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1 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [46.]. DELLA VOLPE, ET DEL PARDO. » p. 12
i de la beltà più vera : La qual di quella parte esser s’intende, Che forma dona a l’animal vivente, Questa s’intende la bell
ccidente Esterior patir può sempre oltraggio ; E variando la primiera forma Divenir sozza a l’altrui vista e lorda. Però di q
non la fortuna C’hor chiara sembra, hor con la faccia bruna, E sempre forma variar conviene. Più bello è il bel del cor, ch
2 (1180) Fables « Marie de France, n° 34. Le roi des singes » p. 569
rance, n° 34 Le roi des singes Un empereres nurri ja un singe que forment ama, e li singes bien atendeit quanque as humes f
ent la u il erent assemblé : nel firent mie de lur gré. Li uns esteit forment leials e li autre trichere e faus. Quant en lur c
3 (1495) Hecatomythium primum - Hecatomythium secundum « [Hecatomythivm secvndvm] — Abstemius 114. De bvbone dicente aqvilæ filios svos cæterarvm avivm filiis esse formosiores » p. 
quit nostra, meos accipe, qui cæteros pulchritudine superant. » « Qua forma inquit Aquila sunt filii tui ? » « Qua ego sum »
4 (1495) Hecatomythium primum - Hecatomythium secundum « [Hecatomythivm secvndvm] — Abstemius 106. De psittaco admirante cvr maior honor alibi qvam in patria sibi exhiberetvr » p. 
imisque alebatur cibis, quod cæteris auibus occidentalibus, qui neque forma , neque in exprimendis humanis uocibus erant infer
5 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 17. [DE VENATORE ET TIGRIDE] » p. 340
tas uoces ira dolorque rapit) : Nulla quidem medio conuenit in aggere forma quaeque oculis olim sit repetenda meis, sed cruor
6 (1180) Fables « Marie de France, n° 38. La puce et le chameau » p. 
nul ennui. Issi vet de la povre gent : si as riches unt aprismement, forment les cuident curucier, damage feire e ennuier.
7 (1495) Hecatomythium primum - Hecatomythium secundum « [Hecatomythivm secvndvm] — Abstemius 102. De vidva qvæ operarivm svvm sibi conivgio copvlavit » p. 
prandii) comedemus. » Operarius et huiusmodi confabulatione, et uiduæ forma ad uenerem incitatus, Siluano auspice matrimonium
8 (1495) Hecatomythium primum - Hecatomythium secundum « [Hecatomythivm secvndvm] — Abstemius 104. De sacerdote qvi qvinqve vestales prægnantes fecerat » p. 
e superantur, infelix uir non cogitans, cui faceret iniuriam, illarum forma ac illecebris delinitus intra anni circulum quinq
9 (1180) Fables « Marie de France, n° 59. Le loup et le corbeau » p. 670
e en poür - sa conscïence le reprent – que tuz cunuissent sun talent. Forment li peise del leal, quë hume ne tient ses fez a ma
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 300 » pp. 94-94
lle répondit que rien ne leur manquait et qu’elle n’avait qu’un vœu à former , c’est que le temps restât clair et le soleil bri
demandes le beau temps, et ta sœur, le mauvais, avec laquelle de vous formerai -je des vœux ? » De même si l’on fait en même temp
11 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [87.]. DEL CIGNO, E DELLA CICOGNA. » p. 95
el sen de la natura de le cose, Che sono al mondo in qual si voglia o forma O stato variate dal primiero Sembiante, in ch’ell
darà fortuna Viver con quel vigor, che da me vita Trarrà sotto altra forma in mezo al grande Fascio de gli elementi in qual
12 (1180) Fables « Marie de France, n° 24. Le cerf qui buvait à la source » p. 74
ceo loër qu’il devreient suvent blamer, e blamer ceo que il devreient forment loër s’il [le] saveient. »
13 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [10.]. DELL’ANGUILLA, E ’L SERPENTE. » p. 
ito, Ella a studio cercata era da ognuno, Ambi due sendo d’una stessa forma  : E mille sue compagne prese e morte Havea veduto
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 263 » p. 185
ils seraient délivrés de leur misère, quand ils auraient, en pissant, formé une rivière. Les ânes prirent au sérieux cette ré
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XI. L’homme, et son Image. » p. 
giner,
 N’osant plus des miroirs éprouver l’avanture :
 Mais un canal formé par une source pure
 Se trouve en ces lieux écart
16 (1180) Fables « Marie de France, n° 69. Le renard et l’ourse » p. 
et l’ourse D’un gupil nous recunte e dit quë une urse trova e vit. Forment li preia e requist que ele suffrist que li fesist
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du thresor trouvé par Esope, et de l’ingratitude de Xanthus. Chapitre XXII. »
estoit, s’avisa d’y faire graver ces lettres, qui joinctes ensemble, forment un sens qui est tel. Recedens passus quatuor, fod
coute le contenu des lettres suivantes A. E. D. Q. I. T. A. d’où sont formées ces parolles. Acceptum euntes diuidite, quem inue
18 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [82.]. DEL LEONE, ET LE RANE. » p. 141
i opra inetti e vili Strepito horrendo, se a la mia conforme In sé la forma e la possanza havesse, Quando da sì vil cor manda
19 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [38.]. DELLA RANA, ET SUO FIGLIUOLO. » p. 376
te impossibil fia : Et converrai crepar pria che tu giunga Di quella forma a la centesma parte. Però giù pon l’invidia ; ché
20 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
irent ;
 Bien-tost les pauvres gens tomberent en langueur : 
Il ne se forma plus de nouveau sang au cœur :
 Chaque membre en
21 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [96.]. DEL VESPERTIGLIO, ET DELLA DONNOLA. » p. 172
’oprar suo sermone e stile : E servirsi hor di questa, hora di quella Forma di ragionar, che più ricerca La propria occasion
22 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [93.]. DE GLI ARBORI, E DEL PRUNO. » p. 262
Stimando sé maggior di quel, ch’egli era, Parlò superbamente in cotal forma . Dunque, s’io son Re vostro, a l’ombra mia Corret
23 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — A I LETTORI. DEL PADRE, E DEL FIGLIUOLO, che menavan l’asino. » p. 721
omprendete voi, che strano mostro     Parete a chi vi mira in questa forma  ?     A vostra utilità questo vi mostro. Stupi
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
le, et de la Politique ; comme vous verrez dans les Discours que j’ay formez là dessus selon l’occurrence des matieres. Je vou
25 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [56.]. DEL TOPO CITTADINO, E ’L TOPO VILLANO. » p. 352
e brama, Segua del Topo rustico la norma ; Che viverà nella più nobil forma Beato, e morirà con gloria et fama. Un ben, ch’
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
les verroit jamais reduits à ceste honteuse fin. Mais on leur laisse former insensiblement ceste vicieuse habitude, dés leur
27 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
par le passage fort net de Strabon qui déclare que la Macédoine s’est formée du démembrement de la Thrace. Avant d’être géogra
âlons. En attendant qu’ils pussent être ramenés et réunis, il fallait former une Cour souveraine qui rendît la justice. Le 28 
vélin. Ils contiennent surtout des romans et des chansons de geste et forment une des plus belles collections qu’on puisse voir
. Elle démontre aussi la fausseté de plusieurs idées que l’on s’était formées sur le manuscrit, d’après l’édition de Pithou, qu
t imité les récits d’Ésope, s’exprime ainsi : « Phèdre d’une partie a formé cinq livres. » Pithou, guidé par ce renseignemen
on, l’orthographe, etc., tout est exactement copié. Ces papiers mêmes forment , dans leur longueur, la page écrite. Que ne puis-
elié avec deux autres d’âge et d’écriture très différents, et le tout formait un petit volume in-8º, qui, marqué à deux endroit
t enfin les trois dissertations dont j’ai déjà donné l’analyse. Elles formaient un grand in-8º de 323 pages, en tête duquel on li
incipaux qui concernaient le différend. Une commission, immédiatement formée , se met à l’œuvre et bientôt fait à l’Académie un
Phèdre et ne peuvent être que de lui ». Cette opinion s’était à peine formée qu’Adry vint l’ébranler. En tête de l’exemplaire,
ir, sur un premier cahier qui n’existe plus, les diverses poésies qui forment son recueil, il les dédia à son neveu Pirrho Pero
tile d’en rien retrancher. Il dut donc faire de son recueil lentement formé une première copie pour son neveu ; mais ce n’est
ux, et, lorsque je considère en outre que Perotti avait, à l’origine, formé son recueil sans but arrêté, et que ce ne fut qu’
artem, des fables d’Ésope, qu’il développa, resolvit, de manière à en former cinq livres, tandis que les fables connues sont t
ue qu’ils m’ont fournis. Je l’ai expliqué : le recueil de Perotti est formé de poésies diverses, ajoutées les unes aux autres
ne le doit pas. En effet, comme dans l’édition de Dressler276, elles formeraient un sixième livre, ce qui est impossible ; car Avi
fables, dont, à l’exemple de Pithou, tous les éditeurs ont cru devoir former le livre II. Dans le second volume de cette éditi
débris de l’œuvre originale. Voici la nomenclature des 67 fables qui forment la collection, avec l’indication des fables corre
e. Je puis à bon escient affirmer que le manuscrit, qui est un volume formé de pièces très diverses reliées ensemble, est en
copie a été faite. Mais il ne faut pas oublier que le manuscrit a été formé d’éléments divers, et que par suite le calendrier
ement dépourvus d’écriture. Les divers éléments dont le manuscrit est formé et qui comprennent une copie malheureusement inco
n écriture être à peu près de la même époque. Les diverses pièces qui forment le volume n’ont donc pu être réunies avant la dat
les du Romulus de ce critique, ou si, quoique tirées de Phèdre, elles forment un recueil différent de ceux déjà connus295. De l
e son modèle. Les nos IV, 5 et 13, comme Tross l’a fait remarquer, ne forment qu’une fable ; le no V, 6 n’est que l’introductio
stème, y ont été religieusement respectées. Malheureusement, avant de former avec d’autres cahiers le manuscrit auquel aujourd
t supposer qu’il était alors d’un âge assez avancé pour avoir déjà pu former une grande partie de sa bibliothèque. Mais de qui
oin, consiste à dire que l’Æsopus ad Rufum a été un Corpus fabularum, formé de toutes les collections de fables alors connues
uelque amateur de fables très ancien, mais pourtant chrétien, pour en former un petit volume, et qu’elles avaient ensuite serv
cours de l’été de 1873, j’avais, ainsi que je l’exposerai plus loin, formé le projet de me rendre à Vienne, pour vérifier un
n notable, la dédicace à Tibérinus, que les mots Memoriam tibi tradam formaient , comme dans les autres manuscrits, le commencemen
connu sous le nom de Thirlestaine house. C’est un volume in-4º, qui, formé d’éléments divers, comprend 146 feuillets en parc
e 288 feuillets, répartis entre vingt-neuf cahiers qui eux-mêmes sont formés , les vingt-six premiers de dix feuillets chacun,
sible de l’en distinguer. Elle comprend 129 feuillets non chiffrés et formés de la réunion de seize cahiers dont les quinze pr
du dernier cahier qui vont de q à qv, me portent à croire qu’il était formé de dix feuillets dont les deux derniers étaient b
ur, et ornée également de nombreuses gravures sur bois. Le volume est formé de 16 cahiers pourvus de signatures et classés da
outre, à la suite des vingt fables, qui dans les éditions antérieures forment le livre III, Sébastien Brant a placé les deux de
sont composés de 6 et de 8 feuillets, à l’exception des deux derniers formés l’un de 4 feuillets et l’autre de 5. Elle débute
perboreis. Tels sont les titres des opuscules de Sébastien Brant qui forment la seconde partie de l’édition de Bâle. La fin en
hiers, sauf le dernier qui ne comprend que six feuillets, sont chacun formés de huit, le nombre total des feuillets est de 142
fabulas suyas son falladas. grand numero delas quales se sigue enesta forma seguiēte. Fol. 61 b (A 5 vº). — Titre des Fabu
ençan las fabulas collectas d’alfonso et | de pogio et de otros en la forma et orden seguiente. Fol. 98 a (G 4 rº) à 116 b
omiençan las fabulas collectas de Alfonso, de Pogio et de otros en la forma siguiente. Fol. 211 a. — A cabanse las fabulas
. —  Aqui comiençan las fa-|bulas collectas de muchos autores | en la forma siguiente. Fol. 140 b. —  Acabanse las fabulas
ème feuillet sur la deuxième colonne : I. De imperio Karoli magni et forma . Enfin, au verso du dernier feuillet, la premièr
bourg, dans le monastère de Sainte-Afre, il en fut publié une édition formée de trois volumes, grand in-folio, à deux colonnes
lques-unes d’entre elles sont-elles originales. Les quinze fables qui forment la seconde partie de la collection du Romulus de
s’en convaincre, je vais donner la liste des quarante-huit fables qui forment la première partie de la collection et indiquer e
ipio hujus libri quinque sunt inquirenda, scilicet : causa efficiens, forma materialis et finalis utilitas, et cui parti phil
Ses œuvres, réunies par Beaugendre, ont été publiées en 1708 ; elles forment un volume in-folio. Tandis que tous les autres no
je ne partageai pas sa confiance ; ni l’opinion générale qui s’était formée , ni les raisons que je viens moi-même d’analyser,
est l’italienne de la fin du xive  siècle. Le manuscrit est un in-4º formé de deux cahiers en parchemin comprenant ensemble
ient au format in-4º et se compose de 177 feuillets en papier. Il est formé de la réunion de plusieurs cahiers, sur chacun de
. Manuscrit 14176. Le manuscrit 14176 est un volume in-8º, qui est formé de 122 feuillets en papier et dont l’écriture est
résentent des variantes qui ont le même caractère. Les 49 fables, qui forment la troisième série, ne sont, comme on le sait déj
du dédoublement de la fable des Grenouilles qui demandent un roi, en forment en apparence soixante et une. C’est par erreur qu
es lettres et les fruits heureux qu’elles font naître, passa sa vie à former une bibliothèque distinguée par le choix des édit
e plus étendue. Par son format il se rapproche du petit in-4º. Il est formé de 93 feuillets en parchemin. Il devrait en possé
vera plus loin l’analyse. 2º Bibliothèque communale de Trèves. Formée des fonds d’anciens couvents supprimés, la biblio
de anima. Tractatus de duodecim patriarchis. Esopus. Liber Senece de forma et honestate vite. L’ouvrage désigné par le mot
ie . C’est un volume in-4º à deux colonnes, à tort qualifié in-fº, et formé de trente-neuf feuillets en parchemin précédés d’
t pater almus. E. Manuscrit 162 Gud. Ce manuscrit est un in-4º formé de trente-sept feuillets en parchemin, dont l’écr
M. Manuscrit Add. 27625. Le manuscrit 27625 est un vol. in-4º, formé de 84 feuillets, les uns en parchemin, les autres
de leur traduction en vers français. Ce sont les mêmes que celles qui forment la seconde partie du manuscrit 1594 de la Bibliot
dont les fables de Walther, comprenant les soixante-deux ordinaires, forment le douzième. Elles commencent à la première colon
nt Névelet s’est servi pour composer sa Mythologia Æsopica 448. Ayant formé le projet de réunir dans une sorte de répertoire
al, y prit possession de la bibliothèque, et l’envoya à Rome, où elle forma , sous la dénomination de Bibliothèque Palatine, u
 b). 5º Guarini regule grammatice (fol. 83 a à 89 a). Les fables qui forment le troisième ouvrage sont celles de Walther. Elle
ulæ latine redditæ, versibus elegis, etc. Les fables de Walther, qui forment le dernier des ouvrages contenus dans le manuscri
ellensis. Tous ces ouvrages sont en vers. Les fables de Walther, qui forment le premier, s’étendent du feuillet 1 a au feuille
nuscrit XII. F. 9. Ce manuscrit est un mince in-4º du xve  siècle, formé de trois cahiers de papier, comprenant, le premie
xamètres, annoncé en ces termes : Incipit liber eue columbe. Il est formé , après un préambule de quatre vers, de quatrains
ctu ad virtutes morales. Causa formalis est duplex, secundum quod est forma , scilicet : forma tractatus et forma tractandi. F
rales. Causa formalis est duplex, secundum quod est forma, scilicet : forma tractatus et forma tractandi. Forma tractandi est
is est duplex, secundum quod est forma, scilicet : forma tractatus et forma tractandi. Forma tractandi est modus agendi, qui
cundum quod est forma, scilicet : forma tractatus et forma tractandi. Forma tractandi est modus agendi, qui in proposito est
Forma tractandi est modus agendi, qui in proposito est metricus. Sed forma tractatus consistit in compositione et explicabit
ipio hujus libri quinque sunt inquirenda, scilicet : causa efficiens, forma materialis, et finalis utilitas, et cui parti phi
in simplicibus dictis fabularum. Causa formalis est duplex : scilicet forma tractandi et forma tractatus. Forma tractatus est
is fabularum. Causa formalis est duplex : scilicet forma tractandi et forma tractatus. Forma tractatus est congregatio vel mu
sa formalis est duplex : scilicet forma tractandi et forma tractatus. Forma tractatus est congregatio vel multiplicatio vel d
regatio vel multiplicatio vel documenta quæ in hoc libro continentur. Forma tractandi est modus vel materia, dispositio vel d
ant de a à z, et la seconde, de A à D ; il s’ensuit que le volume est formé de vingt-sept cahiers, et comme les vingt-six pre
caractères gothiques, non paginée, mais signée des lettres a et b et formée de deux cahiers, l’un de 8 feuillets et l’autre d
caractères gothiques, non paginée, mais signée des lettres A et B, et formée de deux cahiers de huit feuillets chacun. Au-dess
est du xve  siècle, est un volume in-fol. de 294 millimètres sur 215, formé de 117 feuillets en papier chiffrés par une main
he a fanciulli et a ignoranti       Vano per man : soglion perder sua forma       E mutar spesse volte soi sembianti. Vien
mais signé de a à i et, par suite, composé de neuf cahiers qui, étant formés de 8 feuillets chacun, en donnent en tout 72 au v
rimée en caractères gothiques, non chiffrée, mais signée de a à i, et formée de neuf cahiers ayant chacun huit feuillets sauf
Édition in-4º non chiffrée, mais signée de a à i, et par conséquent formée de neuf cahiers, qui, étant composés de huit feui
de a à y, les cahiers dont le volume se compose sont au nombre de 22 formés de 8 feuillets, sauf le cahier f, qui n’en compre
e, mais bien dénaturée. Néanmoins toutes ces collections du moyen âge forment une chaîne, dont les anneaux se tiennent si visib
-il entré ; c’est ce que je vais sommairement rappeler. La collection formée par le bibliophile anglais comprenait quatre fond
, et le troisième, de quarante-deux, c’est-à-dire de celles dont sont formés les livres III et IV du Romulus ordinaire. Quant
t f. , écrit à la suite de la souscription précédente. Les fables qui forment le second ouvrage sont au nombre de 51, si l’on y
prendre. J’ai fait connaître les divers éléments dont le Dérivé était formé . Parmi eux, il en est un dont Marie n’a fait aucu
tion de cet ouvrage, occupe les pages 436 à 479. Les quatrains y sont formés de trois vers rythmiques et d’un hexamètre final.
our où il était nommé bibliothécaire du Directoire exécutif. Il avait formé une belle bibliothèque, riche en manuscrits. Ses
ses goûts, se retira à Foligno, d’où sa famille était originaire, s’y forma une bibliothèque considérable, et consacra sa lon
ne de Bourgogne” in the French translator’s epilogue, has misled some former possessor of the ms., and induced him to give the
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
s là nous les appellerons Idolastres, aveugles, et maladvisez, qui se forment un Dieu de metail, comme les Payens, et qui trouv
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
, à sçavoir que la memoire estant excellente en tous les deux, ils se forment , l’un à plaire l’homme, l’autre à imiter ses acti
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