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1 (1180) Fables « Marie de France, n° 74. L’escarbot » p. 650
« L’egle ai esguardé tut en jur, que nus tenums [tuit] a seignur : si haut vola que nel vi pas, e quant il volt, si revient
lt, si revient bas ; mes sa voiz est [e] basse e quoie n’est pas plus haut [e] que la moie ; autresi est mis cors luisanz cum
ement e a crier. Derere l’egle prist un saut, car il quida voler plus haut . Ainz que gueres fust luinz alez, esturdi fu e es
Ainz que gueres fust luinz alez, esturdi fu e estunez : ne poeit mie haut munter ne a sun femer puis asener. Feim aveit [gr
2 (1180) Fables « Marie de France, n° 73. Le mulot qui cherche à se marier » p. 73
ra femme, ceo dist, s’il ne la treve a sun talent. [La] fille al plus haut element vodra li mulez demander : al soleil en al
ez demander : al soleil en ala parler. Pur ceo qu’il esteit [li] plus haut e en esté puissant e chaut, lui prie sa fille a m
sté puissant e chaut, lui prie sa fille a muiller ; kar ne sot a plus haut aler. Li soleil dist qu’il voist avant, si trover
est la suriz ma parente. Ore ai perdu tute m’entente : jeo quidoue si haut munter, ore me covient a returner e encliner a ma
3 (1180) Fables « Marie de France, n° 12. L’aigle et la corneille » p. 259
a overir si ele al peissun pust partir. Puis li rova amunt voler tant haut cum plus purreit munter ; quant il sera munté la
scer. Li aigles ad mut grant desirer de la welke qu’il tient manger ; haut la porte, cheïr la leit. La corneille fut en ague
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XI. Le Renard et les Raisins. » p. 15
ard Gascon, d’autres disent Normant,
 Mourant presque de faim, vid au haut d’une treille
 Des raisins murs apparemment,
 Et
5 (1495) Hecatomythium primum - Hecatomythium secundum « [Hecatomythivm secvndvm] — Abstemius 149. De patrefamilias svccensente cani ob gallinas raptas » p. 
n sensi qui nulla ex illis emolumenta percipiebam ? » Fabula indicat haut unquam sperandum diligentem fore familiam, cuius
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — X. La Montagne qui accouche. » p. 520
qui accouche. Une Montagne en mal d’enfant, Jettoit une clameur si haute , Que chacun au bruit accourant, Crut qu’elle acco
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIX. De la Belette, et du Renard. »
qui sont trop à leur aise, peuvent difficilement atteindre à la plus haute perfection des Sciences. Aussi aprenons-nous dans
conduite de sa vie. Car, disoient-ils, comment pourroit s’exercer aux hautes et sublimes meditations un homme abruty dans l’oy
ment par ces Histoires, que les sçavans hommes sont capables des plus hautes entreprises, et de la parfaite Vertu, qui ne cons
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
le prix de la course. Dequoy le Liévre bien estonné, il maudist tout haut sa nonchalance, et la trop bonne opinion qu’il av
ddresse ; puis que par elle nous venons glorieusement à bout des plus hautes entreprises, où la Valeur et le Courage nous port
évident en la personne d’Archimede, qui se fût en vain picqué de ses hautes cognoissances, et de son profond sçavoir aux Math
9 (1180) Fables « Marie de France, n° 55. La prière stupide d’un paysan » p. 666
enfanz e nului plus ; ceste preere aveit en us. Sovent le dist od si haut cri que un autre vilein l’entendi, si li respunt
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 
eurs, en voulez-vous qui soient plus authentiques, Et d’un stile plus haut  ? En voicy. Les Troyens, Après dix ans de guerre,
ajole un Corbeau sur sa voix. De plus il vous sied mal d’écrire en si haut stile. Et bien, baissons d’un ton. La jalouse Ama
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
us n’adjoûtons pas beaucoup de foy. Car il leur apprit en volant bien haut , à porter dans des corbeilles certains enfans pen
enfans les faisoient voler où bon leur sembloit ; c’est à dire aussi haut , ou aussi bas qu’ils vouloient. L’Hyver estant do
l fist appeller Esope, qui fust à peine entré, qu’il luy demanda tout haut , « à qui me compares-tu Esope, et ceux qui sont a
everent incontinent, et lors que ces Maistres ouvriers se virent bien haut , ils se mirent à crier ensemble ; « Donnez nous d
es à bastir ». Nectenabo bien estonné de voir ces galants s’élever si haut  ; « Qu’est-cecy », dit-il, « d’où nous est venuë
e leva un bruict confus parmy tous ses Conseillers, qui disoient tout haut  ; « Ce n’est pas chose nouvelle, nous avons ouy c
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XV. Le Cerf et la Vigne. » p. 77
XV. Le Cerf et la Vigne. Un Cerf à la faveur d’une Vigne fort haute , Et telle qu’on en voit en de certains climats, S
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — IV. Les deux Mulets. » p. 491
is.
 Ami, luy dit son camarade,
 Il n’est pas toujours bon d’avoir un haut Employ.
 Si tu n’avois servi qu’un Meusnier, comm
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XI. La Fortune et le jeune Enfant. » p. 174
oit vostre faute. Je vous demande en bonne foy Si cette imprudence si haute Provient de mon caprice ? Elle part à ces mots. P
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — IX. Le Cerf se voyant dans l’eau » p. 74
 ! Disoit-il en voyant leur ombre avec douleur : Des taillis les plus hauts mon front atteint le faiste ; Mes pieds ne me fon
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 295 » p. 162
dehors. Il arriva ainsi que le corbeau de l’arche, s’abattant sur le haut de sa tête, le tua.
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVI. Du Paon, et de la Gruë. »
raire, s’ils ont quelque chose de loüable en eux, ils le mettent à si haut prix, qu’il semble que tout le monde leur en doiv
luy reproche sa pesanteur, et qu’au contraire elle mette en avant la haute maniere qu’elle a de voler jusques dans les nuës.
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. L’Aigle vola du haut d’un Rocher dessus le dos d’un Aigneau ; ce que l
on semblable ne s’addresse pas à la Divinité. La disproportion est si haute d’elle à nous, qu’il n’y a eu que les hommes extr
ieux qui ayent voulu se rendre Salmonées, c’est à dire, imitateurs du haut Jupiter. Mais il y en a un nombre presque infiny
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XV. Le Coq et le Renard. » p. 671
faire Une autre fois. Le galand aussi-tost Tire ses gregues, gagne au haut , Mal-content de son stratagême ; Et nostre vieux
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
comme quoy les personnes, qui d’une basse condition parviennent à une haute fortune, sont fort sujettes à tomber, ou par leur
dent à s’eslever au delà de sa naissance, de peur que tombant de trop haut , on ne s’écrase comme la Tortuë ; joinct qu’il ar
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVII. Du Milan malade. »
ntage de bien mourir, il ne faut pas jusques là nous reposer en ceste haute Bonté, que nous n’ayons soing de nous en rendre d
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXV. De la Grenoüille, et du Bœuf. »
de peu, qui se veulent rendre égaux en despence et en mine, à ceux de haute condition. Quant au succez qui en arrive, il est
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCI. Du Chameau. »
ples celuy de Cesar Borgia, qui mourut miserablement au milieu de ses hauts dessiens, pour ne s’estre contenté de la Duché du
24 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — II. Conseil tenu par les Rats. » p. 613
nt miserable, Non pour un Chat, mais pour un Diable. Or un jour qu’au haut et au loin Le galand alla chercher femme ; Pendan
25 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — V. Le Renard et le Bouc. » p. 9
. Capitaine Renard alloit de compagnie
 Avec son amy Bouc des plus haut encornez.
 Celuy-cy ne voyoit pas plus loin que s
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. Le Loup contemploit du haut d’un Rocher deux Chiens, qui au lieu de se tenir
parfaicte intelligence de tous ceux qui en portent le nom, tant en la haute et basse Allemagne, qu’en Espagne mesme. Nous avo
27 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 146 » pp. 220-220
tèrent les suffrages, espérant être préférés aux autres, grâce à leur haute taille et à leur force. Mais le singe les déclara
28 (1180) Fables « Marie de France, n° 60. Le coq et le renard » p. 
. » Li gupil volt parler en haut, e li cocs de sa buche saut ; sur un haut fust s’[en] est muntez. Quant li gupilz s’est reg
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
Esope, et le tirerent de la prison, pour le traisner en quelque lieu haut eslevé, dont ils le peussent precipiter. Comme on
si hardy que d’oser entreprendre cela, s’advisa de faire son nid plus haut  : mais l’Escarbot s’y en retourna, et jetta pour
». Il eust à peine achevé de parler ainsi, qu’ils le precipiterent du haut d’un rocher, et voylà quelle fust la fin de sa vi
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 322 » pp. 212-212
à celui qui le tondait : « Si c’est ma laine que tu veux, coupe plus haut  ; si au contraire c’est ma chair que tu désires,
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
Fourmy fait sur la terre, representant la grandeur de sa race, et les hauts tiltres dont elle est de long-temps illustre. Pui
ommes qui vont dans le grand air, c’est à dire qui se jettent dans la haute volée, sont pour l’ordinaire sujets à l’inconstan
mé la vie tranquille, et qui l’ont mise dans leurs escrits en un plus haut poinct de loüange et d’approbation. J’en appelle
32 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 102 » pp. 304-304
t ensemble. Le sapin se vantait et disait : « Je suis beau, élancé et haut , et je sers à construire des toits aux temples et
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 136 » pp. 128-128
t se retourna et le mordit ; tous les deux furent alors précipités du haut des airs, et le milan périt. « Pourquoi, lui dit
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVI. Du Chat, et des Rats. »
lons faire estat d’estre tous perdus ; demeurons doncques plustost çà haut où nostre Ennemy ne peut monter ». Le Chat apprit
35 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VI. L’Aigle, la Laye, et la Chate. » p. 488
VI. L’Aigle, la Laye, et la Chate. L’Aigle avoit ses petits au haut d’un arbre creux
 La Laye au pied, la Chate entre
36 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XX. L’Avare qui a perdu son tresor. » p. 225
autre homme ? Diogene là-bas est aussi riche qu’eux ; Et l’Avare icy haut , comme luy vit en gueux. L’homme au tresor caché
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
, à cause du commandement, et du contraste de la loüange, l’on mit le haut poinct d’honneur à les decider publiquement, de p
c’est celuy-là qui encherit sur la vaillance, et a qui l’on donne de hautes loüanges, bien que toutesfois elles ne soient ny
38 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 109 » pp. 88-88
suma qu’étant à la fois messager de Zeus et dieu du gain, il était en haute estime chez les hommes. Aussi s’informa-t-il du p
39 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — FABLE I. Le Lion amoureux. » p. 140
gence, Et belle hure outre cela. Voicy comment il en alla. Un Lion de haut parentage En passant par un certain pré, Rencontr
40 (1180) Fables « Marie de France, n° 47. Le paysan et son cheval » p. 653
ie le pris. Il lur respunt ke dis souz vaut s’il est ignels, e süef e haut . Cil ki le cheval bargena de la süe part l’otria,
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
dignes de la censure d’un honneste homme ; et venons à faire une plus haute application de ce sujet, à sçavoir, à la vanité d
materiels ? C’est veritablement à une petite Soury qu’aboutissent nos hauts desseins : c’est d’une risée que nous accouchons.
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIII. De deux pots flottans sur l’eau. »
ct où ils s’entr’ayment. Par exemple, le Prince abaisse et diminuë sa haute condition, et augmente en quelque façon celle du
43 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVIII. Le Chat et un vieux Rat. » p. 79511
sortir ; qu’il avoit beau chercher ;
 Le galand fait le mort ; et du haut d’un plancher
 Se pend la teste en bas. La beste
44 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — III. La Moûche et la Fourmy. » p. 521
parasites ? Cessez donc de tenir un langage si vain : N’ayez plus ces hautes pensées : Les Moûches de Cour sont chassées : Les
45 (1180) Fables « Marie de France, n° 23. La chauve-souris » p. 566
ceus volt estre que veinterunt e ki la greinur force averunt. Sur un haut fust s’en est muntee pur esgarder cele assemblee.
46 (1180) Fables « Marie de France, n° 46. Les oiseaux et leur roi » p. 652
isa gueres sa manere, kar il feseit mauveise chere. Uncore vodra plus haut munter, sun curage volt espruver : sur une branch
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIII. Du Lion, et de la Chévre. »
et de la Chévre. Le Lion voyant la Chevre penduë au Buisson sur un haut Rocher, luy conseilloit de descendre à la campagn
48 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
an vivre en mere affligée. L’an suivant elle mit son nid en lieu plus haut . L’Escarbot prend son temps, fait faire aux œufs
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
Les belles paroles de Ciceron, les subtils passages de Seneque : les hautes conceptions de Platon : la grace majestueuse de P
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXV. De la Chauue-souris, et du Buisson, et du Plongeon. »
nce, pour surveiller aux moyens d’agir, et de venir à bout de quelque haute entreprise ; De bonne conduitte, pour ne laisser
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
tuel, il posseda si bien le repos de son esprit : il s’occupa à de si hautes pensées, et composa des ouvrages si Divins, qu’on
ez contre toute misere, que furent les leurs, ny si capables de ceste haute Philosophie, qui nous instruit à la patience. Ils
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
ur fait croire toutes choses faciles, et les porte vertement aux plus hautes entreprises. Ils s’asseurent si fort en la Fortun
la chaleur de leur temperament, qui devore et engloutit tous les plus hauts desseins, et ignore pour l’ordinaire toutes les c
. Or la folle et aveugle imagination des hommes ! Ils confessent tout haut que le bien n’est desirable que pour la vie, et t
is quand il est question de limiter cét usage, ils en font la taxe si haute , et si démesurée, que selon leur conte, pour estr
e biens Nature se contente. Elle ne nous a pas rendu necessaires les hauts et superbes bastiments : Une cabane, qui nous def
s la maladie d’une belle ame. C’est elle qui sert d’éguillon aux plus hautes entreprises ; Elle qui fait les Vaillants et les
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. »
it point autrement en peine de desployer envers ces petites gents les hautes raisons que luy pouvoit fournir son éloquence ; m
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
emps du feu Roy d’heureuse memoire, fut honoré parce Grand Prince du haut Privilege de pouvoir porter trois Fleurs de lis
ant, et par le Corbeau ; Comme au contraire, il nous depeint les plus hautes de toutes les Vertus par les plus nobles de tous
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
rouvée, la Corneille vint là dessus, qui luy conseilla de voller bien haut , et de laisser tomber la coquille sur des pierres
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIII. Du Renard, et du Buisson. »
les grands qu’avec les petits, estant bien certain que les hommes de haute condition ayment beaucoup le respect, et que l’on
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
en vouloit avoir trois mille oboles, le Philosophe se rebutta d’un si haut prix, et s’en alla d’un autre costé. Il fut neant
« que ma mere m’ait jamais declaré, si le lieu où elle me fist estoit haut , ou bas ». « Que sçais tu faire ? » continüa Xant
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
d’un bon nombre de personnes de condition leur apprend assez, qu’une haute Fortune ne sert quelquesfois qu’à les eslever à u
t quelquesfois qu’à les eslever à un degré d’imperfection encore plus haut . Ce ne sont pas tous-jours les mieux nourris que
59 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 185 » pp. 134-134
lque temps de là il revint, et trouva le chien endormi dans une pièce haute de la maison ; il s’arrêta en bas et l’appela, lu
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
celle en la connoissance des bonnes choses, jugera tout aussi tost du haut merite de celles-cy. C’est une école où les creat
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
ulust quelque jour déplacer, et commencerent à loger dans des maisons hautes , et fortifiées, à s’environner de gardes, et asse
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
estoffes empruntées. Bref, ils frequentent incessamment des gents de haute condition, sans leur vouloir ceder en aucune chos
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
les dons du Ciel ne se corrompent jamais : nous sçavons qu’il y a là haut une felicité qui surpasse toutes les autres ; qu’
sommes obligez, et par le devoir de vrays Chrestiens, et par tant de hautes promesses que Dieu nous a faictes, au prix desque
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
que l’ame est separée de la matiere comme luy, quoy que non pas en si haut degré de perfection. A quoy j’adjousteray le rais
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
ennemy ; et d’ailleurs, quand il en auroit premedité la vengeance, le haut poinct de prosperité où il se trouve maintenant,
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
e, sans y voir aucun moyen d’en eschapper. Car de dire que ce fût une haute resolution d’aymer mieux mourir que souffrir un T
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
tombe sous leur puissance ? Combien de Gouverneurs, qui dans les plus hautes charges vendent lâchement leur Maistre et leur Pa
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
our qu’ils estoient de repos en la maison, ce bon homme commanda tout haut qu’on luy apportast un faisceau de verges. Alors
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
luy qui a les gages, quelles sont vos conventions, et le demande tout haut , afin qu’il n’y ait personne en la compagnie qui
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
n que les hommes sages, c’est à dire, ceux qui parvindrent à une plus haute cognoissance des choses, conspirerent à debusquer
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
de bien estreiller Esope ». Apres ces choses, « ma femme (dit-il tout haut ) mets de l’eau dans un bassin, et en lave les pie
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
doucement avec une action de suppliant, jettant de temps en temps de hauts cris, qui tesmoignoient apparemment une douleur e
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
te ; et ce qui est le plus à craindre, sans encourir les peines de la haute Justice de Dieu. C’est luy qui a tant de soing de
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
et qui par des merveilles de Valeur et de Pieté, a mis à fin tant de hautes entreprises. Ne doit-il pas une partie de ses bea
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
re, qu’il me seroit facile de rapporter icy, pour vous faire voir les hauts mysteres que les Anciens ont cachez dessous le vo
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
it par leur conversation mutuelle. L’Aigle bâtist donc son nid sur un haut arbre, auprés duquel le Renard fit sa terriere, e
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
eil. Discours sur la quarantiesme Fable. Ce ne sont pas les plus hautes instructions des Philosophes, qui disposent au me
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
Esope ; qu’il vaut beaucoup mieux s’en passer, que les achepter à si haut prix, approuvant extrémement que le Loup retourne
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
qui ne contienne que des succés veritables. D’ailleurs, les gents de haute condition, comme les Souverains, et ceux qui en a
80 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
ir un homme de ceste mine, s’en rioient ouvertement, et disoient tout haut . « Vrayment voila un bel homme, pour nous expliqu
81 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 200 » pp. 336-336
aron : c’est le cerf qui est le plus digne de régner, parce qu’il est haut de taille, qu’il vit de longues années, et que sa
82 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
oins les Peripateticiens, le Maistre desquels a mis l’Ethique au plus haut poinct où puisse arriver ceste Science dans l’opi
83 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
l a donné carrière à son imagination, et vu, dans les vers cités plus haut , les sollicitations d’un accusé qui demande à son
assigné, ne l’a pas empêché d’avoir de sa personne l’opinion la plus haute qu’un homme puisse concevoir de lui-même. Il épro
autre récompense que la satisfaction d’avoir été utile, il quitta ses hautes fonctions, et rentra simplement dans les rangs de
ve pas ordinairement dans les manuscrits ces mots-là ainsi rejetés au haut d’une autre feuille. Le calligraphe s’arrange plu
ature que dans la Jurisprudence. Comme la sagacité de M. Christ et la haute estime que l’on a pour son érudition sont très-pr
re en usage. Pour retrouver un tel état social, il faut remonter plus haut que le règne de Constantin, et avant lui quel aut
grande partie, les divers éléments dont il se compose. J’ai dit plus haut que le manuscrit avait appartenu à l’abbaye de Sa
ex Plinio excerpta, Libro II, Cap. xv, xvi. Cet extrait se termine au haut du recto du fol. cxc, par le mot Pisces , au-des
: « Le ms. (Gud. 148), qui est de forme presque carrée, a 9 pouces de haut et 7 de large. Les feuillets sont en vélin, tantô
que, quoique je ne lui eusse pas encore fait la visite qu’un peu plus haut j’ai racontée, je m’étais déjà mis par lettre en
urvu de la lettre A. Je passe aux feuillets numérotés. Fol. 1 a. — Au haut de la page le bibliothécaire Ebert a donné, de sa
e : Hunc cecinit  | Salomon mira dulcedine librum. Fol. 82 b. — Au haut de la page, trouvant sans doute trop vague le tit
feuillet 98 a. Fol. 98 b. — Le titre suivant a été écrit par Ebert au haut de la page : Anonymi liber de monstris, belluis,
gne de saint Louis et qui mourut en 1264, avait, comme on l’a vu plus haut , transcrit, dans son Speculum historiale et dans
s Mérovingiens. À l’égard de Romulus, qui, comme je l’ai rappelé plus haut , ajouta à l’auteur anonyme une certaine parure de
oilà ce qu’on ne saurait admettre. Malgré mon sincère respect pour la haute érudition de M. L. Müller, je ne puis m’empêcher
t se terminent au verso du sixième, au bas de la première colonne. Au haut de la seconde commence un ouvrage qui a dû être c
de la bibliothèque. « Veuillez recevoir, monsieur, l’assurance de ma haute considération.   « Signé : E. Lefebvre de Behaine
celles du Romulus ordinaire. Les fables de Walther, qui commencent au haut du feuillet 13 vº et finissent au milieu du feuil
t la souscription suivante : Explicit liber tertius prosa Esopi. Au haut du feuillet 35 a, commence, sans titre, la fable 
onçue : Finis diuersarū fabularū. Par suite d’une aggravation plus haut expliquée de l’erreur que Zeiner avait déjà commi
récède. Fol. 60 b à 67 a. — Fables du livre IV. Elles se terminent au haut du recto du fol. 67 a (k. iii a) par cette souscr
impresso en Anuers por | Juan Lacio. 12º Édition de 1728. Au haut du frontispice de l’édition de 1728, on lit : Li
cupent les feuillets 106 et 107 et commencent sans titre préalable au haut du recto du feuillet 106. Comme l’écriture est d’
ouvrage, le Romulus du Miroir historial, je n’ai pas cru devoir plus haut en reproduire le préambule. Au contraire, ne deva
de 1473. Les fables du Miroir historial qu’il renferme, commencent au haut de la première col. du feuillet 284 rº et se term
ne me suis pas borné à étudier le manuscrit 42 qui a été analysé plus haut  ; j’ai aussi jeté un coup d’œil sur le manuscrit 
quelques fables joviales, et ce dernier, pour ne pas contrarier un si haut personnage, traduit en prose latine ses fables gr
lacés au château de Blois. En y regardant de près, on peut encore, au haut du recto du premier feuillet en parchemin, déchif
plet, c’est-à-dire qu’elles sont au nombre de 62. Elles commencent au haut du recto du deuxième feuillet, ne sont précédées
eux-mêmes précédés de deux autres non numérotés. Le premier porte au haut du verso cette mention qui remonte à une époque t
r. Elles sont précédées d’une jolie miniature, qui orne, au recto, le haut du premier feuillet ancien, et représente un moin
roiz et loiautey touz iour dure. À la fin du volume, c’est-à-dire au haut du verso du dernier feuillet, on lit  … cit trans
 premières fables de Walther, mais les 60 authentiques auxquelles, au haut du recto du feuillet 36, s’ajoutent les quatre pr
titre : Exorcismus salis et aque contra maleficia , et se termine au haut du feuillet 78 a par cette souscription : Amen.
lle ne les mentionne pas, les soixante de Walther, qui, commençant au haut de la deuxième col. du feuillet 11 a, y sont surm
les suivent. Limitées aux soixante authentiques, elles commencent au haut de la deuxième colonne du feuillet 110 b. Elles n
tre une simple copie de celui de Göttingen, analysé à la page 559. Au haut du recto du feuillet 133 où elles finissent, on l
ent faire de Salon l’auteur des fables élégiaques. J’en ai donné plus haut des extraits qu’on trouvera aux pages 480 et 482
de Walther, est complété par le poème d’Eva columba, qui commence au haut du feuillet 137 a et finit au milieu du feuillet 
cet hexamètre usuel : Finito libro sit laus et gloria Christo. Au haut du feuillet xii a commencent les fables d’Avianus
illet xii a commencent les fables d’Avianus, qui se terminent vers le haut du feuillet xxiii a. Immédiatement après viennent
l. Le manuscrit renferme la fable De Lupo et Opilione qui commence au haut de la première colonne de la page 370. Quoiqu’ell
ers, ne sont accompagnées d’aucun commentaire et se terminent vers le haut de la troisième colonne du feuillet 61 b par les
lesquels les fables de Walther occupent les feuillets 69 a à 91 a. Au haut du recto du feuillet 69 on lit d’abord cette invo
ux ouvrages. Le premier, en vers hexamètres, commence, sans titre, au haut du feuillet 1 a, mais se termine, au bas du feuil
liber Senece. Deo gratias. Amen. Le second ouvrage, qui commence au haut du feuillet 7 a, consiste dans les 60 fables de W
ne comprend que trente vers. La soixante-deuxième fable se termine au haut du feuillet 25 a, où figurent seulement ses trois
alther dues à un copiste italien du xive  siècle. Elles commencent au haut du recto du premier feuillet sans titre général,
ente Ésope assis et devant lui trois auditeurs vus tous de profil. Au haut du recto du dix-septième feuillet qui ne porte qu
premiers cahiers et les deux premiers feuillets du troisième. Tout au haut du recto du premier feuillet, écrits en lettres t
en parchemin. Il ne renferme que les fables de Walther, précédées, au haut du recto du premier feuillet, d’une sorte de préf
s sont suivies de celle en vers hexamètres dont j’ai donné copie plus haut . Section VI. Éditions des fables de Walther
oir , et l’encadrement du tout porte ces mots : C’est mon désir (au haut ) De Dieu servir (à droite) Pour acquérir (au
impressus et correctus ad vtilitatem discipulorum. Le frontispice au haut duquel figure ce titre est occupé par une gravure
six élèves, trois à droite et trois à gauche, assis et attentifs. Au haut du verso du même feuillet vient le préambule Græ
et Hirundine ; De Coco et Cane cor rapiente ; De Avibus et Pavone. Au haut du recto du dernier feuillet on lit : Stampato i
e professeur Wendelin Fœrster, dans un petit volume in-8 analysé plus haut . La seconde traduction, qui paraît être du commen
let suivant. Puis immédiatement vient une Canzon morale, qui finit au haut du recto du feuillet p 7, et qui est immédiatemen
savant est révélé par le mot Esopus inscrit au-dessus de sa tête. Au haut du verso du premier feuillet on lit : Accii Zuch
Le tout est enfermé dans un encadrement xylographique à fond noir. Au haut du verso du premier feuillet, le texte latin et l
3. Fabule de Esopo hystoriate. Au-dessous de ce titre placé au haut du recto du premier feuillet est une gravure qui
olumineux recueil, n’occupent que deux feuillets. Elles commencent au haut du recto du folio 31 et finissent au bas du verso
ut bien considérer comment il a traduit la phrase que j’ai citée plus haut , on voit qu’il en a complètement changé la forme
r de la très courte fable, à l’aide de laquelle j’ai déjà un peu plus haut fait ressortir les différences séparant le Romulu
 1555. Il consiste dans un petit volume de 56 feuillets de parchemin, hauts de 123 millimètres et larges de 97, dont l’écritu
premiers sont remplis par les fables de Romulus. Elles commencent au haut du recto du premier feuillet par ce titre : Incip
e considéré comme l’auteur de la traduction, il aurait dû, aidé de sa haute érudition, risquer une conjecture sur le nom de c
nationale le prologue, ainsi que son préambule et son complément : Haute honor et bone auenture Puist cil auoir por cui ma
voloirs. Salemons dist, et si est voirs : Si est des hoirs a maint haut home, En qui de tel ce est la somme, Fil a duc, a
ris connaissance527. Les fables de Marie qu’il renferme commencent au haut du feuillet 15 a par ce titre à l’encre rouge :
titre à l’encre rouge : Ci commences de Ysopes , et se terminent au haut de la deuxième colonne du feuillet 24 b par cette
e souscription : Expliciunt fabule Isopi. || Deo gracias. Amen. Au haut de la deuxième colonne du feuillet 49 a, on lit c
gé d’en achever la transcription529 ». Cela ne fait pas concevoir une haute idée du soin avec lequel il a étudié les manuscri
e du Prêtre et du Loup, paraissent être au nombre de 104, débutent au haut du feuillet 40 a par ce titre : Ici cumence le y
esquelles il a reçu tour à tour les cotes 1225, 5787 et mcccxxxix. Au haut du recto du premier feuillet il porte une invocat
mmé Glanville535. Ce traité est précédé d’un prologue qui commence au haut de la première colonne du premier feuillet par ce
’étant comptés que pour un seul, en réalité il en existe 195. Tout au haut du recto du premier feuillet et en dehors de la p
st le traité De Proprietatibus rerum, dont le prologue, commençant au haut de la première colonne du recto du premier feuill
red le Grand, sont les formes latines de celui dont j’ai indiqué plus haut les formes romanes. Quant aux 136 fables, je vais
et, qui esi le premier ouvrage contenu dans le manuscrit, commence au haut du verso du premier feuillet par ce premier titre
i sic scuto non scelus esse puto. Enfin la collection se termine au haut du feuillet 57 a par la moralité d’une dernière f
uas esopus grecus homo ingeniosus studiose collegit. Puis vient, au haut de la page suivante, le Dérivé d’Avianus sans tit
uscription : Explicit registrum fabularum Esopi , qui se lit vers le haut de la première colonne du feuillet 37 a. Elle est
et l’autre en vers : d’abord les fables d’Avianus, qui s’étendent du haut du feuillet 1 a au milieu du feuillet 16 a, puis
nt celles auxquelles j’ai, dans la nomenclature générale établie plus haut , donné les numéros suivants : I, 1 ; I, 2 ; I, 3 
blié cette épigramme dans son édition de Romulus de 1501. (Voyez plus haut , p. 386.) 421. Scriptorum illustrium maioris Br
VI, ch. iv, p. 304.) 424. « Simiam Phædri hunc nostrum qui dixerit, haut quaquam errauerit. Ita enim est. Quascumque fere
Voyez Palermo, T. I, p. 359 et Gentile, T. I, p. 211. 466. Voir plus haut , p. 567. 467. Annales typographici, t. I, p. 24
84 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
mportance du bon conseil, lors qu’estant question de terminer quelque haute affaire, ou de sortir d’un grand peril, il le fai
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