XIX. L’
Enfant
et le Maistre d’Ecole. Dans ce recit je preten
pretens faire voir
D’un certain sot la remontrance vaine.
Un jeune
enfant
dans l’eau se laissa choir,
En badinant sur les
branches de ce saule ;
Par cet endroit passe un Maistre d’école.
L’
Enfant
luy crie : Au secours, je peris.
Le Magister se
s ont de maux, et que je plains leur sort !
Ayant tout dit, il mit l’
enfant
à bord.
Je blâme icy plus de gens qu’on ne pense
Chambry 295 Παῖς καὶ κόραξ — L’
enfant
et le corbeau. Μαντευομένης τινὸς περὶ τοῦ ἑαυ
us les jours, à des heures déterminées, elle l’ouvrait et donnait à l’
enfant
la nourriture qu’il lui fallait. Or un jour qu’el
Or un jour qu’elle avait ouvert l’arche et remettait le couvercle, l’
enfant
avait imprudemment passé la tête dehors. Il arriv
Marie de France, n° 51 Le singe et son
enfant
Une singesse ala mustrant a tutes bestes sun en
Le singe et son enfant Une singesse ala mustrant a tutes bestes sun
enfant
— [e] cil la teneint pur fole e par semblant e [p
l’esgarda ; par quointise l’areisuna. « Vei jeo », fet il, « ileoc l’
enfant
dunt les bestes parolent tant, que tant par est b
83 Chambry 83.1 Γεωργὸς καὶ παῖδες αὐτοῦ — Le laboureur et ses
enfants
. Ἀνὴρ γεωργὸς μέλλων τελευτᾶν καὶ βουλόμενος
j 32. Un laboureur, sur le point de terminer sa vie, voulut que ses
enfants
acquissent de l’expérience en agriculture. Il les
de l’expérience en agriculture. Il les fit venir et leur dit : « Mes
enfants
, je vais quitter ce monde ; mais vous, cherchez c
erchez ce que j’ai caché dans ma vigne, et vous trouverez tout. » Les
enfants
, s’imaginant qu’il y avait enfoui un trésor en qu
FABLE CII. De l’
Enfant
, et du Larron. Un Enfant pleuroit assis prés d’
FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. Un
Enfant
pleuroit assis prés d’un puits, lors qu’il y surv
perdu son temps, il remonta en haut, où il ne trouva ny sa robe, ny l’
Enfant
, qui l’avoit subtilement emportée. Discours sur
emiere, je me contenteray de dire un mot de la seconde. La malice des
Enfants
se verifie, et par la journaliere experience que
Pere, ou bien à la Mere, de commettre une action vicieuse devant leur
Enfant
, asseurément il l’imitera bien-tost apres, et ce
pable d’une felicité dont vous ne le devriez pas destourner. C’est un
Enfant
que vous avez mis au monde ; Il n’est donc pas ra
XI. La Fortune et le jeune
Enfant
. Sur le bord d’un puits trés-profond, Dormoit
Sur le bord d’un puits trés-profond, Dormoit étendu de son long Un
Enfant
alors dans ses classes. Tout est aux Ecoliers cou
Chambry 293 Chambry 293.1 Παιδίον ἐσθίον σπλάγχνα — L’
enfant
qui mange de la fressure. Βοῦν τινες ἐπ’ ἀγρο
rent leurs voisins. Parmi eux se trouvait une pauvresse qui amena son
enfant
avec elle. Comme le festin s’avançait, l’enfant q
uvresse qui amena son enfant avec elle. Comme le festin s’avançait, l’
enfant
qui avait l’estomac gonflé de viande, se sentant
dit : « Hé ! l’amie, cesse de te vanter de cela ; car plus tu feras d’
enfants
, plus tu auras d’esclavages à déplorer. » Il en e
même des serviteurs : les plus malheureux sont ceux qui ont le plus d’
enfants
dans la servitude. Chambry 303.2 Aliter — A
Chambry 298 Chambry 298.1 Παῖς λουόμενος — L’
enfant
qui se baigne. Παῖς ποτε λουόμενος ἔν τινι πο
διδόντας ἀδικεῖσθαι. Codd. Ca 167 Pb 207 Pg 132 Mb 177. Un jour un
enfant
qui se baignait dans une rivière se vit en danger
FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses
Enfants
. Un Laboureur avoit plusieurs enfants, qui ne p
. D’un Laboureur et de ses Enfants. Un Laboureur avoit plusieurs
enfants
, qui ne pouvoient aucunement s’accorder ensemble,
t qu’on luy apportast un faisceau de verges. Alors s’addressant à ses
enfants
, il leur commanda qu’ils eussent à rompre le fais
bout aisément. Leur ayant en mesme temps imposé silence ; « Mes chers
enfants
», leur dit-il, « tant que vous serez ainsi unis
FABLE LXXXII. D’un
Enfant
, et de sa Mere. Un Enfant qui alloit à l’Écolle
FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. Un
Enfant
qui alloit à l’Écolle, déroba un Livre à son Comp
d’un Lacedemonien auroit eu bonne grace de conniver au larcin de son
Enfant
, puis qu’il estoit permis à ceux de ceste nation
Meres faisoient conçevoir de bonne heure une horreur du Vice à leurs
Enfants
, il est hors de doute qu’on ne les verroit jamais
X. La Montagne qui accouche. Une Montagne en mal d’
enfant
, Jettoit une clameur si haute, Que chacun au brui
Chambry 308 Chambry 308.1 Πιθήκου παῖδες — Les
enfants
de la guenon. Τοὺς πιθήκους φασὶ δύο τίκτειν
35. Les guenons, dit-on, mettent au monde deux petits ; de ces deux
enfants
elles chérissent et nourrissent l’un avec sollici
ambry 86 Chambry 86.1 Γεωργοῦ παῖδες <στασιάζοντες> – Les
enfants
désunis du laboureur. Γεωργοῦ παῖδες ἐστασίαζ
ταγώνιστος ἡ στάσις. Codd. Pa 53 Pb 53 Pc 24 Pe 27 Pg 31 Mb 25. Les
enfants
d’un laboureur vivaient en désaccord. Il avait be
ls les cassèrent facilement. « Eh bien ! dit le père, vous aussi, mes
enfants
, si vous restez unis, vous serez invincibles à vo
e de nourriture. Arrivé dans un certain endroit, il entendit un petit
enfant
qui pleurait et une vieille femme qui lui disait
soir fut venu, il entendit de nouveau la vieille qui choyait le petit
enfant
et lui disait : « Si le loup vient ici, nous le t
t enfant et lui disait : « Si le loup vient ici, nous le tuerons, mon
enfant
. » En entendant ces mots, le loup se remit en rou
31 Lc 42 Le 31 Lf 82 Lg 42 Md 135 Me 38 Mg 40 Mi 109 Mj 36 Mm 49. L’
enfant
d’un laboureur grillait des escargots. En les ent
294 Chambry 294.1 Παῖς <ἀκρίδας θηρεύων> καὶ σκορπίος — L’
enfant
qui chasse aux sauterelles et le scorpion. Πα
ὰ προσφέρεσθαι. Codd. Pa 200 Pb 195 Pc 108 Pg 124 Ma 127 Ca 158. Un
enfant
faisait la chasse aux sauterelles devant le rempa
t, l’un en porta. Li gupilz vet aprés criant qu[e]’ il li rendist sun
enfant
; mes il nel volt mie escuter, si l’en cuvient a
XVI. Le Loup, la Mere et l’
Enfant
. La Bique allant remplir sa traînante mammelle
nne Provende. Le larron commençoit pourtant à s’ennuyer. Il entend un
enfant
crier. La mere aussi-tost le gourmande, Le menace
our les uns une mère, pour les autres une marâtre. » Pareillement les
enfants
nourris par une marâtre ne sont pas nourris comme
ur aiderai. » Par cest essample nus dit tant : quant hum ad nurri sun
enfant
, qu’il le veit sagë e veizié, le queor [en] ad jo
le et de peril ; il s’eslancera contre toy-mesme ; il fera peur à tes
enfants
, et tu seras à la fin contrainct de le tuer de ce
s. Les Annales sont toutes pleines de semblables cruautez. Je voy des
enfants
qui s’opposent méchamment à leurs peres, et qui d
it toute son affection en luy, comme s’il eust esté veritablement son
enfant
. Mais il arriva que celuy-cy, par une extrême ing
en dunast ; avis li fu que trop le ot grant, e tuz sunt sans küe si
enfant
. Li gupil demande que ceo deit que sa cüe li requ
ser au point de lui mettre une bride et de la donner à conduire à des
enfants
. Cette fable montre que l’habitude calme la peur
qui l’ot lessé. Le riche humme ad mut esmaié, qu’il quidot bien aver
enfant
. Sa fille fist venir avant ; tant par destreit ta
XXV. De la Nourrice, et du Loup. Vne Nourrice voyant pleurer son
Enfant
, le menaça de le faire manger au Loup, s’il ne s’
fût contraint de s’en retourner au bois à jeun, pource qu’à la fin l’
Enfant
s’endormit. La Louve le voyant donc de retour, lu
extrémement triste, « car la Nourrice qui promettoit de me livrer son
Enfant
s’il pleuroit, ne m’a donné que des paroles, et m
emme », dit-il, « s’est remariée en secondes nopces, ayant des-ja des
enfants
de son premier mary, s’il arrive qu’elle en espou
qui en ait pareillement de sa premiere femme ; Elle est bien Mere des
enfants
qu’elle a amenez, mais marastre à ceux qu’elle a
e jourd’huy la pluspart des Meres, qui dorlottent et idolatrent leurs
enfants
, comme les chefs-d’œuvre les plus accomplis de la
s Lacedemoniennes, qui livroient elles mesmes à la mort ceux de leurs
Enfants
, qui avoient commis quelque lâcheté, et leur comm
, le Soleil dessèche tous les marécages ; s’il prend femme et fait un
enfant
semblable à lui, que n’aurons-nous pas à souffrir
choucas et lui ayant lié la patte avec un fil de lin, le donna à son
enfant
. Mais le choucas, ne pouvant se résigner à vivre
FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux
Enfants
. L’on tient que la femelle du Singe ayant des j
e l’amour extraordinaire des Peres est quelquesfois tres nuisible aux
enfants
; Et qu’au contraire ceux qu’ils ont traicté trop
ain que les mignotises des Meres affoiblissent la complexion de leurs
enfants
, pource qu’elles ne les accoustument pas de bonne
vec tant de violence. » La mère lui répondit : « Ne t’étonne pas, mon
enfant
, si ces femmes font des lamentations si pitoyable
es petits. « Ah ! répondit-elle, je me désole moins d’avoir perdu mes
enfants
que parce que je suis victime d’un crime en un li
29 Ma 37 Mb 23 Ca 42. Un serpent, s’étant approché en rampant de l’
enfant
d’un laboureur, l’avait tué. Le laboureur en ress
aille du rocher, ni toi pour moi, quand tu regardes le tombeau de ton
enfant
. » Cette fable montre que les grandes haines ne s
quelque endroit, qu’un Meusnier et son fils, L’un vieillard, l’autre
enfant
, non pas des plus petits,
Mais garçon de quinze
ard de monter.
Messieurs, dit le Meusnier, il vous faut contenter. L’
enfant
met pied à terre, et puis le vieillard monte ; Qu
e, et ne pleure pas. » La mère lui répondit : « Lequel des dieux, mon
enfant
, aura pitié de toi ? en est-il un à qui tu n’aies
i rogna le bout des ailes, et, quand vint le soir, il l’apporta à ses
enfants
. Ceux-ci lui demandant quelle espèce d’oiseau c’é
à travailler, mais à vivre du travail d’autrui. » C’est ainsi que les
enfants
paresseux ne sont pas à blâmer, quand leurs paren
ont nos Critiques, Vous parlez magnifiquement De cinq ou six contes d’
enfant
. Censeurs, en voulez-vous qui soient plus authent
Chambry 297 Chambry 297.1 Παῖς κλέπτης καὶ μήτηρ — L’
enfant
voleur et sa mère. Παῖς ἐκ διδασκαλείου τὴν τ
μεῖζον αὔξεται. Codd. Pa 201 Pf 111 Pg 125 Mb 176 Me 145 Mf 120. Un
enfant
déroba à l’école les tablettes de son camarade et
, et lui demanda ce que c’était : « C’est un caillou, dit-elle. – Mon
enfant
, reprit la mère, non seulement tu es privée de la
nsi voyons-nous que les Peres, pour donner trop de commoditez à leurs
enfants
pendant la fougue de leur jeunesse, travaillent c
yant produits au monde, pour nous faire du bien comme à ses legitimes
Enfants
, il donne à châcun ce qu’il juge luy estre propre
al vilein furent en la faude trovees : la serpent les ot acurees. Sun
enfant
ocist el berçuel*, dunt li vileins ot mut grant d
rtifiées, à s’environner de gardes, et asseurer la succession à leurs
enfants
; à parer leur dignité de specieuses marques d’ho
t propre. De là vient aussi qu’Esope n’attribuë cette sottise qu’à un
enfant
, jugeant indigne un homme, de s’exercer à des men
de peur de les rendre perpetuelles, et de les faire passer jusqu’aux
enfants
et aux freres. Mais les Gentils-hommes s’imaginer
urs courses. Ils maudissent le repos de la patrie, et destinent leurs
enfants
à faire une vie aussi tumultueuse que la leur. Ma
de nostre âge des Freres égorger leurs Aisnez pour la succession, des
Enfants
faire mourir leurs Peres, et des Nepveux se défai
a, sçavons-nous bien qui est le vray heritier de nos Richesses ? où l’
enfant
que nous élevons est à nous, ou il ne l’est pas.
Philosophie dans nostre maison, pour estre compagne éternelle de nos
enfants
? Elle seule leur apprendra le mépris des vanitez
lave apres luy ; Et ne fût pas plustost arrivé en sa maison, que deux
enfants
qui estoient à la mammelle voyant Esope, en euren
revenir à nostre Corbeau, qui fût comme un joüet entre les mains des
Enfants
, il nous apprend que si la folle imitation des pe
e aux plus grandes inimitiez du monde, qui a mis mal le pere avec les
enfants
, la fille avecque la mere, et bref qui a comblé t
ugea necessaire pour un tel voyage, principalement les Aigles, et les
enfants
, avec lesquels il s’en alla en Egypte ; où tous c
’est-ce pas une belle chose à voir, qu’un Vieillard assotté prés d’un
enfant
, ou si vous voulez, qu’un homme qui devroit donne
us, il s’habille, il se couvre, il saluë, il emmaillotte et berse les
enfants
; il praticque des vengeances ; il se plainct des
icquer apres luy, comme une infinité de choses que les bestes, et les
enfants
font avecque nous. Il reste maintenant à parler d
ssumer. De tous les auteurs anciens qui guident les premiers pas de l’
enfant
dans l’étude de la langue latine, Phèdre est celu
lus loin que, si, lors de son arrivée à Rome, il n’était encore qu’un
enfant
, il était déjà parvenu à un âge voisin de l’adole
ile à résoudre. Si, lorsqu’il avait été amené à Rome, il était encore
enfant
, il n’était plus en bas âge ; il possédait déjà t
Pierre Pithou. Son père avait eu, en 1524, d’un premier mariage deux
enfants
jumeaux, Jean et Nicole, qui embrassèrent l’un, l
de Baire, et de Catherine Dorigny. Pierre Pithou fut l’aîné des deux
enfants
issus de cette union. Il était né à Troyes, le 1e
q ans à son frère, et mourut en 1621, âgé de 78 ans. « N’ayant pas d’
enfants
, dit M. Berger de Xivrey, il légua au collège de
it renferme beaucoup de fables bonnes à être mises sous les yeux d’un
enfant
, il faut avouer aussi qu’il s’y mêle çà et là des
uer aussi qu’il s’y mêle çà et là des compositions licencieuses qu’un
enfant
ne peut lire. Aussi, comme cela résulte de la déd
ait pas à son neveu, et plus tard, quand il songea à le lui dédier, l’
enfant
était devenu un grand garçon, probablement assez
fois une satisfaction pour le professeur et un encouragement pour les
enfants
qu’il était chargé d’instruire. Ces procédés avai
négativement. Phèdre était Macédonien, c’est vrai ; mais c’est encore
enfant
qu’il était arrivé à Rome ; la langue romaine éta
ourrait tout au plus figurer à côté du conte de Perrault si connu des
enfants
. Mais pourquoi, si Perotti l’a inventée, y a-t-il
expliquant sa conduite à un badaud surpris de le voir jouer avec des
enfants
, fermant d’un mot la bouche à un bavard qui le dé
nard. App. 1. IV, 13. (Voir IV, 5.) IV, 14. La Montagne en mal d’
enfant
. iv a, 23. IV, 15. Le Père et le mauvais Fils.
. II, 4. Le Loup accoucheur. App. 19. II, 5. La Montagne en mal d’
enfant
. iv a, 23. II, 6. Le Chien et l’Agneau. iii,
malade et le Renard. III, 35. La Corneille altérée. III, 36. L’
Enfant
et le Scorpion. III, 37. L’Âne et le Loup.
malade. 3. Le Loup accoucheur. App. 19. 4. La Montagne en mal d’
enfant
. iv a, 23. 5. Le Chien et l’Agneau. iii, 15.
6. Le Corbeau et les Oiseaux. 27. La Corneille altérée. 28. L’
Enfant
et le Scorpion. 29. L’Âne et le Loup. 30.
. II, 4. Le Loup accoucheur. App. 19. II, 5. La Montagne en mal d’
enfant
. iv a, 23. II, 6. Le Chien et l’Agneau. iii,
on malade et le Renard. IV, 13. La Corneille altérée. IV, 14. L’
Enfant
et le Scorpion. IV, 15. L’Âne et le Loup. I
, le 4 décembre 1757, à Lynn dans le comté de Norfolk, il est, encore
enfant
, conduit à Londres. En 1768, il est placé à la Ch
qui d’ailleurs avait fait de Vincent de Beauvais le précepteur de ses
enfants
. C’est pour leur instruction que Vincent de Beauv
II, 3. Le Chien et le Voleur. 10. 6. II, 5. La Montagne en mal d’
enfant
. 11. 14. II, 9. Les Lièvres et les Grenouilles.
t et l’Ours. 28. Le Chien qui garde son maître tué. 29. L’
Enfant
qui se noie et le Chien qui le sauve. 30. L
r. II, 3. 24. Le Loup accoucheur. II, 4. 25. La Montagne en mal d’
enfant
. II, 5. 26. Le Chien et l’Agneau. II, 6. 27.
e, et qu’il avait pu sortir de la réserve à laquelle l’éducation d’un
enfant
l’aurait forcément assujetti. J’ajoute que la fab
ant son livre à la Vierge qui est assise et qui dans ses bras tient l’
enfant
Jésus. Au-dessous le titre général du livre est a
donc postérieur à cette année, et comme il ne fait aucune mention des
enfants
de cette princesse, il faut qu’il ait été achevé
24. Le Loup accoucheur. 20. 19. 20. 20. 25. La Montagne en mal d’
enfant
. 23. 22. 23. 23. 26. Le Chien et l’Agneau. 26.
n an avant l’avènement de son mari au trône, après avoir eu plusieurs
enfants
de lui, et c’est pourquoi cette traduction doit a
et probablement vers cette dernière année à raison de la mention des
enfants
de Madame Bonne445. » M. Robert ayant adopté la
e représentant Ésope sous la forme d’un pédagogue et à ses pieds deux
enfants
qu’il instruit. Au-dessus de leur tête voltige un
ous du titre il y a une gravure qui représente Ésope instruisant deux
enfants
et dans laquelle sur une banderole on lit le même
un pédagogue assis dans un grand fauteuil de forme gothique et trois
enfants
à genoux devant lui. Le verso du premier feuillet
empli par une gravure qui représente la Vierge tenant dans ses bras l’
enfant
Jésus, et par la marque de l’imprimeur, le tout d
aduit par Accio Zuccho. — Les choses qui circulent dans les mains des
enfants
et des ignorants ont l’habitude de perdre leur fo
34. Les Lièvres et les Grenouilles. II, 9. 35. La Montagne en mal d’
enfant
. II, 5. 36. Le Chameau et la Puce. IV, 18. 37
II, 4. Le Loup accoucheur. 23. 23. 24. II, 5. La Montagne en mal d’
enfant
. 24. 24. II, 6. Le Chien et l’Agneau. 25. 25.
le Renard. 72. III, 35. La Corneille altérée. 73. III, 36. L’
Enfant
et le Scorpion. 74. III, 37. L’Âne et le Loup
3. II, 4. Le Loup accoucheur. II, 4. II, 5. La Montagne en mal d’
enfant
. II, 5. II, 6. Le Chien et l’Agneau. II, 6. I
Renard. IV, 12. III, 33. La Corneille altérée. IV, 13. III, 34. L’
Enfant
et le Scorpion. IV, 14. III, 35. L’Âne et le Lo
II, 3. II, 4. Le Loup accoucheur. II, 4. II, 5. L’Homme en mal d’
enfant
. II, 5. II, 6. Le Chien et l’Agneau. II, 6. I
orbeau. I, 13. 3. Le Loup accoucheur. II, 4. 4. L’Homme en mal d’
enfant
. II, 5. 5. Le Chien et l’Agneau. II, 6. 6. Le
e plus ; car ce dernier n’a pas conservé la fable de l’Homme en mal d’
enfant
. On arrive ainsi au résultat suivant : 136 – 24 =
oleur. II, 3. 22. Le Loup accoucheur. II, 4. 23. L’Homme en mal d’
enfant
. II, 5. 24. Le Chien et l’Agneau. II, 6. 25.
lée. Iceste est veritez prouuée, Que por ce ne puis conceuoir, Ne nul
enfant
ne puis auoir. Lors s’en galent trestuit et rient
I, 43. 89. Le Serpent et l’Homme. I, 10. 90. La Montagne en mal d’
enfant
. II, 5. 91. Le Chien vieilli et son Maître. II,
les Oiseaux. III, 33. 107. La Corneille altérée. III, 35. 108. L’
Enfant
et la Couleuvre. III, 36. 109. L’Âne et le Loup
31. 4. L’Oiseleur et les Oiseaux. 74. 81. 5. La Montagne en mal d’
enfant
. 51. 90. 6. Le Chien vieilli et son maître. 52.
et les Paysans. 71. 104. 15. Le Cheval et le Cerf. 61. 105. 16. L’
Enfant
et le Serpent. 98. 108. 17. L’Âne malade et l
ur. II, 4. 20. Le Chien et le Voleur. II, 3. 21. L’Homme en mal d’
enfant
. II, 5. 22. Le Chien et l’Agneau. II, 6. 23.
ier, celle du Buffle, du Loup et du Lion et celle de l’Homme en mal d’
enfant
. Or, de la nomenclature qui précède il ressort qu
II, 3. II, 4. Le Loup accoucheur. II, 4. Il, 5. L’Homme en mal d’
enfant
. II, 5. II, 6. Le Chien et l’Agneau. II, 6. I
remier traduit ces poésies du grec en latin pour l’instruction de ses
enfants
. Le roi d’Angleterre Affrus, habile dans cet art,
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