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1 (1180) Fables « Marie de France, n° 94. Le paysan et son épouse querelleuse » p. 681
l pré fauké si uëlement. Ele li respunt hastivement : « Ainz fu a uns forces trenchez. » Dist li vileins : « Einz est fauchez.
u, quë ele en aveit entendu, si li prez fu od falcs fauchez u [si] od forces fust trenchez. La vielle, quant ne pot parler, od
La vielle, quant ne pot parler, od ses deiz [li] prist a mustrer que forces l’aveient trenché e que falcs ne l’ot pas seié. P
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 160 » p. 130
Mb 73 Me 93 Mf 78 Mj 85. L’estomac et les pieds disputaient de leur force . À tout propos les pieds alléguaient qu’ils étaie
t propos les pieds alléguaient qu’ils étaient tellement supérieurs en force qu’ils portaient même l’estomac. À quoi celui-ci
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
ustrieux de les surmonter, et de rendre son esprit victorieux sur les forces Ennemies. Ce que nous ont fabuleusement prouvé le
s, que l’on feinct avoir esté défaicts par industrie, plûtost que par force , et toutesfois avec non moins de loüange, que si
e de la lutte. A propos dequoy Virgile dit en son Æneide, Qu’importe force ou dol contre son Ennemy ? Il entend toutesfois
on faire quand l’un des Combattans est entierement disproportionné en force ou en vigueur à son Ennemy. Car alors, non seulem
ye toute l’industrie de l’escrime contre Argant, qui le surpassoit en force et en experience. Que s’il faut passer des exempl
is, de bien prés en ceste nature de gloire. Car n’ayant jamais eu des forces complettes, ils firent teste fort longtemps à la
eurs Maistres, et que l’industrie est ordinairement victorieuse de la force , pourveu toutesfois qu’elle soit accompagnée d’un
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
inant qu’il y seroit assez tost pour le vaincre. Voila cependant qu’à force d’aller, elle se rendist insensiblement aux borne
nous-mesmes. C’est pareillement une qualité fort souhaittable que la Force , lors qu’elle se trouve joincte à l’addresse ; pu
nt ; Ainsi, pour en parler sainement, ny la beauté de l’esprit, ny la force du corps, ne sont que des qualitez inutiles à l’h
stost que le Liévre de ceste Fable, puis qu’en matiere d’Esprit et de Force , toutes les fois qu’il leur a fallu agir, ils l’o
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
ray par la moins noble partie, et prouveray, si je puis, que la seule force de nostre sang, ou, pour m’expliquer en termes pl
stumé de s’irriter par leurs contraires, et de desployer toutes leurs forces , contre une resistance presque semblable à leur p
esque aussi grande que l’embrasement, alors le feu semblera tirer des forces de soy mesme, et s’aigrir contre son ennemy. Le m
angere, nous voyons, que si ceste derniere ne survient qu’avec peu de force , et peu de malignité, nostre vigueur naturelle ne
petite resistance, que pour une grande, ny ne desploye pas toutes ses forces naturelles contre un petit object, voire mesme le
t rien de si aisé que de surmonter un ennemy par trop inferieur à nos forces , nous venons à inferer que cela n’est pas honorab
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 208 » pp. 339-339
e lion et l’onagre chassaient aux bêtes sauvages, le lion usant de sa force , l’onagre de la vitesse de ses pieds. Quand ils e
à décamper. » Il convient en toutes choses de se mesurer à sa propre force , et de ne point se lier ni s’associer à de plus p
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVIII. Des Taureaux, et du Lion. »
Fable. Quant à l’union de ces quatre Taureaux, qui assemblent leur force pour resister au Lion, et sont invincibles par le
establit les maisons, augmente et affermit les Empires, repousse les forces estrangeres, maintient les intestines, rend les h
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
foible et nuë simplicité ; pource que s’ils attaquoient des égaux en force et en resistance, ils courroient plus de la moiti
puissants et injurieux se peuvent representer qu’ils ne tiennent leur force que de Dieu, qui ne la leur donne point à dessein
bien qualifié, de venir à bout d’un petit ennemy, qui n’a non plus de force qu’un vermisseau, et qui succumbe au premier coup
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XXI. L’Asne vestu de la peau du Lion. » p. 188358
lice, S’estonnoient de voir que Martin Chassast les Lions au moulin. Force gens font du bruit en France, Par qui cet Apologu
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — Epilogue »
doit prendre que la fleur. Il s’en va temps que je reprenne Un peu de forces et d’haleine Pour fournir à d’autres projets. Amo
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
i facilement, à cause que la vieillesse avoit beaucoup diminué de ses forces , il s’advisa d’un plaisant moyen pour executer so
n viste cette besongne : car il le frappa droict au front de toute sa force , et s’enfuyt à mesme temps. Le Lion, qui de ce co
u d’esgorger le Cheval, et de se repaistre de son sang. Mais comme la force vient à luy manquer, à cause de son extraordinair
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
é, que l’object d’une vie vertueuse. Les raisons theoriques cedent en force aux experimentales : l’on ne sçauroit tant donner
’à la chose mesme. La presence d’un homme de bien a je ne sçay quelle force sur les volontez, qui ne leur permet pas de se dé
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXII. D’un Malade, et d’un Medecin. »
at de sa santé ; « Je brusle », répondit-il, et « suis tout en eau, à force d’avoir sué ». « Voila qui est bien », dit le Med
r fait souvenir de leur salut. Car alors à peine peuvent ils avoir la force de se repentir vivement de leurs fautes, ny assez
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 73 » pp. 46-46
46 Pb 46 Pc 18 Pe 20 Pg 24. Borée et le Soleil contestaient de leur force . Ils décidèrent d’attribuer la palme à celui d’en
mme l’homme serrait sur lui son vêtement, il l’assaillit avec plus de force . Mais l’homme incommodé encore davantage par le f
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XViI. Le Paon se plaignant à Junon. » p. 509
ous vous avons donné diverses qualitez, Les uns ont la grandeur et la force en partage ; Le Faucon est leger, l’Aigle plein d
16 (1180) Fables « Marie de France, n° 52. Le dragon et l’homme » p. 663
einsi ; e li draguns li respundi que dedenz l’of ot enbatu trestut sa force e sa vertu ; tost sereit mort, s’il fust brusez.
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
jours que l’homme surpasse la femme, et en grandeur de courage, et en force de jugement. Cela procede en partie de ce que son
e luy doit ceder, soit quant aux conditions de l’esprit, soit pour la force du corps. Ce qui n’est pas seulement ordinaire en
s seulement en esprit et en sçavoir, mais encore en ce qui regarde la force du cœur, et le genereux mespris de la mort. Tesmo
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 351 » pp. 377-377
ta langue, alors que l’ayant perdue, tu fais tant de commérages ! » A force de mentir, les vantards témoignent contre eux-mêm
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XII. Le Dragon à plusieurs testes, et le Dragon à plusieurs queuës. » p. 
and seigneur
 Preferoit, dit l’Histoire, un jour chez l’Empereur 
Les forces de son Maistre à celles de l’Empire.
 Un Alleman
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXV. De la Grenoüille, et du Bœuf. »
d d’entrer en comparaison avecque le Bœuf, touchant la grosseur et la force . Je croy que la vraye Mithologie de ceste Fable,
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VI. Le Renard, le Singe, et les Animaux. » p. 81
t l’épreuve en riant, Et par plaisir la Tiare essayant, Il fit autour force grimaceries, Tours de souplesse, et mille singeri
22 (1180) Fables « Marie de France, n° 8. La chienne qui était sur le point de mettre bas » p. 480
it parler, que si chael le detrareient e ors a l’us la butereient. La force ert lur e la vigur : fors l’en unt mise en deshon
23 (1180) Fables « Marie de France, n° 14. Le lion malade » p. 481
pernum essample del leün : ki que unc chiecë en nunpoeir, si piert sa force e sun saveir, mut le tienent en grant vilté nis l
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 57 » p. 311
animaux furent façonnés d’abord, et que Dieu leur accorda, à l’un la force , à l’autre la vitesse, à l’autre des ailes ; mais
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 139 » pp. 318-318
rière, à quels tours me voilà réduit ! » Ne soyez pas trop fier de la force que donne la jeunesse ou la renommée : pour bien
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
e proposent jamais la crainte des perils. Comme ils se voyent donc la force à la main, à cause de ceux qui les assistent, ou
ques touchez à la maniere des autres hommes ; et n’ayant pas assez de force pour en venir aux effects, qui sont les vrays moy
27 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 146 » pp. 220-220
spérant être préférés aux autres, grâce à leur haute taille et à leur force . Mais le singe les déclara l’un et l’autre improp
28 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 314 » pp. 209-209
e adultes ? » Sauver les méchants, c’est leur donner à notre insu des forces qu’ils tourneront contre nous d’abord. Chambr
29 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XII. La Colombe et la Fourmy. » p. 235
e emporta tout l’ouvrage. Patience et longueur de temps Font plus que force ny que rage. L’autre exemple est tiré d’animaux
30 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVIII. La Chate metamorphosée en Femme. » p. 50
aignoient point. Ce luy fut toûjours une amorce, Tant le naturel a de force , Il se mocque de tout, certain âge accomply. Le v
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
stoit pas obligé de tenir promesse à ceux qui l’avoient exigée par la force . Discours sur la quatriesme Fable. Il est ic
Il est icy question de retirer sa parole, quand on l’a donnée par force , en quoy certes il y a plus de malheur que de pec
32 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 147 » pp. 117-117
eus, indigné qu’il ne se contentât point de sa grande taille et de sa force et qu’il désirât encore davantage, non seulement
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VI. Du Lion, et de quelques autres Bestes. »
vaille ; la seconde l’est aussi, à cause des grands advantages que ma force me donne par dessus vous ; et la troisiesme m’app
34 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — V. Le Loup et le Chien. » p. 346
ogis ; à son Maistre complaire ;
 Moyennant quoy vostre salaire
 Sera force reliefs de toutes les façons ;
 Os de poulets, os
35 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 27 » pp. 26-26
trouble. Il répondit : « Mais si la rivière n’est pas ainsi troublée, force me sera à moi de mourir de faim. » Il en est ains
36 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 143 » pp. 320-320
brida son cheval, s’arma lui-même et l’enfourcha. Mais le cheval sans force tombait à chaque pas. Il dit à son maître : « Va
37 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 347 » p. 271
urne ses yeux, non pas vers le ciel, mais en bas vers la terre, et je force les gens à craindre et à trembler, et à se résign
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVI. Du Chat, et des Rats. »
Rats, en prenoit un maintenant, et tantost un autre ; de maniere qu’à force d’aller à cette chasse, il en tua plusieurs avecq
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
oy se dépitant, il l’empoigna par les jambes, et luy cassa la teste à force d’en battre la muraille. Comme il vid alors qu’il
il nous est enseigné, que les meschants font mieux leur profit par la force , que par une bonne et franche acquisition. Ce qui
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
sent à rompre le faisceau entier ; Ce qu’ils essayerent de toute leur force , mais ils ne le peurent faire. Il voulut donc qu’
tenuë dans le discours de ceste Fable. Cela nous aprend, que plus nos forces sont unies, moins elles sont faciles à vaincre, c
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Partement d’Esope, et son arrivée en Lydie. Chapitre XXIV. »
le fist ainsi. « Puissant Monarque, je ne suis venu vers toy, ny par force , ny par contraincte, ny par necessité non plus ;
42 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
forma plus de nouveau sang au cœur :
 Chaque membre en souffrit, les forces se perdirent.
 Par ce moyen les mutins virent
 Qu
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
ualité en nous, à sçavoir la cognoissance des choses, et la veritable force de l’ame ; Qu’au reste, ceste derniere faculté n’
finant peu à peu, commença d’avoir en haine ceux qui regnoient par la force , comme il avoit auparavant mesprisé les autres, q
44 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 308 » pp. 218-218
ivine que le petit que sa mère soigne avec complaisance et serre avec force dans ses bras meurt étouffé par elle, et que celu
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »
se rechercher comme freres. Tellement que plus ceste probité aura de force , plus la Republique s’augmentera ; Et partant le
46 (1180) Fables « Marie de France, n° 23. La chauve-souris » p. 566
e d[e]u[s]t traire, od ceus volt estre que veinterunt e ki la greinur force averunt. Sur un haut fust s’en est muntee pur esg
47 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 211 » p. 259
t et qui surpasse en bonheur l’éléphant autant que le coq surpasse en force le cousin ? » On voit que le cousin est assez for
48 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
ata. Foibles gens ! dit le pere, il faut que je vous montre Ce que ma force peut en semblable rencontre. On crut qu’il se moq
49 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 212 » pp. 143-143
er, quand il serait couché à table. Le taureau vint ; mais apercevant force bassins, de grandes broches, mais de mouton nulle
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. »
urprendre celuy qui les dit, et où la cognoissance qu’on a prises des forces d’un Estat, pendant la bonne intelligence, sert à
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIV. Du Taureau, et du Bouc. »
t s’en estoit allé, je m’asseure que je te ferois bien sentir que les forces d’un Taureau, et celles d’un Bouc, sont deux chos
52 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — IV. Le Jardinier et son Seigneur. » p. 
ire à Margot, pour sa feste, un bouquet ; Peu de jasmin d’Espagne, et force serpolet. Cette felicité par un Lievre troublée,
53 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — II. Le Lion et le Chasseur. » p. 326
nte. Un Pâtre à ses Brebis trouvant quelque méconte, Voulut à toute force attraper le Larron. Il s’en va prés d’un antre, e
54 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 235 » pp. 163-163
aux hommes, allèrent trouver Zeus et le prièrent de leur donner de la force pour tuer à coups d’aiguillon ceux qui s’approche
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LX. De la Puce, et de l’Homme. »
nsequent moins poussez à cela par la violence de leur sang, ou par la force de leur complexion, il n’est pas hors d’apparence
56 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXII. L’Aloüette et ses petits, avec le Maistre d’un champ. » p. 325
un Printemps Sans gouster le plaisir des amours printanieres. A toute force enfin elle se resolut D’imiter la Nature, et d’es
57 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — FABLE I. Le Buscheron et Mercure. » p. 173
struis, Il ne tient pas à moy, c’est toujours quelque chose. Comme la force est un poinct Dont je ne me pique point, Je tâche
58 (1180) Fables « Marie de France, n° 3. La souris et la grenouille » p. 384
it returner, kar ne poeit avant aler. Mes la reine l’ad apelee, que a force l’en ad amenee tant par amur, tant par preere, ta
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un fardeau, dont Esope se chargea. Chapitre VI. »
lle sur les espaules. Luy cependant ayant le dos chargé pardessus ses forces , en estoit presque accablé, et se secoüoit tantos
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
eine quant et soy nos appetits, et nostre raison, sans qu’elle ait la force de s’en deffendre. Il y a certaines personnes aus
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVIII. De l’Esprevier, et de la Colombe. »
de Justice. Car on establissoit Juge sur un autre, celuy qui avoit la force à la main, et qui n’etoit pas moins usurpateur, n
62 (1180) Fables « Marie de France, n° 73. Le mulot qui cherche à se marier » p. 73
veié, si li ot dit e enseigné qu’il ert la plus forte creature, en sa force n’aveit mesure : tutes autres riens departeit, qu
63 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 250 » pp. 170-170
r et lui demandant comment il allait : « Moi, répondit-il, je meurs à force d’aller bien. » Il en est souvent ainsi : nos voi
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
e la Corneille. L’Aigle ne pouvant, ny par son industrie, ny par sa force , arracher un poisson hors d’une coquille qu’elle
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
bestes, se treuve accablé de vieillesse et de pauvreté, sans avoir la force de se lever pour s’en aller à la chasse ; Ainsi v
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
iscours plus imparfaictement que nous, ou plustost si ce n’est que la force de leur memoire, joincte aux sens corporels, qui
le, comme en la vivacité des yeux, en l’excellence de l’odorat, en la force , et en l’agilité, nous cedent neantmoins entierem
res advantages qu’elles ont en grand nombre par dessus nous, comme la force et l’addresse du corps, joincte à la perfection d
e conseil et l’industrie sont capables de plus de choses que n’est la force . Homere nous a voulu persuader cela fort subtilem
ute, cét excellent homme nous veut apprendre, que la Prudence sans la Force peut beaucoup, comme au contraire la Force sans l
e, que la Prudence sans la Force peut beaucoup, comme au contraire la Force sans la Prudence ne peut rien. Il nous declare en
67 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 86 » pp. 53-53
vaincre. » Cette fable montre qu’autant la concorde est supérieure en force , autant la discorde est facile à vaincre. Cha
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
qui ayant vaincu toutes les Nations, est morte à la fin par sa propre force  : Tesmoin Athenes, qui ne perdit la liberté qu’ap
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIII. Du Renard, et du Buisson. »
lueur du bien que nous en esperons, se respand sur nous avec moins de force  ; comme, au contraire nous courons fortune de nou
70 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 103 » pp. 74-74
uivit. Il prit la fuite, et le devança d’une longue distance ; car la force des cerfs est dans leurs jambes, celle des lions
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
recommendable est interieur, il a corrigé ses defauts naturels par la force de sa raison ; et jamais homme n’a mieux que luy
72 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 197 » pp. 142-142
u vieux, et dès lors incapable de se procurer de la nourriture par la force , jugea qu’il fallait le faire par adresse. Il se
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
er, que celle des dons, où la resistance est plus rare, que contre la force . Il s’en treuve beaucoup qui surmontent la craint
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
t la proye du Loup. Discours sur la septante-huictiesme Fable. A force de mentir ce petit Berger se rend indigne de foy,
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
re, pour prouver son innocence, ne les empescha point de foüiller par force dans ses males et ses valises, où trouvant la phi
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
etta prés du feu ; mais un peu aprés, la Couleuvre ayant repris et sa force et son venin, par le moyen de la chaleur, et n’en
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
Le Renard fuyoit les Chasseurs, et n’en pouvoit plus de lassitude, à force d’avoir couru par les bois, lors que rencontrant
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
i precipitent leurs mouvements plus que de raison, n’ont pas assez de force pour aller jusques au bout de l’endroict perilleu
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
du Roseau. L’Arbre et le Roseau disputoient ensemble, touchant leur force et leur fermeté. En ce contraste, l’Arbre injurio
80 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
s est de bien faire, et de se garantir des presentes calamitez par la force d’un Protecteur. Il vaut donc mieux en accuser la
81 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
ion, aspirent à de mesmes desseins que les autres, sans mesurer leurs forces avecque celles de leurs rivaux. Les Poëtes nous o
82 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
er, quand mesme ils seroient entierement hors de la proportion de nos forces . D’ailleurs, le desespoir ne trouvant rien qui so
83 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
pour adherer trop niaisement aux loüanges qu’ils leur donnent : car à force d’estre enyvrez par leurs complaisances, ils pren
84 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
endre nostre pauvreté moins contemptible ; C’est ce que firent à vive force de patience et de Vertu, les deux Personnages que
85 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
ce fut alors que ceste pauvre fille toute dolente se voyant prise par force  ; “Helas !” dit-elle à son pere, “que tu fais là
86 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
Alliez par son adresse au Conseil, que redouter à ses Ennemis par la force de ses Armes. En un mot, elle a vaincu tout ce qu
87 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
uis corrigé par ce moyen, et suis devenu plus doux que de coustume, à force d’estre battu ; neantmoins cette cicatrice que tu
88 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
eilleur, ou de m’achepter, ou de me laisser : Nul ne fait rien par la force  : c’est une chose qui dépend absolument de ta vol
89 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
célèbre fable du livre II, où il montre l’esclave obséquieux, qui, à force d’empressement, cherche à obtenir de Tibère les s
liquée, les témoignages de Martial et d’Avianus reprennent toute leur force . Contrairement à l’opinion de Christ, partagée pa
rrington en dehors des dérivés de Phèdre, et plus tard, si j’en ai la force et le loisir, je lui consacrerai un volume spécia
seignor a en despit Por noir coille et por noir vit ; (Car) autant de force a une noire Comme a une blanche por voire. Le m
quand même elles étaient brèves, à rendre les syllabes longues par la force de la césure : dans la fable du Loup régnant et d
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