1495, qui semble corrompu et difficilement compréhensible en l’état,
indique
: « Nescis inquit insane nescias, quot non ex uer
qui uirum et mulierem arctissime constringit. d. Le texte de 1495
indique
« infelix », ce qui obscurcit la compréhension du
elles avaient aggravé leur malheur ; car la maîtresse, à qui le coq n’
indiquait
plus l’heure, les faisait lever de plus grand mat
pondit qu’il n’en avait pas vu ; mais de la main il fit un geste pour
indiquer
où il était caché. Les chasseurs ne prirent pas g
nda à des bergers s’ils n’avaient pas vu un cerf ensanglanté. Ils lui
indiquèrent
son gîte dans la forêt. Il le trouva qui reprenai
a moindre incertitude. Il a soin, dans le prologue du livre III, de l’
indiquer
en ces termes : Ego, quem Pierio mater enixa est
movit et domuit feras, Hebrique tenuit impetus dulci mora ? Ces vers
indiquent
implicitement quel était le versant du Piérus, su
m du fabuliste, le lieu de sa naissance et sa nationalité, j’aurais à
indiquer
la date à laquelle il était né. Mais sur ce point
as de longs efforts à faire pour la découvrir ; car Phèdre lui-même l’
indique
en ces termes : In calamitatem deligens quædam m
pas le plus-que-parfait fuisset ; il se sert de l’imparfait foret qui
indique
qu’il est encore en butte à des poursuites et que
ropterea pluribus, Brevitate nimia quoniam quosdam offendimus. Pour
indiquer
leur concision, il donne toujours à ses fables la
r commentateur français des fables de Phèdre. C’est là du moins ce qu’
indique
la note suivante tracée au crayon en tête de l’ex
Je me permettrai seulement de faire connaître les particularités qui
indiquent
par quelles mains le volume est successivement pa
1812, Adry lui-même, dans son Examen des nouvelles fables de Phèdre,
indique
qu’il est dans les mains de M. Le Peletier de Ros
ouge ou tirant sur le violet. Les titres sont d’un beau rouge, ce qui
indique
facilement à l’œil la séparation des fables. Car
l’a relu et a corrigé tantôt bien, tantôt à contre-sens. C’est ce qu’
indiquent
certaines corrections d’une encre un peu plus fon
les leçons pour le même mot. « La séparation des vers n’est nullement
indiquée
. Les mots y sont ou réunis, ou bien séparés tantô
u-dessus de la voyelle, à la place de la lettre m, le même trait pour
indiquer
la duplication des consonnes, et sur l’e pour est
t celui de Reims. “Dans celui-ci, dit-il97, les lacunes ne sont point
indiquées
; tous les mots se suivent, lors même qu’il est é
tres dans le corps de l’ouvrage. M. Pithou en fait la remarque, et il
indique
ces lacunes par des lignes ponctuées.” « Pithou,
ans les endroits corrompus pour lesquels il trouvait des corrections,
indiquait
par des étoiles les lieux où, d’après le sens, il
scrit (vetustissimi codicis scriptura). Ainsi, ces lignes ponctuées n’
indiquent
nullement des lacunes observées dans le manuscrit
la fin de la deuxième partie du quatrième livre s’y trouve nettement
indiquée
par un épilogue intitulé Poeta ad Particulonem, q
le manuscrit, le texte entier de ces fables ; mais il avait du moins
indiqué
les variantes, par lesquelles elles différaient d
s dans son intégralité le texte de l’édition Brocas. Il s’est borné à
indiquer
les mots du texte imprimé qui étaient en désaccor
nt pour le texte même des fables, mais encore pour leurs titres. Il n’
indique
que ceux qui ne sont pas conformes. On pourrait d
manuscrit de Reims, j’ai remarqué que, toutes les fois que le titre,
indiqué
d’après le manuscrit de Reims, était en désaccord
le prouve encore, c’est que, lorsqu’au contraire une variante lui est
indiquée
comme commune aux deux manuscrits, il a soin de l
i du manuscrit de Pithou, il était passé d’une fable à une autre sans
indiquer
la transition et probablement sans l’apercevoir ;
un livre à un autre n’était pas non plus toujours observé. Il n’était
indiqué
qu’au commencement du second livre par ces mots :
Quand on y regarde de près, on remarque que presque toujours la leçon
indiquée
par Dom Vincent est conforme au texte du manuscri
ommencement du ixe ; sa notice, insérée dans l’almanach de Reims111,
indique
que, dans sa pensée, elle ne dépasse pas le viiie
es. Les huit fables qu’il renferme étant celles que j’ai précédemment
indiquées
, il s’ensuit qu’elles ne comprennent pas la fable
ctement relevé les leçons, a commis cependant une énorme faute : il a
indiqué
les mots nomen cum locat comme fournis par le m
si beau chemin, et le même M. Berger de Xivrey, dans une autre note,
indique
une autre variante qui serait fournie par le seco
Philippe, lorsqu’il signale les variantes du manuscrit de Perotti, en
indique
la source par les abréviations MS. Par., ou MS. P
itulée Panthera et Pastores, au lieu de la variante irati du vers XVI
indiquée
par Burmann, Philippe attribue au texte de Perott
t mal compris ou retenu ce que d’Orville lui avait expliqué, il avait
indiqué
la Bibliothèque Ambrosienne à Milan comme détenan
qui se trouvent toutes sans exception dans le manuscrit, aux lacunes
indiquées
dans l’une et qui sont exactement dans l’autre, e
les lettres ayant été transposés, souvent ce qui est de Cassitto est
indiqué
comme étant de Phèdre, et ce qui appartient à Phè
assitto sans plus de pitié que le chat avec la souris. Il suffit d’en
indiquer
les titres, pour faire apprécier l’esprit qui y r
nt, si le manuscrit existait, il serait mis à ma disposition. Le jour
indiqué
, je me rendis à neuf heures du matin à la bibliot
prendre, si M. Padiglione lui-même ne m’en eût donné les moyens. Il m’
indiqua
l’adresse du libraire Giuseppe Dura, chez qui je
, et si d’autre part on en retranche l’épître en prose que je viens d’
indiquer
, on arrive toujours à un nombre total de cent cin
, je m’abstiendrai d’en donner l’analyse complète et je me bornerai à
indiquer
les principaux. Le premier, sur lequel il s’appui
rle ensuite de Socrate, d’Horace, de Gabrias et de Phèdre, c’est pour
indiquer
qu’en agissant ainsi, il suivra leur exemple. Il
meis mandantur nomina chartis. « On doit savoir gré à Docen d’avoir
indiqué
ces rapprochements ; car ils prouvent que Martial
lassiques latins de Lemaire, avec des notes de Barbier, dont l’une239
indiquait
que le manuscrit de Pithou existait dans la bibli
t dans son Histoire de la fable ésopique 241 qu’il a, en la motivant,
indiqué
son opinion. Il admet en partie ce que les discus
opper des fables ; c’est donc une simple opposition à coarctavit, qui
indique
seulement un recueil plus considérable que celui
eu près semblable, en disant que par le mot resolvere Avianus a voulu
indiquer
un recueil plus considérable que celui de Babrius
Les différentes espèces de vers appellent ensuite son attention : il
indique
quels sont les pieds qui peuvent et quels sont ce
re porte pour titre ces mots : Item Cæsar ad Atriensem. Le mot Item
indique
que dans la fable précédente il devait être quest
lles qu’ils ont déjà signalées. Je me bornerai jusqu’à l’année 1822 à
indiquer
celles qu’ils ont omises, et à partir de 1822 à f
Malaspina, Trombelli, Migliarese, un anonyme et un dernier auteur non
indiqué
, mais sans doute éditeur du volume ; 3º de Rifles
elles vicissitudes il en était sorti. C’est non pas un in-8º, comme l’
indique
sa cote, mais un in-4º, dont l’écriture sur vélin
trent plus loin dans le texte des fables. Cette différence semblerait
indiquer
que le manuscrit est l’œuvre de plusieurs copiste
lui-même, dont la nature est, avec le nom de l’auteur, explicitement
indiquée
par ce titre : Incipiunt epigrammata Prosperi er
de Vienne, et, au bas de la page 27, la note dans laquelle l’éditeur
indique
comment il est intitulé dans le manuscrit Woss. i
e, je crois qu’il ne faut l’admettre que dans certaines limites que j’
indiquerai
plus loin, et que notamment il faut partir de cet
e sorte que, pour désigner un manuscrit quelconque, il faut à la fois
indiquer
son numéro et sa classe. Pour les livres imprimés
vait-il été écrit et à quel copiste était-il dû ? Voilà ce que rien n’
indique
, de telle sorte que l’histoire des pérégrinations
vait adressé ses apologues à son fils qu’en souvenance du Tibre, pour
indiquer
son origine romaine, on appela Tyberinus. » Mais
nservé ne semble pas lui-même antérieur au xive siècle ; mais rien n’
indique
que la copie qu’il renferme, quoique beaucoup moi
n’en avait pas moins eu soin de la publier en note à la page 65, et d’
indiquer
qu’elle était tirée du même manuscrit. Or l’âge d
aphrases : c’est tout ce qu’on peut espérer obtenir. Je me contente d’
indiquer
que l’âge du manuscrit de Burney permet de suppos
de celui qui composa l’Aesopus latin, sa suprême puérilité me semble
indiquer
qu’il vécut au temps des Mérovingiens. À l’égard
me du livre II. La fin du livre I et le commencement du livre II sont
indiqués
en ces termes : Explicit liber primus. Incipit l
e et du Renard. La fin du livre I et le commencement du livre II sont
indiqués
par ces deux phrases à l’encre rouge : Explicit
Alphonse, les facéties du Pogge et d’autres, chacune avec son titre y
indiqué
, en latin, — le tout mis en allemand clair et int
s notes, chacune d’elles finit, est celui qui comme tel est également
indiqué
par des hachures dans le Répertoire de Hain. C’es
t liber. Le fol. 5 est occupé par la table des matières, que, pour
indiquer
le contenu de l’ouvrage, je crois devoir transcri
16 et le troisième sous la cote Douce 226. Mais ce qui semble surtout
indiquer
qu’ils n’y ont pas été importés, ce sont les nomb
si conçue : Cat. bibl. Bodl. I. p. 16. Je me reportai à la référence
indiquée
par Panzer qui, dans ma pensée, avait dû faire al
sur bois. Le lieu, la date et le nom de l’imprimeur y sont nettement
indiqués
par cette mention finale : Esopus der hochberühm
l’enseignement des bonnes mœurs, coordonnés ensemble. » Une préface
indique
ensuite que Brant a écrit son ouvrage pour l’inst
sope revenant du marché, et au bas de la page le lieu et la date sont
indiqués
en ces termes : Zu Basel, Anno 1676. Il existe
uit épisodes dont le dernier par suite d’une erreur typographique est
indiqué
comme contenant La dixhuytiesme hystoire. Elle es
celles d’Avien, d’Alphonse et de Poge Florentin , et la souscription
indique
qu’elle a été imprimée à Lyon par Pierre Marescha
ru voir la date de 1515352 ; mais Brunet plus judicieux affirme qu’il
indique
seulement le nombre des cahiers, et il assigne à
e de l’édition de Gouda, qui, quoique incomplet, me permet du moins d’
indiquer
le titre de l’ouvrage. Le voici : Esopus leuen e
Fol. 25 b (d 5 vº). — Au-dessous de la souscription qui vient d’être
indiquée
est une gravure représentant Ésope assis qui écri
Fol. 52 b (h 2 vº). — Commencement du livre IV des fables de Romulus
indiqué
en ces termes : Aqui comiença el quarto libro de
livres et par les autres en trente-deux seulement. Comme son titre l’
indique
, il traite des sciences naturelles, telles que la
idos et incautos et vane gloriantes Eusebius , etc., et la fin en est
indiquée
par ces mots : Explicit libellus de fabulis heso
s dans trois distiques qui terminent le volume. En outre, la date est
indiquée
par cette souscription : Idibus Decembribus anno
s. Quant aux fables xxx, xxxii, xxxiv, xxxvi et xxxvii, je ne peux en
indiquer
l’origine ni même en signaler de semblables dans
arante-huit fables qui forment la première partie de la collection et
indiquer
en même temps leur corrélation avec leurs princip
tinum transtulit. » Si dans ce passage le nom de l’empereur n’est pas
indiqué
, en revanche aucun doute n’apparaît sur le savant
on le rencontre souvent dans les anciens manuscrits. Je ne puis mieux
indiquer
ce qu’il est qu’en renvoyant à la notice du catal
ait-il ? Voilà ce que, selon son habitude, il n’a pas pris la peine d’
indiquer
. Supposant que c’était un des deux manuscrits de
e Walther ; la deuxième, dix-huit de celles d’Avianus. Le titre enfin
indique
qu’il a été fait à l’œuvre primitive quelques add
feuillets blancs qui précède les feuillets numérotés, la cause en est
indiquée
dans cette note que j’ai déjà citée : « A mon ent
fit restaurer, et en tête du volume, auquel il donna la cote 713, en
indiqua
le contenu dans les termes suivants : 1º Boecius
res ; les fables élégiaques, sous ce titre : Ysopus integer , y sont
indiquées
comme commençant au feuillet 90. Mais c’est une e
ppements, m’abstenir d’analyser toutes les fables, j’en vais du moins
indiquer
maintenant les titres. J’omets ceux des fables la
un petit volume in-8º, dont les feuillets en papier sont non, comme l’
indique
le catalogue, au nombre de 54, mais bien au nombr
opi. Esopus cum commento. De Spiritu Guidonis. Les fables de Walther
indiquées
par les mots Esopus cum commento occupent les f
re beaucoup moins ancien. Sur ce feuillet le contenu du manuscrit est
indiqué
en ces termes : In hoc libro continentur hi poet
sur la face intérieure du premier des plats, un calligraphe moderne a
indiqué
le contenu du volume : LXII Æsopei Apologi versi
let ne contenait qu’une partie de la fable lviii, et cependant rien n’
indiquait
que la fin de cette fable eût, avec les deux dern
été écrit en 1436 et dans les années suivantes et dont l’origine est
indiquée
au catalogue imprimé de la Bibliothèque par cette
ns, dans lequel il portait le nº 109. Ce manuscrit, dont le catalogue
indique
l’origine par cette mention : Aug. S. Ur. 109 et
complété. Le manuscrit 5311 forme un volume in-4, dont l’origine est
indiquée
au catalogue par cette mention : Chiem. ep. 11.
it, qui est du xve siècle, forme un volume in-4º, dont l’origine est
indiquée
au catalogue par cette mention : Ebersb. 141. Il
rit, qui est du xve siècle, forme un volume in-4º dont l’origine est
indiquée
au catalogue par cette mention : Ind. 280. Il se
, qui est du xve siècle, forme un volume in-fol., dont l’origine est
indiquée
au catalogue par cette mention : Em. B 42. Il se
s ouvrages. J. Manuscrit 14301. Ce manuscrit, dont le catalogue
indique
l’origine par cette mention : Em. D 26, contient
14586. Ce manuscrit, qui est du xve siècle et dont l’origine est
indiquée
par cette mention : Em. F 89, forme un volume in
703. Ce manuscrit qui remonte au xve siècle et dont l’origine est
indiquée
au catalogue par cette mention : Em. G. 87, form
, qui est du xve siècle, forme un volume in-fol., dont l’origine est
indiquée
au catalogue par cette mention : S. Nic. 213. Il
bulæ quædam. Ce dernier titre, qui se rapporte aux fables de Walther,
indique
qu’elles sont incomplètes. En effet, le manuscrit
ux Johannes Galeaz Mediolani , qu’il faut lire dans ces abréviations,
indiquent
que le manuscrit a appartenu à Jean Galéaz, duc d
r, le mérite artistique ; car au-dessous de la mention que je viens d’
indiquer
, il avait pris la peine d’écrire et de signer de
ides. La vie d’Ésope s’étend jusqu’au feuillet 67 b, où la fin en est
indiquée
par les mots Finis Esopi vitae . Alors, au feuil
nterlinéaire, et se terminent au recto du feuillet 190. La fin en est
indiquée
d’abord par cette sorte d’hexamètre : Explicit E
d’un autre en parchemin, sur le recto duquel le contenu du volume est
indiqué
dans les termes suivants : « In hoc libro contine
contient quatre ouvrages, qui sont sur un premier feuillet en papier
indiqués
dans les termes suivants : 1º Poetica quædam inc
ff. 79 vº à 95 rº, d’après le numérotage du manuscrit), où sa fin est
indiquée
par le mot Explicit . Voici le début de ce Comme
ne autre édition in-4, publiée sans indication de lieu, est également
indiquée
par Panzer, t. IV, p. 43, nº 343, et par Hain, t.
un renseignement précieux sur l’auteur véritable des fables, dont il
indique
à la fois le nom et la nationalité. Aussi, malgré
isatus cum bono commento. Iterum textus de nouo emendatus. Ce titre
indique
qu’il s’agit d’une réédition ; en effet, c’est un
capitoli de Eso-||po et prima fa il suo prologo. Cette nomenclature
indique
soixante-quatre chapitres ; mais en réalité il n’
n opuscule également en langue italienne vulgaire, dont la nature est
indiquée
par ce titre : Qui comenza le dodexe fatige de H
di publié à Florence en 1810, le contenu du volume est, à la page 60,
indiqué
par ces simples mots : Esopo favole volgarizzate
o de sustrevo || Mcccclxxxxi a di ultimo || zenaro. Quoique la date
indiquée
soit celle de la fin de janvier 1491, il faut con
elisle470 après la fusion de tous les fonds latins, le contenu en est
indiqué
par ces mots : Sermons et recueil de fables, d’a
oûteux, M. E. du Méril, en publiant les fables de Neckam, a eu soin d’
indiquer
les variantes qui le font différer du manuscrit d
es quarante fables et le commencement de l’épilogue qui les suit sont
indiqués
dans le manuscrit, au bas de la 2e col. du feuill
à Vienne, chez le libraire F. Beck, en 1 vol. in-4º489. Je me borne à
indiquer
, d’après lui, les titres des ouvrages qu’il renfe
ait et auquel il a ainsi attaché son nom. Dans le catalogue ci-dessus
indiqué
, le contenu en est analysé en ces termes : Fabul
Si elle ne reposait pas sur d’autres bases que celles que je viens d’
indiquer
, elle pourrait n’être pas unanimement approuvée.
rie ai non, si sui de France. Quant à sa ville natale, on la trouve
indiquée
par Jehan Dupain, dans ces vers de l’Évangile des
e Guillaume. Heureusement l’éloge qu’elle en fait en peu de mots nous
indique
facilement que ce prince était Guillaume Longue-É
enant aux fables. M. de Roquefort en a publié cent trois, que je vais
indiquer
par leurs titres. Ces titres, je ne les emprunter
adopté par M. de Roquefort. Enfin, en face de chacune, j’aurai soin d’
indiquer
le numéro de la fable latine correspondante dans
premier feuillet en papier, au verso duquel le contenu du volume est
indiqué
dans les termes suivants : 1º L’image du Monde p
u’il appartenait. Cette lacune, au bas du recto du feuillet 89, a été
indiquée
en ces termes par un bibliothécaire, qui, faute d
s de titres spéciaux écrits à l’encre rouge. Comme le titre général l’
indique
, elles devraient être au nombre de 81 ; mais par
seconde série a par la note suivante nommé l’auteur de la première et
indiqué
les sources des deux séries : « N a . Toutes les
ement nécessaire ; car les résultats qu’il donnerait me semblent tout
indiqués
. On peut, je crois, tenir dès maintenant pour cer
acteur du Catalogue, adoptant pour chacun d’eux la même formule, en a
indiqué
le contenu en termes trop laconiques pour le fair
emière colonne du feuillet 184 a (en réalité 185 a), et la fin en est
indiquée
par cette souscription à l’encre rouge : Explici
nt le roi Alfred le Grand, sont les formes latines de celui dont j’ai
indiqué
plus haut les formes romanes. Quant aux 136 fable
Quant aux 136 fables, je vais en donner la liste dans un tableau qui
indiquera
leur corrélation avec celles du Romulus primitif
i sancti Mathie apostoli. Sur la même page, le contenu du volume est
indiqué
en ces termes : Liber fabularum Esopi cum morali
sa patte, et, plus laconique encore, le Romulus de Vienne se borne à
indiquer
qu’elle l’a attaché à elle-même. Au contraire, be
relevées une à une toutes les fautes qu’en ce moment je me contente d’
indiquer
en termes généraux. Au surplus, mes critiques, si
ajouté au précédent, mais bien le nº 177, qui au contraire n’est pas
indiqué
par eux551. Avec une affabilité et une complaisan
ateriam repperit Hanc ego polivi versibus senariis. Cette phrase lui
indiquait
non seulement que le texte des fables était en ve