raison,
C’est que je m’appelle Lion,
A cela l’on n’a rien à dire.
La seconde
par droit me doit échoir encor :
Ce droit, vous
es. La premiere, d’avoir demandé un Roy, quand elles estoient libres.
La seconde
, d’avoir esté mal satisfaictes du premier qu’on l
donc comme les débordements des hommes firent naistre leur servitude.
La seconde
impertinence que remarque Esope en ces Grenoüille
parts est mienne, pour-ce qu’il n’y a pas un de vous qui me vaille ;
la seconde
l’est aussi, à cause des grands advantages que ma
precedentes Fables, où nous avons dit, qu’il ne faut pas tomber pour
la seconde
fois entre les mains des meschants, mais se mesfi
z toutes au logis.
Il prophetisoit vray ; nostre maistre Mitis
Pour
la seconde
fois les trompe et les affine ;
Blanchit sa robe
qu’il ne faut pas inconsiderément se fier à un Ennemy reconcilié ; et
la seconde
, qu’il ne couste rien aux meschants, de supposer
ommandement de l’armée, dont toutesfois il descheut avecque honte, en
la seconde
attaque qu’il fit à Annibal, où il fust demeuré a
rgile, Homere, et une infinité d’autres. Au contraire, pour revenir à
la seconde
partie de la Fable, le Renard dés qu’il s’est enf
çoit neantmoins la honte de s’enfuyr, en oyant chanter un simple Coq.
La seconde
chose que je considere en ceste Fable, c’est l’or
fois en amour, figurée par l’extravagante passion de ce jeune homme.
La seconde
, c’est l’enchantement des Amoureux, qui transmüen
is que l’experience rend ceste verité trop manifeste. Je viens donc à
la seconde
partie de mon Discours, qui est la transformation
pas estrange, si tu en portes la peine aujourd’huy ». Discours sur
la seconde
Fable. Le sage Inventeur n’a voulu representer
u’il aura trahis, non pour la premiere offense, mais pour le peril de
la seconde
. Asseurément il est bon de l’éviter, non comme en
té plusieurs fois de la premiere, je me contenteray de dire un mot de
la seconde
. La malice des Enfants se verifie, et par la jour
eur, par la necessité des redites. Il vaut mieux venir à la preuve de
la seconde
partie de mon Allegorie, qui est, que les enfans
e à l’excez du bien, à sçavoir la dignité mesme de la chose mediocre.
La seconde
sera tirée du danger qu’apporte l’un, et de la pa
nnemy, comme il arrive ordinairement aux gents de Vertu. Il n’y a que
la seconde
de ces deux propositions qui en puisse improuver
de Séjan. Il croit que la première était dirigée contre ce dernier et
la seconde
à la fois contre son maître et contre Caligula. S
e ces deux fables avait exaspéré Séjan, qui s’y était reconnu. Aussi,
la seconde
, quoique communiquée confidentiellement à quelque
DIVO. AVGVSTO C. ARRIVS. OPTATVS C. IVLIVS. EVTYCHVS AVGVSTALES57.
La seconde
, recueillie par Jean-Baptiste Doni, est ainsi con
pures de son époque ; je me bornerai à en tracer une légère esquisse.
La seconde
moitié du xvie siècle, à laquelle Pierre Pithou
oncle François, retournèrent aux descendants de son oncle Pierre. »
La seconde
des filles de P. Pithou, de son mariage avec Jean
par lequel Phèdre, après avoir quelque temps cessé d’écrire, commence
la seconde
série de fables qui doit le compléter. Cela est f
Sébastien Cramoisy, édition in-12 qui n’a été qu’une réimpression de
la seconde
augmentée des fables d’Avianus, Rigault répéta le
à la fin d’une suivante, que les mots Et vindicabit, qui commençaient
la seconde
, étaient sur la même ligne que les mots Mutatus s
milieu, et appartiennent les unes à la première moitié, les autres à
la seconde
. Bientôt après l’apparition du manuscrit de Pitho
onc l’abbé Andrès, conservateur de la bibliothèque de Naples, qui fit
la seconde
découverte du manuscrit. Ayant bien reconnu que c
ux parties : la première, contenant le texte des fables nouvelles, et
la seconde
, celui des anciennes. Les unes et les autres sont
isterait pas. Le copiste n’eût pas manqué de copier, sans intervalle,
la seconde
partie du manuscrit à la suite de la première. Il
re des fables primitivement découvertes dites Fables anciennes, et de
la seconde
, c’est-à-dire des fables postérieurement découver
je l’avais déjà traduite, j’en ai fait une seconde traduction ; mais
la seconde
n’était pas identique à la première. En effet, si
et que, sans s’en apercevoir, on la recommence, il est impossible que
la seconde
s’en trouve précisément la copie littérale. Cet a
ort savantes et malheureusement peu connues. Je ne m’occuperai que de
la seconde
; c’est celle dans laquelle sont formulés les pri
præter Phædrum, Fabellarum novarum Auctor haberi potest ; en tête de
la seconde
, la thèse à discuter est ainsi formulée : Singil
le lacune, qu’il est impossible de connaître exactement ; mais, comme
la seconde
partie du livre IV devait, par ses dimensions, êt
es ; la première aux éditions qui ne contiendront que le texte latin,
la seconde
à celles dans lesquelles le texte latin sera acco
Müller a donné le nom d’Æsopus ad Rufum 278. Encore le texte exact de
la seconde
ne nous est-il pas parvenu et ne pouvons-nous nou
x villes, puis devint moine de l’abbaye de Saint-Martial établie dans
la seconde
. Vers 1029, entraîné par sa ferveur religieuse, i
cxci a initio. — La première de ces deux pages et le commencement de
la seconde
ne portent aucune écriture. Fol. cxci a à cxciv a
e mus parturiens , de naturale genus , de taciturnitate hominibus .
La seconde
circonstance a été la fièvre de correction, éprou
s leçons primitives telles qu’on les aperçoit sous les corrections de
la seconde
main : Ne que de alienis bonis dum magnum se ve
mots : Magnifico domino Laurencio Javina Rynuncius felicitatem. Mais
la seconde
étant précisément celle qui a été écrite pour le
a reporté la première partie en tête de l’Épilogue, en a fait entrer
la seconde
dans une dédicace fictive et s’est efforcé de don
on de Wissembourg n’a pu donner naissance à celle de Romulus, puisque
la seconde
renferme plus de fables que la première. Mais ne
mulus, on voit la première ne comprendre que des fables existant dans
la seconde
. Dérivée directement de l’Æsopus ad Rufum, la col
minent au verso du sixième, au bas de la première colonne. Au haut de
la seconde
commence un ouvrage qui a dû être composé à l’usa
t la plus ancienne de toutes et que celles qui ont été imprimées dans
la seconde
moitié du xve siècle n’en ont été que la copie.
e de la fable xii et le commencement du texte latin de la fable xiii.
La seconde
embrasse la fin de la version allemande de la fab
aussi dans les bibliothèques moins importantes. Pour ne parler que de
la seconde
édition de Sorg, je signale entre autres l’exempl
cote j v. N 3. 3º Deuxième édition de 114 feuillets. Je passe à
la seconde
édition in-folio de 114 feuillets, imprimée, comm
nsion de la première est un peu plus grande, et par suite, tandis que
la seconde
n’a que 41 ou 42 lignes par page, on en compte ju
s par page, on en compte jusqu’à 44 dans la première. Les gravures de
la seconde
sont bien la reproduction de celles de la premièr
es de la première ; mais elles les reproduisent en sens inverse. Dans
la seconde
les lettres initiales, gravées sur bois, constitu
ème feuillet du dernier cahier est signé q. iiiij. Au contraire, dans
la seconde
édition, les signatures manquent aux deux premier
rs groupes de fables latines que comprend l’édition de Steinhöwel, et
la seconde
, qui remplit les 79 derniers feuillets, est exclu
s. Tels sont les titres des opuscules de Sébastien Brant qui forment
la seconde
partie de l’édition de Bâle. La fin en est, au fe
ote Y 6536, mais qui malheureusement est incomplet et ne contient que
la seconde
partie du volume ; 2º À la bibliothèque de l’Arse
. Le volume présente deux séries de signatures, la première de a à s,
la seconde
de a à l. Il se divise en deux parties. La premi
es matières, établie d’après leur nature. Fol. 5 a. — Commencement de
la seconde
table, divisée comme l’ouvrage en deux parties. V
echum Graff, | jm Jar M.D.XLV. B. Édition de 1555. Je passe à
la seconde
des deux éditions sorties des presses de Graff. J
tre cens et octante le. xxvi. iour daust. 3º Édition de 1484.
La seconde
édition datée de la traduction du frère Julien, q
13, existe à la Bibliothèque de l’Escurial. 2º Édition de 1496.
La seconde
édition espagnole a été achevée d’imprimer à Burg
ans date et une fois en 1485. Je ne connais et je ne puis décrire que
la seconde
de ces éditions, qui forme un volume de 270 feuil
collections indépendantes et voir dans la première, ainsi séparée de
la seconde
, un dérivé uniquement tiré du Romulus ordinaire,
e la seconde, un dérivé uniquement tiré du Romulus ordinaire, et dans
la seconde
elle-même un dérivé mixte, issu d’éléments variés
Les deux réunies sous le nº xxxv ont leurs similaires, la première et
la seconde
, dans celles du Romulus mixte de Berne placées so
e, dans celles du Romulus mixte de Berne placées sous le nº xxiii, et
la seconde
seule, dans les fables xxi du Dérivé partiel du R
es d’entre elles sont-elles originales. Les quinze fables qui forment
la seconde
partie de la collection du Romulus de Munich, ont
vec le Romulus de Munich et même avec les fables d’Eude, qui, quoique
la seconde
partie de la collection leur ait été spécialement
uvées sans doute fastidieuses. Je passe donc aux vieilles éditions de
la seconde
moitié du xve siècle. Établies sur les manuscrit
à l’appui de leur opinion. Ainsi ils ont remarqué que l’épimythion de
la seconde
, quoique bien placé à la fin, se composait de qua
puet estre qu’em mainte gent Ne soient aucun bel et gent. Je passe à
la seconde
partie du manuscrit. Elle s’étend du feuillet 89
ion en sont restées le seul ornement. La première est plus grande que
la seconde
. Elles sont ou écrites à l’encre bleue et ornées
traduction en vers français. Ce sont les mêmes que celles qui forment
la seconde
partie du manuscrit 1594 de la Bibliothèque natio
pagnée du texte auquel elle se rapporte. Elle se termine au milieu de
la seconde
colonne du feuillet 68 b par cette première sousc
ccclxxxi. Elle est du format in-folio et se compose de 30 feuillets.
La seconde
est intitulée : Aesopi fabulae uersibus expressa
ourvue de deux séries de signatures, la première, allant de a à z, et
la seconde
, de A à D ; il s’ensuit que le volume est formé d
esseur Wendelin Fœrster, dans un petit volume in-8 analysé plus haut.
La seconde
traduction, qui paraît être du commencement du xi
suivie des deux sonnets italiens qui en sont la traduction. Au bas de
la seconde
colonne de la table qui occupe le verso du feuill
omulus de Vienne issu du Romulus primitif qu’en réalité elle découle.
La seconde
, en affectant la forme d’un hexamètre, donne au D
ne possède pas le Romulus ordinaire, ne procède pas de ce dernier, et
la seconde
, c’est que l’un et l’autre, présentant des expres
ce titre : Ci commence de Ysopes. Sur la première page, l’auteur de
la seconde
série a par la note suivante nommé l’auteur de la
tte première note est paraphée par son auteur. Voici la traduction de
la seconde
: « Selon toute probabilité, la plus ancienne par
difiées ; car la première qui était au singulier reparaît au pluriel,
la seconde
qui était un substantif est devenue un verbe, la
olonne du feuillet 37 a. Elle est immédiatement suivie de la table de
la seconde
série de fables qui est surmontée de ce titre :
ière fait double emploi avec la fable 6, De Leone, Bubalo et Lupo, et
la seconde
est d’une obscénité qui en explique aisément l’om
du Renard tout entière et le commencement de celle du Lion régnant ;
la seconde
, les fables de l’Homme et du Lion et de la Puce e
celui de la collection hexamétrique, on retrouve si constamment dans
la seconde
les expressions de la première que l’affinité qu’
emière : « Choisissant quelque sujet pour y peindre mon infortune » ;
la seconde
: « Choisissant quelques sujets qui ayent rapport
de cét Animal. Il y contribua donc toute son industrie, de sorte qu’à
la seconde
espreuve que fist l’Elephant, il veid qu’il ne se