is. Je me souviens que j’ay assez amplement prouvé ceste verité par l’
exemple
de tous les Conquerants, qui ont esté dépoüillez,
tout perdu. C’est pourquoy je me contenteray d’alleguer icy pour tous
exemples
celuy de Cesar Borgia, qui mourut miserablement a
s leur fassent prendre le bon chemin, s’ils ne les y mettent par leur
exemple
? N’est-ce pas une espece de brutalité, ou de fol
que mortelle action ? Certes, il n’y a rien de si éloquent que le bon
exemple
. Les belles paroles de Ciceron, les subtils passa
re et la Mere sont doublement coûpables, quand ils donnent un mauvais
exemple
à leurs Enfans, pource qu’ils jettent alors les f
en quelque façon leur legereté. Tous les âges sont si remplis de ces
exemples
, qu’il faudroit citer des volumes entiers, pour r
exception ; Que les sinceres amitiez peuvent estre verifiées par les
exemples
, qu’un Pilade a voulu donner sa vie pour Oreste,
ingrattement celuy qu’il se vante d’aymer, Esope nous rapporte icy l’
exemple
d’un homme, qui abandonne son Amy dans le peril d
a mort ; ce qui doit estre plustost imputé à peur, qu’à perfidie. Cét
exemple
ne me semble donc pas estre la vraye peincture de
de si bonnes preuves de tous les deux, et par les raisons, et par les
exemples
, que ce seroit une chose superfluë de s’estendre
e pour nous attaquer, c’est une question de fait, qui a plus besoin d’
exemples
que de raisons. Mais nous nous sommes estendus si
mper. Le Sage Attilius nous en devroit pour jamais destourner par son
exemple
, veu qu’il courust à une mort certaine, pour s’ac
ceux qu’ils ont outragez. Il est arrivé de tout temps une infinité d’
exemples
de ceste nature, dont je ne rapporteray que celuy
our de la Terre saincte, et me contente de conclure ce discours par l’
exemple
du vertueux Huniade. Celuy-cy ayant reçeu des out
main d’un Ianissaire. Mais je ne m’apperçois pas qu’en alleguant des
exemples
, je cours fortune de tomber dans la disgrace du L
tre toûjours heureux ? Le sage Esope dans ses Fables Nous en donne un
exemple
ou deux. Celuy qu’en ces Vers je propose, Et les
consequence est nette. Mal prend aux Volereaux de faire les Voleurs L’
exemple
est un dangereux leure. Tous les mangeurs de gens
un conte il me souvient :
Je ne dis rien que je n’appuye
De quelque
exemple
. Un suppost de Bacchus
Alteroit sa santé, son es
uns ou les autres nous manquent dés la jeunesse, il nous suscite des
exemples
exterieurs, qui se presentent à nous autant de fo
a proposez comme pour modelles, et que nous servirons à nostre tour d’
exemple
et de guide, quand l’âge ou la pratique des Vertu
et la force. Je croy que la vraye Mithologie de ceste Fable, c’est l’
exemple
des gens de peu, qui se veulent rendre égaux en d
la conqueste que Cesar fist de l’Egypte, et en une infinité d’autres
exemples
anciens, que je pourrois rapporter icy. Mais il e
re entierement remis sous sa protection ? Je laisse à part les autres
exemples
de la domination de Tamberlan des troubles d’Ital
ueil, ou son sujet d’achopement et de honte. Nous ne manquerons pas d’
exemples
pour confirmer ceste verité, si nous representant
qui ne participe de ceste humeur. L’on en void tous les jours tant d’
exemples
, que je serois querelleux moy-mesme de les allegu
ez de toute espece de crainte. Je me serviray pour cét effect, et des
exemples
, et de la preuve, qui est telle. La pluspart des
esmouvoir à courroux. A cela j’adjousteray, comme je l’ay promis, les
exemples
des bestes brutes, qui sçavent pardonner aux enne
is il me semble superflu de le prouver, veu la prodigieuse quantité d’
exemples
que nous voyons tous les jours de gents estimable
rtable, qu’elle y est moins accoûtumée. Ceste Allegorie sert d’un bel
exemple
à l’homme faineant et voluptueux ; Car d’avoir em
bre, à faute d’avoir une malheureuse retraicte pour se loger. Voylà l’
exemple
de deux hommes, qui ont eu l’esprit assez fort po
estre reduits à la mendicité sur nos vieux jours ; imitons plustost l’
exemple
de la sage Fourmy, qui recueille pendant l’hyver
escrime. Ce divin Poëte ne nous a voulu signifier autre chose par ces
exemples
, sinon, que l’orgueil est bien souvent abattu d’u
qui le surpassoit en force et en experience. Que s’il faut passer des
exemples
Poëtiques aux veritables. Deodat de Gozon, Cheval
extraordinaire. Mais c’est trop nous arrester, pour verifier par les
exemples
ces deux veritez qu’Esope nous veut enseigner dan
on artifice. Je me souviens à ce propos d’avoir ouy alleguer ce mesme
exemple
avec beaucoup d’autres, en une dispute où il esto
y avec une parfaicte clarté ; Ils rapportent là dessus une infinité d’
exemples
generaux et particuliers. Les generaux, comme plu
prises des autres bestes, ou les aguets des Chasseurs. L’on objecte l’
exemple
de quelques Animaux particuliers, qui ont des cog
J’AY MOY-MESME ESCRIT CECY, ET DEDIÉ LES DESPOUILLES CELTIQUES. A cét
exemple
ils en adjoustent un autre d’un Elephant Indien,
à bord, presque contre l’esperance de tout le monde. Plusieurs autres
exemples
se disent des Elephants, qui les font semblables
a veritable cause de sa maigreur. Tels, et une infinité de semblables
exemples
se rapportent dans tous les Autheurs, touchant la
l’erreur de ceux qui les ont jugé capables de raisonnement. Quant aux
exemples
des Chiens, et des Singes, il n’est pas necessair
la punition au meurtrier. Mais je m’amuserois en vain à rapporter des
exemples
touchant la fidelité des Chiens, puis que les His
r à la preuve de ceste opinion. Venons maintenant à la refutation des
exemples
. Premierement, nous aurions tous-jours quelque dr
sonnablement là dessus : car il m’est permis, ou de ne croire pas cét
exemple
, ou de le croire avec ceste condition, que son Pr
on, qui est aussi commune aux autres animaux, qu’à luy. Le troisiesme
exemple
que j’ay allegué, pour raconter les merveilles de
ience et longueur de temps Font plus que force ny que rage. L’autre
exemple
est tiré d’animaux plus petits. Le long d’un clai
peu à peu, les apprehensions et les mesfiances. Cela se verifie par l’
exemple
de Tybere, qui n’exerça jamais tant de cruauté, q
e ; tesmoin encore la fin du traistre Ganes, et une infinité d’autres
exemples
, qu’il est à propos d’oublier icy, de peur d’ennu
obent artificieusement l’estime des autres pour se la transferer. Les
exemples
de cela sont ordinaires dans les Estats, autant d
e font de nostre temps, et me contente pour ceste fois de changer les
exemples
en raisons, pour confondre la vanité de ceux qui
, Monseigneur , il me semble que ma temerité se rend excusable par l’
exemple
de la pluspart des Vertueux, qui pour s’introduir
tique, qu’en chaque Discours j’ay entremeslés à des Conseils et à des
Exemples
tirez de l’Histoire. Ainsi, Monseigneur , ie ne
mesmes il met à la raison ceux qui n’en ont point, en se servant de l’
exemple
des Creatures irraisonnables. Il represente pour
t à la sage remonstrance que leur fit le plus vieil d’entr’eux, par l’
exemple
des Grenoüilles, cela nous apprend que c’est une
it en gueux. L’homme au tresor caché qu’Esope nous propose, Servira d’
exemple
à la chose. Ce malheureux attendoit Pour joüir de
elle t’empeschera de manger des solides dans un bocal. Tu sers bien d’
exemple
à ces Artificieux, qui conversent parmy les homme
irreprochables dans les Histoires, où nous voyons par une infinité d’
exemples
, que la fraude tombe d’ordinaire sur son autheur,
tiere amour, et d’une parfaicte asseurance de sa vie. Or quoy que les
exemples
de perfidie soient ordinaires en cette occasion,
onde, joüy à ton ayse des fruicts de ma loyauté ». Il se trouve peu d’
exemples
pareils à celuy cy, que j’ay bien voulu alleguer
ont faciles à vaincre, comme nous l’avons prouvé plusieurs fois par l’
exemple
des Estats et des Monarchies. Ce qui est tellemen
s, mais qu’il applique à son interest particulier la narration de ces
exemples
. Car ce que nous avons dit de la destruction des
les especes qu’on luy presente, il est hors de doute que les mauvais
exemples
y sont imprimez plûtost que les bons, pource que
t de luy donner une bonne nourriture ? Estes vous si chiches d’un bon
exemple
? Si vous estes gents de bien, vous aurez de la f
d’eux resolut de vivre en Gentil-homme,
Sans rien faire, alleguant l’
exemple
de Gaster.
Il faudroit, disoient-ils, sans nous
y, ny par les définitions, ny par les raisonnements, ny mesme par les
exemples
tirez de l’Histoire des siecles passez, il sçait
estrange merveille, et le sauva de la main de ces Brigands. Voila un
exemple
de la recognoissance des animaux, qui toutesfois
mme, voicy l’homme, Medecin du Lion. Mais c’est assez prouvé par des
exemples
, que la recognoissance des biens-faits est commun
u aucun danger ». Discours sur la cent-septiesme Fable. Voicy un
exemple
qui nous fait souvenir du commun Proverbe, qui di
point de petits ennemis ». Cela se verifie par les raisons et par les
exemples
. Quant aux raisons, elles sont fondées sur le jus
hant ceste nature d’évenements. Elles sont toutes comprises dessous l’
exemple
de ceste Chévre, qui nous apprend à ne nous laiss
differentes ». Discours sur la nonante-quatriesme Fable. Voicy l’
exemple
de la moins supportable lascheté qui puisse tombe
sur le propos
De Castor et Pollux ; ne manque pas d’ecrire
Que leur
exemple
estoit aux luteurs glorieux ;
Eleve leurs combat
rcy de la Mer, et fier à un peu de bois l’esperance de son salut. Son
exemple
a rencontré depuis ce temps-là tant d’imitateurs,
richesses. Que s’il estoit question de confirmer ceste verité par des
exemples
anciens, il faudroit dépoüiller l’Histoire de l’H
e l’Avarice nous cause. Mais nostre siecle est trop plein de nouveaux
exemples
, sans qu’il soit besoin de mandier la memoire des
, et de leur sang mesme. Mais laissons pour le present ces monstrueux
exemples
d’Avarice, et venons au remede du mal, apres en a
leur rusticité ne vaut pas mieux que nostre luxe. Puis j’allegueray l’
exemple
des autres Peuples qui ont esté beaucoup mieux po
e. Mais combien seroit-il plus à propos de leur transmettre plusieurs
exemples
de Vertu avec une petite succession, que de les l
ais il leur conta mot à mot toute ceste Fable, et leur fit voir par l’
exemple
du ventre, et des parties du corps humain, la mut
jours par épreuve, que les petits qui se treuvent coûpables servent d’
exemple
au reste du peuple, afin de le détourner des mesc
n d’une parfaicte et judicieuse conduicte. Je n’en veux point d’autre
exemple
que celuy de Themistocles, de Coriolanus, et de l
nge la querelle des petits contre les grands, et nous apprend par cét
exemple
, qu’il faut que nous soyons protecteurs de l’inno
sté destournez par la rigueur d’un hyver perpetuel. Ce qui se dit des
exemples
generaux, doit, à mon jugement, estre entendu des
nt voisin contre un ancien et dangereux Ennemy. Cela se verifie par l’
exemple
de quelques grandes Monarchies, qui n’ont pris le
t, on alleguera simplement l’action, et là dessus on le fera servir d’
exemple
, quoy qu’en effect il en serve tres-innocemment.
qui est pourveu de raison, et qui ne l’est pas : La Propre, qui par l’
exemple
des bestes, et des choses inanimées demonstre tac
n l’Actif aussi. En voicy une entre les autres, que j’allegueray pour
exemple
. Les anciens Poëtes ont feint que Celius, Dieu pa
eure à toutes ces choses, proposons-nous sans cesse devant les yeux l’
exemple
de la mort, la fragilité de nos jours, et l’incon
pas les maux à venir : C’est à quoy nous convie le sage Esope, par l’
exemple
de ce Cheval temeraire et presomptueux, qui dés l
n. Quant à ce qui est des Ambitieux, je ne voy point de plus frequent
exemple
que celuy-là, qui est de perdre une gloire bien a
Le noble et courageux Oyseau de Jupiter instruit aujourd’huy par son
exemple
, les hommes, qui avec trop de franchise et de sim
tres Fables du Phrygien, que je fais en celle-cy, où il monstre par l’
exemple
de la Brebis, que l’innocence attire tousjours su
on, si nous ne sommes en mesme temps resolus à une honteuse cheute. L’
exemple
et la raison sont en cela joincts ensemble. Car l
i parler ». Discours sur la cinquante-huictiesme Fable. Voicy un
exemple
du peu de generosité d’un foible animal, comparab
rovinces des Pays-bas, à cause de leur parfaicte union. Mais tous ces
exemples
ne sont que la centiesme partie de ceux que l’on
et s’il ne reduict la puissance en acte. Du premier, nous en avons un
exemple
bien évident en la personne d’Archimede, qui se f
dus que les autres. Ce qu’il n’est pas besoin que je confirme par les
exemples
, n’en pouvant alleguer que de superflus, puis que
grandeur trop cher, s’il falloit abandonner leurs vices pour elle. L’
exemple
d’un bon nombre de personnes de condition leur ap
lle avoit fait de la debte. Or pour transferer aux hommes ce fabuleux
exemple
des animaux, et tirer quelque avantage de l’instr
t, le propre suject de leurs infidelitez. Je n’allegueray point icy l’
exemple
d’un Judas, qui tourna sa malice envenimée contre
ur de Madrid, où il fût si mal traitté, que sa disgrace doit servir d’
exemple
à ceux qui l’imitent.
danger d’en souffrir une infinité. Nous pouvons trouver d’assez beaux
exemples
à ces Veritez, en la pluspart des choses de la Na
oient toutes sortes d’obligations. Mais je laisse en arriere tous ces
exemples
, pour alleguer seulement celuy qui est arrivé à l
enlevé hors de la presence des Vivants, et ne sert point d’un si bel
exemple
, pour destourner la jeunesse d’une pareille faute
u supplice. L’Histoire des siecles passez n’est pas plus frequente en
exemples
, que celle du nostre, où nos yeux ont veu des cho
que je dédaignerois d’en alleguer des raisons, veu le grand nombre d’
exemples
que nous en avons. Ne voyons-nous pas tous les jo
erité, ils en usent accortement, et y convient tout le monde par leur
exemple
. Or que ce chemin-là soit le plus vertueux, c’est
part que la bonne. Et toutesfois l’on ne punit souvent pour servir d’
exemple
, que les miserables, qui ont volé de petites somm
ien demeure indissoluble jusqu’à la mort, et que ce soit parmy nous l’
exemple
de sa vraye et durable amitié. Ce qui est, à mon
avantures D’un Amoureux en cheveux gris ? A cela l’on m’objectera l’
exemple
de plusieurs grands personnages, qui ont esté amo
s sur la treiziesme Fable. L’impertinente vanité du Corbeau sert d’
exemple
à une infinité de gents, qui se laissent miserabl
e estoit en un perpetuel danger, odieuse à un chacun, et finalement l’
exemple
de la faineantise. Elle adjoustoit pour conclusio
l’Eloquence, je laisseray là ceste induction, et viendray à quelques
exemples
. Les plus riches hommes de l’Antiquité doivent es
’une autre, que pour estre commise la premiere. Aussi, sans mentir, l’
exemple
du Vice nous en doit luy-mesme détourner, et nous
xité qui contraste avec la concision de ses fables. Je n’en veux pour
exemple
que les phrases redondantes, par lesquelles, dans
nsporté à Troyes, où ses compatriotes lui rendirent des honneurs sans
exemple
. Toutes les compagnies en corps assistèrent aux o
les notes des diverses éditions de Rigault. Or, pour prendre quelques
exemples
au début seulement du premier livre, les variante
quemment d’être en désaccord avec Dom Vincent. Pour ne citer que deux
exemples
tirés du livre I, tandis que Gude avait lu dans l
ser : il ne suppose pas toujours des temps fort reculés : on en a des
exemples
. « Quel était ce Rutilius à qui cette pièce est d
es hommes qui renoncent le plus à leur pays natal, » et il cite comme
exemple
Gerbert, qui, Français de naissance, fut en Itali
ces, à dissimuler sa fraude, et, pour le démontrer, il cite plusieurs
exemples
. « Fable i, vers 5, dit-il, il a édité : Quam p
te. Enfin, pour faire accepter cette idée, il cherche par de nombreux
exemples
à démontrer que les fables, que nous possédons, f
coup d’autres écrivains de l’antiquité ont eu le même sort, et, comme
exemple
, il cite Quinte-Curce, auteur dont aucune personn
t de Phèdre, c’est pour indiquer qu’en agissant ainsi, il suivra leur
exemple
. Il est même supposable que c’est avec intention
pas spéciaux ; la forme grecque conservée à son nom n’est pas le seul
exemple
qu’on trouve de cette anomalie, et d’ailleurs il
même rôle que si elles étaient concrètes ; ainsi, pour ne citer qu’un
exemple
, il dit dans les anciennes fables : Gulæque cred
ti d’autres que Phèdre ont pu les écrire, il ne découvre pas d’autres
exemples
à citer que l’Éloge de la ville de Gênes, la Desc
nt qu’ils devaient être écrits dans le même mètre. Il y a mieux : ces
exemples
eux-mêmes me fournissent de précieux arguments ;
ont été en partie puisées à d’autres sources. Je pourrais citer comme
exemple
la collection contenue dans le manuscrit du collè
outes les collections de fables latines datant du moyen âge. C’est un
exemple
que je ne suivrai pas. On ne peut raisonnablement
ante. Qu’on me permette encore, pour être méthodique, de prendre pour
exemple
la fable qui m’a déjà, pour les collections précé
ès le modèle primitif ; mais il n’en est pas moins vrai que, dans cet
exemple
, la similitude est encore quelquefois presque lit
précier ce point, je vais, en terminant ces observations, ajouter à l’
exemple
que j’ai choisi quelques autres termes de compara
la faire ressortir, je puise dans la fable du Loup et de l’Agneau des
exemples
qui ne pourront manquer de paraître concluants. À
ixit : Quomodo aquam turbavi tibi ? L’identité attestée par ces
exemples
montre clairement que l’œuvre qui porte le nom de
entre les deux textes n’est pas toujours aussi complète que dans les
exemples
que je viens d’exhiber. Cela tient à une double c
entre ce dernier et celui des Fabulæ antiquæ. Ainsi, pour produire un
exemple
à l’appui de mon affirmation, dans la fable Lupus
mprimeur de l’édition de 1501, Jacob Phortzheim n’avait pas imité son
exemple
: il s’était dans son travail typographique attac
nies. — Ici suit une deuxième partie de fables belles et agréables, d’
exemples
et d’histoires du Dr Sébastien Brant, pour l’ense
aux mallades humilité pour user de perolles doulces et autres divers
exemples
icy après déclares. Lesquelles ie Romule ay trans
ar plusieurs différences dans les abréviations. Pour n’en citer qu’un
exemple
, je ferai observer que la dernière ligne est ains
souvent identiques. « Je pourrais, dit-il401, en présenter plus d’un
exemple
; mais je craindrais d’entrer dans de trop longs
autres qui ne sont plus communs qu’à Romulus et à l’Anonyme. » Et à l’
exemple
déjà fourni par M. Robert il ajoute le suivant, t
e absolument sûr de ne pas se tromper, on peut, en se fondant sur cet
exemple
, trancher la question de filiation en faveur du R
offrent un très grand nombre de variantes. Ainsi, pour ne citer qu’un
exemple
tiré du premier vers de la fable i, dans le manus
expressions plus nouvelles. J’extrais des deux manuscrits, à titre d’
exemple
, les cinq premiers vers de la fable Du Loup et de
e les divers personnages. Je vais faire comprendre ma pensée par deux
exemples
. J’emprunte le premier à la fable des Brebis et d
e j’ai dite, à l’autre collection qu’il s’adresse. Je prends ici pour
exemple
la fable du Lièvre, de l’Aigle et du Moineau, qui
naire, il en a davantage conservé les expressions. J’ai montré par un
exemple
le soin qu’il a pris de s’écarter le moins possib
oir Qu’amasser grant planté d’auoir, Et qui tendra ces paraboles, Ces
exemples
et ces friuoles, A mocquerie et a truffe, Bien ai
s prolonger une démonstration superflue, j’emprunterai seulement deux
exemples
: Phèdre : Defectus annis et desertus viribus.
ue Asinus cernens calcibus illi frontem contundit. Il résulte de ces
exemples
que les deux Romulus ne sont pas issus l’un de l’
ienne 901 des leçons du manuscrit de Vienne 303. Je vais prendre pour
exemple
dans ce dernier manuscrit et dans celui de Berlin
Berlin 87. Sed patefaciens os ut caperet, amisit quod tenebat. À cet
exemple
, j’en ajoute un tiré de la fable des deux Rats :
ta intulit. Rom. de Berlin 87. Qui mensa posita intulit. Voilà deux
exemples
qui justifient ma thèse. J’en pourrais citer beau
les deux collections, traitent des mêmes sujets ? Prenons alors pour
exemple
la fable Le Chien et l’Ombre. La voici telle qu’e
l labor ; Mais n’i a fable, ne folie. U il n’ait grant philosophie Es
exemples
qui sont après, U des contes sont tous li fès. A
omites tui, primicerii, milites et cetera officia. Il ressort de cet
exemple
que le Romulus Roberti, plus que celui de Nilant,
ter à admettre qu’elles en sont directement issues. Je cite encore un
exemple
à l’appui, et je le lire de la fable du Lion et d
piens, asportavit, et, ad nemus veniens, in quercu resedit. Dans cet
exemple
, on voit le Romulus Roberti reproduire les expres
Romulus anglo-latin qu’il descend. On peut remarquer aussi que de cet
exemple
il ressort qu’il y a, dans le Romulus Roberti, de
est cette œuvre unique. À cet effet, il faut remarquer que, dans cet
exemple
, il y a des expressions, qui, communes aux deux D
sont communes qu’à eux. Pour en fournir la preuve, je vais exhiber un
exemple
tiré de la fable de l’Hirondelle et des Oiseaux.
ossunt, inanibus verbis se putant esse terribiles. En produisant cet
exemple
, je comprends bien que je fournis, à l’avance, un
108 et pour lesquels il n’a réservé aucune place. Je peux citer comme
exemple
la fable De Vulpe et Ursa, dans laquelle les mots
nieux, || et a écrit beaucoup de livres artistiques, || pour servir d’
exemple
à son fils, || lesquels sont encore inconnus de
pedem prepetem. La démonstration pourrait se continuer avec d’autres
exemples
; mais, ceux produits me paraissant plus que suff
e la restitution impossible. Il me serait facile de citer de nombreux
exemples
à l’appui de ces critiques. J’éviterais de la sor
thmique. Mihi prima portio debet venerari, quia sum rex pecorum. Ces
exemples
sont tout à fait démonstratifs ; car les uns font
aire, n’en ont pas moins été empruntées à Phèdre. Je vais, au moyen d’
exemples
tirés de la fable du Loup et de l’Agneau, faire r
rsum bibebat Lupus, et longe inferior Agnus. On voit, par ce premier
exemple
, que, tandis que dans le Romulus ordinaire, le mo
osi et oppressores sine causa innocentes opprimunt. Devant ce second
exemple
, on peut croire que l’auteur du Romulus de Berne
▲