ications, pour m’attacher à la plus vray-semblable de toutes, que les
Italiens
ont, à mon advis, comprise en ces vers, Ingegno
s caresses que nous en reçevons sont extraordinaires. Car comme dit l’
Italien
, Chi m’accariçia piu che non suole, o ingannato
le Trazon de la Comedie de Plaute : tels sont les Capitans des farces
Italiennes
, et tels encore ces Rhodomonts et ces Braves, qui
st l’auteur de plusieurs ouvrages en prose et en vers, en latin et en
italien
: nous nous bornons à citer des poèmes héroïques,
le presenti turbationi di stato, MDCVI. (C’est un petit poème en vers
italiens
, contenu dans six pages.) Les notes, mises en mar
ano, qui, en s’avançant dans l’Adriatique, forme l’éperon de la botte
italienne
. Manfredonia est bien loin de Rome, et comme ses
ivante qu’un de ses amis, François Philelphe, l’un de ses précurseurs
italiens
dans la science philologique, lui adressa, le 15
reul et la préface qui en occupent 23, comprend la traduction en vers
italiens
des trente-deux fables nouvelles, leur texte lati
est ainsi formulé : Nouvelles Fables | de Phèdre | traduites en vers
italiens
| par M. Petronj | et en prose française | par M
ain de Cicéron, le vers si discuté de Martial223. En 1772, un jésuite
italien
, nommé Étienne Marcheselli, alla plus loin : en s
qu’ils n’ont fait qu’analyser les raisons invoquées par les éditeurs
italiens
et qu’ils n’ont pas pris la peine « de lire atten
na (1853). In-8º de li-152 pages contenant une dissertation en langue
italienne
sur la Fable et les Fabulistes et le texte des fa
atin de Phèdre divisé en 3 livres et suivi de longues notes en langue
italienne
. 1854. Phædri Augusti liberti fabularum
. In-8º de 18 feuilles. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers
italiens
par M. Petronj et en prose française par M. Biagi
s, Garnier frères (1860). In-18 de 7 feuilles. § 5. — Traductions
italiennes
. 1734. Le Favole di Fedro, Liberto
de Phèdre et les cinq restituées par Gude, avec la traduction en vers
italiens
en regard : Les pages 146 à 229 sont occupées par
mêmes, dont chacune est suivie : 1º de notes ; 2º de cinq traductions
italiennes
composées par Malaspina, Trombelli, Migliarese, u
6 de 148 pages contenant, sous le texte latin, la traduction en prose
italienne
des Fables de Phèdre et de celles restituées par
re et des cinq fables restituées par Gude avec la traduction en prose
italienne
placée en regard. 1818. Tutte Le favo
-8º de xxiv-173 pages contenant une Prefazione et la Vita di Fedro en
italien
, et, sans texte latin, la traduction en vers ital
Vita di Fedro en italien, et, sans texte latin, la traduction en vers
italiens
des fables de Phèdre anciennes et nouvelles. Dell
ani tip. reali. In-8º de x-246 pages, contenant la traduction en vers
italiens
des fables anciennes, des fables restituées par G
e 146 pages numérotées, contenant (p. 87 à 116) la traduction en vers
italiens
des trente-deux nouvelles fables de Phèdre. 1
ompagnia. In-16 contenant, sans le texte latin, la traduction en vers
italiens
des fables anciennes de Phèdre, dans un premier a
encore, au temps même de Gyraldi, reproduite dans certaines éditions
italiennes
des fables élégiaques. La première de ces édition
le nommant ainsi, il avait fait lui-même une confusion nouvelle : un
Italien
, sur l’œuvre duquel je reviendrai, Accio Zuccho,
du xve siècle qui renferment en même temps la traduction en sonnets
italiens
du fameux Accio Zuccho. Je ne me permettrai pas d
|| est alius. Quant à sa provenance, elle se reconnaît tant au nom
italien
de son premier propriétaire qu’à la reliure, dont
ampé et avaient été garnis de fermoirs, et qu’à l’écriture, qui est l’
italienne
de la fin du xive siècle. Le manuscrit est un in
ficatus et glossatus. Le volume est un in-8º écourté. L’écriture est
italienne
et paraît appartenir aux xiiie et xive siècles.
opiste nommé Jean Benoît. Il s’ensuit que, lorsqu’en 1479 les sonnets
italiens
d’Accio Zuccho furent pour la première fois publi
e que les fables de Walther accompagnées de l’œuvre de son traducteur
italien
, et illustrées en marge de dessins à la plume que
abulæ , le second : Glosa in poëtica Horatii , et écrits en gothique
italienne
du xive siècle, le premier sur parchemin, le sec
e compose que de vingt-quatre feuillets en parchemin, dont l’écriture
italienne
à longues lignes est du xive siècle. Le premier
mais ne sont accompagnées d’aucune glose. L’écriture qui est la ronde
italienne
du xve siècle est fort belle. Au bas du recto du
ne. Manuscrit palatin. Parmi les manuscrits des bibliothèques
italiennes
, le premier auquel une mention soit due, est le m
ts en parchemin, au nombre de 91, sont remplis par une belle écriture
italienne
du xiiie siècle. Voici, telle qu’elle figure au
feuillets aussi en parchemin sont au nombre de 99 et dont l’écriture
italienne
à longues lignes est du xive siècle. Il renferme
, composé de 52 feuillets en parchemin dont l’écriture est d’une main
italienne
du xive siècle. Il y a bien à la fin un cinquant
plats en bois, ne possède que les fables de Walther dues à un copiste
italien
du xive siècle. Le recto du premier feuillet, en
u nombre de 112, sont en parchemin et dont l’écriture, due à une main
italienne
, est du xive siècle. Les ouvrages qu’il contient
inze distiques ordinaires. D. Manuscrit 640. Œuvre d’un copiste
italien
du xive siècle, le manuscrit 640 se compose de v
posé de 64 feuillets en parchemin du format in-4º, offre une écriture
italienne
du xiiie siècle plus fine que celle des manuscri
parchemin, qui ne portent que les fables de Walther dues à un copiste
italien
du xive siècle. Elles commencent au haut du rect
vingt feuillets en parchemin remplis par une grosse et belle écriture
italienne
du xive siècle. Il ne possède que les fables de
ae. Interprete Auiano. Précieux volume in-4º, imprimé en caractères
italiens
, non chiffré, mais signé de a à d. Les quatre cah
o : et || glosa interliniari. Édition in-4º, imprimée en caractères
italiens
, non chiffrée, mais signée de a à h, dont les cah
upposer que l’édition contenait avec le texte une traduction en prose
italienne
. Chaque fable est ornée d’une gravure sur bois. L
llets. Les fables de Walther, accompagnées d’un commentaire en langue
italienne
et illustrées de gravures sur bois très grossière
aises, que déclarer que je n’en connais aucune. § 4. — Traductions
italiennes
. En Italie, il en a été autrement : les fables
t l’écriture est du xive siècle. Les cinquante-trois fables en prose
italienne
qu’il possède sont contenues dans douze feuillets
un volume in-4º, composé de 64 feuillets en parchemin dont l’écriture
italienne
à longues lignes est du xive siècle. Il ne conti
e à longues lignes est du xive siècle. Il ne contient que la version
italienne
en langue vulgaire des fables de Walther par un t
n-4º, dont les quarante-huit feuillets en papier portent une écriture
italienne
de la fin du xive siècle, à deux colonnes sur le
s en papier sont au nombre de 252, et dont l’écriture, due à une main
italienne
, est de la fin du xive siècle. Il est composé de
fables ne se trouvent, à sa connaissance, dans aucune des traductions
italiennes
en prose. Manuscrit 92 du fonds Palatin464.
avoir connu, se compose de 68 feuillets en parchemin, dont l’écriture
italienne
à longues lignes est du xve siècle. Il est tout
Ghivizzani, qui, ayant limité ses recherches à quelques bibliothèques
italiennes
, n’avait pu le connaître, est un petit volume in-
ve siècle. Le premier des ouvrages qu’il renferme est une traduction
italienne
en langue vulgaire des fables de Walther. Il y a
du feuillet 81. Elles sont suivies d’un opuscule également en langue
italienne
vulgaire, dont la nature est indiquée par ce titr
o du feuillet 97 et le feuillet 98 sont remplis par une longue épître
italienne
intitulée : Epistola ad. D. P. Sano. Enfin le
chaque fable latine, sont suivis de la fable correspondante en prose
italienne
. Quoique la traduction en langage vulgaire ne soi
po favole volgarizzate da Accio Zucco. Les leçons du texte en prose
italienne
ont la plus grande ressemblance avec celles du ma
9, et quelques-uns des derniers sont conservés dans les bibliothèques
italiennes
et notamment dans l’Ambrosienne, sous la cote S.
au format in-16. Il se compose de xv-199 pages chiffrées. La version
italienne
des fables de Walther per uno da Siena occupe les
e renferme de la page 1 à la page 261, le texte de 97 fables en prose
italienne
puisé dans divers manuscrits anciens, de la page
ur, qui, à ma grande satisfaction, m’a fait reparaître en latin et en
italien
, tel que j’ai été déjà, l’Ésope authentique tradu
ement après viennent en effet les fables latines avec leur traduction
italienne
. Chacune d’elles est immédiatement suivie de deux
est immédiatement suivi d’un Ave Maria affectant la forme d’un sonnet
italien
. À tout cela s’ajoute la table à laquelle sont co
us 66 numéros. Puis au verso du troisième feuillet viennent le sonnet
italien
et le sixain en vers élégiaques que j’ai déjà fai
exta fœliciter incipit. À la suite de ce titre viennent deux sonnets
italiens
intitulés, l’un : Prohœmio , l’autre : Idem.
total. Fol. 1 a (a 1 rº). — Page blanche. Fol. 1 b (a 1 vº). — Sonnet
italien
commençant par le vers : Sapi chio s
oeliciter incipit. Fol. 2 b (a 2 vº) à 3 a (a 3 rº). — Deux sonnets
italiens
sous les titres Proemio et Idem . Fol. 3 b (a
e latin suivi d’un Sonetto materiale et d’un Sonetto morale en langue
italienne
. Fol. 5 a (a 5 rº) à 96 a (m 8 rº). — Fables illu
8 rº). — Fables illustrées comprenant le texte latin et la traduction
italienne
. Chacune est ornée d’une gravure au-dessous de la
e titre suivi du texte latin et ensuite d’un double Sonetto en langue
italienne
. Les fables, sous 66 nos, sont au nombre de 64. L
, in-4º de petit format, de l’édition de 1493, exécutée en caractères
italiens
, non chiffrée, mais signée de a à i et composée d
le latine est ornée d’une gravure sur bois et suivie des deux sonnets
italiens
qui en sont la traduction. Au bas de la seconde c
: In Venetia. Le verso du premier feuillet est rempli par le sonnet
italien
qui suit : Perche l’ingegno mio troppo e legier
mpose de quatre-vingts feuillets. Il se termine par une pièce de vers
italiens
, intitulée : Epilogo de tutta l’Opra , et suivie
À son tour Francisco del Tuppo fit paraître une traduction en prose
italienne
des fables de Walther. 1485. La première é
en latin et divisée en chapitres accompagnés chacun d’une traduction
italienne
. À la suite de la vie d’Ésope il y a un feuillet
texte latin, puis une grande gravure encadrée, ensuite la traduction
italienne
qui est plutôt une paraphrase qu’une traduction,
, à la suite duquel le commencement de la vie d’Ésope en latin et en
italien
est annoncé par ce titre : Libistici fabulatoris
itres, dans chacun desquels le texte latin est suivi de la paraphrase
italienne
et n’en est séparé que par une belle gravure pres
ition est considéré comme la première fable. Puis vient la paraphrase
italienne
, divisée en cinq parties intitulées : 1º Imago, 2
lacées après le texte latin et suivies elles-mêmes de leur paraphrase
italienne
divisée en quatre ou cinq parties. Comme dans l’é
on moins prétentieuse que les précédentes fut, en 1532, éditée par un
Italien
nommé Bartholomi Mascara, qui n’avait voulu en fa
rs distiques sont accompagnés d’une interprétation mot à mot en prose
italienne
« dont certains passages, dit Brunet469, sont en
1872, 1875. Le reste étant disponible fut acquis par le gouvernement
italien
et transporté à la Laurentienne. C’est ainsi qu’e
Naples en 1809.) 148. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers
italiens
par M. Petronj et en prose française par M. Bagio
rtatio I, p. v.) 160. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers
italiens
par M. Petronj et en prose française par M. Bagio
récité, p. 274.) 170. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers
italiens
par M. Petronj et en prose française par M. Bagio