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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIX. L’Enfant et le Maistre d’Ecole. » p. 211
XIX. L’ Enfant et le Maistre d’Ecole. Dans ce recit je preten
pretens faire voir
 D’un certain sot la remontrance vaine.
 Un jeune enfant dans l’eau se laissa choir,
 En badinant sur les
branches de ce saule ;
 Par cet endroit passe un Maistre d’école.
 L’ Enfant luy crie : Au secours, je peris.
 Le Magister se
s ont de maux, et que je plains leur sort ! 
Ayant tout dit, il mit l’ enfant à bord.
 Je blâme icy plus de gens qu’on ne pense
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 295 » p. 162
Chambry 295 Παῖς καὶ κόραξ — L’ enfant et le corbeau. Μαντευομένης τινὸς περὶ τοῦ ἑαυ
us les jours, à des heures déterminées, elle l’ouvrait et donnait à l’ enfant la nourriture qu’il lui fallait. Or un jour qu’el
Or un jour qu’elle avait ouvert l’arche et remettait le couvercle, l’ enfant avait imprudemment passé la tête dehors. Il arriv
3 (1180) Fables « Marie de France, n° 51. Le singe et son enfant » p. 364
Marie de France, n° 51 Le singe et son enfant Une singesse ala mustrant a tutes bestes sun en
Le singe et son enfant Une singesse ala mustrant a tutes bestes sun enfant — [e] cil la teneint pur fole e par semblant e [p
l’esgarda ; par quointise l’areisuna. « Vei jeo », fet il, « ileoc l’ enfant dunt les bestes parolent tant, que tant par est b
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 83 » pp. 42-42
83 Chambry 83.1 Γεωργὸς καὶ παῖδες αὐτοῦ — Le laboureur et ses enfants . Ἀνὴρ γεωργὸς μέλλων τελευτᾶν καὶ βουλόμενος
j 32. Un laboureur, sur le point de terminer sa vie, voulut que ses enfants acquissent de l’expérience en agriculture. Il les
de l’expérience en agriculture. Il les fit venir et leur dit : « Mes enfants , je vais quitter ce monde ; mais vous, cherchez c
erchez ce que j’ai caché dans ma vigne, et vous trouverez tout. » Les enfants , s’imaginant qu’il y avait enfoui un trésor en qu
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
FABLE CII. De l’ Enfant , et du Larron. Un Enfant pleuroit assis prés d’
FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. Un Enfant pleuroit assis prés d’un puits, lors qu’il y surv
perdu son temps, il remonta en haut, où il ne trouva ny sa robe, ny l’ Enfant , qui l’avoit subtilement emportée. Discours sur
emiere, je me contenteray de dire un mot de la seconde. La malice des Enfants se verifie, et par la journaliere experience que
Pere, ou bien à la Mere, de commettre une action vicieuse devant leur Enfant , asseurément il l’imitera bien-tost apres, et ce
pable d’une felicité dont vous ne le devriez pas destourner. C’est un Enfant que vous avez mis au monde ; Il n’est donc pas ra
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XI. La Fortune et le jeune Enfant. » p. 174
XI. La Fortune et le jeune Enfant . Sur le bord d’un puits trés-profond, Dormoit
Sur le bord d’un puits trés-profond, Dormoit étendu de son long Un Enfant alors dans ses classes. Tout est aux Ecoliers cou
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 293 » pp. 47-47
Chambry 293 Chambry 293.1 Παιδίον ἐσθίον σπλάγχνα — L’ enfant qui mange de la fressure. Βοῦν τινες ἐπ’ ἀγρο
rent leurs voisins. Parmi eux se trouvait une pauvresse qui amena son enfant avec elle. Comme le festin s’avançait, l’enfant q
uvresse qui amena son enfant avec elle. Comme le festin s’avançait, l’ enfant qui avait l’estomac gonflé de viande, se sentant
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 303 » pp. 202-202
dit : « Hé ! l’amie, cesse de te vanter de cela ; car plus tu feras d’ enfants , plus tu auras d’esclavages à déplorer. » Il en e
même des serviteurs : les plus malheureux sont ceux qui ont le plus d’ enfants dans la servitude. Chambry 303.2 Aliter — A
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 298 » pp. 211-211
Chambry 298 Chambry 298.1 Παῖς λουόμενος — L’ enfant qui se baigne. Παῖς ποτε λουόμενος ἔν τινι πο
διδόντας ἀδικεῖσθαι. Codd. Ca 167 Pb 207 Pg 132 Mb 177. Un jour un enfant qui se baignait dans une rivière se vit en danger
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants . Un Laboureur avoit plusieurs enfants, qui ne p
. D’un Laboureur et de ses Enfants. Un Laboureur avoit plusieurs enfants , qui ne pouvoient aucunement s’accorder ensemble,
t qu’on luy apportast un faisceau de verges. Alors s’addressant à ses enfants , il leur commanda qu’ils eussent à rompre le fais
bout aisément. Leur ayant en mesme temps imposé silence ; « Mes chers enfants  », leur dit-il, « tant que vous serez ainsi unis
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
FABLE LXXXII. D’un Enfant , et de sa Mere. Un Enfant qui alloit à l’Écolle
FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. Un Enfant qui alloit à l’Écolle, déroba un Livre à son Comp
d’un Lacedemonien auroit eu bonne grace de conniver au larcin de son Enfant , puis qu’il estoit permis à ceux de ceste nation
Meres faisoient conçevoir de bonne heure une horreur du Vice à leurs Enfants , il est hors de doute qu’on ne les verroit jamais
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — X. La Montagne qui accouche. » p. 520
X. La Montagne qui accouche. Une Montagne en mal d’ enfant , Jettoit une clameur si haute, Que chacun au brui
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 308 » pp. 218-218
Chambry 308 Chambry 308.1 Πιθήκου παῖδες — Les enfants de la guenon. Τοὺς πιθήκους φασὶ δύο τίκτειν
35. Les guenons, dit-on, mettent au monde deux petits ; de ces deux enfants elles chérissent et nourrissent l’un avec sollici
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 86 » pp. 53-53
ambry 86 Chambry 86.1 Γεωργοῦ παῖδες <στασιάζοντες> – Les enfants désunis du laboureur. Γεωργοῦ παῖδες ἐστασίαζ
ταγώνιστος ἡ στάσις. Codd. Pa 53 Pb 53 Pc 24 Pe 27 Pg 31 Mb 25. Les enfants d’un laboureur vivaient en désaccord. Il avait be
ls les cassèrent facilement. « Eh bien ! dit le père, vous aussi, mes enfants , si vous restez unis, vous serez invincibles à vo
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 224 » pp. 158-158
e de nourriture. Arrivé dans un certain endroit, il entendit un petit enfant qui pleurait et une vieille femme qui lui disait 
soir fut venu, il entendit de nouveau la vieille qui choyait le petit enfant et lui disait : « Si le loup vient ici, nous le t
t enfant et lui disait : « Si le loup vient ici, nous le tuerons, mon enfant . » En entendant ces mots, le loup se remit en rou
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 173 » p. 54
31 Lc 42 Le 31 Lf 82 Lg 42 Md 135 Me 38 Mg 40 Mi 109 Mj 36 Mm 49. L’ enfant d’un laboureur grillait des escargots. En les ent
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 294 » pp. 199-199
294 Chambry 294.1 Παῖς <ἀκρίδας θηρεύων> καὶ σκορπίος — L’ enfant qui chasse aux sauterelles et le scorpion. Πα
ὰ προσφέρεσθαι. Codd. Pa 200 Pb 195 Pc 108 Pg 124 Ma 127 Ca 158. Un enfant faisait la chasse aux sauterelles devant le rempa
18 (1180) Fables « Marie de France, n° 10. Le renard et l’aigle » p. 1
t, l’un en porta. Li gupilz vet aprés criant qu[e]’ il li rendist sun enfant  ; mes il nel volt mie escuter, si l’en cuvient a
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
XVI. Le Loup, la Mere et l’ Enfant . La Bique allant remplir sa traînante mammelle
nne Provende. Le larron commençoit pourtant à s’ennuyer. Il entend un enfant crier. La mere aussi-tost le gourmande, Le menace
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 155 » p. 119
our les uns une mère, pour les autres une marâtre. » Pareillement les enfants nourris par une marâtre ne sont pas nourris comme
21 (1180) Fables « Marie de France, n° 92. Le corbeau et son petit » p. 679
ur aiderai. » Par cest essample nus dit tant : quant hum ad nurri sun enfant , qu’il le veit sagë e veizié, le queor [en] ad jo
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
le et de peril ; il s’eslancera contre toy-mesme ; il fera peur à tes enfants , et tu seras à la fin contrainct de le tuer de ce
s. Les Annales sont toutes pleines de semblables cruautez. Je voy des enfants qui s’opposent méchamment à leurs peres, et qui d
it toute son affection en luy, comme s’il eust esté veritablement son enfant . Mais il arriva que celuy-cy, par une extrême ing
23 (1180) Fables « Marie de France, n° 28. Le singe et le renard » p. 533
en dunast ; avis li fu que trop le ot grant, e tuz sunt sans küe si enfant . Li gupil demande que ceo deit que sa cüe li requ
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 149 » p. 195
ser au point de lui mettre une bride et de la donner à conduire à des enfants . Cette fable montre que l’habitude calme la peur
25 (1180) Fables « Marie de France, n° 42. Le riche qu’on saigne » p. 684
qui l’ot lessé. Le riche humme ad mut esmaié, qu’il quidot bien aver enfant . Sa fille fist venir avant ; tant par destreit ta
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
XXV. De la Nourrice, et du Loup. Vne Nourrice voyant pleurer son Enfant , le menaça de le faire manger au Loup, s’il ne s’
fût contraint de s’en retourner au bois à jeun, pource qu’à la fin l’ Enfant s’endormit. La Louve le voyant donc de retour, lu
extrémement triste, « car la Nourrice qui promettoit de me livrer son Enfant s’il pleuroit, ne m’a donné que des paroles, et m
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
emme », dit-il, « s’est remariée en secondes nopces, ayant des-ja des enfants de son premier mary, s’il arrive qu’elle en espou
qui en ait pareillement de sa premiere femme ; Elle est bien Mere des enfants qu’elle a amenez, mais marastre à ceux qu’elle a
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCV. Du Singe, et de ses Enfans. »
e jourd’huy la pluspart des Meres, qui dorlottent et idolatrent leurs enfants , comme les chefs-d’œuvre les plus accomplis de la
s Lacedemoniennes, qui livroient elles mesmes à la mort ceux de leurs Enfants , qui avoient commis quelque lâcheté, et leur comm
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 128 » pp. 314-314
, le Soleil dessèche tous les marécages ; s’il prend femme et fait un enfant semblable à lui, que n’aurons-nous pas à souffrir
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 165 » p. 131
choucas et lui ayant lié la patte avec un fil de lin, le donna à son enfant . Mais le choucas, ne pouvant se résigner à vivre
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants . L’on tient que la femelle du Singe ayant des j
e l’amour extraordinaire des Peres est quelquesfois tres nuisible aux enfants  ; Et qu’au contraire ceux qu’ils ont traicté trop
ain que les mignotises des Meres affoiblissent la complexion de leurs enfants , pource qu’elles ne les accoustument pas de bonne
32 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 311 » pp. 205-205
vec tant de violence. » La mère lui répondit : « Ne t’étonne pas, mon enfant , si ces femmes font des lamentations si pitoyable
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 348 » pp. 227-227
es petits. « Ah ! répondit-elle, je me désole moins d’avoir perdu mes enfants que parce que je suis victime d’un crime en un li
34 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 81 » pp. 51-51
29 Ma 37 Mb 23 Ca 42. Un serpent, s’étant approché en rampant de l’ enfant d’un laboureur, l’avait tué. Le laboureur en ress
aille du rocher, ni toi pour moi, quand tu regardes le tombeau de ton enfant . » Cette fable montre que les grandes haines ne s
35 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
quelque endroit, qu’un Meusnier et son fils, L’un vieillard, l’autre enfant , non pas des plus petits,
 Mais garçon de quinze
ard de monter.
 Messieurs, dit le Meusnier, il vous faut contenter. L’ enfant met pied à terre, et puis le vieillard monte ; Qu
36 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 169 » pp. 324-324
e, et ne pleure pas. » La mère lui répondit : « Lequel des dieux, mon enfant , aura pitié de toi ? en est-il un à qui tu n’aies
37 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 5 » pp. 2-3
i rogna le bout des ailes, et, quand vint le soir, il l’apporta à ses enfants . Ceux-ci lui demandant quelle espèce d’oiseau c’é
38 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 176 » pp. 92-92
à travailler, mais à vivre du travail d’autrui. » C’est ainsi que les enfants paresseux ne sont pas à blâmer, quand leurs paren
39 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 
ont nos Critiques, Vous parlez magnifiquement De cinq ou six contes d’ enfant . Censeurs, en voulez-vous qui soient plus authent
40 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 297 » pp. 200-200
Chambry 297 Chambry 297.1 Παῖς κλέπτης καὶ μήτηρ — L’ enfant voleur et sa mère. Παῖς ἐκ διδασκαλείου τὴν τ
μεῖζον αὔξεται. Codd. Pa 201 Pf 111 Pg 125 Mb 176 Me 145 Mf 120. Un enfant déroba à l’école les tablettes de son camarade et
41 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 327 » pp. 214-214
, et lui demanda ce que c’était : « C’est un caillou, dit-elle. – Mon enfant , reprit la mère, non seulement tu es privée de la
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. »
nsi voyons-nous que les Peres, pour donner trop de commoditez à leurs enfants pendant la fougue de leur jeunesse, travaillent c
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVI. Du Paon, et de la Gruë. »
yant produits au monde, pour nous faire du bien comme à ses legitimes Enfants , il donne à châcun ce qu’il juge luy estre propre
44 (1180) Fables « Marie de France, n° 72. L’homme et le serpent » p. 51
al vilein furent en la faude trovees : la serpent les ot acurees. Sun enfant ocist el berçuel*, dunt li vileins ot mut grant d
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
rtifiées, à s’environner de gardes, et asseurer la succession à leurs enfants  ; à parer leur dignité de specieuses marques d’ho
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
t propre. De là vient aussi qu’Esope n’attribuë cette sottise qu’à un enfant , jugeant indigne un homme, de s’exercer à des men
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
de peur de les rendre perpetuelles, et de les faire passer jusqu’aux enfants et aux freres. Mais les Gentils-hommes s’imaginer
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
urs courses. Ils maudissent le repos de la patrie, et destinent leurs enfants à faire une vie aussi tumultueuse que la leur. Ma
de nostre âge des Freres égorger leurs Aisnez pour la succession, des Enfants faire mourir leurs Peres, et des Nepveux se défai
a, sçavons-nous bien qui est le vray heritier de nos Richesses ? où l’ enfant que nous élevons est à nous, ou il ne l’est pas.
Philosophie dans nostre maison, pour estre compagne éternelle de nos enfants  ? Elle seule leur apprendra le mépris des vanitez
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
lave apres luy ; Et ne fût pas plustost arrivé en sa maison, que deux enfants qui estoient à la mammelle voyant Esope, en euren
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
revenir à nostre Corbeau, qui fût comme un joüet entre les mains des Enfants , il nous apprend que si la folle imitation des pe
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
e aux plus grandes inimitiez du monde, qui a mis mal le pere avec les enfants , la fille avecque la mere, et bref qui a comblé t
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
ugea necessaire pour un tel voyage, principalement les Aigles, et les enfants , avec lesquels il s’en alla en Egypte ; où tous c
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
’est-ce pas une belle chose à voir, qu’un Vieillard assotté prés d’un enfant , ou si vous voulez, qu’un homme qui devroit donne
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
us, il s’habille, il se couvre, il saluë, il emmaillotte et berse les enfants  ; il praticque des vengeances ; il se plainct des
icquer apres luy, comme une infinité de choses que les bestes, et les enfants font avecque nous. Il reste maintenant à parler d
55 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
ssumer. De tous les auteurs anciens qui guident les premiers pas de l’ enfant dans l’étude de la langue latine, Phèdre est celu
lus loin que, si, lors de son arrivée à Rome, il n’était encore qu’un enfant , il était déjà parvenu à un âge voisin de l’adole
ile à résoudre. Si, lorsqu’il avait été amené à Rome, il était encore enfant , il n’était plus en bas âge ; il possédait déjà t
Pierre Pithou. Son père avait eu, en 1524, d’un premier mariage deux enfants jumeaux, Jean et Nicole, qui embrassèrent l’un, l
de Baire, et de Catherine Dorigny. Pierre Pithou fut l’aîné des deux enfants issus de cette union. Il était né à Troyes, le 1e
q ans à son frère, et mourut en 1621, âgé de 78 ans. « N’ayant pas d’ enfants , dit M. Berger de Xivrey, il légua au collège de
it renferme beaucoup de fables bonnes à être mises sous les yeux d’un enfant , il faut avouer aussi qu’il s’y mêle çà et là des
uer aussi qu’il s’y mêle çà et là des compositions licencieuses qu’un enfant ne peut lire. Aussi, comme cela résulte de la déd
ait pas à son neveu, et plus tard, quand il songea à le lui dédier, l’ enfant était devenu un grand garçon, probablement assez
fois une satisfaction pour le professeur et un encouragement pour les enfants qu’il était chargé d’instruire. Ces procédés avai
négativement. Phèdre était Macédonien, c’est vrai ; mais c’est encore enfant qu’il était arrivé à Rome ; la langue romaine éta
ourrait tout au plus figurer à côté du conte de Perrault si connu des enfants . Mais pourquoi, si Perotti l’a inventée, y a-t-il
expliquant sa conduite à un badaud surpris de le voir jouer avec des enfants , fermant d’un mot la bouche à un bavard qui le dé
nard. App. 1. IV, 13. (Voir IV, 5.) IV, 14. La Montagne en mal d’ enfant . iv a, 23. IV, 15. Le Père et le mauvais Fils.
. II, 4. Le Loup accoucheur. App. 19. II, 5. La Montagne en mal d’ enfant . iv a, 23. II, 6. Le Chien et l’Agneau. iii,
malade et le Renard. III, 35. La Corneille altérée. III, 36. L’ Enfant et le Scorpion. III, 37. L’Âne et le Loup.
malade. 3. Le Loup accoucheur. App. 19. 4. La Montagne en mal d’ enfant . iv a, 23. 5. Le Chien et l’Agneau. iii, 15.
6. Le Corbeau et les Oiseaux. 27. La Corneille altérée. 28. L’ Enfant et le Scorpion. 29. L’Âne et le Loup. 30.
. II, 4. Le Loup accoucheur. App. 19. II, 5. La Montagne en mal d’ enfant . iv a, 23. II, 6. Le Chien et l’Agneau. iii,
on malade et le Renard. IV, 13. La Corneille altérée. IV, 14. L’ Enfant et le Scorpion. IV, 15. L’Âne et le Loup. I
, le 4 décembre 1757, à Lynn dans le comté de Norfolk, il est, encore enfant , conduit à Londres. En 1768, il est placé à la Ch
qui d’ailleurs avait fait de Vincent de Beauvais le précepteur de ses enfants . C’est pour leur instruction que Vincent de Beauv
II, 3. Le Chien et le Voleur. 10. 6. II, 5. La Montagne en mal d’ enfant . 11. 14. II, 9. Les Lièvres et les Grenouilles.
t et l’Ours. 28. Le Chien qui garde son maître tué. 29. L’ Enfant qui se noie et le Chien qui le sauve. 30. L
r. II, 3. 24. Le Loup accoucheur. II, 4. 25. La Montagne en mal d’ enfant . II, 5. 26. Le Chien et l’Agneau. II, 6. 27.
e, et qu’il avait pu sortir de la réserve à laquelle l’éducation d’un enfant l’aurait forcément assujetti. J’ajoute que la fab
ant son livre à la Vierge qui est assise et qui dans ses bras tient l’ enfant Jésus. Au-dessous le titre général du livre est a
donc postérieur à cette année, et comme il ne fait aucune mention des enfants de cette princesse, il faut qu’il ait été achevé
24. Le Loup accoucheur. 20. 19. 20. 20. 25. La Montagne en mal d’ enfant . 23. 22. 23. 23. 26. Le Chien et l’Agneau. 26.
n an avant l’avènement de son mari au trône, après avoir eu plusieurs enfants de lui, et c’est pourquoi cette traduction doit a
et probablement vers cette dernière année à raison de la mention des enfants de Madame Bonne445. » M. Robert ayant adopté la
e représentant Ésope sous la forme d’un pédagogue et à ses pieds deux enfants qu’il instruit. Au-dessus de leur tête voltige un
ous du titre il y a une gravure qui représente Ésope instruisant deux enfants et dans laquelle sur une banderole on lit le même
un pédagogue assis dans un grand fauteuil de forme gothique et trois enfants à genoux devant lui. Le verso du premier feuillet
empli par une gravure qui représente la Vierge tenant dans ses bras l’ enfant Jésus, et par la marque de l’imprimeur, le tout d
aduit par Accio Zuccho. — Les choses qui circulent dans les mains des enfants et des ignorants ont l’habitude de perdre leur fo
34. Les Lièvres et les Grenouilles. II, 9. 35. La Montagne en mal d’ enfant . II, 5. 36. Le Chameau et la Puce. IV, 18. 37
II, 4. Le Loup accoucheur. 23. 23. 24. II, 5. La Montagne en mal d’ enfant . 24. 24. II, 6. Le Chien et l’Agneau. 25. 25.
le Renard. 72. III, 35. La Corneille altérée. 73. III, 36. L’ Enfant et le Scorpion. 74. III, 37. L’Âne et le Loup
3. II, 4. Le Loup accoucheur. II, 4. II, 5. La Montagne en mal d’ enfant . II, 5. II, 6. Le Chien et l’Agneau. II, 6. I
Renard. IV, 12. III, 33. La Corneille altérée. IV, 13. III, 34. L’ Enfant et le Scorpion. IV, 14. III, 35. L’Âne et le Lo
II, 3. II, 4. Le Loup accoucheur. II, 4. II, 5. L’Homme en mal d’ enfant . II, 5. II, 6. Le Chien et l’Agneau. II, 6. I
orbeau. I, 13. 3. Le Loup accoucheur. II, 4. 4. L’Homme en mal d’ enfant . II, 5. 5. Le Chien et l’Agneau. II, 6. 6. Le
e plus ; car ce dernier n’a pas conservé la fable de l’Homme en mal d’ enfant . On arrive ainsi au résultat suivant : 136 – 24 =
oleur. II, 3. 22. Le Loup accoucheur. II, 4. 23. L’Homme en mal d’ enfant . II, 5. 24. Le Chien et l’Agneau. II, 6. 25.
lée. Iceste est veritez prouuée, Que por ce ne puis conceuoir, Ne nul enfant ne puis auoir. Lors s’en galent trestuit et rient
I, 43. 89. Le Serpent et l’Homme. I, 10. 90. La Montagne en mal d’ enfant . II, 5. 91. Le Chien vieilli et son Maître. II,
les Oiseaux. III, 33. 107. La Corneille altérée. III, 35. 108. L’ Enfant et la Couleuvre. III, 36. 109. L’Âne et le Loup
31. 4. L’Oiseleur et les Oiseaux. 74. 81. 5. La Montagne en mal d’ enfant . 51. 90. 6. Le Chien vieilli et son maître. 52.
et les Paysans. 71. 104. 15. Le Cheval et le Cerf. 61. 105. 16. L’ Enfant et le Serpent. 98. 108. 17. L’Âne malade et l
ur. II, 4. 20. Le Chien et le Voleur. II, 3. 21. L’Homme en mal d’ enfant . II, 5. 22. Le Chien et l’Agneau. II, 6. 23.
ier, celle du Buffle, du Loup et du Lion et celle de l’Homme en mal d’ enfant . Or, de la nomenclature qui précède il ressort qu
II, 3. II, 4. Le Loup accoucheur. II, 4. Il, 5. L’Homme en mal d’ enfant . II, 5. II, 6. Le Chien et l’Agneau. II, 6. I
remier traduit ces poésies du grec en latin pour l’instruction de ses enfants . Le roi d’Angleterre Affrus, habile dans cet art,
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