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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — IX. Le Rat de Ville, et le Rat des Champs. » p. 352
Champs. Autrefois le Rat de ville
 Invita le Rat des champs, D’une façon fort civile,
 A des reliefs d’Ortolans.

 Sur un
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 358 » p. 272
, en me piquant à tort et à travers ? » Elle répondit : « C’est notre façon de vivre ; ne ma tue pas ; car je ne puis pas fai
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — X. Le Loup et l’Agneau. » p. 155
lus de vingt pas au-dessous d’elle ;
 Et que par consequent en aucune façon 
 Je ne puis troubler sa boisson.
 Tu la troubles,
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVII. L’Homme entre deux âges, et ses deux Maistresses. » p. 31
d’Hymen, point de nouvelles. 
Celle que je prendrois voudroit qu’à sa façon 
 Je vécusse, et non à la mienne.
 Il n’est teste
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVI. Le Corbeau voulant imiter l’Aigle. » p. 2
ison Estoit d’une épaisseur extrême, Et meslée à peu prés de la mesme façon Que la barbe de Polipheme. Elle empestra si bien
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVII. Du Milan malade. »
Fable. Pource que ceste Fable du Milan semble contraire en quelque façon à la Religion Chrestienne, en ce que la Mere de c
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
n conseil salutaire pour s’en délivrer. Ce qu’il faut faire en toutes façons , s’il est possible, à cause que ceste peine estan
proposera mille fois devant les yeux l’extrême impertinence de ceste façon de vivre, qui ne nous sçauroit apporter, non pas
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
par ces exemples, sinon, que l’orgueil est bien souvent abattu d’une façon qui semble extraordinaire, et par des Ennemis imp
e dol, non une ruse malicieuse, ou une supercherie, mais une adroicte façon de combattre, qui se doit plustost nommer industr
ait subsister, combattre, et retirer plusieurs fois ses soldats d’une façon du tout extraordinaire. Mais c’est trop nous arre
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVII. Du Singe, et du Renard. »
ait au Singe de la moitié de sa queuë, on le peut interpreter en deux façons , à bien, et à mal, et de toutes les deux il est a
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVIII. Des Taureaux, et du Lion. »
s paroles, puis d’attaquer chacun d’eux à part ; si bien que de cette façon il luy fût aisé de les mettre tous en pieces l’un
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIV. Du Charbonnier, et du Foullon. »
eur est le plus proche, tout de mesme que l’honneur touche en quelque façon les amis de la personne honnorée, par un rayon qu
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE II. Du Loup, et de l’Aigneau. »
commodé, qui ne soit sous la domination de plusieurs Tyrans. De cette façon , c’est une espece de crime, que d’estre pauvre, e
u qui relevent de son pouvoir. Que si davanture on resiste en quelque façon à leurs injustices, la Bille du Gentil-homme s’es
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — V. Le Loup et le Chien. » p. 346
re ;
 Moyennant quoy vostre salaire
 Sera force reliefs de toutes les façons  ;
 Os de poulets, os de pigeons :
 Sans parler de
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XI. La Grenoüille et le Rat. » p. 384
de cette double proye L’Oiseau se donne au cœur joye ; Ayant de cette façon , A souper chair et poisson. La ruse la mieux our
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVIII. L’Aigle et le Hibou. » p. 
point par vostre moyen. Il avint qu’au Hibou Dieu donna geniture, De façon qu’un beau soir qu’il estoit en pasture, Nostre A
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 342 » pp. 222-222
’elle repousse absolument quiconque me tue ou me maltraite de quelque façon que ce soit. Quant à toi, tu sens mauvais, aussi
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Par quelle advanture Esope reçeut le don de bien parler. Chapitre IIII. »
u’ainsi d’un bon office, on n’en doit esperer que du bien ». De ceste façon Esope tout réjouy d’une si belle advanture, se re
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
paravant mesprisé les autres, qui ne regnoient que par la beauté ; de façon que les hommes sages, c’est à dire, ceux qui parv
urmures de la populace, qu’ils trouvoient tumultueuse et violente, de façon que ils constituërent l’Estat Democratique. Or de
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. »
les premiers à nous reprocher nostre misere, pour paslier en quelque façon leur legereté. Tous les âges sont si remplis de c
peine en trouveront-ils au besoin dix mediocres, et un excellent ; de façon qu’il faut estre extrémement heureux pour le renc
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
, cela n’empesche pas qu’il ne soit encore tres-bien battu : De ceste façon , quoy qu’il en advienne, à droit ou à tort, le Ma
amiens, et fay ce bien à leur Ville ! » Mais luy ne s’en esmouvoit en façon quelconque, et n’y vouloit pas entendre. Ce que v
ntent neantmoins de vous faire un conte qui vous apprendra, de quelle façon vous aurez à vous comporter en cecy. La fortune n
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
le, souvent disputée parmy les compagnies, et qui approche en quelque façon de nostre sujet. Car Esope ayant si bien fait par
mon advis, un manquement à nostre livre, de ne traicter point de leur façon de discourir, et de n’examiner pas jusques à quel
e docilité pareille à celle du Singe ? Il imite sans peine toutes nos façons de faire ; il mange proprement comme nous, il s’h
t nommé. Bref, en toute la suite de leur vie, ils semblent en quelque façon s’éloigner de la nature brutale, et se rendre com
ble pas sans mystere. Car il n’y a celuy qui ne sçache bien que de la façon qu’ils ayment nostre Espece, ils ne s’en éloignen
autres. S’il y en a une, elle ne peut estre que la raison : De ceste façon , ou il sera le mesme qu’eux, ou il en sera distin
ir. Bref, il n’y auroit aucune sorte de brutes, qui ne pût en quelque façon se distraire de nostre obeïssance. Mais au défaut
Dieu ; c’est à dire que la Nature le loüe par leur voix, de la mesme façon qu’un excellent portraict publie la gloire de son
re pareille à la nostre, si est-ce que celle-cy la devance en quelque façon , principalement en la briefveté de la Fable, en l
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »
is que deux ou trois mesnages s’assemblent en mesme lieu, et en mesme façon de vivre, il faut que ce soit, pource qu’ils se f
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIII. De deux pots flottans sur l’eau. »
Prince abaisse et diminuë sa haute condition, et augmente en quelque façon celle du Favory, quand il est question de luy com
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXII. Du Loup, et de la Truye. »
ncapable d’une action vertueuse, si est-ce qu’il deshonore en quelque façon les gents de bien, lors qu’il les approche pour l
25 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVI. La mort et le Buscheron. » p. 60
rt, on [t]’en dit tout autant.


 Ce sujet a esté traité d’une autre façon par Esope, comme la Fable suivante le fera voir.
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »
ts qui t’adviendront. Rejette un mauvais conseil, et n’ensuy point la façon de vivre des méchants ». Voila quelles furent les
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
donnier, qui se mesloit de reprendre quelque chose en un visage de sa façon  ; « Mon amy, ne juge que de ta Pantoufle ». Ainsi
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXX. De la Mouche. »
urs brutales delices, la coustume leur en augmente le desir. De cette façon , semblables à Tantale, ils béent incessamment apr
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 23 » pp. 13-13
it qu’après nous être tant réjouis à l’avance, nous eussions de toute façon quelque contrariété. » Or donc nous non plus nous
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LX. De la Puce, et de l’Homme. »
tout à fait noire et déterminée, ce qui tient du desespoir en quelque façon . Or est-il que les foibles et les petites gents m
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
de le mener au supplice. Voyant donc qu’il ne les pouvoit fléchir en façon quelconque, il se mit à leur faire cét autre cont
ons et fors mulets, mais par de malheureux asnes ?” C’est de la mesme façon que je m’attriste, pource que ce ne sont pas des
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un fardeau, dont Esope se chargea. Chapitre VI. »
n fardeau, il en marcha plus à l’aise apres le disner. De ceste mesme façon , comme le soir fût venu, il fit la distribution d
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
anda qu’on eust à le mettre dans le bain, et à l’équipper d’une autre façon . Ces choses s’estans ainsi passées, Esope se just
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVII. Du Chien, et de la Brebis. »
authoriser un crime. Avecque cela, les malins esprits sont en quelque façon excusables, à cause des peines qu’ils souffrent d
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXII. Du Chat, et du Coq. »
crime de Calomniateur, de Seditieux, et de Boute-feu. De ceste mesme façon , si pour la juste deffence de sa vie quelqu’autre
36 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 224 » pp. 158-158
loup se remit en route en disant : « Dans cette ferme on parle d’une façon , on agit d’une autre. » Cette fable s’adresse aux
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
hommes des siecles passez, nous sçavons considerer leurs mœurs, leur façon de vivre, et leurs habitudes. Le grand Caton esto
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
toutesfois d’estre glacée de crainte ; Que si elle modere en quelque façon les témoignages de son ressentiment, ce n’est poi
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
u besoin ». Discours sur la cent-dix-septiesme Fable. De quelque façon que je considere ceste Fable, elle me semble susc
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
langue, ne fust mal venu aupres de vous. Mais sçachant qu’en quelque façon que la Vertu soit logée, et sous quelque habit qu
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
appartient ; et pour ceste raison ne se peuvent plaindre, de quelque façon que nous en usions. De dire au reste que ce soit
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
ouloir ceder en aucune chose. Mais qu’arrive-t’il de ceste imprudente façon de vivre ? Rien autre, certes, que ce que nous re
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
ue je l’ay pû faire. En quoy, certes, je me suis tenu dans une simple façon de moraliser, et de dire des choses plustost vray
44 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
ieds sa beste, et la fait détaler. 
L’Asne, qui goustoit fort l’autre façon d’aller
 Se plaint en son patois. Le Meusnier n’e
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
en est prés, l’on trouve que ce n’est rien qui vaille. De ceste mesme façon , lors que j’estois bien esloigné de vostre ville,
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
ntité d’Histoires, que l’on ne peut ny déguiser, ny diversifier, à la façon des Romans. Il en faut user neantmoins avec modes
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
me Fable. Bien que nous puissions entendre ceste Allegorie en deux façons , et accuser le Maistre de cette Oye, ou d’estre t
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
ir les déportements du Sage, eu égard à soy-mesme, et pareillement la façon de vivre, en tant qu’elle se rapporte à d’autres
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
portoit à mediter, et à raisonner ; En quoy certes il a excellé de la façon que ses escrits le tesmoignent. Cela estant, comm
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
choses des Grands, et ils sont capables de nous accommoder en tant de façons , qu’il est mal-aisé de n’estre pas mercenaire aup
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
sement de toute sorte d’excés, et de superfluitez nuisibles. De ceste façon la vieillesse ne les fit jamais déchoir d’un esta
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
s, et à ses freres mesmes, que l’on a favorisé plus que luy. De ceste façon il arrive, que la froideur de ses proches enflamm
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
son forfaict, non plus que l’infidele Renard ; Car il fût puny de la façon qu’il le meritoit, et se trouva compagnon de la d
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
de quelque chose qu’on se figure ; La Morale, qui tasche d’imiter la façon de vivre des Creatures raisonnables : La Meslée,
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
or inestimable ; Vous ne voulés point de Toison plus riche ; Et de la façon que vous en opiniastrés la Conqueste, il paroist
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
la plus part des Gentils-hommes sont enchantez jusques là dans ceste façon de vivre, que la seule pensée de la quitter leur
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
a faisoit ; qu’une demeure arrestée luy plaisoit autant qu’à elle une façon de vivre inconstante, et mal asseurée ; que les g
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
esme ce seroit une impieté de le desirer ; aussi n’est-ce point de la façon que nostre sage Esope entend de nous persuader l’
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
uelque chose excellente, puis qu’on nous en déffend la praticque : de façon que cela nous éguise l’appetit, et nous fait rech
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle.
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
qui n’est pas du tout impossible en la nature des choses ; de quelque façon qu’on le prenne, c’est tousjours épouser une crai
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
r une Creature si peu noble que celle-là. Les Amoureux sont en toutes façons bien plus excusables : Car ils ne sortent point d
63 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
notre Phèdre, avec les fautes et les bévues de notre copiste. « À sa façon d’écrire vous jugerez aisément qu’il avait sous l
n époux adoré pendant assez longtemps La dame devint veuve173. Cette façon de comprendre le texte, qui d’ailleurs me semble
te attica dans l’en-tête du prologue. Le texte y est disposé de cette façon  : Romulus Thiberino filio de Civitate atlica. Es
pas opérée par un simple point ; le mot salutem s’interpose de cette façon  : Romulus Tyberino filio de civitate Attica salut
scrits qui l’a conservé, c’est-à-dire du manuscrit Burnéien. De cette façon , si le Romulus primitif n’est pas produit dans sa
e la deuxième fable précédé des deux premiers vers dénaturés de cette façon  : Est lupus, est agnus ; sitit hic, sitit ille.
Romulus ordinaire qu’à celui des Fabulæ antiquæ, c’est, encore par la façon dont l’action se déroule dans ses fables et par l
s est de maintenir le nombre de 114 ; en conséquence, j’établis de la façon suivante la liste des fables du Romulus anglo-lat
Les fables de ce dernier ne nous étant pas parvenues, il n’y a qu’une façon de résoudre la question, c’est de voir lequel du
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