t à mordre, Vous vous tourmentez vainement. Croyez-vous que vos dents
impriment
leurs outrages Sur tant de beaux ouvrages ? Ils s
in, Qui les sçait que luy seul ? Comment lire en son sein ? Auroit-il
imprimé
sur le front des étoiles Ce que la nuit des temps
Nature est, que le semblable produise son semblable ; aussi a-t’elle
imprimé
certains desirs d’imitation du fils envers le Per
ela mesme qui les rend querelleux en compagnie, pource qu’ils veulent
imprimer
une opinion de leur fierté, et prevenir les espri
nu tout entier. Par suite de divisions arbitraires, dans les éditions
imprimées
il se compose de dix fables ; mais en réalité il
ublic, il avait retiré le Phèdre des mains de Patisson, pour le faire
imprimer
à Troyes sous ses yeux71. » La première édition
ien, surnommé Antecessor, et il avait dédié à son frère cette édition
imprimée
à Bâle. C’est à quoi ce dernier fait allusion au
oust 1596, il est permis à Maistre Pierre Pithou, y dénommé, de faire
imprimer
par tel que bon luy semblera, Phædri Augusti libe
s et Libraires de ce Royaume, autres que celuy qu’il choisira, de les
imprimer
pendant six ans, ny en exposer en vente d’imprime
l choisira, de les imprimer pendant six ans, ny en exposer en vente d’
imprimez
ailleurs dedans ledict tẽps, sinon du consentemen
, Phædri Augusti liberti fabularum Aesopiarum libri quinque, pour les
imprimer
et mettre en lumière, suyvant la permission et pr
eux exemplaires de la Bibliothèque nationale portent sur le Catalogue
imprimé
de 1750, l’un la cote Y 6561, et l’autre la cote
cent sur celui de Reims, il en reporta les variantes sur l’exemplaire
imprimé
. Aussi a-t-il été d’un grand secours au philologu
issances littéraires, se composait de passés 5 000 volumes d’ouvrages
imprimés
et d’à peu près 600 volumes manuscrits. Le magist
moraux. Quod tibi fieri non vis alteri ne feceris. (Cet opuscule est
imprimé
en caractères gothiques sans pagination.) 4º Phæd
mat de cette édition, il était encore plus grand que celui des autres
imprimés
, auxquels elle était réunie, et le relieur avait
res se trouvent au British Museum. L’un appartient au département des
imprimés
et figure au Catalogue général sous la cote 685.
t appelé fonds d’Elci et qui comprend à la fois des manuscrits et des
imprimés
. Parmi les imprimés de ce fonds figure l’exemplai
i et qui comprend à la fois des manuscrits et des imprimés. Parmi les
imprimés
de ce fonds figure l’exemplaire de l’édition orig
isconsulte célèbre, dont les Ouvrages sont réunis en un volume in-4º,
imprimé
en 1649, avec la vie de l’auteur, en Latin et en
ription du manuscrit. Avant de charger la librairie Firmin-Didot d’
imprimer
cette seconde édition, j’ai fait de nombreuses dé
u, et les communiqua à Rigault, qui s’en servit pour l’édition in-4º,
imprimée
par Robert Étienne, qu’il publia en 1617, sous ce
mot de l’énigme, il faut se référer à la première édition de Rigault.
Imprimée
dans le format in-12 chez Ambroise Drouart à la f
cette note, qui est de la main de M. de Foncemagne, et que la notice,
imprimée
en tête du Phèdre de M. Ernest Panckoucke, attrib
du Roi, à qui il l’avait promis, il jeta un dernier coup d’œil sur l’
imprimé
qui portait les variantes écrites de sa main, il
par son collègue M. van Praet, alors conservateur du département des
imprimés
à la même bibliothèque, le précieux exemplaire de
les variantes manuscrites en regard des mots correspondants du texte
imprimé
. Ce fut une inspiration providentielle, dont il f
exte de l’édition Brocas. Il s’est borné à indiquer les mots du texte
imprimé
qui étaient en désaccord avec les variantes manus
rd, craindre que ceux qui, à raison de leur conformité dans le volume
imprimé
et dans le manuscrit, sont omis, ne fussent pas e
scrit de Reims, était en désaccord avec celui donné à la fable dans l’
imprimé
, le premier des deux était conforme à celui qu’el
i que je l’ai dit, Dom Vincent avait oublié de reporter sur l’édition
imprimée
les variantes des trente-quatre premiers vers du
par Dom Vincent est conforme au texte du manuscrit de Pithou, dont l’
imprimé
s’était au contraire éloigné. Il y a mieux : quan
traire éloigné. Il y a mieux : quand le même mot figure dans le texte
imprimé
et dans la variante manuscrite et que la différen
e ; une variante surtout lui semble significative : dans les éditions
imprimées
, conformes en cela au texte de Perotti, à celui d
y, est jointe une comédie latine intitulée Aulularia, qui n’a pas été
imprimée
, et qui au jugement de M. l’abbé d’Olivet, qui l’
arche fut infructueuse. Le manuscrit ne figurait pas sur le catalogue
imprimé
du fonds latin, et les bibliothécaires ne purent
près sa mort de publier ses ouvrages, et ce fut lui qui, en 1489, fit
imprimer
à Venise le Cornu copiæ, qui était son œuvre capi
lle, porte la cote X. 2. infra 2.23. Dans le catalogue157 de ce fonds
imprimé
à Oxford en 1806, cette copie à la page 84 est me
il rédigea en latin trois longues dissertations, qu’il comptait faire
imprimer
en tête de son édition. La première intitulée : D
ations parussent en tête du texte de Perotti, Jannelli, quoiqu’il fût
imprimé
dès 1809, en différa la publication. Mais l’Impri
ider à livrer au public, telle que deux ans auparavant elle avait été
imprimée
, son édition du fameux manuscrit. Le temps n’avai
graphes du roi, en vertu d’un décret royal, les avaient reçues et les
imprimaient
, quand apparaît, lecteur, une brochure de quelque
ait pu s’assurer de l’exactitude de cette nouvelle par quelques pages
imprimées
qui lui en avaient été apportées et qui, sous la
ée en 23 pages à la fin de l’année 1808 ; 2º Le texte de son édition
imprimée
en 1809 et publiée en 287 pages aux ides de févri
préface, ne porte que le texte latin des fables nouvelles. Elle a été
imprimée
chez Crapelet et porte pour titre : Phaedri | Au
nnée, il fut, comme en Italie, publié une édition in-folio, assez mal
imprimée
d’ailleurs et composée seulement de douze pages.
codicibus editorum, etc. Dans le tome III, qui fut, comme les autres,
imprimé
avec les caractères typographiques du Vatican et
ainsi, puisqu’il a pillé Phèdre, dont les fables n’étaient pas encore
imprimées
et qu’il en rapporte une comme un ouvrage de sa f
heureusement son commentaire sur Martial ne fut pour la première fois
imprimé
qu’en 1489204, neuf ans après sa mort, par les so
te. « On trouve dans la Corne d’Abondance de l’Archevêque de Siponte,
imprimée
en 1496, la Fable des Arbres protégés par les Die
hé par un fil à la première page d’un exemplaire du Phèdre de Rigault
imprimé
par Robert Estienne240, est aujourd’hui entre mes
eyne un texte profondément altéré. Il est vrai que ses leçons étaient
imprimées
en lettres italiques ; mais, dans la précipitatio
les Catalogues des manuscrits de la Grande-Bretagne et de l’Irlande,
imprimés
à Oxford en 1697, en deux volumes in-folio287, da
t au xviie siècles. Je m’abstiens de reproduire d’après le catalogue
imprimé
, que chacun d’ailleurs peut consulter, la nomencl
s hérité seulement des manuscrits de Vossius, elle a aussi acquis ses
imprimés
. L’un d’eux, catalogué sous la cote 763, c. xiii,
un exemplaire de la deuxième édition de Phèdre, publiée par Rigaut et
imprimée
par Robert Estienne en 1617. Sur cet exemplaire I
lgré son importance, la collection de Leyde n’a été qu’une seule fois
imprimée
. En passant en revue les livres de la bibliothèqu
, il faut à la fois indiquer son numéro et sa classe. Pour les livres
imprimés
un système tout différent a été adopté : ce sont
ue du Lambeth palace où il fait partie du fonds Tenison. Le Catalogue
imprimé
des manuscrits de cette Bibliothèque en donne la
gue des manuscrits des Bibliothèques de l’Angleterre et de l’Irlande,
imprimé
en 1697, pu se rendre compte du contenu de celle
es lignes paraît avoir été en grande faveur au moyen âge ; car il fut
imprimé
souvent au xve siècle en tête des éditions scola
ts le principal élément de discussion. Dans la vieille édition d’Ulm,
imprimée
par Zeiner, elle commence par ces mots : « Romulu
si l’on s’en tient à l’apparence extérieure des textes manuscrits et
imprimés
, on voit qu’ils sont plutôt contraires que favora
t partie, porte le nº 59, et, comme sous ce numéro l’ancien catalogue
imprimé
en donne une analyse exacte, il est permis de tro
perdu ; et, quant à l’âge du manuscrit, il est vrai que le catalogue
imprimé
l’avait à tort attribué au xie siècle ; mais, po
f le Romulus ordinaire est, avec celui de Nilant, le seul qui ait été
imprimé
; mais en revanche la publicité qu’il a reçue a é
Steinhöwel, médecin né à Wyrms, qui exerçait à Ulm sa profession, et
imprimée
dans le petit format in-folio par l’imprimeur Jea
e, le vingt-huitième de six, et le vingt-neuvième de dix. Ils ont été
imprimés
en caractères gothiques de grosse dimension, de s
elligence du texte, avec addition ou suppression de quelques mots, et
imprimé
à la louange et en l’honneur du très illustre pri
une part, offre trois fables qui ne se trouvent pas dans les éditions
imprimées
, savoir : la xiiie , De cornice sitienti ; la xix
fables et d’un épilogue, c’est-à-dire de trois pièces de plus que les
imprimés
. La division adoptée dans l’édition d’Ulm est une
, sans date, est la plus ancienne de toutes et que celles qui ont été
imprimées
dans la seconde moitié du xve siècle n’en ont ét
säliglich von Johanne Zeiner zū vlm , qui en français signifient : «
Imprimé
heureusement par Jean Zeiner à Ulm. » Tel est l’
pendante de la première un opuscule intitulé : Hystoria Sigismunde ,
imprimé
avec les mêmes caractères et orné de figures du m
se de 129 feuillets, qui sont, comme ceux de l’édition de Steinhöwel,
imprimés
en caractères gothiques et ornés de gravures sur
édition comme dans la précédente, il y avait un dernier feuillet non
imprimé
, dont la reliure des exemplaires encore existants
nces très légères montrent qu’il n’a pas été, dans les deux éditions,
imprimé
avec le même bois. Fol. 2ª à 25b (a. iiª à d.ib).
de Bibliotheca Grenvilliana, par John Thomas Payne et Henry Foss, et
imprimé
par W. Nicol, à Londres, de 1842 à 1848. L’exempl
, qui est la vraie terre classique des éditions incunables de Romulus
imprimées
en caractères gothiques. C’est surtout à Munich e
iographicum. Comme il existe deux éditions gothiques de 114 feuillets
imprimés
qui se rapportent à sa mention, je ne suis pas sa
nnent que 6. Il s’ensuit que le volume embrasse en tout 114 feuillets
imprimés
. Les signatures du dernier cahier qui vont de q à
67. F. 12. La composition de la dernière page de la vie d’Ésope a été
imprimée
sur le verso du fol. c. ii, et vice versa la comp
i, et vice versa la composition destinée au verso du fol. c. ii a été
imprimée
sur la dernière page de la vie d’Ésope. Il s’ensu
, dont la bibliothèque de Maëstricht possède un exemplaire. L’édition
imprimée
en caractères quasi-gothiques ne porte ni signatu
ere. L’ouvrage qui suit cette table a été, comme la table elle-même,
imprimé
à longues lignes avec des caractères gothiques pl
euillets. Je passe à la seconde édition in-folio de 114 feuillets,
imprimée
, comme les précédentes, à longues lignes, en cara
o. C’est un exemplaire du Dialogus creaturarum, que Gérard Leeu avait
imprimé
sans réclames ni signatures et terminé à Gouda le
sur quoi ils étaient établis : en 1480, Gérard Leeu s’était occupé d’
imprimer
la collection de fables en prose de Nicole de Per
La publication ayant vraisemblablement réussi, Gérard Leeu en avait
imprimé
une seconde édition in-fol. qui avait été achevée
i de l’édition de 1481, coté Y 6592, ils ne figurent pas au catalogue
imprimé
, et par suite il est difficile d’en avoir communi
e, avait dû faire allusion au catalogue de la Bibliothèque Bodléienne
imprimé
en 1674337. Mais sur ce catalogue je ne retrouvai
Haye, un exemplaire mutilé qui, dans la deuxième partie du catalogue
imprimé
des incunables, porte le nº 17 ; 9º À la biblioth
llemande a été publiée la première, c’est des éditions qui en ont été
imprimées
que je vais d’abord m’occuper. 1º Édition de Gü
— Fin de la vie d’Ésope. » Fol. 35 a à 158. — Collections de fables
imprimées
avec les mêmes caractères que ceux de la précéden
in-fol. de 115 feuillets, qui a de 43 à 44 lignes à la page, qui est
imprimé
en caractères gothiques et qui est agrémenté de g
L’édition de 1483 forme un volume in-folio composé de 169 feuillets,
imprimé
en caractères gothiques et orné de gravures sur b
nach Cristi geburt MCCCC vnd in dem Lxxxiii Jar. Ce qui signifie : «
Imprimé
et terminé dans la très glorieuse et impériale vi
addition de quelques fables de Rimicius et d’Avianus, se termine ici.
Imprimé
et achevé dans la ville impériale d’Augsbourg par
heiligen babst Nach Cristi gepurd M.CCCC.Lxxxvij 344. En français : «
Imprimé
et terminé dans la ville impériale d’Augsbourg pa
La réimpression de 1494 forme un volume composé de 151 feuillets,
imprimé
en caractères gothiques, disposé en pages de 34 à
bre fabuliste avec quelques fables ajoutées de Rimicius et d’Avianus.
Imprimé
et terminé dans ta ville impériale d’Augsbourg pa
L’édition de 1496, qui forme, comme la précédente, un volume in-fol.
imprimé
en caractères gothiques et illustré de gravures s
ste avec quelques fables ajoutées de Rimicius et d’Avianus finit ici.
Imprimé
et achevé dans la ville impériale d’Augsbourg par
r un feuillet final on lit, toujours en allemand, ce dernier avis : «
Imprimé
à Fribourg en Brisgau par Jean Fabre de Jülich, e
a cote A. III. art., des exemplaires de la première édition de Graff,
imprimée
dans le format in-4º en 1545. Le volume, numéroté
it : 1531. Mais il n’en est pas moins vrai que le volume a bien été
imprimé
en 1555, ainsi qu’il résulte de cet avis final :
colas Bassée, à Francfort-sur-le-Mein, en 1572, en 1586 et en 1589, a
imprimé
trois fois la traduction allemande des fables con
ière édition de Bassée consiste dans un volume in-8º de 313 feuillets
imprimés
. En voici l’analyse : Fol. 1. — Frontispice. Fol
exemplaire de l’édition de 1586. C’est un volume in-12 de 400 pages,
imprimé
en caractères gothiques. Le titre qui se trouve e
le catalogue général de la bibliothèque du British Museum, aurait été
imprimée
à Nuremberg, en 1650, dans le format in-8º, avec
éditions allemandes d’Erfurt et de Nuremberg ne furent pas les seules
imprimées
au xviie siècle. Il en fut publié, à Bâle, en 16
e que j’ai aperçue dans la Bibliothèque publique de Grætz. Elle a été
imprimée
à Stuttgart en 1838. § 4. — Éditions français
ce et aucunes ioyeuses de poge florentin. Le rédacteur du catalogue
imprimé
de la Grenville library n’a pas hésité à considér
ernier comprenant dix feuillets, en possèdent chacun huit. Elle a été
imprimée
en caractères gothiques et est ornée de nombreuse
Brunet348, qui la signale comme une « édition rare et fort précieuse
imprimée
en caractères d’une forme grossière, à longues li
nzième iour de may. 4º Édition de 1486. L’édition de 1486 fut
imprimée
dans le format in-4º, à Lyon, par Mathis Huss seu
et de Alphonse. Et aussi aulcunes ioyeuses fables de Poge florentin.
Imprimées
à Lyon sur le rosne par maistre Mathis husӡ. L’an
P. Mareschal et B. Chaussard. Cette édition forme un volume in-4º
imprimé
en caractères gothiques à longues lignes et compo
écédente, forme, d’après Brunet349, un volume de 77 ff. non chiffrés,
imprimé
à longues lignes au nombre de 39 sur les pages pl
ue la réimpression de celle de 1499, m’a été révélée par le catalogue
imprimé
de la bibliothèque de Lyon, publié par M. Delandi
honse et de Poge Florentin , et la souscription indique qu’elle a été
imprimée
à Lyon par Pierre Mareschal et Barnabé Chaussard
par Claude Nourry et Pierre de Vingle, et qui forme un volume in-4º,
imprimé
en caractères gothiques et orné de gravures sur b
e 1502. Elle forme un volume in-fol., qui se compose de 60 feuillets,
imprimés
en lettres gothiques, non chiffrés, signés de a à
ian, de Alphonce et de Poge florentin , et se termine par ces mots :
Imprime
à Paris par Alain Lotrian. 12º Édition de 15
library un exemplaire sous la cote 7703. Elle forme un volume in-8º,
imprimé
en caractères gothiques et composé de 128 feuille
e library. En tête de cet exemplaire, qui forme un petit volume in-12
imprimé
en caractères de civilité, existe une page blanch
nclature des éditions françaises, je n’ai plus à citer qu’une édition
imprimée
à Orléans par Eloy Gibier en 1572. Elle forme un
té révélée sous le nº 2019 par le catalogue de la librairie Techener,
imprimé
à Paris en 1869. § 5. — Éditions anglaises.
ue anglaise par le fameux imprimeur William Caxton. Sa traduction fut
imprimée
de 1483 à 1484 et publiée en un volume in-folio d
des éditions antérieures. C’est un des premiers livres qui aient été
imprimés
en Angleterre en langue anglaise. Il est signé de
des fables de Romulus. Elle forme un volume in-fol. de 112 feuillets,
imprimé
en caractères gothiques à longues lignes de 40 à
laire, qui figure sous le nº 593 dans la première partie du catalogue
imprimé
. J’emprunte à ce catalogue l’analyse qui suit : F
Henrich Eckert de Homberch forme un volume in-fol. de 100 feuillets,
imprimé
en caractères gothiques sur deux colonnes, orné d
2º Édition de 1496. La seconde édition espagnole a été achevée d’
imprimer
à Burgos, le 22 août 1496. Je vais en donner, d’a
de 1607. Le principal mérite de l’édition de 1607 est d’avoir été
imprimée
par le fameux Plantin. Elle forme un volume in-12
eu de citer une édition sans date, qui a été, comme celle de Plantin,
imprimée
à Anvers, et dont un exemplaire existe à la bibli
ion nécessairement sommaire qui m’aura été fournie par les catalogues
imprimés
des bibliothèques publiques. § 1er. — France.
5 divisé en deux volumes qui embrassent l’œuvre entière. L’inventaire
imprimé
de 1744 donne du manuscrit 4897 la désignation su
lis. Is codex decimo quarto sæculo exaratus videtur. » L’inventaire
imprimé
de 1869 donne du manuscrit 14354-14355 cette dési
des mains diverses et contient plusieurs opuscules, que le catalogue
imprimé
de 1871 énumère dans les termes suivants : « Hist
nt les cotes 6428 et 16100. A. Manuscrit 6428. Dans l’Inventaire
imprimé
de 1744, le manuscrit 6428, qui forme un gros vol
C’est seulement par des extraits textuellement tirés du catalogue
imprimé
de la Bibliothèque royale de Munich que je vais f
nt les fables du Romulus de Vincent de Beauvais, a, dans le Catalogue
imprimé
des manuscrits des collèges d’Oxford366, été décr
ue du Corpus Christi college de Cambridge, édité par Jacob Nasmith et
imprimé
dans cette ville en 1777367, signale, sous la cot
Bibliothèque royale de Bruxelles. Voici comment, dans le Catalogue
imprimé
des manuscrits de la Bibliothèque royale de Bruxe
sous la cote 715, un manuscrit du Miroir historial, dont le Catalogue
imprimé
donne une analyse trop prolixe pour que je la tra
samment longue, et le moment me paraît venu de m’occuper des éditions
imprimées
. § 1er. — Éditions de Strasbourg. C’est à S
66 lignes chacune sans gardes, signatures ni pages numérotées. Il est
imprimé
en lettres rondes tirant sur le gothique. La prem
ne s’est pas tenu à cette édition. Avec les mêmes caractères il en a
imprimé
une autre, qui a, comme la précédente, 400 feuill
me in-folio de 474 feuillets à 2 colonnes de 62 lignes chaque. Il est
imprimé
en lettres rondes. Il comprend trois livres. Les
tion, inconnue à Daunou, comprend 4 vol. in-fº à 2 col. de 67 lignes,
imprimés
avec les mêmes caractères que les deux premiers S
n quatre volumes grand in-folio à deux colonnes de 62 lignes chacune,
imprimés
en lettres rondes comme celles du Speculum morale
dernier feuillet, la deuxième colonne se termine par une souscription
imprimée
en lettres capitales et conçue dans les termes su
simo tercio. qvarta. die. || decembris 373. Telles sont les éditions
imprimées
par Mentellin. Faut-il lui en attribuer une dern
la signale d’après Maittaire, suppose qu’elle pourrait bien avoir été
imprimée
à Strasbourg. Mais rien ne prouve qu’elle soit du
d’après Maittaire, affirment que le Speculum historiale fut également
imprimé
la même année à Paris dans le format in-folio.
Éditions de Nuremberg. De 1483 à 1486, le Speculum quadruplex fut
imprimé
à Nuremberg par Antoine Koburger. Speculum natu
. Speculum morale. Selon Brunet, le Speculum morale aurait été
imprimé
deux fois par Koburger, une fois sans date et une
qui forme un volume de 270 feuillets, du plus grand format in-folio,
imprimé
en caractères gothiques à deux colonnes, sans sig
qu’il en donna, forme un volume de la plus grande dimension in-folio,
imprimé
en caractères gothiques, sans signatures, réclame
t 1494. Hermann Liechtenstein, né à Cologne, mais établi à Venise,
imprima
de 1493 à 1494 l’œuvre entière de Vincent de Beau
e Speculum morale parut le Speculum doctrinale en un volume in-folio,
imprimé
en caractères gothiques, composé de 255 feuillets
chtenstein publia, au mois de mai 1494, en un volume in-folio, encore
imprimé
en caractères gothiques, composé de 423 feuillets
sortit enfin des presses du même typographe, qui en donna une édition
imprimée
, comme la précédente, dans le format in-folio en
ècle Vincent de Beauvais fut presque oublié, et son œuvre ne fut plus
imprimée
en latin qu’à de longs intervalles. Dominique Nic
l’édition in-4º qui la renferme se termine par cette souscription :
Imprime
a Lyon sur le Rosne en la maison de maistre Barth
§ 2. — Édition de Verard. L’édition française du Miroir historial,
imprimée
par Buyer, n’est pas la seule qui ait paru au xve
édition extrêmement rare forme cinq volumes du grand format in-folio,
imprimés
en caractères gothiques à deux colonnes et ornés
et ornés de gravures sur bois. Il paraît que ces cinq volumes ont été
imprimés
en huit mois, c’est-à-dire avec une rapidité qui
xième colonne : Cy finist le premier volume de || Vincent hystorial.
Imprime
nou||vellement a Paris l’an CCCC || quatre vingt
: Le second volume || de Vincent mi||roir historial || nouvellement
imprime
a Paris. Le reste des feuillets préliminaires es
: Le tiers volume de || Vincent miroir || historial || Nouuellement
imprime
a Paris. Le surplus, sauf le dernier feuillet qu
t : Le quart volu||me de Vincent || miroir historial || Nouuellement
imprime
a Paris. Le surplus est occupé par la table et le
: Le quint volume || de Vincent mi||roir hystorial || nouuellement
imprime
a Paris. Le surplus est occupé par la table ; le
is fine le xxxii. et derre||nier liure de Vincent miroir histo||rial.
Imprime
a Paris le vii. iour || du moys de May mil quatre
mme celle de Verard, forme cinq volumes in-folio, dont les feuillets,
imprimés
en caractères gothiques sur deux colonnes, sont s
u : Le premier volu||me de Vincent Miroir || hystorial nouuellement
imprime
a Paris. Au bas du frontispice, dans les exempla
xxiie. et dernier liure de || Vincent miroir hystorial Nouuelle||ment
imprime
a Paris par Nicolas || couteau. Et fut acheue dim
en langue française et toujours ardent à les faire traduire et à les
imprimer
lui-même, Caxton fit paraître vers 1480 deux édit
qui lui donna le titre de Spiegel historiael of Rymkronyk. Elle a été
imprimée
en quatre volumes in-8º à Leyde et à Amsterdam, l
loin la nomenclature analytique de ces éditions, dont les premières,
imprimées
en 1884, sortirent des presses lyonnaises. Elles
le intitulé : Qui auctores legendi sunt ad eloquentiam comparandam ,
imprimé
à Pfortzeim chez Thomas Anthelme et achevé au moi
aliennes des fables élégiaques. La première de ces éditions avait été
imprimée
à Parme en 1507. J’en ai trouvé dans la Bibliothè
erprete Auiano. Je dois ajouter que cette première édition avait été
imprimée
par François Ulgoleto qui l’avait faite à frais e
n somme, les témoignages fournis par les manuscrits et par les livres
imprimés
étaient trompeurs. Mais encore fallait-il en fair
Morelli414 la fortifia, en déclarant qu’il avait vu, dans un passage
imprimé
d’une lettre de Thadée Ugolet, le nom de Salon de
a cote L. R. 9. 44, une édition in-4º des fables élégiaques achevée d’
imprimer
à Lyon par Jean Fabre le 23 janvier 1490. En lisa
se. Depuis j’ai trouvé beaucoup d’autres éditions du même temps, qui,
imprimées
en France, contenaient la même phrase, et, comme
e cantonale de Berne sous la cote Inc. 153 ; 5º Une édition d’écolier
imprimée
dans le petit format in-4º à Paris, par Pierre Le
Levet, en 1499 ; 6º Une petite édition scolaire in-4º, qui avait été
imprimée
en caractères gothiques à Rouen vers 1505, dont l
lle de Rouen sous la cote O. 2261 (a)) ; 7º Une petite édition in-4º,
imprimée
à Rouen par Jean Mauditier en 1508, et faite, com
1505, pour Jacob Le Forestier. 8º Une édition in-4º de 42 feuillets,
imprimée
en 1503, à Londres, par Wynkyn de Worde ; 9º Une
teurs et qu’on trouvera plus loin dans la nomenclature analytique des
imprimés
contenant le texte de Walther. Ces éditions, en a
que la vie de Walther l’Anglais. Je possédais l’ouvrage de Jean Bale,
imprimé
à Bâle de 1557 à 1559421 ; je l’ouvris, et j’y tr
ble des fautes des copistes, et surtout des éditeurs, qui, en faisant
imprimer
ses fables, n’ont pas consulté avec soin les manu
cotes 1595, 19123, 24310 et 983. A. Manuscrit 8023. Le catalogue
imprimé
de 1744 donne du manuscrit 8023 l’analyse suivant
aus et gloria Christo. — Amen. B. Manuscrit 8259. Le catalogue
imprimé
de 1744 donne du manuscrit 8259 l’analyse suivant
soit avec celles des autres manuscrits, soit avec celles des éditions
imprimées
. Et qu’on ne croie pas que ce soit là une particu
titution des véritables leçons. C. Manuscrit 8460. Le catalogue
imprimé
de 1744 donne du manuscrit 8460 l’analyse suivant
ro sit laus et gloria Christo. D. Manuscrit 8509. Le catalogue
imprimé
de 1744 donne du manuscrit 8509 l’analyse suivant
DCCCXXII dans l’inventaire de Rigault, le nº 893 dans celui de Dupuy
imprimé
en 1645, le nº 5642 dans celui de Clément imprimé
dans celui de Dupuy imprimé en 1645, le nº 5642 dans celui de Clément
imprimé
en 1682, enfin le nº 8509 dans le Catalogue des m
imé en 1682, enfin le nº 8509 dans le Catalogue des manuscrits latins
imprimé
en 1744. Il y avait donc, lorsque Schwabe lui att
était servi en 1599 pour livrer à la publicité six fables élégiaques
imprimées
dans les notes de sa première édition de Phèdre.
ce distique un peu différent de celui qui se trouve dans les éditions
imprimées
: Fine fruor : versu gemino quod cogitet omnis
mais presque indéchiffrables. E. Manuscrit 8509 A. Le catalogue
imprimé
des manuscrits latins donne du manuscrit 8509 A l
ns celle du Roi. Il s’ensuit qu’il ne se trouve pas dans l’inventaire
imprimé
de 1645, et qu’il figure au contraire, sous le nº
645, et qu’il figure au contraire, sous le nº 5643, dans l’inventaire
imprimé
de 1682. Dans le catalogue imprimé des manuscrits
sous le nº 5643, dans l’inventaire imprimé de 1682. Dans le catalogue
imprimé
des manuscrits latins on lui a, en 1744, donné la
ensibus volentibus regem, n’en formant qu’une seule dans les éditions
imprimées
, il faut n’en compter que 63. L’édition Dressler
61, 62, 63 et 64 du manuscrit ne se rencontrent pas dans les éditions
imprimées
. Je ne sais de qui elles sont l’œuvre ; ce qui es
endant il doit en exister un troisième ; celui d’après lequel ont été
imprimées
les deux fables que nous avons de plus que dans l
du catalogue de cette Bibliothèque dressé par M. C. G. A. Lambert et
imprimé
en 1862444. Malheureusement, l’analyse contenue d
dans les années suivantes et dont l’origine est indiquée au catalogue
imprimé
de la Bibliothèque par cette mention : Aug. S. Cr
de Munich, le catalogue des manuscrits n’était pas encore entièrement
imprimé
, et les premiers volumes qui en avaient paru n’av
rieux manuscrits de Walther. Voici l’analyse qu’en donne le catalogue
imprimé
de la bibliothèque : « Liber Exopi, editus à Luco
après chacune d’elles viennent deux sonnets. Comme dans les éditions
imprimées
de la traduction d’Accio Zuccho, il y a soixante-
remières, accompagnées, il est vrai, de ces gloses naïves qui ont été
imprimées
dans les éditions du xve siècle. Dans l’espoir d
tamment le fonds Strozzi. Le catalogue de la bibliothèque Léopoldine,
imprimé
à Florence en 1792, signale à la page 413 un manu
et même des développements qu’on retrouve rarement dans les éditions
imprimées
. Ainsi la fable xlviii De Milite et Femina, conti
t le titre de l’édition la plus ancienne que je connaisse. Elle a été
imprimée
à Rome en 1473, dans le format in-4º. Les fables
3. 1475. Deux ans plus tard une autre édition était également
imprimée
à Rome. Elle forme un volume du grand format in-4
outes celles destinées au même usage, dans le format in-4. Elle a été
imprimée
à Strasbourg, en 1479 par Martin Flachen. Elle po
1481. Plusieurs éditions des fables élégiaques de Walther ont été
imprimées
en 1481. — Dans son Repert. bibliog. (t. I, p. 33
ngentesimo octuagesimo primo : die decima nona Maii. Cette édition,
imprimée
dans le format in-4º, a été signalée non seulemen
atures a-b et à trente lignes par pages pleines. Elle a été achevée d’
imprimer
à Bologne par Ugo Rugerius, en 1486, le deuxième
8, nº 31, signale dans les termes suivants une édition in-4 qui a été
imprimée
à Anvers en 1487 : Aesopi Fabulae cum commento.
ose de 32 feuillets. — Édition classique in-4º des fables de Walther,
imprimée
en caractères gothiques, non chiffrée, ne portant
simo || quarta die mensis Novembris. C’est la première des éditions
imprimées
à Deventer. Il en existe des exemplaires à la Gre
bibliographicum, t. I, p. 241, nº 1917) que je signale cette édition
imprimée
dans le format in-4º. — Esopus moralizatus cum b
I, p. II, nº 64) et Hain (t. I, p. 34, nº 308) en signalent une autre
imprimée
à Anvers par Gérard Leeu. Mais j’avoue ne pas l’a
as decembris || Anno M. cccc. xcii. Au-dessous de cette souscription
imprimée
au recto du dernier feuillet se trouvent deux lio
ques antérieures, formant un volume in-4º de la dimension habituelle,
imprimé
en caractères gothiques, signé de a à f et compos
édition, sans indication de lieu et sans nom d’imprimeur, aurait été
imprimée
à Haguenau par Henri Gran456. La Grenville librar
res de cette édition classique in-4º, qui se compose de 36 feuillets,
imprimés
en caractères gothiques. — Esopus moralisatus cu
un exemplaire sous la cote I073.l.29./2*. — Édition d’écolier in-4º,
imprimée
en caractères gothiques, non paginée, mais signée
feuillets. — Esopus moralisatus cum bono commento. Cette édition,
imprimée
en caractères gothiques dans le format in-4º, n’e
assiques du même temps, et chargées en outre de gloses interlinéaires
imprimées
en caractères minuscules. La souscription finale
uoique cette souscription n’en fasse pas mention, cette édition a été
imprimée
à Brescia. Il en existe un exemplaire au British
une réimpression des éditions lyonnaises de 1494 et 1496. Elle a été
imprimée
en caractères gothiques sur deux colonnes, par ca
e chronologique des éditions latines des fables de Walther qui furent
imprimées
dans les dernières années du xve siècle. On s’ét
âle un exemplaire sous la cote D. D. VII. 12 ; il fait, avec d’autres
imprimés
, partie d’un volume in-4º petit format, dont la r
édition est contenue dans un volume in-4º, composé de 92 feuillets et
imprimé
en caractères gothiques à 40 lignes à la page, sa
tum, Alanum de Parabolis, Fabulas Æsopi, Tobiam. Cette édition a été
imprimée
dans le format in-4º en caractères gothiques et o
ue on reconnaît quelle est sortie des presses de Jacques Arnollet qui
imprima
à Genève et à Lyon. Elle n’est citée dans aucun r
|| Aesopi item fabulae. Interprete Auiano. Précieux volume in-4º,
imprimé
en caractères italiens, non chiffré, mais signé d
satus || cum bono cōmēto : et || glosa interliniari. Édition in-4º,
imprimée
en caractères italiens, non chiffrée, mais signée
re édition de la même année qui se compose de 30 feuillets, qui a été
imprimée
à Rouen pour J. Le Forestier et qui paraît n’être
mi poete fabule incipiunt. C’est encore une édition classique in-4º,
imprimée
en caractères gothiques, non paginée, mais signée
aniel, Jonas, Grégoire, Jérôme, Ambroise et Augustin. L’édition a été
imprimée
dans le format in-4º, non chiffrée, mais signée d
nt pas été considéré par l’éditeur comme un simple commentaire, a été
imprimé
en caractères du même corps que ceux du texte des
il en existe un neuvième. Elle forme un volume in-4º de grand format,
imprimé
sur deux colonnes et composé de 132 feuillets num
avure sont englobés dans un encadrement xylographique. Cette édition,
imprimée
dans le format in-4º en caractères gothiques, com
s dans un encadrement xylographique. L’édition forme un volume in-4º,
imprimé
en caractères gothiques, non chiffré, mais signé
volume, du même format in-8º que celui de l’édition primitive, a été
imprimé
à Francfort chez Christ. Gerlach et Sim. Beckenst
de Phèdre, s’est trompé quand il a affirmé que Wynkyn de Worde avait
imprimé
à Londres, en 1503, une traduction anglaise des f
ar suite, comme les deux premiers, n’ont pas été numérotés. II. —
Imprimés
. Après l’analyse des manuscrits, il y a lieu d
Après l’analyse des manuscrits, il y a lieu de passer en revue les
imprimés
. 1496. La plus ancienne édition des Favol
ancienne édition des Favole di Esopo volgarizzate est celle qui a été
imprimée
en 1496 par Francesco Bonaccorsi. Il en existe, à
crit de la Laurentienne Gadd. reliqui 176. Il s’ensuit que la version
imprimée
par Bonaccorsi est celle du traducteur de Sienne.
dition dans la Bibliothèque nationale à la réserve du département des
imprimés
; un autre dans celle du British Museum, sous la
on œuvre, sous forme de sonnets écrits dans le dialecte véronais, fut
imprimée
pour la première fois à Vérone, en 1479. Cette pr
leur figure ancienne. C’est ainsi que je reparais corrigé. — J’ai été
imprimé
avec soin par Giovanni Aluise et par ses associés
ccio Zuccho reçut bientôt dans le centre les mêmes honneurs. Elle fut
imprimée
à Rome, en 1483, dans le format in-4º, sans chiff
i viennent d’être analysées, la plus ancienne est une édition de 1487
imprimée
en caractères gothiques. Le volume se compose de
à Vérone, à Rome et à Brescia, la traduction d’Accio Zuccho fut enfin
imprimée
à Venise. L’édition qui contient à la fois les di
lutis domini M.CCCCXCVII. die XXIII Decembris. Cette édition in-4º,
imprimée
en caractères gothiques et ornée de gravures sur
Le Fabule de Esopo vulgare || e Latine Historiade. Édition in-4º
imprimée
en caractères gothiques, non chiffrée, mais signé
La première édition de la traduction de Francisco del Tuppo a été
imprimée
en lettres rondes. Elle forme un volume in-fol. d
i trouvés, est aujourd’hui encore moins rare que la précédente, a été
imprimée
en lettres rondes à Aquilée, en 1493. Comme la pr
nne une deuxième édition in-fol. qui, comme la précédente, aurait été
imprimée
à Aquilée en 1493 ; mais en même temps il fait re
ion, devenue beaucoup plus rare que l’édition connue d’Aquilée, a été
imprimée
à la fin de la même année dans le format in-4º av
t-elle été substituée à l’ancienne. Il avait été inscrit au catalogue
imprimé
des manuscrits latins comme renfermant les fables
’en rapporter au Catalogus librorum manuscriptorum Angliæ et Hyberniæ
imprimé
à Oxford en 1697, il existe à Cambridge, dans le
sy, dans la préface qu’il a mise en tête de quelques fables de Marie,
imprimées
parmi ses Fabliaux, dit que ce comte était Guilla
eux colonnes appartient au xiiie siècle. Voici, d’après le catalogue
imprimé
, la liste des ouvrages qu’il contient : 1º L’Yma
appartenant à la Bibliothèque nationale, et portant dans le Catalogue
imprimé
en 1744, l’un la cote 347 B, l’autre la cote 347
pport à mon infortune. » En 1806, un traducteur, nommé Langlois, fit
imprimer
par Pierre Didot son interprétation, dans laquell
i Antiquitatum Judaïcarum libri XX. (Voyez l’édition latine in-folio,
imprimée
à Bâle en 1540, p. 521.) 49. « Prasinus auriga
-Didot frères, fils et Cie, 8 vol. in-8º. — À la page 146 du tome IV,
imprimé
en 1862, dans le long article qu’il consacre à Gu
ut au moins la première des éditions connues du Cornu copiæ est celle
imprimée
en caractères romains par Paganino de Paganinis,
ue impériale de Vienne, l’un sans date sous la cote 26 G. 32, l’autre
imprimé
en 1497 et catalogué sous la cote X. H. 47. Moi-m
et composait des chansons, qui furent, après sa mort, plusieurs fois
imprimées
. Il aimait les hommes instruits et les attirait à
fables de Phèdre, M. Fleutelot s’exprime ainsi : « Un livre anglais,
imprimé
à Londres en 1503, contient les fables d’Hildeber
contient les fables d’Hildebert traduites avec peu de changements et
imprimées
par Wynkin de Worde. » Collection des auteurs lat
in de renouveller en nostre memoire, puis qu’elles y sont assez avant
imprimées
, et que le souvenir nous en doit estre odieux. Or
t d’un gain honneste, et le regardent avec un visage serain, où n’est
imprimée
la moindre marque de repentir. Avecque cela ; ils
on luy presente, il est hors de doute que les mauvais exemples y sont
imprimez
plûtost que les bons, pource que le Vice est de s
s, qui se meslent de contre-faire les plus relevez de condition, pour
imprimer
en l’ame des Peuples une pareille opinion de leur
rfide, qui l’avoit abusé, et le menaçant du bout de sa trompe, il luy
imprima
si avant la frayeur en l’ame, qu’il perdit l’envi
eté est imperceptible à nos yeux, ny les Serpents, dont la seule veuë
imprime
de l’horreur à toute nôtre espece, ny les Basilic
d’articles, et d’élancemens de voix, mais c’est que la Nature leur a
imprimé
certains sons, qui servent de marques à leurs app
y en a-t’il pas encore qui deguisent impunément la monnoye Royale, et
impriment
au faux or la marque de leur Souverain ? Les Prin