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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LX. De la Puce, et de l’Homme. »
iblesse, quand ils se veulent guarantir de la juste punition de leurs fautes . Car pour ne meriter point de pardon, c’est assez
t inopiné. Toute la raison que je puis alleguer de cela, c’est que la faute consistant en la seule volonté, il semble qu’elle
t en cela d’autant plus mauvaise, qu’elle est accompagnée d’une autre faute  ; à sçavoir, de la temerité. L’on peut adjouster
erement despourveus d’appuy, pour éviter le juste chastiment de leurs fautes  ; Et c’est pour cela qu’ils sont plus à blâmer qu
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
e. Car les hommes peuvent déchoir de leur fortune, ou par leur propre faute , ou par l’envie, et la malignité d’autruy, ou par
veaux Eslevez. Premierement, ils y peuvent contribuër par leur propre faute , veu le peu d’experience qu’ils ont de la grandeu
iennent à une haute fortune, sont fort sujettes à tomber, ou par leur faute , ou par les embusches de leurs Envieux. Quant à l
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — X. La Montagne qui accouche. » p. 520
haute, Que chacun au bruit accourant, Crut qu’elle accoucheroit, sans faute , D’une Cité plus grosse que Paris : Elle accoucha
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
able, en eslisant leur Ennemy pour leur Roy ; c’est, à mon advis, une faute insupportable, et digne de toute reprehension. Ce
la Maison d’Austriche, et les Turcs à la famille des Othomans. Ceste faute neantmoins, en matiere d’eslection, n’a pas laiss
e et à l’ambition. Que si Esope rend icy les Colombes capables de ces fautes , ce n’est pas que les animaux le soient veritable
s de la parole et du discours, mais il represente en leur personne la faute des hommes, et nous départ ainsi ses enseignement
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XV. Le Cerf et la Vigne. » p. 77
sauvé du trépas ; Les Veneurs pour ce coup croyoient leurs chiens en faute . Ils les rappellent donc. Le Cerf hors de danger
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XI. La Fortune et le jeune Enfant. » p. 174
fussiez tombé, l’on s’en fust pris à moy : Cependant c’estoit vostre faute . Je vous demande en bonne foy Si cette imprudence
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 127 » pp. 313-313
105. Zeus a décidé jadis qu’Hermès inscrirait sur des coquilles les fautes des hommes et déposerait ces coquilles près de lu
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 48 » p. 306
e les dieux, quand il arrive un malheur ; examinez plutôt vos propres fautes .
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVII. Du Milan malade. »
soing de nous en rendre dignes : Car c’est en abuser que de faire des fautes pour la requerir.  
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVII. Du Renard, et du Loup. »
nt qu’il est possible à la diligence humaine. Mais je tomberois en la faute que je reprens en autruy, si par des paroles supe
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVI. La Femme noyée. » p. 682
,
 Le défaut du sexe et sa pente,
 Quiconque avec elle naistra,
 Sans faute avec elle mourra,
 Et jusqu’au bout contredira,

12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
is en plein jour, comme si elle eust raisonné de ceste sorte. « Si la faute que tu as faite provient de haine contre moy, ô i
point d’un si bel exemple, pour destourner la jeunesse d’une pareille faute , que quand il demeure parmy nous chargé d’opprobr
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 15 » pp. 280-280
 ? Il est visible à tous les yeux que ma corne est cassée. » Quand la faute est évidente, il est impossible de la dissimuler.
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du second service de Langues. Chapitre XV. »
Et pour le dire en un mot, elle-mesme d’où procedent la pluspart des fautes et des malheurs qui nous arrivent en cette vie ? 
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CV. Du Laboureur, et du Taureau. »
urs l’esprit comblé de consolations, et ne tomberions jamais dans les fautes qui nous arrivent par nostre incredulité.  
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 262 » pp. 174-174
. » C’est ainsi que beaucoup de gens, tombés dans le malheur par leur faute , en accusent les dieux. Chambry 262.2 Alite
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXII. D’un Malade, et d’un Medecin. »
s à peine peuvent ils avoir la force de se repentir vivement de leurs fautes , ny assez de memoire et d’entendement pour s’en c
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 246 » pp. 384-384
e à l’œil sur tout, et proportionne dans sa balance le châtiment à la faute . Chambry 246.3 Aliter — Autre version.
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
us aurions euës de luy manquer de parole. Que si nous sommes dans une faute sans defence, il retiendra sa colere avec plus de
and mesme il l’eust esté mille fois davantage. Que si elle rejette sa faute sur une extrême necessité, prenant pour pretexte
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
nt les Romains en tout son ouvrage, si ce n’est de hazard quand leurs fautes sont trop visibles, pour les taire ; Encore s’étu
tre lignes de loüange ; Que si quelques-uns d’entr’eux ne le font, la faute en est à leur avarice, et non pas à leur moderati
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
ent le dos sur le declin, et sont les premiers à faire mention de nos fautes , jusques à nous traicter inhumainement. Ce fut, c
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCV. Du Singe, et de ses Enfans. »
t captive, et non pas nostre entendement ; bref, il faut corriger les fautes des nostres, mais non pas n’en croire aucunes en
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
tion au grossier animal d’Arcadie, pour nous donner à entendre qu’une faute si pesante que celle-là, ne peut provenir que d’u
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
is pas d’advis de parler, pour ne tomber impertinemment dans la mesme faute dont je le blâme. Il me suffira de dire icy avec
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
avoit créez si clairs et si beaux ? N’est-ce pas ce qui a rendu leur faute indigne de pardon ? N’est-ce pas ce qui aigrist e
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
rémement foible, puis qu’on peut alleguer aussi, que l’impunité de sa faute seroit un leurre pour l’y rappeller. Il faut donc
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
cause de la grosseur de ce Volume, que possible ce ne fera point une faute d’user icy de la promptitude que nous blasmons en
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
rompé si vilainement, il se mit fort en colere, et en imputa toute la faute au Renard, qui sans s’esmouvoir autrement de ses
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
st voulu, ce qui fut cause, qu’il se mit à le frapper pour une legere faute . Esope ayant pris garde à cela ; « pourquoy », lu
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
e, et non pas à moy ». « Si cela est », adjousta Xanthus, « et que la faute vienne de ma femme, je la feray sans delay brûler
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du present fait à la maistresse de Xanthus. Chapitre XII. »
ois tu pas », luy dit il, « que ce dequoy tu m’accuses n’est point ma faute , mais de celuy qui a apporté ceste viande ? Aye d
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
rie à l’heure de sa mort, quoy qu’il rendit l’esprit sous un Arbre, à faute d’avoir une malheureuse retraicte pour se loger.
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
par dessus les autres, qui le laisse perir, ou diminuër par sa propre faute , d’autant que la soigneuse conservation d’une cho
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
squelles il les sommoit à luy payer tous les ans un certain tribut, à faute dequoy, il leur declaroit la guerre. Cette nouvel
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
constant. Mais cela ne pourroit pas estre, sans qu’il y allast de la faute mesme de l’offencé, qui donneroit tel pied à une
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
suré d’acquerir des biens, procedant ou d’une extrême peur d’en avoir faute , ou de l’amour déreiglé que l’on porte aux riches
mais, et qu’ils demeurent immuables et perclus dans leurs cabinets, à faute d’estendre la main, pour tirer les pistolles de l
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
trémement irrité, il menaça fierement cét Animal de le chastier de sa faute , et luy commanda derechef de rapporter la Cruche
38 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
s, quelle était la bonne ? En existait-il même une qui fût exempte de fautes  ? Telles furent les questions qui se formulèrent
der ceux qui voudront en reproduire le texte exact, avec ses moindres fautes  ? Voilà ce qu’il s’agit maintenant d’expliquer. A
de tenir ma parole. Je vous envoie le texte de notre Phèdre, avec les fautes et les bévues de notre copiste. « À sa façon d’éc
erger de Xivrey qui nous les a conservées, il se soit glissé quelques fautes typographiques qui les aient un peu dénaturées. E
en tenant compte des renseignements paléographiques, en revenir à ces fautes de copiste, qui, dans le manuscrit de Pithou, n’o
le qui n’est pas dénuée d’intérêt : car l’abbé Maï, en corrigeant les fautes du manuscrit, l’a légèrement dénaturé113. Ce qui
n contenu. Ce qu’ils ont écrit à cet égard montre quelles incroyables fautes on est exposé à commettre, lorsqu’en matière de p
urs assez exactement relevé les leçons, a commis cependant une énorme faute  : il a indiqué les mots nomen cum locat comme f
d’ïambes, et pour cela a souvent torturé l’auteur. Enfin, soit par sa faute , soit par celle d’autrui, les signes et les lettr
un exemplaire de sa première édition, manifestait des doutes, que les fautes dont elle fourmillait ne rendaient que trop légit
neveu dévoué à sa mémoire, mais sans doute incapable de corriger les fautes d’un manuscrit posthume. S’il avait voulu donner
, à mon sens, très probable que, dans sa fausse affirmation, sa seule faute a été de s’en rapporter à des souvenirs confus qu
précis, par le texte qu’il en a fidèlement reproduit avec toutes les fautes du copiste, par le fac-similé de l’écriture qu’il
n’auraient pas existé dans des corrigés qui devaient être exempts de fautes , et ne s’expliquent que par l’incurie ou l’ignora
même qu’il ne peut être responsable de ceux qui sont défectueux. Les fautes qui nous choquent, il faut les attribuer non pas
figurât pas trois fois ; mais avouons que c’est là une de ces petites fautes d’élégance que Phèdre a très bien pu commettre. A
rut pas plus douteuse à Orelli ; il remarque bien dans leur texte des fautes soit de syntaxe, soit de versification ; mais il
er a eu tort d’en faire un sixième livre ; mais il a ainsi commis une faute sans importance, qui a sans doute plus existé dan
il est lui-même l’œuvre d’un copiste ignorant, qui, en commettant les fautes les plus grossières, a beaucoup nui à sa valeur p
es, a beaucoup nui à sa valeur philologique. Il est bien vrai que ses fautes ont été corrigées au xie  siècle par une seconde
cement du xviie . Cette copie est d’une rigoureuse exactitude, et les fautes du modèle, soit par ignorance, soit plus vraisemb
se, même partielle, de l’autre. Si, sans être déraisonnable, on peut, faute d’avoir fait cette comparaison, soutenir que les
n’a-t-il entendu faire aucun choix et n’en a-t-il publié que dix-sept faute d’avoir connu les autres. Elles sont ornées de gr
mportant de remarquer que l’imprimeur a commis, en la numérotant, une faute d’impression qui a consisté à mettre un v pour un
En effet, lorsqu’on jette les yeux sur les autres, on aperçoit que la faute d’impression non seulement a été reproduite, mais
lit : Sequūtur fabule noue Esopi ex transiatione (sic) remicii. La faute typographique commise dans le mot transiatione et
du texte correspondant. Les titres courants présentent de nombreuses fautes . Les fol. 87 b, 88 b et 89 b (n. iii b, n. iv b e
au lieu de extra ; au recto et au verso du feuillet l. viii les mêmes fautes existent ; sur le verso du feuillet m. i on lit f
Les titres courants des pages qu’elles occupent offrent de nombreuses fautes  : ainsi les feuillets m. iii et m. iv portent au
tres courants des feuillets qu’elles occupent, je relève de nouvelles fautes  : ainsi les feuillets p. vii et p. viii au recto
’ayant du latin que l’apparence. On ne peut s’expliquer autrement les fautes grossières dont le manuscrit pullule. Chapitr
ustice ; car on ne doit pas rendre le poète élégiaque responsable des fautes des copistes, et surtout des éditeurs, qui, en fa
èreté : Fabulæ in versibus exametris. Il y a dans le manuscrit des fautes dues au copiste, qui ne devait avoir aucune notio
avec lequel ses leçons s’accordent, il a aidé Dressler à remédier aux fautes des éditions antérieures. La description que cet
vers : Namque die fixo debita spondet Ovis. Les 8 feuillets, par la faute du relieur, sont en désordre. Le dernier a été pl
it liber Esopi. Deo gracias. Amen. Le texte manque de pureté et les fautes qu’on y aperçoit démontrent que le copiste ne dev
nué sa copie. J’ajoute que, si courte qu’elle soit, elle présente des fautes assez nombreuses pour qu’on n’ait pas beaucoup à
isquer une conjecture sur le nom de celui qui pouvait l’avoir écrite. Faute par lui d’avoir complété sa critique, le mieux, à
feuillet 89, a été indiquée en ces termes par un bibliothécaire, qui, faute d’y avoir regardé de près, en a exagéré l’étendue
Catalogue imprimé en 1744, l’un la cote 347 B, l’autre la cote 347 C. Faute de les avoir suffisamment parcourus, le rédacteur
adopté les leçons. Malheureusement, si ce manuscrit était exempt des fautes et des lacunes de l’autre, il n’était pas aussi a
il s’est borné à faire réimprimer l’édition de son devancier avec les fautes dont elle fourmillait. Dans cette situation chacu
qui trahit surtout une véritable inexpérience d’écolier, ce sont les fautes de quantité qui pullulent et les vers rendus boit
placées au bas du texte, ils trouveront relevées une à une toutes les fautes qu’en ce moment je me contente d’indiquer en term
u British Museum n’est pas un autographe. Il est, en effet, rempli de fautes qui démontrent que le copiste n’avait aucune conn
rit du British Museum est défectueux, celui de Cambridge fourmille de fautes plus grossières encore. Les vingt fables que renf
tuée près de la ville d’Eu en Normandie. « On se serait épargné cette faute , si l’on eût consulté Mabillon (Annal. ord. Bened
es deux frontispices du volume porte la date de 1719 ; mais c’est une faute typographique. 294. Lipsiæ, in ædibus B. G. Teub
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