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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
ications, pour m’attacher à la plus vray-semblable de toutes, que les Italiens ont, à mon advis, comprise en ces vers, Ingegno
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
s caresses que nous en reçevons sont extraordinaires. Car comme dit l’ Italien , Chi m’accariçia piu che non suole, o ingannato
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
le Trazon de la Comedie de Plaute : tels sont les Capitans des farces Italiennes , et tels encore ces Rhodomonts et ces Braves, qui
4 (1570) Cento favole morali « Présentation »
st l’auteur de plusieurs ouvrages en prose et en vers, en latin et en italien  : nous nous bornons à citer des poèmes héroïques,
te 1570 Dédicataire Giulio Capra, comte vicentin Langue Italien Forme           Vers. Toutes les fables son
5 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
le presenti turbationi di stato, MDCVI. (C’est un petit poème en vers italiens , contenu dans six pages.) Les notes, mises en mar
ano, qui, en s’avançant dans l’Adriatique, forme l’éperon de la botte italienne . Manfredonia est bien loin de Rome, et comme ses
ivante qu’un de ses amis, François Philelphe, l’un de ses précurseurs italiens dans la science philologique, lui adressa, le 15 
reul et la préface qui en occupent 23, comprend la traduction en vers italiens des trente-deux fables nouvelles, leur texte lati
est ainsi formulé : Nouvelles Fables | de Phèdre | traduites en vers italiens  | par M. Petronj | et en prose française | par M
ain de Cicéron, le vers si discuté de Martial223. En 1772, un jésuite italien , nommé Étienne Marcheselli, alla plus loin : en s
qu’ils n’ont fait qu’analyser les raisons invoquées par les éditeurs italiens et qu’ils n’ont pas pris la peine « de lire atten
na (1853). In-8º de li-152 pages contenant une dissertation en langue italienne sur la Fable et les Fabulistes et le texte des fa
atin de Phèdre divisé en 3 livres et suivi de longues notes en langue italienne . 1854. Phædri Augusti liberti fabularum
. In-8º de 18 feuilles. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en prose française par M. Biagi
s, Garnier frères (1860). In-18 de 7 feuilles. § 5. — Traductions italiennes . 1734.     Le Favole di Fedro, Liberto
de Phèdre et les cinq restituées par Gude, avec la traduction en vers italiens en regard : Les pages 146 à 229 sont occupées par
mêmes, dont chacune est suivie : 1º de notes ; 2º de cinq traductions italiennes composées par Malaspina, Trombelli, Migliarese, u
6 de 148 pages contenant, sous le texte latin, la traduction en prose italienne des Fables de Phèdre et de celles restituées par
re et des cinq fables restituées par Gude avec la traduction en prose italienne placée en regard. 1818.     Tutte Le favo
-8º de xxiv-173 pages contenant une Prefazione et la Vita di Fedro en italien , et, sans texte latin, la traduction en vers ital
Vita di Fedro en italien, et, sans texte latin, la traduction en vers italiens des fables de Phèdre anciennes et nouvelles. Dell
ani tip. reali. In-8º de x-246 pages, contenant la traduction en vers italiens des fables anciennes, des fables restituées par G
e 146 pages numérotées, contenant (p. 87 à 116) la traduction en vers italiens des trente-deux nouvelles fables de Phèdre. 1
ompagnia. In-16 contenant, sans le texte latin, la traduction en vers italiens des fables anciennes de Phèdre, dans un premier a
encore, au temps même de Gyraldi, reproduite dans certaines éditions italiennes des fables élégiaques. La première de ces édition
le nommant ainsi, il avait fait lui-même une confusion nouvelle : un Italien , sur l’œuvre duquel je reviendrai, Accio Zuccho,
du xve  siècle qui renferment en même temps la traduction en sonnets italiens du fameux Accio Zuccho. Je ne me permettrai pas d
 || est alius. Quant à sa provenance, elle se reconnaît tant au nom italien de son premier propriétaire qu’à la reliure, dont
ampé et avaient été garnis de fermoirs, et qu’à l’écriture, qui est l’ italienne de la fin du xive  siècle. Le manuscrit est un in
ficatus et glossatus. Le volume est un in-8º écourté. L’écriture est italienne et paraît appartenir aux xiiie et xive  siècles.
opiste nommé Jean Benoît. Il s’ensuit que, lorsqu’en 1479 les sonnets italiens d’Accio Zuccho furent pour la première fois publi
e que les fables de Walther accompagnées de l’œuvre de son traducteur italien , et illustrées en marge de dessins à la plume que
abulæ , le second : Glosa in poëtica Horatii , et écrits en gothique italienne du xive  siècle, le premier sur parchemin, le sec
e compose que de vingt-quatre feuillets en parchemin, dont l’écriture italienne à longues lignes est du xive  siècle. Le premier
mais ne sont accompagnées d’aucune glose. L’écriture qui est la ronde italienne du xve  siècle est fort belle. Au bas du recto du
ne. Manuscrit palatin. Parmi les manuscrits des bibliothèques italiennes , le premier auquel une mention soit due, est le m
ts en parchemin, au nombre de 91, sont remplis par une belle écriture italienne du xiiie  siècle. Voici, telle qu’elle figure au
feuillets aussi en parchemin sont au nombre de 99 et dont l’écriture italienne à longues lignes est du xive  siècle. Il renferme
, composé de 52 feuillets en parchemin dont l’écriture est d’une main italienne du xive  siècle. Il y a bien à la fin un cinquant
plats en bois, ne possède que les fables de Walther dues à un copiste italien du xive  siècle. Le recto du premier feuillet, en
u nombre de 112, sont en parchemin et dont l’écriture, due à une main italienne , est du xive  siècle. Les ouvrages qu’il contient
inze distiques ordinaires. D. Manuscrit 640. Œuvre d’un copiste italien du xive  siècle, le manuscrit 640 se compose de v
posé de 64 feuillets en parchemin du format in-4º, offre une écriture italienne du xiiie  siècle plus fine que celle des manuscri
parchemin, qui ne portent que les fables de Walther dues à un copiste italien du xive  siècle. Elles commencent au haut du rect
vingt feuillets en parchemin remplis par une grosse et belle écriture italienne du xive  siècle. Il ne possède que les fables de
ae. Interprete Auiano. Précieux volume in-4º, imprimé en caractères italiens , non chiffré, mais signé de a à d. Les quatre cah
o : et || glosa interliniari. Édition in-4º, imprimée en caractères italiens , non chiffrée, mais signée de a à h, dont les cah
upposer que l’édition contenait avec le texte une traduction en prose italienne . Chaque fable est ornée d’une gravure sur bois. L
llets. Les fables de Walther, accompagnées d’un commentaire en langue italienne et illustrées de gravures sur bois très grossière
aises, que déclarer que je n’en connais aucune. § 4. — Traductions italiennes . En Italie, il en a été autrement : les fables
t l’écriture est du xive  siècle. Les cinquante-trois fables en prose italienne qu’il possède sont contenues dans douze feuillets
un volume in-4º, composé de 64 feuillets en parchemin dont l’écriture italienne à longues lignes est du xive  siècle. Il ne conti
e à longues lignes est du xive  siècle. Il ne contient que la version italienne en langue vulgaire des fables de Walther par un t
n-4º, dont les quarante-huit feuillets en papier portent une écriture italienne de la fin du xive  siècle, à deux colonnes sur le
s en papier sont au nombre de 252, et dont l’écriture, due à une main italienne , est de la fin du xive  siècle. Il est composé de
fables ne se trouvent, à sa connaissance, dans aucune des traductions italiennes en prose. Manuscrit 92 du fonds Palatin464.
avoir connu, se compose de 68 feuillets en parchemin, dont l’écriture italienne à longues lignes est du xve  siècle. Il est tout
Ghivizzani, qui, ayant limité ses recherches à quelques bibliothèques italiennes , n’avait pu le connaître, est un petit volume in-
ve  siècle. Le premier des ouvrages qu’il renferme est une traduction italienne en langue vulgaire des fables de Walther. Il y a
du feuillet 81. Elles sont suivies d’un opuscule également en langue italienne vulgaire, dont la nature est indiquée par ce titr
o du feuillet 97 et le feuillet 98 sont remplis par une longue épître italienne intitulée : Epistola ad. D. P. Sano. Enfin le
chaque fable latine, sont suivis de la fable correspondante en prose italienne . Quoique la traduction en langage vulgaire ne soi
po favole volgarizzate da Accio Zucco. Les leçons du texte en prose italienne ont la plus grande ressemblance avec celles du ma
9, et quelques-uns des derniers sont conservés dans les bibliothèques italiennes et notamment dans l’Ambrosienne, sous la cote S. 
au format in-16. Il se compose de xv-199 pages chiffrées. La version italienne des fables de Walther per uno da Siena occupe les
e renferme de la page 1 à la page 261, le texte de 97 fables en prose italienne puisé dans divers manuscrits anciens, de la page 
ur, qui, à ma grande satisfaction, m’a fait reparaître en latin et en italien , tel que j’ai été déjà, l’Ésope authentique tradu
ement après viennent en effet les fables latines avec leur traduction italienne . Chacune d’elles est immédiatement suivie de deux
est immédiatement suivi d’un Ave Maria affectant la forme d’un sonnet italien . À tout cela s’ajoute la table à laquelle sont co
us 66 numéros. Puis au verso du troisième feuillet viennent le sonnet italien et le sixain en vers élégiaques que j’ai déjà fai
exta fœliciter incipit. À la suite de ce titre viennent deux sonnets italiens intitulés, l’un : Prohœmio , l’autre : Idem.
total. Fol. 1 a (a 1 rº). — Page blanche. Fol. 1 b (a 1 vº). — Sonnet italien commençant par le vers :             Sapi chio s
oeliciter incipit. Fol. 2 b (a 2 vº) à 3 a (a 3 rº). — Deux sonnets italiens sous les titres Proemio et Idem . Fol. 3 b (a
e latin suivi d’un Sonetto materiale et d’un Sonetto morale en langue italienne . Fol. 5 a (a 5 rº) à 96 a (m 8 rº). — Fables illu
8 rº). — Fables illustrées comprenant le texte latin et la traduction italienne . Chacune est ornée d’une gravure au-dessous de la
e titre suivi du texte latin et ensuite d’un double Sonetto en langue italienne . Les fables, sous 66 nos, sont au nombre de 64. L
, in-4º de petit format, de l’édition de 1493, exécutée en caractères italiens , non chiffrée, mais signée de a à i et composée d
le latine est ornée d’une gravure sur bois et suivie des deux sonnets italiens qui en sont la traduction. Au bas de la seconde c
: In Venetia. Le verso du premier feuillet est rempli par le sonnet italien qui suit : Perche l’ingegno mio troppo e legier
mpose de quatre-vingts feuillets. Il se termine par une pièce de vers italiens , intitulée : Epilogo de tutta l’Opra , et suivie
À son tour Francisco del Tuppo fit paraître une traduction en prose italienne des fables de Walther. 1485. La première é
en latin et divisée en chapitres accompagnés chacun d’une traduction italienne . À la suite de la vie d’Ésope il y a un feuillet
texte latin, puis une grande gravure encadrée, ensuite la traduction italienne qui est plutôt une paraphrase qu’une traduction,
, à la suite duquel le commencement de la vie d’Ésope en latin et en italien est annoncé par ce titre : Libistici fabulatoris
itres, dans chacun desquels le texte latin est suivi de la paraphrase italienne et n’en est séparé que par une belle gravure pres
ition est considéré comme la première fable. Puis vient la paraphrase italienne , divisée en cinq parties intitulées : 1º Imago, 2
lacées après le texte latin et suivies elles-mêmes de leur paraphrase italienne divisée en quatre ou cinq parties. Comme dans l’é
on moins prétentieuse que les précédentes fut, en 1532, éditée par un Italien nommé Bartholomi Mascara, qui n’avait voulu en fa
rs distiques sont accompagnés d’une interprétation mot à mot en prose italienne « dont certains passages, dit Brunet469, sont en
1872, 1875. Le reste étant disponible fut acquis par le gouvernement italien et transporté à la Laurentienne. C’est ainsi qu’e
Naples en 1809.) 148. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en prose française par M. Bagio
rtatio I, p. v.) 160. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en prose française par M. Bagio
récité, p. 274.) 170. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par M. Petronj et en prose française par M. Bagio
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