/ 10
1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
a matiere premiere, qui se change d’une forme en l’autre, ainsi que l’ expliquent presque tous les Philosophes ; Il est vray qu’à l
e Fables de speculation et d’action ensemble celles qui peuvent estre expliquées selon le sens Allegorique Speculatif, et selon l’
ne Dieu de la mer, et Pluton Roy des Enfers : Ce que les Platoniciens expliquent fort doctement, quand ils disent que par Celius s
es metaux et de la pierrerie. J’obmets que ceste fable se peut encore expliquer du petit monde, à sçavoir de l’Homme, en qui sous
de tous les Dieux, comme le raconte le Poëte Homere. Les Platoniciens expliquent cela bien delicatement, quand ils disent que par
t la speculation de ceste fable, qu’Aristote Prince des Peripateciens explique moralement des Choleriques, et des courages aguer
2 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [28.]. DEI LUPI E ’L CORVO. » p. 
ui n’est pas corrigé dans les éditions successives, reste difficile à expliquer  : peut-être faudrait-il le corriger en « nol » ou
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVI. Du Chat, et des Rats. »
tante-sixiesme Fable. Ceste Allegorie a esté de mesme suffisamment expliquée en quelqu’une des precedentes Fables, où nous avo
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIII. Du Lion, et de la Chévre. »
esme Fable. Le sens Moral de ceste Fable a esté deux ou trois fois expliqué , à sçavoir qu’il faut s’abstenir du frauduleux co
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
XX. Testament expliqué par Esope. Si ce qu’on dit d’Esope est vray, C
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
qu’il estoit le premier de la ville, et avec cela Philosophe, de leur expliquer ce que signifioit un si merveilleux prodige ; Mai
ment, et disoient tout haut. « Vrayment voila un bel homme, pour nous expliquer le Prodige, dont nous sommes si fort en peine. Es
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du thresor trouvé par Esope, et de l’ingratitude de Xanthus. Chapitre XXII. »
as si fol de le faire », respondit Xanthus, « si premierement tu ne m’ expliques ces lettres, car ce me sera une chose plus precie
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
prouveray, si je puis, que la seule force de nostre sang, ou, pour m’ expliquer en termes plus exprés, le seul instinct, est capa
9 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
de présomption. Pour me prémunir contre un pareil soupçon, je désire expliquer comment j’ai été conduit à l’assumer. De tous les
la date à laquelle les Besses et les Thraces avaient été battus, je m’ explique son hypothèse erronée ; mais j’avoue que je ne pu
à lui imputer, il a, dans le prologue de son livre III, eu le soin d’ expliquer sa pensée en ces termes : Neque enim notare sing
adresser le troisième livre de ses fables. Dira-t-on que tout cela n’ explique pas comment, dans le prologue de son troisième li
læ, mais de fabellæ 66. Quand il annonce qu’il va parler du testament expliqué par Ésope, il déclare qu’il ne fera qu’un court r
yait pas au merveilleux, et qui pensait que le raisonnement peut seul expliquer les choses en apparence surnaturelles. Quand on c
ps que Rigault, prit connaissance du manuscrit, et, ainsi que je l’ai expliqué , en transporta les variantes en marge d’un exempl
 Il en admira, dit M. Berger de Xivrey, la beauté et l’antiquité, lui expliqua sommairement de quoi il s’agissait, et obtint pou
r de Xivrey la fit précéder d’une longue lettre, dans laquelle il lui expliquait comment la mémoire même de Pierre Pithou était in
renferme tout le travail de son édition. Une aussi brillante facilité explique les immenses travaux de quelques savants de cette
tigia extant.” Il n’en reste plus la moindre trace aujourd’hui, ce qu’ explique cette réunion de la copie de Pithou sous la même
eurs : Quartum libellum dum Variæ perleges. Suivant lui, ce vers s’ explique , si les fables qui suivent appartiennent au livre
ter la date de 1599, et opéra ainsi une confusion, qui est maintenant expliquée . Le manuscrit de Pithou, étant resté la propriété
exact, avec ses moindres fautes ? Voilà ce qu’il s’agit maintenant d’ expliquer . Avant l’incendie de la bibliothèque, Dom Vincent
n. À ce point de vue encore les deux manuscrits étaient pareils. On s’ explique maintenant l’erreur qui s’était accréditée. Cepen
la vraie ? Je ne puis le dire ; mais j’incline vers la première. J’ai expliqué que dans l’un et dans l’autre la ligne ne se term
ans, M. Berger de Xivrey pouvait avoir cette pensée. Mais ce qui ne s’ explique pas, c’est que, dans sa préface, il déclare qu’il
avissimum 168. Ayant mal compris ou retenu ce que d’Orville lui avait expliqué , il avait indiqué la Bibliothèque Ambrosienne à M
que Jannelli a mis à lire le texte et à en combler les lacunes ; elle explique le but que s’est proposé Perotti, et le défend co
ron, il en conclut que c’est aussi celle qu’il faut leur assigner. Il explique alors que Phèdre, quoiqu’il eût vécu sous Tibère,
cette opinion a prévalu. » Cette note n’est pas exacte ; mais je ne m’ expliquerai sur ce point que plus tard ; car l’examen que j’e
adresse et qui avait été pour lui un amusement de jeune homme, et il explique ainsi que ses compositions ne soient pas toujours
partant, on aurait tort de le considérer comme un autographe. Comment expliquer cette contradiction ? La réponse me semble facile
ni à Veltrius les copies qu’il leur destinait, et que c’est là ce qui explique que son neveu n’ait pas, avec ses autres œuvres,
s sa jeunesse qu’il avait commencé son recueil, et, ainsi que je l’ai expliqué , c’est à des intervalles relativement courts qu’i
se, et ce fut à qui trouverait la bonne. Ils essayèrent tour à tour d’ expliquer la phrase de Sénèque : G.-J. Vossius, dans son ou
genre de littérature étranger aux Romains. La phrase de Sénèque ainsi expliquée , les témoignages de Martial et d’Avianus reprenne
ose de fables qu’il avait auparavant traduites en vers latins, ce qui explique qu’on y trouve des fragments d’ïambes. Mais cette
s ; on y trouvera quelques taches, que l’altération du texte primitif expliquera facilement ; mais la pure latinité du siècle d’Au
raît constant qu’il existait alors un fabuliste nommé Phèdre. Comment explique-t -il cette contradiction apparente ? Très simplemen
ivant l’aveu même de Sénèque, un genre inconnu aux Romains, et cela s’ explique aisément : elle a été, à leur enfance, la premièr
ont entièrement perdues ? La vérité ainsi rétablie, tous les textes s’ expliquent sans peine. Les témoignages de Martial et d’Avian
s doute la fable ésopique était étrangère aux Romains, et son origine explique qu’il ait emprunté à la littérature grecque un ge
es observées laissent subsister des fragments de fables ; ce qui ne s’ expliquerait pas s’il s’agissait de corrigés ; car le maître n
: Regnard a emprunté plus d’un vers à Molière ; le style de Térence s’ explique dans les écrits d’un affranchi grec, qui, instrui
existé dans des corrigés qui devaient être exempts de fautes, et ne s’ expliquent que par l’incurie ou l’ignorance des copistes du
ême temps qu’il en préparait la publication, avait, ainsi que je l’ai expliqué , rédigé, pour en démontrer l’authenticité, trois
ute pas à la hauteur du personnage mis en scène ; mais Jannelli s’est expliqué sur ce point et je me réfère à ce qu’il en dit lu
r ici les éléments de certitude absolue qu’ils m’ont fournis. Je l’ai expliqué  : le recueil de Perotti est formé de poésies dive
evoir former le livre II. Dans le second volume de cette édition je m’ expliquerai plus complètement sur ce point. Quant à présent,
ième partie du livre IV est encore plus incomplète. Ainsi que je l’ai expliqué , elle commençait par le prologue Poeta ad Particu
mentées de huit fables qui ne sont pas dans les Éditions précédentes, expliquées d’une manière très facile. Avec des remarques… A
anckoucke (1839, 1864, 1877). In-8º de 25 feuilles. Fables de Phèdre, expliquées en français suivant la méthode des collèges, par
ain et fils. In-12 de 148 pages. 1878.     Les auteurs latins expliqués , d’après une méthode nouvelle, par deux traductio
en sont que l’imitation plus ou moins servile. Ainsi que je l’ai déjà expliqué , ces collections doivent nécessairement se divise
ls sont presque indéchiffrables, et quand on essaie de les lire, on s’ explique les plaintes dont ils ont été l’objet de la part
u texte : Hac re probatur quantum ingenium valet. Après avoir ainsi expliqué l’origine de ce vers inutile, Gude s’était efforc
hulzianis, | MDCCCXLIV. Dans la lettre elle-même, Tross commence par expliquer que c’est M. Fleutelot qui, en rappelant que Gude
e Leyde, c’était la copie du manuscrit de Wissembourg. Cette erreur s’ explique aisément, quand on sait par qui elle a été commis
e obscurité. Section II. Fables du Romulus primitif. Il a été expliqué que l’Æsopus ad Rufum ayant péri, il était nécess
Cela tient à une double cause. D’abord, comme j’ai eu l’occasion de l’ expliquer , nous ne possédons pas dans toute sa pureté la co
D’abord la collection de Wissembourg, ainsi que je l’ai précédemment expliqué , a été altérée par un correcteur du xie  siècle,
on aussi étroite ? Voilà la question sur laquelle j’ai maintenant à m’ expliquer . Il y a d’abord un fait dont la matérialité concl
rompé de deux siècles sur son âge, cela se conçoit ou du moins peut s’ expliquer  : il avait pu ne pas deviner que le feuillet en p
ait précédé, un siècle de renaissance littéraire, pendant lequel on s’ explique que les gens relativement lettrés aient pu avoir
ont de comparer ensemble le plus ancien texte et le plus récent. Cela expliqué , je vais donner sur chacun des six manuscrits que
ême. À propos du manuscrit de Wissembourg, j’ai déjà eu l’occasion d’ expliquer qu’au nom du duc de Brunswick, Leibnitz, après la
 : Finis diuersarū fabularū. Par suite d’une aggravation plus haut expliquée de l’erreur que Zeiner avait déjà commise, la fab
is le bibliophile qui a risqué cette hypothèse a commis une erreur qu’ explique , en l’absence des noms des imprimeurs, la similit
loquentes. 2. Romulus du Miroir doctrinal. Ainsi que je l’ai expliqué , les fables du Miroir doctrinal offrent avec les
que des mots barbares n’ayant du latin que l’apparence. On ne peut s’ expliquer autrement les fautes grossières dont le manuscrit
connaissaient que les manuscrits de ce Romulus ; ce qui d’ailleurs s’ explique aisément par ce motif que c’étaient les plus nomb
atin les fables grecques d’Ésope. Voici en quels termes tout cela est expliqué  : « In principio hujus libri quinque sunt inquire
ur403. » Gyraldi avait ainsi adopté la même thèse que Bebel. On se l’ explique d’autant moins que, déjà, de son temps elle était
ce nom étoit fort connu416. » Pour justifier ce nom, voici ce qu’il expliquait ensuite dans une des notes de son ouvrage : « J’
e prince sur celles de Romulus et corrigées ensuite par Walther. On s’ explique ainsi qu’elles n’embrassent que les trois premier
peut-être dus à l’amplification sur laquelle je me suis précédemment expliqué . Quant à l’épilogue, il ne comprend que les six p
exacte : Ugobardi Sulmonensis fabulæ Phædrianæ. Il est facile de s’ expliquer comment M. Duthillœul a si facilement admis l’err
rit, avec une courte préface dans laquelle le professeur Pietro Dazzi explique pour lui le motif qui l’a obligé à limiter ainsi
latins comme renfermant les fables d’Avianus, et cette erreur, qui s’ explique d’ailleurs par l’identité du nombre des fables et
omulus de Vienne m’avait été révélée par trois manuscrits. Je me suis expliqué sur le premier ; j’arrive au deuxième qui, dans l
Roi. Section II. Traduction anglaise. De ce qui a déjà été expliqué il ressort que le Romulus anglo-latin a, peu de t
vait avoir une connaissance parfaite de la langue anglaise, et l’on s’ explique dès lors qu’elle ait eu recours à l’œuvre du roi
sa traduction une version littérale qu’une paraphrase poétique. Elle explique elle-même qu’aux traductions des ouvrages latins
dique et l’autre menteur. En revanche, ainsi que je l’ai précédemment expliqué , il possède, sous les nos 61 et 103, deux fables
té jugée inexacte par M. Gaston Paris533, qui, ainsi que je l’ai déjà expliqué , a soutenu que, si rapproché qu’il fût par son te
es du Dérivé complet. J’ajoute, en terminant, qu’on doit maintenant s’ expliquer aisément que, dans ma première édition, j’aie pu
te sur lequel Marie a fait sa version, c’est un point sur lequel je m’ expliquerai plus loin. Quant à présent je me borne à faire re
rimitif, lui sont communes avec ce Dérivé. Maintenant, sans prétendre expliquer comment dans cette fable ce dernier par son épimy
, le Romulus Roberti ne soit plus récent. Sa similitude plus grande s’ explique aisément par ce fait qu’à l’époque où il a été co
algré le désordre qu’il n’avait pu encore faire cesser et qui pouvait expliquer l’insuccès de ses recherches, il était supposable
6, De Leone, Bubalo et Lupo, et la seconde est d’une obscénité qui en explique aisément l’omission. Le copiste à qui sont dues c
enseignements fournis par M. H. Oesterley lui-même. J’ai précédemment expliqué , pages 725 et suiv., que le Romulus anglo-latin s
e, beaucoup plus explicite, le Romulus de Nilant précise davantage et explique qu’elle a passé solidement autour du col du Rat l
long article qu’il consacre à Gui d’Arezzo, voici comment M. Fétis s’ explique sur son origine : « Que Guido soit né à Arezzo,
et xlj.) 435. Il faut lire peccat. L’ignorance du copiste peut seule expliquer l’emploi du mot putat. 436. Catalogi librorum m
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
ste opinion, et qu’il étoit l’homme de son temps qui sçavoit le mieux expliquer les voix des bestes, et les chants des oyseaux. A
/ 10