os ni inseueris annos Non erit unde rudi manent de pectore fructus.
Finis
. Impressvm Fani per Hieronymvm Soncinvm anno chri
squ’il s’agit dans cette Fable
D’une femme qui dans les flots
Avoit
fini
ses jours par un sort déplorable,
Son Epoux en c
quand je jouais de la flûte, vous ne dansiez pas ; à présent que j’ai
fini
, vous vous mettez en branle. » Cette fable s’appl
Le crocodile s’étendit longuement sur l’illustration de ses aïeux et
finit
par dire que ses pères avaient été gymnasiarques.
n cheval, compagnon de ses travaux et de ses dangers. Mais, la guerre
finie
, le cheval fut employé à des besognes serviles et
t à Tamberlan, ce foudre des nations Asiatiques. Ces Ambitieux virent
finir
leur gloire avant leur mort, et treuverent qu’ell
es, et quantité d’ouvrages semblables. Car on a presque tousjours veu
finir
le Seigneur ou l’ouvrier, avant que la besogne fu
lorait donc son sort et s’accusait de lâcheté ; à la fin il voulut en
finir
avec la vie. Il était dans ces dispositions, quan
.
O mort, luy disoit-il, que tu me sembles belle !
Vien viste, vien
finir
ma fortune cruelle.
La mort crut, en venant, l’o
Tra lor di questo in van perdeano il tempo, Fu primo il Sol, che per
finir
le liti, Visto in viaggio un pellegrin lontano, M
a loüange. Mais c’est assez parlé des causes de ceste Vertu ; Il faut
finir
, apres avoir exhorté tous les hommes vindicatifs
. En le cherchant, j’ai vu qu’il existait plusieurs manuscrits ; j’ai
fini
par découvrir qu’on en avait connu cinq. Je m’en
a continuation de mon entreprise. Mais, suivant un vieux proverbe, on
finit
toujours par tomber du côté où l’on penche, et, m
arement emprunté à autrui les sujets de ses fables, et par suite j’ai
fini
par penser, comme le savant critique, que je deva
ai du moins la consolation d’avoir bien commencé ce que je n’aurai pu
finir
. Mais à cette heure, ce n’est pas cette éventuali
ant quatre heures tous les jours suivants jusqu’au 25, jour où, ayant
fini
ma copie, j’amenai le dessinateur, qui exécuta so
Phædri Augusti liberti Liber quintus explicit feliciter. Mais où
finissait
le quatrième livre et où commençait le cinquième
fin de la dernière fable du livre V, ajouté cette observation : « Ici
finit
le cinquième livre ; et ces autres fables qui sui
llets ne sont point séparés, et le tout fait suite109. » J’en aurais
fini
avec le manuscrit de Saint-Remi, s’il n’avait pas
donné lieu à des controverses longues et passionnées. La victoire a
fini
par rester aux partisans de l’authenticité, de so
esse in tutela sua.” Et ce qui suit forme un total de douze vers qui
finissent
ainsi : Nisi utile est quod facimus, stulta est
nt pas la peine d’examiner, ils durent chercher d’autres documents et
finirent
par en trouver un qu’ils s’empressèrent d’employe
varum Auctorem habendum esse demonstratur. Je suis trop pressé d’en
finir
pour exposer les arguments à l’aide desquels il c
s la fable ancienne Canum legati ad Jovem. Adry trouve que la fable v
finit
très mal et que les derniers vers n’en ont pu êtr
s longum est promere, ressemble un peu au dispositif d’un arrêt, qui
finit
toujours par : « à ces causes et autres à ce nous
la caisse qui devait le renfermer. J’en continuai la recherche, et je
finis
par en découvrir un exemplaire broché à la biblio
uscrit. Mais cela ne me suffisait pas. Je sentais bien que je devrais
finir
par surmonter la répugnance que, sous l’influence
rait eu aussi grand besoin d’être révisé. Peut-être ce travail a-t-il
fini
par paraître trop pénible. En beaucoup de cas, le
, au bas du feuillet 115 b, par cette souscription à l’encre rouge :
Finit
liber de monstruis (sic). Ces mots sont eux-mêmes
e livre, terminé au milieu de la page par ces mots à l’encre rouge :
Finit
de belluis , suivis de ce titre du troisième livr
ieu de la page, par cette souscription en grosses capitales rouges :
Finit
de serpentibus dō | gra | tias | a | m | e | n.
eut un tel succès qu’elle fit oublier Phèdre et que le nom de Romulus
finit
par être une sorte de terme usuel employé à expri
ors évident que, si toute l’œuvre antique parvenait à être connue, on
finirait
par voir celle de Romulus s’y rapporter tout enti
e. Les fables de Walther, qui commencent au haut du feuillet 13 vº et
finissent
au milieu du feuillet 33 rº, ont d’abord figuré s
e. Ce dernier livre est terminé par une sorte d’avis ainsi formulé :
Finit
quartus Esopi nec plures eius libri inueniuntur,
es d’une traduction allemande et terminées par la mention suivante :
Finis
fabularum Esopi a rimitio noue translationis fabu
ées dans la table suivante (fol. 226 b à 227 a) : Fabularum Auiani
finis
. Sequitur registrum earundem. De rustica et lu
de ce qui intéresse les amis des vieux livres. Je n’ai plus, pour en
finir
avec la fameuse édition d’Ulm, qu’à signaler les
nfin les vingt-trois fables diverses, à la suite desquelles on lit :
Finis
diuersarum fabularum. Cette édition ne porte ni
Incipit registrū capitulorū tercij libri esopi. Au-dessous la page
finit
par ce titre de la première fable : Fabula prima
65ª à 73ª (i.iª à k.iª). Livre IV, terminé par cette souscription :
Finit
, quartus Esopi nec | plures eius libri inueniuntu
am | ex Adelfonso. Fol. 129b (q.ixb). Souscription ainsi conçue :
Finis
diuersarū fabularū. Par suite d’une aggravation
rois lignes et le point précis où, d’après mes notes, chacune d’elles
finit
, est celui qui comme tel est également indiqué pa
graphique on lit tertius au lieu de secundus. Fol. 46 a (g. iv a). —
Finis
(sic) secundus liber. Fol. 46 b (g. iv b). — I
67 a (k. iii a). — Fin du livre IV, terminé par cette souscription :
Finit
quartus Esopi nec plures eius libri inueniuntur l
rnière fable qui est elle-même suivie de cette souscription finale :
Finis
diuersarum fabularum. À la dernière page (q. vii
te est identique, mais encore dans chaque édition la même commence et
finit
aux mêmes pages. Enfin les deux éditions présente
ularum Esopi. Fol. 34 b à 46 a. — Fables du livre II. Fol. 46 a. —
Finit
secundus. Fol. 46 b. — Incipit registrum capit
nt au haut du recto du fol. 67 a (k. iii a) par cette souscription :
Finit
quartus Esopi nec plures eius libri inueniuntur l
s les éditions antérieures la souscription finale est ainsi conçue :
Finis
diuersarum fabularum. Sans l’affirmer, je suis
de raison de maintenir ma précédente analyse, je la supprime. J’en ai
fini
avec les éditions sans date. J’aborde maintenant
par ces mots : tod auch vergan. Puis on lit cette phrase finale :
Finis
desӡ leben Esopi , c’est-à-dire : « Fin de la vie
eln die man zu sch-|reibet Esopo. Phrase, dont voici le sens : « Ici
finit
le IVe livre du très illustre fabuliste et maître
itlauffendē alten | fabeln die man czuschreybet Esopo. Lisez : « Ici
finissent
les vieilles fables que l’on attribue à Ésope. »
ni mit irē Register. | etc. Ce qui peut s’interpréter ainsi : « Ici
finissent
les fables d’Ésope mises récemment du grec en lat
xxij. — Hie habend eyn ende die fabeln Auiani. C’est-à dire : « Ici
finissent
les fables d’Avianus. » Fol. 127 a, portant le nº
yner fabeln (rectius : der gesammelten Fabeln). Littéralement : « Ici
finissent
les fables d’Avianus et commence la table de ses
etc. » Fol. 34 b, ligne 9. — Was mit söllichem tod auch vergan |
finis
desӡ leben Esopi. — C’est-à-dire : « … qui a fi
auch vergan | finis desӡ leben Esopi. — C’est-à-dire : « … qui a
fini
par une mort heureuse. — Fin de la vie d’Ésope. »
se : Hie hat ein ende das leben Esopi , phrase qui veut dire : « Ici
finit
la vie d’Ésope. » Fol. 38 (1) a à 87 (50) b. — T
Doligane, d’Alphonse, et quelques facéties du Pogge. » Fol. 24 a. —
Finis
des leben. Esopi , c’est-à-dire : « Fin de la vie
diemit lauffendē altē fabeln die mā zu schribet esopo. Lisez : « Ici
finit
le quatrième livre du célèbre fabuliste et maître
| zugeschriben werdent. Esopo. Mit irem register. Traduction : « Ici
finissent
les vieilles fables courantes que l’on attribue à
Romuli philosophi in das buch Esopi. Mots dont voici le sens : « Ici
finit
la vie d’Ésope. — La préface de Romulus le philos
-|liczen tag : Nach Cristi geburd. M.CCCC. lxxxxi. Traduisez : « Ici
finit
Ésope le célèbre fabuliste avec quelques fables a
èbre fabuliste avec quelques fables ajoutées de Rimicius et d’Avianus
finit
ici. Imprimé et achevé dans la ville impériale d’
oncent par un double avis, dont voici la traduction littérale : « Ici
finissent
les fables réunies. — Ici suit une deuxième parti
fables accompagnées de 8 gravures et suivies de ce double avis : Cy
finissent
les fables de esope. Et sensuit la table des fabl
mpagnées de dix gravures seulement et suivies de ce double avis : Cy
finissent
les fables de auian. Et cōmēcent celles de alfonc
ompagnées chacune d’une gravure et terminées par ce double avis : Cy
finissent
les fable (sic) de alfonce. Et cōmencent aucunes
ge avec cinq gravures. Elles sont suivies de cette souscription : Cy
finissent
les fables de esope. de auian. et de alfonce et a
cent les fables. Fol. o. vi b. — Fin des fables. Fol. o. vii a. — Cy
finissent
les fables de esope et sensuyt la table des fable
. — La premiere fable de la vielle et du loup. Fol. q. iv b. — Cy
finissent
les fables dauian. Et cōmacen les fables de alfou
dauian. Et cōmacen les fables de alfousse (sic). Fol. s. ii b. — Cy
finissent
les fables de Alfonse. Et commence aulcunes aultr
Fol. s. x b. — Au milieu de la page on lit cette souscription : Cy
finissent
les subtilles fables de esope | translateeӡ | de
erso du sixième feuillet du cahier o, et qui occupe sept lignes : Cy
finissent
les subtilles fables de Esope translatees de | la
ferme vingt-trois. Le volume se termine par cette souscription : Cy
finissent
les subtilles fables de Esope translatées de lati
rait d’Ésope en pied. Enfin au verso du dernier feuillet on lit : Cy
finissent
les fables de Esope de Auian de | Alfonce. Et aul
La vie de ce fabuliste commence sur le recto du deuxième feuillet et
finit
au bas du recto du dix-neuvième. L’édition porte
s beaulx dits mouraulx. Elle se termine par cette souscription : Ci
finissent
les fables de Esope, de Auian, de Alfonce. Et auc
s nostre-dame de Confort. Il se termine par cette souscription : Cy
finissent
les subtiles fables de Esope et imprimeeӡ à Lyon
. 128 a, l’ouvrage se termine par une souscription ainsi conçue : Cy
finissent
les subtiles fables de Eso|pe, de Auien, et de Al
as, | contra los engaños y | peligros deste | mundo. Fol. 270 b. —
Finis
. Fol. 271 a. — La tabla de las | fabulas del Y
Vincent de Beauvais : Speculum historiale. (Livres I-VII.) Le texte
finit
aux mots : « … nisi te scire hoc sciat alterius…
ernier feuillet par ces mots : Primū volumen speculi || historialis
finit
. Le tome II renferme les livres IX à XVI. Il se
ivis de la date de l’édition : Codicis insignis quin periodus quoque
finis
Fauste nunc annotatur agente deo. In partes
lames, ni pagination, et qui se termine par les mots Speculum morale
finit
. M’abstenant de toute hypothèse, je me borne à l
torum professoris per Antonium Koburger nurmberge incolam impressum :
finit
feliciter. consummatum sub nostri saluatoris anno
figuris effigiatum : castigatum : emendatum ac faustissime perornatum
finit
Anno a natali xpiano. M.CCCC.LXXXVI. kls XVII. Ap
et gloria per infinita secula seculorum Amen 384. J’en ai maintenant
fini
avec Koburger, et je passe aux éditions Vénitienn
presule : ac sancti dominici ordi-||nis professore editum : feliciter
finit
. Impensisque et cura non me-||diocri Hermanni lie
esie presule : Ac sancti dominici ordinis professore editum feliciter
finit
. Impensisque non mediocribus ac cura solertissima
Vincentio alme Beluacensis ecclesie presule : .., editum : feliciter
finit
. Impensisque non mediocribus et cura solertissima
sie presule ac sancti dominici ordi-||nis professore editum feliciter
finit
. Impensisque non mediocribus ac cura || solertiss
e Rosne en la maison de maistre Bartholomieu Buyer citoyen de Lyon et
fini
le dernier de Juillet, mil quatre cen LXXIX 391.
colonnes. Les fables qu’il renferme, commencent au fol. 113 verso et
finissent
au fol. 117 recto. Elles sont au nombre de 45. Da
rouge, et se terminent par cette souscription : Esopus explicit etc.
Finis
libelli fabularum Esopi etc. Quatrième colle
ait basée sur la mention suivante qui terminait l’édition de 1481 : «
Finit
Esopus Mutine impressus impensa et ope Domini Rho
09 commence par ces mots : Incipit liber Esopi ; le manuscrit 8509 A
finit
par ceux-ci : Explicit Esopus ; le manuscrit 143
r, commence, sans intervalle et sans titre, au bas de la même page et
finit
au recto du feuillet suivant. Mais j’ignorais ce
Mais j’ignorais ce fait intéressant. Après de longues réflexions, je
finis
par acquérir la conviction qu’en définitive M. En
dont le dernier offre cette souscription : Fabularum liber cum glosa
finit
feliciter (un exemplaire de cette édition existe
cyté ; » 2º par la souscription suivante : Fabularum liber cū glosa
finit
feliciter ; 4º Une édition in-4º de 56 feuillets
qui se terminait par cette souscription : Fabularum liber cum glosa
finit
feliciter. Impressus Rothomagi in domo Laurentii
l’écriture paraît être du xive siècle, commencent au feuillet 63 et
finissent
au feuillet 101. Ce sont seulement les soixante f
s en papier. Les fables commencent en tête du recto du feuillet 73 et
finissent
au bas du verso du feuillet 96 ; chacune d’elles
libri Tobiæ, versibus elegiacis. 7º Ovidii liber de remedio amoris :
finis
desideratur. Is codex decimo quarto sæculo exarat
feuillets. Les fables ésopiques commencent au recto du feuillet 48 et
finissent
au verso du feuillet 68. Les 60 premières seules
t évidemment une addition du copiste : Christus laudetur, Æsopi quia
finis
habetur. Finito libro sit laus et gloria Christo.
fables ésopiques qu’il renferme commencent au recto du feuillet 27 et
finissent
au recto du feuillet 35. Elles sont au nombre de
rchemin ; mais le traité de musique, qui commençait au feuillet 96 et
finissait
au feuillet 112, a disparu. Cette disparition a é
Incipit Esopus. Les fables commencent au recto du feuillet 113 et
finissent
au recto du feuillet 126. Du verso de ce feuillet
e par un épilogue, qui commence au milieu du recto du feuillet 112 et
finit
au milieu du verso du feuillet 113. Je le reprodu
515. » 8º Manuscrit de Marseille. Il ne me reste plus, pour en
finir
avec les manuscrits des bibliothèques françaises,
let 126 b, est couronnée d’abord par cette souscription : Et sic est
finis
excerptorum luminis anime , puis par la formule r
onsiste dans les fables d’Avianus, qui commencent au feuillet 88 a et
finissent
au feuillet 97 a, et le onzième dans celles de Wa
gen, analysé à la page 559. Au haut du recto du feuillet 133 où elles
finissent
, on lit cette souscription : Hic finitur Esopus
e sont accompagnées d’aucun commentaire et se terminent par les mots
Finis
Esopi . C. Manuscrit 609. Le manuscrit 609,
ne comprend que les 60 fables authentiques et se termine par le mot
Finis
. C. Manuscrit Harl. 2745. Le manuscrit Har
étend jusqu’au feuillet 67 b, où la fin en est indiquée par les mots
Finis
Esopi vitae . Alors, au feuillet 68 apparaissent
nière fable on lit cette double souscription : Deo gratias ; Amen. —
Finis
; Amen. 2º Bibliothèque Grenville. La Bi
par le poème d’Eva columba, qui commence au haut du feuillet 137 a et
finit
au milieu du feuillet 141 b. Il a dû appartenir à
renferme les 60 fables de Walther, qui commencent au feuillet 98 a et
finissent
au feuillet 118 b. Le titre qui a été écrit au ba
uscription : Bononie G. Monet. Scripsit 1476 , et plus bas on lit :
Finis
. Au-dessous du mot Finis une autre main a écrit
net. Scripsit 1476 , et plus bas on lit : Finis. Au-dessous du mot
Finis
une autre main a écrit le titre et les deux premi
inis liber, deo gratias. || Nomen non pono, quia laudare non volo. ||
Finis
adest opere : Scriptorem, christe, tuere. || Qui
s moins fines et avec une encre plus noire ont été écrits les mots :
Finis
. laus deo. || τελως. 11º Bibliothèque de Par
per me Vuendellinum de uuilla in artibus Magistrum Romeque impressus
Finit
feliciter Anno salutis Mcccclxxv. Die uero sexta
les de Walther. Intitulée : Esopi fabulae , elle se termine ainsi :
Finit
Esopus Mutine impressus impensa et opera Dominici
n. 1489. Esopus moralizatus cum bono commento. À la fin :
Finit
Esopus fabulator preclarissimus cum suis moralisa
e 42 feuillets. — Esopus moralisatus cum bono commento. À la fin :
Finit
Esopus fabulator preclarissimus cum suis moralisa
re à la page 483, par cette souscription : Fabularum liber cum glosa
finit
feliciter. Au verso du dernier feuillet on lit
la fin : Impressus anno salutis M. cccc. xc in profesto Bartholomei
finit
. Le volume qui est dans le format in-4 des éditi
e parabolis, fabulae Aesopi et Thobias. À la fin : Felix libellorum
finis
quos auctores vulgo appellant corrector. impresso
ssous de laquelle sur le verso du dernier feuillet on lit ces mots :
Finis
. Laus deo. Amen. Puis viennent ces quatre vers :
xxvij. Septembris ad honorem omnipotentis dei nec non Virginis marie.
Finis
. Quoique cette souscription n’en fasse pas menti
deux le plus ordinairement publiées, commencent au feuillet a ii a et
finissent
au feuillet c iiii b. Ce qui donne à l’édition sa
’avant-dernier feuillet est ainsi conçue : Fabularum liber cum glosa
finit
feliciter. Impressus Rothomagi per Johā-||nem mau
rès laquelle au verso du dernier feuillet vient cette souscription :
Finis
. Collibus Vallistrumpie per Iacobum de Fracacinis
mérotés. Les fables de Walther commencent au recto du feuillet 102 et
finissent
au verso du feuillet 113 vers le milieu de la deu
t suivies de cette souscription spéciale : Fabularum liber cum glosa
finit
feliciter. Au recto du dernier feuillet du volu
rages qu’il contient sont terminés par cette souscription générale :
Finis
. — Excudebantur diligentius Lugd. per Matthiam Bo
llet la dernière est suivie de cette souscription : Fabularum Aesopi
finis
. Plus bas, on lit : Finis. || Apud inclytam Gra
de cette souscription : Fabularum Aesopi finis. Plus bas, on lit :
Finis
. || Apud inclytam Grana||tam. Mense februa-||rio.
ulus hoc paruo venditur ere liber. Au-dessous de ces vers est le mot
Finis
, et plus bas vient cet avis final : Impressum Ge
elles avaient été l’objet à la fin du siècle précédent. Elles avaient
fini
par être presque oubliées, et lorsqu’en 1598 Riga
gt-quatre fables, et, comme elle est close par les mots : Et sic est
finis
, il est clair que, si elle est incomplète, c’est
vulgaire commence au feuillet 49, qui portait autrefois le nº 51, et
finit
au feuillet 61. Les titres sont écrits à l’encre
les mots : Per una stagione con grande solecitudine. Voici comment
finit
celle du Loup et du Berger, qui est la dernière :
oncordia di prezzo d’uno muletto trall’ un venditore el comperatore ,
finit
ainsi : E lo buono huomo si ripigliò lo puledro
du feuillet suivant. Puis immédiatement vient une Canzon morale, qui
finit
au haut du recto du feuillet p 7, et qui est immé
m 8 vº) à 99 b (n 3 vº). — Concionetta et Canzon morale suivis du mot
Finis
. Fol. 99 b (n 3 vº) à 100 b (n 4 vº). — Table int
Table intitulée : Tavola de le preditte fabule et close par le mot
Finis
. Panzer a signalé cette édition467. La bibliothèq
ōfera. nel anno del signor̄ || M.cccc.lxxxxvij. adi. xxvii. zugno. ||
Finis
. La Bibliothèque de Carpentras sous la cote E. 1
erato. nel āno del signore. M. || ccccc ii. a di. xxv. de Feuraro. ||
Finis
. La Grenville library sous la cote 7743 et la B
par cette souscription : Clarissimi fabulatoris Esopi vita feliciter
finit
. sequuntur fabule. Fol. 44 (f. iiii). — Le feui
que deux feuillets. Elles commencent au haut du recto du folio 31 et
finissent
au bas du verso du folio 32. Je ne connais pas d’
t rarement irréprochables, et de transcription en transcription elles
finissaient
quelquefois par être assez transformées pour n’êt
i justifient ma thèse. J’en pourrais citer beaucoup d’autres. Pour en
finir
, je ne formule plus qu’une remarque, c’est que, s
ne d’elles, les fables de la version en prose du texte d’Avianus, qui
finissent
à l’antépénultième ligne de la deuxième colonne d
ce qui avait été déjà dit dans la section IV de ce chapitre. J’aurais
fini
, si je ne tenais pas à fixer un dernier point. En
ici la réponse que, le 10 octobre 1882, il m’a faite : « Le manuscrit
finit
avec la fable cxxv, et je ne vois aucune raison d
pie consolator ; Trinitatis mediae Jhesu legislator, Hujus sis operis
finis
, caput et mediator. Malgré cette transformation,