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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
FABLE I. Le Meusnier, son Fils , et l’Asne. A. M. D. M. L’Invention des Arts
ue je réponde.

 J’ay lu dans quelque endroit, qu’un Meusnier et son fils , L’un vieillard, l’autre enfant, non pas des plus

 On luy lia les pieds, on vous le suspendit ;
 Puis cet homme et son fils le portent comme un lustre ;
 Pauvres gens, idiot
Se plaint en son patois. Le Meusnier n’en a cure. Il fait monter son fils , il suit, et d’aventure Passent trois bons Marcha
ne dit : C’est grand’ honte, Qu’il faille voir ainsi clocher ce jeune fils  ;
 Tandis que ce nigaut, comme un Evesque assis,

quolibets coup sur coup renvoyez, L’homme crut avoir tort, et mit son fils en croupe.
 Au bout de trente pas une troisiéme t
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXII. L’Aloüette et ses petits, avec le Maistre d’un champ. » p. 325
et faire sentinelle. Si le possesseur de ces champs Vient avecque son fils (comme il viendra) dit-elle, Ecoutez bien ; selon
üette eut quitté sa famille, Le possesseur du champ vient avecque son fils . Ces bleds sont mûrs, dit-il, allez chez nos amis
et tort qui se repose Sur de tels paresseux à servir ainsi lents. Mon fils , allez chez nos parens Les prier de la mesme chos
Il n’est meilleur ami ni parent que soy-même. Retenez bien cela, mon fils , et sçavez-vous Ce qu’il faut faire ? Il faut qu’
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »
en ; au contraire il le traicta mieux que jamais, et comme son propre fils , luy donnant plusieurs belles instructions, dont
eurs belles instructions, dont les principales furent celle-cy. « Mon fils , ayme Dieu sur toutes choses, et rends à ton Roy
méchants ». Voila quelles furent les instructions d’Esope à Ennus son fils adoptif, qui le toucherent si avant dans l’ame, q
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXV. De la Grenoüille, et du Bœuf. »
un estrange effort, et se roidissoit en tous ses membres : dequoy son fils s’estant apperçeu, « Ma mere », luy dit-il, « qui
roire, et s’enfla derechef plus qu’auparavant : Ce qui fit peur à son fils , qui pour ne la perdre ; « Ma mere », luy cria-t’
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
stost que Parents ! Comment pouvez vous pretendre à sanctifier vostre fils , si vous permettez qu’il se soüille de si bonne h
re interest ne vous touche point, devenés sages pour l’amour de vôtre fils , affin que l’iniquité du Pere ne passe sur les En
me, encore n’estes-vous pas si meschants que de vouloir perdre vostre fils avecque vous ? Dieu l’a creé capable d’une felici
quant de vostre nature. Mais vous me respondrez possible, que vostre fils n’estant pas en âge de discretion, n’est pas en â
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 296 » pp. 363-363
hambry 296 Chambry 296.1 Παῖς καὶ λέων <γεγραμμένος> – Le fils et le lion peint. Υἱόν τις μονογενῆ γέρων δει
γὰρ ἐκφεύξεται. Codd. Ba 135 Bb 82. Un vieillard craintif avait un fils unique plein de courage et passionné pour la chas
il fit aménager un appartement élevé et magnifique, et il y garda son fils . Il avait fait peindre, pour le distraire, des an
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VII. Le Mulet se vantant de sa Genealogie. » p. 315
ntoit mainte proüesse : Elle avoit fait cecy, puis avoit esté là. Son fils prétendoit, pour cela, Qu’on le dust mettre dans
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
rest d’aller où la mort l’appelloit, Mes chers enfans, dit-il, (à ses fils il parloit) Voyez si vous romprez ces dards liez
 ; Que j’obtienne de vous cette grace en mourant. Chacun de ses trois fils l’en asseure en pleurant. Il prend à tous les mai
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
s forte raison se trouveront-elles en la remonstrance d’un Pere à son fils . Car comme l’intention de la Nature est, que le s
son semblable ; aussi a-t’elle imprimé certains desirs d’imitation du fils envers le Pere, qui le rend docile, et susceptibl
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — IX. Le Laboureur et ses enfans. » p. 42
laissez nulle place Où la main ne passe et repasse. Le pere mort, les fils vous retournent le champ Deçà, delà, par tout ; s
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
é de de bien-faits, comme Andronis, Empereur de Constantinople, et le fils aisné de Bajazet. Je voy des freres qui font inhu
qu’Esope estant dans Babylone, à la Cour du Roy Lycerus, adopta pour fils un jeune homme, qui luy sembla le plus aymable, e
lé de l’ingratitude, ne pût s’empescher d’estre deçeu au choix de son fils adoptif, et que ce Perfide, qu’il avoit comme enc
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVII. De l’Asne malade, et des Loups. »
t. Alors les Loups et les Chiens l’estans allé visiter, et voyant son fils à travers la fente de la porte ; « Comment se por
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
Voicy la Fable toute nuë. La Renommée ayant dit en cent lieux, Qu’un fils de Jupiter, un certain Alexandre, Ne voulant rien
et les sommiers confus, Sans oser repliquer en chemin se remirent. Au fils de Jupiter on dit qu’ils se plaignirent, Et n’en
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 295 » p. 162
κτεῖναι αὐτόν. Cod. Pa 159. Une femme interrogea les devins sur son fils en bas âge. Ils prédirent qu’il serait tué par un
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — VIII. Le Cheval et le Loup. » p. 187
edecine. J’ay, dit la Beste chevaline, Une apostume sous le pied. Mon fils , dit le Docteur, il n’est point de partie Suscept
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — V. Le Cochet, le Chat et le Souriceau. » p. 716
; quand d’un son plein d’éclat L’autre m’a fait prendre la fuite. Mon fils , dit la Souris, ce doucet est un Chat, Qui sous s
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
dans la basse court, et vid un peu apres entrer le corps mort de son fils , qu’on apportoit en la chambre. Elle eust toutesf
ois tant de vertu, qu’elle garda la parole au meurtrier de son propre fils , quoy qu’elle fust accablée d’une secrette et dem
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIII. De deux pots flottans sur l’eau. »
ur l’autre, comme celle du Souverain envers son Favory, du pere et du fils , du Seigneur et du sujet ; il faudra neantmoins q
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIV. Simonide préservé par les Dieux. » p. 522
aire
 Que meritoient les vers d’un homme aimé des Dieux.
 Il n’estoit fils de bonne mere
 Qui les payant à qui mieux mieux,

20 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
st il conta l’affaire. Mercy de moy, luy dit la Mere, Tu mangeras mon fils  ? L’ay-je fait à dessein Qu’il assouvisse un jour
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — FABLE I. Le Buscheron et Mercure. » p. 173
ur se le faire rendre. Le Roi des Dieux ne sçait auquel entendre. Son fils Mercure aux criards vient encor, A chacun d’eux i
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
; et le presentant au Roy, le luy recommanda, comme s’il eut esté son fils legitime. Mais un peu apres il arriva qu’Ennus eu
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIII. Du Cerf, et du Cheval. »
lespont, à la solicitation d’Andronic, afin de le secourir contre son fils , ont si bien fait par leurs ruses, et par leur ad
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
de l’Empire Grec, sans la division d’Andronic Paleologue avecque son fils  ; et jamais la Maison d’Austriche ne se fust rend
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
qu’il n’en avoit donné auparavant, jusques à faire égorger son propre fils Antipater, et à commander serieusement, qu’à son
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 81 » pp. 51-51
τοῦ ἀποκτείνας> – Le laboureur et le serpent qui lui avait tué son fils . Γεωργοῦ παῖδα ὄφις ἑρπύσας ἀπέκτεινεν. Ὁ δὲ
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
son crime par ces paroles. « Amy, pourquoy t’en es-tu venu trahir le Fils de l’Homme avec un baiser ? » Or ce ne sont pas s
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
ls prirent pié dans l’Europe par les divisions d’Andronic avecque son Fils , et n’envahirent toute la Grece, la Sclavonie, la
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
l’honneur d’une Femme, d’une Maistresse, d’un Pere, d’une Sœur, d’un Fils , et pour le sien propre. Ainsi en ce nouvel estab
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
n, lors qu’il suborna des Prestres Afriquains, pour se faire declarer fils de Jupiter Ammon, par les responses d’un faux Ora
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
er quelques autres, propres seulement à ce sujet. Premierement, qu’un fils peu caressé de son pere, s’évertuë à devenir homm
32 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
inexact. En effet, Diodore de Sicile rapporte qu’Osiris confia à son fils Macédon le gouvernement du pays, qui, à raison de
e trahirais l’honneur, Quand la Thrace parmi ses poètes accuse Linus, fils d’Apollon, et ce fils d’une Muse, Qui charma les
Quand la Thrace parmi ses poètes accuse Linus, fils d’Apollon, et ce fils d’une Muse, Qui charma les rochers et les bêtes d
rti catholique, qui était le plus fort, repoussa du barreau troyen le fils de celui qui en avait été l’oracle. Après être re
tte précieuse collection. « René de Gravisette mourut en 1614, et son fils Jacques, homme lettré, vint se fixer à Berne, et
de ses terres seigneuriales qu’il laissa à Pierre Pithou, son neveu, fils d’un troisième frère. Celui-ci, également neveu d
hèdre, indique qu’il est dans les mains de M. Le Peletier de Rosanbo, fils de l’infortuné président du Parlement de Paris89,
nom de Petaviensis codex. Il mourut le 17 septembre 1614, laissant un fils , Alexandre Petau, qui hérita de ses fonctions au
ement et de son goût pour les antiquités. Sa bibliothèque passa à son fils Alexandre Petau, et après le décès de ce dernier
Vossius117. Il ne s’aperçoit pas qu’il confond ainsi le père avec le fils . En effet, l’illustre savant n’existait déjà plus
, l’illustre savant n’existait déjà plus. En 1649, Isaac Vossius, son fils , était devenu bibliothécaire de la reine et avait
de Pithou existait dans la bibliothèque de M. Le Peletier de Rosanbo, fils de l’ancien président du parlement de Paris, et b
ur qui se vante, engager un père à dompter la fougueuse nature de son fils , réprimer la jactance d’un athlète victorieux, se
le meurtre involontaire commis au temps d’Auguste par un père sur son fils , et la ridicule erreur du joueur de flûte Leprinc
illons, par un Père de la compagnie de Jésus. Paris et Lyon, Pelagaud fils et Roblot. In-18 de x-117 p. Phædri Augusti libe
tum, quibus accesserunt selectæ. P. Desbillons fabulæ. Tours, Mame et fils (1884, 1886). In-16 de 93 p. 1879. Phædr
n nouvelle par A. Lebobe, ancien professeur. Paris, Jules Delalain et fils . In-12 de 148 pages. 1878.     Les auteur
ross. Malheureusement il n’avait été tiré qu’à 50 exemplaires, et ses fils , libraires à Paris, n’en avaient conservé aucun.
Montagne en mal d’enfant. iv a, 23. IV, 15. Le Père et le mauvais Fils . App., 12. IV, 16. (Voir IV, 6.) V, 1. Le Ch
et xiiie  siècles, on supposa qu’il avait adressé ses apologues à son fils qu’en souvenance du Tibre, pour indiquer son orig
l’époque de sa vie. Sur la nationalité de Romulus, sa dédicace à son fils avait été pour les savants le principal élément d
nvoyant, de cette ville où il se trouvait encore, sa traduction à son fils Tiberinus. Et maintenant, pour en revenir à la na
quatrième feuillet se trouvait notamment la dédicace de Romulus à son fils . Nilant, en homme judicieux, n’avait pas cru devo
st supposé ; car la fréquence de ce nom et de celui de Tiberinus, son fils , ne donnent pas lieu de supposer que ce soient de
I, 12. Le Taureau et le Veau. v, 4. III, 13. Le Père et le mauvais Fils . App. 12. III, 14. La Vipère et la Lime. iv a,
me. 15. Le Taureau et le Veau. v, 4. 16. Le Père et le mauvais Fils . App. 12. 17. L’Estomac et les Membres. 18.
e), qui, cherchant à en employer les préceptes à l’instruction de son fils ou à se donner de la réputation à l’aide du trava
urtisane et le Jeune homme. App. 29. III, 11. Le Père et le mauvais Fils . App. 12. III, 12. La Vipère et la Lime. iv a,
ammersmith, puis une seconde à Greenwich, laisse cette dernière à son fils et meurt en 1817. Ces diverses phases de sa.vie
e-même d’Ésope avec ses fables que Romulus a envoyées d’Athènes à son fils Tiberinus, mises du grec en latin, — en outre que
ombre de 80, non comprise celle qui orne la dédicace de Romulus à son fils . Fol. 38b (e.vib). Fin du livre I. Fol. 39ª (e.vi
gravure sur bois qui elle-même surmonte la dédicace de Romulus à son fils . Cette dédicace commence ainsi : Romulus Tyberin
non seulement dans la première phrase de la dédicace de Romulus à son fils Tiberinus la ponctuation si discutée est identiqu
ns doute par celle de Romulus, vient une dédicace qu’il adresse à son fils Onophrius et qui est intitulée : Sebastianus Bra
e même d’Ésope avec ses fables que Romulus a envoyées d’Athènes à son fils Tiberinus, traduites du grec en latin ; de plus q
dique ensuite que Brant a écrit son ouvrage pour l’instruction de son fils Onophrius. Les fables de Brant suivent cette préf
x autres personnages. Plus bas se trouve la dédicace de Romulus à son fils précédée de ce titre : Aqui comiença el prefacio
homme clairvoyant, a intentionnellement laissé de côté Romulus et son fils Tiberinus qu’il a sans doute considérés avec rais
c. 6. 33. Le Loup et l’Âne liés ensemble. 7. 34. Le Paysan, son Fils et le Serpent. 8. 35. Le Loup à qui le Renard
Chien et le Porc. 39. Le Lion confesseur. 40. Le Rat, son Fils , le Coq et le Chat. 41. Le Coq et son Maîtr
ées à un certain Romulus qui les a traduites du grec à l’usage de son fils Tiburtinus. Ce Romulus ne serait pas le premier r
omme le traducteur latin des fables d’Ésope ; mais ce n’est pas à son fils , c’est à son père nommé Tibernius qu’il les adres
celles d’Ésope faite par l’empereur Romulus pour l’instruction de son fils Tyberius (sic). Mais le commentaire ne s’arrête p
eulement pour l’instruction de Tiberius, c’est pour celle de tous ses fils qu’il a fait faire cette traduction. Les fables d
au nombre de ces poètes, compter le fameux Romulus, qui adressa à son fils Tybertinus un livre, dont les fables imitées des
La Courtisane et le Jeune Homme. III, 10. 50. Le Père et le Mauvais Fils . III, 11. 51. La Vipère et la Lime. III, 12.
a Femme. 2. La Courtisane et le Jeune Homme. 3. Le Père et le mauvais Fils . 4. Le Citoyen et le Soldat. Enfin une différenc
cette dernière ces deux premiers vers : Jupiter en terre enuoya Son fils et si lui octroya… Les fables d’Avianus sont pré
ourtisane et le Jeune Homme. 45. 48. 48. 50. Le Père et le Mauvais Fils . 46. 49. 49. 51. La Vipère et la Lime. 48. 47.
s duquel ou lit cette glose inspirée par la dédicace de Romulus à son fils . « Romula (sic) filius Tibernio (sic). De civita
(plus tard Jean le Bon, prisonnier à la bataille de Poitiers) est le fils aîné, qui, en 1332, épousa Bonne, fille de Jean d
Walther. Les distiques de Denys Caton, précédés de la dédicace à son fils , commencent au feuillet i a et sont terminés au b
trouve une seconde, dans laquelle le copiste se donne le nom de Jean fils et déclare avoir achevé sa copie le 29 juillet 14
II, 12. Le Taureau et le Veau. 65. III, 13. Le Père et le Mauvais Fils . 48. 47. 48. III, 14. La Vipère et la Lime. 49.
ssement, elles sont de même précédées de la dédicace de Romulus à son fils appelé Tyberius et non plus Tiberinus, mais final
urtisane et le jeune Homme. III, 10. III, 11. Le Père et le Mauvais fils . III, 11. III, 12. La Vipère et la Lime. III, 1
lé Appendice et le fonds Stowe. Après la mort de lord Ashburnham, son fils , désirant aliéner tous ses manuscrits, les propos
publiées 45 autres fables, précédées de la dédicace de Romulus à son fils Tiberinus492, et plus loin, j’ai ajouté qu’en têt
ble présenter qu’un faible intérêt. Qu’importe en effet qu’il soit le fils ou le petit-fils du Romulus primitif ! Ce qui à m
pièce. Elles sont précédées de la dédicace amplifiée de Romulus à son fils et suivies de l’épilogue à Rufus. Elles ne porten
ncore apparente qu’il y avait inscrite. Il paraît qu’après la mort du fils de ce savant antiquaire Isaac Vossius ne s’était
u grec en latin, que Romulus qui fut empereur envoya le recueil à son fils , que le roi Alfred (Henri dans deux manuscrits) l
ard. 107. L’Homme qui navigue sur mer. 108. Le Vieillard et son Fils . 109. Le Chat mitré. 110. La Femme et sa Po
, 18. 112. Les Arbres qui se donnent un Roi. 113. Le Lion et ses Fils . 114. Les Oiseaux qui élisent un Roi. S
fort514, l’abbé de la Rue prétendit que Marie avait voulu parler d’un fils naturel de Henri II515. Puis survint M. Robert qu
décédée sans enfans ; il n’a donc jamais eu le titre de comte, et son fils Guy de Dampierre ne le prit qu’à la mort de sa mè
ts nous indique facilement que ce prince était Guillaume Longue-Épée, fils naturel du roi Henri II et de la belle Rosemonde,
ard. 130. L’Homme qui navigue sur mer. 131. Le Vieillard et son fils . 132. Le Chat mitré. 133. La Femme et sa Po
, 18. 135. Les Arbres qui se donnent un Roi. 136. Le Lion et ses Fils . Un des six manuscrits qui renferment ces fabl
tête du Dérivé de 136 fables, y remplace la dédicace de Romulus à son fils . On y lit ces phrases : Liber igitur iste primo g
t l’Âne. 59. 97. 10. Le Renard et le Loup. 60. 98. 11. Le Mauvais Fils . 82. 99. 12. Le Marchand et l’Âne. 63. 100. 1
écrit beaucoup de livres artistiques, || pour servir d’exemple à son fils ,  || lesquels sont encore inconnus de bien des ge
26. 12. L’Homme qui navigue sur mer. 130. 13. Le Vieillard et son Fils . 131. Mais il est certain que la supposition d
Bruxelles, etc. 2e édition. Paris, librairie de Firmin-Didot frères, fils et Cie, 8 vol. in-8º. — À la page 146 du tome IV,
(afterwards Jean le Bon, prisoner at the battle of Poitiers) is this Fils aîné, who in 1332 married Bonne, the daughter of
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
Car il n’est pas incompatible que le Pere ayant acquis des biens, le Fils n’en acquiere aussi. S’il a esté facile à l’un d’
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
sortir d’un grand peril, il le fait tous-jours accompagner luy et son fils Telemaque, de la Déesse Minerve, qui preside à la
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