xpose Grosley, François Pithou son frère, loi avoit fait présent d’un
Exemplaire
unique des Fables de Phèdre, qui jusqu’alors s’ét
Telle est l’édition publiée par Pierre Pithou. Je n’en connais que 14
exemplaires
, savoir : deux à la Bibliothèque nationale, le tr
n le quatorzième à la Bibliothèque Laurentienne de Florence. Les deux
exemplaires
de la Bibliothèque nationale portent sur le Catal
trois mains différentes. Je n’ai aucune remarque à faire sur les deux
exemplaires
de la Bibliothèque de l’Arsenal et de la Mazarine
183074, dit que cet éditeur ne paraît pas avoir eu connaissance de l’
exemplaire
de Sainte-Geneviève, et il ajoute qu’il renferme
it pas connu ; mais à l’égard des variantes, Daunou se trompe ; car l’
exemplaire
ne contient que celles du manuscrit de Pithou écr
du moins ce qu’indique la note suivante tracée au crayon en tête de l’
exemplaire
de la bibliothèque Sainte-Geneviève : « Notæ ist
cte. Pour m’en assurer, j’ai collationné les notes manuscrites de cet
exemplaire
avec celles des éditions de Rigault, et j’ai vu q
Je puis donc affirmer que non seulement c’est Rigault qui a annoté l’
exemplaire
de la bibliothèque Sainte-Geneviève, mais qu’enco
Saint-Léger dans l’Année littéraire, 1787, t. VIII, page 228. » Cet
exemplaire
de la première édition de Pithou est passé, en 17
ait pu auparavant subir. La Bibliothèque de Troyes possède aussi deux
exemplaires
de l’édition de Pithou, qui, dans le fonds appelé
elé Cabinet local, portent les nos 221 et 222. Le premier de ces deux
exemplaires
, à raison des notes en langue française dont il e
« Édouard de Blives, petit-fils de Bréban, le 8 septembre 1871. » L’
exemplaire
qui porte le nº 222 est admirablement relié et co
raît provenir de la bibliothèque de Pierre Pithou lui-même. Quant à l’
exemplaire
de Berne, il a appartenu à Jacques Bongars, savan
ard Dom Vincent sur celui de Reims, il en reporta les variantes sur l’
exemplaire
imprimé. Aussi a-t-il été d’un grand secours au p
on du manuscrit de Pithou par M. Berger de Xivrey a fait perdre à cet
exemplaire
, comme à celui de Rigault, une grande partie de s
âge. Le complaisant bibliothécaire voulut bien aussi me communiquer l’
exemplaire
de l’édition de Pithou ; il portait sur le catalo
fabulis Græcorum et al. » J’aurais maintenant à m’occuper des trois
exemplaires
de l’édition de Pithou, conservés à Londres et à
et à Oxford ; je me bornerai à en donner le signalement. Deux de ces
exemplaires
se trouvent au British Museum. L’un appartient au
figure au Catalogue général sous la cote 685. D. Q. C’est le plus bel
exemplaire
que je connaisse. Les marges en sont presque enti
tes ; mais la reliure en maroquin vert en est extrêmement soignée. L’
exemplaire
d’Oxford est conservé à la Bibliothèque Bodléienn
’ai aucune observation particulière à présenter relativement aux deux
exemplaires
de Cambridge. Enfin, je ne dis qu’un mot de celui
s manuscrits et des imprimés. Parmi les imprimés de ce fonds figure l’
exemplaire
de l’édition originale de Phèdre qui y porte la c
remarquable par son parfait état de conservation. Tels sont les seuls
exemplaires
que je connaisse de l’édition publiée par Pierre
Lefebvre qui se chargea de la faire débiter, et qui en distribua des
Exemplaires
à leurs amis communs. De ce nombre étoit le P. Si
nifie vetus exemplar Catalaunense ou Catuacense, c’est-à-dire antique
exemplaire
de Châlons-sur-Marnе ou de Douai. Adry aurait don
ellement recours, en allant voir à la bibliothèque Sainte-Geneviève l’
exemplaire
déjà mentionné de l’édition de Pithou, pourraient
ainsi que je l’ai expliqué, en transporta les variantes en marge d’un
exemplaire
de l’édition de Pithou. Mais, après ces deux sava
l’attention des hommes de lettres. Elle n’a été tirée qu’à deux cents
exemplaires
. Ce nombre devra paraître insuffisant et rendre n
n nouvelle. » Le succès n’a pas répondu au mérite, et les deux cents
exemplaires
ont plus que suffi. Tant il est vrai que les œuvr
Phèdre. Comme on l’a vu, Pierre Pithou lui en avait fait adresser un
exemplaire
. En 1608, lorsqu’il rentra en France, le Père Si
e manuscrit présentait quelques variantes. Il les copia en marge d’un
exemplaire
de l’édition de Pithou, et les communiqua à Rigau
broise Drouart à la fin de 1599, elle se compose de deux catégories d’
exemplaires
, les uns portant ce millésime, les autres, celui
l’accompagnait, avaient été par M. de Foncemagne placés en tête d’un
exemplaire
du Phèdre, in-4º, de Rigault, publié en 1617 par
du Phèdre, in-4º, de Rigault, publié en 1617 par Robert Étienne. Cet
exemplaire
était passé des mains de M. de Foncemagne dans ce
i a péri comme le Phèdre. J’ai placé cet échantillon à la tête de mon
exemplaire
du Querolus. Ces deux morceaux sont aujourd’hui t
que cette note a été écrite, on a recouvré à la Bibliothèque du Roi l’
exemplaire
de Reims, qui avait été tiré de la bibliothèque d
d’expliquer. Avant l’incendie de la bibliothèque, Dom Vincent, sur un
exemplaire
classique in-12 de Phèdre, publié en 1743 à Paris
fait à Paris, il promit à l’un des gardes de la Bibliothèque du Roi l’
exemplaire
de l’édition de la veuve Brocas, et, rentré à Sai
s que le premier livre des fables commençait à la troisième page de l’
exemplaire
de la veuve Brocas, Dom Vincent n’avait inscrit q
e que le texte était sauvé ; et il l’était pour tout le monde ; car l’
exemplaire
de la veuve Brocas se trouvait dans une bibliothè
ateur du département des imprimés à la même bibliothèque, le précieux
exemplaire
de l’édition classique de la veuve Brocas, et il
e, dont il faut le féliciter sans réserve. Car, peu de temps après, l’
exemplaire
qui avait conservé, malgré l’incendie, les leçons
mportant de savoir. Dans ce but j’ai longtemps essayé de découvrir un
exemplaire
de l’édition de 1743. Mais la veuve Brocas était
es que par les notes écrites de la main du Père Sirmond en marge d’un
exemplaire
de l’édition de Pithou, et il ne s’est même pas p
indications fournies par Dom Vincent ; en effet, lorsqu’il a annoté l’
exemplaire
de la veuve Brocas, il avait mieux l’accès du man
s une note manuscrite par lui placée au bas de la troisième page de l’
exemplaire
de la veuve Brocas, où commence le premier livre
hædri Aug. liberti Liber quintus explicit feliciter. » Comme, dans l’
exemplaire
de l’édition de 1743, le cinquième livre était su
ermettra plus loin de l’affirmer, qu’il n’eût pas reçu de son oncle l’
exemplaire
qui lui était destiné, il ne lui fit pas le même
nt les calendes de décembre 1808. Cette édition n’a été tirée qu’à 50
exemplaires
. Elle est, on le conçoit, fort rare ; j’ai eu le
n le conçoit, fort rare ; j’ai eu le bonheur d’en trouver à Naples un
exemplaire
chez le libraire Giuseppe Dura, qui possède une i
raison, je l’avais seul constamment gardé. Cependant j’appris que des
exemplaires
de la brochure avaient été envoyés à Paris et jus
ions plus pacifiques. Le savant Heyne, à qui Cassitto avait envoyé un
exemplaire
de sa première édition, manifestait des doutes, q
, la première, in-12, les deux autres in-8º. J’ai en ma possession un
exemplaire
de chacune d’elles. La première, en 42 pages sans
opinion s’était à peine formée qu’Adry vint l’ébranler. En tête de l’
exemplaire
, que j’ai entre les mains, de l’édition Petronj,
m’indiqua l’adresse du libraire Giuseppe Dura, chez qui je trouvai un
exemplaire
de l’édition du manuscrit publiée en 1809 par Jan
e copie qu’il avait dû faire pour Veltrius. Après l’ayoir faite sur l’
exemplaire
destiné à Pirrho Perotti, il voulut sans doute la
Foncemagne. Ce fac-similé, attaché par un fil à la première page d’un
exemplaire
du Phèdre de Rigault imprimé par Robert Estienne2
libri V. Paris, Jules Didot aîné. In-folio de 30 feuilles, tiré à 125
exemplaires
. Phædri Augusti liberti fabularum libri V, cum n
ses imprimés. L’un d’eux, catalogué sous la cote 763, c. xiii, est un
exemplaire
de la deuxième édition de Phèdre, publiée par Rig
, publiée par Rigaut et imprimée par Robert Estienne en 1617. Sur cet
exemplaire
Isaac Vossius, qui avait eu le manuscrit de Danie
ition de Nilant est assez rare ; j’ai pu néanmoins m’en procurer deux
exemplaires
que j’ai achetés l’un à Genève, l’autre à Nurembe
us intéresser peut-être. Les trois premiers volumes contiennent trois
exemplaires
des Fables d’Ésope et de Phèdre mises en vers all
e de l’opuscule de Tross. Malheureusement il n’avait été tiré qu’à 50
exemplaires
, et ses fils, libraires à Paris, n’en avaient con
nfermer. J’en continuai la recherche, et je finis par en découvrir un
exemplaire
broché à la bibliothèque du British Museum, où il
us complète qui ait été faite du manuscrit de Wissembourg, et que les
exemplaires
en sont devenus presque introuvables, je ne puis
donné ce conseil, je m’étais empressé de me faire expédier plusieurs
exemplaires
de l’ouvrage qui m’était signalé. J’y recourus, e
toute sa pureté la collection dont le manuscrit de Wissembourg est l’
exemplaire
unique. Cet exemplaire altéré profondément par l’
lection dont le manuscrit de Wissembourg est l’exemplaire unique. Cet
exemplaire
altéré profondément par l’ignorance du copiste, q
n certain Rufus. C’est de cet ouvrage, qui depuis a disparu, que, nul
exemplaire
de Phèdre n’ayant encore été découvert, l’anonyme
’il présente, doit être considéré, non comme un dérivé, mais comme un
exemplaire
plus ou moins pur du texte du Romulus ordinaire.
la pureté du texte était assez irréprochable pour qu’on pût y voir un
exemplaire
du Romulus ordinaire. En effet il ne diffère guèr
plus, pour en finir avec la fameuse édition d’Ulm, qu’à signaler les
exemplaires
qui en restent. D’abord il en existe un auquel le
composer en 1806 son édition des fables de Romulus. Il a cru que cet
exemplaire
était un spécimen unique, lui a attribué l’import
er., I., 239. See Fabricius. Ce qui peut se traduire ainsi : « Cet
exemplaire
(auquel manque un feuillet) a appartenu à Lord Sp
bois. Je remarque seulement la révélation relative à l’existence d’un
exemplaire
complet, qui était, en 1814, la propriété de Geor
semblablement est encore à Althorp entre les mains de sa famille. Cet
exemplaire
faisant partie d’une bibliothèque privée, il ne m
laquelle je renvoie les amateurs d’incunables329. Enfin le quatrième
exemplaire
est à Florence dans la Bibliothèque Laurentienne
il n’en a que 270. Cela tient à ce que, malgré sa belle apparence, l’
exemplaire
est incomplet. Dans les Fabulæ collectæ huit feui
325). Je ne suis pas bien sûr d’avoir rencontré en Allemagne aucun
exemplaire
de l’édition de Sorg, que Hain signale sous le nº
ente, il y avait un dernier feuillet non imprimé, dont la reliure des
exemplaires
encore existants ne permet pas de constater la di
écessaire de l’édition d’Ulm. C’est au British Museum que se trouve l’
exemplaire
sur lequel j’ai fait en partie les remarques qui
et Henry Foss, et imprimé par W. Nicol, à Londres, de 1842 à 1848. L’
exemplaire
7805 est magnifique ; il est, pour ainsi dire, au
n est rehaussée par une splendide reliure en maroquin vert. Le second
exemplaire
dont j’ai fait usage est celui que, sous la cote
e précédent, il est dans un parfait état de conservation. Quoique les
exemplaires
de cette édition soient fort rares, j’en ai aperç
e parler que de la seconde édition de Sorg, je signale entre autres l’
exemplaire
que j’en ai trouvé à la bibliothèque publique de
que de Munich m’a également paru avoir, sous la cote A. Gr. B. 15, un
exemplaire
de l’édition de Sorg, que j’ai cru reconnaître à
signaler. Mais j’y suis arrivé. Il existe et j’ai rencontré plusieurs
exemplaires
de l’édition visée par Hain. Grâce à eux, je vais
s deux feuillets blancs, s’ils ont existé, ne se voient plus dans les
exemplaires
reliés que j’ai seuls rencontrés. Voici maintenan
Vulpe et Gallo porte par erreur le nº xxviii au lieu du nº xxiii. Les
exemplaires
de cette réédition gothique des éditions de Sorg
dois donner un avis utile à ceux qui au British Museum compareront l’
exemplaire
qui s’y trouve avec celui de la Grenville library
trop rapide pourrait leur faire croire à tort que ce ne sont pas des
exemplaires
de la même édition ; ils diffèrent en effet l’un
est due à une interversion de page qui s’est produite au tirage de l’
exemplaire
167. F. 12. La composition de la dernière page de
té imprimée sur la dernière page de la vie d’Ésope. Il s’ensuit que l’
exemplaire
de la Grenville library, d’ailleurs mieux conserv
rand de marges et superbement relié, a plus de valeur que l’autre. L’
exemplaire
que j’ai vu à la bibliothèque publique de Maëstri
édition du xve siècle, dont la bibliothèque de Maëstricht possède un
exemplaire
. L’édition imprimée en caractères quasi-gothiques
Anno de nuestra saluacion. Mil.CCCC.XCVIII. Je n’ai rencontré aucun
exemplaire
de cette édition. Quant à la deuxième édition, la
uant à la deuxième édition, la Bibliothèque nationale en possédant un
exemplaire
que j’ai pu voir à loisir, j’en vais donner une a
iētos | y xlvj. J’ai rencontré, à la Bibliothèque de l’Escurial, un
exemplaire
de cette édition sous la cote j v. N 3. 3º Deu
ngleterre. Tandis que sur le continent je n’en ai rencontré que trois
exemplaires
, l’un dans la bibliothèque d’Heidelberg sous la c
ier à Berne sous la cote Inc. 42, en Angleterre j’en ai trouvé quatre
exemplaires
: ainsi la Bibliothèque du British Museum en poss
otations en langue anglaise, qui, sur les marges de ces deux derniers
exemplaires
, ont été écrites par des mains du xvie siècle. L
erniers exemplaires, ont été écrites par des mains du xvie siècle. L’
exemplaire
du British Museum a été relié, sans doute à cause
t de la similitude du contenu, avec un autre petit in-folio. C’est un
exemplaire
du Dialogus creaturarum, que Gérard Leeu avait im
par lequel le bibliographe a voulu affirmer qu’il avait rencontré un
exemplaire
de l’édition. Aussi Hain, s’en rapportant à Panze
aductions, l’une en langue française, l’autre en langue flamande. Des
exemplaires
de toutes ces éditions existent à la Bibliothèque
s au British Museum, ainsi que je l’ai déjà expliqué336, il existe un
exemplaire
de l’édition de 1482 qui a été longtemps réuni au
n publiée par Gérard Leeu est celle de 1486, et j’en ai rencontré des
exemplaires
qui me permettent de l’analyser. C’est, comme les
simo octuagesimo sexto Mense septembri. die vero vicesima sexta. Un
exemplaire
de cette édition est conservé dans la bibliothèqu
Il est probable que l’édition de Brant avait été tirée à un nombre d’
exemplaires
relativement considérable. Si j’avais pris note d
puis néanmoins citer les suivants : 1º À la Bibliothèque nationale un
exemplaire
qui porte la cote Y 6536, mais qui malheureusemen
2º À la bibliothèque de l’Arsenal, sous la cote 12708, un magnifique
exemplaire
complet, à pleines marges, dont la reliure porte
et de Diane de Poitiers ; 3º À la bibliothèque du British Museum, un
exemplaire
sous la cote 86. K. I. ; 4º À la Grenville librar
un exemplaire sous la cote 86. K. I. ; 4º À la Grenville library, un
exemplaire
sous la cote 7809 ; 5º À la bibliothèque Bodléien
un exemplaire sous la cote 7809 ; 5º À la bibliothèque Bodléienne, un
exemplaire
sous la cote A 573 ; 6º À la bibliothèque de l’Un
la cote A 573 ; 6º À la bibliothèque de l’Université de Cambridge, un
exemplaire
sous la cote O. 3. 4. 2 ; 7º À la bibliothèque pu
us la cote O. 3. 4. 2 ; 7º À la bibliothèque publique d’Innsbruck, un
exemplaire
sons la cote 293 ; 8º À la bibliothèque publique
laire sons la cote 293 ; 8º À la bibliothèque publique de La Haye, un
exemplaire
mutilé qui, dans la deuxième partie du catalogue
s, porte le nº 17 ; 9º À la bibliothèque de l’Université de Leyde, un
exemplaire
sous la cote Prenktab ; 10º À la bibliothèque pub
a cote Prenktab ; 10º À la bibliothèque publique de Grætz, un dernier
exemplaire
. 6º Édition de Sébastien Brant de 1521. L’é
confrère d’Ulm. Ce dernier lui avait vraisemblablement communiqué un
exemplaire
de sa fameuse édition du Romulus ordinaire ; il n
cette édition, j’ajoute que j’en ai trouvé, sous la cote X. E. 28, un
exemplaire
conservé dans la bibliothèque impériale de Vienne
obligé de renvoyer ceux qui voudront en prendre connaissance aux deux
exemplaires
que j’en ai rencontrés, l’un dans la bibliothèque
a bibliothèque publique de Linz, sous la cote D. iv. 9, relié avec un
exemplaire
de l’édition latine du Romulus de Sorg décrite pa
les numéros 109 et 110. Mais, autant que j’ai pu en juger par le seul
exemplaire
que j’aie eu sous les yeux, ils n’ont jamais exis
achtsten jares | . Il existe à la bibliothèque royale de La Haye un
exemplaire
de cette édition. 6º Édition de Jean Fahre.
ressions et la bibliothèque publique d’Ulm abrite de l’une d’elles un
exemplaire
acquis à la vente des livres d’un descendant des
e. 15 et à la Bibliothèque Bodléienne sous la cote A. III. art., des
exemplaires
de la première édition de Graff, imprimée dans le
ous la cote 637. F. 40 et dans celle du South Kensington Museum, deux
exemplaires
qui me permettent d’en donner le signalement. Les
allemande a été publiée à Francfort. Le British Museum en possède un
exemplaire
sous la cote 12305. aaa. 23. 9º Éditions de Ni
bibliothèque publique de Versailles possède, sous la cote E 717 d, un
exemplaire
de cette édition. B. Édition de 1586. J’ai
’ai trouvé à la bibliothèque publique de Nancy, sous la cote NN 1, un
exemplaire
de l’édition de 1586. C’est un volume in-12 de 40
C. Édition de 1589. L’édition de 1589, dont je ne connais aucun
exemplaire
, m’a été révélée par la Bibliotheca librorum germ
vingt-sept d’Avianus. Il existe à la bibliothèque publique de Linz un
exemplaire
de cette édition sous la cote L. II. 155. 11º
ate sont indiqués en ces termes : Zu Basel, Anno 1676. Il existe un
exemplaire
de cette édition au British Museum sous la cote 1
e de 1480. Il en existe, à la Grenville library sous la cote 7806, un
exemplaire
auquel j’ai emprunté l’analyse qui va suivre. Le
tte édition comme la plus ancienne. Aussi à la cote qu’il donnait à l’
exemplaire
7806 a-t-il ajouté l’observation suivante : « Of
s le rédacteur du Catalogue de la Bibliothèque de Tours, où existe un
exemplaire
de cette édition sous le nº 3266, elle serait l’o
pour la trancher, il faudrait avoir simultanément entre les mains les
exemplaires
des deux éditions, je ne l’essaierai pas. Ce qui
his Huss et Jean Schabeller, à Lyon, en 1484. Je n’ai rencontré aucun
exemplaire
de cette édition, et je n’en parle que d’après Br
ur de avril. J’ai trouvé, à la Bibliothèque impériale de Vienne, un
exemplaire
de cette édition sous la cote 10. G. 1. 5º Édi
de | Alfonce. Et aulcunes ioyeuses de Poge florentin. Il existe un
exemplaire
de cette édition à la Bibliothèque du British Mus
ne350. Elle forme un volume in-4º, orné de gravures sur bois, dont un
exemplaire
existe dans cette bibliothèque sous le nº 4693. C
s nostre-dame de Confort. MDXXXI, le vij iour de Mars. Il existe un
exemplaire
de cette édition à la bibliothèque ducale de Wolf
signalée par Brunet356 et dont j’ai trouvé à la Grenville library un
exemplaire
sous la cote 7703. Elle forme un volume in-8º, im
t-être est l’édition de 1561, dont l’existence m’a été révélée par un
exemplaire
conservé sous la cote 7707 dans la Grenville libr
conservé sous la cote 7707 dans la Grenville library. En tête de cet
exemplaire
, qui forme un petit volume in-12 imprimé en carac
de connaître plus complètement l’édition originale de Caxton aux deux
exemplaires
que j’en ai trouvés, l’un au British Museum sous
à la bibliothèque Bodléienne sous la cote Auct. Q. Q. supra 1. 21. L’
exemplaire
de la Bodléienne, privé malheureusement des derni
and typography of William Caxton England’s first printer , et dont un
exemplaire
existe à la bibliothèque de l’Université de Cambr
dres vers 1500 dans le format in-fol. Le British Museum en possède un
exemplaire
porté au catalogue avec la mention suivante : Th
d’après le Catalogue de la Bibliothèque Bodléienne qui en possède un
exemplaire
sous la cote Douce A 40, parut de la traduction a
gnés de r vii à s iii et remplis par la table. Cette édition, dont un
exemplaire
existe à la Bibliothèque du British Museum sous l
ing at the Bell in Paules Churchyeard. | 1634. J’ai rencontré trois
exemplaires
de cette édition, l’un à la bibliothèque du Briti
ice et quatre derniers pour la table. Le British Museum en possède un
exemplaire
inscrit au catalogue sous la cote 12305. bb. 14 a
catalogue du British Museum, qui, sous la cote E. 1889, en possède un
exemplaire
, elle est mentionnée en ces termes : The Fables
Roger l’Estrange, et le septième, celui en pied d’Ésope. Il existe un
exemplaire
de l’édition à la Bibliothèque Bodléienne sous la
J. Hindmarsh, and G. Sawbridge, 1694. Il existe au British Museum un
exemplaire
de cette réimpression sous la cote 85. l. 1. B
trahan, 1708. Il existe à la Bodléienne, sous la cote 291. f. 39, un
exemplaire
de cette réimpression. C. Réimpression de 1714
dge, B. Tooke, and G. Strahan, 1714. Il existe au British Museum un
exemplaire
de cette réimpression sous la cote 12304. cc. 31.
Browne. and J. Hodge. | M.DCC.XXXVIII. Il existe à la Bodléienne un
exemplaire
de cette réimpression sous la cote Douce A. 500.
de cette réimpression sous la cote Douce A. 500. Je ne connais pas d’
exemplaires
des deuxième, troisième et sixième réimpressions.
l’heure. J’ai trouvé à la bibliothèque du South Kensington Museum un
exemplaire
de l’édition de Gouda, qui, quoique incomplet, me
ravures sur bois. Il en existe à la bibliothèque royale de La Haye un
exemplaire
, qui figure sous le nº 593 dans la première parti
inden april. Fol. 99 b à 100 b. — Pages blanches. J’ai trouvé deux
exemplaires
de cette rare édition, l’un au British Museum son
p. 41, col. 1, nº 358. J’en ai donné l’analyse qui précède d’après un
exemplaire
, qui, sous la cote I. Z. 13, existe à la Biblioth
leman. An̄o. de mil. d. et. xxvj. a. x. dias de Abril. Il existe un
exemplaire
de cette édition à la Bibliothèque du British Mus
ion de 1546. J’ai de cette édition publiée à Anvers rencontré deux
exemplaires
, l’un à la Bibliothèque publique de Carpentras so
8). — Feuillet blanc. Il existe, à la Bibliothèque de l’Escurial, un
exemplaire
de cette édition sous la cote jv. N. 3. 7º Édi
as del mes de Marco. An̄o de | mil y quinientos y sessentay dos. Un
exemplaire
de cette édition se trouve sous la cote 637. K. 5
t absolument identique à celui de l’édition d’Ulm. Page 384. Fin. Des
exemplaires
de l’édition de Plantin existent à la bibliothèqu
as collectas, n’en comprend que 21. J’ai trouvé sous la cote 15915 un
exemplaire
de cette édition dans la bibliothèque publique de
ate, qui a été, comme celle de Plantin, imprimée à Anvers, et dont un
exemplaire
existe à la bibliothèque publique de Versailles s
l Contraste. À la fin du volume : Laus deo. Cette édition, dont un
exemplaire
se trouve à la bibliothèque du British Museum, n’
erinus qui dans l’édition de Plantin avait été omise. Il en existe un
exemplaire
sous la cote 12304 a 27 à la bibliothèque du Brit
illets et suivies de 9 pages de table non numérotées. Il en existe un
exemplaire
à la Bibliothèque Bodléienne sous la cote GP. 75.
illets et suivies de 9 pages de table, non numérotés. Il en existe un
exemplaire
à la Bibliothèque Bodléienne sous la cote GP. 394
mérotées, suivies de 4 pages de table non numérotées. Il en existe un
exemplaire
à la Bibliothèque Bodléienne sous la cote 291. g.
rd’hui ne pourrait guère être dépassée. Il n’en existe que très peu d’
exemplaires
. Celui sur lequel j’ai rédigé l’analyse qui va su
orial nouuellement imprime a Paris. Au bas du frontispice, dans les
exemplaires
destinés à J. Petit, on lit : Ils se vendent en
quel est plusieurs fois répété le nom du libraire J. Petit, lorsque l’
exemplaire
lui est destiné. Dans ceux destinés à Galliot du
tour du moys de mars Lan || mil cinq cēs. xxxi. À ces mots, dans les
exemplaires
destinés à F. Regnault, l’imprimeur a ajouté ceux
us les cotes G. 209 et G. 210, et celle d’Épinal possèdent chacune un
exemplaire
de l’édition. Section V. Éditions anglaises d
, en Styrie, dans la Bibliothèque de Grätz, sous la cote 43 a / 10 un
exemplaire
de son opuscule intitulé : Qui auctores legendi
ortzeim chez Thomas Anthelme et achevé au mois de mars 1504. Dans cet
exemplaire
j’ai lu ce qui suit : « Esopus etiam Phrigius ill
te, Salon, savant chercheur, aurait été à Athènes, y aurait trouvé un
exemplaire
des fables grecques d’Ésope et les aurait traduit
1507. J’en ai trouvé dans la Bibliothèque palatine de cette ville un
exemplaire
, le seul peut-être qui en soit resté. Le frontisp
fables, qui avait été publiée à Modène en 1481 et dont il avait vu un
exemplaire
dans la riche bibliothèque d’Apostolo Zeno, il cr
c, et, sauf la vignette du premier, dépourvus de toute gravure (deux
exemplaires
de cette édition se trouvent, l’un dans la biblio
cette souscription : Fabularum liber cum glosa finit feliciter (un
exemplaire
de cette édition existe à la bibliothèque de Dijo
mais signés de a à g, sans lieu, ni date, ni nom d’imprimeur, dont un
exemplaire
existe à la Bibliothèque cantonale de Berne sous
intersignio regule auree iuxta conventum augustinorum commorante (un
exemplaire
de cette édition se trouve à la bibliothèque publ
eauté du manuscrit que M. Robert a été conduit à penser que c’était l’
exemplaire
offert à la reine de France, il s’est basé sur un
ançais des manuscrits de la Bibliothèque nationale possède un dernier
exemplaire
de la traduction en vers français des fables de W
édition est signalée par Hain454 et par Brunet455. J’en ai trouvé un
exemplaire
à la bibliothèque publique de Stuttgart. 1476
eiusque filios die xvi. Nouembris Mcccclxxvi. Je ne connais pas d’
exemplaire
de cette édition signalée par Panzer (Annales typ
Bruxelles, sous le nº 1529 substitué au nº 997, possèdent chacune un
exemplaire
de cette édition in-4 composée de 34 feuillets si
nno dñi M. cccc. lxxxviij Die ultima Decembris. Je ne connais pas d’
exemplaire
de cette édition in-4º, citée par Panzer (Annales
iothèque publique de Nuremberg sous la cote 139, possèdent chacune un
exemplaire
de cette édition in-4º qui se compose de 42 feuil
thèque publique de Linz sous la cote B. 131. b., possèdent chacune un
exemplaire
de cette édition in-4º, qui se compose de 32 feui
ui porte cette inscription : Lepidis-||simi Esopi || fabu-|lae. Un
exemplaire
de cette édition in-4, coté X. H. 66, se trouve à
m Fabri anno domini. M.cccc.lxxxx. die xxiii Januarii. Il existe un
exemplaire
de cette édition à la Bibliothèque de l’Universit
c. a. 716 et la bibliothèque royale de Stuttgart possèdent chacune un
exemplaire
de cette édition. — Esopus cum commento optimo e
C’est la première des éditions imprimées à Deventer. Il en existe des
exemplaires
à la Grenville library sous le nº 7736, à la bibl
anno salutis nostre M. cccc. xci sexto ydus Octobris. Je possède un
exemplaire
de cette édition in-4º, que je n’ai trouvée dans
format in-4º. Il en existe, sous le nº 1840 substitué au nº 1620, un
exemplaire
à la bibliothèque royale de Bruxelles. — Esopus
let est blanc. Cette édition avait sans doute été tirée à un nombre d’
exemplaires
relativement considérable ; car ils ne sont pas r
essi Lugduni. Anno domini. M. cccc. lxxxxiiij die xvi. Februari. Un
exemplaire
parfaitement conservé de cette édition figure, so
ii. Sous la cote 10973 la bibliothèque publique de Dijon possède un
exemplaire
de cette édition. — Esopus moralisatus || cum bo
bibliothèque publique de Linz, sous la cote B. 100. B, possèdent des
exemplaires
de cette édition classique in-4º, qui se compose
de Breda. Anno domini M. cccc. xciiii tercio kalendas Augusti. Deux
exemplaires
de cette édition qui forme un volume in-4º de 39
n-4º de l’édition de Deventer. Sous la cote Douce 58, il en existe un
exemplaire
à la bibliothèque Bodléienne. 1496. Eso
e par Panzer, t. I, p. 363, nº 100. Il en existe au British Museum un
exemplaire
sous la cote I073.l.29./2*. — Édition d’écolier i
de 8 feuillets et l’autre de 10. Je ne connais de cette édition qu’un
exemplaire
qui existe à la bibliothèque du palais Brera sous
e l’édition lyonnaise de 1494. Il s’en trouve, sous la cote 14680, un
exemplaire
à la bibliothèque publique d’Arras. — Esopus mo
r. b. 61 et la bibliothèque privée du roi de Wurtemberg possèdent des
exemplaires
de cette réimpression qui forme un volume in-4º d
pas mention, cette édition a été imprimée à Brescia. Il en existe un
exemplaire
au British Museum sous la cote 12304 e, et un aut
ni M. cccc. xcviij. Die vero xij Aprilis. Je n’ai trouvé qu’un seul
exemplaire
de cette rarissime édition : il existe à la bibli
col. Lupi (Wolf). » — Esopus moralisatus cum bono commento. Un des
exemplaires
de cette édition, qui ne contient aucune indicati
othèque royale de Bruxelles, sous le nº 2075 substitué au nº 2044, un
exemplaire
relié avec d’autres ouvrages. Telle est la nomenc
s de Breda. Il en existe à la bibliothèque de l’Université de Bâle un
exemplaire
sous la cote D. D. VII. 12 ; il fait, avec d’autr
novre, la Bibliothèque du roi, sous la cote 201, possède également un
exemplaire
de cette réimpression. — [A]uctores octo cō||tine
une réimpression de la première édition de Deventer. Il en existe un
exemplaire
sous le nº 2626 à la Bibliothèque royale de Bruxe
la cote C. 38. d. 1, il existe à la Bibliothèque du British Museum un
exemplaire
de l’édition de Wynkyn de Worde. 1504.
n’est citée dans aucun répertoire bibliographique. Il en a existé un
exemplaire
dans la bibliothèque du marquis de Morante. 1
ci Ugoleli Et || Octaviani Saladi. M. D. vii. Nono Kal. Aprilis. Un
exemplaire
de cette édition existe à la Bibliothèque palatin
ivi de la date de : M. D. VIII. Le verso de ce feuillet est blanc. Un
exemplaire
de cette édition est conservé, sous la cote A. Gr
ptembris. Le frontispice est répété au verso du dernier feuillet. Un
exemplaire
de cette édition in-4º existe sous le nº 7740 à l
ailes sont déployées. Il existe à la bibliothèque du palais Brera un
exemplaire
de cette édition sous la cote AN. IX. 58. 151
s per Bernardinum Benalium Anno dñi M. ccccc. xvij mensis Madij. Un
exemplaire
de cette édition in-4º se trouve, sous la cote 77
: Lugd. per Jo. Marion 1519. La bibliothèque Bodléienne possède un
exemplaire
de cette édition classique coté x. x. 83. Th. sub
tribuer à Salon de Parme les fables en vers élégiaques. Il existe des
exemplaires
de cette édition à la Grenville library sous la c
E F G H I K L M || N O P Q R. || Omnes sunt quaterni. Il existe des
exemplaires
de cette édition à la Bodléienne sous la cote C.
ce qui donne un nombre total de quarante-six feuillets. Il existe un
exemplaire
de cette édition à la Grenville library sous la c
e || Anno a Christo nato. M. ccccc. xxxviij. die. viij. Martii. Un
exemplaire
de cette édition est conservé à la bibliothèque A
Parmae || Apvd Seth de Viottis. Anno m.d.xlvii. || Mense Maii. Un
exemplaire
de cette édition existe à la Bibliothèque Marcien
la Bibliothèque provinciale, sous la cote 8. 98, possèdent chacune un
exemplaire
de cette rare édition. 1557. Esopus con
liothèque de l’Université, sous la cote 53. 329, possèdent chacune un
exemplaire
de cette édition. 1561. Æsopi fabule cu
Signore m.d.lxi. Il existe à la Bibliothèque palatine de Parme un
exemplaire
de cette édition, sous la cote DD.IX. 29175.
d’une table des matières. Il existe à la bibliothèque Ambrosienne un
exemplaire
de cette édition sous la cote Y̱. VII. 118. 1
n’est que la reproduction d’une première dont je n’ai retrouvé aucun
exemplaire
. Elle n’est pas datée ; mais le Catalogue de la
hèque Palatine de Parme, sous la cote Sal. M* VIII. 40304, possède un
exemplaire
de cette édition. 1784 et 1810. Après l’éd
narii. || MDCCCXIII. Le volume se compose de 296 pages. Il existe un
exemplaire
de cette édition dans la Bibliothèque de l’Univer
rancesco Bonaccorsi. Il en existe, à la Bibliothèque Riccardienne, un
exemplaire
malheureusement incomplet, qui, dans le Catalogue
la cote 183.4, enfin la Bibliothèque de Bergame détiennent chacune un
exemplaire
de cette édition. 1782. Volgarizzamento
l’a enrichie d’une préface et d’un vocabulaire. Il en a été tiré des
exemplaires
tant sur parchemin que sur papier. Des premiers l
ote 178. 1 et celles de Brescia et de Bergame en possèdent chacune un
exemplaire
. — Volgarizzamento || delle favole || di Esopo |
GG. 33, et celle de Vérone, sous la cote 183. 1, possèdent chacune un
exemplaire
de cette édition. 1837. Favole || di Es
one, sous la cote 181. 1, et celle de Bergame en possèdent chacune un
exemplaire
. 1840. Esopo || volgarizzato || per uno
esso la libreria Gamba, || 1840. Édition in-18 de 136 pages, dont un
exemplaire
existe dans la Bibliothèque de Vérone. 1847.
banti MDCCCXLVII. Édition in-12 de xxvi-91 pages, dont il existe des
exemplaires
à la Bibliothèque Marcienne, sous la cote 52710,
Marcienne, sous le nº 58848, et celle de Vérone possèdent chacune un
exemplaire
. 1854. Esopo || volgarizzato per uno da
L. 3. 6, et celle de Vérone, sous la cote 182.1, possèdent chacune un
exemplaire
de cette édition. 1856. Esopo volgarizz
motif qui l’a obligé à limiter ainsi sa publication. Il en existe des
exemplaires
à la Bibliothèque de l’Université de Bologne, sou
Malheureusement elle est plus luxueuse que correcte. Il en existe un
exemplaire
à la Bibliothèque du palais Brera. 1866.
oni), enfin de la page 269 à la page 285, trois tables. Il existe un
exemplaire
de cette édition dans la Bibliothèque nationale à
et la réimpression sont, au palais Brera, représentées chacune par un
exemplaire
. 2º Traduction en vers d’Accio Zuccho. De
a. 5 et la Grenville Library, sous la cote 7729 possèdent chacune un
exemplaire
de cette édition. 1483. Publiée d’abord d
du quatre-vingt-deuxième et dernier feuillet est blanc. Il existe un
exemplaire
de cette édition à la Bibliothèque nationale, où,
lographique ; elle représente Ésope couronné de lauriers, recevant un
exemplaire
des mains du traducteur agenouillé, qui est vêtu
du British Museum, la Bodléienne et la Colombine possèdent chacune un
exemplaire
de cette édition : la première, sous la cote C. 2
sième, sous la cote 4. 6. 16 (précédemment C. FF. Tab. 169. N. 52). L’
exemplaire
de la Colombine a appartenu à Fernand Colomb qui,
i trouvé à la Bibliothèque Marcienne sous la cote CXIII. 7. 41304, un
exemplaire
qui me permet de signaler leur erreur et d’éviter
|| Agosto. La Bibliothèque de Vérone, sous la cote 77.2 possède un
exemplaire
de cette édition. 1497. Esopo historiad
ue de l’Université de Ferrare sous la cote O. 66 possèdent chacune un
exemplaire
de cette édition. — Esopo con la vita sua histor
ni. L’avant-dernier feuillet est occupé par la table. Il existe des
exemplaires
de cette édition au British Museum sous la cote 1
et la Bibliothèque de Vérone sous la cote 105.4 possèdent chacune un
exemplaire
de cette édition. ― Le fabule de Ysopo vol||gare
matières et la marque de l’imprimeur. La Grenville library possède un
exemplaire
de cette édition sous la cote 7744. 1520.
ccc. xx. A di || xxv. de Septembre. La Grenville library possède un
exemplaire
de cette édition sous la cote 7750. 1528.
tion forme un volume in-8º orné de gravures sur bois. Il en existe un
exemplaire
à la bibliothèque Bodléienne sous la cote Douce Z
M. d. xxxiii. || Die xxvii. Octobr. La Grenville library possède un
exemplaire
de cette édition sous la cote 7754. 1544.
r Augustinum de Bindonis, anno Domini M. d. xxxxiiii. Il existe un
exemplaire
de cette édition dans la bibliothèque de Wolfenbü
Francesco || de Leno. 1566. La bibliothèque Ambrosienne possède un
exemplaire
de cette édition sous la cote S. Q. O. II. 35. Là
s fables et les table et registre qui les suivent. J’ai rencontré des
exemplaires
de cette édition dans de nombreuses bibliothèques
º 353). 1493. Une deuxième édition, qui, si j’en juge par les
exemplaires
que j’en ai trouvés, est aujourd’hui encore moins
cote 2. 6. 26 (précédemment C. K. K. Tab. 196, N. 19) renferment des
exemplaires
de cette édition qui est citée par Panzer (t. I,
année dans le format in-4º avec gravures sur bois. Il s’en trouve un
exemplaire
à la Grenville library sous la cote 7735, et le c
e à Chartres, au mois de juillet 1834, dans un petit volume tiré à 48
exemplaires
et intitulé : Fables en vers du xiiie siècle. Co
u pouvoir leur assigner à tous les trois le même rang, en faire trois
exemplaires
plus ou moins complets et exacts de la même œuvre
Delisle, je ne dusse considérer le manuscrit de Florence que comme un
exemplaire
de plus du Romulus ordinaire. Pour m’éclairer, ce
lication en avait été faite, je me suis mis à la recherche des autres
exemplaires
qui pouvaient encore en exister, et j’ai été asse
ue le manuscrit, d’où Nilant a tiré son Romulus, n’était qu’un second
exemplaire
moins ancien des Fabulæ antiquæ, et, ce qui est p
e de Wolfenbüttel, la copie prise par Gude du manuscrit de Dijon et l’
exemplaire
qu’il croyait unique de la vieille édition d’Ulm
dirais qu’il devait être Anglais. Lorsqu’on songe que l’un des trois
exemplaires
connus du Romulus de Nilant est encore aujourd’hu
que c’est à Londres et à Cambridge que sont conservés les deux seuls
exemplaires
du Dérivé, on doit trouver que ma supposition n’e
ant l’un 18 fables et l’autre 34. Quoique je ne connaisse aucun autre
exemplaire
complet de la même œuvre, il me paraît très certa
175. Cette édition de Cassitto est très rare. Je n’en connais qu’un
exemplaire
qui existe à Florence, dans la Bibliotheca Marucc
vol. in-8º. (Voyez tome I, p. 37.) 296. Il existe aussi à Leyde deux
exemplaires
de cet opuscule, l’un dans la bibliothèque de l’U
rses éditions du xve siècle et notamment dans celles dont il y a des
exemplaires
à la Bibliothèque Impériale de Vienne sous la cot
-même j’ai en ma possession, avec le même prologue placé en tête, les
exemplaires
de deux éditions incunables des fables de l’anony
, tome I, p. 36. 331. À Vienne, la bibliothèque Albertine possède un
exemplaire
des fables de Romulus qui me paraît bien se rappo
hecarii. | Oxonii, è Theatro Sheldoniano. | M.DC.LXXIV. Il existe des
exemplaires
de ce catalogue à la Bibliothèque nationale sous
Theatro Sheldoniano. | M.DCCXXXVIII. Voyez t. I, p. 76. Il existe un
exemplaire
de ce catalogue en 2 volumes in-fol. à la Bibliot