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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VI. La Genisse, la Chevre et la Brebis en societé avec le Lion. » p. 339149
raison,
 C’est que je m’appelle Lion,
 A cela l’on n’a rien à dire.
 La seconde par droit me doit échoir encor :
 Ce droit, vous
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
es. La premiere, d’avoir demandé un Roy, quand elles estoient libres. La seconde , d’avoir esté mal satisfaictes du premier qu’on l
donc comme les débordements des hommes firent naistre leur servitude. La seconde impertinence que remarque Esope en ces Grenoüille
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VI. Du Lion, et de quelques autres Bestes. »
parts est mienne, pour-ce qu’il n’y a pas un de vous qui me vaille ; la seconde l’est aussi, à cause des grands advantages que ma
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVI. Du Chat, et des Rats. »
precedentes Fables, où nous avons dit, qu’il ne faut pas tomber pour la seconde fois entre les mains des meschants, mais se mesfi
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVIII. Le Chat et un vieux Rat. » p. 79511
z toutes au logis.
 Il prophetisoit vray ; nostre maistre Mitis 
Pour la seconde fois les trompe et les affine ;
 Blanchit sa robe
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIII. Des Loups, et de la Brebis. »
qu’il ne faut pas inconsiderément se fier à un Ennemy reconcilié ; et la seconde , qu’il ne couste rien aux meschants, de supposer
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
ommandement de l’armée, dont toutesfois il descheut avecque honte, en la seconde attaque qu’il fit à Annibal, où il fust demeuré a
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIX. De la Belette, et du Renard. »
rgile, Homere, et une infinité d’autres. Au contraire, pour revenir à la seconde partie de la Fable, le Renard dés qu’il s’est enf
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
çoit neantmoins la honte de s’enfuyr, en oyant chanter un simple Coq. La seconde chose que je considere en ceste Fable, c’est l’or
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
fois en amour, figurée par l’extravagante passion de ce jeune homme. La seconde , c’est l’enchantement des Amoureux, qui transmüen
is que l’experience rend ceste verité trop manifeste. Je viens donc à la seconde partie de mon Discours, qui est la transformation
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE II. Du Loup, et de l’Aigneau. »
pas estrange, si tu en portes la peine aujourd’huy ». Discours sur la seconde Fable. Le sage Inventeur n’a voulu representer
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
u’il aura trahis, non pour la premiere offense, mais pour le peril de la seconde . Asseurément il est bon de l’éviter, non comme en
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
té plusieurs fois de la premiere, je me contenteray de dire un mot de la seconde . La malice des Enfants se verifie, et par la jour
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
eur, par la necessité des redites. Il vaut mieux venir à la preuve de la seconde partie de mon Allegorie, qui est, que les enfans
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
e à l’excez du bien, à sçavoir la dignité mesme de la chose mediocre. La seconde sera tirée du danger qu’apporte l’un, et de la pa
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
nnemy, comme il arrive ordinairement aux gents de Vertu. Il n’y a que la seconde de ces deux propositions qui en puisse improuver
17 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
de Séjan. Il croit que la première était dirigée contre ce dernier et la seconde à la fois contre son maître et contre Caligula. S
e ces deux fables avait exaspéré Séjan, qui s’y était reconnu. Aussi, la seconde , quoique communiquée confidentiellement à quelque
DIVO. AVGVSTO C. ARRIVS. OPTATVS C. IVLIVS. EVTYCHVS AVGVSTALES57. La seconde , recueillie par Jean-Baptiste Doni, est ainsi con
pures de son époque ; je me bornerai à en tracer une légère esquisse. La seconde moitié du xvie  siècle, à laquelle Pierre Pithou
oncle François, retournèrent aux descendants de son oncle Pierre. » La seconde des filles de P. Pithou, de son mariage avec Jean
par lequel Phèdre, après avoir quelque temps cessé d’écrire, commence la seconde série de fables qui doit le compléter. Cela est f
Sébastien Cramoisy, édition in-12 qui n’a été qu’une réimpression de la seconde augmentée des fables d’Avianus, Rigault répéta le
à la fin d’une suivante, que les mots Et vindicabit, qui commençaient la seconde , étaient sur la même ligne que les mots Mutatus s
milieu, et appartiennent les unes à la première moitié, les autres à la seconde . Bientôt après l’apparition du manuscrit de Pitho
onc l’abbé Andrès, conservateur de la bibliothèque de Naples, qui fit la seconde découverte du manuscrit. Ayant bien reconnu que c
ux parties : la première, contenant le texte des fables nouvelles, et la seconde , celui des anciennes. Les unes et les autres sont
isterait pas. Le copiste n’eût pas manqué de copier, sans intervalle, la seconde partie du manuscrit à la suite de la première. Il
re des fables primitivement découvertes dites Fables anciennes, et de la seconde , c’est-à-dire des fables postérieurement découver
je l’avais déjà traduite, j’en ai fait une seconde traduction ; mais la seconde n’était pas identique à la première. En effet, si
et que, sans s’en apercevoir, on la recommence, il est impossible que la seconde s’en trouve précisément la copie littérale. Cet a
ort savantes et malheureusement peu connues. Je ne m’occuperai que de la seconde  ; c’est celle dans laquelle sont formulés les pri
præter Phædrum, Fabellarum novarum Auctor haberi potest  ; en tête de la seconde , la thèse à discuter est ainsi formulée : Singil
le lacune, qu’il est impossible de connaître exactement ; mais, comme la seconde partie du livre IV devait, par ses dimensions, êt
es ; la première aux éditions qui ne contiendront que le texte latin, la seconde à celles dans lesquelles le texte latin sera acco
Müller a donné le nom d’Æsopus ad Rufum 278. Encore le texte exact de la seconde ne nous est-il pas parvenu et ne pouvons-nous nou
x villes, puis devint moine de l’abbaye de Saint-Martial établie dans la seconde . Vers 1029, entraîné par sa ferveur religieuse, i
cxci a initio. — La première de ces deux pages et le commencement de la seconde ne portent aucune écriture. Fol. cxci a à cxciv a
e mus parturiens , de naturale genus , de taciturnitate hominibus . La seconde circonstance a été la fièvre de correction, éprou
s leçons primitives telles qu’on les aperçoit sous les corrections de la seconde main : Ne que de alienis bonis dum magnum se ve
mots : Magnifico domino Laurencio Javina Rynuncius felicitatem. Mais la seconde étant précisément celle qui a été écrite pour le
a reporté la première partie en tête de l’Épilogue, en a fait entrer la seconde dans une dédicace fictive et s’est efforcé de don
on de Wissembourg n’a pu donner naissance à celle de Romulus, puisque la seconde renferme plus de fables que la première. Mais ne
mulus, on voit la première ne comprendre que des fables existant dans la seconde . Dérivée directement de l’Æsopus ad Rufum, la col
minent au verso du sixième, au bas de la première colonne. Au haut de la seconde commence un ouvrage qui a dû être composé à l’usa
t la plus ancienne de toutes et que celles qui ont été imprimées dans la seconde moitié du xve  siècle n’en ont été que la copie.
e de la fable xii et le commencement du texte latin de la fable xiii. La seconde embrasse la fin de la version allemande de la fab
aussi dans les bibliothèques moins importantes. Pour ne parler que de la seconde édition de Sorg, je signale entre autres l’exempl
cote j v. N 3. 3º Deuxième édition de 114 feuillets. Je passe à la seconde édition in-folio de 114 feuillets, imprimée, comm
nsion de la première est un peu plus grande, et par suite, tandis que la seconde n’a que 41 ou 42 lignes par page, on en compte ju
s par page, on en compte jusqu’à 44 dans la première. Les gravures de la seconde sont bien la reproduction de celles de la premièr
es de la première ; mais elles les reproduisent en sens inverse. Dans la seconde les lettres initiales, gravées sur bois, constitu
ème feuillet du dernier cahier est signé q. iiiij. Au contraire, dans la seconde édition, les signatures manquent aux deux premier
rs groupes de fables latines que comprend l’édition de Steinhöwel, et la seconde , qui remplit les 79 derniers feuillets, est exclu
s. Tels sont les titres des opuscules de Sébastien Brant qui forment la seconde partie de l’édition de Bâle. La fin en est, au fe
ote Y 6536, mais qui malheureusement est incomplet et ne contient que la seconde partie du volume ; 2º À la bibliothèque de l’Arse
. Le volume présente deux séries de signatures, la première de a à s, la seconde de a à l. Il se divise en deux parties. La premi
es matières, établie d’après leur nature. Fol. 5 a. — Commencement de la seconde table, divisée comme l’ouvrage en deux parties. V
echum Graff, | jm Jar M.D.XLV. B. Édition de 1555. Je passe à la seconde des deux éditions sorties des presses de Graff. J
tre cens et octante le. xxvi. iour daust. 3º Édition de 1484. La seconde édition datée de la traduction du frère Julien, q
13, existe à la Bibliothèque de l’Escurial. 2º Édition de 1496. La seconde édition espagnole a été achevée d’imprimer à Burg
ans date et une fois en 1485. Je ne connais et je ne puis décrire que la seconde de ces éditions, qui forme un volume de 270 feuil
collections indépendantes et voir dans la première, ainsi séparée de la seconde , un dérivé uniquement tiré du Romulus ordinaire,
e la seconde, un dérivé uniquement tiré du Romulus ordinaire, et dans la seconde elle-même un dérivé mixte, issu d’éléments variés
Les deux réunies sous le nº xxxv ont leurs similaires, la première et la seconde , dans celles du Romulus mixte de Berne placées so
e, dans celles du Romulus mixte de Berne placées sous le nº xxiii, et la seconde seule, dans les fables xxi du Dérivé partiel du R
es d’entre elles sont-elles originales. Les quinze fables qui forment la seconde partie de la collection du Romulus de Munich, ont
vec le Romulus de Munich et même avec les fables d’Eude, qui, quoique la seconde partie de la collection leur ait été spécialement
uvées sans doute fastidieuses. Je passe donc aux vieilles éditions de la seconde moitié du xve  siècle. Établies sur les manuscrit
à l’appui de leur opinion. Ainsi ils ont remarqué que l’épimythion de la seconde , quoique bien placé à la fin, se composait de qua
puet estre qu’em mainte gent Ne soient aucun bel et gent. Je passe à la seconde partie du manuscrit. Elle s’étend du feuillet 89 
ion en sont restées le seul ornement. La première est plus grande que la seconde . Elles sont ou écrites à l’encre bleue et ornées
traduction en vers français. Ce sont les mêmes que celles qui forment la seconde partie du manuscrit 1594 de la Bibliothèque natio
pagnée du texte auquel elle se rapporte. Elle se termine au milieu de la seconde colonne du feuillet 68 b par cette première sousc
ccclxxxi. Elle est du format in-folio et se compose de 30 feuillets. La seconde est intitulée : Aesopi fabulae uersibus expressa
ourvue de deux séries de signatures, la première, allant de a à z, et la seconde , de A à D ; il s’ensuit que le volume est formé d
esseur Wendelin Fœrster, dans un petit volume in-8 analysé plus haut. La seconde traduction, qui paraît être du commencement du xi
suivie des deux sonnets italiens qui en sont la traduction. Au bas de la seconde colonne de la table qui occupe le verso du feuill
omulus de Vienne issu du Romulus primitif qu’en réalité elle découle. La seconde , en affectant la forme d’un hexamètre, donne au D
ne possède pas le Romulus ordinaire, ne procède pas de ce dernier, et la seconde , c’est que l’un et l’autre, présentant des expres
ce titre : Ci commence de Ysopes. Sur la première page, l’auteur de la seconde série a par la note suivante nommé l’auteur de la
tte première note est paraphée par son auteur. Voici la traduction de la seconde  : « Selon toute probabilité, la plus ancienne par
difiées ; car la première qui était au singulier reparaît au pluriel, la seconde qui était un substantif est devenue un verbe, la
olonne du feuillet 37 a. Elle est immédiatement suivie de la table de la seconde série de fables qui est surmontée de ce titre :
ière fait double emploi avec la fable 6, De Leone, Bubalo et Lupo, et la seconde est d’une obscénité qui en explique aisément l’om
du Renard tout entière et le commencement de celle du Lion régnant ; la seconde , les fables de l’Homme et du Lion et de la Puce e
celui de la collection hexamétrique, on retrouve si constamment dans la seconde les expressions de la première que l’affinité qu’
emière : « Choisissant quelque sujet pour y peindre mon infortune » ; la seconde  : « Choisissant quelques sujets qui ayent rapport
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
de cét Animal. Il y contribua donc toute son industrie, de sorte qu’à la seconde espreuve que fist l’Elephant, il veid qu’il ne se
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