anthus sortit aussi pour les voir ; mais pendant qu’il s’y en alloit,
l’une
s’envola ; ce qui fit que s’estant mis à tancer E
as asseuré qu’il y en avoit deux ? » « Ouy », respondit Esope, « mais
l’une
s’en est volée ». « Et quoy », reprit Xanthus, «
roseaux ; Et nous foulant aux pieds jusques au fond des eaux, Tantost
l’une
, et puis l’autre ; il faudra qu’on patisse Du com
e Fable. L’on peut appliquer à ceste Fable deux belles Allegories,
l’une
Politique, et l’autre Moralle, comme, de dire que
s deux Puissances en jalousie, et noüer une intelligence tantost avec
l’une
et tantost avecque l’autre, c’est dequoy je laiss
s petite affaire.
Deux veuves sur son cœur eurent le plus de part ;
L’une
encor verte, et l’autre un peu bien mûre ;
Mais
pouvoir, de tout leur appetit, Dormoient les deux pauvres Servantes.
L’une
entr’ouvroit un œil, l’autre étendoit un bras ; E
t il n’était pas jusqu’aux grenouilles qui ne fussent en liesse. Mais
l’une
d’elles, s’écria : « Insensées, à quel propos vou
Mj 46 Ml 51 Mm 60. Deux grenouilles voisinaient. Elles habitaient,
l’une
un étang profond, éloigné de la route, l’autre un
116 Lf 126 Mg 140 Mj 137 Ml 141. Un homme riche avait deux filles.
L’une
d’elles étant morte, il loua des pleureuses à gag
Quelle chose par là nous peut estre enseignée ? J’en vois deux, dont
l’une
est qu’entre nos ennemis, Les plus à craindre son
s soins
Ce doit estre celuy d’éviter la famine.
A demeurer chez soy
l’une
et l’autre s’obstine ;
Pour secourir les siens d
age u il esteit. Entur lui se vunt deduiant li suriz petiz en juant ;
l’une
curut — ne s’en garda – sur le leün, si l’esveill
ψαι. Codd. Ba 4 Bb 3. Un chevrier rappelait ses chèvres à l’étable.
L’une
d’ elles s’étant attardée à quelque friande pâtur
ociété, de sorte que pour avoir voulu les deux provendes, il n’eut ni
l’une
ni l’autre. Cette fable montre que nous devons no
n’ont point de honte
De faire aller le mal toujours de pis en pis.
L’une
et l’autre trouva de la sorte son compte,
Et fit
ence est grande. On ne croiroit jamais Que ce fust la mesme personne.
L’une
fait fuïr les gens, et l’autre a mille attraits.
i ad dit aprés qu’il ne deit tenir sun esgart, kar il nel vit fors de
l’une
part ; pur ceo l’aveit demi preisié qu’il n’en ve
ϐές ἐστι. Codd. Pa 33 Pb 31 Ma 24. Un grison avait deux maîtresses,
l’une
jeune et l’autre vieille. Or celle qui était avan
i enlevait ses poils blancs. Il arriva ainsi qu’épilé tour à tour par
l’une
et l’autre, il devint chauve. C’est ainsi que ce
r un autre. Elles rencontrèrent alors un puits profond. En le voyant,
l’une
dit à l’autre : « Amie, descendons ensemble dans
Ma 68 Ca 77. Un homme qui avait deux filles avait donné en mariage
l’une
à un jardinier, l’autre à un potier. Au bout de q
ochables. Mais de quelque source que naisse ceste imprudence, soit de
l’une
de ces causes soit de toutes ensemble, c’est tous
ouche. La Mouche, et la Fourmy eurent un jour brouïllerie ensemble.
L’une
se vantoit d’estre noble, et de voler comme les O
leurs disputes, qui nous fait voir clairement combien les raisons de
l’une
sont preferables à celles de l’autre. Ce que mesm
çons aussi importantes qu’il y en puisse avoir au commerce de la vie.
L’une
est, de l’incorruptibilité quant aux presents, et
ied à terre, et puis le vieillard monte ; Quand trois filles passant,
l’une
dit : C’est grand’ honte, Qu’il faille voir ainsi
aires du monde ayant deux faces, comme ces Rusez peuvent deçevoir par
l’une
, ils peuvent aussi estre deçeus par l’autre ; et
rps. Le premier est celuy que nous avons desja touché, à sçavoir, que
l’une
nous rend semblables à Dieu, l’autre nous est com
able. L’on pourroit adjouster à ceste Fable deux belles Moralitez,
l’une
que les Trompeurs sont d’ordinaire trompez eux-me
cheveux ne commençoient qu’à luy grisonner, épousa deux femmes ; dont
l’une
estoit assez âgée, et l’autre assez jeune. Comme
vis que nous donne à ce propos la Saincte Escriture, à sçavoir, « Que
l’une
des trois choses contre Nature, c’est le Vieillar
de nous y porter. J’estime pour moy, que les deux causes ensemble, et
l’une
sans l’autre et accompagnées, nous peuvent induir
perations ensemble, comme ce qu’on feint des hommes et des Dieux sous
l’une
et l’autre forme ; Et troisiesmement, des operati
e sauva en toute hâte dans les bois. Alors le renard claqua ses mains
l’une
contre l’autre, dépité d’avoir perdu sa peine ; e
Mois, et le jour avecque la nuict sont les deux femmes qui succedent
l’une
à l’autre ». Le lendemain apres que Nectenabo eus
e longue durée, à cause qu’elle survit à nostre mort ? Mais je trouve
l’une
et l’autre de ces excuses aussi frivole que la Gl
asser le Lecteur de ces longues Moralitez, que nous avons enchaisnées
l’une
à l’autre en la suitte de cét Ouvrage, comme pour
e même approximative et surtout de savoir, quand rien ne les rattache
l’une
à l’autre, si telle œuvre est antérieure ou posté
e signale en outre cette inscription comme se trouvant à Velletri sur
l’une
des dalles de la cathédrale : D. M. CL. VICTORIN
rté à croire à l’existence de deux éditions distinctes, qu’il suppose
l’une
in-8º, et l’autre in-12101. Cette première éditio
t seulement du premier livre, les variantes queris et gravis, portant
l’une
sur le vers 7 de la fable i, l’autre sur le vers
t toutes sans exception dans le manuscrit, aux lacunes indiquées dans
l’une
et qui sont exactement dans l’autre, enfin à tous
leur identité d’origine est évidente. En revanche, si l’on prouve que
l’une
des fables anciennes n’est pas son œuvre, aucune
ons de ces fables en prose attribuées à deux Romulus furent publiées,
l’une
par Rimicius ou plutôt Rinucius Tettalus vers le
tre au moins deux mains différentes, et pour lui rien ne démontre que
l’une
des deux soit celle de Phèdre. Je n’ajoute qu’une
avait dans celui de Reims entre les deux fables incomplètes, privées
l’une
de sa fin et l’autre de son commencement, une nou
es en français suivant la méthode des collèges, par deux traductions,
l’une
littérale et interlinéaire, avec la construction
iqués, d’après une méthode nouvelle, par deux traductions françaises,
l’une
littérale et juxta-linéaire présentant le mot à m
l vous m’avez fait l’honneur de m’écrire. À Wissembourg, chef-lieu de
l’une
des sous-préfectures du Bas-Rhin, il n’existe qu’
s d’Ésope et de Phèdre mises en vers allemands par Bohner (Bonerius),
l’une
de ces copies portant la date de 1411. L’autre vo
figure dans la vieille édition d’Ulm, ni les collections qui ont bien
l’une
de ces deux origines, mais qui, ayant été écrites
gine commune. La question qui reste à résoudre est celle de savoir si
l’une
des deux collections a été la fille de l’autre, o
mulus sont deux sœurs nées de cet Æsopus, dont elles diffèrent un peu
l’une
et l’autre, mais trop peu pour n’être pas encore
érée320. Le doute à cet égard devient impossible, quand, rapprochant
l’une
de l’autre les deux collections de Wissembourg et
r aucune des deux collections n’a été tirée directement de Phèdre, et
l’une
et l’autre n’ont pu puiser que dans l’Æsopus ad R
sept, c’est-à-dire presque la moitié, n’appartiennent pas à la fois à
l’une
et à l’autre. C’est ce qui ressort du tableau sui
la comparaison que j’ai faite des textes ne permet pas d’admettre que
l’une
ait pu être la base, même partielle, de l’autre.
ourg en même temps que Zeiner à Ulm. Elles ont été décrites par Hain,
l’une
sous le nº 325, l’autre sous le nº 326330. A. É
ue, dans l’édition d’Ulm, la dixième et la onzième sont la répétition
l’une
de l’autre, il en est autrement dans l’édition d’
cette particularité que les fables viii et xx de Romulus intitulées,
l’une
: De iunone et venere , l’autre : De leonis fal
la forme gothique de ceux de la première est plus pure et plus nette.
L’une
et l’autre appartiennent au petit format in-folio
re non seulement une troisième édition, mais encore deux traductions,
l’une
en langue française, l’autre en langue flamande.
de quelques réimpressions et la bibliothèque publique d’Ulm abrite de
l’une
d’elles un exemplaire acquis à la vente des livre
volume, qui est un in-4º de petit format, se divise en deux parties,
l’une
renfermant le texte allemand des fables contenues
, la traduction allemande de l’addition de Sébastien Brant. La fin de
l’une
et le commencement de l’autre s’annoncent par un
ns le premier, d’une table unique et, dans les trois autres, de deux,
l’une
alphabétique et l’autre dressée par ordre de mati
n fit paraître vers 1480 deux éditions anglaises du Miroir historial.
L’une
se compose de cent feuillets sans lettres initial
os jours rééditées par Dressler ; ce sont les deux fables intitulées,
l’une
: le Chapon et l’Épervier, l’autre : le Berger et
sont accompagnées de deux séries de gloses d’une écriture très fine,
l’une
marginale, l’autre interlinéaire. Elles ne sont p
deux fables qui y sont ordinairement ajoutées et qui sont intitulées,
l’une
: De Capone et Accipitre , l’autre : De Lupo et
bibliog. (t. I, p. 33 et 34) Hain en cite deux qui me sont inconnues,
l’une
sous le nº 295 et l’autre sous le nº 296. La prem
scrit 1764. Ce manuscrit renferme deux fables en prose intitulées,
l’une
: Della Capra che pasciera nel monte , l’autre :
le Del Topo di cità e del Topo di villa ; les deux autres intitulées,
l’une
: Della Gholpe e del Lupo , l’autre : Della For
ctions de fables ésopiques, de même le mot Mythologiæ, appliqué ici à
l’une
des œuvres de Neckam, se rapporte à ses fables. Q
raduites en vers français, et il en a été fait deux traductions, dont
l’une
même en est plus ancienne, et par suite plus vois
é puisée, c’est-à-dire l’Æsopus ad Rufum, et qu’en imitant uniquement
l’une
il avait cependant voulu la compléter par l’autre
le voit, la moralité dans le manuscrit 901 se divise en deux parties,
l’une
et l’autre très différentes du texte du manuscrit
66. 32. L’Aigle et le Milan. 67. Les deux collections, composées
l’une
de 50 fables, l’autre de 67, n’en ont donc au tot
e 35, qui leur soient communes, et par suite ne peuvent être la copie
l’une
de l’autre. Faut-il, pour achever de le démontrer
de suite après avec les mêmes. De là les fables vi et vii intitulées,
l’une
: Le Buffle, le Loup et le Lion, l’autre : La Vac
103 qui ont été éditées ; elles ne portent pas de titre et commencent
l’une
par ce vers : N’a pas encor passé dix ans, et l
e, comme appartenant à la même collection que les autres, le texte de
l’une
et de l’autre en est, dans le manuscrit, nettemen
ctions de fables sont suivies de deux tables des matières intitulées,
l’une
: Capitula de Esopo , l’autre : Incipiunt capit
Ce manuscrit malheureusement est incomplet : il présente des lacunes,
l’une
entre les feuillets qui portent les nos 40 et 41,
reliure actuelle. Il est probable que les feuillets qui font défaut à
l’une
des deux lacunes correspondaient avec ceux manqua
re plus irréfutable, je vais signaler, tant dans le prologue que dans
l’une
des fables du Dérivé hexamétrique, quelques parti
xiste pas dans le Romulus primitif, a été une forme nouvelle donnée à
l’une
des fables de ce Romulus par l’auteur du Romulus
ollections, le nombre des fables, dont le Romulus primitif a été pour
l’une
la source directe et pour l’autre la source indir
n’appartenaient pas à une seule et même collection ; car le sujet de
l’une
d’elles, celle du Loup qui va à Rome, a été trait
1 De Lupo et Nauta dans le Dérivé complet du Romulus anglo-latin d’où
l’une
et l’autre ont été tirées, et les deux autres fab
aires de deux éditions incunables des fables de l’anonyme de Névelet,
l’une
sans date, l’autre avec la date de 1491. 303. F
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