toutes les deux le soient ensemble. D’ailleurs, ceux qui escrivent l’
Histoire
, le font, ou du temps mesme des évenements qu’ils
e persuadé qu’il est Orateur. Je n’en veux point d’autre preuve que l’
Histoire
de Papirius, qui vivoit au temps du grand Alexand
déroger à sa Vertu. La mesme consequence que l’on tire pour rendre l’
Histoire
suspecte de flatterie, quand on parle de ses amis
hose se peut encore dire de ceux qui prennent le soing de publier les
Histoires
advenuës avant leur naissance. Car ils les puisen
sont soupçonnez aussi ; Et voy là comment il est mal-aisé d’avoir une
Histoire
toute pure, et qui ne contienne que des succés ve
ité, mais qui ont assez d’ambition, pour souhaitter de vivre dans une
Histoire
, il n’est pas incompatible qu’ils ne corrompent l
c’est à dire, qu’il y a quantité de vaillants Guerriers, à qui, si l’
Histoire
avoit esté juste, elle auroit donné des loüanges
esté là. Son fils prétendoit, pour cela, Qu’on le dust mettre dans l’
Histoire
. Il eust cru s’abaisser servant un Medecin. Estan
uphin. Je chante les Heros dont Esope est le Pere. Troupe de qui l’
Histoire
, encor que mensongere, Contient des veritez qui s
ie. Icy je ne puis m’empescher que je ne m’anime contre les tragiques
Histoires
qu’on a veu arriver par l’Ingratitude, depuis la
l ; les enfans d’Isaac, à Benjamin ; et une infinité d’autres, dont l’
Histoire
mesme de nostre France n’est pas exempte. Je voy
la personne mesme de nostre Autheur, et qui est escrit cy-devant en l’
Histoire
de sa vie ; A sçavoir, qu’Esope estant dans Babyl
uyvie d’une bonne fin pour les mener en l’autre. Je laisse à part les
Histoires
, qui démonstrent la recognoissance des hommes env
e, puis qu’elle a passé jusques aux animaux. Car nous lisons dans les
Histoires
des Grecs, qu’un jeune homme ayant eslevé un Drag
animaux, qui toutesfois ne la tesmoigne pas si bien que la memorable
Histoire
d’Androde. Celuy-cy estant esclave d’un Seigneur
à plusieurs queuës. Un Envoyé du Grand seigneur
Preferoit, dit l’
Histoire
, un jour chez l’Empereur
Les forces de son Maist
à la plus haute perfection des Sciences. Aussi aprenons-nous dans les
Histoires
, que les plus excellents hommes de lettres ont es
té nuist à l’Estude des Sciences, je fais voir insensiblement par ces
Histoires
, que les sçavans hommes sont capables des plus ha
ins tout eust pery. Cet animal est fort amy De nostre espece ; En son
Histoire
Pline le dit, il le faut croire. Il sauva donc to
encore qu’ils disent vray. Témoin ce Barbier dont Plutarque raconte l’
histoire
, qui estant tenu dans la Ville d’Athenes pour un
e maudite demangaison de parler s’estoit emparée de son esprit. Cette
Histoire
est la veritable Allegorie de cette Fable, puis q
n receut de la part du Senat. La mesme chose est arrivée en plusieurs
Histoires
, et particulierement en celle de Massinissa, qui
e ne permette qu’elle éclatte. C’est ce que nous verifient toutes les
Histoires
, ce que la journaliere experience nous monstre, e
ù ils ne sortent ordinairement que pour estre conduits au supplice. L’
Histoire
des siecles passez n’est pas plus frequente en ex
d’une infinité d’autres, si mon dessein estoit de faire un recueil d’
Histoires
, plustost que des discours abregez. Contentons-no
excuser d’avoir fait plusieurs redictes, en rapportant une partie des
Histoires
que j’avois déduites cy-devant. Mais il faut accu
t comme impossible de bien prouver un sujet, sans alleguer quantité d’
Histoires
, que l’on ne peut ny déguiser, ny diversifier, à
tions, ny par les raisonnements, ny mesme par les exemples tirez de l’
Histoire
des siecles passez, il sçait si bien gagner les c
pas plus de foy que ces gens. Je m’emporte un peu trop ; revenons à l’
histoire
De ce Speculateur, qui fut contraint de boire. Ou
avantage de son contraire. Il me seroit bien aisé d’alleguer d’autres
Histoires
de grands et excellents Personnages qui ont refus
pensers me seroient malseans. Mais venons à la Fable, ou plutost à l’
Histoire
De celuy qui tâcha d’unir tous ses enfans. Un Vi
emples que de raisons. Mais nous nous sommes estendus si avant dans l’
Histoire
aux discours precedents, que nous laisserons pour
e Un de ses compagnons qui fut encor mieux pris. Il y perit ; voicy l’
histoire
. Un Villageois avoit à l’écart son logis. Messer
e, nous en trouverions toute l’Allegorie expressément declarée dans l’
Histoire
Romaine de Tite-Live. Car, il dit, qu’en la Revol
a bonne foy sera recompensée. En ce cas-là je les prendray, dit-il. L’
Histoire
en est aussi-tost dispersée. Et Boquillons de per
siderément en mille sortes de perils, causez par son incredulité. Les
Histoires
de cela ne se doivent point chercher ailleurs que
point eu d’autre conservatrice qu’elle. Nous ne voyons pas en aucune
Histoire
, qu’Itacque ait oncques esté assaillie, à cause q
ul avoit plus de sagesse Que tout l’Areopage. En voicy pour essay Une
Histoire
des plus gentilles, Et qui pourra plaire au Lecte
stre connu ; pour le peu d’apparence qu’il y a, qu’au lieu de quelque
Histoire
serieuse, je vienne vous presenter un Livre de Fa
Discours j’ay entremeslés à des Conseils et à des Exemples tirez de l’
Histoire
. Ainsi, Monseigneur , ie ne doy point creindre q
x secours de celuy-là mesme qu’il avoit offensé. Je laisse à part les
Histoires
de Pyrrhus, du mesme Annibal, de Turne chez Virgi
les aux consequences et au raisonnement des hommes. Il y a quantité d’
histoires
et de preuves à produire de part et d’autre dont
s-uns plus merveilleux que les autres. Ils rapportent entre plusieurs
Histoires
celle d’un certain Elephant, qui entendoit parfai
ose par dessus l’ordinaire des bestes brutes ? On rapporte encore une
Histoire
non moins memorable que celle-là, touchant la van
rapporter des exemples touchant la fidelité des Chiens, puis que les
Histoires
publiques, et toutes les maisons des particuliers
condition, que son Precepteur l’avoit instruict. Pour ce qui est de l’
Histoire
de l’autre Elephant qui conduisit par un cable le
eluy-cy de prendre quelque espece de recreation, soit au recit de ces
Histoires
, soit en proposant une si aggreable question. D’a
immortelle en son essence, elle vous fera revivre à jamais, et dans l’
Histoire
de nostre temps, et dans les autres ouvrages des
leurs bons offices, que de la parenté, et une infinité d’autres de l’
histoire
ancienne et de la moderne, qui non seulement ont
s. Ce seroit une chose extravagante de confirmer ceste verité par des
Histoires
. La Cour n’est que trop pleine de gents de ceste
onnoit à Eux pour vivifier leur ame ? Il me semble avoir leu dans les
Histoires
de Naples, le conte de ceste effroyable action, d
r ennemy. C’est dequoy nous avons des preuves irreprochables dans les
Histoires
, où nous voyons par une infinité d’exemples, que
que des Sybaritains, de qui mesme l’on trouve à peine le nom dans les
Histoires
, si ce n’est que les Autheurs vueillent parler de
ir toute la terre durant leur vie. Mais si laissant à part toutes ces
Histoires
, qui sont si fameuses dans l’Antiquité, nous en v
ndre les raisons, nous n’avons seulement qu’à jetter les yeux sur les
Histoires
presentes, et sur les passées, où nous ne verrons
, des Obelisques, des Arcs, des Temples, des Hymnes, des Odes, et des
Histoires
; Où tout au contraire la vraye et solide honnest
irmer ceste verité par des exemples anciens, il faudroit dépoüiller l’
Histoire
de l’Histoire mesme et transporter icy des volume
rité par des exemples anciens, il faudroit dépoüiller l’Histoire de l’
Histoire
mesme et transporter icy des volumes entiers, pou
n Je me propose de publier, en faisant précéder les textes de leur
histoire
et de leur critique, tout ce qui reste des œuvres
parablement plus riches que ceux qu’on avait amassés avant lui pour l’
histoire
de la fable au moyen âge, et il en a souvent tiré
pour servir à sa restitution, et n’offrent plus d’intérêt que pour l’
histoire
de la littérature latine au moyen âge. Livre p
la langue latine, acquérir aisément une connaissance approfondie de l’
histoire
et de la littérature de la Grèce. Tout dans son œ
es dirigées contre Séjan, et songeant à l’abominable réputation que l’
histoire
avait faite à ce dernier, ils en ont conclu que l
ce deuxième chapitre. Section I. Manuscrit de Pithou. § 1er. —
Histoire
du manuscrit. Lorsqu’au mois de septembre 1596
x que le second. Un savant troyen, très initié à tout ce qui touche l’
histoire
littéraire de sa ville natale, m’a exprimé l’idée
utres, qui ne sont point numérotés, renferment une espèce d’ouvrage d’
histoire
naturelle fabuleuse, ou description d’êtres comme
s fables nouvelles. Section II. Manuscrit de Reims. § 1er. —
Histoire
du manuscrit. J’ai dit qu’à la fin du xvie si
econnaissance que j’ai aux lumières que vous avez répandues sur notre
histoire
! J’y joins en particulier mes remerciements pour
même une copie entière, dont il comptait faire usage, pour écrire « l’
histoire
de toutes les disputes qui se sont élevées au suj
. Daniel en 1564, comédie que l’auteur des Recherches pour servir à l’
histoire
du droit français, a crue du siècle de Théodose,
un peu du Querolus. Section III. Manuscrit de Daniel. § 1. —
Histoire
du manuscrit. J’ai maintenant à m’occuper du t
voie ceux qui me trouveront trop sévère pour elle au livre intitulé :
Histoire
des intrigues galantes de la reine Christine de S
39 dans la collection des classiques latins de M. Nisard, soit dans l’
histoire
de la fable ésopique publiée par M. Edelestand du
Otinel 135. » Quant au sujet de ce dernier roman, il se rattache à l’
histoire
légendaire des exploits de Charlemagne. « La chan
à Berne. Section IV. Manuscrit napolitain de Perotti. § 1. —
Histoire
du manuscrit. J’ai dit que les fables de Phèdr
l était important de le retrouver. Le savant abbé Andrès, auteur de l’
Histoire
générale de la Littérature, fut un de ceux qui s’
, avait pour objet le manuscrit considéré en lui-même. Elle en fait l’
histoire
et la description, montre le soin que Jannelli a
e Pétrone. Il avait pris pour sujet de sa satire intitulée Eumolpe, l’
histoire
de la matrone d’Ephèse. Eumolpe, en la racontant,
ransmit au conseiller d’État Rosini, président de l’Académie royale d’
histoire
et d’antiquités, avec prière de faire examiner pa
rle de ses adversaires et de ses amis, qu’il y raconte même plusieurs
histoires
du temps d’Auguste et de Tibère, comme si elles s
émouvoir le monde savant, je vais la faire connaître. C’est dans son
Histoire
de la fable ésopique 241 qu’il a, en la motivant,
nir à la civilisation du peuple romain. Dans les premiers âges de son
histoire
elle avait été quelquefois employée : Ménénius av
porte donc de ne plus, en ce qui les concerne, se borner à retracer l’
histoire
des discussions dont elles ont été l’objet, et d’
et prétend que la xxiie , Ursus esuriens, ne renferme « qu’un trait d’
histoire
naturelle » sans intérêt. Il ne s’aperçoit pas qu
els sont, par exemple, l’anecdote du soldat de l’armée de Pompée et l’
histoire
de la matrone d’Éphèse. N’y a-t-il pas là encore
Romulus primitif. Je suis donc obligé de le différer. Section II.
Histoire
et description du manuscrit des Fabulæ antiquæ.
ux. Moreri283 et l’auteur de la notice qui lui a été consacrée dans l’
Histoire
littéraire de la France284 admettent au contraire
en faveur de son couvent. Le principal paraît être une chronique de l’
histoire
de France. Commençant à Pharamond, elle se contin
ents et de monnaies. Fol. cxxxviii a à cxliv a. — Noles concernant l’
histoire
des couvents de Saint-Cibard d’Angoulême et de Sa
à la plume dont il est illustré, il est intéressant également pour l’
histoire
de l’art. En tête de la première page, à gauche d
piste était-il dû ? Voilà ce que rien n’indique, de telle sorte que l’
histoire
des pérégrinations du manuscrit de Wissembourg, d
te son habileté a consisté à introduire les noms les plus connus de l’
histoire
et de la géographie romaines dans sa dédicace qu’
enfermant les quatre livres de fables de Romulus et XXXII livres de l’
histoire
naturelle de Pline, se trouvait, au temps du doct
le porte la lettre de M. Guignard, à la suite venaient 32 livres de l’
histoire
naturelle de Pline. Mais il paraît qu’ils avaient
e. Remarquons, en terminant, que les fables n’y sont pas suivies de l’
Histoire
de Sigismonde, qui d’ailleurs n’est pas non plus
ond ouvrage, réuni sous la même couverture, est, au point de vue de l’
histoire
de la fable ésopique, beaucoup plus intéressant q
illets non numérotés, remplis par la table générale des matières et l’
histoire
de Sigismonde341. Voici au surplus l’analyse de l
s et de Doligame Alphonse, et quelques facéties du Pogge. En outre, l’
histoire
de Sigismonde, fille du prince Tancrède de Salern
edi von salernia vnd des iünglings gwisgardi. En d’autres termes : «
Histoire
de Sigismonde, fille du prince de Tancrède de Sal
res que ceux de la précédente édition. Elles ne sont pas suivies de l’
histoire
de Sigismonde. B. Édition sans date (Hain 333)
s feuillets, et ne se distingue des autres éditions de Sorg que par l’
histoire
de Sigismonde qui s’étend du feuillet 155 au feui
uliste avec addition de quelques fables de Rimicius et d’Avianus et l’
histoire
de Sigismonde, fille du prince Tancrède, etc. »
it une deuxième partie de fables belles et agréables, d’exemples et d’
histoires
du Dr Sébastien Brant, pour l’enseignement des bo
au titre général ainsi formulé : Cy cōmence le liure des subtilitez,
histoires
et fables de esope translatez | de latin en frāco
Speculum historiale se divise en trente-deux livres, qui embrassent l’
histoire
universelle depuis l’origine du monde jusqu’à l’a
ous la cote G 203 à G 207 au tome V de l’Inventaire alphabétique de l’
histoire
générale. Tome I, comprenant les huit premiers li
emps que lui, Gyraldi tombait dans la même erreur. En effet, dans son
Histoire
des poètes, cet illustre critique s’exprimait en
t aussi plusieurs manuscrits très estimables, surtout par rapport à l’
histoire
ecclésiastique, de sorte qu’à ce dernier égard el
haut du verso cette mention qui remonte à une époque très ancienne :
Histoires
et liures en frācois pulto 1o contre la muraille
voir négliger. Ce ne sera pas, nous l’espérons, une chose inutile à l’
histoire
des beaux-arts ; elle pourra nous mettre en garde
ora||lise en latin et en franchois ou il y a || quatre-vingt et trois
histoires
Lequel || est à mons. Charles de Croy comte de Ch
ignale toujours qu’un seul manuscrit qu’il appelle Palatinus codex. L’
histoire
de ce manuscrit est une véritable odyssée. D’où v
mence à ce cinquième vers de la fable xli dans laquelle est relatée l’
histoire
d’Androclès : Vix egrum sinit ire dolor saniem
Tout se tient dans la vie des peuples. Cette maxime, vraie pour leur
histoire
, est également applicable à leur littérature : le
par une indication des Archives de la Société pour fonder l’ancienne
histoire
de l’Allemagne 485, le manuscrit de la bibliothèq
rebis. IV, 21. III, 42. La Statue d’Ésope. IV, 22. Section IV.
Histoire
et description du manuscrit de la Laurentienne.
c’est moins sa pureté grammaticale que le rôle qu’elle a joué dans l’
histoire
littéraire. Et grand a été celui du Romulus de Ni
e volume renferme de nombreuses œuvres en vers français, telles que l’
histoire
de Kanor et de ses frères, divers fragments de ro
tières conçue en ces termes : I. Sermones de Voragine, en Prose. II.
Histoire
de la guerre de Troye par Darès le Phrigien, trad
de Troye par Darès le Phrigien, traduitte en francois. Page 46. III.
Histoire
romaine par Eutrope traduite en francois. Page 58
fin de cet ouvrage on voit que ce manuscrit a été écrit en 1265. 2º L’
histoire
des Oiseaux moralisée, alias le Volucraire. 3º Le
e, alias le Volucraire. 3º Le Bestiaire par Guillaume de Normandie ou
histoire
des animaux moralisée. 4º Le Lapidaire. C’est une
étrique, qui, à mon sens, n’a guère d’intérêt qu’au point de vue de l’
histoire
littéraire du moyen âge. S’il en offre un autre p
83. Voyez année 1708, p. 787. 84. Niceron, Mémoires pour servir à l’
histoire
des hommes illustres dans la république des lettr
rable, et consacra sa longue existence à amasser des matériaux pour l’
histoire
civile, ecclésiastique, généalogique et littérair
M.DCCXXII, in-4º. (Voyez p. 147-150.) 198. Mémoires pour servir à l’
histoire
des hommes illustres dans la république des lettr
DC.XVII, in-4º. 241. Poésies inédites du moyen âge, précédées d’une
Histoire
de la fable ésopique, par M. Edélestand du Méril.
.) 283. Le Grand Dictionnaire historique ou le mélange curieux de l’
histoire
sacrée et profane. Tome I. Paris, M.D.CC.LIX. (Vo
5. Voyez, à la page 47, le volume, publié en 1874 par la Société de l’
histoire
de France, qui contient les chroniques de l’abbay
p. xi et xii.) 319. Poésies inédites du moyen âge, précédées d’une
histoire
de la fable ésopique, par M. Édélestand du Méril.
. 389. Panzer, Annales typographici, t. III, p. 352, nº 1786. 390.
Histoire
littéraire de la France, t. XVIII, p. 471. 391.
in du xve siècle au milieu du xvie et qui, dans ses dialogues sur l’
histoire
des poètes, donna le nom de Romulus à l’auteur de
. Recherches de la France, t. I, livre VIII, ch. 1, col. 754. 520.
Histoire
de la poésie française, p. 157. 521. Poésies de
és des choses, publié par M. Léopold Delisle dans le XXXe volume de l’
Histoire
littéraire de la France, page 334 et suivantes. V
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