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1 (1180) Fables « Marie de France, n° 79. L’autour et le hibou » p. 687
hibou D’un ostur recuntë ici que sur un fust aveit sun ni e li huan ensemble od lui. Tant s’entreamerent ambedui que en un ni
i e li huan ensemble od lui. Tant s’entreamerent ambedui que en un ni ensemble puneient e lur oiseus ensemble aveient. Orë avien
nt s’entreamerent ambedui que en un ni ensemble puneient e lur oiseus ensemble aveient. Orë avient si quë un an li osturs les os
2 (1180) Fables « Marie de France, n° 89. Le loup et la chèvre » p. 572
verol apela a li, si li pria e defendi qu[e]’il ne laissast pur murir ensemble od eus bestes venir pur parole ne pur preere deci
que tu n’es pas ma mere. » Si li cheverol l’ust recuilli en la meisun ensemble od li, mangié l’[e]ust e devoré. Pur ceo chastie
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VI. Du Lion, et de quelques autres Bestes. »
quelques autres animaux, estant demeurez d’accord d’aller à la chasse ensemble , et de posseder en commun tout ce qui en proviend
le Lion aux animaux, ses inferieurs, de la venaison qu’ils ont prise ensemble , represente les injustes avantages que les riches
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
pour se maintenir en liberté. Il en prit ainsi aux Grecs partialisez ensemble , qui neantmoins se rejoignirent enfin avec une pa
t aguerris, qui toutesfois n’en purent venir à bout, et s’accorderent ensemble contre leur Ennemy commun. Ceste resistance dura
trouvast moyen de les diviser derechef, ou que toutes les deux causes ensemble contribuassent à la subjection des Gaulois.  
5 (1180) Fables « Marie de France, n° 41. Le riche et les serfs » p. 
fs Un riches hum chevacha ja par mi un champ, si esgarda u dui serf ensemble parloënt ; si estreitement cunseiloënt cum s’il f
6 (1180) Fables « Marie de France, n° 76. Le blaireau et les porcs » p. 685
de glan. Les pros i sunt mis e chaciez. Li teissuns s’est acumpainiez ensemble od eus, si recunut que porc esteit et estre dut.
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
dit-il, (à ses fils il parloit) Voyez si vous romprez ces dards liez ensemble  ; Je vous expliqueray le nœud qui les assemble. L
Tous perdirent leur temps, le faisceau resista ; De ces dards joints ensemble un seul ne s’éclata. Foibles gens ! dit le pere,
8 (1180) Fables « Marie de France, n° 32. L’agneau et la chèvre » p. 506
chevre le bailla, que de sun leit l’ad bien nurri ; al bois l’enmeine ensemble od li. Quant elë ert creüe e grant, puis l’apela,
9 (1180) Fables « Marie de France, n° 38. La puce et le chameau » p. 
urpensee, si ad mercïé le chameil que si süef dedenz sun peil l’aveit ensemble od li portee ; jamés par sei n’i fust alee : par
10 (1180) Fables « Marie de France, n° 88. Le loup et le renard » p. 
France, n° 88 Le loup et le renard Un gupil e un lu s’aïrierent e ensemble se curucerent, si que nul nes pot acorder ne lur
11 (1180) Fables « Marie de France, n° 3. La souris et la grenouille » p. 384
r sun engin e la blandist par sa parole que la creï, si fist ke fole. Ensemble od li s’en est alee, le prez fu [si] plein de rus
t la suriz ki veit pipant, les eles clot, aval descent, li e la reine ensemble prent : amdui furent al fil pendant. La reine fu
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LI. Du Paon, et du Rossignol. »
e la Fortune. Il faut qu’ils se plaignent de ne les posseder pas tous ensemble , et que là dessus ils accusent le Ciel d’injustic
qu’il luy faut pendant le cours de ceste vie, que si nous avions mis ensemble nos bonnes et nos mauvaises fortunes, afin de ref
sera doüé d’un esprit excellent, et s’il est stupide, ou hideux tout ensemble , il aura une tranquilité d’humeur, preferable à t
13 (1180) Fables « Marie de France, n° 85. La mouche et l’abeille » p. 521
ance, n° 85 La mouche et l’abeille Une musche e un es tencerent e ensemble se curucerent. La musche dit que meuz valeit e qu
14 (1180) Fables « Marie de France, n° 100. Le vieillard et le chevalier » p. 691
[ci] cunter e par essample remembrer, quë un veil humme encuntra ja. Ensemble od li s’acumpaina. Pur ceo qu’il le vit remembré
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 1 » p. 274
les hommes. Le dieu leur dit de se présenter aux hommes, non pas tous ensemble , mais l’un après l’autre. Voilà pourquoi les Maux
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CX. Du Renard, et du Leopard. »
Du Renard, et du Leopard. Le Renard, et le Leopard, disputoient ensemble de leur beauté. Ce dernier loüoit hautement sa pe
17 (1180) Fables « Marie de France, n° 49. Le forgeron et la cognée » p. 
l quel il li loënt entendre, del queil il puisse mance prendre. Quant ensemble en eurent parlé, communement li unt loé qu’il pre
18 (1180) Fables « Marie de France, n° 50. Le loup et le mouton » p. 655
t avis, si jeo nel gart, teus [i] vendra d’aucune part que l’en merra ensemble od sei, si nel larra nïent pur mei. Jeol puis bie
19 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 174 » p. 399
Md 132 Mg 11 Mi 106 Mj 22 Ml 16 Mm 32. Un homme opulent nourrissait ensemble une oie et un cygne, non point pour le même objet
20 (1180) Fables « Marie de France, n° 20. Le voleur et le chien » p. 403
n cunte ki ala berbiz embler qu’il espia dedenz la faude a un vilein. Ensemble od lui porta un pein ; al chien voleit le pain ba
21 (1180) Fables « Marie de France, n° 22. Les lièvres et les grenouilles » p. 138
e, u furent nurri des enfance ; li autre ne l’en vodrent creire : tuz ensemble tiendrent lur eire. A une mare sunt venu. Gardent
22 (1180) Fables « Marie de France, n° 94. Le paysan et son épouse querelleuse » p. 681
Un vilein ot femmë espuse que mut esteit cuntrarïuse. Un jur furent ensemble alé pur eus deduire par un pré. Li vileins a sa f
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 71 » pp. 372-372
συντήρει. Codd. Ba 36 Bb 24 Mg 62. Trois bœufs paissaient toujours ensemble . Un lion voulait les dévorer ; mais leur union l’
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 96 » p. 63
ommença ainsi : « Déméter, l’hirondelle et l’anguille faisaient route ensemble  ; elles arrivèrent au bord d’une rivière ; alors
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 209 » p. 151
Mb 99 Me 104 Mf 88 Mj 98 Ca 99. Le lion et l’âne, ayant lié partie ensemble , étaient sortis pour chasser. Étant arrivés à une
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 277 » p. 264
, φίλε, τυγχάνον. » Cod. Mb 173. Un âne et un chien faisaient route ensemble . Ils trouvèrent à terre une lettre cachetée. L’ân
27 (1180) Fables « Marie de France, n° 35. L’âne et le lion » p. 151
nule ne te cuntrevaile. Vien ore od mei en sum cel munt, u les bestes ensemble sunt, e jeo te frai ja bien veer, — e si purrez a
28 (1180) Fables « Marie de France, n° 61. Le renard et la colombe » p. 
e entre eus ait mes si feite guere ! Pes veut mettre dedenz sa tere ; ensemble purrunt mes aler oiseus e bestes, en peis jüer. »
29 (1180) Fables « Marie de France, n° 87. Les deux loups » p. 676
lur garbes cuillent e lïent. Alums [i] e si lur aidums, e lur garbes ensemble portums ! » — « Bien avez dit », cil li respunt.
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
Du Rat, et de la Grenoüille. Le Rat et la Grenoüille avoient guerre ensemble , pour voir lequel des deux demeureroit maistre du
heure aprehender les embusches, principalement tandis qu’ils sont mal ensemble  ? Car en quel temps un tiers a-t’il plus beau jeu
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVII. Du Singe, et du Renard. »
la l’incommodoit par trop, au lieu que pour son regard il en tireroit ensemble de l’honneur, et du profit. Mais le Renard luy di
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVIII. Des Taureaux, et du Lion. »
fût tel que le Lion qui les voyoit paistre, n’osa jamais les attaquer ensemble , quelque grande faim qu’il eust. Pour en venir do
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 273 » p. 263
άζειν διάθεσιν. Codd. Pa 192 Mb 167. Un âne et un mulet cheminaient ensemble . Or l’âne, voyant que leurs charges à tous deux é
34 (1180) Fables « Marie de France, n° 18. Les grenouilles qui demandent un roi » p. 376
estut e vit que pas ne se remut, ses cumpaines ad rapelées ; si sunt ensemble al trunc alees. Primes le saluent cum rei, e ches
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
a façon de vivre des Creatures raisonnables : La Meslée, qui comprend ensemble ce qui est pourveu de raison, et qui ne l’est pas
on tire les fables de la ressemblance de la Nature, et des operations ensemble , comme ce qu’on feint des hommes et des Dieux sou
e de leurs inventions. L’on appelle Fables de speculation et d’action ensemble celles qui peuvent estre expliquées selon le sens
36 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 102 » pp. 304-304
κίνδυνός ἐστιν ὁ βίος. Cod. Ba 48. Le sapin et la ronce disputaient ensemble . Le sapin se vantait et disait : « Je suis beau,
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — En quel temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. »
t un des plus grands de sa Cour. Les Roys avoient en ce temps-là paix ensemble , et en ce commun repos ils se visitoient souvent
38 (1180) Fables « Marie de France, n° 80. L’aigle, l’autour et la grue » p. 
steil qui l’a huni. E la grüe li respundi : « Einz l’ai », fet ele, «  ensemble od mei. » — « Dunc te lo jeo par dreite fei que t
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Partement d’Esope, et son arrivée en Lydie. Chapitre XXIV. »
une ame qui ne sçauroit rien flatter ». Ces paroles d’Esope donnerent ensemble de l’admiration et de la pitié au Roy, qui luy re
40 (1180) Fables « Marie de France, n° 34. Le roi des singes » p. 569
ranz, qu’il pot trover. Sur tuz se fist lever a rei, puis sis retient ensemble od sei. Des plusurs fist ses chevalers e des asqu
41 (1180) Fables « Marie de France, n° 45. Encore la femme et son amant » p. 
el me repruverez. » — « Volunters, dame », il li respunt. A un muster ensemble vunt ; la li jura ceo que ele quist e plus asez q
42 (1180) Fables « Marie de France, n° 47. Le paysan et son cheval » p. 653
nt entré, un humme borne unt encuntré qui le destre oil aveit perdu ; ensemble od eus l’unt retenu, si li demandent sun avis que
43 (1180) Fables « Marie de France, n° 95. La méchante femme et son mari » p. 682
ment, viande e beivre lur aporta ; que haitié fussent, ceo lur preia. Ensemble asistrent al manger. « Pensez », fet ele, « del h
44 (1180) Fables « Marie de France, n° 23. La chauve-souris » p. 566
nt e que volent en l’eir lamunt : bataille deivent od li tenir. Quant ensemble durent venir, [e] la chalve suriz les vit, en sun
45 (1180) Fables « Marie de France, n° 37. Le lion et le paysan » p. 284
it entailler e purtrere, mes li leüns nel seit pas fere. Ore en irums ensemble ça. » Li vileins veit, si* l’en mena a un chastel
46 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 68 » pp. 43-43
puits profond. En le voyant, l’une dit à l’autre : « Amie, descendons ensemble dans ce puits. — Mais, répondit l’autre, si l’eau
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De la response qu’Esope fist à un Juge. Chapitre XVII. »
tuves, comme faisant plus d’estat de celuy-cy, que de tous les autres ensemble  ». Xanthus approuvant cela, « Sans mentir », dit
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIII. Des Loups, et de la Brebis. »
bis. Combien que les Loups et les Brebis ayent tous jours eu guerre ensemble , il advint neantmoins qu’ils firent treve une foi
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. »
ses advantures : il luy communique ses secrets, et toutes ces choses ensemble sont, à parler proprement, les instruments de sa
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXV. De la Chauue-souris, et du Buisson, et du Plongeon. »
ongeon. La Chauve-souris, le Buisson, et le Plongeon, s’associerent ensemble , afin de faire trafic de marchandise. Pour cét ef
51 (1180) Fables « Marie de France, n° 70. Le lion malade » p. 336
r eüsse fet tel deshonur. Ore en irum devant le rei ! Venez ! Si seez ensemble od mei ! Jeo me derainerai [tres] bien que ne me
52 (1180) Fables « Marie de France, n° 93. Le loup et le bouc » p. 680
ere. » Li lus l’otreie en teu manere. Hors de la lande amdui en vunt, ensemble vienent tresque al munt. Li bucs esteit desus mun
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
s et toutes les laideurs que pourroient avoir les autres pestes mises ensemble . Au reste, ils tiennent que ses entrailles sont à
t combien elle y est amplement establie. Que si l’on vouloit comparer ensemble l’Envie, et le remords de la conscience, l’on tro
54 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 210 » pp. 149-149
Mb 96 Me 103 Mj 97. Le lion, l’âne et le renard, ayant lié société ensemble , partirent pour la chasse. Quand ils eurent pris
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
e naisse ceste imprudence, soit de l’une de ces causes soit de toutes ensemble , c’est tousjours un dangereux effect parmy les ho
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVI. Du Paon, et de la Gruë. »
les Parlements, si son humeur l’attire à l’un ou à l’autre ; et tous ensemble seront satisfaits de la donation, quoy qu’en effe
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
e bien servir. Cette conclusion prise, ils passerent outre, et eurent ensemble plusieurs discours fort plaisants. Mais comme il
rist mesme, quoy qu’il fust Dieu, et le plus parfaict des hommes tout ensemble , n’a pas laissé de déferer au Commandement des Pu
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
ABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. Le Lion et l’Homme voyageoient ensemble , et comme ils devisoient en passant chemin, c’est
us-jours une de fausse, et que bien souvent toutes les deux le soient ensemble . D’ailleurs, ceux qui escrivent l’Histoire, le fo
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
estoit assez âgée, et l’autre assez jeune. Comme ils demeuroient tous ensemble dans une mesme maison, la Vieille voulant attirer
’aversion à la Polygamie, c’est à dire au Mariage de plusieurs femmes ensemble . Ce qui a esté de tout temps en usage parmy les n
rtes on a bien raison de dire : Qu’amour et majesté ne sont pas bien ensemble . et par là mesme on peut conclure aussi, que l’A
60 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 251 » pp. 171-171
111 Mm 100. La chauve-souris, la ronce et la mouette s’associèrent ensemble dans l’intention de s’adonner au commerce. En con
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
tres, pour les biens perissables et mortels ; Mais veritablement tous ensemble l’abandonnent pour une ombre, qui s’eschappe en u
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
en la parfaicte union de deux ames, comment peuvent elles se joindre ensemble , s’il y a quelque chose de terrestre d’un costé ?
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
us à une honteuse cheute. L’exemple et la raison sont en cela joincts ensemble . Car les hommes peuvent déchoir de leur fortune,
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du thresor trouvé par Esope, et de l’ingratitude de Xanthus. Chapitre XXII. »
vant qu’il estoit, s’avisa d’y faire graver ces lettres, qui joinctes ensemble , forment un sens qui est tel. Recedens passus qua
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
aleur ; ainsi nul ne voudroit asseurer que toutes ces vertus Moralles ensemble , disputassent l’honneur avec les intellectuelles.
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIX. De la Belette, et du Renard. »
meilleur de l’appliquer à l’Estude des Lettres, et à la Volupté tout ensemble . Car ce Renard, qui entre fort aisément par l’ouv
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
fait sans differer, et ont tous-jours joinct la Prudence et le Soing ensemble .  
68 (1180) Fables « Marie de France, n° 29. Le loup qui fut roi » p. 514
poeit. Li lus se fist mut curuciez ; pur ses hummes ad enveiez, a tuz ensemble demanda quel jugement chescun f[e]ra de celi ki d
69 (1180) Fables « Marie de France, n° 72. L’homme et le serpent » p. 51
erpent Del vilein e de la serpent nus cunte ici cumfeitement eurent ensemble cumpainie e leauté e fei plevie. La serpent al vi
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
s des uns et des autres ; mais pas un ne le vouloit assister, et tous ensemble disoient, que son mal estoit une juste recompense
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
que ces Maistres ouvriers se virent bien haut, ils se mirent à crier ensemble  ; « Donnez nous des pierres, donnez nous de la ch
oute la Ville. Alors les Egyptiens bien estonnez, et bien fâchez tout ensemble de voir traicter de ceste sorte un animal qu’ils
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
Homere ; Torquato Tasso et l’Arioste, de Virgile ; et Ronsard de tous ensemble . Je laisse à part les larcins qui se font de nost
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
deux en un mesme inconvenient, qui empesche que nous ne soyons mariez ensemble  ? Asseurément nous ne perdrons rien à cela, ny l’
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
Renard la mangea toute. Elle cependant se retira honteuse et faschée ensemble , de se voir ainsi trompée ; Toutesfois pour en av
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
stes à quatre pieds. Les Oyseaux, et les animaux terrestres avoient ensemble une fort cruelle guerre, où l’esperance, la crain
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
ureur avoit plusieurs enfants, qui ne pouvoient aucunement s’accorder ensemble , et ne tenoient conte des remonstrances de leur P
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
XIII. De l’Arbre, et du Roseau. L’Arbre et le Roseau disputoient ensemble , touchant leur force et leur fermeté. En ce contr
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. »
Deux Amis rencontrerent un Ours en leur chemin, comme ils voyageoient ensemble . L’un monta promptement sur un arbre, pour éviter
79 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 3 » pp. 1-1
Pf 1 Ph 1 Ma 11 Mb 1 Me 1. Un aigle et un renard, ayant fait amitié ensemble , décidèrent d’habiter l’un près de l’autre, dans
80 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
la generosité du Lion. Dequoy les Romains esbahis, et satisfaits tout ensemble , ils voulurent non seulement que l’Esclave obtins
81 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
t pas croyable que plusieurs Justes, ou gents de bien, qui logeroient ensemble dans une Isle deserte, s’advisassent jamais d’en
82 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
hé la bride à je ne sçay quelle colere meslée de tristesse et d’amour ensemble . Ils font comme cét Avare dont parle nostre Esope
83 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. »
crimonie de l’urine m’eust offensé les narines ». Ils s’entretenoient ensemble de tels discours en s’en allant au logis, où apre
84 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
est capable de nous y porter. J’estime pour moy, que les deux causes ensemble , et l’une sans l’autre et accompagnées, nous peuv
85 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
tu raison de la joindre à l’Avarice, pour la conformité qu’elles ont ensemble , au moins quant à l’object de la passion. Mais av
bliges-tu ! Pareille fût l’avanture de ces deux Amis, qui voyageants ensemble par toute la Grece, arriverent de hazard en une V
t un Esprit en qui le raisonnement et la beauté peuvent estre joincts ensemble . D’ailleurs, quelque violence qu’il y ait en leur
86 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
Monseigneur , ie ne doy point creindre que tous ces ornemens joints ensemble , ne vous rendent plus divertissante l’explication
87 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
un festin, qui fut incontinent apresté ; puis ils se mirent à soupper ensemble . Le Rat de Village estala pour lors, tout ce qu’i
88 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
De l’Aigle, et du Renard. L’Aigle et le Renard ayant fait amitié ensemble , conclurent de demeurer l’un auprés de l’autre, s
89 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
et de la Mouche. La Mouche, et la Fourmy eurent un jour brouïllerie ensemble . L’une se vantoit d’estre noble, et de voler comm
90 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
ne pond jamais qu’elle ne jette une sorte de cry, les autres Poules, ensemble les Villageois, et les Renards mesme, cognoissent
ssons pour judicieux, puis qu’il les introduict parlants quelquesfois ensemble , avec un sens aussi mysterieux qu’utile. Ayant do
es Grecs, qui neantmoins estoient en partie plus Vaillants, mais tous ensemble moins ingenieux que luy. C’est pour cela mesme qu
91 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
’ils s’imaginerent de voir quelque Monstre. Ce qui fût cause que tous ensemble commencerent à s’en mocquer. Asseurément disoit l
92 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
nt qu’une chose le peut estre, c’est à dire, à l’ame et au corps tout ensemble . Pour ce qui est de l’ame, on m’advoüera que le V
93 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
li, à la suite de sa préface, place un tableau qui permet de comparer ensemble  : 1º Le texte de la première édition de Cassitto
opie. Le manuscrit se compose de deux parties bien distinctes reliées ensemble . La première consiste dans un cahier de quatorze
e Martial ait, en parlant de Phèdre, nommé le philosophe épicurien. L’ ensemble de l’épigramme ne permet pas d’être d’un autre av
s. De là sortit un genre tout nouveau de fables composées en prose. L’ ensemble en était grossier ; mais dans les détails on aper
le manuscrit, qui est un volume formé de pièces très diverses reliées ensemble , est en partie de la fin du xe  siècle et en part
it que de lambeaux d’œuvres très diverses, réunis ou plutôt confondus ensemble par diverses mains du xe  siècle, de sorte que su
itus, mon choix actuel permettra à ceux qui le désireront de comparer ensemble le plus ancien texte et le plus récent. Cela expl
uit feuillets et les autres de six feuillets, alternant régulièrement ensemble . Ceux qui sont signés des lettres a, c, e, g, i,
Dr Sébastien Brant, pour l’enseignement des bonnes mœurs, coordonnés ensemble . » Une préface indique ensuite que Brant a écrit
itre : Les subtilles fables de Esope auec celles d’Auien et Alfonce. Ensemble auscunes ioyeusetez de Poge florentin. On les ven
1812, et le quatrième par Van Lennep, en 1849. Telles sont dans leur ensemble les éditions des traductions du Miroir historial.
is le parti de considérer les quarante fables comme formant dans leur ensemble un seul dérivé mixte et comme ne comportant qu’un
Renard. 5. 32. Le Loup et le Bouc. 6. 33. Le Loup et l’Âne liés ensemble . 7. 34. Le Paysan, son Fils et le Serpent. 8.
le Coq et les Garçons de ferme. 50. 28. 22. Le Loup et l’Âne liés ensemble . 33. 23. Le Loup à qui le Renard conseille d
is, et j’étais forcément ramené à l’hypothèse, que Christ, confondant ensemble deux homonymes, avait rejetée avec autant de légè
manuscrit est un in-4º formé de deux cahiers en parchemin comprenant ensemble seize feuillets et ne contenant que les fables de
drois, Plus sachent armes que les drois : Mais l’un et l’autre et bon ensemble . Si doit l’en mettre, ce [me] semble, Noble homme
ar qui en logiq’ veut veillier, Il trouuera que des presmisses Fusiés ensemble bien assises Et ansinc vraye conclusion. Yceste e
qui bien est gargnie Porte bon blef et pour ce vuarge [Bo]n et mauués ensemble charge ; [L’en] ne se doit si abergier, [Ta]ntost
lées : De Ancipitre consulente Caponi et : De Pastore et Lupo. L’ ensemble est clos par cette souscription complexe : « Expl
ute : « Dans les sixains, le 1er et le 2e vers, le 4e et le 5e riment ensemble , tandis que le 3e rime avec le 6e. Les quatrains
sixains, une strophe de neuf vers, dont le 3e, le 6e et le 9e riment ensemble , tandis que les autres riment deux à deux486. »
me le texte du manuscrit de Vienne 303 me semble encore être dans son ensemble le plus conforme au texte primitif. § 2. — Man
ant ne puis auoir. Lors s’en galent trestuit et rient, Et a l’euesque ensemble dient : Sire, por Dex faites semondre, Por sauoi
ue li a faite Response, comme il me semble, Que ilz s’en voisent tous ensemble . Par cest fable pouez sauoir Que fame ne fait
leurs, dans le doute, un moyen facile de s’édifier, c’est de comparer ensemble dans cette fable le texte du Romulus primitif, ce
rès leurs textes respectifs. C’est ce que je vais faire, en comparant ensemble des extraits empruntés aux trois fables du Rat et
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