aveit. E li vielz hum li respuneit quë en la tere voist* ester u tute
gent
le veulent amer. « E si jeo », fet il, « ne la tr
Cil [li] respundi par grant sens : « Va la ester e si me crei, u tute
gent
eient poür de tei. » — « E si jeo tere ne puis t
tute gent eient poür de tei. » — « E si jeo tere ne puis trover u la
gent
me veulent duter ? » — « Va la u nul hummes ne v
e parloënt ; si estreitement cunseiloënt cum s’il fussent entre grant
gent
. Vers eus turna delivrement. Demanda lur pur quel
funt suvent li nunsavant ; de teu chose mustrent semblant, pur autre
gent
suzvezïer, que lur ne peot aver mester.
Di cor gentile, e di virtute adorno : E freni l’ira con la bassa
gente
, Che talhora gli mova ingiuria, e scorno :
La sua virtute, e la sua gloria oscura. Non mostrar tuo valor con
gente
vile.
que de passer pour Camarade avec eux. Combien voit-on aujourd’huy de
gents
, qui poussez d’une aveugle presomption, se jette
dans des estoffes empruntées. Bref, ils frequentent incessamment des
gents
de haute condition, sans leur vouloir ceder en au
out à fait de jugement en la conduitte de leur vie. Il n’est point de
gents
relevez, ny d’autres, qui ne leur donnent un coup
rmer ceste verité par des Histoires. La Cour n’est que trop pleine de
gents
de ceste sorte. Nous voyons tous les jours le com
dégager de ces pratiques. Car la confusion qui suit les pompes de ces
gents
-là, est partagée à ceux qui les ont causées, ou q
ut pacifique :
Ce Roy fit toutefois un tel bruit en tombant,
Que la
gent
marécageuse,
Gent fort sotte et fort peureuse,
Roy fit toutefois un tel bruit en tombant,
Que la gent marécageuse,
Gent
fort sotte et fort peureuse,
S’alla cacher sous
! » — « Jeo te sai », fet il, « bien mustrer. Veez la cel champ* u la
gent
sïent, u lur garbes cuillent e lïent. Alums [i] e
s nus dient. Nostre bienfet ne vaut nïent plus que li maus vers ceste
gent
. Hastivement al bois alums, seüms si cum nus sulï
as d’irruption.
La faim détruisit tout : il ne resta personne
De la
gent
Marcassine et de la gent Aiglonne,
Qui n’allast
détruisit tout : il ne resta personne
De la gent Marcassine et de la
gent
Aiglonne,
Qui n’allast de vie à trépas ;
Grand
traire, il n’est rien de si hazardeux, que les entreprises des jeunes
gents
, qui ne daignent suyvre les advis des hommes sage
elque disposition. Ce qui arrive, comme dit Aristote, plus aux jeunes
gents
qu’aux autres, pour la chaleur de leur sang, qui
vons-nous pas croire, que le sens et l’experience manquant aux jeunes
gents
, Dieu les abandonne jusques là que de ne leur rie
ceste essample volt retreire chescun deit tele priere feire quë a la
gent
seit pleisable e [qui] a Deu seit acceptable.
plus bel ; ceo seivent tuit cist autre oisel. » Autresi vet de mainte
gent
: ne püent pas seürement la u il dutent, bien par
ele fust sur lui ne que ele li fesist nul ennui. Issi vet de la povre
gent
: si as riches unt aprismement, forment les cuide
eiz as suillé sun ni e sur ses oiseus esmeulti. » Issi est de la fole
gent
: la u il unt mesfet suvent, veulent aler merci c
Anzi sempre calcato era da ognuno, E tolto a scherno da l’humana
gente
: E con Giove si dolse, che innocente Esse
mal ne crent il de nule rien. Si jeo i seïsse, jeo sai bien que tute
gent
me hüereient ; de tutes parz m’escriereient que j
to poco utile apporta Questa ventura, che mi viene in mano. La
gente
, che ti compra, e al collo porta, Potria pre
L’impertinente vanité du Corbeau sert d’exemple à une infinité de
gents
, qui se laissent miserablement affiner aux Flatte
disproportion trouvera-t’il du miroir fidele à l’artificiel ? Car ces
gents
-là ne se contentent pas, en clabaudant aux oreill
is je ne m’estonne pas si fort des extravagantes flatteries de telles
gents
, comme de la stupidité de celuy qui les reçoit. C
égalité necessaire entre les amis ; dans les inclinations des petites
gents
n’y a t’il pas la mesme difficulté de s’eslever j
é n’ai de tei, ja nule honur n’averas de mei. » Autresi est de meinte
gent
, se tut ne* veit a lur talent, cume del cok et de
nullement s’excuser de leur imprudence. Car s’ils sont veritablement
gents
de probité, il faut de necessité conclure, qu’il
’entrée en ses murailles au Cheval de bois, remply d’une multitude de
gents
de guerre, en suitte dequoy ils se fussent rendus
esprouver auparavant que s’apprivoiser avec eux, et les renvoyer aux
gents
d’âge et de profonde sagesse, pour lesquels je n’
fet a sun seignur, ne li sire tut ensement, pur qu’il voille hunir sa
gent
; si l’un a l’autrë est failliz, ambur en erent m
desespoir en quelque façon. Or est-il que les foibles et les petites
gents
me semblent entierement despourveus d’appuy, pour
étourner des meschantes actions, pource qu’en leur mort il y a peu de
gents
interessez, et que l’execution de leur arrest est
ma cüe quë est granz në aleverez voz enfanz n’en autre regnéd n’entre
gent
— jeo vus di bien apertement –, mes que ele fust
que hum ne deie mal cunseil creire ne mençunge tenir pur veire. Tute
gent
seivent cunseiller ; mes tuz cunseilz n’unt pas m
adron seco trahea, Mentre passava per diverse vie Era inchinato da la
gente
tutta, Che con divotion s’humiliava Del nume vano
qui eslisent un Chef, n’estant pas croyable que plusieurs Justes, ou
gents
de bien, qui logeroient ensemble dans une Isle de
rvation de ce qui est honneste et vertueux. D’où il s’ensuit, que les
gents
de bien n’auroient jamais besoin de Maistre, s’il
d par ses horribles cruautez il faillist à rendre sa Ville deserte de
gents
de bien, et la peupla presque toute d’assassins.
bien a gré servir ; le lur despendent folement pur faus losenge de la
gent
.
[il] cunseil trover cum il se puisse deliverer ; kar sceü ert de mute
gent
qu’il le teneit pur sun parent. Al cimiterie vet
ouvoit à manger que le quart de son sou ; Et Rodilard passoit chez la
gent
miserable, Non pour un Chat, mais pour un Diable.
à l’Auteur de l’Univers, Je suis Oyseau ; voyez mes aisles : Vive la
gent
qui fend les airs. Sa raison plut et sembla bonne
de l’orguillus felun, que par manace e par tençun e espoënte la fole
gent
e quide bien a escïent que nuls nel deie cuntrest
est bien avis que lur parole est en tel pris cum li engins de meinte
gent
, que par cunsel venquent suvent.
y de profit. Car elle est si laide, et si infame de soy, que tous les
gents
de bien l’ont en horreur, et n’est pas jusques au
t, lors qu’ils establirent des jeux publics, pour émouvoir les jeunes
gents
aux belles actions, par une honneste jalousie de
ché così è ben dovuto. Ché così cesserà tanto bisbiglio De la
gente
, che passa, e che mi vede Di tua salute have
uel, ch’ei gli dice, e ’l meglio crede. Ma così andando trovan nova
gente
, Che biasma, che quel giovine a cavallo
ine vient a sa stable. Saveir poüm par ceste fable la manere de ceste
gent
– mut le* poet [hoem] veer sovent – que tant se v
nus devise que [mult] meuz vaut sen e quointise e plus aïde a meinte
gent
que sis aveirs ne si parent.
i quei tu feras, ja par mei cunseil n’averas ! » Pur ceo chastie tute
gent
qu’il ne creient, Deus le defent, en augure n’en
r muz beaus diz. « Sire », fet il, « mut te vei bel, unc[es] ne vi si
gent
oisel ; clere voiz as sur tute rien : fors tun pe
poco in vita Di spatio, che dal ciel sento lasciarmi. Così la
gente
tal esempio invita A tolerar il suo tiranno
e s’il faut aller plus avant, et donner à la satisfaction des vielles
gents
, qu’ils ne soient ny trompez de leurs femmes, ny
vre homme ! ô exercice indigne de la sagesse que doivent avoir telles
gents
! N’est-ce pas une belle chose à voir, qu’un Viei
ngement violente, et juger comme cela pour nostre regard ; Que si des
gents
si habiles en ont senti les atteintes à leur domm
ages contractez entre differentes personnes, et à divertir les jeunes
gents
à leur tour, de rechercher des femmes âgées. Pour
nflamme que par la beauté. Toute l’excuse qui reste doncques à telles
gents
, s’ils veulent parler veritablement, c’est de dir
peut appeller proprement un crime contre nature, et insupportable aux
gents
de bien, c’est l’infame profanation des caresses
r leur partie dans les amoureux accouplements. Il se trouve mesme des
gents
qui recherchent pour cela des finesses extraordin
t immortelles, c’est à dire pour la possession du Ciel. Il y a peu de
gents
qui vueillent accepter le perdurable repos, qu’on
prendriez avecque supercherie, qui est une chose execrable parmy les
gents
de courage ? Combien en voyons-nous tous les jour
d’en estre extrémement digne. Voyez dans la poussiere une infinité de
gents
, dont la gloire devroit arriver jusques au Ciel.
les Royaumes estrangers, il n’y ait eu que ceste poignée d’honnestes
gents
, dont les Historiens nous ont parlé. Croyez-moy,
ie, et tantost à ceux de nos ennemis par meschanceté. Telle espece de
gents
est donc plus à craindre, que les personnes decla
es tut tun bien, mes de tun mal ne deïstes rien. Ore as tu poür de la
gent
, de chaz, de oiseus tut ensement e des engins que
nore e merto. Così il giusto Signor, che tien in corte Diversa
gente
al suo servitio ; deve Sol prezzar più colui, che
e finesse, ô fallacieux Renard, que de pouvoir tromper impunément les
gents
accorts, sans courir fortune d’estre toy mesme af
ent pas d’estre plus examinez que les autres, pour le grand nombre de
gents
qu’ils obligent à cela, l’exercice desquels n’est
pauvre Laboureur ? Mais la maniere de s’enrichir que praticquent les
gents
de bien, est tout à fait differente de celle-là.
les ont vertueusement acquis ; aussi Dieu benit le travail de telles
gents
, et leur envoye pendant leurs jours une joyeuse t
nderent de mot a mot. E il lur ke li semblot quë unc ne vit plus bele
gent
ne meuz feussent a sun talent ; aprés lur dist de
de personnes l’authorité des affaires, les uns eurent égard aux plus
gents
de bien, et aux plus vertueux, et formerent l’Ari
l suffit d’avoir monstré l’intention du sage Esope, à sçavoir que les
gents
bien avisez n’ont jamais creu que la Souveraineté
usurpations, colorées de ce beau nom de Conqueste. En effet, quelques
gents
de conscience que soient les grands Princes, il f
e n’a point donné d’avantage à l’un, plustost qu’à l’autre. Quant aux
gents
de Guerre et de Marine, ils ne subsistent presque
et se blotit dans une huche ouverte :
Ce fut à luy bien avisé :
La
gent
trote-menu s’en vient chercher sa perte.
Un Rat
r cele assemblee. Ceo li fu vis, sun escïent, que li lïuns aveit plus
gent
e qu’il ert de greinur justise ; od les autres su
’une action vertueuse, si est-ce qu’il deshonore en quelque façon les
gents
de bien, lors qu’il les approche pour les assiste
ser, ne se deit mie trop deliter, lui ne sun regné aviler ne la povre
gent
eissilier. Issi l’unt fet cum jeo vus di. Par ces
vray dans le commerce du monde, puis que nous voyons une infinité de
gents
mal traictez de la fortune, qui ne laissent pas d
la paix de leur maison, celuy là, possible, ne diroit pas, que telles
gents
n’ont aucune recompense. Au contraire, il enviero
ble, qu’il se fonde sur l’espreuve journaliere, qui fait voir que les
gents
de peu se jettent plus hardiment dans l’extremité
urs. L’on peut voir par là qu’il est difficile d’opprimer les petites
gents
, sans attirer sur sa teste une faction puissante
er aux estuves, pour s’enquerir de quelqu’un s’il y avoit beaucoup de
gents
, pource que Xanthus se vouloit baigner. Mais comm
e m’as-tu point commandé exprés, de ne laisser venir à ton Festin des
gents
du commun, et des ignorants mais seulement des ho
de, son naturel l’empescheroit de profiter. Il faudroit dire à telles
gents
ce que dit autresfois Apelles à un Cordonnier, qu
rdu apres ses infames desirs, qu’il découploit par trouppes de jeunes
gents
de sa Cour, sur un tas de filles abandonnées, pou
ere par quelque malicieux rapport. C’est estre coûpable envers telles
gents
, que d’avoir de la mauvaise fortune. Ils vous tie
’est les hazarder que de leur nommer le nom d’un Prestre. Mais telles
gents
ne considerent pas que c’est bien les hazarder pl
’estut de mei penser e vus leisser u ublïer. » Ceo veit hum de meinte
gent
, que quident tut a escïent que autre deive pur eu
la prodigieuse quantité d’exemples que nous voyons tous les jours de
gents
estimables et bien nez, qui donnent la vie à un e
nt nous nous despartons de nostre vengeance, puis que les combats des
gents
raisonnables ne sont entrepris ordinairement que
nages continuels, n’est-ce pas une maniere de desespoir à ces pauvres
gents
, de se voir accueillis d’une inquietude necessite
urément d’un pur zele, et non par aucune consideration humaine, comme
gents
qui ne mendient que pour l’amour de Jesus-Christ,
n preferable à celle de son Ennemy, comme il arrive ordinairement aux
gents
de Vertu. Il n’y a que la seconde de ces deux pro
t par consequent elle ne doit pas estre mise en consideration par les
gents
de bien. Si elle s’attache donc simplement à l’ac
’estonner si elle s’attaque à son contraire, c’est à dire à l’ame des
gents
de bien, comme directement opposée aux Meschants,
cy ne se mit point autrement en peine de desployer envers ces petites
gents
les hautes raisons que luy pouvoit fournir son él
e. Il faut donc estre soigneux de ne voir, s’il est possible, que des
gents
de bien, et de fuyr le commerce des meschants, qu
aux richesses mal establies. D’un costé la Mouche plaide la cause des
gents
de Cour, et de ces Ambitieux, qui ne vivent que p
is qu’elle ne l’envie pas. Car c’est une maxime reçeuë parmy tous les
gents
d’esprit, que l’homme qui ne desire point une cho
plustost par emprunt, que par proprieté. D’ailleurs, quelqu’un de ces
gents
-là peut raisonner de ceste sorte et raisonner ver
uroient une extrême difficulté à trouver les paroles. C’est de telles
gents
que la Cour est tellement pleine aujourd’huy, qu’
ui est une Vertu par laquelle nous sommes poussez à nous rendre aussi
gents
de bien, et aussi grands hommes que les autres. M
efois mesmes assassins. Ne voyons-nous pas tous les jours quantité de
gents
, qui pour s’enrichir du jeu, apostent de faux dez
punition de Jupiter Hospitalier, et sans se ressouvenir du droict des
Gents
, fit cruellement mourir le petit Polydore, et l’e
me ceux de Norvege et de Groenland. A quoy si l’on m’objecte, que ces
gents
là sont Barbares, premierement je mettray en ques
n’ont-ils point blâmé l’Avarice, témoins Aristote et Platon. Les plus
gents
de bien de l’antiquité n’ont-ils pas estimé ceste
ui nous figure une sotte et une impertinente animosité, conçeuë entre
gents
, qui n’ont aucun sujet de se hayr, ou de se rien
ux qui vivent familierement auprés de la personne des Princes, ou des
gents
extrémement qualifiez. Car estans honorez pour la
rdera leauté plus a l’estrange que al privé ; si se demeine envers sa
gent
cum fist li lus del ser[e]ment.
i li enseigna a semer, tant li duna or e argent que merveille fu a la
gent
; mes bien li dist qu’il le perdreit, de quel hur
stance des Innocents, et de ne vouloir pas toutesfois que ces pauvres
gents
s’en ressentent ; Car alors s’ils en reçoivent le
Aymer plus les choses aymables, c’est l’exercice et la condition des
gents
de bien, d’autant qu’ils se portent aux bons obje
l’esperance qu’ils ont de quelque succession. Mais plus que tous ces
gents
-là, les Ambitieux sont sujets à faire de pernicie
e nourriture ? Estes vous si chiches d’un bon exemple ? Si vous estes
gents
de bien, vous aurez de la facilité à le rendre se
voir une foy Punique, c’est à dire Carthaginoise. Y eut il jamais des
gents
si fideles que les Lacedemoniens, ny des hommes s
s ont accoustumé de praticquer en nos jours. Car nous voyons assez de
gents
qui s’exposent au danger pour nostre consideratio
les luy monstroit ; « Il me semble voirement que ceux-cy sont braves
gents
, mais j’estime encore plus braves ceux qui les on
ste : Aussi a-t’elle tous-jours esté si fort en horreur aux honnestes
gents
, qu’à peine trouverons-nous un Autheur qui ne l’a
enoient. Au contraire d’avoir toutes ces aydes pour devenir honnestes
gents
, il arrive la pluspart du temps que nous avons de
pure, et qui ne contienne que des succés veritables. D’ailleurs, les
gents
de haute condition, comme les Souverains, et ceux
x vieux, les beaux aux laids, les stupides aux galants, bref les plus
gents
de bien aux meschants, et aux vicieux. Combien s’
les grands, par les petits, ou par nos égaux. Or ces trois sortes de
gents
s’enflamment plus aisément contre les riches, que
s de ces merveilles, la consideration desquelles a convié beaucoup de
gents
à croire qu’ils estoient capables de raisonner ;
es siecles, donna sujet à ceste opinion, et fist croire à beaucoup de
gents
, que les esprits vertueux avoient leur retraicte
out effacier Les bons y faudroit enlacier. Ne puet estre qu’em mainte
gent
Ne soient aucun bel et gent. Je passe à la secon
roit enlacier. Ne puet estre qu’em mainte gent Ne soient aucun bel et
gent
. Je passe à la seconde partie du manuscrit. Elle
m, omnibus ecclesiis edidit (normam). Unde merito equitanicus dicitur
gente
et prosper vocabulo, quia ceteris equitatis viam
rement : Et j’el mis en romans, Pour entendre aus enfans Et a laïque
gent
. Ce qui ressort de ce sixain, c’est que le tradu
merueille, Que fist une corneille, Que de chascun oisel, Qu’ele vit
gent
et bel, Des plumes conqueilli, Dont elle se vesti
ur a pris en un moustier Une soris et cil l’emporte, La ou li chas la
gent
deporte ; D’un filet par le pié l’enserre, Puis l
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