FABLE I. Le Meusnier, son
Fils
, et l’Asne. A. M. D. M. L’Invention des Arts
ue je réponde.
J’ay lu dans quelque endroit, qu’un Meusnier et son
fils
, L’un vieillard, l’autre enfant, non pas des plus
On luy lia les pieds, on vous le suspendit ;
Puis cet homme et son
fils
le portent comme un lustre ;
Pauvres gens, idiot
Se plaint en son patois. Le Meusnier n’en a cure. Il fait monter son
fils
, il suit, et d’aventure Passent trois bons Marcha
ne dit : C’est grand’ honte, Qu’il faille voir ainsi clocher ce jeune
fils
;
Tandis que ce nigaut, comme un Evesque assis,
quolibets coup sur coup renvoyez, L’homme crut avoir tort, et mit son
fils
en croupe.
Au bout de trente pas une troisiéme t
et faire sentinelle. Si le possesseur de ces champs Vient avecque son
fils
(comme il viendra) dit-elle, Ecoutez bien ; selon
üette eut quitté sa famille, Le possesseur du champ vient avecque son
fils
. Ces bleds sont mûrs, dit-il, allez chez nos amis
et tort qui se repose Sur de tels paresseux à servir ainsi lents. Mon
fils
, allez chez nos parens Les prier de la mesme chos
Il n’est meilleur ami ni parent que soy-même. Retenez bien cela, mon
fils
, et sçavez-vous Ce qu’il faut faire ? Il faut qu’
en ; au contraire il le traicta mieux que jamais, et comme son propre
fils
, luy donnant plusieurs belles instructions, dont
eurs belles instructions, dont les principales furent celle-cy. « Mon
fils
, ayme Dieu sur toutes choses, et rends à ton Roy
méchants ». Voila quelles furent les instructions d’Esope à Ennus son
fils
adoptif, qui le toucherent si avant dans l’ame, q
un estrange effort, et se roidissoit en tous ses membres : dequoy son
fils
s’estant apperçeu, « Ma mere », luy dit-il, « qui
roire, et s’enfla derechef plus qu’auparavant : Ce qui fit peur à son
fils
, qui pour ne la perdre ; « Ma mere », luy cria-t’
stost que Parents ! Comment pouvez vous pretendre à sanctifier vostre
fils
, si vous permettez qu’il se soüille de si bonne h
re interest ne vous touche point, devenés sages pour l’amour de vôtre
fils
, affin que l’iniquité du Pere ne passe sur les En
me, encore n’estes-vous pas si meschants que de vouloir perdre vostre
fils
avecque vous ? Dieu l’a creé capable d’une felici
quant de vostre nature. Mais vous me respondrez possible, que vostre
fils
n’estant pas en âge de discretion, n’est pas en â
hambry 296 Chambry 296.1 Παῖς καὶ λέων <γεγραμμένος> – Le
fils
et le lion peint. Υἱόν τις μονογενῆ γέρων δει
γὰρ ἐκφεύξεται. Codd. Ba 135 Bb 82. Un vieillard craintif avait un
fils
unique plein de courage et passionné pour la chas
il fit aménager un appartement élevé et magnifique, et il y garda son
fils
. Il avait fait peindre, pour le distraire, des an
ntoit mainte proüesse : Elle avoit fait cecy, puis avoit esté là. Son
fils
prétendoit, pour cela, Qu’on le dust mettre dans
rest d’aller où la mort l’appelloit, Mes chers enfans, dit-il, (à ses
fils
il parloit) Voyez si vous romprez ces dards liez
; Que j’obtienne de vous cette grace en mourant. Chacun de ses trois
fils
l’en asseure en pleurant. Il prend à tous les mai
s forte raison se trouveront-elles en la remonstrance d’un Pere à son
fils
. Car comme l’intention de la Nature est, que le s
son semblable ; aussi a-t’elle imprimé certains desirs d’imitation du
fils
envers le Pere, qui le rend docile, et susceptibl
laissez nulle place Où la main ne passe et repasse. Le pere mort, les
fils
vous retournent le champ Deçà, delà, par tout ; s
é de de bien-faits, comme Andronis, Empereur de Constantinople, et le
fils
aisné de Bajazet. Je voy des freres qui font inhu
qu’Esope estant dans Babylone, à la Cour du Roy Lycerus, adopta pour
fils
un jeune homme, qui luy sembla le plus aymable, e
lé de l’ingratitude, ne pût s’empescher d’estre deçeu au choix de son
fils
adoptif, et que ce Perfide, qu’il avoit comme enc
t. Alors les Loups et les Chiens l’estans allé visiter, et voyant son
fils
à travers la fente de la porte ; « Comment se por
Voicy la Fable toute nuë. La Renommée ayant dit en cent lieux, Qu’un
fils
de Jupiter, un certain Alexandre, Ne voulant rien
et les sommiers confus, Sans oser repliquer en chemin se remirent. Au
fils
de Jupiter on dit qu’ils se plaignirent, Et n’en
κτεῖναι αὐτόν. Cod. Pa 159. Une femme interrogea les devins sur son
fils
en bas âge. Ils prédirent qu’il serait tué par un
edecine. J’ay, dit la Beste chevaline, Une apostume sous le pied. Mon
fils
, dit le Docteur, il n’est point de partie Suscept
; quand d’un son plein d’éclat L’autre m’a fait prendre la fuite. Mon
fils
, dit la Souris, ce doucet est un Chat, Qui sous s
dans la basse court, et vid un peu apres entrer le corps mort de son
fils
, qu’on apportoit en la chambre. Elle eust toutesf
ois tant de vertu, qu’elle garda la parole au meurtrier de son propre
fils
, quoy qu’elle fust accablée d’une secrette et dem
ur l’autre, comme celle du Souverain envers son Favory, du pere et du
fils
, du Seigneur et du sujet ; il faudra neantmoins q
aire
Que meritoient les vers d’un homme aimé des Dieux.
Il n’estoit
fils
de bonne mere
Qui les payant à qui mieux mieux,
st il conta l’affaire. Mercy de moy, luy dit la Mere, Tu mangeras mon
fils
? L’ay-je fait à dessein Qu’il assouvisse un jour
ur se le faire rendre. Le Roi des Dieux ne sçait auquel entendre. Son
fils
Mercure aux criards vient encor, A chacun d’eux i
; et le presentant au Roy, le luy recommanda, comme s’il eut esté son
fils
legitime. Mais un peu apres il arriva qu’Ennus eu
lespont, à la solicitation d’Andronic, afin de le secourir contre son
fils
, ont si bien fait par leurs ruses, et par leur ad
de l’Empire Grec, sans la division d’Andronic Paleologue avecque son
fils
; et jamais la Maison d’Austriche ne se fust rend
qu’il n’en avoit donné auparavant, jusques à faire égorger son propre
fils
Antipater, et à commander serieusement, qu’à son
τοῦ ἀποκτείνας> – Le laboureur et le serpent qui lui avait tué son
fils
. Γεωργοῦ παῖδα ὄφις ἑρπύσας ἀπέκτεινεν. Ὁ δὲ
son crime par ces paroles. « Amy, pourquoy t’en es-tu venu trahir le
Fils
de l’Homme avec un baiser ? » Or ce ne sont pas s
ls prirent pié dans l’Europe par les divisions d’Andronic avecque son
Fils
, et n’envahirent toute la Grece, la Sclavonie, la
l’honneur d’une Femme, d’une Maistresse, d’un Pere, d’une Sœur, d’un
Fils
, et pour le sien propre. Ainsi en ce nouvel estab
n, lors qu’il suborna des Prestres Afriquains, pour se faire declarer
fils
de Jupiter Ammon, par les responses d’un faux Ora
er quelques autres, propres seulement à ce sujet. Premierement, qu’un
fils
peu caressé de son pere, s’évertuë à devenir homm
inexact. En effet, Diodore de Sicile rapporte qu’Osiris confia à son
fils
Macédon le gouvernement du pays, qui, à raison de
e trahirais l’honneur, Quand la Thrace parmi ses poètes accuse Linus,
fils
d’Apollon, et ce fils d’une Muse, Qui charma les
Quand la Thrace parmi ses poètes accuse Linus, fils d’Apollon, et ce
fils
d’une Muse, Qui charma les rochers et les bêtes d
rti catholique, qui était le plus fort, repoussa du barreau troyen le
fils
de celui qui en avait été l’oracle. Après être re
tte précieuse collection. « René de Gravisette mourut en 1614, et son
fils
Jacques, homme lettré, vint se fixer à Berne, et
de ses terres seigneuriales qu’il laissa à Pierre Pithou, son neveu,
fils
d’un troisième frère. Celui-ci, également neveu d
hèdre, indique qu’il est dans les mains de M. Le Peletier de Rosanbo,
fils
de l’infortuné président du Parlement de Paris89,
nom de Petaviensis codex. Il mourut le 17 septembre 1614, laissant un
fils
, Alexandre Petau, qui hérita de ses fonctions au
ement et de son goût pour les antiquités. Sa bibliothèque passa à son
fils
Alexandre Petau, et après le décès de ce dernier
Vossius117. Il ne s’aperçoit pas qu’il confond ainsi le père avec le
fils
. En effet, l’illustre savant n’existait déjà plus
, l’illustre savant n’existait déjà plus. En 1649, Isaac Vossius, son
fils
, était devenu bibliothécaire de la reine et avait
de Pithou existait dans la bibliothèque de M. Le Peletier de Rosanbo,
fils
de l’ancien président du parlement de Paris, et b
ur qui se vante, engager un père à dompter la fougueuse nature de son
fils
, réprimer la jactance d’un athlète victorieux, se
le meurtre involontaire commis au temps d’Auguste par un père sur son
fils
, et la ridicule erreur du joueur de flûte Leprinc
illons, par un Père de la compagnie de Jésus. Paris et Lyon, Pelagaud
fils
et Roblot. In-18 de x-117 p. Phædri Augusti libe
tum, quibus accesserunt selectæ. P. Desbillons fabulæ. Tours, Mame et
fils
(1884, 1886). In-16 de 93 p. 1879. Phædr
n nouvelle par A. Lebobe, ancien professeur. Paris, Jules Delalain et
fils
. In-12 de 148 pages. 1878. Les auteur
ross. Malheureusement il n’avait été tiré qu’à 50 exemplaires, et ses
fils
, libraires à Paris, n’en avaient conservé aucun.
Montagne en mal d’enfant. iv a, 23. IV, 15. Le Père et le mauvais
Fils
. App., 12. IV, 16. (Voir IV, 6.) V, 1. Le Ch
et xiiie siècles, on supposa qu’il avait adressé ses apologues à son
fils
qu’en souvenance du Tibre, pour indiquer son orig
l’époque de sa vie. Sur la nationalité de Romulus, sa dédicace à son
fils
avait été pour les savants le principal élément d
nvoyant, de cette ville où il se trouvait encore, sa traduction à son
fils
Tiberinus. Et maintenant, pour en revenir à la na
quatrième feuillet se trouvait notamment la dédicace de Romulus à son
fils
. Nilant, en homme judicieux, n’avait pas cru devo
st supposé ; car la fréquence de ce nom et de celui de Tiberinus, son
fils
, ne donnent pas lieu de supposer que ce soient de
I, 12. Le Taureau et le Veau. v, 4. III, 13. Le Père et le mauvais
Fils
. App. 12. III, 14. La Vipère et la Lime. iv a,
me. 15. Le Taureau et le Veau. v, 4. 16. Le Père et le mauvais
Fils
. App. 12. 17. L’Estomac et les Membres. 18.
e), qui, cherchant à en employer les préceptes à l’instruction de son
fils
ou à se donner de la réputation à l’aide du trava
urtisane et le Jeune homme. App. 29. III, 11. Le Père et le mauvais
Fils
. App. 12. III, 12. La Vipère et la Lime. iv a,
ammersmith, puis une seconde à Greenwich, laisse cette dernière à son
fils
et meurt en 1817. Ces diverses phases de sa.vie
e-même d’Ésope avec ses fables que Romulus a envoyées d’Athènes à son
fils
Tiberinus, mises du grec en latin, — en outre que
ombre de 80, non comprise celle qui orne la dédicace de Romulus à son
fils
. Fol. 38b (e.vib). Fin du livre I. Fol. 39ª (e.vi
gravure sur bois qui elle-même surmonte la dédicace de Romulus à son
fils
. Cette dédicace commence ainsi : Romulus Tyberin
non seulement dans la première phrase de la dédicace de Romulus à son
fils
Tiberinus la ponctuation si discutée est identiqu
ns doute par celle de Romulus, vient une dédicace qu’il adresse à son
fils
Onophrius et qui est intitulée : Sebastianus Bra
e même d’Ésope avec ses fables que Romulus a envoyées d’Athènes à son
fils
Tiberinus, traduites du grec en latin ; de plus q
dique ensuite que Brant a écrit son ouvrage pour l’instruction de son
fils
Onophrius. Les fables de Brant suivent cette préf
x autres personnages. Plus bas se trouve la dédicace de Romulus à son
fils
précédée de ce titre : Aqui comiença el prefacio
homme clairvoyant, a intentionnellement laissé de côté Romulus et son
fils
Tiberinus qu’il a sans doute considérés avec rais
c. 6. 33. Le Loup et l’Âne liés ensemble. 7. 34. Le Paysan, son
Fils
et le Serpent. 8. 35. Le Loup à qui le Renard
Chien et le Porc. 39. Le Lion confesseur. 40. Le Rat, son
Fils
, le Coq et le Chat. 41. Le Coq et son Maîtr
ées à un certain Romulus qui les a traduites du grec à l’usage de son
fils
Tiburtinus. Ce Romulus ne serait pas le premier r
omme le traducteur latin des fables d’Ésope ; mais ce n’est pas à son
fils
, c’est à son père nommé Tibernius qu’il les adres
celles d’Ésope faite par l’empereur Romulus pour l’instruction de son
fils
Tyberius (sic). Mais le commentaire ne s’arrête p
eulement pour l’instruction de Tiberius, c’est pour celle de tous ses
fils
qu’il a fait faire cette traduction. Les fables d
au nombre de ces poètes, compter le fameux Romulus, qui adressa à son
fils
Tybertinus un livre, dont les fables imitées des
La Courtisane et le Jeune Homme. III, 10. 50. Le Père et le Mauvais
Fils
. III, 11. 51. La Vipère et la Lime. III, 12.
a Femme. 2. La Courtisane et le Jeune Homme. 3. Le Père et le mauvais
Fils
. 4. Le Citoyen et le Soldat. Enfin une différenc
cette dernière ces deux premiers vers : Jupiter en terre enuoya Son
fils
et si lui octroya… Les fables d’Avianus sont pré
ourtisane et le Jeune Homme. 45. 48. 48. 50. Le Père et le Mauvais
Fils
. 46. 49. 49. 51. La Vipère et la Lime. 48. 47.
s duquel ou lit cette glose inspirée par la dédicace de Romulus à son
fils
. « Romula (sic) filius Tibernio (sic). De civita
(plus tard Jean le Bon, prisonnier à la bataille de Poitiers) est le
fils
aîné, qui, en 1332, épousa Bonne, fille de Jean d
Walther. Les distiques de Denys Caton, précédés de la dédicace à son
fils
, commencent au feuillet i a et sont terminés au b
trouve une seconde, dans laquelle le copiste se donne le nom de Jean
fils
et déclare avoir achevé sa copie le 29 juillet 14
II, 12. Le Taureau et le Veau. 65. III, 13. Le Père et le Mauvais
Fils
. 48. 47. 48. III, 14. La Vipère et la Lime. 49.
ssement, elles sont de même précédées de la dédicace de Romulus à son
fils
appelé Tyberius et non plus Tiberinus, mais final
urtisane et le jeune Homme. III, 10. III, 11. Le Père et le Mauvais
fils
. III, 11. III, 12. La Vipère et la Lime. III, 1
lé Appendice et le fonds Stowe. Après la mort de lord Ashburnham, son
fils
, désirant aliéner tous ses manuscrits, les propos
publiées 45 autres fables, précédées de la dédicace de Romulus à son
fils
Tiberinus492, et plus loin, j’ai ajouté qu’en têt
ble présenter qu’un faible intérêt. Qu’importe en effet qu’il soit le
fils
ou le petit-fils du Romulus primitif ! Ce qui à m
pièce. Elles sont précédées de la dédicace amplifiée de Romulus à son
fils
et suivies de l’épilogue à Rufus. Elles ne porten
ncore apparente qu’il y avait inscrite. Il paraît qu’après la mort du
fils
de ce savant antiquaire Isaac Vossius ne s’était
u grec en latin, que Romulus qui fut empereur envoya le recueil à son
fils
, que le roi Alfred (Henri dans deux manuscrits) l
ard. 107. L’Homme qui navigue sur mer. 108. Le Vieillard et son
Fils
. 109. Le Chat mitré. 110. La Femme et sa Po
, 18. 112. Les Arbres qui se donnent un Roi. 113. Le Lion et ses
Fils
. 114. Les Oiseaux qui élisent un Roi. S
fort514, l’abbé de la Rue prétendit que Marie avait voulu parler d’un
fils
naturel de Henri II515. Puis survint M. Robert qu
décédée sans enfans ; il n’a donc jamais eu le titre de comte, et son
fils
Guy de Dampierre ne le prit qu’à la mort de sa mè
ts nous indique facilement que ce prince était Guillaume Longue-Épée,
fils
naturel du roi Henri II et de la belle Rosemonde,
ard. 130. L’Homme qui navigue sur mer. 131. Le Vieillard et son
fils
. 132. Le Chat mitré. 133. La Femme et sa Po
, 18. 135. Les Arbres qui se donnent un Roi. 136. Le Lion et ses
Fils
. Un des six manuscrits qui renferment ces fabl
tête du Dérivé de 136 fables, y remplace la dédicace de Romulus à son
fils
. On y lit ces phrases : Liber igitur iste primo g
t l’Âne. 59. 97. 10. Le Renard et le Loup. 60. 98. 11. Le Mauvais
Fils
. 82. 99. 12. Le Marchand et l’Âne. 63. 100. 1
écrit beaucoup de livres artistiques, || pour servir d’exemple à son
fils
, || lesquels sont encore inconnus de bien des ge
26. 12. L’Homme qui navigue sur mer. 130. 13. Le Vieillard et son
Fils
. 131. Mais il est certain que la supposition d
Bruxelles, etc. 2e édition. Paris, librairie de Firmin-Didot frères,
fils
et Cie, 8 vol. in-8º. — À la page 146 du tome IV,
(afterwards Jean le Bon, prisoner at the battle of Poitiers) is this
Fils
aîné, who in 1332 married Bonne, the daughter of
Car il n’est pas incompatible que le Pere ayant acquis des biens, le
Fils
n’en acquiere aussi. S’il a esté facile à l’un d’
sortir d’un grand peril, il le fait tous-jours accompagner luy et son
fils
Telemaque, de la Déesse Minerve, qui preside à la
▲