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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVII. De l’Asne malade, et des Loups. »
ourte et sage response de l’Asnon, dément tellement sa nature, que je doute si un subtil et avisé Philosophe pourroit avoir p
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 268 » p. 188
ard, qui avait justement entendu sa voix auparavant, lui dit : « N’en doute pas, tu m’aurais fait peur à moi aussi, si je ne
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 193 » p. 333
, et peux-tu dire pourquoi on t’appelle le « profiteur ? » — Si tu en doutes , répondit le renard, viens chez moi, je t’offre à
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VII. L’Yvrogne et sa femme. » p. 246
re ; 
Luy presente un chaudeau propre pour Lucifer.
 L’Epoux alors ne doute en aucune maniere
 Qu’il ne soit citoyen d’enfer.
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un fardeau, dont Esope se chargea. Chapitre VI. »
loing ses compagnons, ils ne sçavoient qu’en penser, et mettoient en doute si celuy qu’ils voyoient devant eux estoit ce vil
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
it si pertinemment aux causes de son accusation, qu’il n’y a point de doute , que le Roy recognoissant son innocence, eust fai
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCV. Du Singe, et de ses Enfans. »
one, elle luy fist ceste genereuse response ; « Estranger mon amy, ne doute point que tu ne t’abuses en ce jugement que tu fa
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIII. Du Renard, et du Buisson. »
s, et des humeurs des personnes. Comme par exemple, il n’y a point de doute que nous devons vivre tout autrement avec les Vie
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
la bien-veillance et l’estime des sages. Si cela est, MONSIEUR, je ne doute point que la consideration de cette excellente qu
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
à nostre amy l’effect de nostre bien-veillance. Ce qui estant hors de doute en l’opinion de tout le monde, ce seroit destruir
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
pour ce qu’il est, c’est à dire, de qui nous ne devons plus estre en doute . Au reste, ce n’est pas une vengeance de ne l’aym
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
des Factieux, et des Ennemis de leur Patrie ! Certes, il est hors de doute que sans les invincibles Armes de nostre Roy, et
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
rase qui reçoit toutes les especes qu’on luy presente, il est hors de doute que les mauvais exemples y sont imprimez plûtost
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
tous pasmer de rire. Discours sur la vingt-troiziesme Fable. Je doute au commencement de ce Discours, si je le dois rap
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
ilosophes regnoient, et où les Roys philosophoient, il n’y a point de doute que le devoir de leur charge les oblige à suivre
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
es autres qui ont suivy une vraye et sincere vertu. Il n’y a point de doute que la Romaine n’ait emporté l’avantage sur la Ca
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
ir de bonne heure une horreur du Vice à leurs Enfants, il est hors de doute qu’on ne les verroit jamais reduits à ceste honte
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du present fait à la maistresse de Xanthus. Chapitre XII. »
, mais de celuy qui a apporté ceste viande ? Aye donc patience, et ne doute point que je ne sçache trouver l’occasion de le b
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
es, et Politiques, où si vous trouvés quelques defauts, comme je n’en doute point, vous m’obligerez extrémement de les excuse
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
qu’elle est mere de la deffiance. Car de flotter incessamment dans le doute , d’avoir de la peine pour son Maistre, pour ses E
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
rez si fort de sçavoir. Ainsi, mon Maistre, si je puis resoudre ceste doute , toute la gloire t’en reviendra, pour avoir à ton
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
u, pour te demander l’esclaircissement d’une question dont je suis en doute  », Esope l’ayant escouté sans s’esmouvoir ; « Tu
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
vray qu’elle ne haste pas moins la ruyne du corps. Il n’y a point de doute qu’il faut que le corps perisse, d’autant qu’il e
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
nt ostée. Aussi n’en ont-ils que les espines, qui sont les soins, les doutes , les tristesses, les refus, les querelles, les re
25 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
e parmi les imitateurs du fabuliste romain, avait lui-même exprimé un doute sur le point de savoir si, réuni à eux, il se tro
se toute la période qui renferme cette pensée, et il ne restera aucun doute  ; voici comment, dans la traduction que j’en ai f
ue cette citation, c’est son œuvre tout entière. N’est-il pas hors de doute qu’un étranger, qui ne se serait pas, comme lui,
’être poursuivi par le ministre de Tibère, on ne peut conserver aucun doute sur l’époque de l’apparition de ses deux premiers
anchi porte, comme Eutyque, un nom grec ; il se nomme Philète. Ici le doute sur la qualité du protecteur n’est pas possible :
ceux qui l’ont étudié ; mais son assertion est justement révoquée en doute par M. Berger de Xivrey86 ; car le manuscrit conn
Pithou était intéressée à une publication, qui devait « la laver d’un doute injurieux ». « M. de Rosanbo, ajoute-t-il94, me
re des fables de chaque livre une disproportion fort grande, et je ne doute pas qu’elle ne soit la seule cause des divisions
avant l’incendie, et que par conséquent il y a péri. Cela ne fait de doute aujourd’hui pour personne. Le manuscrit ayant pér
r laquelle l’examen le plus superficiel ne saurait laisser le moindre doute . Au premier abord, lorsqu’on aperçoit le nombre c
reproduis de l’écriture de chacun ne laissent pas la moindre place au doute . Mais, s’il y avait deux manuscrits, il faut reco
t, et dans son Index codicum manuscriptorum Phædri il manifestait ses doutes en ces termes : « Qui an hodie exstet in biblioth
ci Phèdre ! je tiens Phèdre !” Andrès, d’un ton modeste, témoigne ses doutes . “Non, lui dis-je, c’est bien Phèdre, je le conno
to avait envoyé un exemplaire de sa première édition, manifestait des doutes , que les fautes dont elle fourmillait ne rendaien
été moins rude. L’autorité, qui s’attachait à son nom, fit naître des doutes , et, il faut bien le dire, ils furent un peu favo
formula sa protestation, personne n’avait songé à exprimer le moindre doute . Mais, aussitôt qu’elle leur fut connue, fascinés
travail immense, a entrepris, il y a quelques années, de révoquer en doute l’authenticité du Phedre recouvré par notre M. Pi
avoir lû l’Edition que venoit de donner M. Pithou, il ne resta aucun doute dans les esprits. Le petit nombre d’expressions q
ger sur les simples inductions de la plus vulgaire vraisemblance, les doutes élevés contre l’authenticité de Phèdre ne tiennen
tous les arguments des adversaires de Phèdre, pour ne plus laisser de doutes ni sur l’ancienneté des fables, ni sur la personn
1806, dans sa seconde édition des fables de Phèdre, elle atténua les doutes , mais ne les dissipa pas entièrement. Les savants
aquelle il avait consacré sa vie. Personne ne songea plus à élever de doutes sur l’ancienneté des fables de Phèdre, et les phi
t Latium meo, Plures habebit quos opponat Græciæ. Et pour qu’on n’en doute pas, il le répète encore, lorsque dans le livre I
lement le degré de confiance qu’elles doivent inspirer. Prévoyant les doutes qui ne manqueraient pas de les accueillir, Jannel
e par le fond259, exprima sur l’authenticité des fables nouvelles des doutes , qui jetèrent le trouble dans toutes les conscien
as être du même auteur, il n’aurait pas fallu commencer par baser les doutes sur ce qu’elles en diffèrent. 4º C’est, suivant
squ’il s’agit de ces dernières, n’ébranle pas sa foi, lui inspire des doutes à l’égard des autres. 7º En ce qui touche les édi
it du Vatican, les nouvelles fables de Phèdre, il n’a manifesté aucun doute sur leur âge véritable. Il prétend même trouver,
térieure du cardinal Angelo Maï est venue fortifier ma conviction. Le doute ne serait plus permis, si Angelo Maï, au lieu de
ont cité, comme preuves principales, les passages déparés sans aucun doute par les changements de Perotti. Cependant le dess
s-mêmes ne peut pour les connaisseurs impartiaux être l’objet d’aucun doute  ; c’est qu’enfin, pour faire usage de la figure a
es nouvelles ont indirectement servi de modèle au plagiaire, alors le doute n’est plus possible. Or, que l’on compare, et l’o
s et je les néglige. Le bon sens public a d’ailleurs réagi contre les doutes que Heyne et Adry avaient trop légèrement formulé
7, à Stuttgart en 1834 et à Berlin en 1868. En somme, aujourd’hui les doutes sont presque entièrement dissipés, et dans les éd
n’est exacte : c’est en 1034 qu’il mourut ; et il ne peut y avoir de doute à cet égard ; car voici ce qu’on lit dans la Chro
araphrase en prose. Sa deuxième citation avait à cet égard dissipé le doute que la première m’avait laissé. Ce qui était enco
t pas et ne pouvaient pas être les mots primo namque. Pour qu’on n’en doute pas, il transcrit le titre du traité ainsi conçu 
ha pas Nilant, au commencement du xviiie  siècle, d’éprouver quelques doutes d’ailleurs faciles à comprendre. Dans le manuscri
la ponctuation, mais encore l’écriture ne peuvent laisser le moindre doute sur l’intention du copiste de placer les mots de
de la supprimer, la dédicace à Rufus a été seulement altérée320. Le doute à cet égard devient impossible, quand, rapprochan
rnéien suffit pour en faire comprendre l’importance. En effet, si des doutes pouvaient encore subsister au sujet de l’ancienne
urait également rassuré. Mais, ne l’ayant pas remarqué, je conçus des doutes , et voici sur quoi ils étaient établis : en 1480,
pagnée de son nom, ne peut, quant à son origine, être l’objet d’aucun doute . A. Édition sans date (Hain 332). L’édition,
talogue où il énumère les écrits de saint Thomas d’Aquin, exprime des doutes sur la question de savoir si le Speculum morale n
ns filum, Murem ad pedem sibi alligavit. Après ces rapprochements le doute n’est plus possible. En effet dans la première fa
s’explique aisément par ce motif que c’étaient les plus nombreux. Le doute quant à la vraie origine ne pouvant, à mes yeux,
ce passage le nom de l’empereur n’est pas indiqué, en revanche aucun doute n’apparaît sur le savant à qui il a recouru : c’e
e la Bibliothèque de l’Université de Ferrare, on ne voit surgir aucun doute sur le nom de l’empereur ; c’est Théodose qui pri
homme aussi instruit que son temps le comportait, a, cela est hors de doute , mis en prose les fables d’Ésope, comme nous le v
n-folio. Tandis que tous les autres noms avaient laissé subsister des doutes , celui-ci fut facilement accepté. Il est vrai que
raisons que je viens moi-même d’analyser, ne purent mettre fin à mes doutes . Il est vrai que la versification de l’épigramme
nt cette épigramme à Antonius Panormita, ne faisait que fortifier mes doutes . Peut-être n’auraient-ils pas persisté, si, à l’é
60. Le Citoyen et le Soldat. Pour ces 60 fables il n’y a pas de doute . Elles sont toutes du même auteur, et, si sur lui
, t. I, col. 89, Brunet, avec une précision qui ne peut laisser aucun doute sur son existence, cite une petite édition gothiq
de quarante, et elles offrent cette particularité qui ne permet aucun doute sur leur origine, que chacune d’elles est suivie
itif qui a été la base des deux. Quiconque sur ce point conservera un doute pourra, par la comparaison des textes, le faire a
la bibliothèque de Paul Petau. Il ne peut sur ce point exister aucun doute  ; car on reconnaît son écriture dans la cote Y. 9
our la fable à laquelle se rapporte le premier de ces deux titres, le doute n’est pas possible ; en effet, écrite en vers de
le de ne pas y voir une imitation directe. Il y a d’ailleurs, dans le doute , un moyen facile de s’édifier, c’est de comparer
rnier et le Romulus Roberti ont été tirés de la même œuvre ? Sans nul doute . Aussi la seule question est-elle de savoir quell
raduction de Marie a été faite sur une première version qui, sans nul doute , avait suivi pas à pas le Romulus anglo-latin, il
raisemblable. Quant à celui des deux qui a été copié sur l’autre, le doute ne me paraît pas davantage possible ; c’est celui
ables sont-elles bien dérivées du Romulus de Nilant ? À cet égard, le doute ne me paraît pas possible. On se rappelle que le
aput et mediator. Malgré cette transformation, il ne peut exister de doute sur l’origine de l’œuvre : il me paraît certain q
et dont il y a déjà eu huit éditions, cinq à Naples et trois à Paris. Doutes sur leur authenticité. À Paris, de l’imprimerie d
et dont il y a déjà eu huit éditions, cinq à Naples et trois à Paris. Doutes sur leur authenticité. À Paris, de l’imprimerie d
o II, pages cxiv à cxv. 259. Examen des nouvelles fables de Phèdre. Doutes sur leur authenticité. Paris, M.DCCC.XII, in-18.
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