enard et voulut l’effrayer aussi. Mais le renard, qui avait justement
entendu
sa voix auparavant, lui dit : « N’en doute pas, t
en doute pas, tu m’aurais fait peur à moi aussi, si je ne t’avais pas
entendu
braire. » C’est ainsi que des gens sans éducation
dd. Pa 183 Pf 100 Ma 125 Mb 157 Me 127 Mf 107 Ca 137. Un âne, ayant
entendu
chanter des cigales, fut charmé de leur voix harm
r envia leur talent. « Que mangez-vous, leur demanda-t-il, pour faire
entendre
un tel chant ? – De la rosée, » dirent-elles. Dès
les Loups comme on sçait rarement en usage.) Celuy-cy fort surpris d’
entendre
ce langage, Comme il estoit venu s’en retourna ch
s’il eust ajoûté foy Au mot du guet, que de fortune Nostre Loup avoit
entendu
? Deux seuretez valent mieux qu’une : Et le trop
, enfin bonne Provende. Le larron commençoit pourtant à s’ennuyer. Il
entend
un enfant crier. La mere aussi-tost le gourmande,
donner une partie de sa queuë, pour en couvrir son derriere, luy fit
entendre
que cela l’incommodoit par trop, au lieu que pour
outes les deux il est aisé d’en tirer de l’instruction. La premiere s’
entend
de la chicheté des Riches, qui font gloire de ref
l raisnablement, sil put li sages entreprendre, s’il veut a sa parole
entendre
. Del leial hume est meuz creüe une parole e enten
veut a sa parole entendre. Del leial hume est meuz creüe une parole e
entendue
, e plus put [il] en un grant pleit que quanques l
me d’asquanz genz — si est oï e veü suvenz — : teles custumes veulent
entendre
; mes, quand il sunt aparceüz, tuz jurs [en] sunt
erf hors de danger Broute sa bienfaitrice, ingratitude extrême ! On l’
entend
, on retourne, on le fait déloger, Il vient mourir
λῶν. Cod. Mb 13. Un homme lâche partait pour la guerre ; mais ayant
entendu
croasser des corbeaux, il posa ses armes et ne bo
eo poi plus proprement. Ore pri a Deu omnipotent kë a tel ovre puisse
entendre
quë a lui pusse m’alme rendre.
ême. » Cette fable apprend à reconnaître les gens hardis et lâches, j’
entends
hardis en paroles et lâches en actions.
as tort, l’ami, dit-il, de t’attacher à une espérance ; l’espérance s’
entend
à repaître d’illusion, mais de nourriture, non pa
it sa parole lente, sa voix casse, et la peine qu’il avoit à se faire
entendre
. Toutes lesquelles choses semblent avoir esté cau
ste
Pendant qu’ils estoient en train.
A la porte de la salle
Ils
entendirent
du bruit.
Le Rat de ville détale,
Son camarade
mafluë, et rebondie.
Au bout de la semaine ayant disné son sou, Elle
entend
quelque bruit, veut sortir par le trou,
Ne peut
est sa coignée ; et la cherchant en vain, Ce fut pitié là-dessus de l’
entendre
. Il n’avoit pas des outils à revendre. Sur celuy-
Et de crier pour se le faire rendre. Le Roi des Dieux ne sçait auquel
entendre
. Son fils Mercure aux criards vient encor, A chac
ez un petit nombre d’hommes ; maintenant il est chez tous, quoi qu’on
entende
et quoi qu’on dise. » La vie devient mauvaise et
ces mots il se fit une telle huée, Que le pauvre écourté ne put estre
entendu
. Pretendre oster la queuë eust esté temps perdu ;
tre et le loup Un prestre volst jadis aprendre a un lu lettres fere
entendre
. « A », dist li prestre, « a », dist li lus, que
Marie de France, n° 6 Le mariage du soleil Par essample fet ci
entendre
que li soleil volt femme prendre. A tute creature
atreire ; plus est cheri s’il ad quei prendre que si a autrui se deit
entendre
.
ala pur demander a chescun fust qu’il pot trover al quel il li loënt
entendre
, del queil il puisse mance prendre. Quant ensembl
secrette, se mit à contrefaire une lettre, par laquelle il donnoit à
entendre
au nom d’Esope, qu’il n’estoit pas si content d’a
émement, pource qu’il n’y avoit pas un de ses amis qui fust capable d’
entendre
la question de la Tour. Il s’affligea donc d’une
Courent au Testament sans attendre plus tard. On le lit ; on tâche d’
entendre
La volonté du Testateur, Mais en vain : car comme
i se pique D’estre le plus subtil des peuples d’aujourd’huy, A si mal
entendu
la volonté suprême D’un testateur ! Ayant ainsi p
les Philosophes ; Il est vray qu’à le prendre moralement cela peut s’
entendre
des hommes, qui tiennent de la Divinité, et qui n
ns expliquent fort doctement, quand ils disent que par Celius se doit
entendre
Dieu, en qui sont comprises toutes les creatures
les noms de Celius, de Saturne, de Jupiter, et de Pluton nous pouvons
entendre
la partie Divine, la Contemplative, l’Œconomique,
iquent cela bien delicatement, quand ils disent que par Venus il faut
entendre
une forte union de plusieurs choses discordantes,
il se mit à gémir et à se lamenter. Les grenouilles du marais, ayant
entendu
ses gémissements, lui dirent : « Hé, l’ami ! qu’a
uz sun mantel ; l’un des chés leise dehors pendre, que li juges deüst
entendre
qu’il li aporte pur luier, que de sun pleit li de
ar mégarde dans un puits. Comme il se lamentait et criait, un passant
entendit
ses gémissements, s’approcha, et apprenant ce qui
e milan eut jadis une autre voix, qui était perçante. Mais un jour il
entendit
un cheval qui hennissait admirablement, et il vou
n pigeonnier faisait grand bruit de sa fécondité. Une corneille ayant
entendu
ses vanteries, lui dit : « Hé ! l’amie, cesse de
manger lui-même, il la lui avait gardée, vu qu’il avait du plaisir à
entendre
le bruit de ses dents. Le cheval lui répondit : «
le vif dunt l’em ad [tant] cunfort. » Par iceste signefiance peot hum
entendre
queil creance deivent aver li morz es vifs ; tant
li ad la lange copee. Puis demande quei avis li fu, quë ele en aveit
entendu
, si li prez fu od falcs fauchez u [si] od forces
x Panathénées des mâles. » Comme l’acheteur était surpris de ce qu’il
entendait
, le créancier ajouta : « Cesse de t’étonner ; car
âne la ramassa, rompit le sceau, l’ouvrit et la lut de manière à être
entendu
du chien. Il y était question de pâture, je veux
donnoit la fiévre. Le melancolique animal En rêvant à cette matiere,
Entend
un leger bruit : ce luy fut un signal Pour s’enfu
el juge l’on convint. Notre Lievre n’avoit que quatre pas à faire ; J’
entends
de ceux qu’il fait lorsque prest d’estre atteint,
chine ronde, Ton bras peut me tirer d’icy. Sa prière estant faite, il
entend
dans la nuë Une voix qui luy parle ainsi : Hercul
amé rôdait en quête de nourriture. Arrivé dans un certain endroit, il
entendit
un petit enfant qui pleurait et une vieille femme
sait vrai, s’arrêta et attendit longtemps. Quand le soir fut venu, il
entendit
de nouveau la vieille qui choyait le petit enfant
he, il n’y pût jamais rien comprendre et confessa franchement qu’il n’
entendoit
pas cela. Alors Esope le regardant, « Seigneur »,
expliques ces lettres, car ce me sera une chose plus precieuse de les
entendre
, que de posseder tout l’or, que tu sçaurois jamai
uses d’autruy par nostre propre déguisement ; et c’estoit ainsi que l’
entendoit
Tacite, quand il disoit, « Qui ne sçait dissimule
dire à ces raisons,
Fit enqueste nouvelle ; et pour plus de lumiere
Entendit
une fourmilliere.
Le point n’en pût estre éclair
Fourmy le picque au talon. Le Vilain retourne la teste. La Colombe l’
entend
, part, et tire de long. Le souper du Croquant ave
s deveit ester cuntre les chiens e desturber ; a lui les deveit faire
entendre
, quant li lus ireit preie prendre. Un aignel pris
venist a tere sus. Quant li lu esteit arivez, al vilein dist : « Ore
entendez
! Tut est perdu e luinz e pres quan que l’em fet
ux : « Je suis médecin et je connais les remèdes. » Un renard l’ayant
entendue
s’écria : « Comment sauveras-tu les autres, toi q
accrochée à une fenêtre, chantait pendant la nuit. Une chauve-souris
entendit
de loin sa voix, et, s’approchant de lui, lui dem
ours sur la trentiesme Fable. Ceux-là s’abusent extrémement, qui n’
entendent
par le vray nom de Beauté que la corporelle, à sç
aisons l’homme à nostre ressemblance ». Car de croire qu’il ait voulu
entendre
par là des traicts de visage, et des proportions
aux chiens : « Pourquoi, étant de tout point pareils à nous, ne vous
entendez
-vous pas avec nous, comme des frères ? Car nous n
le visiter. » Sur ces entrefaites le renard arrivait lui aussi, et il
entendit
les dernières paroles du loup. Alors le lion pous
t contre luy, disant entr’autres choses : « Je ne sçay pas comme tu l’
entends
, mais je suis bien asseurée, ô Xanthus, qu’il ne
t de vous renfermer aux trous de quelque mur.
Les Oisillons las de l’
entendre
,
Se mirent à jazer aussi confusément, Que faisoi
la terre nous sommes, Il en est peu qui fort souvent Ne se plaisent d’
entendre
dire, Qu’au Livre du Destin les mortels peuvent l
l’as esgardee. » Par essample nus veut aprendre que nul ne deit nïent
entendre
a fable kë est de mençuinge ne a peinture que sem
se mit à gémir et à se lamenter. Un autre renard, qui passait par là,
entendit
ses plaintes et s’approchant lui en demanda la ca
voir appris ? » Cette fable montre qu’à se mêler d’affaire que l’on n’
entend
pas, non seulement on ne gagne rien, mais encore
nce du Loup, qui ne luy peut estre, ny agreable, ny utile ; donnant à
entendre
que la meilleure ayde que nous pouvons tirer d’un
pour témoins. Tircis qui l’apperceut, se glisse entre des Saules, Il
entend
la Bergere adressant ces paroles Au doux Zephire,
le coq ayant, suivant son habitude, chanté avant le jour, un renard l’
entendit
, accourut et, s’arrêtant en bas de l’arbre, le pr
139 Pc 78 Pf 75 Pg 93 Ph 71 Ma 95 Me 98 Mf 82 Mj 92. Un lion, ayant
entendu
coasser une grenouille, se retourna au son, pensa
bunal l’Escarbot comparut, Fit sa plainte, et conta l’affaire. On fit
entendre
à l’Aigle enfin qu’elle avoit tort. Mais les deux
aurons-nous des gendres ? Bon homme, c’est ce coup qu’il faut, vous m’
entendez
, Qu’il faut foüiller à l’escarcelle. Disant ces m
re », fet il, « bien sai e vei, malement avez prié pur mei : bien poi
entendre
par le cri que ceo ert preere de enemi. Mut est m
nt glorieux et hautains ; quand ils en sont aux années du bœuf, ils s’
entendent
à commander ; mais quand ils achèvent leur existe
uel. Ce qui se dit des exemples generaux, doit, à mon jugement, estre
entendu
des particuliers : Car les embusches que nos Envi
ut encore chercher des excuses à cecy, mais le Chat ne les voulut pas
entendre
, et s’irritant plus fort qu’auparavant ; « C’est
tut destrueit. Pur ceo voleit sa fille prendre, ne voleit mes aillurs
entendre
, pur ceo qu’il ot oï* cunter que rien nel pot cun
us delicieuse vie du monde, si elle est accompagnée de sujetion. Or n’
entendons
-nous pas icy par ce nom de liberté toute sorte d’
e le desirer ; aussi n’est-ce point de la façon que nostre sage Esope
entend
de nous persuader l’amour de la liberté. Ce n’est
ttribuë ceste deception qu’au plus noble des Oyseaux, et nous donne à
entendre
par là, que c’est le vice d’une belle ame, que la
ttribué ceste action au grossier animal d’Arcadie, pour nous donner à
entendre
qu’une faute si pesante que celle-là, ne peut pro
ira, luy respondit-il, horsmis ton secret. Par où il vouloit donner à
entendre
, que c’est une chose tres-dangereuse d’estre bien
divers usages. Aussi ne douté-je point que par la Tortuë on ne puisse
entendre
un esprit tardif, bien que vigilant ; par le Liév
ille a feire ceo dunt a plusurs nest cuntraire. Sages hum ne deit pas
entendre
ne a fole femme cunseil prendre, cum fist icist p
est le mescontentement qu’elles eurent de leur Roy ; voulant donner à
entendre
par là, que dés qu’un Estat a franchy les bornes
oir les autres, encore qu’il se soit jetté dans leur party, donnant à
entendre
par là combien est vray ce Proverbe, « Que la tra
. Discours sur la cent-huictiesme Fable. Bien que nous puissions
entendre
ceste Allegorie en deux façons, et accuser le Mai
mande tout haut, afin qu’il n’y ait personne en la compagnie qui ne l’
entende
. Que s’il advient qu’il te responde que tu és dem
Payen se soit contenté jusques là de la Providence du Ciel, et qu’on
entende
tous les jours parmy nous ces paroles pleines d’i
e Discours, je dis que par l’Allegorie de nostre Fable, Esope n’a pas
entendu
ceste derniere espece de Sages, et qu’il n’a non
ion, elle a esté tres-sagement inventée par Esope, pour nous donner à
entendre
, qu’il n’est point de si chetifve personne, de qu
r le moins cause-t’elle tous-jours de la risée. Or cela ne doit pas s’
entendre
seulement de l’humaine vanité, mais aussi de l’ad
rapportent entre plusieurs Histoires celle d’un certain Elephant, qui
entendoit
parfaictement le langage de son Maistre, et faiso
Mais de dire qu’ils raisonnent entr’eux, et qu’il y ait un art de les
entendre
, c’est une chose tout à fait extravagante. Car ce
nt eu de plus excellent sçavoir, que celuy qu’on luy attribuë d’avoir
entendu
le langage des bestes, nous ne serions pas mainte
sme l’addresse du Musicien. C’est ainsi, et non autrement, qu’il faut
entendre
ces passages, à sçavoir que les animaux chantent
la ruë ; « Tu és », luy dit-il, « eschappé de mes mains », donnant à
entendre
par ces paroles, que la disproportion de leurs qu
e dit en son Æneide, Qu’importe force ou dol contre son Ennemy ? Il
entend
toutesfois par le mot de dol, non une ruse malici
et que toutesfois elles renaissent tous-jours ; Par où ils donnent à
entendre
l’étrange opiniastreté de ce tourment qu’ils nous
rvertit si soudainement ? Est-ce que nostre Phrygien a voulu donner à
entendre
par ceste Fable, la grande foiblesse des hommes,
rs, que la Mouche s’attribuë, celle-cy l’impute à legereté, donnant à
entendre
par là, que les hommes qui vont dans le grand air
les ont eslevées ? Or ce que je dis des Sculpteurs, il le faut aussi
entendre
des Poëtes, comme pareillement des Peintres, et d
» Mais luy ne s’en esmouvoit en façon quelconque, et n’y vouloit pas
entendre
. Ce que voyant le Preteur, « Asseurément », luy d
e, qui ont esté compris à dessein sous une mesme Fable, pour donner à
entendre
qu’ils vont le plus souvent l’un avecque l’autre,
ur faire droict sur la requeste des deux Suppliants, voulant donner à
entendre
l’humeur de l’un et de l’autre. Il n’est pas beso
r la huictante-troisiesme Fable. Esope nous donne, ce me semble, a
entendre
par cette Fable, qu’il avoit de l’aversion à la P
es. Si l’on consulte l’édition de Phèdre due au Père Desbillons, on l’
entend
affirmer, dans sa Disputatio secunda 137, que le
pensée fut innocente et dont sa plume fut seule coupable. Il est donc
entendu
que c’est du premier livre qu’il a voulu parler.
rois pas, et je suis persuadé que c’est le manuscrit de Parme qu’il a
entendu
désigner. On se rappelle que c’est à Parme que d’
les ne peuvent être sorties que de sa plume. Il est vrai que, si l’on
entend
comme la plupart des traducteurs la phrase Per a
as entrepris pour l’éducation de son neveu, mais où du moins il avait
entendu
, non pas, en philologue, reproduire dans leur pur
ette fable la qualification de pulcherrima ? Évidemment parce qu’il n’
entend
pas se l’attribuer. S’il avait voulu faire prendr
ue Phedre ait fait des fables, ce qui est très possible, ou bien il a
entendu
par-là que personne parmi les Latins n’en avoit f
vste traduites en françois, avec le latin à costé. Pour servir à bien
entendre
la langue Latine, et à bien traduire en François.
gvste, Traduites en François avec le Latin à côté. Pour servir à bien
entendre
la Langue Latine, et à bien traduire en François.
gvste, tradvites en françois avec le latin à côté. Pour servir à bien
entendre
la langue Latine et à bien traduire en François.
ce nom serait-il supposé ? En est-il un de plus commun parmi ceux qui
entendent
et qui parlent la langue latine310 ? » Animé d’u
que où M. E. du Méril la formula, elle ait été adoptée. Il resta bien
entendu
que l’auteur des fables était un personnage à la
ituent par cela même des œuvres toutes personnelles. Il est donc bien
entendu
que toutes les fois que je donnerai le nom de Rom
plaisance de mettre sa signature au bas du bulletin. Seulement il fut
entendu
que je rapporterais le manuscrit au Consulat situ
traduites par Ranutio d’Arezzo328. Peut-être même Steinhöwel n’a-t-il
entendu
faire aucun choix et n’en a-t-il publié que dix-s
e toutes personnes que ce liure vouldront lire, pourront apprendre et
entendre
par ces fables à eulx bien gouverner. Car chescun
conté mainte fable Ou maint bon mot et profitable Puet chascun oïr et
entendre
, Qui a la fin se voudra prendre ; Mais aus bourde
cent chose plaisant A leurs maris en eulx aisant ; Et li mari doiuent
entendre
Aus armes et lettres aprendre ; Mes de armes doiu
ns aucunes en l’onneur de madame la royne. Or est temps que ie doie
entendre
A Dieu louer et grâces rendre, Pouquoi ie me sui
nté mainte fable, Ou maint bon mot et profitable • Puet chacun oïr et
entendre
, Qui a la fin se voudra prendre. Après les fable
e l’œuvre de Neckam. Je sais qu’une objection peut être faite et je n’
entends
pas en éluder l’examen. J’ai dit que des quarante
de grant sapience Le fist premierement : Et j’el mis en romans, Pour
entendre
aus enfans Et a laïque gent. Ce qui ressort de c
eindre le titre, vient un prologue ainsi conçu : Qui ce liure voudra
entendre
Moult de bien y porra aprendre, Qui miex li vaudr
me il était impossible d’en faire immédiatement l’acquisition, il fut
entendu
qu’ils seraient mis en réserve pour être l’objet
5. Puis survint M. Robert qui n’hésita pas à affirmer que Marie avait
entendu
désigner Guillaume d’Ypres516. En 1834, dans son
s latins elle avait préféré la mise en œuvre des récits qu’elle avait
entendus
et la composition des lais que, comme ses fables,
s traita Des prouierbes, qu’ele troua, D’Izopet, dont desus a dit, Si
entendre
com ele dit. Cil qui seuent des escritures, Deu
istre manda et dist. Par noble escrit et par painture, Por mieus
entendre
la nature De çou qu’il voloit aprouer, Par oï
trouai proprement. Or proi a Dieu omnipotent C’a tel oueure me loist
entendre
, Que iou li puisse l’arme rendre. Dans le manusc
, || elle donne d’excellents enseignements. || Pour ceux qui veulent
entendre
de bons préceptes || maître Ésope se montre aujou
ste. Tradvites en François, avec le Latin à costé. Pour servir à bien
entendre
la langue Latine et à bien traduire en François.
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