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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
cependant s’alla imaginer que ce baston luy estoit comme une marque d’ honneur , et une recompense deuë à sa vertu. Ce qui fit qu
ommandement, et du contraste de la loüange, l’on mit le haut poinct d’ honneur à les decider publiquement, de peur de les rendre
s. Mais les Gentils-hommes s’imaginerent depuis qu’il y auroit plus d’ honneur à gaigner pour eux, s’ils introduisoient la coust
oit point de duels, que pour des causes tres justes, à sçavoir pour l’ honneur d’une Femme, d’une Maistresse, d’un Pere, d’une S
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XIV. L’Asne portant des Reliques. » p. 182
prit Une vanité si folle : Ce n’est pas vous, c’est l’Idole A qui cet honneur se rend, Et que la gloire en est deuë. D’un Magis
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « A monseigneur, le dauphin. »
peintures. Et si de t’agréer je n’emporte le prix, J’auray du moins l’ honneur de l’avoir entrepris.
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 223 » p. 261
le montre que, si l’on est réduit à mourir, il vaut mieux mourir avec honneur .
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 233 » p. 349
s se laisser aveugler par l’orgueil, quand on est en réputation ou en honneur  ; car tout ce qui s’acquiert nous est étranger.
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — IX. Le Cerf se voyant dans l’eau » p. 74
plus hauts mon front atteint le faiste ; Mes pieds ne me font point d’ honneur . Tout en parlant de la sorte, Un Limier le fait p
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XViI. Le Paon se plaignant à Junon. » p. 509
tive creature, Forme des sons aussi doux qu’éclatans ; Est luy seul l’ honneur du Printemps. Junon répondit en colere : Oyseau j
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIX. Le Lion et l’Asne chassant. » p. 151
pas bien servy dans cette occasion ? Dit l’Asne, en se donnant tout l’ honneur de la chasse ; Oüy, reprit le Lion, c’est braveme
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XX. La Discorde. » p. 
-si que-non son frere, Avecque Tien-et-mien son pere. Elle nous fit l’ honneur en ce bas Univers De préferer notre Hemisphere A
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
à Minutius, qui enflé par le succés d’une escarmouche, s’attribua les honneurs qui estoient deubs à Fabius Maximus, et brigua co
des vaillants hommes du monde, qui ont bien souvent perdu la vie et l’ honneur par un ambitieux desir de gloire, dont ils estoie
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVI. La Femme noyée. » p. 682
Epoux en cherchoit le corps,
 Pour luy rendre en cette avanture
 Les honneurs de la sepulture.
 Il arriva que sur les bords
 Du
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VI. Le combat des Rats et des Belettes. » p. 165
chacun un plumail, Des cornes ou des aigrettes ; Soit comme marques d’ honneur  : Soit afin que les Belettes En conçussent plus d
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — X. Le Lievre et la Tortuë. » p. 226
victoire, Tient la gageure à peu de gloire ; Croit qu’il y va de son honneur De partir tard. Il broute, il se repose, Il s’amu
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVII. Du Singe, et du Renard. »
it par trop, au lieu que pour son regard il en tireroit ensemble de l’ honneur , et du profit. Mais le Renard luy dit pour respon
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIV. Du Charbonnier, et du Foullon. »
ar reflexion à celuy qui leur est le plus proche, tout de mesme que l’ honneur touche en quelque façon les amis de la personne h
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VII. Le Singe et le Daufin. » p. 73
uge-Maire. Le Daufin dit bien-grammercy. Et le Pirée a part aussi A l’ honneur de vostre presence ? Vous le voyez souvent ? Je p
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — VIII. Le Cheval et le Loup. » p. 187
Docteur, il n’est point de partie Susceptible de tant de maux. J’ay l’ honneur de servir Nosseigneurs les Chevaux, Et fais aussi
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
oserent silence, et se mirent à saluër ce nouveau Prince, à luy faire honneur , et à s’approcher peu à peu de luy. Mais en fin,
ession à leurs enfants ; à parer leur dignité de specieuses marques d’ honneur , et pour le dire en un mot, à prendre le nom de S
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VI. Du Lion, et de quelques autres Bestes. »
accoûtumé de tromper, en retenant leurs salaires ; de s’attribuër des honneurs immoderez, de rehausser l’excellence de leur prot
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
ue ce blasme touche generalement les hommes, et qu’ils s’attribuënt l’ honneur de toutes leurs entreprises, au lieu de le donner
ndé en de pareilles rencontres, ont accoustumé de briguer sous main l’ honneur entier de l’advanture, et de rendre de mauvais of
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
ntens disoient qu’il avoit tout l’Empire,
 Le pouvoir, les tresors, l’ honneur , la dignité ;
 Au lieu que tout le mal estoit de
22 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 108 » pp. 97-97
que je suis destiné à ton repas ; mais pour que je ne meure pas sans honneur , joue de la flûte et fais-moi danser. » Tandis qu
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »
lle-cy. « Mon fils, ayme Dieu sur toutes choses, et rends à ton Roy l’ honneur que tu és obligé de luy rendre. Montre toy redout
24 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIV. Simonide préservé par les Dieux. » p. 522
nfin qu’on doit tenir nostre art en quelque prix.
 Les Grands se font honneur dés-lors qu’ils nous font grace.
 Jadis l’Olympe
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
ict aussi sept Villes fameuses débatirent entr’elles apres sa mort, l’ honneur de sa naissance et consacrerent des honneurs Divi
tr’elles apres sa mort, l’honneur de sa naissance et consacrerent des honneurs Divins à celuy qu’ils n’avoient daigné regarder d
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVII. Du Chien, et de la Brebis. »
sme qui nous cognoissent le mieux, dressent quelquesfois, et à nostre honneur , et à nostre vie, des pieges si dangereux, qu’il
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
ar la hardiesse que je prends d’aborder vostre Personne, sans avoir l’ honneur d’en estre connu ; pour le peu d’apparence qu’il
r trois Fleurs de lis dans ses Armes. Ce fut une pretieuse marque d’ Honneur deuë à sa Vertu que vous suivez ; et ce n’est po
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
sorte de loüange, pource qu’elle ne contient aucune difficulté. Quel honneur est-ce à un homme riche et bien qualifié, de veni
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
roit asseurer que toutes ces vertus Moralles ensemble, disputassent l’ honneur avec les intellectuelles. D’où il est aisé de voi
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
s jusqu’à ce que le grand Cesar les reduisit à main armée, soit que l’ honneur de ceste entreprise luy fust fatalement deuë, soi
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
et ainsi des autres, n’auroient jamais rien advancé dans ceste lice d’ honneur , si par le conseil du Proverbe Grec ils ne se fus
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
ce grand Prince, aux bonnes graces et aux secrets duquel vous avez l’ honneur d’avoir la meilleure part, vous n’estimez les per
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
omber sur autruy. Tesmoin ce Comte mal-advisé, qui perdit la vie et l’ honneur en l’execrable trahison qu’il avoit tramée contre
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
ent avecque fidelité les Places qui leur sont commises, acquierent un honneur immortel en la memoire des hommes, outre la recom
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
tesfois ils le respectassent autrement, et luy fissent aucune sorte d’ honneur , Esope s’adressant à eux ; « Hommes Delphiens »,
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
ô infidelle et chetive Chauve-souris, n’attends pas que je te fasse l’ honneur de m’en vanger. Comme au contraire ; si elle vien
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
trouver toutes choses moindres que leur esperance ; et bref, perdre l’ honneur et la liberté dans une prison, d’où ils ne sorten
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
lice est jointe une grande perfidie : car tant que je t’ay porté de l’ honneur et du respect, je n’ay reçeu aucun bien de toy ;
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
erent, « asseurément (disoit-il à par soy) c’est pour me faire plus d’ honneur , qu’elle me veut laver les pieds de ses propres m
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
avoir entrepris d’imiter les foudres de Jupiter, pour s’attribuër des honneurs divins, et se rendre digne de l’immortalité parmy
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
es, qu’il s’est nommé luy-mesme leur Defenseur, et leur a fait tant d’ honneur que de les appeller ses membres. Que si les parti
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
que je m’attriste, pource que ce ne sont pas des gens de courage et d’ honneur qui me font mourir ; mais des hommes de peu, et q
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
ges de l’Antiquité, que Ciceron avoüe ne s’estre jamais tant pleu aux honneurs , qu’on luy deferoit dans Rome, qu’en la metairie
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
ciennement de riches trophées au Capitole, et de precieuses marques d’ honneur au grand Empire Romain. En vain tous ces courages
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
stribuent la reputation, que les bestes mesmes pourroient esperer des honneurs excellents, si elles avoient l’ambition et les mo
46 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 200 » pp. 336-336
repaire et les pattes du lion ? » Cette fable montre que l’amour des honneurs trouble la raison et ferme les yeux sur l’imminen
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
ui est au dessous d’elle, et que les hommes puissants ne rendent de l’ honneur aux autres, qu’à proportion qu’ils reculent ou s’
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
secutez, necessiteux : Bref, voyez presque tous-jours la probité sans honneur , et sans récompense. Que si vous pretendez à ces
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
artis paroist clairement aux yeux du monde ; mais ce que la femme a d’ honneur et de fidelité, n’est pas tellement en son jour,
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
ion de toute Vertu. Car ayant commencé à bien faire pour l’amour de l’ honneur , nous venons insensiblement à bien faire pour l’a
51 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
s des Grecs, dans ma lâche torpeur, De mon pays lettré je trahirais l’ honneur , Quand la Thrace parmi ses poètes accuse Linus, f
oine, ait pu se dire le compatriote des poètes, dont il fait lui-même honneur à la Thrace ? La réponse est faite par les textes
impsestes en fournissent aujourd’hui la preuve la plus irrécusable. L’ honneur de faire revivre Phèdre était réservé à l’illustr
dry78, fut transporté à Troyes, où ses compatriotes lui rendirent des honneurs sans exemple. Toutes les compagnies en corps assi
de comprendre qu’il n’ait pas jugé qu’un si mince lambeau méritât les honneurs d’une publication spéciale, et il est permis de s
n. Ses collègues, après l’avoir signée, la lui avaient confiée. « Cet honneur dangereux, dont il était digne par son rang et pa
Monsieur,   « Je n’ai point oublié le spécimen que vous m’avez fait l’ honneur de me demander, de notre manuscrit de Phèdre, et
aquelle vous avez bien voulu vous occuper de mes brouillons. « J’ai l’ honneur d’être, etc. « D. X. Vincent. » Le bibliothécair
originaire d’Arezzo et que la petite ville d’Eu pouvait revendiquer l’ honneur de lui avoir donné le jour : dans une note ajouté
Feltre. Son ardeur au travail et son instruction lui valent bientôt l’ honneur de succéder à ses maîtres, et il devient professe
n oncle l’exemplaire qui lui était destiné, il ne lui fit pas le même honneur , et le manuscrit resta ignoré. Aussi Torquatus Pe
e de Phèdre et du texte du manuscrit de Perotti, de telle sorte que l’ honneur de la Bibliothèque royale et mon devoir m’obligea
moins droit à l’estime des savants ; car elle a démontré, à son grand honneur , l’exactitude de presque toutes ses conjectures.
inal, et la meilleure traduction était portée ensuite sur le cahier d’ honneur . De là vint cette collection de fables latines qu
, ne peuvent provenir que des traductions jugées indignes du cahier d’ honneur  ; ce vers Phædri libellos legere si desideras ,
issait de corrigés ; car le maître n’aurait pas porté sur le cahier d’ honneur des fragments de fables ; il se rencontre aussi d
airement se rapporter à une époque où ces divinités étaient encore en honneur  ; rappelant les oracles et les peines du Tartare,
a ridicule erreur du joueur de flûte Leprince, qui prend pour lui les honneurs rendus à l’empereur et se fait jeter la tête la p
la ressemblance. Fol. xliv a. — Opuscule, en prose latine rimée, en l’ honneur du Christ. Fol. xliv b. — Porphirius. Et au-desso
ssemburgensis fabularum Æsopiarum, au sujet duquel vous m’avez fait l’ honneur de m’écrire. À Wissembourg, chef-lieu de l’une de
tout temps à la mode et dont Phèdre lui-même, en renvoyant à Ésope l’ honneur de ses fables, avait, dans les vers suivants, déc
indre illusion : « Dijon, le 10 février 1870. « Monsieur,   « J’ai l’ honneur de vous faire connaître que la bibliothèque publi
llet 1873. « Monsieur,   « J’ai reçu la lettre que vous m’avez fait l’ honneur de m’écrire le 25 juin dernier pour m’exprimer le
tion ou suppression de quelques mots, et imprimé à la louange et en l’ honneur du très illustre prince et seigneur Sigismond, du
fables du Romulus ordinaire le furent bientôt dans les Pays-Bas, et l’ honneur en revient au célèbre Gérard Leeu, qui, dès 1485,
et par cette souscription placée au bas de la deuxième colonne : A l’ honneur et louenge De nostre || seigneur iesuscrit et de
s l’idée de publier les fables élégiaques ou tout au moins d’en faire honneur à Salon de Parme. Ce qui semble prouver l’interve
t il ressort que l’opinion de ceux qui reportaient à Salon de Parme l’ honneur d’avoir composé les fables élégiaques n’était pas
t l’œuvre du cardinal romain mort en 1305. L’hypothèse qui en faisait honneur à Gauthier de Châtillon, n’était pas démentie par
é d’une couronne royale, et encadré par ces mots formant quatrain : «  Honneur au roy et à la cour, Salut à l’université Dont no
vers 1333, les fables de Walther sont traduites en vers français en l’ honneur de Madame Jehanne de Bourgogne, épouse du roi Phi
s six premiers vers de celui du manuscrit 1594 ; les vers écrits en l’ honneur de Jeanne de Bourgogne n’y ont pas été ajoutés. L
de ces trois vers de l’épilogue, dont j’ai déjà donné copie : En le honneur de ma dame chiere La royne a tres belle chiere Ma
ation des fables du Romulus ordinaire, c’est à l’Italie que revient l’ honneur des premières éditions des fables de Walther.
La page qui porte cette mention est complétée par une épitaphe en l’ honneur d’Ésope, composée de huit vers élégiaques surmont
Italie, l’œuvre d’Accio Zuccho reçut bientôt dans le centre les mêmes honneurs . Elle fut imprimée à Rome, en 1483, dans le forma
ma première édition, et ne lui ferai-je pas une seconde fois le même honneur . Maintenant il me reste à examiner de quelle sour
oème au vaillant Guillaume, comte de Flandre, pour offrir un modèle d’ honneur à sa famille. Dans leur rage de ne pouvoir obteni
“Ah ! comte Guillaume, s’écrie le trouvère, vous n’étiez avide que d’ honneur , et l’on vous regardait avec raison comme seigneu
scrits, et dont j’ai déjà cité quelques lignes à la page 294. Il fait honneur du texte latin des fables à l’empereur Romulus et
niversité de Göttingen par M. Oesterley, et c’est à lui que revient l’ honneur d’avoir le premier songé à les faire paraître. Se
es de ce Dérivé étaient peu dignes d’être transcrites sur le cahier d’ honneur , on partagera mon sentiment. J’ajoute qu’à ce pre
ttista Ristori, à l’occasion des fêtes qui, en 1867, eurent lieu en l’ honneur de Guido dans toute l’Italie. Cette biographie, i
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