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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 268 » p. 188
enard et voulut l’effrayer aussi. Mais le renard, qui avait justement entendu sa voix auparavant, lui dit : « N’en doute pas, t
en doute pas, tu m’aurais fait peur à moi aussi, si je ne t’avais pas entendu braire. » C’est ainsi que des gens sans éducation
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 279 » pp. 184-184
dd. Pa 183 Pf 100 Ma 125 Mb 157 Me 127 Mf 107 Ca 137. Un âne, ayant entendu chanter des cigales, fut charmé de leur voix harm
r envia leur talent. « Que mangez-vous, leur demanda-t-il, pour faire entendre un tel chant ? – De la rosée, » dirent-elles. Dès
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
les Loups comme on sçait rarement en usage.) Celuy-cy fort surpris d’ entendre ce langage, Comme il estoit venu s’en retourna ch
s’il eust ajoûté foy Au mot du guet, que de fortune Nostre Loup avoit entendu  ? Deux seuretez valent mieux qu’une : Et le trop
, enfin bonne Provende. Le larron commençoit pourtant à s’ennuyer. Il entend un enfant crier. La mere aussi-tost le gourmande,
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVII. Du Singe, et du Renard. »
donner une partie de sa queuë, pour en couvrir son derriere, luy fit entendre que cela l’incommodoit par trop, au lieu que pour
outes les deux il est aisé d’en tirer de l’instruction. La premiere s’ entend de la chicheté des Riches, qui font gloire de ref
5 (1180) Fables « Marie de France, n° 98. Le renard et le chat » p. 605
l raisnablement, sil put li sages entreprendre, s’il veut a sa parole entendre . Del leial hume est meuz creüe une parole e enten
veut a sa parole entendre. Del leial hume est meuz creüe une parole e entendue , e plus put [il] en un grant pleit que quanques l
6 (1180) Fables « Marie de France, n° 76. Le blaireau et les porcs » p. 685
me d’asquanz genz — si est oï e veü suvenz — : teles custumes veulent entendre  ; mes, quand il sunt aparceüz, tuz jurs [en] sunt
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XV. Le Cerf et la Vigne. » p. 77
erf hors de danger Broute sa bienfaitrice, ingratitude extrême ! On l’ entend , on retourne, on le fait déloger, Il vient mourir
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 47 » p. 245
λῶν. Cod. Mb 13. Un homme lâche partait pour la guerre ; mais ayant entendu croasser des corbeaux, il posa ses armes et ne bo
9 (1180) Fables « Marie de France — Épilogue. Épilogue »
eo poi plus proprement. Ore pri a Deu omnipotent kë a tel ovre puisse entendre quë a lui pusse m’alme rendre.
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 93 » p. 326
ême. » Cette fable apprend à reconnaître les gens hardis et lâches, j’ entends hardis en paroles et lâches en actions.
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 161 » p. 126
as tort, l’ami, dit-il, de t’attacher à une espérance ; l’espérance s’ entend à repaître d’illusion, mais de nourriture, non pa
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Description du corps, et de la vivacité de son esprit. Chapitre II. »
it sa parole lente, sa voix casse, et la peine qu’il avoit à se faire entendre . Toutes lesquelles choses semblent avoir esté cau
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — IX. Le Rat de Ville, et le Rat des Champs. » p. 352
ste
 Pendant qu’ils estoient en train.

 A la porte de la salle 
Ils entendirent du bruit.
 Le Rat de ville détale,
 Son camarade
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVII. La Belette entrée dans un Grenier. » p. 24
mafluë, et rebondie.
 Au bout de la semaine ayant disné son sou, Elle entend quelque bruit, veut sortir par le trou,
 Ne peut
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — FABLE I. Le Buscheron et Mercure. » p. 173
est sa coignée ; et la cherchant en vain, Ce fut pitié là-dessus de l’ entendre . Il n’avoit pas des outils à revendre. Sur celuy-
Et de crier pour se le faire rendre. Le Roi des Dieux ne sçait auquel entendre . Son fils Mercure aux criards vient encor, A chac
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 260 » p. 355
ez un petit nombre d’hommes ; maintenant il est chez tous, quoi qu’on entende et quoi qu’on dise. » La vie devient mauvaise et
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — V. Le Renard ayant la queuë coupée. » p. 17
ces mots il se fit une telle huée, Que le pauvre écourté ne put estre entendu . Pretendre oster la queuë eust esté temps perdu ;
18 (1180) Fables « Marie de France, n° 81. Le prêtre et le loup » p. 687
tre et le loup Un prestre volst jadis aprendre a un lu lettres fere entendre . « A », dist li prestre, « a », dist li lus, que
19 (1180) Fables « Marie de France, n° 6. Le mariage du soleil » p. 314
Marie de France, n° 6 Le mariage du soleil Par essample fet ci entendre que li soleil volt femme prendre. A tute creature
20 (1180) Fables « Marie de France, n° 39. La fourmi et la cigale » p. 112
atreire ; plus est cheri s’il ad quei prendre que si a autrui se deit entendre .
21 (1180) Fables « Marie de France, n° 49. Le forgeron et la cognée » p. 
ala pur demander a chescun fust qu’il pot trover al quel il li loënt entendre , del queil il puisse mance prendre. Quant ensembl
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
secrette, se mit à contrefaire une lettre, par laquelle il donnoit à entendre au nom d’Esope, qu’il n’estoit pas si content d’a
émement, pource qu’il n’y avoit pas un de ses amis qui fust capable d’ entendre la question de la Tour. Il s’affligea donc d’une
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
Courent au Testament sans attendre plus tard. On le lit ; on tâche d’ entendre La volonté du Testateur, Mais en vain : car comme
i se pique D’estre le plus subtil des peuples d’aujourd’huy, A si mal entendu la volonté suprême D’un testateur ! Ayant ainsi p
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
les Philosophes ; Il est vray qu’à le prendre moralement cela peut s’ entendre des hommes, qui tiennent de la Divinité, et qui n
ns expliquent fort doctement, quand ils disent que par Celius se doit entendre Dieu, en qui sont comprises toutes les creatures
les noms de Celius, de Saturne, de Jupiter, et de Pluton nous pouvons entendre la partie Divine, la Contemplative, l’Œconomique,
iquent cela bien delicatement, quand ils disent que par Venus il faut entendre une forte union de plusieurs choses discordantes,
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 272 » p. 189
il se mit à gémir et à se lamenter. Les grenouilles du marais, ayant entendu ses gémissements, lui dirent : « Hé, l’ami ! qu’a
26 (1180) Fables « Marie de France, n° 56. Le paysan et le choucas » p. 
uz sun mantel ; l’un des chés leise dehors pendre, que li juges deüst entendre qu’il li aporte pur luier, que de sun pleit li de
27 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 65 » p. 40
ar mégarde dans un puits. Comme il se lamentait et criait, un passant entendit ses gémissements, s’approcha, et apprenant ce qui
28 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 137 » pp. 396-396
e milan eut jadis une autre voix, qui était perçante. Mais un jour il entendit un cheval qui hennissait admirablement, et il vou
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 303 » pp. 202-202
n pigeonnier faisait grand bruit de sa fécondité. Une corneille ayant entendu ses vanteries, lui dit : « Hé ! l’amie, cesse de
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 226 » p. 154
manger lui-même, il la lui avait gardée, vu qu’il avait du plaisir à entendre le bruit de ses dents. Le cheval lui répondit : «
31 (1180) Fables « Marie de France, n° 25. La femme qui fit pendre son mari » p. 388
le vif dunt l’em ad [tant] cunfort. » Par iceste signefiance peot hum entendre queil creance deivent aver li morz es vifs ; tant
32 (1180) Fables « Marie de France, n° 94. Le paysan et son épouse querelleuse » p. 681
li ad la lange copee. Puis demande quei avis li fu, quë ele en aveit entendu , si li prez fu od falcs fauchez u [si] od forces
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 10 » p. 5
x Panathénées des mâles. » Comme l’acheteur était surpris de ce qu’il entendait , le créancier ajouta : « Cesse de t’étonner ; car
34 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 277 » p. 264
âne la ramassa, rompit le sceau, l’ouvrit et la lut de manière à être entendu du chien. Il y était question de pâture, je veux
35 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIV. Le Lievre et les Grenoüilles. » p. 138
donnoit la fiévre. Le melancolique animal En rêvant à cette matiere, Entend un leger bruit : ce luy fut un signal Pour s’enfu
36 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — X. Le Lievre et la Tortuë. » p. 226
el juge l’on convint. Notre Lievre n’avoit que quatre pas à faire ; J’ entends de ceux qu’il fait lorsque prest d’estre atteint,
37 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVIII. Le Chartier embourbé. » p. 291
chine ronde, Ton bras peut me tirer d’icy. Sa prière estant faite, il entend dans la nuë Une voix qui luy parle ainsi : Hercul
38 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 224 » pp. 158-158
amé rôdait en quête de nourriture. Arrivé dans un certain endroit, il entendit un petit enfant qui pleurait et une vieille femme
sait vrai, s’arrêta et attendit longtemps. Quand le soir fut venu, il entendit de nouveau la vieille qui choyait le petit enfant
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du thresor trouvé par Esope, et de l’ingratitude de Xanthus. Chapitre XXII. »
he, il n’y pût jamais rien comprendre et confessa franchement qu’il n’ entendoit pas cela. Alors Esope le regardant, « Seigneur »,
expliques ces lettres, car ce me sera une chose plus precieuse de les entendre , que de posseder tout l’or, que tu sçaurois jamai
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVIII. Du Renard, et des Raisins. »
uses d’autruy par nostre propre déguisement ; et c’estoit ainsi que l’ entendoit Tacite, quand il disoit, « Qui ne sçait dissimule
41 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XXI. Les Frelons, et les Moûches à miel. » p. 504
dire à ces raisons,
 Fit enqueste nouvelle ; et pour plus de lumiere
 Entendit une fourmilliere.
 Le point n’en pût estre éclair
42 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XII. La Colombe et la Fourmy. » p. 235
Fourmy le picque au talon. Le Vilain retourne la teste. La Colombe l’ entend , part, et tire de long. Le souper du Croquant ave
43 (1180) Fables « Marie de France, n° 71. Le loup et le hérisson » p. 675
s deveit ester cuntre les chiens e desturber ; a lui les deveit faire entendre , quant li lus ireit preie prendre. Un aignel pris
44 (1180) Fables « Marie de France, n° 78. Le loup et le batelier » p. 687
venist a tere sus. Quant li lu esteit arivez, al vilein dist : « Ore entendez  ! Tut est perdu e luinz e pres quan que l’em fet
45 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 69 » pp. 289-289
ux : « Je suis médecin et je connais les remèdes. » Un renard l’ayant entendue s’écria : « Comment sauveras-tu les autres, toi q
46 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 75 » pp. 48-48
accrochée à une fenêtre, chantait pendant la nuit. Une chauve-souris entendit de loin sa voix, et, s’approchant de lui, lui dem
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
ours sur la trentiesme Fable. Ceux-là s’abusent extrémement, qui n’ entendent par le vray nom de Beauté que la corporelle, à sç
aisons l’homme à nostre ressemblance ». Car de croire qu’il ait voulu entendre par là des traicts de visage, et des proportions
48 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 217 » pp. 342-342
aux chiens : « Pourquoi, étant de tout point pareils à nous, ne vous entendez -vous pas avec nous, comme des frères ? Car nous n
49 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 206 » p. 258
le visiter. » Sur ces entrefaites le renard arrivait lui aussi, et il entendit les dernières paroles du loup. Alors le lion pous
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Invention d’Esope, pour faire retourner sa Maistresse avec Xanthus. Chapitre XIII. »
t contre luy, disant entr’autres choses : « Je ne sçay pas comme tu l’ entends , mais je suis bien asseurée, ô Xanthus, qu’il ne
51 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VIII. L’Hirondelle et les petits Oyseaux. » p. 39
t de vous renfermer aux trous de quelque mur.
 Les Oisillons las de l’ entendre ,
 Se mirent à jazer aussi confusément, Que faisoi
52 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIII. L’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits. » p. 40
la terre nous sommes, Il en est peu qui fort souvent Ne se plaisent d’ entendre dire, Qu’au Livre du Destin les mortels peuvent l
53 (1180) Fables « Marie de France, n° 37. Le lion et le paysan » p. 284
l’as esgardee. » Par essample nus veut aprendre que nul ne deit nïent entendre a fable kë est de mençuinge ne a peinture que sem
54 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 30 » pp. 24-24
se mit à gémir et à se lamenter. Un autre renard, qui passait par là, entendit ses plaintes et s’approchant lui en demanda la ca
55 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 305 » pp. 203-203
voir appris ? » Cette fable montre qu’à se mêler d’affaire que l’on n’ entend pas, non seulement on ne gagne rien, mais encore
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXII. Du Loup, et de la Truye. »
nce du Loup, qui ne luy peut estre, ny agreable, ny utile ; donnant à entendre que la meilleure ayde que nous pouvons tirer d’un
57 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 
pour témoins. Tircis qui l’apperceut, se glisse entre des Saules, Il entend la Bergere adressant ces paroles Au doux Zephire,
58 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 181 » pp. 252-252
le coq ayant, suivant son habitude, chanté avant le jour, un renard l’ entendit , accourut et, s’arrêtant en bas de l’arbre, le pr
59 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 202 » pp. 141-141
139 Pc 78 Pf 75 Pg 93 Ph 71 Ma 95 Me 98 Mf 82 Mj 92. Un lion, ayant entendu coasser une grenouille, se retourna au son, pensa
60 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
bunal l’Escarbot comparut, Fit sa plainte, et conta l’affaire. On fit entendre à l’Aigle enfin qu’elle avoit tort. Mais les deux
61 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — IV. Le Jardinier et son Seigneur. » p. 
aurons-nous des gendres ? Bon homme, c’est ce coup qu’il faut, vous m’ entendez , Qu’il faut foüiller à l’escarcelle. Disant ces m
62 (1180) Fables « Marie de France, n° 93. Le loup et le bouc » p. 680
re », fet il, « bien sai e vei, malement avez prié pur mei : bien poi entendre par le cri que ceo ert preere de enemi. Mut est m
63 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 140 » pp. 105-105
nt glorieux et hautains ; quand ils en sont aux années du bœuf, ils s’ entendent à commander ; mais quand ils achèvent leur existe
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLI. Du Cerf, et du Chasseur. »
uel. Ce qui se dit des exemples generaux, doit, à mon jugement, estre entendu des particuliers : Car les embusches que nos Envi
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXII. Du Chat, et du Coq. »
ut encore chercher des excuses à cecy, mais le Chat ne les voulut pas entendre , et s’irritant plus fort qu’auparavant ; « C’est
66 (1180) Fables « Marie de France, n° 73. Le mulot qui cherche à se marier » p. 73
tut destrueit. Pur ceo voleit sa fille prendre, ne voleit mes aillurs entendre , pur ceo qu’il ot oï* cunter que rien nel pot cun
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
us delicieuse vie du monde, si elle est accompagnée de sujetion. Or n’ entendons -nous pas icy par ce nom de liberté toute sorte d’
e le desirer ; aussi n’est-ce point de la façon que nostre sage Esope entend de nous persuader l’amour de la liberté. Ce n’est
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
ttribuë ceste deception qu’au plus noble des Oyseaux, et nous donne à entendre par là, que c’est le vice d’une belle ame, que la
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
ttribué ceste action au grossier animal d’Arcadie, pour nous donner à entendre qu’une faute si pesante que celle-là, ne peut pro
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIII. Du Renard, et du Buisson. »
ira, luy respondit-il, horsmis ton secret. Par où il vouloit donner à entendre , que c’est une chose tres-dangereuse d’estre bien
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
divers usages. Aussi ne douté-je point que par la Tortuë on ne puisse entendre un esprit tardif, bien que vigilant ; par le Liév
72 (1180) Fables « Marie de France, n° 72. L’homme et le serpent » p. 51
ille a feire ceo dunt a plusurs nest cuntraire. Sages hum ne deit pas entendre ne a fole femme cunseil prendre, cum fist icist p
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
est le mescontentement qu’elles eurent de leur Roy ; voulant donner à entendre par là, que dés qu’un Estat a franchy les bornes
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
oir les autres, encore qu’il se soit jetté dans leur party, donnant à entendre par là combien est vray ce Proverbe, « Que la tra
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
. Discours sur la cent-huictiesme Fable. Bien que nous puissions entendre ceste Allegorie en deux façons, et accuser le Mai
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
mande tout haut, afin qu’il n’y ait personne en la compagnie qui ne l’ entende . Que s’il advient qu’il te responde que tu és dem
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LI. Du Paon, et du Rossignol. »
Payen se soit contenté jusques là de la Providence du Ciel, et qu’on entende tous les jours parmy nous ces paroles pleines d’i
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
e Discours, je dis que par l’Allegorie de nostre Fable, Esope n’a pas entendu ceste derniere espece de Sages, et qu’il n’a non
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
ion, elle a esté tres-sagement inventée par Esope, pour nous donner à entendre , qu’il n’est point de si chetifve personne, de qu
80 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
r le moins cause-t’elle tous-jours de la risée. Or cela ne doit pas s’ entendre seulement de l’humaine vanité, mais aussi de l’ad
81 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
rapportent entre plusieurs Histoires celle d’un certain Elephant, qui entendoit parfaictement le langage de son Maistre, et faiso
Mais de dire qu’ils raisonnent entr’eux, et qu’il y ait un art de les entendre , c’est une chose tout à fait extravagante. Car ce
nt eu de plus excellent sçavoir, que celuy qu’on luy attribuë d’avoir entendu le langage des bestes, nous ne serions pas mainte
sme l’addresse du Musicien. C’est ainsi, et non autrement, qu’il faut entendre ces passages, à sçavoir que les animaux chantent
82 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
la ruë ; « Tu és », luy dit-il, « eschappé de mes mains », donnant à entendre par ces paroles, que la disproportion de leurs qu
83 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
e dit en son Æneide, Qu’importe force ou dol contre son Ennemy ? Il entend toutesfois par le mot de dol, non une ruse malici
84 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
et que toutesfois elles renaissent tous-jours ; Par où ils donnent à entendre l’étrange opiniastreté de ce tourment qu’ils nous
85 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
rvertit si soudainement ? Est-ce que nostre Phrygien a voulu donner à entendre par ceste Fable, la grande foiblesse des hommes,
86 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
rs, que la Mouche s’attribuë, celle-cy l’impute à legereté, donnant à entendre par là, que les hommes qui vont dans le grand air
87 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
les ont eslevées ? Or ce que je dis des Sculpteurs, il le faut aussi entendre des Poëtes, comme pareillement des Peintres, et d
88 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
 » Mais luy ne s’en esmouvoit en façon quelconque, et n’y vouloit pas entendre . Ce que voyant le Preteur, « Asseurément », luy d
89 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
e, qui ont esté compris à dessein sous une mesme Fable, pour donner à entendre qu’ils vont le plus souvent l’un avecque l’autre,
ur faire droict sur la requeste des deux Suppliants, voulant donner à entendre l’humeur de l’un et de l’autre. Il n’est pas beso
90 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
r la huictante-troisiesme Fable. Esope nous donne, ce me semble, a entendre par cette Fable, qu’il avoit de l’aversion à la P
91 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
es. Si l’on consulte l’édition de Phèdre due au Père Desbillons, on l’ entend affirmer, dans sa Disputatio secunda 137, que le
pensée fut innocente et dont sa plume fut seule coupable. Il est donc entendu que c’est du premier livre qu’il a voulu parler.
rois pas, et je suis persuadé que c’est le manuscrit de Parme qu’il a entendu désigner. On se rappelle que c’est à Parme que d’
les ne peuvent être sorties que de sa plume. Il est vrai que, si l’on entend comme la plupart des traducteurs la phrase Per a
as entrepris pour l’éducation de son neveu, mais où du moins il avait entendu , non pas, en philologue, reproduire dans leur pur
ette fable la qualification de pulcherrima ? Évidemment parce qu’il n’ entend pas se l’attribuer. S’il avait voulu faire prendr
ue Phedre ait fait des fables, ce qui est très possible, ou bien il a entendu par-là que personne parmi les Latins n’en avoit f
vste traduites en françois, avec le latin à costé. Pour servir à bien entendre la langue Latine, et à bien traduire en François.
gvste, Traduites en François avec le Latin à côté. Pour servir à bien entendre la Langue Latine, et à bien traduire en François.
gvste, tradvites en françois avec le latin à côté. Pour servir à bien entendre la langue Latine et à bien traduire en François.
ce nom serait-il supposé ? En est-il un de plus commun parmi ceux qui entendent et qui parlent la langue latine310 ? » Animé d’u
que où M. E. du Méril la formula, elle ait été adoptée. Il resta bien entendu que l’auteur des fables était un personnage à la
ituent par cela même des œuvres toutes personnelles. Il est donc bien entendu que toutes les fois que je donnerai le nom de Rom
plaisance de mettre sa signature au bas du bulletin. Seulement il fut entendu que je rapporterais le manuscrit au Consulat situ
traduites par Ranutio d’Arezzo328. Peut-être même Steinhöwel n’a-t-il entendu faire aucun choix et n’en a-t-il publié que dix-s
e toutes personnes que ce liure vouldront lire, pourront apprendre et entendre par ces fables à eulx bien gouverner. Car chescun
conté mainte fable Ou maint bon mot et profitable Puet chascun oïr et entendre , Qui a la fin se voudra prendre ; Mais aus bourde
cent chose plaisant A leurs maris en eulx aisant ; Et li mari doiuent entendre Aus armes et lettres aprendre ; Mes de armes doiu
ns aucunes en l’onneur de madame la royne. Or est temps que ie doie entendre A Dieu louer et grâces rendre, Pouquoi ie me sui
nté mainte fable, Ou maint bon mot et profitable • Puet chacun oïr et entendre , Qui a la fin se voudra prendre. Après les fable
e l’œuvre de Neckam. Je sais qu’une objection peut être faite et je n’ entends pas en éluder l’examen. J’ai dit que des quarante
de grant sapience Le fist premierement : Et j’el mis en romans, Pour entendre aus enfans Et a laïque gent. Ce qui ressort de c
eindre le titre, vient un prologue ainsi conçu : Qui ce liure voudra entendre Moult de bien y porra aprendre, Qui miex li vaudr
me il était impossible d’en faire immédiatement l’acquisition, il fut entendu qu’ils seraient mis en réserve pour être l’objet
5. Puis survint M. Robert qui n’hésita pas à affirmer que Marie avait entendu désigner Guillaume d’Ypres516. En 1834, dans son
s latins elle avait préféré la mise en œuvre des récits qu’elle avait entendus et la composition des lais que, comme ses fables,
s traita Des prouierbes, qu’ele troua, D’Izopet, dont desus a dit, Si entendre com ele dit. Cil qui seuent des escritures, Deu
istre manda et dist. Par noble escrit et par painture, Por mieus entendre la nature De çou qu’il voloit aprouer, Par oï
trouai proprement. Or proi a Dieu omnipotent C’a tel oueure me loist entendre , Que iou li puisse l’arme rendre. Dans le manusc
, || elle donne d’excellents enseignements.  || Pour ceux qui veulent entendre de bons préceptes || maître Ésope se montre aujou
ste. Tradvites en François, avec le Latin à costé. Pour servir à bien entendre la langue Latine et à bien traduire en François.
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