a matiere premiere, qui se change d’une forme en l’autre, ainsi que l’
expliquent
presque tous les Philosophes ; Il est vray qu’à l
e Fables de speculation et d’action ensemble celles qui peuvent estre
expliquées
selon le sens Allegorique Speculatif, et selon l’
ne Dieu de la mer, et Pluton Roy des Enfers : Ce que les Platoniciens
expliquent
fort doctement, quand ils disent que par Celius s
es metaux et de la pierrerie. J’obmets que ceste fable se peut encore
expliquer
du petit monde, à sçavoir de l’Homme, en qui sous
de tous les Dieux, comme le raconte le Poëte Homere. Les Platoniciens
expliquent
cela bien delicatement, quand ils disent que par
t la speculation de ceste fable, qu’Aristote Prince des Peripateciens
explique
moralement des Choleriques, et des courages aguer
ui n’est pas corrigé dans les éditions successives, reste difficile à
expliquer
: peut-être faudrait-il le corriger en « nol » ou
tante-sixiesme Fable. Ceste Allegorie a esté de mesme suffisamment
expliquée
en quelqu’une des precedentes Fables, où nous avo
esme Fable. Le sens Moral de ceste Fable a esté deux ou trois fois
expliqué
, à sçavoir qu’il faut s’abstenir du frauduleux co
XX. Testament
expliqué
par Esope. Si ce qu’on dit d’Esope est vray, C
qu’il estoit le premier de la ville, et avec cela Philosophe, de leur
expliquer
ce que signifioit un si merveilleux prodige ; Mai
ment, et disoient tout haut. « Vrayment voila un bel homme, pour nous
expliquer
le Prodige, dont nous sommes si fort en peine. Es
as si fol de le faire », respondit Xanthus, « si premierement tu ne m’
expliques
ces lettres, car ce me sera une chose plus precie
prouveray, si je puis, que la seule force de nostre sang, ou, pour m’
expliquer
en termes plus exprés, le seul instinct, est capa
de présomption. Pour me prémunir contre un pareil soupçon, je désire
expliquer
comment j’ai été conduit à l’assumer. De tous les
la date à laquelle les Besses et les Thraces avaient été battus, je m’
explique
son hypothèse erronée ; mais j’avoue que je ne pu
à lui imputer, il a, dans le prologue de son livre III, eu le soin d’
expliquer
sa pensée en ces termes : Neque enim notare sing
adresser le troisième livre de ses fables. Dira-t-on que tout cela n’
explique
pas comment, dans le prologue de son troisième li
læ, mais de fabellæ 66. Quand il annonce qu’il va parler du testament
expliqué
par Ésope, il déclare qu’il ne fera qu’un court r
yait pas au merveilleux, et qui pensait que le raisonnement peut seul
expliquer
les choses en apparence surnaturelles. Quand on c
ps que Rigault, prit connaissance du manuscrit, et, ainsi que je l’ai
expliqué
, en transporta les variantes en marge d’un exempl
Il en admira, dit M. Berger de Xivrey, la beauté et l’antiquité, lui
expliqua
sommairement de quoi il s’agissait, et obtint pou
r de Xivrey la fit précéder d’une longue lettre, dans laquelle il lui
expliquait
comment la mémoire même de Pierre Pithou était in
renferme tout le travail de son édition. Une aussi brillante facilité
explique
les immenses travaux de quelques savants de cette
tigia extant.” Il n’en reste plus la moindre trace aujourd’hui, ce qu’
explique
cette réunion de la copie de Pithou sous la même
eurs : Quartum libellum dum Variæ perleges. Suivant lui, ce vers s’
explique
, si les fables qui suivent appartiennent au livre
ter la date de 1599, et opéra ainsi une confusion, qui est maintenant
expliquée
. Le manuscrit de Pithou, étant resté la propriété
exact, avec ses moindres fautes ? Voilà ce qu’il s’agit maintenant d’
expliquer
. Avant l’incendie de la bibliothèque, Dom Vincent
n. À ce point de vue encore les deux manuscrits étaient pareils. On s’
explique
maintenant l’erreur qui s’était accréditée. Cepen
la vraie ? Je ne puis le dire ; mais j’incline vers la première. J’ai
expliqué
que dans l’un et dans l’autre la ligne ne se term
ans, M. Berger de Xivrey pouvait avoir cette pensée. Mais ce qui ne s’
explique
pas, c’est que, dans sa préface, il déclare qu’il
avissimum 168. Ayant mal compris ou retenu ce que d’Orville lui avait
expliqué
, il avait indiqué la Bibliothèque Ambrosienne à M
que Jannelli a mis à lire le texte et à en combler les lacunes ; elle
explique
le but que s’est proposé Perotti, et le défend co
ron, il en conclut que c’est aussi celle qu’il faut leur assigner. Il
explique
alors que Phèdre, quoiqu’il eût vécu sous Tibère,
cette opinion a prévalu. » Cette note n’est pas exacte ; mais je ne m’
expliquerai
sur ce point que plus tard ; car l’examen que j’e
adresse et qui avait été pour lui un amusement de jeune homme, et il
explique
ainsi que ses compositions ne soient pas toujours
partant, on aurait tort de le considérer comme un autographe. Comment
expliquer
cette contradiction ? La réponse me semble facile
ni à Veltrius les copies qu’il leur destinait, et que c’est là ce qui
explique
que son neveu n’ait pas, avec ses autres œuvres,
s sa jeunesse qu’il avait commencé son recueil, et, ainsi que je l’ai
expliqué
, c’est à des intervalles relativement courts qu’i
se, et ce fut à qui trouverait la bonne. Ils essayèrent tour à tour d’
expliquer
la phrase de Sénèque : G.-J. Vossius, dans son ou
genre de littérature étranger aux Romains. La phrase de Sénèque ainsi
expliquée
, les témoignages de Martial et d’Avianus reprenne
ose de fables qu’il avait auparavant traduites en vers latins, ce qui
explique
qu’on y trouve des fragments d’ïambes. Mais cette
s ; on y trouvera quelques taches, que l’altération du texte primitif
expliquera
facilement ; mais la pure latinité du siècle d’Au
raît constant qu’il existait alors un fabuliste nommé Phèdre. Comment
explique-t
-il cette contradiction apparente ? Très simplemen
ivant l’aveu même de Sénèque, un genre inconnu aux Romains, et cela s’
explique
aisément : elle a été, à leur enfance, la premièr
ont entièrement perdues ? La vérité ainsi rétablie, tous les textes s’
expliquent
sans peine. Les témoignages de Martial et d’Avian
s doute la fable ésopique était étrangère aux Romains, et son origine
explique
qu’il ait emprunté à la littérature grecque un ge
es observées laissent subsister des fragments de fables ; ce qui ne s’
expliquerait
pas s’il s’agissait de corrigés ; car le maître n
: Regnard a emprunté plus d’un vers à Molière ; le style de Térence s’
explique
dans les écrits d’un affranchi grec, qui, instrui
existé dans des corrigés qui devaient être exempts de fautes, et ne s’
expliquent
que par l’incurie ou l’ignorance des copistes du
ême temps qu’il en préparait la publication, avait, ainsi que je l’ai
expliqué
, rédigé, pour en démontrer l’authenticité, trois
ute pas à la hauteur du personnage mis en scène ; mais Jannelli s’est
expliqué
sur ce point et je me réfère à ce qu’il en dit lu
r ici les éléments de certitude absolue qu’ils m’ont fournis. Je l’ai
expliqué
: le recueil de Perotti est formé de poésies dive
evoir former le livre II. Dans le second volume de cette édition je m’
expliquerai
plus complètement sur ce point. Quant à présent,
ième partie du livre IV est encore plus incomplète. Ainsi que je l’ai
expliqué
, elle commençait par le prologue Poeta ad Particu
mentées de huit fables qui ne sont pas dans les Éditions précédentes,
expliquées
d’une manière très facile. Avec des remarques… A
anckoucke (1839, 1864, 1877). In-8º de 25 feuilles. Fables de Phèdre,
expliquées
en français suivant la méthode des collèges, par
ain et fils. In-12 de 148 pages. 1878. Les auteurs latins
expliqués
, d’après une méthode nouvelle, par deux traductio
en sont que l’imitation plus ou moins servile. Ainsi que je l’ai déjà
expliqué
, ces collections doivent nécessairement se divise
ls sont presque indéchiffrables, et quand on essaie de les lire, on s’
explique
les plaintes dont ils ont été l’objet de la part
u texte : Hac re probatur quantum ingenium valet. Après avoir ainsi
expliqué
l’origine de ce vers inutile, Gude s’était efforc
hulzianis, | MDCCCXLIV. Dans la lettre elle-même, Tross commence par
expliquer
que c’est M. Fleutelot qui, en rappelant que Gude
e Leyde, c’était la copie du manuscrit de Wissembourg. Cette erreur s’
explique
aisément, quand on sait par qui elle a été commis
e obscurité. Section II. Fables du Romulus primitif. Il a été
expliqué
que l’Æsopus ad Rufum ayant péri, il était nécess
Cela tient à une double cause. D’abord, comme j’ai eu l’occasion de l’
expliquer
, nous ne possédons pas dans toute sa pureté la co
D’abord la collection de Wissembourg, ainsi que je l’ai précédemment
expliqué
, a été altérée par un correcteur du xie siècle,
on aussi étroite ? Voilà la question sur laquelle j’ai maintenant à m’
expliquer
. Il y a d’abord un fait dont la matérialité concl
rompé de deux siècles sur son âge, cela se conçoit ou du moins peut s’
expliquer
: il avait pu ne pas deviner que le feuillet en p
ait précédé, un siècle de renaissance littéraire, pendant lequel on s’
explique
que les gens relativement lettrés aient pu avoir
ont de comparer ensemble le plus ancien texte et le plus récent. Cela
expliqué
, je vais donner sur chacun des six manuscrits que
ême. À propos du manuscrit de Wissembourg, j’ai déjà eu l’occasion d’
expliquer
qu’au nom du duc de Brunswick, Leibnitz, après la
: Finis diuersarū fabularū. Par suite d’une aggravation plus haut
expliquée
de l’erreur que Zeiner avait déjà commise, la fab
is le bibliophile qui a risqué cette hypothèse a commis une erreur qu’
explique
, en l’absence des noms des imprimeurs, la similit
loquentes. 2. Romulus du Miroir doctrinal. Ainsi que je l’ai
expliqué
, les fables du Miroir doctrinal offrent avec les
que des mots barbares n’ayant du latin que l’apparence. On ne peut s’
expliquer
autrement les fautes grossières dont le manuscrit
connaissaient que les manuscrits de ce Romulus ; ce qui d’ailleurs s’
explique
aisément par ce motif que c’étaient les plus nomb
atin les fables grecques d’Ésope. Voici en quels termes tout cela est
expliqué
: « In principio hujus libri quinque sunt inquire
ur403. » Gyraldi avait ainsi adopté la même thèse que Bebel. On se l’
explique
d’autant moins que, déjà, de son temps elle était
ce nom étoit fort connu416. » Pour justifier ce nom, voici ce qu’il
expliquait
ensuite dans une des notes de son ouvrage : « J’
e prince sur celles de Romulus et corrigées ensuite par Walther. On s’
explique
ainsi qu’elles n’embrassent que les trois premier
peut-être dus à l’amplification sur laquelle je me suis précédemment
expliqué
. Quant à l’épilogue, il ne comprend que les six p
exacte : Ugobardi Sulmonensis fabulæ Phædrianæ. Il est facile de s’
expliquer
comment M. Duthillœul a si facilement admis l’err
rit, avec une courte préface dans laquelle le professeur Pietro Dazzi
explique
pour lui le motif qui l’a obligé à limiter ainsi
latins comme renfermant les fables d’Avianus, et cette erreur, qui s’
explique
d’ailleurs par l’identité du nombre des fables et
omulus de Vienne m’avait été révélée par trois manuscrits. Je me suis
expliqué
sur le premier ; j’arrive au deuxième qui, dans l
Roi. Section II. Traduction anglaise. De ce qui a déjà été
expliqué
il ressort que le Romulus anglo-latin a, peu de t
vait avoir une connaissance parfaite de la langue anglaise, et l’on s’
explique
dès lors qu’elle ait eu recours à l’œuvre du roi
sa traduction une version littérale qu’une paraphrase poétique. Elle
explique
elle-même qu’aux traductions des ouvrages latins
dique et l’autre menteur. En revanche, ainsi que je l’ai précédemment
expliqué
, il possède, sous les nos 61 et 103, deux fables
té jugée inexacte par M. Gaston Paris533, qui, ainsi que je l’ai déjà
expliqué
, a soutenu que, si rapproché qu’il fût par son te
es du Dérivé complet. J’ajoute, en terminant, qu’on doit maintenant s’
expliquer
aisément que, dans ma première édition, j’aie pu
te sur lequel Marie a fait sa version, c’est un point sur lequel je m’
expliquerai
plus loin. Quant à présent je me borne à faire re
rimitif, lui sont communes avec ce Dérivé. Maintenant, sans prétendre
expliquer
comment dans cette fable ce dernier par son épimy
, le Romulus Roberti ne soit plus récent. Sa similitude plus grande s’
explique
aisément par ce fait qu’à l’époque où il a été co
algré le désordre qu’il n’avait pu encore faire cesser et qui pouvait
expliquer
l’insuccès de ses recherches, il était supposable
6, De Leone, Bubalo et Lupo, et la seconde est d’une obscénité qui en
explique
aisément l’omission. Le copiste à qui sont dues c
enseignements fournis par M. H. Oesterley lui-même. J’ai précédemment
expliqué
, pages 725 et suiv., que le Romulus anglo-latin s
e, beaucoup plus explicite, le Romulus de Nilant précise davantage et
explique
qu’elle a passé solidement autour du col du Rat l
long article qu’il consacre à Gui d’Arezzo, voici comment M. Fétis s’
explique
sur son origine : « Que Guido soit né à Arezzo,
et xlj.) 435. Il faut lire peccat. L’ignorance du copiste peut seule
expliquer
l’emploi du mot putat. 436. Catalogi librorum m
ste opinion, et qu’il étoit l’homme de son temps qui sçavoit le mieux
expliquer
les voix des bestes, et les chants des oyseaux. A
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