/ 76
1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VIII. Le Vieillard et l’Asne. » p. 476
nt, Gambadant, chantant et broutant, Et faisant mainte place nette. L’ ennemi vient sur l’entrefaite. Fuyons, dit alors le Viei
it l’Asne, à qui je sois ? Sauvez-vous, et me laissez paistre : Nôtre ennemi c’est nôtre Maistre, Je vous le dis en bon Franço
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 331 » pp. 216-216
on aiguillon. Le serpent, fou de douleur, ne pouvant se venger de son ennemi , mit sa tête sous la roue d’un chariot et mourut
ntre que certaines gens ne reculent pas à l’idée de mourir avec leurs ennemis . Chambry 331.2 Aliter — Autre version.
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »
l’honneur que tu és obligé de luy rendre. Montre toy redoutable à tes ennemis , de peur qu’ils ne te mesprisent : mais traicte c
ble, pour les obliger à t’en aymer davantage. Souhaite encore que tes ennemis deviennent malades, et qu’ils soient pauvres, pou
ndemain ; car il vaut beaucoup mieux mourir, et laisser du bien à ses ennemis , que vivre, et avoir besoin de ses amis. Saluë vo
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 230 » p. 234
lui faire de mal. Le berger tout d’abord se gardait de lui comme d’un ennemi et le surveillait peureusement. Mais comme le lou
’enlèvement, il pensa dès lors qu’il avait là un gardien plutôt qu’un ennemi aux aguets ; et comme il avait besoin de se rendr
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 115 » pp. 68-68
Chambry 115 Chambry 115.1 Ἐχθροὶ δύο — Les deux ennemis . Δύο ἐχθροὶ ἐν μιᾷ νηῒ ἔπλεον· καὶ βουλόμενοι
rit l’homme, la mort n’a rien de triste pour moi, si je dois voir mon ennemi mourir avant moi. » Cette fable montre que beauco
ent aucunement du dommage qui leur arrive, pourvu qu’ils voient leurs ennemis endommagés avant eux.
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 28 » p. 25
’est ainsi que certains hommes, qui se tiennent en garde contre leurs ennemis , tombent, sans qu’ils s’en doutent, sur des amis
s qu’ils s’en doutent, sur des amis beaucoup plus dangereux que leurs ennemis .
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
lesse. Le Lion, qui par un excés de cruauté s’estoit fait plusieurs ennemis en ses jeunes années, en porta la peine en sa vie
ns en avoir du sujet. J’ay doncques esté bien fol d’avoir fait tant d’ ennemis , et l’ay encore esté d’avantage de m’estre fié à
tes commoditez, languissants de faim, et reduicts à la mercy de leurs Ennemis . Mais il y a bien plus en la Fable qui nous est p
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIII. Des Loups, et de la Brebis. »
meschants, de supposer un faux pretexte, pour envahir et perdre leurs Ennemis . Nous avons de si bonnes preuves de tous les deux
autre poinct, dont ceste Fable nous peut instruire, à sçavoir que les Ennemis reconciliez à faux, ne demandent qu’un pretexte p
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIII. Du Lion, et de la Chévre. »
ssible de se tirer. Ceste Fable nous apprend encore à nous défier des ennemis découverts, qui ont cela de commun avecque les Vo
nous apprend à ne nous laisser jamais persuader aux cajoleries de nos Ennemis . Il ne faut que cela pour nous mettre à couvert d
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
dre. Hardy qui les iroit là prendre. Aussi ne les y prit-on pas. Leur ennemi changea de note, Sur la robe du Dieu fit tomber u
re. On fit entendre à l’Aigle enfin qu’elle avoit tort. Mais les deux ennemis ne voulant point d’accord, Le Monarque des Dieux
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIV. Du Taureau, et du Bouc. »
er ouvertement, ny tout seul, mais en fougue, et avec une pluralité d’ ennemis . Ceste mauvaise methode est ordinaire à ceux qui
du monde que nous devons le plus apprehender, à cause que nos autres ennemis ne sont redoutables qu’entant qu’ils nous ameinen
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
ns-nous imputer à poltronnerie l’action de ceux qui surprennent leurs Ennemis , sous le masque de leurs carresses, puis qu’on pe
isonnable, invente tous les jours de nouveaux appas, pour tromper ses ennemis , caressant plustost ceux qu’il veut perdre, que c
e se vouloir servir de la saincte Hostie, pour donner la mort à leurs Ennemis , en mesme temps que Dieu se donnoit à Eux pour vi
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
irgile, qui ayant remply l’Italie de ses loüanges, et menacé tous ses ennemis d’un bras plus violent que la foudre, ne laissa p
bien souvent abattu d’une façon qui semble extraordinaire, et par des Ennemis impuissants en apparence, mais valeureux en effec
er des raisons tres legitimes ; Et premierement on peut dire, que ces Ennemis fiers et presomptueux vont la pluspart dans le Co
x de les surmonter, et de rendre son esprit victorieux sur les forces Ennemies . Ce que nous ont fabuleusement prouvé les prodigi
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — IV. Les deux Mulets. » p. 491
l marchoit d’un pas relevé,
 Et faisoit sonner sa sonnette :
 Quand l’ ennemi se presentant,
 Comme il en vouloit à l’argent,

15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XIX. Le Lion s’en allant en guerre. » p. 
uts : Le Renard ménager de secrettes pratiques : Et le Singe amuser l’ ennemi par ses tours. Renvoyez, dit quelqu’un, les Asnes
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 219 » p. 153
e de ce qui assure notre sécurité, en prêtant foi aux serments de nos ennemis irréconciliables.
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVII. De l’Asne malade, et des Loups. »
voir plus judicieusement parlé. Car il sçeut tres bien tesmoigner aux Ennemis de son Pere, qu’il cognoissoit leur intention, et
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 183 » pp. 136-136
cesse ou de me mordre ou de me baiser, afin que je sache si tu es mon ennemi ou mon ami. » Cette fable s’applique à l’homme éq
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLI. Du Cerf, et du Chasseur. »
dont ils se piquent si fort, n’est que trop souvent la pire de leurs ennemies , à cause des Envieux qu’elle leur suscite. Que ce
precedent n’auroient jamais reçeu de disgrace par les mains de leurs Ennemis , si leur grandeur n’eust attiré leur ruyne. L’ava
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
t souvenir du commun Proverbe, qui dit, « qu’il n’y a point de petits ennemis  ». Cela se verifie par les raisons et par les exe
er, en se mocquant de la poursuitte du Taureau. Il n’y a donc point d’ ennemis à mépriser, quand mesme ils seroient entierement
ner la sienne propre. On peut alleguer une autre raison, pourquoy les ennemis foibles sont fort à craindre ; c’est qu’ils ont t
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 329 » p. 269
ns, en voulant, sous le coup d’une colère aveugle, se venger de leurs ennemis , se jettent sous le joug d’autrui.
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XIII. Les Loups et les Brebis. » p. 153
fort bonne de soy,
 J’en conviens ; mais de quoy sert-elle
 Avec des ennemis sans foy ?
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 218 » p. 153
s orateurs ne se doutent pas qu’ils seront bientôt assujettis à leurs ennemis .
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCI. Du Chameau. »
r armes, au lieu que luy n’en avoit aucunes, pour se deffendre de ses Ennemis . Il pria donc Jupiter de luy en donner ; mais luy
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 71 » pp. 372-372
rès l’autre. Si tu désires vraiment vivre en sûreté, défie-toi de tes ennemis , mais aie confiance en tes amis, et conserve-les.
26 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — V. La Chauvesouris et les deux Belettes. » p. 172
étourdie Aveuglément va se fourrer Chez une autre Belette aux Oyseaux ennemie . La voila derechef en danger de sa vie. La Dame d
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
gnent s’en émouvoir, à cause que le mespris qu’ils font de si lasches Ennemis , est un frein à leur ressentiment. Que s’ils leur
outrages, mais l’introduit seulement avec une voix posée, tançant ses Ennemis de l’asseurance qu’ils ont dans l’enclos de leurs
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
se deschiroient à belles dents. Cette guerre intestine entre ses deux Ennemis , luy fist esperer, qu’il luy seroit bien-aisé de
que le vray moyen de se maintenir long-temps invincibles contre leurs ennemis , estoit d’observer une inviolable Union entr’eux.
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 172 » pp. 127-127
est ainsi que beaucoup de gens n’hésitent pas à faire du bien à leurs ennemis , parce qu’ils en ont peur. Chambry 172.2 Al
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 216 » p. 343
c’est l’unité de volonté et de pensée qui assure la victoire sur les ennemis .
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE II. Du Loup, et de l’Aigneau. »
sateurs aux gens de bien, afin de diminuer en cela le nombre de leurs ennemis , et s’enrichir de la despoüille des innocens. C’e
pere, la mere, et tous les parents de l’Aigneau, estoient ses mortels ennemis . Mais quand les hommes se voudront souvenir qu’il
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
rie, au lieu que celle-cy a pour object les perfides attentats de nos Ennemis . Ce n’est point une affaire de jeu, que l’entrepr
us est donnée une sage instruction de prendre garde aux aguets de nos Ennemis , et nous mesfier principalement des personnes, qu
33 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — IX. Le Lion et le Moucheron. » p. 255
us peut estre enseignée ? J’en vois deux, dont l’une est qu’entre nos ennemis , Les plus à craindre sont souvent les plus petits
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
epresentent, ou apres. Si c’est du temps mesme, ils sont, ou amis, ou ennemis , ou indifferents aux Roys et aux Peuples, dont il
on, la peut aussi faire accuser de malignité, quand on met en jeu les Ennemis de sa Patrie, ou mesme les siens propres. Car il
era-t’on à la fin qu’ils viennent ordinairement de personnes amies ou ennemies  : veu que les indifferentes ne se peineroient pas
35 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 169 » pp. 324-324
de viande ? » Cette fable montre que ceux qui se sont fait beaucoup d’ ennemis dans leur vie ne trouveront pas d’amis, dans le b
36 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 236 » pp. 72-72
rrive assez souvent ainsi que par ignorance on ne se méfie pas de ses ennemis , et qu’on repousse ses amis, les tenant pour susp
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVI. Du Satyre, et du Voyageur. »
mode tantost à nos sentiments par flatterie, et tantost à ceux de nos ennemis par meschanceté. Telle espece de gents est donc p
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
ous sommes bien obligez d’user de courtoisie et de charité envers nos ennemis , s’ils nous en requierent, pourveu toutesfois que
ues à la Vertu ce charitable office de nous bien remettre avecque nos ennemis , nous devons aussi ce droict à la Nature de ne no
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
Et quoy ? peux-tu mettre en doute que les Vicieux ne te soient autant ennemis que les Grecs l’estoient aux Troyens ; et que leu
es dans la bien-sceance, qu’elles nous obligent à voir sans cesse nos Ennemis  ? Puis qu’il n’en est point de pires que les Vici
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
nis de volontez et d’affections, vous ne pourrez estre vaincus de vos ennemis  ; Comme au contraire, si vous fomentez entre vous
en de mal luy a donné tout nouvellement le party des Factieux, et des Ennemis de leur Patrie ! Certes, il est hors de doute que
41 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 342 » pp. 222-222
rateurs avisés tournent adroitement à leur éloge les injures de leurs ennemis .
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »
ux avec qui ils entrent en societe ; autrement ils se fuyroient comme ennemis , au lieu de se rechercher comme freres. Tellement
43 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 252 » pp. 172-172
ui dit qu’elle ne pouvait la relâcher ; car elle était de son naturel ennemie de tous les oiseaux. La chauve-souris réplique qu
44 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 181 » pp. 252-252
le mit en pièces. Cette fable montre que les gens sensés, quand leurs ennemis les attaquent, leur donnent le change en les adre
45 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 326 » pp. 370-370
6. Un trompette qui sonnait le rassemblement ayant été pris par les ennemis , criait : « Ne me tuez pas, camarades, à la légèr
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CV. Du Laboureur, et du Taureau. »
ces d’airain contre ses traicts, estans en cela nous-mesmes les pires ennemis que nous ayons ? Sans doute, si nous estions tant
47 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 269 » pp. 357-357
celui-ci le poussa dans tous les sens et le lança même au milieu des ennemis , où le cheval criblé de coups s’abattit. En voyan
48 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 270 » pp. 82-82
s-je parti en guerre ? » Cette fable montre que souvent on attaque un ennemi qui se fait petit à dessein et qu’on se fait ains
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »
rmy les hommes, n’est ce pas une espece de manie d’en attendre de nos Ennemis , ou pour le moins de ceux qui le devroient estre 
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
e ; Et la patience de Cesar, et de Philippe de Macedoine, quand leurs ennemis les poursuivoient, avecques des livres diffamatoi
’ay promis, les exemples des bestes brutes, qui sçavent pardonner aux ennemis , leurs inferieurs, et principalement le Lion : Ca
51 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 231 » pp. 159-159
ir. Cette fable montre que souvent la vérité a son effet même sur des ennemis . Chambry 231.2 Aliter — Λύκος καὶ ἀλώπηξ.
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIII. Du Cerf, et du Cheval. »
d’en venir là sans quelque sujet extraordinaire, c’est acquerir deux Ennemis au lieu d’un ; et attirer le Loup dans son bercai
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
t, et l’eau des fontaines, luy sembloient d’aussi bon goust, qu’à son ennemie ses pastez et ses vins delicieux ; qu’au reste el
ompagné de violence, ny de chagrin. Au contraire, elle reproche à son ennemie , qu’elle faict mestier d’escornifler, que sa pare
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
é de la fortune, et succumberoient possible sous la deffence de leurs ennemis . C’est pour cela mesme que les Seigneurs gourmand
55 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 86 » pp. 53-53
aussi, mes enfants, si vous restez unis, vous serez invincibles à vos ennemis  ; mais si vous êtes divisés, vous serez faciles à
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
inégales en toutes leurs parties, que si on leur vouloit choisir des ennemis , l’on n’en iroit jamais chercher d’autres. Cét av
proches de leurs Valets ? bref, combien de personnes nées de familles ennemies , qui se sont naturellement entr’aymées, contre la
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
de la sage conjecture que nous devons faire de ceux qui sont amis, ou ennemis , loyaux, ou trompeurs, naïfs, ou artificieux. Qua
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
orte qu’en soit la liaison, elle s’affoiblit souvent par les moindres Ennemis , quand ils s’unissent en nombre. Y a-t’il rien mo
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
y tendre un piege mortel, et de le traicter comme le pire de tous ses ennemis . O vile et déplorable condition des hommes ! O en
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
amis mesme vivent avec eux, comme s’ils devoient un jour estre leurs ennemis , et s’attendent à rompre aux premieres mocqueries
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
seule qui abandonna ses compagnons, pour se jetter dans le party des Ennemis . Toutesfois elle en porta bien-tost la punition :
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
nnes assez genereuses pour garder leur foy, au hazard de la puissance ennemie , voire mesme d’un deshonneur tout évident, comme
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
de nos pensées. O lasche et honteuse negligence des Peres ! ô Parents ennemis , plustost que Parents ! Comment pouvez vous prete
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
ux de nostre nation, qui par les merveilles de leur Valeur, que leurs ennemis redoutent comme la foudre, ayant conquis à divers
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
, et tels encore ces Rhodomonts et ces Braves, qui battent tous leurs ennemis dans la Chambre, et ne les rencontrent jamais à l
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
premierement divisez eux-mesmes, puis ils ont esté la proye de leurs ennemis . Voylà quant aux Republiques et aux Nations. Main
67 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 3 » pp. 1-1
enter, seule ressource des impuissants et des faibles, de maudire son ennemi de loin. Or il arriva que l’aigle ne tarda pas à
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
etits ; les Vindicatifs appaisent la soif qu’ils ont du sang de leurs Ennemis  ; les Coleriques surmontent leur passion, et les
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
cela que Plutarque a beaucoup de raison de les appeller pires que des Ennemis . Car ceux-cy ne tendent des pieges qu’à nostre fo
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
e les nourrir parmy les friandises ? de leur oster l’apprehension des ennemis , et de leur faire craindre un peu de serain et de
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
onsiderer à ses Alliez par son adresse au Conseil, que redouter à ses Ennemis par la force de ses Armes. En un mot, elle a vain
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
samment dans le doute, d’avoir de la peine pour son Maistre, pour ses Ennemis , et pour ses amis, de ne voir point d’heure ny d’
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
ort certaine, pour s’acquitter de la promesse qu’il avoit faite à ses Ennemis , combien que les Sacrificateurs, et les Magistrat
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
attirer encore celuy là ? Pourquoy feront-ils manger leur bien à une ennemie  ? Car il est à croire que s’ils ne l’aiment point
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
est une creature de la terre, qu’avoir des richesses c’est avoir des ennemis , et que les biens du monde ne sont pas aymables p
76 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
fabuliste à la famille d’Auguste et croyant dès lors avoir en lui un ennemi , avait été porté à voir des attaques personnelles
même où Séjan l’appelait en justice, a osé stigmatiser son redoutable ennemi  ? C’est juste ; mais l’explication me semble faci
rmi les douze pairs, marche avec eux contre Garsile dont il devient l’ ennemi le plus acharné et le plus implacable, et, après
/ 76