t croire tres-veritable ce qu’allegue le divin Platon en son Dialogue
intitulé
Gorgias, où il dit que la Nature et la Loy sont g
e nous puissions estre. 1. [NdE] En 1631 et en 1649 la fable est
intitulée
« Du Berger et des Laboureurs » 2. [NdE] On trou
ts du fabuliste6 : le prologue du livre III, adressé à Eutyque, y est
intitulé
Phædrus ad Eutychum, et dans le livre IV le poète
que, y est intitulé Phædrus ad Eutychum, et dans le livre IV le poète
intitule
Phædrus les réflexions que lui suggèrent les atta
te de ses aveux ultérieurs et notamment du poème du livre IV, qui est
intitulé
Phædrus et dans lequel il avoue que la pensée de
r entrevu. Il arrête le quatrième livre à la fin du prologue, qui est
intitulé
Poeta ad Particulonem, et qui commence par ce ver
rtie du quatrième livre s’y trouve nettement indiquée par un épilogue
intitulé
Poeta ad Particulonem, qui commence par ce vers :
rologue du premier livre, 2º de la morale de la fable xvi du livre I,
intitulée
Ovis, Cervus et Lupus, 3º de trois vers environ d
vus et Lupus, 3º de trois vers environ de la fable xxx du même livre,
intitulée
Ranæ metuentes Taurorum prælia. En envoyant à M.
onneur de me demander, de notre manuscrit de Phèdre, et de la comédie
intitulée
: Querolus ou Aulularia, qui y est jointe. Je cro
74, dans l’almanach de Reims, un article malheureusement très fautif,
intitulé
: Notice sur le manuscrit de Phèdre qui est dans
i, par exemple, la fable v du livre II, dans les deux manuscrits, est
intitulée
: « Item Cæsar ad Atriensem. » Ce mot Item ou man
Monstris ; à celui de Saint-Remi avait été annexée une comédie latine
intitulée
Querolus sive Aulularia. C’était celle dont Pierr
112 : « “Au Phèdre, ajoute M. Grosley, est jointe une comédie latine
intitulée
Aulularia, qui n’a pas été imprimée, et qui au ju
ve siècle et préfet de Rome) que le poète Flavius adressa la comédie
intitulée
le Plaintif de Plaute ou l’Aulularia.” (H. lit.,
hie. Je renvoie ceux qui me trouveront trop sévère pour elle au livre
intitulé
: Histoire des intrigues galantes de la reine Chr
gure le manuscrit de Daniel, a été donnée dans un petit volume in-8º,
intitulé
: Recensio manuscriptorum codicum qui ex univers
lection des anciens poètes français, qui contient la chanson de geste
intitulée
Otinel et qui a été publié par MM. Guessard et Mi
’arabesques. C’est un traité de musique. Il commence par un préambule
intitulé
: Proœmium magistri Guidonis Augensis super trac
en signalent seulement sept dans leur édition de la chanson de geste,
intitulée
Otinel 133. Leur erreur provient de ce que la sep
livre, conservées dans le manuscrit de Daniel, étaient : 1º La xie ,
intitulée
: De Leone et Asino , 2º La xiie , intitulée :
, étaient : 1º La xie , intitulée : De Leone et Asino , 2º La xiie ,
intitulée
: Cervus ad fontem laudat cornua , 3º La хiiie ,
La xiie , intitulée : Cervus ad fontem laudat cornua , 3º La хiiie ,
intitulée
: Vulpis ad Corvum , 4º La xviie , intitulée :
cornua , 3º La хiiie , intitulée : Vulpis ad Corvum , 4º La xviie ,
intitulée
: Canis ad Ovem. Lupus testis commodasse contend
: Canis ad Ovem. Lupus testis commodasse contendit , 5º La xviiie ,
intitulée
: Mulier parturiens ad virum , 6º La xixe , inti
5º La xviiie , intitulée : Mulier parturiens ad virum , 6º La xixe ,
intitulée
: Canis parturiens ad alteram , 7º La xxe , sans
: Canis parturiens ad alteram , 7º La xxe , sans titre, 8º La xxie ,
intitulée
: Leo deficiens, Aper, Taurus, Asellus . Le prem
a prière d’Hincmar. Elle est d’une écriture du xiie siècle. Elle est
intitulée
: Oratio sancta quam composuit… Le dernier mot,
es. Ce fragment porte la date de 1318. Puis vient la chanson de geste
intitulée
Otinel, dont l’écriture est également du xive si
l me paraît avoir fait. Il est vrai que dans la fable ii du Livre III
intitulée
Panthera et Pastores, au lieu de la variante irat
ns, qu’il comptait faire imprimer en tête de son édition. La première
intitulée
: Dissertatio I. qua de Perottino codice in unive
vait été, suivant lui, injustement gratifié. La deuxième dissertation
intitulée
: Dissertatio II. de auctore fabellarum novarum P
e en est bien réellement l’auteur. » La troisième dissertation était
intitulée
: Dissertatio III. qua Petronii Arbitri aetas con
a fixation de l’âge de Pétrone. Il avait pris pour sujet de sa satire
intitulée
Eumolpe, l’histoire de la matrone d’Ephèse. Eumol
le mois d’avril 1812, sous forme de conversations, un nouveau volume
intitulé
: Cataldi Jannellii | regiae Neapolitanae bibli
térieure aux travaux de Jannelli. Celle qui porte le nº 35 et qui est
intitulée
: De divitiis et paupertate ad Andream Contrariu
uli et Latrones. Après le nº 46, il y a dans le manuscrit une fable
intitulée
: Pulcher modus judicandi. C’est l’ancienne fab
vient que de la personne qui a inscrit les chiffres. Ce distique est
intitulé
: De asparagis et lacte. Il contient une de ces
e, n’avait encore publié que les deux premiers volumes de son ouvrage
intitulé
Classicorum auctorum è Vaticanis codicibus editor
négligé. « Je m’en souviens, écrit le Père Vavasseur dans son livre
intitulé
De ludicra dictione 184, le Père Sirmond m’a souv
llas transtulit, Calumniamque fictis elusit jocis. Dans cette poésie
intitulée
Poeta, que tous les éditeurs ont transposée et do
poésie, qui suit immédiatement, qui, dans le manuscrit de Pithou, est
intitulée
Idem Poeta, et qui peut être considérée comme ser
avez-vous comment, dans l’index du manuscrit, cette seconde copie est
intitulée
? Elle porte ce titre moral : De Judicio ferendo
ur d’expliquer la phrase de Sénèque : G.-J. Vossius, dans son ouvrage
intitulé
De poetis latinis et publié en 1654 après sa mort
nier mot. La même année, il adressa à Funck une volumineuse réplique,
intitulée
: De Moribus, simul de Phædro eiusque fabulis ub
geait le même sentiment et le motivait dans une dissertation savante,
intitulée
Lateinische Fabulisten, dans laquelle il s’exprim
position elle rappelle complètement la fable licencieuse du livre IV,
intitulée
: Idem Prometheus. Passant sous silence la fab
ecueil qui seule est de lui, qui est une imitation de celle de Phèdre
intitulée
Socrates ad amicos, et avec laquelle, soit dit en
très approfondie de la versification latine. Dans le premier, qui est
intitulé
De generibus metrorum 273, il s’occupe d’abord de
du livre II et a fait commencer le livre III, non pas par le prologue
intitulé
Phædrus ad Eutychum, mais par le prologue intitul
as par le prologue intitulé Phædrus ad Eutychum, mais par le prologue
intitulé
Auctor qui fait suite à la dernière fable du livr
possédons, outre ce prologue, que le préambule d’une fable disparue,
intitulée
: Idem poeta , une partie de la fable Demetrius
remarquera que les huit fables nouvelles, qui dans les éditions sont
intitulées
: De Scrofa et Lupo, De Junone, Venere et aliis f
ilberti bibliopolæ. In-12 de 112 pages numérotées, suivies de 4 pages
intitulées
: Indice. 1855. Phædri fabularum libri V
lle des cinq fables restituées par Gude, et, dans un second appendice
intitulé
: Appendice seconda come nell’edizione Torinese,
crit de Leyde, qui, sous les numéros 46, 50 et 55, ont été par Nilant
intitulées
: Simia et Vulpis , Lupus, Pastor et Persecutor
D. Saverländer’s Verlag, 1867, in-8. (Voyez, pages 500 à 509, l’étude
intitulée
: « Zu den versus Scoti cuiusdam de alphabeto, ei
eln Nilants », et, pages 634 et suiv., l’étude sur le moine Théodore,
intitulée
: « Zur Geschichte der latinischen Grammatik im M
neri, MLCCCLXVIII. (Voyez, pages 185 à 187, le petit poème en 25 vers
intitulé
Est et non et notamment, au bas de la page 185, u
oyez, pages 27 à 37, sous le nº 486, le petit poème de Remus Favinus,
intitulé
: De Ponderibus et Mensuris , édité d’après un m
de la page 27, la note dans laquelle l’éditeur indique comment il est
intitulé
dans le manuscrit Woss. in-8º 15. — Voyez encore,
. 111. — Voyez aussi, pages 145 à 148, sous le nº 687, le petit poème
intitulé
Conflictus veris et hiemis et édité d’après un ma
Chapitre II. Æsopus ad Rufum. M. Lucien Müller, dans son opuscule
intitulé
: De Phædri et Aviani fabulis libellus 294, a exp
t été mises en prose et réunies en une sorte de Corpus, qui avait été
intitulé
Æsopus et dédié à un certain Rufus, d’où étaient
ques fragments dans ses notes sur la fable xiii du livre I de Phèdre,
intitulée
Vulpis et Corvus. Cette fable est, de toutes peut
; qu’enfin il lui avait été signalé par le catalogue de F.-Ad. Ebert,
intitulé
: Bibliothecæ Guelpherbytanæ codices græci et lat
t dont il donne la nomenclature suivante : Fol. 1 a à 59 b. — Ouvrage
intitulé
: Juliani Toletani prognosticorum futuri seculi
tion, lui-même il restitue ainsi, sans presque rien changer, la fable
intitulée
Vulpis in hominem versa : Naturam turpem nulla f
et le troisième, 11 ; le quatrième, 16, et le cinquième, 11, bien qu’
intitulé
inexactement comme en contenant 12. Cette divisio
x-sept fables n’existent pas dans les Fabulæ antiquæ ; ce sont celles
intitulées
: les Lièvres et les Grenouilles, le Loup et le C
Fables antiques, je prends encore pour terme de comparaison la fable
intitulée
le Geai vaniteux. La voici telle qu’elle existe d
e Codex que bien longtemps après avoir été écrites. Dans son opuscule
intitulé
De Phædri et Aviani fabulis libellus, M. Müller a
llet 35 a, commence, sans titre, la fable lx de Walther ordinairement
intitulée
De Cive et Milite, suivie des deux fables qui y s
se compose de vingt fables, est placée une table des matières qui est
intitulée
: Incipiunt capitula de libro secundo fabularum
me formant une seconde partie indépendante de la première un opuscule
intitulé
: Hystoria Sigismunde , imprimé avec les mêmes c
latine de la vie d’Ésope due à Ranutio d’Arezzo. Cette traduction est
intitulée
: Vita Esopi fabulatoris clarissimi e greco | la
ol. 25b à 26ª (d.ib à d.iiª). Table du livre I des fables de Romulus,
intitulée
: Registrū fabularu Esopi in librū primū. Fol.
dont le titre précède. Fol. 89b (m.ib). Table des fables précédentes,
intitulée
: Registrū fabularū p̄dictarum extrauagantiū.
imicius. Fol. 98ª à 98b (n.iiª à n.iib). Table des fables de Rimicius
intitulée
: Registrū fabularū predictarū q̄s remicius trās
rte. Fol. 34 a (e. v a). — Fin du livre I et table du livre II, ainsi
intitulée
: Capitula libri Secungi (sic) Fabularum Esopi.
III présente cette particularité que les fables viii et xx de Romulus
intitulées
, l’une : De iunone et venere , l’autre : De leo
les sont suivies d’une table qui commence sur la même page et qui est
intitulée
: Registrum fabularum predictarum quas Remicius
noue. Fol. 86 b. — Fin des 17 fabule noue et commencement de la table
intitulée
: Registrum fabularum predictarum quas Remicius
n. viii au recto Remicii au lieu de Auiani. Fol. 100 a. — Table ainsi
intitulée
: Fabularum Auiani antedictarum registrum sequit
Esopi. Fol. 41 b. — Fin du deuxième livre. Table du troisième livre
intitulée
: Incipit registrum fabularum tercii libri Esopi
— Fin du troisième livre ; la vingtième et dernière fable de ce livre
intitulée
De Leonis fallaci conversatione n’existe qu’en pr
lus, vient une dédicace qu’il adresse à son fils Onophrius et qui est
intitulée
: Sebastianus Brant : Onophrio Thedigene filio s
rtations latines du Père Desbillons, des deux opuscules du Père Adry,
intitulés
l’un : Dissertations sur les quatre manuscrits de
on mary. Les fables du Pogge sont au nombre de sept. La dernière est
intitulée
: Du cocq et du regnard et des chiens. Fol. s.
nº 4693. Comme les précédentes, elle contient la traduction de Macho
intitulée
: Les subtiles fables d’Ésope, avec celles d’Avi
de Boëce pourvue également d’une glose anglaise, 3º un roman anglais
intitulé
: The knyght of the toure. Quant à ceux qui s’
ition espagnole ne renferme que 22 de ces fables dont la dernière est
intitulée
: Del patre y del hijo que yvā a vēder el asno ,
ue la traduction espagnole. J’ajoute que la dernière série de fables,
intitulée
: Fabulas collectas, n’en comprend que 21. J’ai t
it s’appeler l’Encyclopédie du xiiie siècle, comprend quatre parties
intitulées
, la première : Speculum historiale, la deuxième :
tendent du recto du feuillet 118 au verso du feuillet 122. Elles sont
intitulées
: De hesopo et fabulis eius moraliter fictis con
de la fable Luscinia et Accipiter à l’avant-dernière phrase de celle
intitulée
Asinus et Leo et qui fait entièrement disparaître
cula benedictus deus. Le dernier feuillet est occupé par un chapitre
intitulé
De virginitate 370. Deuxième édition. Men
éditions antérieures, cette souscription est suivie d’un court traité
intitulé
: De Virginitate 383. Speculum doctrinale.
Dr Steinhöwel en a introduit douze dans le groupe de dix-huit qu’il a
intitulé
Fabulæ extravagantes. Quant aux six autres qui c
thèque de Grätz, sous la cote 43 a / 10 un exemplaire de son opuscule
intitulé
: Qui auctores legendi sunt ad eloquentiam compa
ur de cette hypothèse, je me suis reporté à l’ouvrage de Girald Barry
intitulé
Itinerarium Cambriae 409. L’auteur y consacre un
’il adopte ont avec les fables une certaine analogie : dans son poème
intitulé
Phisiologus, il peint les caractères du Renard, d
r, mais encore comme un père. Walther avait composé pour lui un livre
intitulé
: Pro latinæ linguæ exercitiis. Il est probable q
ont été de nos jours rééditées par Dressler ; ce sont les deux fables
intitulées
, l’une : le Chapon et l’Épervier, l’autre : le Be
anière et qui a dû être presque son contemporain. Je passe à la fable
intitulée
: le Marchand et sa femme, qui figure dans plusie
is j’avoue tout de suite que, lorsqu’il s’agit de la quatrième fable,
intitulée
Le Paysan et Pluton, je n’ai plus d’incertitude.
Les dernières pages sont remplies par un fragment d’élégie amoureuse
intitulée
Pamphilus et par un poème relatif aux amours de J
lles sont au nombre de 61, réparties sous 62 numéros. La dernière est
intitulée
De Lupo et Pastore. C’est une des deux fables qui
ui y sont le plus souvent ajoutées, et qui, dans les manuscrits, sont
intitulées
De Capone et Accipitre et De Lupo et Pastore. Les
sion peu connue, commence par un prologue et se termine par une fable
intitulée
(en roman) Dou chevalier et dou borjois qui est d
uivent les dix vers de la fable latine, la miniature et la traduction
intitulée
: Dou chien et de la burbiz et composée de quar
i de six vers de la fable latine, de la miniature et de la traduction
intitulée
: Du chien qui porte la pece de char en son boic
tent les quatre premiers vers de la soixante et unième, ordinairement
intitulée
De Capone et Accipitre. Le reste du feuillet est
t blanc. Les feuillets 80 à 126 sont remplis par un ouvrage religieux
intitulé
: Lumen animæ. Cet ouvrage est précédé d’une ta
t précédé d’une table qui occupe les feuillets 80 a à 81 a et qui est
intitulée
: Excerptorius luminis anime. Puis viennent deu
uellement la suit ; il a été rejeté à la fin d’une soixante et unième
intitulée
: De fero rustico et seua coniuge , qu’on trouve
n commentaire, les fables de Walther, qui, suivant le catalogue, sont
intitulées
Liber Esopi et sont le dernier des trois ouvrages
ne de Suma Campanea. Au-dessous viennent deux sonnets préliminaires
intitulés
, le premier : Sonelus , et le second : Commentu
es trente-deux premières fables de Walther. La trente-deuxième fable,
intitulée
De Cervo, Lupo et Ove, s’arrête à ce vers : Namq
ées de 60 ordinaires, et d’une soixante et unième en vers hexamètres,
intitulée
: De Pueris ludentibus et Lepore , et très certa
duites par Rimicius. Comme sa vie, elles sont précédées d’un argument
intitulé
: Argumentum fabularum Esopi è greco in latinum
urs lorsqu’elles atteignent ce nombre, les deux dernières sont celles
intitulées
De Capone et Accipitre et De Pastore et Lupo.
est la même que la soixante-troisième du manuscrit 10088, et qui est
intitulée
: De Uxore et Viro et Puero. Au-dessous de cett
d’Avianus. Elles sont précédées d’un prologue de trente vers qui est
intitulé
Addition, et qui commence ainsi : Or vous ai des
bre de soixante-deux, composées des soixante authentiques et des deux
intitulées
: De Capone et Accipitre et : De Pastore et Lu
4º, dont les soixante-quatre feuillets sont occupés par deux ouvrages
intitulés
, le premier : Exopi fabulæ , le second : Glosa
ther et les deux fables qui y sont ordinairement ajoutées et qui sont
intitulées
, l’une : De Capone et Accipitre , l’autre : De
d’une écriture aussi ancienne que celle qui précède. Cette pièce est
intitulée
: Ad Paulinum Augustinus , et commence par ces m
authentiques et des deux complémentaires qui, dans le manuscrit, sont
intitulées
: De Ancipitre et Capone et : De Pastore et Lu
ne possède que les trente vers authentiques. Les deux dernières sont
intitulées
: De Ancipitre consulente Caponi et : De Pasto
it été ménagé pour les recevoir, n’a pas été rempli. La fable xlviii,
intitulée
: De Viro defuncto et Uxore , ne se compose que
alther suivies des deux complémentaires, qui, dans le manuscrit, sont
intitulées
: De Accipitre et Capone et : De Pastore dante
chacune d’un titre particulier à l’encre rouge. La quarante-huitième,
intitulée
: De Viro mortuo et Uxore sua , ne comprend que
de Nani, et que c’est celui que Morelli a analysé dans son Catalogue
intitulé
: Codices manuscripti latini bibliothecæ Nanianæ
authentiques et des deux complémentaires qui, dans le manuscrit, sont
intitulées
: De Caupone (sic), Domino et Accipitre et :
e authentiques, les deux complémentaires qui, dans le manuscrit, sont
intitulées
: De Capone et Accipitre et : De Pastore et Lu
encre rouge, sont au nombre de soixante-deux. Les deux dernières sont
intitulées
: De Capone et Domino et : De Pastore et Lupo.
authentiques et des deux additionnelles qui, dans le manuscrit, sont
intitulées
: De Capponibus et Ancipitre et : De Lupo et P
airement au classement usuel, ces deux fables précèdent celle qui est
intitulée
De Cive et Milite et qui dans les manuscrits est
est du format in-folio et se compose de 30 feuillets. La seconde est
intitulée
: Aesopi fabulae uersibus expressae ab incerto a
d’une fausse hypothèse sur le véritable auteur des fables de Walther.
Intitulée
: Esopi fabulae , elle se termine ainsi : Finit
les consistent dans les soixante-deux plus usuelles, suivies de celle
intitulée
De Puero suspenso, au-dessous de laquelle sur le
fables se composent des soixante-deux plus usuelles, suivies de celle
intitulée
tantôt : De puero suspenso , tantôt : De pueris
e de soixante-six, composées des soixante ordinaires et de six autres
intitulées
: De Capone et Accipitre, De Pastore et Lupo, De
es suivants : De Capone et Accipitre, De Pastore et Lupo, et de celle
intitulée
: De Puero suspenso. Cette addition a entraîné la
s sont au nombre de 66, comprenant les soixante de Walther et les six
intitulées
: De Capone et Accipitre ; De Pastore et Lupo ; D
7. Il est suivi, pages 138 à 157, de longues et savantes observations
intitulées
Anmerkungen, pages 158 à 164, d’un glossaire (Glo
ois. Manuscrit 1764. Ce manuscrit renferme deux fables en prose
intitulées
, l’une : Della Capra che pasciera nel monte , l’
qui est celle Del Topo di cità e del Topo di villa ; les deux autres
intitulées
, l’une : Della Gholpe e del Lupo , l’autre : De
ier et dont l’écriture est du xve siècle, contient une fable en vers
intitulée
: Una favola d’Isopo della Testuggine. B.
rit palatin publié à Lucques par Minutoli. La première fable, qui est
intitulée
: Del Gallo , commence par ces mots : Dicie che
a sue per uno monte di letame , etc. La quarante-sixième et dernière,
intitulée
: D’una sconcordia di prezzo d’uno muletto trall
s fables sont seulement au nombre de 63. Celle qui porte le nº 64 est
intitulée
: Della Golpe et del Granchio ; elle n’existe d
zzani, à qui j’emprunte cette nomenclature, affirme, dans son ouvrage
intitulé
: Il Volgarizzamento delle Favole di Galfredo 4
les feuillets 31 a à 34 b. Il n’y en a que quatorze. La première est
intitulée
: Del Ghallo e della Pietra preziosa , et la der
let 97 et le feuillet 98 sont remplis par une longue épître italienne
intitulée
: Epistola ad. D. P. Sano. Enfin le volume pos
pe les pages 1 à 69. Les pages 71 à 82 sont remplies par une addition
intitulée
: Appendice di Favole scelte dal Testo Riccardia
reliqui 176 et qui contient trois fables, d’après l’éditeur inédites,
intitulées
: Della Volpe e del Granchio , Del Mercatante e
nt deux sonnets servant de préambule, l’un, au verso du même feuillet
intitulé
: Proemio , l’autre au recto du troisième feuill
feuillet intitulé : Proemio , l’autre au recto du troisième feuillet
intitulé
: Idem. Au verso de ce feuillet on lit, placés
n italienne. Chacune d’elles est immédiatement suivie de deux sonnets
intitulés
, l’un : Sonetto materiale , l’autre : Sonetto m
citer incipit. À la suite de ce titre viennent deux sonnets italiens
intitulés
, l’un : Prohœmio , l’autre : Idem. Enfin les
ale suivis du mot Finis. Fol. 99 b (n 3 vº) à 100 b (n 4 vº). — Table
intitulée
: Tavola de le preditte fabule et close par le
jà été signalés dans l’analyse de l’édition originale. Le premier est
intitulé
Prohemio et le second Idem. Au recto du deuxième
uatre-vingts feuillets. Il se termine par une pièce de vers italiens,
intitulée
: Epilogo de tutta l’Opra , et suivie au verso d
paraphrase qu’une traduction, divisée en général en plusieurs parties
intitulées
: 1º Imago, ou Apologus ; 2º Tropologia ; 3º Alle
comme dans les éditions de la traduction d’Accio Zuccho, sont celles
intitulées
: De Capone et Accipitre ; De Pastore et Lupo ; D
, qui vient immédiatement après, porte au recto la table des matières
intitulée
: Tabula in fabulas Esopi , et au verso le regis
re fable. Puis vient la paraphrase italienne, divisée en cinq parties
intitulées
: 1º Imago, 2º Tropologia, 3º Allegoria, 4º Anago
ière, fait l’objet d’une paraphrase spéciale divisée en trois parties
intitulées
: 1º Conclusio allegorica, 2º Confirmatio, 3º Epi
de l’avant-dernier feuillet est rempli par une table à deux colonnes
intitulée
: Tabula in fabulas Esopi. Le verso du même feu
D. XXXII. per Ludovicum Britannicum Brixie. Au verso se lit un avis
intitulé
: Vincentius Metellus cirratæ adolescentiæ , qui
du fonds Saint-Victor auquel il a appartenu, il a la cote 704 et est
intitulé
: Sermones diversi et quædam moralia. Dans le c
nseigna même les lettres, et il est probable qu’il y composa le poème
intitulé
: Laus sapientiae divinae. Il se trouve dans un
onner la liste complète ; en effet, elle ne comprend ni celui qui est
intitulé
: Suppletio defectuum operis Magistri Alexandri,
mé dans une table des matières placée en tête. Le dernier ouvrage est
intitulé
: De la misère de l’ome. Il commence à la fin d
u mois de juillet 1834, dans un petit volume tiré à 48 exemplaires et
intitulé
: Fables en vers du xiiie siècle. Comme dans la
xxxviii. De Pica et cauda sua, et deux fables empruntées à Avianus et
intitulées
: De L’Escreueice et de sa mère, et : Dou Soleil
tions de cet auteur portent les nos 59 et 60 et qui sont généralement
intitulées
: De Judæo et Pincerna et : De Cive et Milite. En
e, ainsi rejetée à la fin du manuscrit, est celle qui, habituellement
intitulée
: De Lupo et Vulpe, commence par ce vers : Respo
s ; car on ne peut considérer comme une vraie fable la dernière pièce
intitulée
: La Statue d’Ésope. Mais provisoirement j’acce
les ; le deuxième, 20, et le troisième, 12 dont la dernière est celle
intitulée
: La Statue d’Ésope. C’est une division évidemm
utes sauf une ; car, s’il est vrai que la cinquantième de ce Romulus,
intitulée
: La Statue d’Esope , a été également omise dans
ges et tout de suite après avec les mêmes. De là les fables vi et vii
intitulées
, l’une : Le Buffle, le Loup et le Lion, l’autre :
ui n’existent pas dans l’édition de M. de Roquefort ; la première est
intitulée
: De la Corneille qui se vesti des plumes de tou
le latine ; c’est celle que, dans la liste précédemment dressée, j’ai
intitulée
: Les Oiseaux qui élisent un Roi. La conclusion
mi les œuvres étrangères à Marie, dans le manuscrit 1593, où elle est
intitulée
: Dou vilain à la coille noire. On la trouvera
les animaux envisagés au point de vue de leur nature morale, qui est
intitulé
: Chi commenche li drois || bestiaires de la dev
er comme lui étant étrangers les deux derniers qui dans la table sont
intitulés
, l’un : De la Corneille qui se vesti des plumes
» C’est après le vingt et unième vers de la fable xlv du manuscrit,
intitulée
: Coment. I. Bretons ocist grand conpegnie de br
il n’en existe plus que soixante-trois. Encore la soixante-troisième,
intitulée
: D’un leu qui aprint a. I. vilain. III. sens ,
nds Moreau. Je ne dirai que quelques mots de ce manuscrit in-fol.,
intitulé
: Mouchet , qui, étant moderne, ne peut être con
able source. Il a été relié en quatre volumes, et c’est le quatrième,
intitulé
: Mouchet IV, qui renferme les fables de Marie. E
ue je consacrerai à Avianus, je m’occuperai du dérivé en prose latine
intitulé
Apologi Aviani, j’aurai l’occasion de revenir sur
ue une, celle qui dans le manuscrit 1108 est la cent trente et unième
intitulée
: De Sene et eius Filio. Les fables du Dérivé
copie de l’autre. C’est ainsi que l’avant-dernière fable du recueil,
intitulée
De Viatore et Satyro, présente trois espaces blan
s deux collections de fables sont suivies de deux tables des matières
intitulées
, l’une : Capitula de Esopo , l’autre : Incipiun
, on lui doit aussi des additions ; c’est ainsi que, dans la fable 62
intitulée
: Quomodo apes et musca contenderunt de dignitat
’ont pas tous été publiés ; le plus important, resté manuscrit, était
intitulé
: Délassement d’un jurisconsulte. 76. Vie de Pi
ent lieu en l’honneur de Guido dans toute l’Italie. Cette biographie,
intitulée
: Biografia di Guido Monaco, d’Arezzo, inventore
ages sus-indiqués. 231. Voyez, tome I, p. 195 à 238, sa dissertation
intitulée
: De Phædro antiquitatis scriptore Disputatio. 2
a litteraria de Phædro, t. I, p. 169. 307. Voyez notamment l’édition
intitulée
: Vita Esopi una cum suis Fabulis, a græco in lat
rer de celles que M. Léopold Hervieux a fait connaître dans l’ouvrage
intitulé
: Les Fabulistes latins depuis le siècle d’August