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1 (1180) Fables « Marie de France, n° 88. Le loup et le renard » p. 
le chose estable que del gupil la veritez. » Nul de eus ne deit estre jugez . Issi deit fere li bon sire : il ne deit pas juge
eus ne deit estre jugez. Issi deit fere li bon sire : il ne deit pas juger ne dire, si si hume, que de lui tienent, ireement
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 273 » p. 263
à tous deux étaient égales, s’indignait et se plaignait que le mulet, jugé digne d’une double ration, ne portât pas plus que
, ce n’est point par le commencement, mais par la fin que nous devons juger de la condition de chacun.
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XIV. Le Renard et le Buste. » p. 27
heatre. Leur apparence impose au vulgaire idolâtre. L’Asne n’en sçait juger que par ce qu’il en void. Le Renard au contraire
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVII. L’Homme entre deux âges, et ses deux Maistresses. » p. 31
eux Maistresses. Un homme de moyen âge,
 Et tirant sur le grison,
 Jugea qu’il étoit saison
 De songer au mariage.
 Il avo
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un seul grain de lentille qu’Esope fit cuire en un Pot, et de quelques autres choses facetieuses. Chapitre X. »
it que des lentilles, adjoûtant pour compliment, qu’il ne falloit pas juger d’un amy par la diversité des viandes ; mais loüe
e despleut grandement à Xanthus, qui pour s’en excuser à ses amis : «  Jugez , Messieurs », leur dit-il, « si cét homme n’est p
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCV. Du Singe, et de ses Enfans. »
er voulut une fois que tous les animaux comparussent devant luy, pour juger lequel d’entr’eux avoit de plus beaux Enfans. Tou
ment loüable et beau ce qui est en leur possession ; Le reste, ils le jugent imparfaict, et de tout poinct defectueux, en cela
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 48 » p. 306
cée, lui dit : « Et maintenant tu n’admettras pas, toi, que les dieux jugent les hommes comme tu juges les fourmis ? » Ne blas
8 (1180) Fables « Marie de France, n° 29. Le loup qui fut roi » p. 514
ndé que il deit fere par jugement de celui que lui triche e ment. Tuz jugent que ele seit ocise ; dunc ad li lus la beste pris
elle esteit süef ulant. Le singe fu mut veizïez, ne voleit mie estre jugez  : il* ne saveit, itant li dist. Ne sot li lus qu’
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIV. Du Charbonnier, et du Foullon. »
yent qu’ils n’en trouvent point en la personne des Innocents, ils les jugent par le vice de ceux qui les hantent. Aussi est il
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VII. La Besace. » p. 266
estant écouté,
 Tout sage qu’il estoit, dit des choses pareilles.
 Il jugea qu’à son appetit
 Dame Baleine estoit trop grosse
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — V. Le Cochet, le Chat et le Souriceau. » p. 716
’est sur nous qu’il fonde sa cuisine. Garde-toy tant que tu vivras De juger des gens sur la mine.
12 (1180) Fables « Marie de France, n° 74. L’escarbot » p. 650
m ai dolur e mal. » Issi avient des surquidez : par eus me[i]mes sunt jugez  ; ceo enpernent que ne poënt fere, dunc lur covie
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
d’ouyr les Ambassadeurs, et les renvoya sans responce, pour ce qu’il jugea ceste demande indigne d’une repartie. Ce que ne f
presents, pour cognoistre en quelle estime elle est dans le monde, et juger par ses déportements passez, si elle est capable
14 (1180) Fables « Marie de France, n° 34. Le roi des singes » p. 569
eaus hum aver honur en curt u l’em voille tricher e par mençunge faus juger .
15 (1180) Fables « Marie de France, n° 68. Le lion et le renard » p. 258
z si fierement que sample prengnent si parent. » Li gupil ot qu’il fu jugez , mut durement s’est esmaiez ; pas pur pas est ava
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 41 » pp. 17-17
ard, ayant eu la queue coupée par un piège, en était si honteux qu’il jugeait sa vie impossible ; aussi résolut-il d’engager le
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 88 » p. 246
s épaules, l’emporta au cimetière, le déposa et se retira. Quand elle jugea qu’il avait cuvé son vin, elle revint et frappa à
18 (1180) Fables « Marie de France, n° 37. Le lion et le paysan » p. 284
n mena a un chastel l’empereür. Issi avient quë en cel jur aveient il jugé en plet un barun que [li] ot mesfet ; pruvez este
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — II. Le Lion et le Chasseur. » p. 326
ferme toujours son conte en quatre Vers ; Bien ou mal, je le laisse à juger aux Experts. Voyons-le avec Esope en un sujet sem
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 199 » pp. 140-140
ue voici. Comme le lion ne cessait de le presser, il lui dit qu’il le jugeait digne d’être l’époux de sa fille, mais qu’il ne p
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
ou si vous voulez, comme des fardeaux tres-pesants, et tres-ennuyeux. Jugez , je vous prie, si ce n’est pas une belle satisfac
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVI. Du Paon, et de la Gruë. »
p jaloux, c’est à dire, qui s’enflent de leurs bonnes qualitez, et ne jugent pas les autres dignes de leur estre mis en compar
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
eaux, et le pasturage, Valets et bestes de labeur. Ces lots faits, on jugea que le sort pourroit faire, Que peut-estre pas un
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVI. Du Chévreau, et du Loup. »
ardes toutes les plantes, qui ne naissent point en leur terroir : Ils jugent de la conduite d’autruy par leurs sentiments, et
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
espreuve se fait au Ciel, et non pas en terre. Nous ne pouvons point juger s’il reçoit des consolations interieures, ou s’il
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
la soixante-neufviesme Fable. Ce Loup avoit beaucoup de raison de juger de la perte du trouppeau par la division des Chie
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
tel que le vostre, qui excelle en la connoissance des bonnes choses, jugera tout aussi tost du haut merite de celles-cy. C’es
28 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 197 » pp. 142-142
, et dès lors incapable de se procurer de la nourriture par la force, jugea qu’il fallait le faire par adresse. Il se rendit
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
nt est qu’il l’eust escrite auparavant à la Cour du Roy des Lydiens ? Jugeons par cecy de la foiblesse de nostre nature, puis q
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
mocquent en paroles, ou en effect ; ou par les actions de ceux qu’ils jugent comtemptibles et ridicules. Si c’est en paroles,
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
e, sans doute, aux Loix de plusieurs grands Politiques, qui n’ont pas jugé qu’il y eust d’autres punitions contre les Lasche
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
hé à la dissection des animaux, pour observer le siege de la Bile, et juger par ceste espreuve de la cause de nos guerres, de
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
tement, qui se tenoit assis en un coing, où il demeuroit oisif. Ayant jugé d’abord, que c’étoit là l’homme qu’il luy falloit
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXI. Du Dieu Mercure, et d’un Charpentier. »
a qu’on les doive croire heureux. Il faut attendre la fin avant qu’en juger  ; Car elle nous monstre bien souvent que ces mesm
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
e ses veritez de la personne d’autruy ? Les Grands ne peuvent-ils pas juger en leur ame, que ceux qui s’approchent d’eux, ne
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
celles d’Esope vous avez, ce me semble, une matiere assez ample, pour juger de l’utilité qui en peut revenir, et en profiter
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
ce de vostre Patrie, vous fait agir dans une Dignité dont elle vous a jugé tres-capable, par une preeminence qui n’est pas m
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
nté, elle nous fait considerer les malheurs de si loing, que nous les jugeons petits, et hors de mesure pour nous pouvoir appro
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
pour y respondre. Il s’en alla donc en sa maison, où ne sçachant que juger de cela, il devint tout pensif, et se plongea dan
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
leur aura possible fait les doux yeux, ou fermé la main. Nous pouvons juger par là, si l’estat des Amants n’est pas ridicule,
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
assé ; environ le commencement du Printemps, il apresta tout ce qu’il jugea necessaire pour un tel voyage, principalement les
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
celestes est incomparablement plus certaine que celle des temporels, jugeons maintenant à quoy nous sommes obligez, et par le
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
n, il faut inferer de necessité qu’elle est estrangement violente, et juger comme cela pour nostre regard ; Que si des gents
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
à pouvoir nettement tirer une consequence apres deux propositions, et juger qu’elle se fait par un acte de l’entendement, qu’
t pas aisé, ce me semble, de pardonner à l’erreur de ceux qui les ont jugé capables de raisonnement. Quant aux exemples des
45 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
il n’y avait plus matière à discussion sur sa nationalité. Ils en ont jugé autrement, et, avec une gravité peut-être un peu
exprime l’espoir que Particulon son protecteur et tous les lettrés le jugeront digne de l’immortalité à laquelle il aspire : Hu
it fables du premier livre. Il est aisé de comprendre qu’il n’ait pas jugé qu’un si mince lambeau méritât les honneurs d’une
édiatement suivi des trois derniers vers d’une autre fable, qui, à en juger par ce qui en reste, devait être fort licencieuse
les fautes et les bévues de notre copiste. « À sa façon d’écrire vous jugerez aisément qu’il avait sous les yeux un manuscrit a
pour intelligo, etc., ingrabantibus pour ingravantibus, etc. J’avais jugé , par le caractère, que notre manuscrit devait êtr
ns notre manuscrit. Il n’y a point de feuillet perdu qui puisse faire juger que d’autres fables aient été aussi perdues ; les
voyant ainsi devancé, il éprouva le plus vif désappointement ; on en jugera tout à l’heure. Mais il ne se découragea pas, et,
légitimes. Mais lorsque parurent les travaux de Jannelli et qu’on put juger du texte par une publication exacte, on commença
s supposait récemment écrites, pourraient à bon droit peut-être faire juger répréhensibles. Au contraire, reportées à leur da
’on y voit deux fois reproduite la fable des Abeilles et des Bourdons jugés par la Guêpe. Perotti avait évidemment, avant de
édilection pour ce temps229. » Et plus loin il ajoute : « Ainsi, à en juger sur les simples inductions de la plus vulgaire vr
, aucun feuillet ne manquant, ne peuvent provenir que des traductions jugées indignes du cahier d’honneur ; ce vers Phædri li
se de prolonger ma réfutation : quand on nie ainsi l’évidence, on est jugé . Lorsqu’on considère ainsi en eux-mêmes les argum
ie presque littérale des vers de l’auteur latin. Pour qu’on en puisse juger , je vais prendre au hasard une des fables de Phèd
27. La Mouche et la Fourmi. iv a, 24. 28. Le Loup et le Renard, jugés par le Singe. i, 10. 29. L’Homme et la Belette
était qu’une analyse de l’analyse de Tross, ainsi qu’on va pouvoir en juger par cette traduction du passage qui concerne le m
17. La Mouche et la Fourmi. iv a, 24. II, 18. Le Loup et le Renard jugés par le Singe. i, 10. II, 19. L’Homme et la Bel
. 21. La Mouche et la Fourmi. iv a, 24. 22. Le Loup et le Renard jugés par le Singe. i, 10. 23. L’Homme et la Belette
tions, c’est le Romulus ordinaire qu’on devait être dès lors induit à juger le plus ancien de tous. Plusieurs indices m’ont f
8. La Mouche et la Fourmi. iv a, 24. II, 19. Le Loup et le Renard, jugés par le Singe. i, 10. II, 20. L’Homme et la Bel
feuillets portant les numéros 109 et 110. Mais, autant que j’ai pu en juger par le seul exemplaire que j’aie eu sous les yeux
e de Vincent de Beauvais dut avoir une grande vogue au moyen âge à en juger par le nombre considérable de manuscrits qui en e
II, 13. 18. Le Geai vaniteux. II, 16. 19. Le Loup et le Renard jugés par le Singe. II, 19. 20. Le Loup et le Berger
té porté à introduire son nom dans le titre. Du reste, il est aisé de juger qu’après avoir laborieusement cherché à justifier
17. 37. La Mouche et la Fourmi. II, 18. 38. Le Loup et le Renard, jugés par le Singe. II, 19. 39, L’Homme et la Belette
ne peuvent lui être attribuées, mais auxquelles, pour qu’on en puisse juger , je donnerai place dans le même appendice. Sec
ies de trois ouvrages poétiques, dont le premier paraît complet, à en juger par ces mots qui le terminent : Explicit doctrin
7. La Mouche et la Fourmi. 36. 35. 36. 36. 38. Le Loup et le Renard jugés par le Singe. 37. 36. 37. 37. 39. L’Homme et la
ne versifiée, traduction libre, d’une naïveté fort prononcée, dont on jugera par ce fragment de la fable Dou chien et de lasne
u de manuscrits ; mais ils sont d’une grande valeur. On en va pouvoir juger par ceux que je vais maintenant décrire. A. Man
t sous cette cote est un gros volume in-8º de très petit format. À en juger par le numérotage des feuillets, il a dû en compr
e pas dans le manuscrit 303, à savoir : la fable du Loup et du Renard jugés par le Singe, et, comme il est plus que vraisembl
. La Mouche et la Fourmi. 36. 36. 35. II, 18. Le Loup et le Renard, jugés par le Singe. 37. II, 19. L’Homme et la Belet
II, 17. La Mouche et la Mule. II, 17. II, 18. Le Loup et le Renard jugés par le Singe. II, 19. II, 19. L’Homme et la Bel
eux. 26. 10. La Mouche et la Fourmi. 27. 11. Le Loup et le Renard jugés par le Singe. 28. 12. L’Homme et la Belette. 29
sont séparés du commencement de la fable suivante par l’espace blanc jugé nécessaire à son achèvement, et la fable 50, comm
nnes, j’étais arrivé à un total de 104 fables. M. G. Paris509 n’a pas jugé ce compte exact. Pour le rectifier, il est parti
la Mouche. II, 17. 79. Les deux Loups. 80. Le Loup et le Renard jugés par le Lion. 81. La Chèvre et le Chevreau.
ré. 110. La Femme et sa Poule. III, 8. 111. Le Loup et le Renard jugés par le Singe. II, 18. 112. Les Arbres qui se do
n malade. 71. 88. Les deux Loups. 65. 89. Le Renard et le Loup, jugés par le Lion. 66. 90. La Chèvre et son Chevreau
tes dans la première édition de cet ouvrage. Cette appréciation a été jugée inexacte par M. Gaston Paris533, qui, ainsi que j
raccourcis, les autres sont d’une prolixité qui ne permet pas de les juger de même. Pour revenir à la première des quatre ab
la Mouche. II, 17. 65. Les deux Loups. 66. Le Loup et le Renard jugés par le Lion. 67. La Chèvre et le Chevreau.
é. 133. La Femme et sa Poule. III, 8. 134. Le Loup et le Renard, jugés par le Singe. II, 18. 135. Les Arbres qui se do
ur publication n’eût pas constitué un double emploi. On en va pouvoir juger par les extraits comparatifs qui suivent et que j
72. 109. 18. Le Glaive perdu. 73. 111. 19. Le Loup et le Renard jugés par le Singe. 102. 134. Il résulte clairement d
ordre des fables présente dans les deux collections. On va pouvoir en juger . Voici d’ailleurs l’énumération des fables rythmi
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