ourte et sage response de l’Asnon, dément tellement sa nature, que je
doute
si un subtil et avisé Philosophe pourroit avoir p
ard, qui avait justement entendu sa voix auparavant, lui dit : « N’en
doute
pas, tu m’aurais fait peur à moi aussi, si je ne
, et peux-tu dire pourquoi on t’appelle le « profiteur ? » — Si tu en
doutes
, répondit le renard, viens chez moi, je t’offre à
re ;
Luy presente un chaudeau propre pour Lucifer.
L’Epoux alors ne
doute
en aucune maniere
Qu’il ne soit citoyen d’enfer.
loing ses compagnons, ils ne sçavoient qu’en penser, et mettoient en
doute
si celuy qu’ils voyoient devant eux estoit ce vil
it si pertinemment aux causes de son accusation, qu’il n’y a point de
doute
, que le Roy recognoissant son innocence, eust fai
one, elle luy fist ceste genereuse response ; « Estranger mon amy, ne
doute
point que tu ne t’abuses en ce jugement que tu fa
s, et des humeurs des personnes. Comme par exemple, il n’y a point de
doute
que nous devons vivre tout autrement avec les Vie
la bien-veillance et l’estime des sages. Si cela est, MONSIEUR, je ne
doute
point que la consideration de cette excellente qu
à nostre amy l’effect de nostre bien-veillance. Ce qui estant hors de
doute
en l’opinion de tout le monde, ce seroit destruir
pour ce qu’il est, c’est à dire, de qui nous ne devons plus estre en
doute
. Au reste, ce n’est pas une vengeance de ne l’aym
des Factieux, et des Ennemis de leur Patrie ! Certes, il est hors de
doute
que sans les invincibles Armes de nostre Roy, et
rase qui reçoit toutes les especes qu’on luy presente, il est hors de
doute
que les mauvais exemples y sont imprimez plûtost
tous pasmer de rire. Discours sur la vingt-troiziesme Fable. Je
doute
au commencement de ce Discours, si je le dois rap
ilosophes regnoient, et où les Roys philosophoient, il n’y a point de
doute
que le devoir de leur charge les oblige à suivre
es autres qui ont suivy une vraye et sincere vertu. Il n’y a point de
doute
que la Romaine n’ait emporté l’avantage sur la Ca
ir de bonne heure une horreur du Vice à leurs Enfants, il est hors de
doute
qu’on ne les verroit jamais reduits à ceste honte
, mais de celuy qui a apporté ceste viande ? Aye donc patience, et ne
doute
point que je ne sçache trouver l’occasion de le b
es, et Politiques, où si vous trouvés quelques defauts, comme je n’en
doute
point, vous m’obligerez extrémement de les excuse
qu’elle est mere de la deffiance. Car de flotter incessamment dans le
doute
, d’avoir de la peine pour son Maistre, pour ses E
rez si fort de sçavoir. Ainsi, mon Maistre, si je puis resoudre ceste
doute
, toute la gloire t’en reviendra, pour avoir à ton
u, pour te demander l’esclaircissement d’une question dont je suis en
doute
», Esope l’ayant escouté sans s’esmouvoir ; « Tu
vray qu’elle ne haste pas moins la ruyne du corps. Il n’y a point de
doute
qu’il faut que le corps perisse, d’autant qu’il e
nt ostée. Aussi n’en ont-ils que les espines, qui sont les soins, les
doutes
, les tristesses, les refus, les querelles, les re
e parmi les imitateurs du fabuliste romain, avait lui-même exprimé un
doute
sur le point de savoir si, réuni à eux, il se tro
se toute la période qui renferme cette pensée, et il ne restera aucun
doute
; voici comment, dans la traduction que j’en ai f
ue cette citation, c’est son œuvre tout entière. N’est-il pas hors de
doute
qu’un étranger, qui ne se serait pas, comme lui,
’être poursuivi par le ministre de Tibère, on ne peut conserver aucun
doute
sur l’époque de l’apparition de ses deux premiers
anchi porte, comme Eutyque, un nom grec ; il se nomme Philète. Ici le
doute
sur la qualité du protecteur n’est pas possible :
ceux qui l’ont étudié ; mais son assertion est justement révoquée en
doute
par M. Berger de Xivrey86 ; car le manuscrit conn
Pithou était intéressée à une publication, qui devait « la laver d’un
doute
injurieux ». « M. de Rosanbo, ajoute-t-il94, me
re des fables de chaque livre une disproportion fort grande, et je ne
doute
pas qu’elle ne soit la seule cause des divisions
avant l’incendie, et que par conséquent il y a péri. Cela ne fait de
doute
aujourd’hui pour personne. Le manuscrit ayant pér
r laquelle l’examen le plus superficiel ne saurait laisser le moindre
doute
. Au premier abord, lorsqu’on aperçoit le nombre c
reproduis de l’écriture de chacun ne laissent pas la moindre place au
doute
. Mais, s’il y avait deux manuscrits, il faut reco
t, et dans son Index codicum manuscriptorum Phædri il manifestait ses
doutes
en ces termes : « Qui an hodie exstet in biblioth
ci Phèdre ! je tiens Phèdre !” Andrès, d’un ton modeste, témoigne ses
doutes
. “Non, lui dis-je, c’est bien Phèdre, je le conno
to avait envoyé un exemplaire de sa première édition, manifestait des
doutes
, que les fautes dont elle fourmillait ne rendaien
été moins rude. L’autorité, qui s’attachait à son nom, fit naître des
doutes
, et, il faut bien le dire, ils furent un peu favo
formula sa protestation, personne n’avait songé à exprimer le moindre
doute
. Mais, aussitôt qu’elle leur fut connue, fascinés
travail immense, a entrepris, il y a quelques années, de révoquer en
doute
l’authenticité du Phedre recouvré par notre M. Pi
avoir lû l’Edition que venoit de donner M. Pithou, il ne resta aucun
doute
dans les esprits. Le petit nombre d’expressions q
ger sur les simples inductions de la plus vulgaire vraisemblance, les
doutes
élevés contre l’authenticité de Phèdre ne tiennen
tous les arguments des adversaires de Phèdre, pour ne plus laisser de
doutes
ni sur l’ancienneté des fables, ni sur la personn
1806, dans sa seconde édition des fables de Phèdre, elle atténua les
doutes
, mais ne les dissipa pas entièrement. Les savants
aquelle il avait consacré sa vie. Personne ne songea plus à élever de
doutes
sur l’ancienneté des fables de Phèdre, et les phi
t Latium meo, Plures habebit quos opponat Græciæ. Et pour qu’on n’en
doute
pas, il le répète encore, lorsque dans le livre I
lement le degré de confiance qu’elles doivent inspirer. Prévoyant les
doutes
qui ne manqueraient pas de les accueillir, Jannel
e par le fond259, exprima sur l’authenticité des fables nouvelles des
doutes
, qui jetèrent le trouble dans toutes les conscien
as être du même auteur, il n’aurait pas fallu commencer par baser les
doutes
sur ce qu’elles en diffèrent. 4º C’est, suivant
squ’il s’agit de ces dernières, n’ébranle pas sa foi, lui inspire des
doutes
à l’égard des autres. 7º En ce qui touche les édi
it du Vatican, les nouvelles fables de Phèdre, il n’a manifesté aucun
doute
sur leur âge véritable. Il prétend même trouver,
térieure du cardinal Angelo Maï est venue fortifier ma conviction. Le
doute
ne serait plus permis, si Angelo Maï, au lieu de
ont cité, comme preuves principales, les passages déparés sans aucun
doute
par les changements de Perotti. Cependant le dess
s-mêmes ne peut pour les connaisseurs impartiaux être l’objet d’aucun
doute
; c’est qu’enfin, pour faire usage de la figure a
es nouvelles ont indirectement servi de modèle au plagiaire, alors le
doute
n’est plus possible. Or, que l’on compare, et l’o
s et je les néglige. Le bon sens public a d’ailleurs réagi contre les
doutes
que Heyne et Adry avaient trop légèrement formulé
7, à Stuttgart en 1834 et à Berlin en 1868. En somme, aujourd’hui les
doutes
sont presque entièrement dissipés, et dans les éd
n’est exacte : c’est en 1034 qu’il mourut ; et il ne peut y avoir de
doute
à cet égard ; car voici ce qu’on lit dans la Chro
araphrase en prose. Sa deuxième citation avait à cet égard dissipé le
doute
que la première m’avait laissé. Ce qui était enco
t pas et ne pouvaient pas être les mots primo namque. Pour qu’on n’en
doute
pas, il transcrit le titre du traité ainsi conçu
ha pas Nilant, au commencement du xviiie siècle, d’éprouver quelques
doutes
d’ailleurs faciles à comprendre. Dans le manuscri
la ponctuation, mais encore l’écriture ne peuvent laisser le moindre
doute
sur l’intention du copiste de placer les mots de
de la supprimer, la dédicace à Rufus a été seulement altérée320. Le
doute
à cet égard devient impossible, quand, rapprochan
rnéien suffit pour en faire comprendre l’importance. En effet, si des
doutes
pouvaient encore subsister au sujet de l’ancienne
urait également rassuré. Mais, ne l’ayant pas remarqué, je conçus des
doutes
, et voici sur quoi ils étaient établis : en 1480,
pagnée de son nom, ne peut, quant à son origine, être l’objet d’aucun
doute
. A. Édition sans date (Hain 332). L’édition,
talogue où il énumère les écrits de saint Thomas d’Aquin, exprime des
doutes
sur la question de savoir si le Speculum morale n
ns filum, Murem ad pedem sibi alligavit. Après ces rapprochements le
doute
n’est plus possible. En effet dans la première fa
s’explique aisément par ce motif que c’étaient les plus nombreux. Le
doute
quant à la vraie origine ne pouvant, à mes yeux,
ce passage le nom de l’empereur n’est pas indiqué, en revanche aucun
doute
n’apparaît sur le savant à qui il a recouru : c’e
e la Bibliothèque de l’Université de Ferrare, on ne voit surgir aucun
doute
sur le nom de l’empereur ; c’est Théodose qui pri
homme aussi instruit que son temps le comportait, a, cela est hors de
doute
, mis en prose les fables d’Ésope, comme nous le v
n-folio. Tandis que tous les autres noms avaient laissé subsister des
doutes
, celui-ci fut facilement accepté. Il est vrai que
raisons que je viens moi-même d’analyser, ne purent mettre fin à mes
doutes
. Il est vrai que la versification de l’épigramme
nt cette épigramme à Antonius Panormita, ne faisait que fortifier mes
doutes
. Peut-être n’auraient-ils pas persisté, si, à l’é
60. Le Citoyen et le Soldat. Pour ces 60 fables il n’y a pas de
doute
. Elles sont toutes du même auteur, et, si sur lui
, t. I, col. 89, Brunet, avec une précision qui ne peut laisser aucun
doute
sur son existence, cite une petite édition gothiq
de quarante, et elles offrent cette particularité qui ne permet aucun
doute
sur leur origine, que chacune d’elles est suivie
itif qui a été la base des deux. Quiconque sur ce point conservera un
doute
pourra, par la comparaison des textes, le faire a
la bibliothèque de Paul Petau. Il ne peut sur ce point exister aucun
doute
; car on reconnaît son écriture dans la cote Y. 9
our la fable à laquelle se rapporte le premier de ces deux titres, le
doute
n’est pas possible ; en effet, écrite en vers de
le de ne pas y voir une imitation directe. Il y a d’ailleurs, dans le
doute
, un moyen facile de s’édifier, c’est de comparer
rnier et le Romulus Roberti ont été tirés de la même œuvre ? Sans nul
doute
. Aussi la seule question est-elle de savoir quell
raduction de Marie a été faite sur une première version qui, sans nul
doute
, avait suivi pas à pas le Romulus anglo-latin, il
raisemblable. Quant à celui des deux qui a été copié sur l’autre, le
doute
ne me paraît pas davantage possible ; c’est celui
ables sont-elles bien dérivées du Romulus de Nilant ? À cet égard, le
doute
ne me paraît pas possible. On se rappelle que le
aput et mediator. Malgré cette transformation, il ne peut exister de
doute
sur l’origine de l’œuvre : il me paraît certain q
et dont il y a déjà eu huit éditions, cinq à Naples et trois à Paris.
Doutes
sur leur authenticité. À Paris, de l’imprimerie d
et dont il y a déjà eu huit éditions, cinq à Naples et trois à Paris.
Doutes
sur leur authenticité. À Paris, de l’imprimerie d
o II, pages cxiv à cxv. 259. Examen des nouvelles fables de Phèdre.
Doutes
sur leur authenticité. Paris, M.DCCC.XII, in-18.