Providence Divine, est l’ordinaire solution, que donnent les Sages. Laisse moy donc respondre à cét homme, et je le contente
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
s, sans le genereux secours de celuy-là mesme qu’il avoit offensé. Je laisse à part les Histoires de Pyrrhus, du mesme Annibal
’abandonnent pour une ombre, qui s’eschappe en un instant de nous, et laisse au poinct de la mort tous ceux qui l’ont pour suy
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
ra en bas, pour en attendre l’issuë, qui fut telle, que l’Aigle ayant laissé cheoir sa proye, la coquille se rompit : ce que v
ns le monde ! Combien d’ames, que leur probité rend trop credules, se laissent piper aux persuasions d’autruy, et n’employent le
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
ieux envers les petits. Que si pour toutes ces raisons les foibles ne laissent point d’estre en butte à la persecution des plus
representer la courte durée de nos jours, la justice de Dieu, qui ne laisse rien sans payement, l’égalité des conditions dans
37 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 113 » pp. 309-309
sait d’un chargement précieux, pillèrent le contenu du chariot, et ne laissèrent pas le dieu aller chez d’autres peuples. Plus que
38 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 205 » p. 148
ormi, allait le dévorer ; mais entre temps il vit passer un cerf : il laissa le lièvre et donna la chasse au cerf. Or le lièvr
39 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 226 » p. 154
p, y trouva de l’orge ; mais ne pouvant en faire sa nourriture, il la laissa et s’en alla. Il rencontra un cheval et l’amena d
40 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 271 » p. 191
l’âne, si’l lui promettait la sûreté. Le lion ayant déclaré qu’il le laisserait aller, le renard amena l’âne dans un piège où il
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVII. Du Renard, et du Loup. »
il. « Pauvre malheureux ! », luy respondit le Loup, « comment t’es-tu laissé choir ? » « Ce n’est pas maintenant le temps de j
42 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — II. Le Berger et la Mer. » p. 207
es bestes à laine ; Et comme un jour les vents retenant leur haleine, Laissoient paisiblement aborder les vaisseaux ; Vous voulez
43 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 57 » p. 311
re des ailes ; mais que l’homme resta nu et dit : « Moi seul, tu m’as laissé sans faveur. » Zeus répondit : « Tu ne prends pas
44 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 167 » pp. 323-323
danger, il oublia sa promesse. Pris de nouveau, à un autre piège, il laissa Apollon pour s’adresser à Hermès, à qui il promit
45 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 230 » p. 234
emi aux aguets ; et comme il avait besoin de se rendre à la ville, il laissa ses moutons près du loup et partit. Le loup, pens
46 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — V. Le Renard et le Bouc. » p. 9
quant à moy
 Trouvé ce secret, je l’avouë.
 Le Renard sort du puits, laisse son compagnon,
 Et vous luy fait un beau sermon

47 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — X. Le Lievre et la Tortuë. » p. 226
te pour brouter, Pour dormir, et pour écouter D’où vient le vent ; il laisse la Tortuë Aller son train de Senateur. Elle part,
48 (1180) Fables « Marie de France, n° 87. Les deux loups » p. 676
eo distrent. Ceo veit hum suvent del felun, ki a mut petit d’acheisun laisse le bien qu[e]’il comence ; s[i]’il ne veit en sa
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
, et plus difficile à rencontrer : si est-ce qu’en chaque sujet il ne laisse pas d’y avoir un prix veritable ; que nous y mett
t point, et il en neglige l’occasion avec tant de brutalité, qu’il ne laisse pas seulement naistre en soy-mesme le desir de la
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
mbent laschement sous l’effort de celuy qu’ils ont mal traicté, et se laissent battre sans deffence. Or de ces gens là il y en a
hoquerois plusieurs Fascheux, qui s’interesseroient dans ceste cause. Laissons -les donc joüyr à leur aise de la fausse gloire qu
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
que ceste Engeance de Poltrons soit toute embrasee de hayne, elle ne laisse pas toutesfois d’estre glacée de crainte ; Que si
ue s’ils leur respondent, c’est en termes pleins de froideur, sans se laisser emporter à la passion ; Ce que remarque fort bien
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
ard pour leur Juge. La Tortuë partit en mesme temps, et le Liévre luy laissa prendre tel advantage qu’elle voulut, s’imaginant
nne opinion qu’ils ont ordinairement de leur Vertu pretenduë. Mais je laisse à part ces explications, pour m’attacher à la plu
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
s toutes ses forces naturelles contre un petit object, voire mesme le laisse aller bien souvent sans le toucher, pource qu’une
faut finir, apres avoir exhorté tous les hommes vindicatifs de ne se laisser jamais porter à leur passion contre les foibles,
t de ne s’arrester point à leurs injures, non plus que les chevaux ne laissent pas de passer outre pour l’aboy des petits chiens
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
perance qu’il luy donna d’y tirer plus de gain de ses Esclaves, il se laissa vaincre à ses persuasions, et se mit sur mer. Y e
pagnons se sont vantez de sçavoir tout, et qu’ainsi ils ne m’ont rien laissé de reste ». Ces subtilitez d’Esope plurent si for
y lequel des deux te semblera le meilleur, ou de m’achepter, ou de me laisser  : Nul ne fait rien par la force : c’est une chose
sembles n’estre icy venu que pour dépriser ma marchandise. Car tu as laissé ces deux jeunes garçons, qui estoient fort propre
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVIII. Des Taureaux, et du Lion. »
presente, et s’imaginent n’en avoir pas esté suffisamment instruicts. Laissons doncques en arriere une verité si manifeste, apre
56 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — VIII. Le Cheval et le Loup. » p. 187
rigueurs de l’Hyver, Apperceut un Cheval qu’on avoit mis au vert. Je laisse à penser quelle joye. Bonne chasse, dit-il, qui l
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
onneur, et à s’approcher peu à peu de luy. Mais en fin, toute crainte laissée à part, elles s’apprivoiserent si bien, que ce fu
onnée à ceux du premier âge, ne furent-ils pas bien mal-heureux de la laisser perdre, pour la seule dispute du tien et du mien,
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
ordure : et ainsi ne se souvenant plus des œufs de son Oyseau, il les laissa choir en bas, et les cassa. Depuis, comme il eust
mple soit moindre qu’il ne luy appartient. Car asseurez-vous qu’il ne laissera jamais impunie l’impieté des meschants ». Esope t
aux Delphiens, qui luy témoignoient de s’en soucier si peu, qu’ils ne laissoient pas pour cela de le mener au supplice. Voyant don
59 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 67 » pp. 69-69
elle y jouirait d’une vie meilleure et plus sûre. Mais celle-ci ne se laissa point persuader ; il lui serait pénible, disait-e
60 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — III. Phœbus et Borée. » p. 46
dégarny les épaules Du Cavalier que nous voyons. Commencez : Je vous laisse obscurcir mes rayons. Il n’en falut pas plus. Not
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
es discours ; « Mon amy », luy dit-il, « je ne suis pas d’advis de me laisser échapper des mains une proye asseurée, quelque pe
vantageux qu’il puisse estre. Le Soldat le plus ambitieux du monde ne laissera pas en arriere une charge de Capitaine, qui luy t
u meilleur, et qui pour embrasser la certitude des choses éternelles, laisse le soing des perissables. Que si quelques uns le
ela est, qui peut dire que la gloire soit infaillible à la vertu ? Je laisse à part la malice des Calomniateurs, les brigues e
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
; par où il nous est enseigné, que la pluspart du temps les hommes se laissent conduire ou par l’apetit irascible, ou par le Con
bestes irraisonnables et en pierres mesme, toutes les fois qu’ils se laissent emporter à leurs passions brutales, et qu’insensi
estre de complexion plus amoureuse que ne sont les autres hommes. Je laisse à part plusieurs autres fictions de ceste nature,
63 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 45 » pp. 32-32
acha. Mais là il aperçut un dragon qui montait vers lui ; alors il se laissa choir dans le fleuve ; mais dans le fleuve un cro
64 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 130 » pp. 316-316
rère ; cet objet, c’est l’esprit de dispute et de querelle ; si on le laisse tranquille, il reste tel qu’il était d’abord ; si
65 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 236 » pp. 72-72
maltraitèrent terriblement. « Méchantes bêtes, leur dit-il, vous avez laissé partir impunément celui qui a volé vos rayons, et
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope découvre le derriere de sa Maistresse. Chapitre XX. »
e son derriere avoit des yeux, il le luy découvrit à l’instant, et la laissa reposer. Xanthus survint en mesme temps avecque s
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — En quel temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. »
re XXV. Ce fut en ce mesme temps qu’Esope composa ses Fables, qu’il laissa au Roy Cresus, et tient on qu’elles se monstrent
68 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XX. L’Avare qui a perdu son tresor. » p. 225
guerre Pour l’apporter si loin ? N’eussiez-vous pas mieux fait De le laisser chez vous en votre cabinet, Que de le changer de
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
moins, que les mauvais traictemens que nous recevons des hommes, nous laissent quelque sorte d’instruction, et que nous tirions
injustice. Au contraire, nous serions blâmables d’aveuglement de nous laisser cheoir derechef dans le mesme piege, car comme di
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
igongne, qui se sentant attachée par le pied, pria le Laboureur de la laisser aller, luy remonstrant qu’elle n’estoit ny Gruë n
nt à force de compliments ; et pour le dire en un mot, qu’ils ne leur laissent pas un seul moment de repos sans pretendre à les
71 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 301 » pp. 265-265
chasse une perdrix, allait la tuer. Elle le supplia en ces termes : «  Laisse -moi vivre ; à ma place je te ferai prendre beauco
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Par quelle advanture Esope reçeut le don de bien parler. Chapitre IIII. »
res que le Maistre d’Esope fut de retour en la Ville, et qu’il l’eust laissé aux champs pour faire la tasche qu’il luy avoit o
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
e Aigle, qui prenant son vol d’en-haut, arracha l’aneau public, et le laissa choir au sein d’un Esclave. Cela fit que les Sami
à son visage, puis que bien souvent dans un laid corps, la Nature ne laisse pas de cacher une belle ame ? Que cela ne soit, j
ce qu’elle a ravy cét anneau, qui est une marque de puissance, et l’a laissé choir au sein d’un homme de servile condition, si
74 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 356 » pp. 244-244
f 142 Me 179 Mf 150 Ca 197. Un homme, ayant acheté un perroquet, le laissa libre en sa maison. Le perroquet, qui était appri
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Invention d’Esope, pour faire retourner sa Maistresse avec Xanthus. Chapitre XIII. »
se doit marier demain ». Le valet ayant appris ces belles nouvelles, laissa là Esope, et monté qu’il fût en la chambre, il fi
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIII. De deux pots flottans sur l’eau. »
au. Deux pots, dont l’un estoit de terre, et l’autre de fer, furent laissez fortuitement sur le bord d’une riviere, et emport
77 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIII. L’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits. » p. 40
logue qui se laisse tomber dans un puits. Un Astrologue un jour se laissa choir Au fonds d’un puits. On luy dit : Pauvre be
78 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 30 » pp. 24-24
’un chêne des morceaux de pain et de viande que des bergers y avaient laissés , y pénétra et les mangea. Mais son ventre s’étant
79 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 85 » pp. 299-299
moineaux le supplièrent de ne pas abattre leur asile, mais de le leur laisser pour qu’ils pussent y chanter et charmer le labou
80 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 134 » pp. 317-317
saient de terribles menaces contre tous les médecins, parce qu’ils ne laissent pas mourir les malades, et ils les inscrivaient t
81 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVI. La mort et le Buscheron. » p. 60
Nous ne sçaurions aller plus avant que les Anciens : ils ne nous ont laissé pour nostre part que la gloire de les bien suivre
82 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
de repentir. Ce qui estant prouvé tous les jours par l’experience, ne laisse pas de s’appuyer aussi sur quelque raison. Car la
hef nous ayant fait participer aux facultez de tous les deux, n’a pas laissé de mettre quelque difference en la facilité de no
83 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
té duquel leur seroit suspecte. Car le propre du Sage, c’est de ne se laisser conduire qu’à la Vertu. Aussi la premiere fin de
des Othomans. Ceste faute neantmoins, en matiere d’eslection, n’a pas laissé d’estre commune à divers Peuples du monde, comme
84 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »
elque chose pour le lendemain ; car il vaut beaucoup mieux mourir, et laisser du bien à ses ennemis, que vivre, et avoir besoin
85 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIII. Des Loups, et de la Brebis. »
s estendus si avant dans l’Histoire aux discours precedents, que nous laisserons pour ceste fois à la discretion du Lecteur, de se
86 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIII. Du Lion, et de la Chévre. »
mprises dessous l’exemple de ceste Chévre, qui nous apprend à ne nous laisser jamais persuader aux cajoleries de nos Ennemis. I
87 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
fuyoit au plus vîte. Le trou de l’Escarbot se rencontre en chemin. Je laisse à penser si ce gîte Estoit seur ; mais où mieux ?
88 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 26 » pp. 18-18
8 Mc 15 Md 18 Me 26 Mg 15 Mi 53 Mk 16 Mm 18 Mn 8. Un pêcheur, ayant laissé couler son filet dans la mer, en retira un picare
89 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 212 » pp. 143-143
mais pour un taureau. » Cette fable montre que les gens sensés ne se laissent pas prendre aux artifices des méchants. Chamb
90 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVI. Du Lion, et du Renard. »
franchise en est extraordinaire, puis que pour le soulager ils y vont laisser la vie, et qu’ils se rendent eux-mesmes la Medeci
91 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
lent mesler d’un mestier qui ne leur est pas ordinaire, ny propre, et laissent pour cét effet leur vray et naturel exercice, cho
92 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXV. De la Chauue-souris, et du Buisson, et du Plongeon. »
enir à bout de quelque haute entreprise ; De bonne conduitte, pour ne laisser en arriere aucune industrie de celles qui peuvent
93 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — II. Le Lion et le Chasseur. » p. 326
e. Il renferme toujours son conte en quatre Vers ; Bien ou mal, je le laisse à juger aux Experts. Voyons-le avec Esope en un s
94 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
luy prit envie de chanter ; mais comme il s’apprestoit pour cela, il laissa cheoir un fourmage qu’il avoit au bec, et le Rena
ente vanité du Corbeau sert d’exemple à une infinité de gents, qui se laissent miserablement affiner aux Flatteurs, pour adherer
95 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 125 » pp. 100-100
de l’homme, afin que la méchanceté ne restât pas cachée et que chacun laissât voir ce qu’il a dans l’esprit. Quant à Athéna, il
96 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LX. De la Puce, et de l’Homme. »
destinez à vivre comme elle ; Surquoy le priant tres-instamment de la laisser , puis qu’aussi bien elle ne pouvoit luy faire bea
97 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
t lieux, Qu’un fils de Jupiter, un certain Alexandre, Ne voulant rien laisser de libre sous les Cieux, Commandoit que sans plus
98 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 13 » pp. 79-79
sensés, quand ils ont éprouvé la méchanceté de certaines gens, ne se laissent plus tromper à leurs grimaces. Chambry 13.2
99 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
c’est tousjours un dangereux effect parmy les hommes, et qui ne leur laisse pour tout remede que ces paroles, ô que si je l’e
100 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIII. Du Cerf, et du Cheval. »
igence tantost avec l’une et tantost avecque l’autre, c’est dequoy je laisse la decision aux Politiques, et suis d’advis cepen
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