ϐλητον ἐννοουμένους. Codd. Pa 75 Pb 79 Pc 40 Pf 38 Ph 40 Ma 58. Des
gens
, étant montés dans un bateau, prirent la mer. Qua
enu, ils se mirent à faire bonne chère, à danser, à sauter, comme des
gens
qui viennent d’échapper à un danger inattendu. Al
sprit solide, leur dit : « Mes amis, réjouissons-nous, mais comme des
gens
qui reverront peut-être la tempête. » La fable en
ge clandestin. Car outre qu’en toute maniere La belle estoit pour les
gens
fiers ; Fille se coëffe volontiers D’amoureux à l
adversaire. Helas comment pourrois-tu faire Que les Bestes devinssent
Gens
, Si tu nuis aux plus sages testes, Et fais les Ge
Bestes devinssent Gens, Si tu nuis aux plus sages testes, Et fais les
Gens
devenir Bestes !]a a. Ces six derniers vers fu
ds plus l’orge destinée à ma nourriture. » Cette fable montre que les
gens
cupides amorcent les pauvres gens par leurs disco
iture. » Cette fable montre que les gens cupides amorcent les pauvres
gens
par leurs discours séducteurs et leurs flatteries
t ;
Puis cet homme et son fils le portent comme un lustre ;
Pauvres
gens
, idiots, couple ignorant et rustre.
Le premier q
qui les vid, de rire s’éclata.
Quelle farce, dit-il, vont joüer ces
gens
-là ?
Le plus asne des trois n’est pas celuy qu’o
ente pas une troisiéme troupe
Trouve encore à gloser. L’un dit : Ces
gens
sont fous, Le Baudet n’en peut plus, il mourra so
de l’Asne ou du Maistre est fait pour se lasser ? Je conseille à ces
gens
de le faire enchasser.
Ils usent leurs souliers,
urez en Province ;
Prenez femme, Abbaye, Employ, Gouvernement ;
Les
gens
en parleront, n’en doutez nullement.
vre se plongeoit : Cet animal est triste, et la crainte le ronge. Les
gens
de naturel peureux Sont, disoit-il, bien malheure
is faire autant Qu’on m’en fait faire ! ma presence Effraye aussi les
gens
, je mets l’alarme au camp ! Et d’où me vient cett
Appellé Quimpercorentin. On sçait assez que le destin Adresse là les
gens
quand il veut qu’on enrage. Dieu nous préserve du
x qui luy parle ainsi : Hercule veut qu’on se remuë, Puis il aide les
gens
. Regarde d’où provient L’achopement qui te retien
sans tarder plus long-temps. La partie ainsi faite, il vient avec ses
gens
: Çà déjeunons, dit-il, vos poulets sont-ils tend
ûne trés-bien, aussi fait sa famille, Chiens, chevaux et valets, tous
gens
bien endentez : Il commande chez l’hoste, y prend
t là jeux de Prince : Mais on le laissoit dire ; et les chiens et les
gens
Firent plus de degât en une heure de temps, Que n
i te fait faire ce que tu fais. » Cette fable montre qu’à obliger les
gens
de rien aussi bien que les gens de mérite, on s’e
» Cette fable montre qu’à obliger les gens de rien aussi bien que les
gens
de mérite, on s’expose à passer non pour un homme
u moins à ce qu’ils dirent. C’estoit le Roy des Ours au compte de ces
gens
. Le Marchand à sa peau devoit faire fortune. Elle
e, Trouvent l’Ours qui s’avance, et vient vers eux au trot. Voilà mes
gens
frappez comme d’un coup de foudre. Le marché ne t
me plaise.
L’autre tout au rebours voyant les Palais pleins
De ces
gens
nommez Medecins,
Ne crut pas y pouvoir demeurer
le condamne
A jamais du lit ne bouger.
Cataplasmes, Dieu sçait. Les
gens
n’ont point de honte
De faire aller le mal toujo
. Un homme avait une femme qui était rude à l’excès envers tous les
gens
de la maison. Il voulut savoir si elle avait la m
après quelques jours, elle fut de retour, il lui demanda comment les
gens
de sa maison l’avaient reçue. « Les bouviers, rép
avant, Peut servir de leçon à la pluspart des hommes. Parmi ce que de
gens
sur la terre nous sommes, Il en est peu qui fort
s souffleurs tout d’un temps. Vous ne meritez pas plus de foy que ces
gens
. Je m’emporte un peu trop ; revenons à l’histoire
S’estonnoient de voir que Martin Chassast les Lions au moulin. Force
gens
font du bruit en France, Par qui cet Apologue est
’estant luy-mesme osté le plus beau de son bien. Belle leçon pour les
gens
chiches : Pendant ces derniers temps combien en a
eva d’un bond et courut en soupirant voir ce qui était arrivé. Un des
gens
qui se trouvaient là, le voyant courir, lui cria
pas prévu ce qui t’arrive. » On pourrait appliquer cette fable à ces
gens
qui règlent pitoyablement leur vie et qui se mêle
a chetive pecore S’enfla si bien qu’elle creva. Le monde est plein de
gens
qui ne sont pas plus sages : Tout Bourgeois veut
en liesse Noyoit son soucy dans les pots. Esope seul trouvoit que les
gens
estoient sots De témoigner tant d’allegresse. Le
tes, puisque, née oiseau, tu cherchais ta vie sur la mer. » Ainsi les
gens
qui abandonnent leur propre métier pour en prendr
ontinuë. Et puisque nous voicy tombez sur ce sujet : On avoit mis des
gens
au guet, Qui voyant sur les eaux de loin certain
on sujet plein de recits tout nuds.
Les parens de l’Athlete estoient
gens
inconnus,
Son pere un bon Bourgeois ; luy sans a
ant.
Venez souper chez moy, nous ferons bonne vie.
Les conviez sont
gens
choisis,
Mes parens, mes meilleurs amis.
Soyez
é à voler, prends garde qu’il ne te manque beaucoup de moutons. » Les
gens
que la nature a faits redoutables, une fois dress
r. Nostre troupe sans eux ne seroit pas complete. L’Asne effrayra les
gens
nous servant de trompete ; Et le Liévre pourra no
ut fait sçavoir à ses vassaux Que chaque espece en ambassade Envoyast
gens
le visiter : Sous promesse de bien traiter Les De
che, et non le lion lui-même. » Cette fable apprend à reconnaître les
gens
hardis et lâches, j’entends hardis en paroles et
que les hommes de petite taille, remplis par leur portion, furent des
gens
sensés, mais que les hommes de grande taille, le
viennes pauvre, c’est à moi que tu t’en prendras. » Ainsi beaucoup de
gens
, tombés dans le malheur par leur sottise, en reje
tre, se tournèrent contre eux. Il en est de même dans les États : les
gens
qui s’immiscent dans les querelles des démagogues
ῶν πέλας συμϐουλίας ἀδόκιμοί εἰσιν. Codd. Pa 212 Pf 120 Me 155. Des
gens
, qui voyageaient pour certaine affaire, rencontrè
le vin nécessaire, lorsqu’on te sacrifiera. » Cette fable confond les
gens
ingrats et qui veulent voler leurs amis. Cham
les derniers et les imbéciles dominent à la place des premiers et des
gens
sensés. Chambry 145.2 Aliter — Autre versio
moi aussi, si je ne t’avais pas entendu braire. » C’est ainsi que des
gens
sans éducation, qui, par leurs dehors fastueux, p
re le persuade. Pot de fer son camarade Se met droit à ses côtez. Mes
gens
s’en vont à trois pieds Clopin clopant comme ils
le choix. Esope seul trouva Qu’aprés bien du temps et des peines, Les
gens
avoient pris justement Le contrepied du Testament
pouvoit faire Qu’un homme seul eust plus de sens Qu’une multitude de
gens
.
les petits se glissant par les mailles, se sauvèrent dans la mer. Les
gens
d’une médiocre fortune se sauvent aisément ; mais
r enfermer une bête que tu devais craindre même de loin ? » Ainsi les
gens
qui excitent de plus forts qu’eux ont naturelleme
anger. » Ainsi quand les scélérats exercent leur méchanceté parmi des
gens
qui les connaissent, ils ne gagnent rien à leurs
ariot et mourut ainsi avec la guêpe. Cette fable montre que certaines
gens
ne reculent pas à l’idée de mourir avec leurs enn
un lourdaut, quoy qu’il fasse, Ne sçauroit passer pour galant. Peu de
gens
que le Ciel cherit et gratifie, Ont le don d’agré
préferer notre Hemisphere A celuy des mortels qui nous sont opposez ;
Gens
grossiers, peu civilisez, Et qui se mariant sans
cette manière il n’eut ni la voix du cheval ni sa voix de jadis. Les
gens
vulgaires et jaloux envient les qualités contrair
nt s’approcher, on leur fait risette. » Cette fable fait voir que les
gens
malfaisants se reconnaissent à leur mine même et
t, emmenant le cheval chez lui, l’attacha au râtelier. Ainsi bien des
gens
, en voulant, sous le coup d’une colère aveugle, s
sort !
Ayant tout dit, il mit l’enfant à bord.
Je blâme icy plus de
gens
qu’on ne pense.
Tout babillard, tout censeur, to
re les Voleurs L’exemple est un dangereux leure. Tous les mangeurs de
gens
ne sont pas grands Seigneurs, Où la Guespe a pass
post de Bacchus
Alteroit sa santé, son esprit, et sa bourse.
Telles
gens
n’ont pas fait la moitié de leur course,
Qu’ils
ortent aux dens, dans les bois se retirent.
Ils avoient averti leurs
gens
secretement.
Les Chiens, qui, sur leur foy, repo
a conduite, le remit dans son ancien état. Cette fable montre que les
gens
de rien ont beau prendre des dehors plus brillant
. Je croy que la vraye Mithologie de ceste Fable, c’est l’exemple des
gens
de peu, qui se veulent rendre égaux en despence e
e.
Il arriva que sur les bords
Du fleuve auteur de sa disgrace
Des
gens
se promenoient, ignorans l’accident.
Ce mary don
Jupiter eut jadis une ferme à donner. Mercure en fit l’annonce ; et
gens
se presenterent, Firent des offres, écouterent :
conduire toy-même ? Il fut démis : et l’on tomba d’accord Qu’à peu de
gens
convient le Diadême.
? N’ay-je en l’esprit que son affaire ? Le Sort avoit raison ; tous
gens
sont ainsi faits : Nostre condition jamais ne nou
ssi des chevreaux aux Dionysies. » Cette fable montre que beaucoup de
gens
n’hésitent pas, quand leur intérêt personnel est
ant semblable à lui, que n’aurons-nous pas à souffrir ? » Beaucoup de
gens
à tête légère se réjouissent de choses qui n’ont
fier de la force que donne la jeunesse ou la renommée : pour bien des
gens
le temps de la vieillesse s’est consumé en pénibl
er tous les ans des insultes et des douleurs ! » Cette fable vise les
gens
qui ne retirent que des désagréments de leurs pro
r cette fable à propos des présomptueux qui se mêlent de dénigrer des
gens
plus puissants qu’eux, et qui se rejettent brusqu
même, si je n’avais pas su que tu étais un âne. » C’est ainsi que les
gens
qui se vantent devant ceux qui les connaissent pr
» Il en est de même chez les hommes : quand on confie un dépôt à des
gens
cupides, il est naturel qu’on le perde.
ers, ainsi qu’elle, ont souvent fait la figue. Le Sage dit, selon les
gens
, Vive le Roi, vive la Ligue.
’en tireray.
Par ma barbe, dit l’autre, il est bon ; et je louë
Les
gens
bien sensez comme toy.
Je n’aurois jamais quant
re ; car il arrive souvent que la colère cause de grands dommages aux
gens
irascibles. Chambry 58.2 Aliter — Autre ver
que ce qui contrarie le plus les méchants est ce qui rend service aux
gens
de bien. Chambry 159.2 Aliter — Autre versi
je veux qu’elle se réconcilie avec moi. » C’est ainsi que beaucoup de
gens
n’hésitent pas à faire du bien à leurs ennemis, p
d’autres blancs ou cendrés. Comment pourrais-je mener à la guerre des
gens
qui ne sont pas d’accord et qui sont dissemblable
ainsi que, dans les temps où les meilleurs citoyens sont divisés, les
gens
de rien essayent de se donner de l’importance.
got prit pour ce coup Le nom d’un port pour un nom d’homme. De telles
gens
il est beaucoup, Qui prendroient Vaugirard pour R
rtons toute la charge, et c’est toi qui cries ! » Ainsi l’on voit des
gens
qui affectent d’être fatigués, quand ce sont d’au
in pour les faire travailler. Cette fable montre que pour beaucoup de
gens
ce sont leurs propres résolutions qui sont causes
is encore lui retrancha une partie de ses oreilles. Ainsi beaucoup de
gens
qui, par cupidité, regardent les autres avec envi
m’auras sauvé, tu me feras des reproches. » Cette fable s’adresse aux
gens
qui fournissent contre eux-mêmes des raisons de l
faudra-t-il faire ?
Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux
gens
Portans bastons, et mendians ;
Flater ceux du l
ous qu’il fonde sa cuisine. Garde-toy tant que tu vivras De juger des
gens
sur la mine.
rui, et les met en réserve pour son usage. Cette fable montre que les
gens
naturellement méchants ont beau être punis très s
eux, non pas vers le ciel, mais en bas vers la terre, et je force les
gens
à craindre et à trembler, et à se résigner parfoi
re S’efforce de tirer son hoste au fond de l’eau, Contre le droit des
gens
, contre la foy jurée, Pretend qu’elle en fera gor
son tresor. L’Usage seulement fait la possession. Je demande à ces
gens
, de qui la passion Est d’entasser toûjours, mettr
mais nostre asyle dans les maisons suspectes. Car il se trouve peu de
gens
qui ayent assez de Vertu, pour nous garder le dro
a donné pour une des punitions du crime, l’execration universelle des
gens
de bien ?
ose au fer, tant qu’enfin elle perdit la langue. Cette fable vise les
gens
qui, en querellant les autres, se font tort à eux
ers la mer, d’où elle ne soupçonnait aucun danger. Mais voilà que des
gens
qui naviguaient le long de cet endroit l’aperçure
leur fut une erreur dont ils se repentirent ;
Bien-tost les pauvres
gens
tomberent en langueur :
Il ne se forma plus de n
ne croiroit jamais Que ce fust la mesme personne. L’une fait fuïr les
gens
, et l’autre a mille attraits. Aux soûpirs vrais o
issance. » Cette fable montre que dans les changements de fortune les
gens
les plus puissants ont besoin des faibles. Ch
t en vivacité d’esprit, il a de beaucoup surpassé la plus part de ces
gens
-là, et les a laissé bien loing apres luy. Car il
que vous verrez que la terre
Sera couverte, et qu’à leurs bleds
Les
gens
n’estant plus occupez
Feront aux Oisillons la gu
ous nourris, vous m’avez enlevé même mon manteau. » Ainsi beaucoup de
gens
obligent sottement ceux qui ne leur sont rien, et
u resista ; De ces dards joints ensemble un seul ne s’éclata. Foibles
gens
! dit le pere, il faut que je vous montre Ce que
lpter, tu verrais beaucoup d’hommes sous la patte du lion. » Bien des
gens
se vantent en paroles d’être braves et hardis ; m
en bondit brusquement et le mit en pièces. Cette fable montre que les
gens
sensés, quand leurs ennemis les attaquent, leur d
rs ; mais quand je remue les mâchoires, aussitôt tu t’éveilles. » Les
gens
endormis et paresseux qui vivent du travail d’aut
stuves. Comme il y fût arrivé, il apperçeut qu’il y avoit quantité de
gens
, et devant la porte une pierre, à laquelle s’aheu
oir mon ennemi mourir avant moi. » Cette fable montre que beaucoup de
gens
ne s’inquiètent aucunement du dommage qui leur ar
on pour un mouton, mais pour un taureau. » Cette fable montre que les
gens
sensés ne se laissent pas prendre aux artifices d
ce, c’est moi que tu en aurais accusée. » C’est ainsi que beaucoup de
gens
, tombés dans le malheur par leur faute, en accuse
outons. Dire d’un, puis d’un autre ? Est-ce ainsi que l’on traite Les
gens
faits comme moy ? Me prend-on pour un sot ? Que q
u d’affaire. C’est par cette raison qu’égayant leur esprit, Nombre de
gens
fameux en ce genre ont écrit. Tous ont fuy l’orne
édecin soignait un malade. Celui-ci étant mort, le médecin disait aux
gens
du cortège : « Cet homme, s’il s’était abstenu de
er, je ne t’en mangerai pas moins. » Cette fable montre qu’auprès des
gens
décidés à faire le mal la plus juste défense rest
du frais, veritable patrie Des Zephirs. Le Lion n’y fut pas, qu’à ses
gens
Il se plaignit d’estre malade. Continuez vôtre Am
bleds. Nostre erreur est extrême, Dit-il, de nous attendre à d’autres
gens
que nous. Il n’est meilleur ami ni parent que soy
▲