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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
toutes les deux le soient ensemble. D’ailleurs, ceux qui escrivent l’ Histoire , le font, ou du temps mesme des évenements qu’ils
e persuadé qu’il est Orateur. Je n’en veux point d’autre preuve que l’ Histoire de Papirius, qui vivoit au temps du grand Alexand
déroger à sa Vertu. La mesme consequence que l’on tire pour rendre l’ Histoire suspecte de flatterie, quand on parle de ses amis
hose se peut encore dire de ceux qui prennent le soing de publier les Histoires advenuës avant leur naissance. Car ils les puisen
sont soupçonnez aussi ; Et voy là comment il est mal-aisé d’avoir une Histoire toute pure, et qui ne contienne que des succés ve
ité, mais qui ont assez d’ambition, pour souhaitter de vivre dans une Histoire , il n’est pas incompatible qu’ils ne corrompent l
c’est à dire, qu’il y a quantité de vaillants Guerriers, à qui, si l’ Histoire avoit esté juste, elle auroit donné des loüanges
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VII. Le Mulet se vantant de sa Genealogie. » p. 315
esté là. Son fils prétendoit, pour cela, Qu’on le dust mettre dans l’ Histoire . Il eust cru s’abaisser servant un Medecin. Estan
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « A monseigneur, le dauphin. »
uphin. Je chante les Heros dont Esope est le Pere. Troupe de qui l’ Histoire , encor que mensongere, Contient des veritez qui s
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
ie. Icy je ne puis m’empescher que je ne m’anime contre les tragiques Histoires qu’on a veu arriver par l’Ingratitude, depuis la
l ; les enfans d’Isaac, à Benjamin ; et une infinité d’autres, dont l’ Histoire mesme de nostre France n’est pas exempte. Je voy
la personne mesme de nostre Autheur, et qui est escrit cy-devant en l’ Histoire de sa vie ; A sçavoir, qu’Esope estant dans Babyl
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
uyvie d’une bonne fin pour les mener en l’autre. Je laisse à part les Histoires , qui démonstrent la recognoissance des hommes env
e, puis qu’elle a passé jusques aux animaux. Car nous lisons dans les Histoires des Grecs, qu’un jeune homme ayant eslevé un Drag
animaux, qui toutesfois ne la tesmoigne pas si bien que la memorable Histoire d’Androde. Celuy-cy estant esclave d’un Seigneur
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XII. Le Dragon à plusieurs testes, et le Dragon à plusieurs queuës. » p. 
à plusieurs queuës. Un Envoyé du Grand seigneur
 Preferoit, dit l’ Histoire , un jour chez l’Empereur 
Les forces de son Maist
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIX. De la Belette, et du Renard. »
à la plus haute perfection des Sciences. Aussi aprenons-nous dans les Histoires , que les plus excellents hommes de lettres ont es
té nuist à l’Estude des Sciences, je fais voir insensiblement par ces Histoires , que les sçavans hommes sont capables des plus ha
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VII. Le Singe et le Daufin. » p. 73
ins tout eust pery. Cet animal est fort amy De nostre espece ; En son Histoire Pline le dit, il le faut croire. Il sauva donc to
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
encore qu’ils disent vray. Témoin ce Barbier dont Plutarque raconte l’ histoire , qui estant tenu dans la Ville d’Athenes pour un
e maudite demangaison de parler s’estoit emparée de son esprit. Cette Histoire est la veritable Allegorie de cette Fable, puis q
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
n receut de la part du Senat. La mesme chose est arrivée en plusieurs Histoires , et particulierement en celle de Massinissa, qui
e ne permette qu’elle éclatte. C’est ce que nous verifient toutes les Histoires , ce que la journaliere experience nous monstre, e
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
ù ils ne sortent ordinairement que pour estre conduits au supplice. L’ Histoire des siecles passez n’est pas plus frequente en ex
d’une infinité d’autres, si mon dessein estoit de faire un recueil d’ Histoires , plustost que des discours abregez. Contentons-no
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
excuser d’avoir fait plusieurs redictes, en rapportant une partie des Histoires que j’avois déduites cy-devant. Mais il faut accu
t comme impossible de bien prouver un sujet, sans alleguer quantité d’ Histoires , que l’on ne peut ny déguiser, ny diversifier, à
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du Pays, et de la condition d’Esope. Chapitre J . »
tions, ny par les raisonnements, ny mesme par les exemples tirez de l’ Histoire des siecles passez, il sçait si bien gagner les c
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIII. L’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits. » p. 40
pas plus de foy que ces gens. Je m’emporte un peu trop ; revenons à l’ histoire De ce Speculateur, qui fut contraint de boire. Ou
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXII. Du Loup, et de la Truye. »
avantage de son contraire. Il me seroit bien aisé d’alleguer d’autres Histoires de grands et excellents Personnages qui ont refus
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
pensers me seroient malseans. Mais venons à la Fable, ou plutost à l’ Histoire De celuy qui tâcha d’unir tous ses enfans. Un Vi
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIII. Des Loups, et de la Brebis. »
emples que de raisons. Mais nous nous sommes estendus si avant dans l’ Histoire aux discours precedents, que nous laisserons pour
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
e Un de ses compagnons qui fut encor mieux pris. Il y perit ; voicy l’ histoire . Un Villageois avoit à l’écart son logis. Messer
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. »
e, nous en trouverions toute l’Allegorie expressément declarée dans l’ Histoire Romaine de Tite-Live. Car, il dit, qu’en la Revol
20 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — FABLE I. Le Buscheron et Mercure. » p. 173
a bonne foy sera recompensée. En ce cas-là je les prendray, dit-il. L’ Histoire en est aussi-tost dispersée. Et Boquillons de per
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
siderément en mille sortes de perils, causez par son incredulité. Les Histoires de cela ne se doivent point chercher ailleurs que
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLI. Du Cerf, et du Chasseur. »
point eu d’autre conservatrice qu’elle. Nous ne voyons pas en aucune Histoire , qu’Itacque ait oncques esté assaillie, à cause q
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
ul avoit plus de sagesse Que tout l’Areopage. En voicy pour essay Une Histoire des plus gentilles, Et qui pourra plaire au Lecte
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
stre connu ; pour le peu d’apparence qu’il y a, qu’au lieu de quelque Histoire serieuse, je vienne vous presenter un Livre de Fa
Discours j’ay entremeslés à des Conseils et à des Exemples tirez de l’ Histoire . Ainsi, Monseigneur , ie ne doy point creindre q
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
x secours de celuy-là mesme qu’il avoit offensé. Je laisse à part les Histoires de Pyrrhus, du mesme Annibal, de Turne chez Virgi
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
les aux consequences et au raisonnement des hommes. Il y a quantité d’ histoires et de preuves à produire de part et d’autre dont
s-uns plus merveilleux que les autres. Ils rapportent entre plusieurs Histoires celle d’un certain Elephant, qui entendoit parfai
ose par dessus l’ordinaire des bestes brutes ? On rapporte encore une Histoire non moins memorable que celle-là, touchant la van
rapporter des exemples touchant la fidelité des Chiens, puis que les Histoires publiques, et toutes les maisons des particuliers
condition, que son Precepteur l’avoit instruict. Pour ce qui est de l’ Histoire de l’autre Elephant qui conduisit par un cable le
eluy-cy de prendre quelque espece de recreation, soit au recit de ces Histoires , soit en proposant une si aggreable question. D’a
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
immortelle en son essence, elle vous fera revivre à jamais, et dans l’ Histoire de nostre temps, et dans les autres ouvrages des
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
leurs bons offices, que de la parenté, et une infinité d’autres de l’ histoire ancienne et de la moderne, qui non seulement ont
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
s. Ce seroit une chose extravagante de confirmer ceste verité par des Histoires . La Cour n’est que trop pleine de gents de ceste
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
onnoit à Eux pour vivifier leur ame ? Il me semble avoir leu dans les Histoires de Naples, le conte de ceste effroyable action, d
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
r ennemy. C’est dequoy nous avons des preuves irreprochables dans les Histoires , où nous voyons par une infinité d’exemples, que
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
que des Sybaritains, de qui mesme l’on trouve à peine le nom dans les Histoires , si ce n’est que les Autheurs vueillent parler de
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
ir toute la terre durant leur vie. Mais si laissant à part toutes ces Histoires , qui sont si fameuses dans l’Antiquité, nous en v
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
ndre les raisons, nous n’avons seulement qu’à jetter les yeux sur les Histoires presentes, et sur les passées, où nous ne verrons
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
, des Obelisques, des Arcs, des Temples, des Hymnes, des Odes, et des Histoires  ; Où tout au contraire la vraye et solide honnest
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
irmer ceste verité par des exemples anciens, il faudroit dépoüiller l’ Histoire de l’Histoire mesme et transporter icy des volume
rité par des exemples anciens, il faudroit dépoüiller l’Histoire de l’ Histoire mesme et transporter icy des volumes entiers, pou
37 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
n Je me propose de publier, en faisant précéder les textes de leur histoire et de leur critique, tout ce qui reste des œuvres
parablement plus riches que ceux qu’on avait amassés avant lui pour l’ histoire de la fable au moyen âge, et il en a souvent tiré
pour servir à sa restitution, et n’offrent plus d’intérêt que pour l’ histoire de la littérature latine au moyen âge. Livre p
la langue latine, acquérir aisément une connaissance approfondie de l’ histoire et de la littérature de la Grèce. Tout dans son œ
es dirigées contre Séjan, et songeant à l’abominable réputation que l’ histoire avait faite à ce dernier, ils en ont conclu que l
ce deuxième chapitre. Section I. Manuscrit de Pithou. § 1er. —  Histoire du manuscrit. Lorsqu’au mois de septembre 1596
x que le second. Un savant troyen, très initié à tout ce qui touche l’ histoire littéraire de sa ville natale, m’a exprimé l’idée
utres, qui ne sont point numérotés, renferment une espèce d’ouvrage d’ histoire naturelle fabuleuse, ou description d’êtres comme
s fables nouvelles. Section II. Manuscrit de Reims. § 1er. —  Histoire du manuscrit. J’ai dit qu’à la fin du xvie  si
econnaissance que j’ai aux lumières que vous avez répandues sur notre histoire  ! J’y joins en particulier mes remerciements pour
même une copie entière, dont il comptait faire usage, pour écrire « l’ histoire de toutes les disputes qui se sont élevées au suj
. Daniel en 1564, comédie que l’auteur des Recherches pour servir à l’ histoire du droit français, a crue du siècle de Théodose,
un peu du Querolus. Section III. Manuscrit de Daniel. § 1. —  Histoire du manuscrit. J’ai maintenant à m’occuper du t
voie ceux qui me trouveront trop sévère pour elle au livre intitulé : Histoire des intrigues galantes de la reine Christine de S
39 dans la collection des classiques latins de M. Nisard, soit dans l’ histoire de la fable ésopique publiée par M. Edelestand du
Otinel 135. » Quant au sujet de ce dernier roman, il se rattache à l’ histoire légendaire des exploits de Charlemagne. « La chan
à Berne. Section IV. Manuscrit napolitain de Perotti. § 1. —  Histoire du manuscrit. J’ai dit que les fables de Phèdr
l était important de le retrouver. Le savant abbé Andrès, auteur de l’ Histoire générale de la Littérature, fut un de ceux qui s’
, avait pour objet le manuscrit considéré en lui-même. Elle en fait l’ histoire et la description, montre le soin que Jannelli a
e Pétrone. Il avait pris pour sujet de sa satire intitulée Eumolpe, l’ histoire de la matrone d’Ephèse. Eumolpe, en la racontant,
ransmit au conseiller d’État Rosini, président de l’Académie royale d’ histoire et d’antiquités, avec prière de faire examiner pa
rle de ses adversaires et de ses amis, qu’il y raconte même plusieurs histoires du temps d’Auguste et de Tibère, comme si elles s
émouvoir le monde savant, je vais la faire connaître. C’est dans son Histoire de la fable ésopique 241 qu’il a, en la motivant,
nir à la civilisation du peuple romain. Dans les premiers âges de son histoire elle avait été quelquefois employée : Ménénius av
porte donc de ne plus, en ce qui les concerne, se borner à retracer l’ histoire des discussions dont elles ont été l’objet, et d’
et prétend que la xxiie , Ursus esuriens, ne renferme « qu’un trait d’ histoire naturelle » sans intérêt. Il ne s’aperçoit pas qu
els sont, par exemple, l’anecdote du soldat de l’armée de Pompée et l’ histoire de la matrone d’Éphèse. N’y a-t-il pas là encore
Romulus primitif. Je suis donc obligé de le différer. Section II. Histoire et description du manuscrit des Fabulæ antiquæ.
ux. Moreri283 et l’auteur de la notice qui lui a été consacrée dans l’ Histoire littéraire de la France284 admettent au contraire
en faveur de son couvent. Le principal paraît être une chronique de l’ histoire de France. Commençant à Pharamond, elle se contin
ents et de monnaies. Fol. cxxxviii a à cxliv a. — Noles concernant l’ histoire des couvents de Saint-Cibard d’Angoulême et de Sa
à la plume dont il est illustré, il est intéressant également pour l’ histoire de l’art. En tête de la première page, à gauche d
piste était-il dû ? Voilà ce que rien n’indique, de telle sorte que l’ histoire des pérégrinations du manuscrit de Wissembourg, d
te son habileté a consisté à introduire les noms les plus connus de l’ histoire et de la géographie romaines dans sa dédicace qu’
enfermant les quatre livres de fables de Romulus et XXXII livres de l’ histoire naturelle de Pline, se trouvait, au temps du doct
le porte la lettre de M. Guignard, à la suite venaient 32 livres de l’ histoire naturelle de Pline. Mais il paraît qu’ils avaient
e. Remarquons, en terminant, que les fables n’y sont pas suivies de l’ Histoire de Sigismonde, qui d’ailleurs n’est pas non plus
ond ouvrage, réuni sous la même couverture, est, au point de vue de l’ histoire de la fable ésopique, beaucoup plus intéressant q
illets non numérotés, remplis par la table générale des matières et l’ histoire de Sigismonde341. Voici au surplus l’analyse de l
s et de Doligame Alphonse, et quelques facéties du Pogge. En outre, l’ histoire de Sigismonde, fille du prince Tancrède de Salern
edi von salernia vnd des iünglings gwisgardi. En d’autres termes : «  Histoire de Sigismonde, fille du prince de Tancrède de Sal
res que ceux de la précédente édition. Elles ne sont pas suivies de l’ histoire de Sigismonde. B. Édition sans date (Hain 333)
s feuillets, et ne se distingue des autres éditions de Sorg que par l’ histoire de Sigismonde qui s’étend du feuillet 155 au feui
uliste avec addition de quelques fables de Rimicius et d’Avianus et l’ histoire de Sigismonde, fille du prince Tancrède, etc. »
it une deuxième partie de fables belles et agréables, d’exemples et d’ histoires du Dr Sébastien Brant, pour l’enseignement des bo
au titre général ainsi formulé : Cy cōmence le liure des subtilitez, histoires et fables de esope translatez | de latin en frāco
Speculum historiale se divise en trente-deux livres, qui embrassent l’ histoire universelle depuis l’origine du monde jusqu’à l’a
ous la cote G 203 à G 207 au tome V de l’Inventaire alphabétique de l’ histoire générale. Tome I, comprenant les huit premiers li
emps que lui, Gyraldi tombait dans la même erreur. En effet, dans son Histoire des poètes, cet illustre critique s’exprimait en
t aussi plusieurs manuscrits très estimables, surtout par rapport à l’ histoire ecclésiastique, de sorte qu’à ce dernier égard el
haut du verso cette mention qui remonte à une époque très ancienne : Histoires et liures en frācois pulto 1o contre la muraille
voir négliger. Ce ne sera pas, nous l’espérons, une chose inutile à l’ histoire des beaux-arts ; elle pourra nous mettre en garde
ora||lise en latin et en franchois ou il y a || quatre-vingt et trois histoires Lequel || est à mons. Charles de Croy comte de Ch
ignale toujours qu’un seul manuscrit qu’il appelle Palatinus codex. L’ histoire de ce manuscrit est une véritable odyssée. D’où v
mence à ce cinquième vers de la fable xli dans laquelle est relatée l’ histoire d’Androclès :   Vix egrum sinit ire dolor saniem
Tout se tient dans la vie des peuples. Cette maxime, vraie pour leur histoire , est également applicable à leur littérature : le
par une indication des Archives de la Société pour fonder l’ancienne histoire de l’Allemagne 485, le manuscrit de la bibliothèq
rebis. IV, 21. III, 42. La Statue d’Ésope. IV, 22. Section IV. Histoire et description du manuscrit de la Laurentienne.
c’est moins sa pureté grammaticale que le rôle qu’elle a joué dans l’ histoire littéraire. Et grand a été celui du Romulus de Ni
e volume renferme de nombreuses œuvres en vers français, telles que l’ histoire de Kanor et de ses frères, divers fragments de ro
tières conçue en ces termes : I. Sermones de Voragine, en Prose. II. Histoire de la guerre de Troye par Darès le Phrigien, trad
de Troye par Darès le Phrigien, traduitte en francois. Page 46. III. Histoire romaine par Eutrope traduite en francois. Page 58
fin de cet ouvrage on voit que ce manuscrit a été écrit en 1265. 2º L’ histoire des Oiseaux moralisée, alias le Volucraire. 3º Le
e, alias le Volucraire. 3º Le Bestiaire par Guillaume de Normandie ou histoire des animaux moralisée. 4º Le Lapidaire. C’est une
étrique, qui, à mon sens, n’a guère d’intérêt qu’au point de vue de l’ histoire littéraire du moyen âge. S’il en offre un autre p
83. Voyez année 1708, p. 787. 84. Niceron, Mémoires pour servir à l’ histoire des hommes illustres dans la république des lettr
rable, et consacra sa longue existence à amasser des matériaux pour l’ histoire civile, ecclésiastique, généalogique et littérair
M.DCCXXII, in-4º. (Voyez p. 147-150.) 198. Mémoires pour servir à l’ histoire des hommes illustres dans la république des lettr
DC.XVII, in-4º. 241. Poésies inédites du moyen âge, précédées d’une Histoire de la fable ésopique, par M. Edélestand du Méril.
.) 283. Le Grand Dictionnaire historique ou le mélange curieux de l’ histoire sacrée et profane. Tome I. Paris, M.D.CC.LIX. (Vo
5. Voyez, à la page 47, le volume, publié en 1874 par la Société de l’ histoire de France, qui contient les chroniques de l’abbay
p. xi et xii.) 319. Poésies inédites du moyen âge, précédées d’une histoire de la fable ésopique, par M. Édélestand du Méril.
. 389. Panzer, Annales typographici, t. III, p. 352, nº 1786. 390. Histoire littéraire de la France, t. XVIII, p. 471. 391.
in du xve  siècle au milieu du xvie et qui, dans ses dialogues sur l’ histoire des poètes, donna le nom de Romulus à l’auteur de
. Recherches de la France, t. I, livre VIII, ch. 1, col. 754. 520. Histoire de la poésie française, p. 157. 521. Poésies de
és des choses, publié par M. Léopold Delisle dans le XXXe volume de l’ Histoire littéraire de la France, page 334 et suivantes. V
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